Originaire de Corée, le chrysanthème est une plante annuelle ou vivace selon les espèces, appartenant à la famille des Asteracées. Son nom vient du mot grec « chrystos » et signifie « fleur d’or ». Symbole fort de la famille impériale au pays du soleil levant, il est chez nous communément associé à la période de la Toussaint, au point d’être quelque peu boudé dans nos jardins.
Ses caractéristiques Le chrysanthème nous offre une floraison abondante et durable de juin jusqu’aux premières gelées, selon les espèces. On peut le croiser sous de nombreuses formes : à capitules simples ou doubles, à fleurs alvéolées et dans des coloris très variés. C’est habituellement le chrysanthème d’automne qui fleurit les cimetières au début du mois de novembre. Mais pensez aux autres variétés qui illumineront à merveille votre jardin ou votre balcon durant l’hiver avec leurs incroyables pompons de couleurs ! Car le chrysanthème offre d’innombrables variétés, aux aspects très différents les unes des autres.
Un brin d’histoireLe chrysanthème est introduit en France au XVIIIe siècle et rencontre un succès immédiat. Surnommé « la fleur d’or », il est alors le symbole de l’honneur et de l’empire au Japon, tandis que les Européens du Nord en font un atout indispensable des cérémonies de mariage. Dans cet élan de positivité et de prospérité, les botanistes vont créer, au fil des décennies, des centaines d’hybrides. Jusqu’au début du XXe siècle, où le destin du chrysanthème, influencé par les tourments de l’Histoire, bascule. Automne 1918. A la fin de la Première Guerre mondiale, la France se relève du plus grand conflit qu’elle n’ait jamais connu et doit rendre hommage à des milliers de victimes. Un deuil qui s’exprime traditionnellement par les fleurs, bien que l’hiver approche. Ironie du sort ou loi de la nature, c’est le chrysanthème qui est choisi, grâce à sa floraison généreuse à cette époque de l’année. Désormais, « la fleur d’or » sera communément associée à la mémoire des disparus et viendra fleurir, au début du mois de novembre, les tombes de la Toussaint.
Offrir un chrysanthème est le témoignage d’un amour sincère et constant.
Le mot de la fleur Dans le langage des fleurs, offrir un chrysanthème est le témoignage d’un amour sincère et constant. Une symbolique ultra positive que l’on retrouve dans la plupart des pays du monde, du Japon à l’Australie en passant par les Etats-Unis. En France comme dans certains pays d’Europe, en revanche, sa connotation mortuaire ternit quelque peu ce message enjoué, même si elle n’ôte rien à son intensité.
Elle savait que sa belle-mère était en train de transformer ses enfants en de petits morveux trop gâtés. Mais elle ne s'attendait pas à cela, après qu'elle soit décédée. Une mère de trois enfants a pris du recul sur sa vie, lors du décès de sa belle-mère. Elle témoigne de ce qu’elle pensait d’elle au début, et à quel point elle s’était trompée sur son compte.
