Je suis ce que je suis. La tulipe ne sera une rose Et la rose ne sera un pissenlit à quoi sert espérer être une rose Quand au fond "Je suis ce que je suis" Je suis peut-être une tulipe qui s'éveille à tous les printemps Démontrant ses couleurs ses principes Jugée souvent bien hors du temps
Je suis peut-être une rose dégageant l'arôme de l'amour on se pique sur mon côté morose mais le bonheur revient au détour
Je suis peut-être un pissenlit répandu et plutôt mal compris mais sachez quand il est bien servi il donnera du goût à votre vie
Qu'importe la fleur que vous soyez vous avez tous un rôle à jouer mais vous devez vous rappeler de Celui qui vous a créé
La tulipe ne sera une rose Et la rose ne sera un pissenlit à quoi sert espérer être une rose
Y’a plus de cinq cents ans qu’elle sourit Que, Mona Lisa nous regarde ainsi La Joconde, elle a vraiment existée Vinci n’a fait que nous la montrer
Ses yeux semblent posés sur nous Cette femme avait de l’équilibre en tout Étant d’abord femme, elle était vraie Ce peintre la connaissait surement de près
Sa beauté résidait dans sa simplicité Elle est connue à travers le monde entier La vie est simple, quoi qu’on puisse en penser Le bonheur il existe dans la simplicité
On court souvent, de façon désordonnée Comme si le bonheur devait nous échapper C’est beau de sourire, de le faire simplement Voyez comme c’est naturel chez un enfant
Le monde serait bien moins compliqué Si on s’en tenait à l’essentiel, à la simplicité Notre vie serait plus belle, plus coloriée Aimer exige, beaucoup de simplicité
Depuis toujours, pour être nous, pour être vrai On devait montrer c’qu’on était Y’a mille ans, et même au siècle dernier On a toujours trouvé la beauté, dans la simplicité
Un petit conte, pour rêver et s'envoler Il était une fois, un joli papillon de nuit Qui rêvait de redevenir chenille Ou de retourner dans son cocon, Quitte à partir loin de sa famille Pour se protéger des déceptions D'une vie qu'elle n'avait pas imaginée ainsi. Alors que bien d'autres se seraient satisfaites D'une vie de façades, d'un apparat de paillettes, Notre papillon pu s'y contraindre sans pour autant se résigner, Sachant que le temps qui passait, pourrait peu à peu la tuer. Recroquevillée et prisonnière en osmose, Elle s'imaginait une nouvelle métamorphose. Ainsi au fil du temps, Les années aidant, L'arc-en-ciel de ses ailes avec le temps disparaissait, Le nectar des fleurs perdait de sa saveur, Les perles de rosée rappelaient celles qui coulaient, Bien cachées au fond de son coeur. Faute d'un cocon migrateur ou d'une baguette magique, Elle plongea dans une bulle qui passait par là, féerique, Lancée au gré du vent par un petit enfant rêveur, Tenant en son coeur une promesse de jours meilleurs. Tentée par les situations impossibles, Elle voulu braver ce besoin irrésistible. La fusion fut totale, Le partage un régal, La bulle perdit sa transparence pour rayonner de toutes les couleurs, Le papillon trouva sa bulle qui lui permit de s'évader vers son bonheur, Tous deux protégés, partageant la même promesse D'un pays imaginaire loin du paraître et de la détresse. De mémoire de petit enfant rêveur Et dans tous mes livres de conteur, On n'avait encore jamais vu de bulles avec des ailes Ou même de papillon s'envoler sans bouger dans le ciel. Rares sont ceux qui peuvent s'élever avec tant de bravoure, Faire face aux éléments et tout abandonner par Amour.
