Marrakech Ville Du Sud Du Maroc... Marrakech, surnommée la Ville rouge, est une ville située dans le sud du Maroc, dans l'intérieur des terres, au pied des montagnes de l'Atlas. Wikipédia
Il y a deux semaines, je m'envolais 4 jours pour un séjour bien-être à Marrakech. Cette escapade dans la ville rouge fut topissime. Et parce que vous le valez bien, j'ai pris tout plein de notes (bonnes adresses shopping, food, hôtel, visites touristiques...) pour votre prochain séjour ensoleillé ! * Où loger ??? J'ai séjourné au Kenzi Club Agdal Medina*****, un superbe domaine de 10 hectares à l'ombre d’oliviers centenaire surplombant les montagnes de l'Atlas qui combine une palette complète d’activités avec le meilleur du design contemporain signé Imaad Rahmouni. J'ai eu la chance d'hériter d'une belle suite, très grande avec un grand salon, belle chambre lumineuse, une grande salle de bain avec douche et baignoire et une autre salle de toilette...sans oublier les deux très belles et grandes terrasses.
Dans cet énorme complexe composé de 9 riads, vous n'aurez limite pas besoin de sortir...il y a tout : Deux énormes piscines extérieures, un bar, un lounge, deux restaurants (l'un cuisine du monde et l'autre résolument marocain), un beau spa avec hammam, sauna...de 1500 m2, deux bars, un espace pour vos bambins... Et plein d'activités (karaoké, comédies musicales, aquagym, initiation à ceci et cela...). À noter que l'hôtel ne propose que des formules all inclusive.
Si je peux vous donner un conseil, n'hésitez pas à passer par Thalasseo qui propose des packs séjour complets à prix très attractifs..
* Où manger ??? Même si j'ai passé tout mon séjour à manger et pas souvent à l'hôtel (j'y ai trouvé la nourriture fade globalement), il y a deux lieux totalement différents - découverts grâce à l'une de mes meilleures amies d'origine marocaine - qui m'ont marquée.
---> Maï Thai : un restaurant asiatique "hype" dans la plus pure tradition thaïlandaise, situé dans le quartier de l’Hivernage de Marrakech. La bouffe y est délicieuse, le service rapide et le cadre cosy à tomber !
---> Chez Bejgueni : Situé rue IBN Aicha, dans le quartier de Gueliz, le lieu ne paie pas de mine - c'est un fast food façon kebab - (mon amie et sa maman m'avait prévenue en me disant "mais c'est tellement bon que tu oublieras le cadre") mais c'est clairement l'une des adresses incontestables en matière de bouffe à Marrakech.
Connue pour ses fameuses grillades - je me souviendrai encore longtemps de ses brochettes et ce tajine de fou qui ne coûtent trois fois rien - vous ne pouvez aller à Marrakech sans passer par ce lieu mythique de la restauration locale purement marocaine.
* Où faire du shopping ---> Les souks de la Place Jemaa El Fna : On y trouve touuut (bouffe, fringues, artisanat, cosmétiques et j'en passe...). Si vous n'aimez pas le monde, passez votre tour ! Vous serez accosté de tous les sens, parfois même tiré (ce n'est pas méchant hein, juste insistant) par certains rabatteurs car "c'est plus intéréssant ici". Un conseil, allez-y avec un(e) habitué(e) ou alors un fin négociateur, si vous n'avez pas envie de payer 10X le prix !
---> Herboristerie de Marrakech : En face du Palais de la Bahia, ce lieu magique du mythique quartier juif de Marrakech (Bab Mellah) fait parti de ces lieux qu'on a pas envie de quitter. Immense, on y trouve des plantes médicinales, des épices, des pigments naturels, des huiles pures (argan...), des produits cosmétiques (khol...), parfums naturels.... Les prix sont je dirai "dans la norme"...quand on est touriste, on a pas toujours le choix hein. J'y ai d'ailleurs même eu un cours très intéressant sur l'argan. Processus de fabrication de l'huile d'argan
---> Galerie des Tanneurs : Adresse incontournable - juste à côté du Jardin de Majorelle - pour les chaussures, sacs et vêtements, ils sont spécialisés dans le cuir et surtout ils sont très forts dans la copie de grandes marques (par copie, j'entends reprendre le modèle sans mettre le nom de la marque à ne pas confondre avec imitation), c'est vraiment bluffant.
La qualité et la finition des produits est irréprochable pour un prix défiant toute concurrence (un sac vaut entre 120€ et 180€) ! Perso, je n'ai pas craqué mais j'ai plusieurs connaissances qui y ont effectué des achats (tout est personnalisable couleur, type de cuir, détails... Et vous pouvez même ramener une photo du Balenciaga dont vous rêvez tant, en 3 jours, il sera reproduit et vous sera envoyé via dhl / On adhére ou pas) et des années plus tard, sont toujours satisfait de la qualité.
* Les "visites touristiques" à faire absolument ! ---> La Place Jemaa El Fna : Célèbre dans le monde entier, cette place publique située dans la médina est à voir absolument. Le moment parfait ??? À partir de 17h où la place noire de monde est plus animée que jamais. Charmeurs de serpents, diseuses de bonne aventure, groupes de musique, restaurant et cafés sans oublier le fameux souk...font la réputation de ce lieu hors du commun.
---> Le Jardin de Majorelle of course : depuis que le temps que je rêvais de découvrir ce lieu magique, voilà qui est fait ! Et croyez moi, il est aussi magique qu'on ne le dit. Je ne vous en dis pas plus car je vous réserve un article dédié avec plein de photos...
---> Le Musée Berbère : Ce sublime musée dédié à la culture berbère situé au coeur même du Jardin de Majorelle est à voir
---> Le Palais de la Bahia : palais du 19ème siècle de 8 hectares, c'est l'un des monuments majeurs du patrimoine culturel du pays. À voir pour la richesse de son architecture.
---> La Palmeraie : Envie de respirer de l'air frais ?? Baladez vous à la Palmeraie (en calèche pour les plus romantiques) ! Ce cadre idyllique (c'est fou comme il y fait bon) à la fois constitué d'une nature exorbitante et d'un urbanisme ultramoderne (hôtel de luxe, résidences majestueuses, terrains de golf, piscines privées...) est l'endroit rêvé pour une bouffée d'oxygène...et une balade en dromadaire (perso, je n'ai pas osé)...
---> Le quartier des tanneurs / La tannerie (celui ci je ne conseille pas forcément) : Situé non loin de la porte Bab El Sebbagh, c’est le lieu où les peaux d’animaux sont travaillées, avec de la chaux et des excréments d’animaux. L'odeur y est nauséabonde, tellement nauséabonde qu'on est accueille par des brins de menthe à garder sous le nez pour ne pas être incommodé par l’odeur fétide qui y règne.
Une visite guidée de 5 minutes (il faut payer le guide quelques dirhams à la fin de la visite) qui ne sert à rien à vrai dire dont le but est seulement de vous amener dans les boutiques qui se trouvent à côté pour acheter. À ce qu'il paraît, on déconseille ce lieu aux touristes (je ne l'ai su qu'à mon retour) car les tanneurs/racoleurs peuvent être agressifs. Perso, j'avoue que je n'ai pas du tout eu ce souci bien au contraire mais prenez vos précautions et surtout n'y allez pas seuls. J'étais accompagnée de mon chauffeur pour ma part
Du simple œuf dur coloré aux plus prestigieux œufs de Fabergé, l’oeuf de Pâques est resté une tradition dans le monde entier. Si nous pouvions redire son message au moment de Pâques….En Italie, de nos jours encore, on fait bénir les oeufs de Pâques que l’onplace au centre de la table. Les oeufs de Pâques russes et ukrainiens sont de véritables oeuvres d’art, aux motifs et aux couleurs très symboliques et géométriques, avec des représentations chrétiennes comme la croix, le Christ lui-même. D’année en année, certains seront conservés dans les familles. D’autres, durant le repas de Pâques, des oeufs souvent peints en rouge, seront frappés sur l’oeuf de son voisin, à qui se brisera le premier. En Occident, jusqu’à ces dernières années, dans les campagnes ou les jardins de la maison en ville, une mystérieuse chasse aux trésors s’organisait au petit matin de Pâques. Selon la tradition, en revenant de Rome, les cloches qui se sont tues depuis le jeudi Saint au soir, y répandaient, oeufs, cloches, cocottes et autres gourmandises. La coutume d’offrir des œufs ou des lapins en chocolat est d’origine commerciale. La tradition allemande veut, pour les enfants, que ce soit un lapin blanc invisible qui les cache. Aux États-Unis et en Alsace, c’est un lièvre ; en Thuringe, une cigogne ; en Westphalie, un renard ; en Suisse, un coucou. Ces dernières années, dans bien des familles françaises, se renouent ce geste de jadis au moment du dessert, le dimanche de Pâques. Sur un plateau, se trouvent quelques petits vases de fleurs, des oeufs ou des petits lapins en chocolat. Les vitrines des pâtissiers les ont présentés à la gourmandise. A nous de dire aux convives de la fête leur signification pascale.