Cette lettre posthume qu’elle lui a écrite vous fera verser quelques larmes… Tu m’as toujours coupé l’herbe sous le pied. Tu leur donnais tout ce qu’ils voulaient. Tu ne leur disais jamais non, quoi qu’ils demandaient. Une seconde assiette de dessert. Des sucreries avant le dîner. Quelques minutes de plus dans le bain. De l’argent pour aller acheter des glaces. J’ai beaucoup lutté pour parvenir à exprimer du respect et de la gratitude à ton égard, tout en m’assurant que tu ne gâtes pas mes enfants. Je pensais que tu les transformerais en gamins pourris gâtés égoïstes, en leur donnant tout ce qu’ils demandaient. Je pensais qu’ils n’apprendraient jamais à attendre, à prêter, à partager… parce que tu leur accordais tous leurs désirs, dès l’instant où ils ouvraient la bouche et pointaient quelque chose du doigt. Tu berçais chacun de mes bébés dans tes bras, longtemps après qu’ils se soient endormis. Ne comprenais-tu pas que je voulais qu’ils apprennent à s’endormir tous seuls, comme des grands ? Tu accourais en panique, aussitôt que tu les entendais faire le moindre bruit qui s’apparenterait à un gémissement. Comment voulais-tu qu’ils apprennent à se calmer seuls ? Je t’en voulais, parce que tu leur achetais les meilleurs cadeaux, et les plus chers, pour leurs anniversaires ou pour Noël. Comment pouvais-je rivaliser avec toi ? Que croyais-tu que mes enfants pensent lorsque les meilleurs cadeaux, ceux qu’ils ont vraiment hâte d’ouvrir, ne viennent pas de leurs propres parents ? Et comme ils aimaient les après-midis passés avec toi... Tu préparais leurs repas préférés pour le dîner — trois plats différents pour trois petits garçons différents. Et tu avais toujours une petite surprise ! Un cadeau, des bonbons, une petite attention spéciale… Je ne voulais pas qu’ils t’associent avec les cadeaux et les sucreries. Je pensais qu’ils devaient t’aimer pour ce que tu étais, pas pour ce que tu leur offrais. J’ai essayé de te le dire, mais tu ne voulais pas m’écouter. Tu continuais à les gâter de toutes les manières possibles et imaginables… J’ai passé beaucoup de temps à me demander pourquoi tu faisais tout cela, et sur ce que je pouvais faire pour que tu calmes un peu le jeu. Je sais bien que les grands-mères sont censées « gâter les enfants » avant de les renvoyer chez eux des bonbons plein les poches, mais avec toi cela allait trop loin. Vraiment, je trouvais… que tu exagérais. Puis, tu es partie. J’ai dû serrer mes garçons contre moi, et leur dire que leur grand-mère était morte. Cela ne semblait pas possible — tu étais censée être là pour tous les autres moments spéciaux de leurs vies : le Bac, leur remise de diplôme, leurs mariages… Mais ils ont perdu leur grand-mère trop vite et trop brusquement. Ils n’étaient pas prêts à te dire au revoir. Pendant toutes ces années où j’ai souhaité ardemment que tu arrêtes de les gâter, je n’ai jamais réfléchi à quel point tu les aimais. Tu les aimais tant, que tu le montrais de toutes les manières possibles. Dans ta cuisine. Dans tes cadeaux. Dans les bonbons et les gâteaux. Dans ta seule présence, aussi. Ton amour pour eux ne connaissait pas de limites. Ton cœur débordait d’amour de toutes parts — de ta cuisine, de ton sac, de tes mots et de tes bras-câlins infatigables. Je sais que c’est inutile de sombrer dans les regrets, dans le remords… mais je repense souvent à tout cela, et je suis sidérée de voir à quel point j’avais tout faux. J’avais tout faux dans la manière même dont je percevais ta générosité. Mes enfants, maintenant adolescents, t’aiment de tout leur cœur et tu leur manques profondément. Et ce ne sont pas des cadeaux, ni ton argent qui leur manque. C’est toi. Ce qui leur manque, c’est de courir à la porte pour t’accueillir et te sauter dessus, avant même que tu ne parviennes à poser un pied à l’intérieur. Ce qui leur manque, c’est de regarder dans les gradins du terrain de foot et te voir toi, l’une de leurs plus grandes fans, leur faire un énorme sourire et leur faire des grands signes de la main. Ce qui leur manque, c’est de te parler et d’écouter tes