Paroles de Danse Mon Esméralda Quasimodo: Quand les années auront passé On retrouvera sous terre Nos squelettes enlacés Pour dire à l'univers Combien Quasimodo aimait Esméralda la zingara Lui qui Dieu avait fait si laid Pour l'aider à porter sa croix pour l'aider à porter sa croix Mangez mon corps, buvez mon sang Vautours de Montfaucon Que la mort au-delà du temps Unisse nos deux noms Laissez mon âme s'envoler Loin des misères de la terre Laisser mon amour se mêler A la lumière de l'Univers A la lumière de l'Univers Danse mon Esméralda Chante mon Esméralda Danse encore un peu pour moi Je te désire à en mourir Dans mon Esméralda Chante mon Esméralda Laisse-moi partir avec toi Mourir pour toi n'est pas mourir Danse mon Esméralda Chante mon Esméralda Viens t'endormir dans mes bras Je te désire à en mourir Danse mon Esméralda Chante mon Esméralda Au-delà de l'au-delà Mourir pour toi n'est pas mourir Danse mon Esméralda Chante mon Esméralda Laisse-moi partir avec toi Mourir pour toi n'est pas mourir
bonne journée
Poupette
La tulipe ne sera une rose
Et la rose ne sera un pissenlit
à quoi sert espérer être une rose
Quand au fond "Je suis ce que je suis"
Je suis peut-être une tulipe
qui s'éveille à tous les printemps
Démontrant ses couleurs ses principes
Jugée souvent bien hors du temps
Je suis peut-être une rose
dégageant l'arôme de l'amour
on se pique sur mon côté morose
mais le bonheur revient au détour
Je suis peut-être un pissenlit
répandu et plutôt mal compris
mais sachez quand il est bien servi
il donnera du goût à votre vie
Qu'importe la fleur que vous soyez
vous avez tous un rôle à jouer
mais vous devez vous rappeler
de Celui qui vous a créé
La tulipe ne sera une rose
Et la rose ne sera un pissenlit
à quoi sert espérer être une rose
Quand au fond
"Je suis ce que je suis"
Roger Kemp
Y’a plus de cinq cents ans qu’elle sourit
Que, Mona Lisa nous regarde ainsi
La Joconde, elle a vraiment existée
Vinci n’a fait que nous la montrer
Ses yeux semblent posés sur nous
Cette femme avait de l’équilibre en tout
Étant d’abord femme, elle était vraie
Ce peintre la connaissait surement de près
Sa beauté résidait dans sa simplicité
Elle est connue à travers le monde entier
La vie est simple, quoi qu’on puisse en penser
Le bonheur il existe dans la simplicité
On court souvent, de façon désordonnée
Comme si le bonheur devait nous échapper
C’est beau de sourire, de le faire simplement
Voyez comme c’est naturel chez un enfant
Le monde serait bien moins compliqué
Si on s’en tenait à l’essentiel, à la simplicité
Notre vie serait plus belle, plus coloriée
Aimer exige, beaucoup de simplicité
Depuis toujours, pour être nous, pour être vrai
On devait montrer c’qu’on était
Y’a mille ans, et même au siècle dernier
On a toujours trouvé la beauté, dans la simplicité
Claude Marcel Breault
Paroles de Danse Mon Esméralda Quasimodo:
Quand les années auront passé
On retrouvera sous terre
Nos squelettes enlacés
Pour dire à l'univers
Combien Quasimodo aimait
Esméralda la zingara
Lui qui Dieu avait fait si laid
Pour l'aider à porter sa croix
pour l'aider à porter sa croix
Mangez mon corps, buvez mon sang
Vautours de Montfaucon
Que la mort au-delà du temps
Unisse nos deux noms
Laissez mon âme s'envoler
Loin des misères de la terre
Laisser mon amour se mêler
A la lumière de l'Univers
A la lumière de l'Univers
Danse mon Esméralda
Chante mon Esméralda
Danse encore un peu pour moi
Je te désire à en mourir
Dans mon Esméralda
Chante mon Esméralda
Laisse-moi partir avec toi
Mourir pour toi n'est pas mourir
Danse mon Esméralda
Chante mon Esméralda
Viens t'endormir dans mes bras
Je te désire à en mourir
Danse mon Esméralda
Chante mon Esméralda
Au-delà de l'au-delà
Mourir pour toi n'est pas mourir
Danse mon Esméralda
Chante mon Esméralda
Laisse-moi partir avec toi
Mourir pour toi n'est pas mourir
j'emprunte quelques images parfois,