Vie et renaissance au coeur des hommes.La coutume d’offrir des oeufs décorés, teints ou travaillés, existait bienavant l’ère chrétienne. Comme le printemps est la saison de l’éclosion de la nature, l’oeuf, représentant la vie et la renaissance, a été probablement le premier symbole utilisé lors de rituels qui datent de la nuit des temps.Au printemps, les Égyptiens et les Perses avaient pour habitude de teindre des oeufs et de les offrir pour symboliser le renouveau de la vie. -Dans l’antiquité gauloise, les druides teignaient les oeufs en rouge enl’honneur du soleil. Dans les rituels païens anglo-saxons, on offrait des oeufs colorés à la déesse Eostre. – Plusieurs cultures païennes disposaient des oeufs dans les tombes ou les sépultures pour demander la renaissance de la personnedécédée. Pour les Juifs, l’oeuf est le symbole de la vie mais aussi de la mort. La libération du peuple hébreu a coûté la vie à de nombreuses personnes, et le bonheur n’est jamais absolu pour les eux. A Pessa’h les Juifs trempent un oeuf dans de l’eau salée en souvenir de toutes les larmes versées suite à la perte de leur indépendance. Puisque Pâques, pour les chrétiens, célèbre la résurrection du Christ eut lieu au printemps, le symbolisme de l’oeuf y a trouvé aussi sa place dans les rites familiaux. Cette coutume d’offrir des oeufs le matin de Pâques est apparue vers le IV ème siècle en Europe, et se retrouva en Egypte autour du XI ème siècle, puis en France, en Alsace, vers le XV ème siècle. Progressivement cette coutume populaire va aussi s’instaurer dans les cours royales, mais elle y perdra le véritable symbole qui est le sien. A la Renaissance, l’oeuf décoré populaire inspira des artistes : après l’oeuf de poule ordinaire, on en confectionna en verre, en porcelaine, en bois…
En l’an 1200, sous Edward I en Angleterre, on retrouve, dans la comptabilité du palais royal, la somme de 18 pences versée pour l’achat de 450 oeufs qui devaient être peints à la feuille d’or avant d’être distribués aux membres de la famille royale. Les oeufs recouverts d’or apportent la richesse à ceux qui les reçoivent.500 ans plus tard le roi Louis XIV en fait aussi une institution. D’une part, ses gens devaient lui apporter le plus gros oeuf pondu en son royaume durant la Semaine Sainte et, lui-même, le jour de Pâques, entouré de grandes corbeilles, distribuait en personne des oeufs peints à la feuille d’or à ses courtisans aussi bien qu’à sa valetaille. La surprise contenue dans l’oeuf est une tradition qui remonte au XVIème siècle, et certaines sont même passées à l’histoire tant elles étaient exceptionnelles : C’est le cas de la statuette de Cupidon renfermée dans un énorme oeuf de Pâques offert par Louis XV à Madame du Barry, du brûle-parfum trouvé en 1770 par Catherine II ou encore de la minuscule poulette cachée dans un oeuf précieux conservé à Copenhague dans les collections royales du château de Rosemborg. Les oeufs de Fabergé C’est justement ce dernier objet en or massif qui est à l’origine des célèbres oeufs impériaux russes que l’on doit à l’imagination de Peter Carl Fabergé, orfèvre du Tsar. En effet, une princesse danoise – Dagmar – épousa le Tsar Alexandre III, prenant le nom de Maria Feodorovna, et décrivit à son mari cet objet qu’elle avait admiré, au château de Rosemborg à Copenhague.
Elle en fit la description avec un tel enthousiasme et une telle nostalgie que celui-ci en commanda un tout à fait identique à l’orfèvre de la cour impériale, Peter Carl Fabergé (1846-1920). On était en 1885 : dès lors, tous les ans à Pâques, inventa une nouvelle merveille, de plus en sophistiquée, et l’offrit à sa souveraine.Cette tradition plaisait beaucoup à Nicolas II qui, couronné en 1896, offraitde splendides exemplaires à sa mère et à son épouse, et on estime qu’entre 1885 et 1916, pas moins de 56 joyaux sont sortis de l’atelier magique de Fabergé. Avec le temps, la fabuleuse collection des Romanov a été dispersée. Une dizaine de ces oeufs de Fabergé sont au Kremlin, deux autres appartiennent à la reine Elizabeth II et 12 autres ont été achetés par Malcom Forbes, éditeur et écrivain américain. Il arrive que quelques-unes de ces oeuvres exceptionnelles apparaissent sur le marché international de l’art et atteignent des prix vertigineux : la dernière vente remonte à 1994, quand Christie’s adjugea le Winter Egg pour 3,5 millions de livres. Ces chiffres tout à fait prodigieux se justifient par le fait que ces objets sont de véritables chefs-d’oeuvre, encore que de petite taille. Et si nous offrions des simples oeufs en chocolat aux plus pauvres que nous rencontrons …..
Mignon : liste des 200 surnoms les plus fréquents dans la vie de couples ! On a tendance, désormais à utiliser des surnoms pour nos partenaires : doudou, chérie, mon cœur, etc. Il y en a des tonnes qu 'on se balance entre amoureux en longueur de journée. Pour vous montrer l'ampleur de la situation, le site Avenue Romantique a fait un recensement sur les surnoms les plus utilisés dans un couple. Certains ne sont pas faits pour être prononcés en public. Vous serez surpris car c'est mignon et coquin !
Ce qu’un homme regarde en premier chez une femme, et vice-versa. Selon une étude, nous savons enfin ce qu’un homme regarde en premier chez une femme, et vice-versa.
Les enquêteurs ont interrogé un échantillon de 1000 hommes et 1000 femmes, en leur demandant d’établir une hiérarchie dans leurs préférences.
En ce qui concerne 70% des hommes, ce sont les yeux qui attirent en premier leur attention chez la femme. En seconde position, on retrouve le sourire, qui peut faire pencher le cœur d’un homme. Suivi ensuite de la poitrine, des cheveux et du poids.
Pour les femmes, le résultat peut sembler tout aussi étonnant puisque pour une belle majorité d’entre elles, ce sont les yeux qui attirent, en premier. Le sourire vient également en seconde position alors que la taille est la troisième caractéristique qu’une femme regarde chez un homme. Suivent les cheveux et le style vestimentaire.
Ainsi, lorsqu’un homme rencontre une femme, ou qu’ils se croisent dans la rue, tout se joue dans le regard.
bonjour à tous Origine de Pâques Pâques est une fête différente selon que l'on soit catholiques, juifs ou athée (c'est-à-dire sans religion). Pâques, selon la religion chrétienne La fête chrétienne de Pâques est destinée à rappeler le souvenir de la résurrection de Jésus-Christ. Durant les premiers temps de la chrétienté, le calendrier utilisé pour fixer la date de Pâques était le calendrier juif ou babylonien. Les Églises d'orient célébraient Pâques le dernier jour avant la pleine lune qui suit l'équinoxe de printemps (14 Nissan) commémorant ainsi la mort de Jésus. La résurrection de Jésus survint le 16 Nissan, en même temps que Pessah, la Pâques juive. Voilà tout simplement pourquoi le jour de la résurrection du Christ est appelé Pâques.
Pâque, selon la tradition juive Pâque (sans "s") est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier mois ducalendrier juif. Les ancêtres du peuple juif étaient esclaves des pharaons d’Égypte. Sous l’influence de Moïse, ils s’organisèrent et s’enfuirent. Cette libération, appelée l’Exode, est depuis lors célébrée par les Juifs chaque printemps. Les Juifs ne disent pas pâques mais "Pessah".
Pâques : la fête du printemps et du renouveau. Si la fête de Pâques a un sens religieux pour les catholiques et les juifs, Pâques est aussi une fête païenne qui célèbre le printemps et le renouveau. Il y a très longtemps, probablement à la préhistoire, une fête avait lieu au moment de la pleine lune du printemps. Tous les peuples fêtaient, après les longues journées d’hiver, le retour du beau temps. Depuis près de 3000 ans, ce moment de l’année est devenue la fête de la Pâques.
La tradition de Pâques
La fête de Pâques est célébrée différemment selon les coutumes des pays du monde. En France et dans la plupart des pays européens, les cloches des églises, véritables symboles de Pâques ne sonnent pas du Vendredi Saint au Dimanche de Pâques, car l’histoire raconte qu’elles se rendent à Rome où elles se chargent d’oeufs. À leur retour, elles survolent les jardins et y dépose les oeufs… pour le plus grand plaisir des enfants ! Mais dans d'autres pays d'Europe, les messagers de pâques, ne sont pas les cloches : au Tyrol, c’est la poule. EnSuisse, un coucou. En Allemagne, un lapin blanc. Dans les pays anglo-saxons, un lièvre. En Italie, le prêtre bénit les oeufs de Pâques. Lors du repas du dimanche de Pâques, les maîtresses de maison les placent au centre de la table où tout le monde se réunit. Le repas de fête peut alors commencer ! En Australie, le jour de Pâques, ce ne sont pas les cloches qui apportent les oeufs, mais le lapin de Pâques ! Il les cache dans le jardin et les enfants s’amusent à les chercher. En Bulgarie, un ou deux jours avant Pâques, la coutume veut que les familles chrétiennes envoient une miche de pain et 10 à 15 oeufs teints en rouge à leurs amis turcs. Honorés par ces présents, ceux-ci remettent en général un peu de monnaie au messager qui vient porter ces oeufs. Pourquoi des oeufs de Pâques ? L’oeuf de Pâques est le symbole de l’éclosion d’une vie nouvelle et de la fertilité. Donner des oeufs en cadeau à Pâques ou pour célébrer l’arrivée du printemps, est une tradition installée depuis des centaines d’années. Il y a environ 5000 ans, les Perses offraient déjà des oeufs de poules comme cadeaux porte-bonheur pour fêter le printemps ! C'est réellement à partir du XIIIe siècle que les premiers oeufs peints firent leur apparition en Europe. Ils s'échangeaient à l'occasion de la fin du Carême, symbolisant ainsi la fin des privations de l'hiver. On peint et on décore les oeufs de Pâques aux quatre coins de la planète. La décoration des oeufs est, dans certains pays, considérée comme un art.