paroles empreintes de sagesse, d’encouragements et d’amour. Si je pouvais te parler une fois encore, je te dirais qu’à chaque fois qu’un moment précieux fait s’emballer mon cœur, chaque fois que je les vois arriver à un nouveau point dans leur vie, et chaque fois qu’ils m’étonnent avec leur persévérance, leurs talents ou leurs réussites, je pense à toi. Et je souhaite qu’ils puissent t’avoir auprès d’eux. Reviens, et aime-les une dernière fois, comme personne d’autre au monde à part une grand-mère ne le pourrait. Amène tes friandises et tes surprises. Récompense-les avec d’incroyables cadeaux pour les plus petites occasions. Prépare tous leurs plats favoris avec minutie, pendant des heures. Amène-les dans tous les endroits où ils veulent aller. Et tout cela, simplement parce que tu les aimes. Oh, comme j’aimerais, de tout mon cœur, que tu puisses revenir. Viens t’asseoir pendant des heures interminables sur les gradins, avec moi. Reviens, et regarde son regard déterminé, ses efforts sans réserve, ses petits rituels anxieux. Toi comme moi, je sais que nous pourrions étudier le visage de mon fils, et savoir instantanément s’il est confiant, intimidé, s’il a simplement soif ou s’il s’ennuie. Reviens, et viens l’écouter jouer du saxophone, et tu observeras son visage en silence avec moi. Nous savons toutes les deux quelles sont ses musiques préférées, simplement en regardant ses yeux tandis qu’il joue. Regarde-le avec moi, tandis qu’il s’assoit sur sa chaise, qu’il regarde timidement le public et qu’il soupire de soulagement à la fin de chaque musique. Reviens, et écoute sa voix de basse tandis qu’il chante dans la chorale du lycée. Avec délices, c’est ainsi qu’il chante, de tout son cœur et de toute son âme. Ses yeux verts s’enflamment avec passion, et se ferment à demi lorsqu’il chante certaines notes. Je pourrais jeter un coup d’œil discret vers toi, et savoir que personne au monde ne l’adore autant que toi ou moi. Reviens, et regarde-le dans sa blouse d’étudiant alors qu’il reçoit son diplôme. Regarde le vent souffler dans ses cheveux et éloigner sa mèche de son visage, tu seras frappée tout comme moi d’admiration alors que nous entrapercevons cet homme qu’il est en train de devenir. Reste avec moi tandis que nous nous interrogeons, sans échanger un seul mot, sur ces années qui semblent filer beaucoup trop vite. Et, plus je te supplie de revenir, plus je comprends que, dans un sens, tu n’es jamais vraiment partie. Je comprends, désormais. Je sais que tu les as aimés de toutes les manières possibles. Je sais qu’être leur grand-mère t’a apporté du bonheur et une nouvelle raison de vivre. Et bien sûr, je sais que tu ne peux pas revenir, mais je sais aussi que ton amour pour eux demeurera toujours. Ton amour les a construits, les a protégés d’une manière qui ne peut être décrite par les mots. Ton amour représente une partie énorme de ce qu’ils sont à présent, et de ce qu’ils deviendront plus tard, lorsqu’ils grandiront. Pour cela, et pour chaque cadeau, et pour chaque friandise, et pour chaque fois que tu les as tenus un peu trop longtemps dans tes bras, et pour chaque fois que tu les as un peu trop consolés, et pour chaque fois que tu les as laissés se coucher un peu trop tard… Je te remercie éternellement. Et je souhaite de toute mon âme que tu puisses refaire tout cela encore, et encore. Tourmentée par la peine et éprise d’amour, elle a écrit ces quelques mots sublimes à sa belle-mère. Si nous avions l’opportunité de passer, ne serait-ce qu’une seule journée de plus, en compagnie des êtres chers que nous avons perdus, que leur dirions-nous ? Si la peur, le rejet et les petites disputes futiles du quotidien étaient écartés de cette équation, que nous resterait-il à dire à ceux qui sont encore auprès de nous ? Si vous aussi vous avez trouvé que cette lettre est un magnifique témoignage d’amour et d’honnêteté, n’oubliez pas de la partager.
36 affiches de campagnes de prévention qui ont marqué les esprits. La 5 est dingue ! La pub peut parfois se montrer créative. Et capable de soulever des consciences.
Références culturelles mondiales, "mots et phrases chocs", trompes l’œil, jeux de mots, thèmes phares du 21ème siècle... tout est bon pour nous faire réagir !
Voici une compilation des campagnes publicitaires les plus incisives du moment :
1. A destination des personnes handicapées, incapables de monter les escaliers : "Pour certains, ces marches, c'est comme gravir le Mont Everest". 2. "Des milliers de gens doivent leurs vies aux donneurs d'organes" 3. Cause animale : "Stop aux mauvais traitements !" 4. En référence aux arbres, "poumons" de la Terre : "Avant qu'il ne soit trop tard." 5. La pub de WWF choc qui a tant fait parler par le passé : "Le tsunami a tué 100 fois plus de personnes que le 11 septembre." 6. "Ne lui parlez pas pendant qu'elle conduit." 7. "Tend une main à la Nature." 8. "Est-ce que c'est le cahier de dessin de ton enfant...? Stop aux mauvais traitements envers les enfants. Maintenant."
9. "Faire des Likes n'aide pas. Être volontaire peut changer une vie."
10. "On récolte ce que l'on sème." 11. "Ne coupez pas un rêve." RIP Père Noël
12. Il ne lui reste qu'un bras, elle réclame la limitation de vitesse. 13. "La Terre a chaud"
14. "Plus les enfants autistes évoluent longtemps sans aide, plus difficilement ils restent "à portée".
15. "La pollution de l'air tue 60 000 personnes par an."
16. "Sur internet, il y a des choses qui ne sont pas ce qu'elles semblent être."
17. "Stoppez la maltraitance."
18. "Les animaux ne sont pas des clowns."
19. "Si vous ne les aidez pas à téter, qui le fera?"
20. "Toutes les 60 secondes, une espèce disparaît."
21. "Les victimes sont des gens comme vous et moi."
22. "Les ouvriers ne sont pas des outils."
23. "La censure ne dit pas toute la vérité." 24. Stop aux SMS au volant... "Je serai là dans une... chaise roulante." 25. "Un "click" de ceinture peut changer votre futur. Attachez-vous."
26. "Il a les yeux de sa mère". 27. "Ignorons-nous. Ignorons les droits de l'Homme."
28. "Le siège arrière n'est pas plus sécurisé. Attachez-vous." 29. Sensibilisation aux formations de Premiers Soins : "Aidez avant que ce ne soit trop tard".
30. "Certaines choses restent ancrées pour toujours..."
31. "Les balles laissent de plus gros trous que vous ne pensez..."
32. "Ca ne se déroule pas ici, ça se passe en ce moment". 33. "Les sacs plastiques tuent."
La manière dont vous faites des câlins révèle certains petits secrets sur votre relation....
Pour ma part, c'est vraiment tout à fait ça ! Nous savons que le langage corporel révèle énormément de choses sur les intentions et la personnalité véritable d'un individu. Cela prend encore plus d'importance, quand on sait que 93% de la communication entre les individus est non-verbale ! Ainsi, le ton de notre voix, mais aussi nos gestes et la manière dont nous nous positionnons ont en fait beaucoup plus de sens que le sens même des mots que nous prononçons.
On sait que la manière dont on marche, le sens de notre regard lorsqu'on parle, et même la position que l'on adopte lorsqu'on dort signifie énormément de choses sur notre personnalité — d'autant plus que tout cela se fait au niveau inconscient.
Mais que se passe-t-il lorsque deux personnalités entrent en collision et se rapprochent — dans un câlin ou une étreinte, par exemple ?
Parce que le contact physique est d'une importance capitale au sein des rapports humains, et plus encore dans les relations de couple, ce n'est pas vraiment surprenant qu'il y ait tant de manières différentes de se faire un câlin. Et les positions que vous adoptez révèle énormément de choses sur vous !