Aujourd'hui, les oeufs de Pâques sont en chocolat. Cette tradition est relativement récente. Les moulages en forme d'oeuf des chocolatiers ont fait leur apparition durant la première moitié du XIXe siècle. On peint et on décore les oeufs de Pâques aux quatre coins de la planète. La décoration des oeufs est, dans certains pays, considérée comme un art. Certaines personnes croient que les oeufs de Pâques ont des pouvoirs magiques. Enterrer les oeufs de Pâques peints à la main au pied d’une vigne la ferait pousser plus rapidement. D’autres pensent que si l’oeuf reste enterré pendant cent ans, le jaune deviendra un diamant ! Incroyable, non ?
Pourquoi un lapin en chocolat ?
Le lapin en chocolat vient d’une vieille tradition populaire qui dit qu’à Pâques, c’est au tour des lapins de couver les oeufs ! Drôle d’idée non? En tout cas l’association d'idée lapin, Pâques et chocolat découle de cette très ancienne croyance populaire. Et l'île de Pâques dans tout ça ? En Polynésie, sur le continent océanien, il y a un petit bout de terre qu’on appelle Île de Pâques. Grande de 118 Km², son véritable nom est Rapa Nui, et elle doit son surnom d’île de Pâques à sa découverte le jour de Pâques en 1722 par Roggeven. Cette île est constituée d’un énorme bloc de lave, culminant à 500 mètres par un cratère triangulaire et est célèbre pour ses gigantesques statues inachevées.
Un Canada Beaucoup Plus «Cool»... Le premier ministre canadien Justin Trudeau semble avoir conquis bon nombre d'Américains. Photo Brendan Smialowski, AFPNathaëlle Morissette La Presse
Il a une gueule de jeune premier. Il est ouvert. Il attire les foules. Alors que sa lune de miel ne semble pas encore terminée avec les Canadiens, voilà que le premier ministre Justin Trudeau, à la faveur de son passage à Washington, semble avoir conquis bon nombre d'Américains... qui pourraient même être tentés de venir voir le pays de plus près.
Le Canada, destination prisée par nos voisins du Sud ? Ce qui semblait impensable il y a six mois à peine pourrait bien devenir réalité. Depuis 2003, le nombre de touristes américains au pays a connu une chute importante. « Les 15 dernières années ont été horribles », rappelle Paul Arsenault, titulaire de la Chaire de tourisme Transat ESG-UQAM. Entre 2003 et 2012, le nombre de voyageurs américains a baissé de 35 % au Canada. Combinée à une forte augmentation du dollar américain, l'arrivée au pouvoir de M. Trudeau et son passage remarqué à Washington pourraient changer la donne, au-delà des relations diplomatiques entre les deux pays, croient des experts consultés par La Presse. « Est-ce que le fait qu'on ait un premier ministre cool et jeune peut aider la cause ? Absolument, répond Frédéric Gonzalo, blogueur et consultant marketing en e-tourisme, dans un courriel envoyé à La Presse. Je participe d'ailleurs présentement au sommet Social Media, Content & Mobile Strategies in Travel à San Francisco, et on ne cesse de parler de l'importance des millennials, cette génération de voyageurs de 20-35 ans qui représentera la majorité des revenus touristiques et hôteliers dès 2017. Pour cette génération, l'image d'un pays avec un jeune premier ministre et la parité hommes-femmes au sein du gouvernement, ce n'est pas rien et ça refait du Canada une destination à (re)découvrir. » Pour sa part, Paul Arsenault affirme que, si l'effet n'est probablement pas immédiat, cette nouvelle donne politique va très certainement « changer la perception ». « Le fait d'avoir une revue de presse plus intéressante va avoir un effet d'entraînement », dit-il. Les journaux américains ont consacré plusieurs articles à la visite du premier ministre Trudeau et de son épouse Sophie Grégoire à la Maison-Blanche. « Tout ça envoie un très bon message. » « Avec le taux de change avantageux, tant pour les Européens que pour les Américains, le Canada redevient une destination à considérer, ajoute M. Gonzalo. Il reste maintenant à investir en publicité et marketing sur les marchés principaux. »
Les bienfaits de la mer Vous aimez partir en vacances au bord de la mer ? Vous avez bien raison ! Non seulement ce type de vacances convient à tous, grands et petits, mais en plus les bienfaits pour la santé d'un séjour à la mer sont très appréciables.
L'air du bord de mer a la réputation, bien méritée, d'être bon pour la santé : riche en ions négatifs, il est également chargé en iode. Les ions négatifs agissent sur l'organisme humain en apportant bien-être et détente. Ils soulagent des maux tels que l'asthme, la fatigue, la dépression, les migraines...
Quant à l'iode, il est tout simplement indispensable au bon fonctionnement de la glande thyroïdienne. Il joue un rôle important pour la croissance et la maturation du cerveau : d'où l'intérêt d'enmener les bambins à la plage ! Bonne nouvelle pour votre ligne : l'iode favorise naturellement la perte de poids. Alors, quand vous marchez au bord de la mer, respirez profondément ! Les bienfaits de l'eau de merBain de mer vivifiantVous êtes peut-être venu(e) à la plage dans l'optique de vous exposer au soleil et de vous reposer. Cependant, si la lecture de votre magazine préféré est apte à vous détendre, ce n'est pas le seul moyen de vous faire du bien. Optez pour le bain de mer ! Naturellement riche en oligo-éléments et sels minéraux, l'eau de mer vous communiquera ses bienfaits en franchissant la barrière de l'épiderme. L'eau de mer agit également sur la cicatrisation et est une alliée des voies respiratoires. Alors on oublie sa frilosité naturelle et on se baigne dans la mer tous les jours, durant 20 mm environ. Marchez dans l'eau ! Comprimés toute l'année dans des chaussures serrées, vos pieds ont bien besoin d'être soignés. Le sable et la mer sauront leur apporter un vrai réconfort. Marcher longuement pieds nus dans le sable est excellent pour muscler vos pieds et les tonifier. Et pour améliorer la circulation sanguine et affiner cuisses et jambes, la marche dans l'eau est idéale. Alors rompez les eaux d'une foulée dynamique pour des jambes fuselées et de jolis pieds ! Idéalement, vous consacrerez une heure par jour à la marche dans le sable, si possible le matin lorsque le sable n'est pas trop chaud.
Pour la marche dans l'eau, choisissez le moment qui vous convient, mais n'oubliez pas de protéger du soleil vos épaules et votre tête. Là encore, une heure par jour de marche dynamique dans l'eau sera très bénéfique. Si vous marchez en étant dans l'eau jusqu'à mi-cuisses, vous pourrez réduire la durée de l'exercice car l'effort fourni sera plus important. La mer dans votre assiette ! Saviez-vous qu'il existe des ampoules d'eau de mer vendues en pharmacie et parapharmacie à consommer en cure ? Sans aller jusque là, vous pouvez mettre de la mer dans votre assiette en consommant poissons, crustacés et mollusques marins. Ils contiennent des acides gras qui luttent contre le mauvais cholestérol, du calcium, des vitamines (B12 et D) et de l'iode. Profitez également de votre séjour sur les côtes maritimes pour manger de la salicorne. Cette plante est diurétique, riche en iode, phosphore, calcium, silice, zinc, manganèse, vitamines A, C et D. Vous la trouverez fraiche, à cuisiner comme des haricots verts, sur les étals des poissonniers, ou encore en bocal, à déguster comme des cornichons. Et pourquoi ne pas consommer des algues ? Si vous êtes attiré(e) par les mets exotiques, essayez le nori, une algue noire utilisée dans la confection des makis japonais. Et puisque l'air marin est réputé pour ouvrir l'appétit, c'est le moment de manger sainement tout en se régalant !
Pourtant, au sein de la population, ils sont parmi les moins bien lotis, leur conditions de travail et leurs revenus se dégradant. Mais en Inde, un organisme a mis en place une série d’outils qui permettent aux agriculteurs de mener leur travail à bien. SooCurious vous présente cette superbe initiative. Il y a quelques années, Chandrakala Kongala, une agricultrice du village rural de Bommireddipalli, dans l’Etat d’Inde du Sud de Telangana, faisait face à un problème dévastateur : d’un seul coup, une averse imprévue avait ravagé sa récolte d’arachides.