En fait, si vous analysez attentivement la façon dont vous embrassez les autres à travers ce spectre, vous serez étonné de voir à quel point cette analyse peut se montrer précise.
1. Le protecteur Le câlin protecteur est un câlin qui puise toute sa force dans le grand sentiment de sécurité qu’il procure à celui ou celle qui le reçoit. La personne située à l’arrière entoure ses bras autour de la taille de l’autre, ce qui procure une sensation de chaleur et de stabilité. Cette position est la preuve d’une grande confiance réciproque au sein du couple, et il démontre que prendre soin l’un de l’autre est d’une importance capitale pour votre couple. « En couvrant votre dos, il vous fait passer le message qu’il cherche à vous protéger du danger, » écrit Patti Wood, expert en body langage et auteur du best-seller.
2. Le dos frotté C’est un câlin qui cherche avant tout à rassurer. Chaque personne frotte le dos de l’autre personne du plat de la main, comme pour lui rappeler à quel point il ou elle a de l’importance à ses yeux. Cette position traduit un grand sens d’ouverture, de vulnérabilité et de confiance l’un envers l’autre. « Le dos est la partie la plus vulnérable du corps, c’est le point aveugle, que l’on ne voit pas, et c’est aussi par là que l’on peut être attaqué par surprise. Comme on ne peut pas voir son dos, être touché à cet endroit procure une sensation particulière. Frotter le dos est votre façon de procurer du réconfort à votre partenaire de câlin.
3. La tape dans le dos Lorsqu’on tapote le dos ou l’omoplate d’une autre personne, on lui communique un fort sentiment d’amitié et de camaraderie. Chaque personne peut ainsi offrir à l’autre un sentiment de réconfort émotionnel, d’approbation et de validation sociale. Il n’y a pas vraiment de sentiment d’intimité dans ce type de câlin. Cette position ne traduit pas de proximité amoureuse. Si vous faites cela fréquemment au sein d’un couple, cela peut vouloir dire deux choses : si vous faites cela en parallèle avec d’autres types de câlins plus intimes, vous envisagez votre relation de couple comme celle de deux meilleurs amis, en plus d’être des amants, ce qui est très positif. Par contre, si vous ne faites « que » ce type de câlin, cela signifie que vous continuez à vous apprécier, mais que votre relation ne grandit pas et qu’elle a tendance à régresser au niveau de la passion et de l’amour. Et si vous n’êtes pas encore en couple et que vous avez des ambitions avec une personne qui vous embrasse ainsi, désolé mais c’est plutôt mal parti ! « C’est de cette manière que les hommes donnent l’accolade à leurs potes », explique le docteur Christopher Blazina. « Si un homme vous embrasse de cette manière, cela signifie qu’il veut que la relation entre vous reste au stade d’amis. »
4. Le slow Lorsqu’on s’embrasse de cette manière, comme si on dansait le slow, cela crée un puissant lien de tendresse entre les deux partenaires. Cela traduit le romantisme et la passion douce, à leur état le plus pur ! L’un des partenaires entoure ses bras autour de la taille de l’autre, tandis que l’autre personne accroche ses bras autour de son cou … Ce type de câlin est typique des jeunes amours, de la passion des débuts. Cependant, si vous embrassez toujours votre partenaire de cette façon des années après le début de votre relation, cela signifie que la flamme du début est encore bien présente en vous et que vous vous aimez comme au premier jour !
5. L’accolade L’accolade est typique de deux personnes qui sont vraiment complices, et qui aspirent à faire tout et n’importe quoi ensemble et à se soutenir dans toutes leurs entreprises. C’est une sorte de demi-câlin, avec un seul bras passé au-dessus de l’épaule de l’autre. Ce câlin et sa position de côté démontrent que ces deux personnes préfèrent être liées par une relation côte à côte, soit d’égal à égal, que d’être connectées sexuellement ou romantiquement. Pour autant, la proximité du contact traduit aussi une forte connexion mentale et émotionnelle.