Pour Kongala, l’agriculture représentait un réel moyen de subsistance. Car en vivant dans une région éloignée avec un accès limité au transport, elle était inéligible à une entrée sur le marché du travail ordinaire. Et dans sa situation précaire, de mauvaises récoltes signifiaient assurément qu’elle n’aurait aucune source de revenu. Pendant les saisons suivantes, les plantations de Kongala furent florissantes. Elle cultivait une variété de plantes dont la récolte survenait quelques fois plus tôt que prévu. Finalement, elle finit par posséder une ferme d’un hectare produisant des centaines de livres de cultures par récolte. Si bien que désormais, elle gagne 20 000 à 30 000 roupies par saison (300 $ à 450 $) – une somme incroyable dans une communauté de fermiers qui subsistent avec un à deux dollars par jour.
L’ICRISAT forme des agriculteurs Ce qui a changé, pour Chandrakala ? Certainement des conditions climatiques un peu plus douces. Mais surtout, l’agricultrice a pu bénéficier d’un dispositif dont jouissait déjà une grande partie du reste du monde développé : la carte SIM. L’idée s’est développée en 2002, lorsque le gouvernement duTelangana a fait appel à l’ICRISAT, pour International Crops Research Institute for the Semi-Arid Tropics. L’institution à but non lucratif, qui forme les agriculteurs des régions sèches pour qu’ils développent des pratiques agraires préventives, a cherché des collaborateurs locaux du Telangana et s’est associée au collectif d’entraide des agricultrices, connu sous le nom d’AMS, pour Adarsha Mahila Samakhya. Des chercheurs de l’ICRISAT ont rapidement visité des villages des Etats indiens du Telangana, de Andhra Pradesh et deKarnataka. Ils ont alors observé des agricultrices de l’AMS afin de mieux comprendre leurs méthodes et leurs défis. Puis, dans chaque Etat, l’institut a commencé par la création d’un “Village Knowledge Center”, où les agricultrices pourraient apprendre comment faire fonctionner des téléphones et ordinateurs pour extraire l’information agricole à partir de sites web. L’un des principaux défis de l’expérience fut que les sites agricoles auxquels se référaient les agricultrices étaient tous en anglais, un langue souvent inconnue de ces femmes qui étaient également bien souvent analphabètes. V.V. Sumanth Kumar, scientifique de l’ICRISAT, explique d’ailleurs que « les niveaux d’alphabétisation des fermiers sont faibles en Inde ». Pour résoudre ce problème, il explique donc que l’institut « a décidé de plutôt miser sur les téléphones » et que pour contourner les problèmes de langue et d’alphabétisation, ils se concentrèrent « sur les messages vocaux ».
Un Village Knowledge Center de l’ICRISAT Fut alors élaborée la GreenSIM. Conçu pour optimiser la prospérité agricole dans les pays en développement, le dispositif tire parti des fonctions de base d’une carte SIM pour transmettre des messages vocaux gratuits aux agriculteurs, offrant des mises à jour relatives à la culture et à la vente des récoltes. Ainsi, pour animer le produit, l’ICRISAT équipa environ 7000 fermiers avec des téléphones munis de GreenSIM activées. L’institut a ensuite rédigé des messages sur la météo, la fertilité des sols, les problèmes de nuisibles et les prix des récoltes, le tout grâce aux rapports du Département météorologiqueindien et aux données recueillies dans les villages duTelangana. Les messages, envoyés cinq fois par jour sous forme d’appels, permettent d’informer les agriculteurs sur ce qu’ils ont besoin de savoir pour mener à bien leur activité. Au fur et à mesure de la mise en place du dispositif, l’ICRISATen a amélioré le fonctionnement. Par exemple, l’institut s’est rendu compte que les fermiers accordaient plus d’importance aux messages s’ils les entendaient de la bouche de leurs pairs. Ainsi, le corps des messages est désormais traduit dans les langues locales des agriculteurs. Après le succès de la GreenSIM, l’ICRISAT a développé leGreenPhablet, un appareil hybride entre tablette et téléphone, équipé d’une GreenSIM. Particulièrement résistant, le dispositif est surtout censé remplacer le Knowledge Center Village en inculquant les bons réflexes aux agriculteurs.
Face à ces nouveaux outils, l’ICRISAT a constaté une « excitation au sein de la communauté des fermiers », ceux-ci étant jusqu’alors soumis aux caprices de la nature. Ainsi, un rapport datant de 2012 du National Crime Reports Bureau, leMaharashtra, l’Andhra Pradesh et le Karnataka, Etats dont la population est massivement agricultrice, rassemblaient 32 % des suicides commis en Inde, les fermiers étant bien souvent acculés par les dettes à cause d’une nature difficile et de récoltes en berne. Désormais, l’ICRISAT travaille avec d’autres organismes à but non lucratif dans des pays en développement d’Asie ou d’Afrique. Ceux-ci se sont d’ailleurs aussi approprié les outils mis en place par l’institut, qui cherche à établir des partenariats dans les domaines de la finance, de la santé et de l’éducation.
L’ICRISAT se développe en Afrique Le travail réalisé par l’ICRISAT et ses partenaires locaux est réellement encourageant puisqu’il vient en aide aux populations les moins avantagées de pays en développement
Pas besoin d'attendre Noël pour fabriquer et suspendre des couronnes décoratives sur sa porte ou dans la maison! Et NON, les couronnes ne sont pas réservées aux enterrements!
Au coeur du drame du Titanic, qui a coulé au début du XXe siècle, se trouve une histoire incroyable. Celle de deux frères réchappés du naufrage, sans parents, et dont on a longtemps ignoré les origines. SooCurious vous raconte cette aventure surprenante. Le 10 avril 1912, le Titanic s’élançait depuis Southampton, enAngleterre, pour sa traversée inaugurale. Avec lui, le paquebot emmenait 1842 passagers et les espoirs technologiques de toute une génération. Annoncé insubmersible, il finirait par heurter un iceberg le 14 avril à 23h40.
Le Titanic au départ de Southampton Sur les 710 survivants de la catastrophe, 2 frères furent retrouvés, Michel et Edmond, l’un de 4 ans et l’autre de 2 ans. Mais dans un premier temps, personne ne sut dire d’où ils venaient, puisqu’ils réchappèrent du Titanic sans aucun parent ni tuteur. Une fois arrivés à New York, les deux enfants furent confiés à une autre survivante du naufrage, Margaret Hays. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, et connait même une fin heureuse puisque quelques mois après la catastrophe du Titanic, une habitante de Nice, dans le sud de la France, crut identifier ses deux fils disparus.
Michel et Edmond Navratil Marcelle Carretto reconnut ses deux fils, Michel et son jeune frère Edmond, sur la photo d’un article de journal. Elle contacta alors les autorités américaines qui tentèrent d’avérer les liens de filiation de la femme avec ses enfants. Une fois cela fait, les deux frères furent rendus à leur mère et l’histoire des « Titanic Twins », comme la presse anglophone les avait nommés, devint plus claire. En 1907, Marcelle Carretto avait épousé Michel Navratil, un tailleur d’origine slovaque. De leur union, naquirent Michel etEdmond, les deux seuls enfants du couple. Mais en 1912,Marcelle et son époux entreprirent de divorcer et à la suite d’une décision de justice, les deux jeunes frères furent confiés à leur mère. Désireux de les garder auprès de lui, Michel Navratil kidnappa ses enfants pour les emmener aux Etats-Unis et y recommencer une nouvelle vie. Malheureux dans son entreprise, le père d’Edmond et Michel choisit le Titanic comme moyen de fuite. Surtout, afin de passer inaperçu sur le paquebot, l’homme se fit passer pour Louis B. Hoffman, un ami dont il avait emprunté le passeport. Ses deux fils, eux, prirent les pseudonymes de « Lolo » et « Momon ». Et si les deux frères survécurent au drame, leur père, Michel Navratil, périt dans le terrible naufrage. Finalement, après avoir retrouvé leur mère, les deux frères rescapés vécurent en France. Alors qu’Edmond, le plus jeune des deux, mourut à l’âge de 43 ans après avoir combattu dans l’armée française durant la Second Guerre mondiale, Michel, lui, fit des études, obtint un doctorat et devint professeur de philosophie. Il mourut finalement le 20 janvier 2001, à l’âge de 92 ans, restant dans l’Histoire comme le dernier survivant masculin du Titanic.
Le canot sur lequel furent évacués les deux frères Navratil Cette histoire est surprenante. Paradoxalement, il s’agit d’une anecdote heureuse qui trouve son origine au sein d’un épisode dramatique. Elle illustre surtout l’horreur du naufrage duTitanic, qui sépara beaucoup de familles et causa la mort de centaines de personnes.
Marrakech, surnommée la Ville rouge, est une ville située dans le sud du Maroc,
dans l'intérieur des terres, au pied des montagnes de l'Atlas. Wikipédia
Il y a deux semaines, je m'envolais 4 jours pour un séjour bien-être à Marrakech.
Cette escapade dans la ville rouge fut topissime. Et parce que vous le
valez bien, j'ai pris tout plein de notes (bonnes adresses shopping,
food, hôtel, visites touristiques...) pour votre prochain séjour
ensoleillé !
* Où loger ???