6. La clé de bras Dans ce câlin, vous vous serrez tellement fort que vous avez presque du mal à respirer, dans une étreinte qui frôle une certaine peur de laisser l’autre partir. Les deux personnes entremêlent leurs corps aussi serrés qu’il est physiquement possible de le faire, en se pressant d’une telle manière que rien ou presque ne les sépare. Cette position traduit un profond attachement l’un envers l’autre, ainsi qu’une certaine crainte d’être séparés. En s’étreignant de cette façon, vous avez peur que le simple fait de lâcher l’autre personne ne puisse signifier qu’elle s’en ira. Vous préférez rester avec elle et profiter des moindres instants ensemble.
7. Le câlin volant Le câlin volant évoque de manière puissante la passion brûlante et le désir sexuel. L’un des partenaires chevauche l’autre, soit en étant assis sur une table ou en suspension complète, porté par les bras de l’autre. Que vous ayez ou non une connexion plus profonde sur le plan émotionnel, cela exprime avant tout un lien étroit sur le plan charnel et physique. Cette position signifie que vous avez constamment envie l’un de l’autre au niveau sexuel. Ce type d’étreinte a souvent cours lors des relations non-durables, purement passionnées et physiques. Cependant, si vous faites ce type de câlin dans une relation amoureuse construite et stable, cela signifie que malgré la stabilité de votre amour, vous continuez à vous désirer ardemment sur le plan sexuel, comme d’éternels amants d’un soir !
8. Le pont Ce câlin probablement peu forcé cherche à mettre le plus de distance possible entre les deux personnes, tout en feignant l’affection. Chaque personne ne penche que la partie haute de son corps, tout en gardant la partie basse du corps très éloignée de manière instinctive. Cette position démontre un grand niveau de désaccord ou d’inconfort entre les deux personnes. Avec un tel câlin, vos corps déclarent que ni l’un, ni l’autre ne veut véritablement être proche de cette autre personne. Il faut croire que tout le monde ne peut pas être ami…
9. Les yeux dans les yeux Ce câlin, les yeux plongés dans le regard de l’autre, exprime avant tout la profondeur de la connexion de vos âmes et de vos esprits. Quelle que soit la forme que ce câlin pourrait prendre, et quoi que vous fassiez avec le reste de votre corps, cela n’a finalement que peu d’importance : ce qui importe ici, c’est que vous soutenez le regard de l’autre et que vous gardez une grande proximité entre vos deux visages. Cette position traduit un amour véritable et profond, ainsi qu’une forte appréciation mutuelle et une affection puissante pour ce qu’est l’autre en profondeur, bien au-delà de ses aspects purement physiques. Dans cette relation, vous êtes tous deux capables de voir à travers l’autre et de percevoir les tréfonds de son âme. Votre lien est extrêmement puissant, et certainement inébranlable !
10. La poupée de chiffon Voilà un câlin qui est typique d’une relation qui ne semble aller que dans un seul sens… L’une des personnes serre l’autre dans ses bras aussi étroitement que possible, tandis que l’autre personne reste simplement là les bras ballants, légèrement mal à l’aise, un peu comme une poupée de chiffon. Cette position témoigne d’un profond déséquilibre au niveau de vos sentiments l’un pour l’autre. Que votre relation soit celle d’un couple ou d’une amitié, les sentiments ne sont visiblement pas tout à fait réciproques… en tout cas quant au niveau de leur intensité. Parfois, il vaut mieux laisser tomber que de vouloir à tout prix forcer le cours des choses…
11. Le câlin-pickpocket Le câlin-pickpocket est une position qui témoigne d’un grand sentiment de confort, de bien-être. Les deux individus sont parfaitement à l’aise l’un avec l’autre, et n’ont aucune barrière entre eux. Dans ce câlin, au moins une des deux personnes a placé ses mains dans les poches de l’autre. Cette position montre à quel point votre relation est détendue, confortable et paisible. Vous semblez en parfaite adéquation, la confiance entre vous est absolue et vous ne devriez pas avoir trop d’efforts à faire pour faire perdurer votre amour ! Ce n’est que lorsque vous êtes parfaitement en confiance avec l’autre que vous le laissez glisser ses mains dans vos poches, cet endroit que vous avez tendance à protéger d’habitude. Lorsqu’un tel sentiment de confiance règne entre deux personnes, vous savez instantanément qu’ils forment un magnifique couple !