J'ai séjourné au Kenzi Club Agdal Medina*****, un superbe domaine de 10
hectares à l'ombre d’oliviers centenaire surplombant les montagnes de
l'Atlas qui combine une palette complète d’activités avec le meilleur du
design contemporain signé Imaad Rahmouni.
J'ai eu la chance d'hériter d'une belle suite, très grande avec un grand
salon, belle chambre lumineuse, une grande salle de bain avec douche et
baignoire et une autre salle de toilette...sans oublier les deux très
belles et grandes terrasses.
Dans cet énorme complexe composé de 9 riads, vous n'aurez limite pas
besoin de sortir...il y a tout : Deux énormes piscines extérieures, un
bar, un lounge, deux restaurants (l'un cuisine du monde et l'autre
résolument marocain), un beau spa avec hammam, sauna...de 1500 m2, deux
bars, un espace pour vos bambins...
Et plein d'activités (karaoké, comédies musicales, aquagym, initiation à
ceci et cela...). À noter que l'hôtel ne propose que des formules all inclusive.
Si je peux vous donner un conseil, n'hésitez pas à passer par Thalasseo qui propose des packs séjour
complets à prix très attractifs..
* Où manger ???
Même si j'ai passé tout mon séjour à manger et pas souvent à l'hôtel
(j'y ai trouvé la nourriture fade globalement), il y a deux lieux
totalement différents - découverts grâce à l'une de mes meilleures amies
d'origine marocaine - qui m'ont marquée.
---> Maï Thai : un restaurant asiatique "hype" dans la plus pure
tradition thaïlandaise, situé dans le quartier de l’Hivernage de
Marrakech. La bouffe y est délicieuse, le service rapide et le cadre
cosy à tomber !
---> Chez Bejgueni : Situé rue IBN Aicha, dans le quartier de Gueliz, le
lieu ne paie pas de mine - c'est un fast food façon kebab - (mon amie et
sa maman m'avait prévenue en me disant "mais c'est tellement bon que tu
oublieras le cadre") mais c'est clairement l'une des adresses
incontestables en matière de bouffe à Marrakech.
Connue pour ses fameuses grillades - je me souviendrai encore longtemps
de ses brochettes et ce tajine de fou qui ne coûtent trois fois rien -
vous ne pouvez aller à Marrakech sans passer par ce lieu mythique de la
restauration locale purement marocaine.
* Où faire du shopping
---> Les souks de la Place Jemaa El Fna : On y trouve touuut (bouffe,
fringues, artisanat, cosmétiques et j'en passe...). Si vous n'aimez pas
le monde, passez votre tour !
Vous serez accosté de tous les sens, parfois même tiré (ce n'est pas méchant
hein, juste insistant) par certains rabatteurs car "c'est plus
intéréssant ici". Un conseil, allez-y avec un(e) habitué(e) ou alors un
fin négociateur, si vous n'avez pas envie de payer 10X le prix !
---> Herboristerie de Marrakech : En face du Palais de la Bahia, ce lieu
magique du mythique quartier juif de Marrakech (Bab Mellah) fait parti
de ces lieux qu'on a pas envie de quitter.
Immense, on y trouve des plantes médicinales, des épices, des pigments naturels,
des huiles pures (argan...), des produits cosmétiques (khol...),
parfums naturels.... Les prix sont je dirai "dans la norme"...quand on
est touriste, on a pas toujours le choix hein. J'y ai d'ailleurs même eu
un cours très intéressant sur l'argan.
---> Galerie des Tanneurs : Adresse incontournable - juste à côté du Jardin
de Majorelle - pour les chaussures, sacs et vêtements, ils sont
spécialisés dans le cuir et surtout ils sont très forts dans la copie de
grandes marques (par copie, j'entends reprendre le modèle sans mettre
le nom de la marque à ne pas confondre avec imitation), c'est vraiment
bluffant.
La qualité et la finition des produits est irréprochable pour un prix
défiant toute concurrence (un sac vaut entre 120€ et 180€) ! Perso, je
n'ai pas craqué mais j'ai plusieurs connaissances qui y ont effectué des
achats (tout est personnalisable couleur, type de cuir, détails...
Et vous pouvez même ramener une photo du Balenciaga dont vous rêvez tant,
en 3 jours, il sera reproduit et vous sera envoyé via dhl / On adhére ou
pas) et des années plus tard, sont toujours satisfait de la qualité.
* Les "visites touristiques" à faire absolument !
---> La Place Jemaa El Fna : Célèbre dans le monde entier, cette
place publique située dans la médina est à voir absolument. Le moment
parfait ???
À partir de 17h où la place noire de monde est plus animée que jamais.
Charmeurs de serpents, diseuses de bonne aventure, groupes de musique,
restaurant et cafés sans oublier le fameux souk...font la réputation de
ce lieu hors du commun.
---> Le Jardin de Majorelle of course : depuis que le temps que je rêvais de
découvrir ce lieu magique, voilà qui est fait ! Et croyez moi, il est
aussi magique qu'on ne le dit. Je ne vous en dis pas plus car je vous
réserve un article dédié avec plein de photos...
---> Le Musée Berbère : Ce sublime musée dédié à la culture berbère situé au coeur même du Jardin de Majorelle est à voir
---> Le Palais de la Bahia : palais du 19ème siècle de 8 hectares,
c'est l'un des monuments majeurs du patrimoine culturel du pays. À voir
pour la richesse de son architecture.
---> La Palmeraie : Envie de respirer de l'air frais ?? Baladez vous à la
Palmeraie (en calèche pour les plus romantiques) ! Ce cadre idyllique
(c'est fou comme il y fait bon) à la fois constitué d'une nature
exorbitante et d'un urbanisme ultramoderne (hôtel de luxe, résidences
majestueuses, terrains de golf, piscines privées...) est l'endroit rêvé
pour une bouffée d'oxygène...et une balade en dromadaire (perso, je n'ai
pas osé)...
---> Le quartier des tanneurs / La tannerie (celui ci je ne conseille pas
forcément) : Situé non loin de la porte Bab El Sebbagh, c’est le lieu où
les peaux d’animaux sont travaillées, avec de la chaux et des
excréments d’animaux.
L'odeur y est nauséabonde, tellement nauséabonde qu'on est accueille par des
brins de menthe à garder sous le nez pour ne pas être incommodé par
l’odeur fétide qui y règne.
Une visite guidée de 5 minutes (il faut payer le guide quelques dirhams
à la fin de la visite) qui ne sert à rien à vrai dire dont le but est
seulement de vous amener dans les boutiques qui se trouvent à côté pour
acheter.
À ce qu'il paraît, on déconseille ce lieu aux touristes (je ne l'ai su
qu'à mon retour) car les tanneurs/racoleurs peuvent être agressifs.
Perso, j'avoue que je n'ai pas du tout eu ce souci bien au contraire
mais prenez vos précautions et surtout n'y allez pas seuls. J'étais
accompagnée de mon chauffeur pour ma part
Du simple œuf dur coloré aux plus prestigieux œufs de Fabergé, l’oeuf de
Pâques est resté une tradition dans le monde entier. Si nous pouvions
redire son message au moment de Pâques…. En Italie, de nos jours encore,
on fait bénir les oeufs de Pâques que l’onplace au centre de la table. Les oeufs de Pâques russes
et ukrainiens sont de véritables oeuvres d’art, aux motifs et aux couleurs très
symboliques et géométriques, avec des représentations chrétiennes comme
la croix, le Christ lui-même.
D’année en année, certains seront conservés dans les familles. D’autres, durant
le repas de Pâques, des oeufs souvent peints en rouge, seront frappés
sur l’oeuf de son voisin, à qui se brisera le premier.
En Occident, jusqu’à ces dernières années, dans les campagnes ou les
jardins de la maison en ville, une mystérieuse chasse aux trésors
s’organisait au petit matin de Pâques.
Selon la tradition, en revenant de Rome, les cloches qui se sont tues depuis le jeudi Saint au soir,
y répandaient, oeufs, cloches, cocottes et autres gourmandises.
La coutume d’offrir des œufs ou des lapins en chocolat est d’origine commerciale.
La tradition allemande veut, pour les enfants, que ce soit un lapin blanc
invisible qui les cache. Aux États-Unis et en Alsace, c’est un lièvre ;
en Thuringe, une cigogne ; en Westphalie, un renard ; en Suisse, un coucou.
Ces dernières années, dans bien des familles françaises, se renouent ce
geste de jadis au moment du dessert, le dimanche de Pâques. Sur un
plateau, se trouvent quelques petits vases de fleurs, des oeufs ou des
petits lapins en chocolat.
Les vitrines des pâtissiers les ont présentés à la gourmandise.
A nous de dire aux convives de la fête leur signification pascale.
Vie et renaissance au coeur des hommes. La coutume d’offrir des oeufs décorés, teints ou travaillés,
existait bienavant l’ère chrétienne. Comme le printemps est la saison de l’éclosion
de la nature, l’oeuf, représentant la vie et la renaissance, a été
probablement le premier symbole utilisé lors de rituels qui datent de la
nuit des temps. Au printemps, les Égyptiens et les Perses avaient pour habitude de teindre
des oeufs et de les offrir pour symboliser le renouveau de la vie.
-Dans l’antiquité gauloise, les druides teignaient les oeufs en rouge enl’honneur du soleil.
Dans les rituels païens anglo-saxons, on offrait des oeufs colorés à la
déesse Eostre. – Plusieurs cultures païennes disposaient des oeufs dans
les tombes ou les sépultures pour demander la renaissance de la personnedécédée.
Pour les Juifs, l’oeuf est le symbole de la vie mais aussi de la mort.
La libération du peuple hébreu a coûté la vie à de nombreuses personnes, et
le bonheur n’est jamais absolu pour les eux. A Pessa’h les Juifs
trempent un oeuf dans de l’eau salée en souvenir de toutes les larmes
versées suite à la perte de leur indépendance.
Puisque Pâques, pour les chrétiens, célèbre la résurrection du Christ eut lieu au printemps,
le symbolisme de l’oeuf y a trouvé aussi sa place dans les rites familiaux.
Cette coutume d’offrir des oeufs le matin de Pâques est apparue vers le IV
ème siècle en Europe, et se retrouva en Egypte autour du XI ème siècle,
puis en France, en Alsace, vers le XV ème siècle.
Progressivement cette coutume populaire va aussi s’instaurer dans les cours royales,
mais elle y perdra le véritable symbole qui est le sien. A la
Renaissance, l’oeuf décoré populaire inspira des artistes : après l’oeuf
de poule ordinaire, on en confectionna en verre, en porcelaine, en
bois…
En l’an 1200, sous Edward I en Angleterre, on retrouve, dans la
comptabilité du palais royal, la somme de 18 pences versée pour l’achat
de 450 oeufs qui devaient être peints à la feuille d’or avant d’être
distribués aux membres de la famille royale. Les oeufs recouverts d’or
apportent la richesse à ceux qui les reçoivent. 500 ans plus tard le roi Louis XIV en fait aussi une institution.
D’une part, ses gens devaient lui apporter le plus gros oeuf pondu en son
royaume durant la Semaine Sainte et, lui-même, le jour de Pâques, entouré de grandes corbeilles,
distribuait en personne des oeufs peints à la feuille d’or à ses
courtisans aussi bien qu’à sa valetaille.
La surprise contenue dans l’oeuf est une tradition qui remonte au XVIème
siècle, et certaines sont même passées à l’histoire tant elles étaient
exceptionnelles :
C’est le cas de la statuette de Cupidon renfermée dans un énorme oeuf de
Pâques offert par Louis XV à Madame du Barry, du brûle-parfum trouvé en
1770 par Catherine II ou encore de la minuscule poulette cachée dans un
oeuf précieux conservé à Copenhague dans les collections royales du
château de Rosemborg.
Les oeufs de Fabergé
C’est justement ce dernier objet en or massif qui est à l’origine des
célèbres oeufs impériaux russes que l’on doit à l’imagination de Peter
Carl Fabergé, orfèvre du Tsar. En effet, une princesse danoise – Dagmar –
épousa le Tsar Alexandre III, prenant le nom de Maria Feodorovna, et
décrivit à son mari cet objet qu’elle avait admiré, au château de
Rosemborg à Copenhague.
Elle en fit la description avec un tel enthousiasme et une telle nostalgie
que celui-ci en commanda un tout à fait identique à l’orfèvre de la cour
impériale, Peter Carl Fabergé (1846-1920). On était en 1885 : dès lors,
tous les ans à Pâques, inventa une nouvelle merveille, de plus en
sophistiquée, et l’offrit à sa souveraine. Cette tradition plaisait beaucoup à Nicolas II qui,
couronné en 1896, offraitde splendides exemplaires à sa mère et à son épouse, et on estime
qu’entre 1885 et 1916, pas moins de 56 joyaux sont sortis de l’atelier
magique de Fabergé.
Avec le temps, la fabuleuse collection des Romanov a été dispersée. Une
dizaine de ces oeufs de Fabergé sont au Kremlin, deux autres
appartiennent à la reine Elizabeth II et 12 autres ont été achetés par
Malcom Forbes, éditeur et écrivain américain.
Il arrive que quelques-unes de ces oeuvres exceptionnelles apparaissent
sur le marché international de l’art et atteignent des prix vertigineux :
la dernière vente remonte à 1994, quand Christie’s adjugea le Winter
Egg pour 3,5 millions de livres.
Ces chiffres tout à fait prodigieux se justifient par le fait que ces
objets sont de véritables chefs-d’oeuvre, encore que de petite taille.
Et si nous offrions des simples oeufs en chocolat aux plus pauvres que nous rencontrons …..
Par le père Jacques Fournier
dans la vie de couples !
On a tendance, désormais à utiliser des surnoms pour nos partenaires : doudou, chérie, mon cœur, etc. Il y en a des tonnes qu 'on se balance entre amoureux en longueur de journée. Pour vous montrer l'ampleur de la situation, le site Avenue Romantique a
fait un recensement sur les surnoms les plus utilisés dans un couple. Certains ne sont pas faits pour être prononcés en public. Vous serez surpris car c'est mignon et coquin !
Clic sur la liste pour agrandir.......
Selon une étude, nous savons enfin ce qu’un homme regarde en premier chez une femme, et vice-versa.
Les enquêteurs ont interrogé un échantillon de 1000 hommes et 1000 femmes,
en leur demandant d’établir une hiérarchie dans leurs préférences.
En ce qui concerne 70% des hommes, ce sont les yeux qui attirent en
premier leur attention chez la femme. En seconde position, on retrouve
le sourire, qui peut faire pencher le cœur d’un homme. Suivi ensuite de
la poitrine, des cheveux et du poids.
Pour les femmes, le résultat peut sembler tout aussi étonnant puisque pour
une belle majorité d’entre elles, ce sont les yeux qui attirent, en
premier. Le sourire vient également en seconde position alors que la
taille est la troisième caractéristique qu’une femme regarde chez un
homme. Suivent les cheveux et le style vestimentaire.
Ainsi, lorsqu’un homme rencontre une femme, ou qu’ils se croisent dans la rue, tout se joue dans le regard.
bonjour à tous
Origine de Pâques Pâques est une fête différente selon que l'on soit catholiques, juifs ou athée (c'est-à-dire sans religion).
Pâques, selon la religion chrétienne La fête chrétienne de Pâques est destinée à rappeler le souvenir de la
résurrection de Jésus-Christ. Durant les premiers temps de la
chrétienté, le calendrier utilisé pour fixer la date de Pâques était le
calendrier juif ou babylonien. Les Églises d'orient célébraient Pâques
le dernier jour avant la pleine lune qui suit l'équinoxe de printemps
(14 Nissan) commémorant ainsi la mort de Jésus. La résurrection de Jésus
survint le 16 Nissan, en même temps que Pessah, la Pâques juive. Voilà
tout simplement pourquoi le jour de la résurrection du Christ est appelé Pâques.
Pâque, selon la tradition juive Pâque (sans "s") est une fête juive célébrée le 14ème jour du premier
mois ducalendrier juif. Les ancêtres du peuple juif étaient esclaves des
pharaons d’Égypte. Sous l’influence de Moïse, ils s’organisèrent et
s’enfuirent. Cette libération, appelée l’Exode, est depuis lors célébrée
par les Juifs chaque printemps. Les Juifs ne disent pas pâques mais "Pessah".
Pâques : la fête du printemps et du renouveau.
Si la fête de Pâques a un sens religieux pour les catholiques et les
juifs, Pâques est aussi une fête païenne qui célèbre le printemps et le
renouveau. Il y a très longtemps, probablement à la préhistoire, une
fête avait lieu au moment de la pleine lune du printemps. Tous les
peuples fêtaient, après les longues journées d’hiver, le retour du beau temps.
Depuis près de 3000 ans, ce moment de l’année est devenue la fête de la Pâques.
La tradition de Pâques
La fête de Pâques est célébrée différemment selon les coutumes des pays du monde.
En France et dans la plupart des pays européens, les cloches des églises, véritables
symboles de Pâques ne sonnent pas du Vendredi Saint au Dimanche de
Pâques, car l’histoire raconte qu’elles se rendent à Rome où elles se
chargent d’oeufs. À leur retour, elles survolent les jardins et y dépose
les oeufs… pour le plus grand plaisir des enfants !
Mais dans d'autres pays d'Europe, les messagers de pâques, ne sont pas les cloches : au Tyrol, c’est la poule.
EnSuisse, un coucou. En Allemagne, un lapin blanc. Dans les pays anglo-saxons, un lièvre.
En Italie, le prêtre bénit les oeufs de Pâques. Lors du repas du dimanche de
Pâques, les maîtresses de maison les placent au centre de la table où
tout le monde se réunit. Le repas de fête peut alors commencer !
En Australie, le jour de Pâques, ce ne sont pas les cloches qui apportent les oeufs,
mais le lapin de Pâques ! Il les cache dans le jardin et les enfants
s’amusent à les chercher.
En Bulgarie, un ou deux jours avant Pâques, la coutume veut que les familles chrétiennes
envoient une miche de pain et 10 à 15 oeufs teints en rouge à leurs amis
turcs. Honorés par ces présents, ceux-ci remettent en général un peu de
monnaie au messager qui vient porter ces oeufs.
Pourquoi des oeufs de Pâques ? L’oeuf de Pâques est le symbole de l’éclosion d’une vie nouvelle et de la
fertilité. Donner des oeufs en cadeau à Pâques ou pour célébrer
l’arrivée du printemps, est une tradition installée depuis des centaines
d’années.
Il y a environ 5000 ans, les Perses offraient déjà des oeufs de poules comme cadeaux porte-bonheur pour fêter le printemps !
C'est réellement à partir du XIIIe siècle que les premiers oeufs peints
firent leur apparition en Europe. Ils s'échangeaient à l'occasion de la
fin du Carême, symbolisant ainsi la fin des privations de l'hiver.
On peint et on décore les oeufs de Pâques aux quatre coins de la planète.
La décoration des oeufs est, dans certains pays, considérée comme un art.
Aujourd'hui, les oeufs de Pâques sont en chocolat. Cette tradition est relativement récente.
Les moulages en forme d'oeuf des chocolatiers ont fait leur apparition durant la première moitié du XIXe siècle.
On peint et on décore les oeufs de Pâques aux quatre coins de la planète. La décoration des oeufs est, dans certains pays,
considérée comme un art.
Certaines personnes croient que les oeufs de Pâques ont des pouvoirs magiques. Enterrer les oeufs de Pâques
peints à la main au pied d’une vigne la ferait pousser plus rapidement.
D’autres pensent que si l’oeuf reste enterré pendant cent ans, le jaune
deviendra un diamant ! Incroyable, non ?
Pourquoi un lapin en chocolat ?
Le lapin en chocolat vient d’une vieille tradition populaire qui dit qu’à
Pâques, c’est au tour des lapins de couver les oeufs ! Drôle d’idée non?
En tout cas l’association d'idée lapin, Pâques et chocolat découle de
cette très ancienne croyance populaire.
Et l'île de Pâques dans tout ça ? En Polynésie, sur le continent océanien, il y a un petit bout de terre
qu’on appelle Île de Pâques. Grande de 118 Km², son véritable nom est
Rapa Nui, et elle doit son surnom d’île de Pâques à sa découverte le
jour de Pâques en 1722 par Roggeven. Cette île est constituée d’un
énorme bloc de lave, culminant à 500 mètres par un cratère triangulaire
et est célèbre pour ses gigantesques statues inachevées.
Le premier ministre canadien Justin Trudeau semble avoir conquis bon nombre d'Américains.
Photo Brendan Smialowski, AFP Nathaëlle Morissette La Presse
Il a une gueule de jeune premier. Il est ouvert. Il attire les foules.
Alors que sa lune de miel ne semble pas encore terminée avec les
Canadiens, voilà que le premier ministre Justin Trudeau, à la faveur de
son passage à Washington, semble avoir conquis bon nombre
d'Américains... qui pourraient même être tentés de venir voir le pays de
plus près.
Le Canada, destination prisée par nos voisins du Sud ? Ce qui semblait
impensable il y a six mois à peine pourrait bien devenir réalité. Depuis
2003, le nombre de touristes américains au pays a connu une chute
importante. « Les 15 dernières années ont été horribles », rappelle Paul
Arsenault, titulaire de la Chaire de tourisme Transat ESG-UQAM.
Entre 2003 et 2012, le nombre de voyageurs américains a baissé de 35 % au Canada.
Combinée à une forte augmentation du dollar américain, l'arrivée au pouvoir de
M. Trudeau et son passage remarqué à Washington pourraient changer la
donne, au-delà des relations diplomatiques entre les deux pays, croient
des experts consultés par La Presse.
« Est-ce que le fait qu'on ait un premier ministre cool et jeune peut aider la
cause ? Absolument, répond Frédéric Gonzalo, blogueur et consultant
marketing en e-tourisme, dans un courriel envoyé à La Presse.
Je participe d'ailleurs présentement au sommet Social Media,
Content & Mobile Strategies in Travel à San Francisco, et on ne
cesse de parler de l'importance des millennials, cette génération de
voyageurs de 20-35 ans qui représentera la majorité des revenus
touristiques et hôteliers dès 2017.
Pour cette génération, l'image d'un pays avec un jeune premier ministre et
la parité hommes-femmes au sein du gouvernement, ce n'est pas rien et ça
refait du Canada une destination à (re)découvrir. »
Pour sa part, Paul Arsenault affirme que, si l'effet n'est probablement pas
immédiat, cette nouvelle donne politique va très certainement « changer
la perception ». « Le fait d'avoir une revue de presse plus intéressante
va avoir un effet d'entraînement », dit-il.
Les journaux américains ont consacré plusieurs articles à la visite du
premier ministre Trudeau et de son épouse Sophie Grégoire à la
Maison-Blanche. « Tout ça envoie un très bon message. »
« Avec le taux de change avantageux, tant pour les Européens que pour les
Américains, le Canada redevient une destination à considérer, ajoute
M. Gonzalo. Il reste maintenant à investir en publicité et marketing sur
les marchés principaux. »
Les bienfaits de la mer
Vous aimez partir en vacances au bord de la mer ? Vous avez bien raison ! Non seulement ce type de vacances convient à tous, grands
et petits, mais en plus les bienfaits pour la santé d'un séjour à la mer
sont très appréciables.
L'air du bord de mer a la réputation, bien méritée, d'être bon pour la santé : riche en ions négatifs, il est également chargé en iode. Les ions négatifs agissent sur l'organisme humain en apportant
bien-être et détente. Ils soulagent des maux tels que l'asthme, la
fatigue, la dépression, les migraines...
Quant à l'iode, il est tout simplement indispensable au bon fonctionnement de la glande thyroïdienne. Il joue un rôle important pour la croissance et la maturation du cerveau : d'où l'intérêt d'enmener les bambins à la plage !
Bonne nouvelle pour votre ligne : l'iode favorise naturellement la perte de
poids. Alors, quand vous marchez au bord de la mer, respirez
profondément !
Les bienfaits de l'eau de merBain de mer vivifiantVous êtes peut-être venu(e) à la plage dans l'optique de vous exposer au
soleil et de vous reposer. Cependant, si la lecture de votre magazine
préféré est apte à vous détendre, ce n'est pas le seul moyen de vous
faire du bien. Optez pour le bain de mer ! Naturellement riche en
oligo-éléments et sels minéraux, l'eau de mer vous communiquera ses
bienfaits en franchissant la barrière de l'épiderme. L'eau de mer agit
également sur la cicatrisation et est une alliée des voies
respiratoires. Alors on oublie sa frilosité naturelle et on se baigne dans la mer tous les jours, durant 20 mm environ.
Marchez dans l'eau !
Comprimés toute l'année dans des chaussures serrées, vos pieds ont bien besoin d'être soignés. Le sable et la mer sauront leur apporter un
vrai réconfort. Marcher longuement pieds nus dans le sable est excellent
pour muscler vos pieds et les tonifier. Et pour améliorer la
circulation sanguine et affiner cuisses et jambes, la marche dans l'eau est idéale. Alors rompez les eaux d'une foulée dynamique pour des jambes fuselées
et de jolis pieds ! Idéalement, vous consacrerez une heure par jour à la
marche dans le sable, si possible le matin lorsque le sable n'est pas
trop chaud.
Pour la marche dans l'eau, choisissez le moment qui vous convient, mais
n'oubliez pas de protéger du soleil vos épaules et votre tête. Là
encore, une heure par jour de marche dynamique dans l'eau sera très
bénéfique. Si vous marchez en étant dans l'eau jusqu'à mi-cuisses, vous
pourrez réduire la durée de l'exercice car l'effort fourni sera plus
important.
La mer dans votre assiette !
Saviez-vous qu'il existe des ampoules d'eau de mer vendues en pharmacie
et parapharmacie à consommer en cure ? Sans aller jusque là, vous pouvez
mettre de la mer dans votre assiette en consommant poissons, crustacés
et mollusques marins. Ils contiennent des acides gras qui luttent contre
le mauvais cholestérol, du calcium, des vitamines (B12 et D) et de
l'iode.
Profitez également de votre séjour sur les côtes maritimes pour manger
de la salicorne. Cette plante est diurétique, riche en iode, phosphore,
calcium, silice, zinc, manganèse, vitamines A, C et D. Vous la trouverez
fraiche, à cuisiner comme des haricots verts, sur les étals des
poissonniers, ou encore en bocal, à déguster comme des cornichons. Et
pourquoi ne pas consommer des algues ? Si vous êtes attiré(e) par les
mets exotiques, essayez le nori, une algue noire utilisée dans la
confection des makis japonais. Et puisque l'air marin est réputé pour ouvrir l'appétit, c'est le moment de manger sainement tout en se régalant !
ont considérablement amélioré la vie des fermiers de pays en développement
Une fermière indienne dans son champs via Shutterstock Les agriculteurs du monde entier ont une tâche essentielle à nos sociétés.
Pourtant, au sein de la population, ils sont parmi les moins bien lotis,
leur conditions de travail et leurs revenus se dégradant. Mais en Inde,
un organisme a mis en place une série d’outils qui permettent aux
agriculteurs de mener leur travail à bien. SooCurious vous présente
cette superbe initiative.
Il y a quelques années, Chandrakala Kongala, une agricultrice du village
rural de Bommireddipalli, dans l’Etat d’Inde du Sud de Telangana,
faisait face à un problème dévastateur : d’un seul coup, une averse
imprévue avait ravagé sa récolte d’arachides.
Pour Kongala, l’agriculture représentait un réel moyen de subsistance. Car en vivant
dans une région éloignée avec un accès limité au transport, elle était
inéligible à une entrée sur le marché du travail ordinaire. Et dans sa
situation précaire, de mauvaises récoltes signifiaient assurément
qu’elle n’aurait aucune source de revenu.
Pendant les saisons suivantes, les plantations de Kongala furent florissantes.
Elle cultivait une variété de plantes dont la récolte survenait quelques
fois plus tôt que prévu. Finalement, elle finit par posséder une ferme
d’un hectare produisant des centaines de livres de cultures par récolte.
Si bien que désormais, elle gagne 20 000 à 30 000 roupies par saison
(300 $ à 450 $) – une somme incroyable dans une communauté de fermiers
qui subsistent avec un à deux dollars par jour.
L’ICRISAT forme des agriculteurs
Ce qui a changé, pour Chandrakala ? Certainement des conditions
climatiques un peu plus douces. Mais surtout, l’agricultrice a pu
bénéficier d’un dispositif dont jouissait déjà une grande partie du
reste du monde développé : la carte SIM.
L’idée s’est développée en 2002, lorsque le gouvernement duTelangana a fait
appel à l’ICRISAT, pour International Crops Research Institute for the
Semi-Arid Tropics. L’institution à but non lucratif, qui forme les
agriculteurs des régions sèches pour qu’ils développent des pratiques
agraires préventives, a cherché des collaborateurs locaux
du Telangana et s’est associée au collectif d’entraide des
agricultrices, connu sous le nom d’AMS, pour Adarsha Mahila Samakhya.
Des chercheurs de l’ICRISAT ont rapidement visité des villages des Etats
indiens du Telangana, de Andhra Pradesh et deKarnataka. Ils ont alors
observé des agricultrices de l’AMS afin de mieux comprendre leurs
méthodes et leurs défis. Puis, dans chaque Etat, l’institut a commencé
par la création d’un “Village Knowledge Center”, où les agricultrices
pourraient apprendre comment faire fonctionner des téléphones et
ordinateurs pour extraire l’information agricole à partir de sites web.
L’un des principaux défis de l’expérience fut que les sites agricoles
auxquels se référaient les agricultrices étaient tous en anglais, un
langue souvent inconnue de ces femmes qui étaient également bien souvent
analphabètes. V.V. Sumanth Kumar, scientifique de l’ICRISAT, explique
d’ailleurs que « les niveaux d’alphabétisation des fermiers sont faibles
en Inde ». Pour résoudre ce problème, il explique donc que l’institut
« a décidé de plutôt miser sur les téléphones » et que pour contourner
les problèmes de langue et d’alphabétisation, ils se concentrèrent « sur
les messages vocaux ».
Un Village Knowledge Center de l’ICRISAT
Fut alors élaborée la GreenSIM. Conçu pour optimiser la prospérité agricole
dans les pays en développement, le dispositif tire parti des fonctions
de base d’une carte SIM pour transmettre des messages vocaux gratuits
aux agriculteurs, offrant des mises à jour relatives à la culture et à
la vente des récoltes.
Ainsi, pour animer le produit, l’ICRISAT équipa environ 7000 fermiers avec des téléphones
munis de GreenSIM activées. L’institut a ensuite rédigé des messages sur
la météo, la fertilité des sols, les problèmes de nuisibles et les prix
des récoltes, le tout grâce aux rapports du Département
météorologiqueindien et aux données recueillies dans les villages
duTelangana. Les messages, envoyés cinq fois par jour sous forme
d’appels, permettent d’informer les agriculteurs sur ce qu’ils ont
besoin de savoir pour mener à bien leur activité.
Au fur et à mesure de la mise en place du dispositif, l’ICRISATen a
amélioré le fonctionnement. Par exemple, l’institut s’est rendu compte
que les fermiers accordaient plus d’importance aux messages s’ils les
entendaient de la bouche de leurs pairs. Ainsi, le corps des messages
est désormais traduit dans les langues locales des agriculteurs.
Après le succès de la GreenSIM, l’ICRISAT a développé leGreenPhablet, un
appareil hybride entre tablette et téléphone, équipé d’une GreenSIM.
Particulièrement résistant, le dispositif est surtout censé remplacer le
Knowledge Center Village en inculquant les bons réflexes aux agriculteurs.
Face à ces nouveaux outils, l’ICRISAT a constaté une « excitation au sein de
la communauté des fermiers », ceux-ci étant jusqu’alors soumis aux
caprices de la nature. Ainsi, un rapport datant de 2012 du National
Crime Reports Bureau, leMaharashtra, l’Andhra Pradesh et le Karnataka,
Etats dont la population est massivement agricultrice, rassemblaient
32 % des suicides commis en Inde, les fermiers étant bien souvent
acculés par les dettes à cause d’une nature difficile et de récoltes en
berne.
Désormais, l’ICRISAT travaille avec d’autres organismes à but non lucratif dans des pays en
développement d’Asie ou d’Afrique. Ceux-ci se sont d’ailleurs aussi
approprié les outils mis en place par l’institut, qui cherche à établir
des partenariats dans les domaines de la finance, de la santé et de
l’éducation.
L’ICRISAT se développe en Afrique
Le travail réalisé par l’ICRISAT et ses partenaires locaux est réellement
encourageant puisqu’il vient en aide aux populations les moins
avantagées de pays en développement
Pas besoin d'attendre Noël pour fabriquer et suspendre des couronnes décoratives sur sa porte ou dans la maison!
Et NON, les couronnes ne sont pas réservées aux enterrements!
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Au coeur du drame du Titanic, qui a coulé au début du XXe siècle, se
trouve une histoire incroyable. Celle de deux frères réchappés du
naufrage, sans parents, et dont on a longtemps ignoré les origines.
SooCurious vous raconte cette aventure surprenante.
Le 10 avril 1912, le Titanic s’élançait depuis Southampton, enAngleterre,
pour sa traversée inaugurale. Avec lui, le paquebot emmenait 1842
passagers et les espoirs technologiques de toute une génération. Annoncé
insubmersible, il finirait par heurter un iceberg le 14 avril à 23h40.
Le Titanic au départ de Southampton
Sur les 710 survivants de la catastrophe, 2 frères furent
retrouvés, Michel et Edmond, l’un de 4 ans et l’autre de 2 ans. Mais
dans un premier temps, personne ne sut dire d’où ils venaient,
puisqu’ils réchappèrent du Titanic sans aucun parent ni tuteur.
Une fois arrivés à New York, les deux enfants furent confiés à une autre
survivante du naufrage, Margaret Hays. Mais l’histoire ne s’arrête pas
là, et connait même une fin heureuse puisque quelques mois après la
catastrophe du Titanic, une habitante de Nice, dans le sud de la France,
crut identifier ses deux fils disparus.
Michel et Edmond Navratil
Marcelle Carretto reconnut ses deux fils, Michel et son jeune frère Edmond, sur
la photo d’un article de journal. Elle contacta alors les autorités
américaines qui tentèrent d’avérer les liens de filiation de la femme
avec ses enfants. Une fois cela fait, les deux frères furent rendus à
leur mère et l’histoire des « Titanic Twins », comme la presse
anglophone les avait nommés, devint plus claire.
En 1907, Marcelle Carretto avait épousé Michel Navratil, un tailleur
d’origine slovaque. De leur union, naquirent Michel etEdmond, les deux
seuls enfants du couple. Mais en 1912,Marcelle et son époux entreprirent
de divorcer et à la suite d’une décision de justice, les deux jeunes
frères furent confiés à leur mère.
Désireux de les garder auprès de lui, Michel Navratil kidnappa ses enfants pour
les emmener aux Etats-Unis et y recommencer une nouvelle vie. Malheureux
dans son entreprise, le père d’Edmond et Michel choisit
le Titanic comme moyen de fuite. Surtout, afin de passer inaperçu sur le
paquebot, l’homme se fit passer pour Louis B. Hoffman, un ami dont il
avait emprunté le passeport. Ses deux fils, eux, prirent les pseudonymes
de « Lolo » et « Momon ». Et si les deux frères survécurent au drame,
leur père, Michel Navratil, périt dans le terrible naufrage.
Finalement, après avoir retrouvé leur mère, les deux frères rescapés vécurent
en France. Alors qu’Edmond, le plus jeune des deux, mourut à l’âge de 43
ans après avoir combattu dans l’armée française durant la Second Guerre
mondiale, Michel, lui, fit des études, obtint un doctorat et devint
professeur de philosophie. Il mourut finalement le 20 janvier 2001, à
l’âge de 92 ans, restant dans l’Histoire comme le dernier survivant
masculin du Titanic.
Le canot sur lequel furent évacués les deux frères Navratil
Cette histoire est surprenante. Paradoxalement, il s’agit d’une anecdote
heureuse qui trouve son origine au sein d’un épisode dramatique. Elle
illustre surtout l’horreur du naufrage duTitanic, qui sépara beaucoup de
familles et causa la mort de centaines de personnes.