Le pouce est ce gras cabaretier flamand, d'humeur goguenarde et grivoise, qui fume sur sa porte, à l'enseigne de la double bière de mars.
L'index est sa femme, virago sèche comme une merluche, qui dès le matin soufflette sa servante dont elle est jalouse, et caresse la bouteille dont elle est amoureuse.
Le doigt du milieu est leur fils, compagnon dégrossi à la hache, qui serait soldat s'il n'était brasseur, et qui serait cheval s'il n'était homme.
Le doigt de l'anneau est leur fille, leste et agaçante Zerbine qui vend des dentelles aux dames et ne vend pas ses sourires aux cavaliers.
Et le doigt de l'oreille est le Benjamin de la famille, marmot pleureur, qui toujours se trimballa à la ceinture de sa mère comme un petit enfant pendu au croc d'une ogresse.
Les cinq doigts de la main sont la plus mirobolante giroflée à cinq feuilles qui ait jamais brodé les parterres de la noble cité de Harlem.
Aloysius Bertrand (1807-1841) est le poète d'une seule oeuvre, qu'il ne vit jamais publiée: Gaspard de la Nuit. Depuis, ce recueil de poèmes baroques et précieux a connu une relative notoriété, grâce en particulier à Maurice Ravel qui y trouva inspiration, ainsi que par l'admiration que lui vouèrent Baudelaireet Max Jacob, qui voyaient en lui la source de la poésie en prose.
L'auteur de "Gaspard de la Nuit" est mort de la tuberculose dans le dénuement le plus total, et doit sa première publication (posthume) à son ami le sculpteur David d'Anger
Merci Cynthia pour ce sujet.Tout ce qui touche à la mer me va.
Voici "Les Héaux de Bréat'trés proche de chez moi.Vous porrez voir "Le Sillon du Talberg"site remarquable de Bretagne.Kénavo. Dure la vie d'une femme de marin!
S’il en était encore besoin, les phares montreraient qu’en architecture, le « rond » est une option parmi d’autres et donc plutôt un choix esthétique que technique. Il y a des phares « carrés », d’autres à facettes, mais je n’ai retenu que les ronds, bien sûr ! Ça fait toujours rêver, les phares, même s’ils ne sont plus habités, même si le GPS les rends peut-être moins utiles. Ils veillent sur l’horizon, ils sont nos moaïs. Concernant ces publicités
UN SACRE CHANTIER A L'EPOQUE
Marcher sur l’eau :
Des trottoirs qui bougent :
Déplacer des maisons par train :
Cinéma à distance :
Machines volantes personnelles :
Machine à contrôler le temps :
Train-bateau :
Sous marins pour touristes :
Des toits pour les villes :
Encore des machines volantes personnelles :
Vacances d’été au pôle nord :
Surveillance policière grâce aux rayons X :
Artiste : Graham Muir
Des sculptures de verre qui ressemblent à des vagues figées au moment où elles sont sur le point de se briser.
Originaire de Corée, le chrysanthème est une plante annuelle ou vivace selon les
espèces, appartenant à la famille des Asteracées. Son nom vient du mot
grec « chrystos » et signifie « fleur d’or ». Symbole fort de la famille
impériale au pays du soleil levant, il est chez nous communément
associé à la période de la Toussaint, au point d’être quelque peu boudé dans nos jardins.
Découvrir notre sélection de chrysanthèmes
Ses caractéristiques
Le chrysanthème nous offre une floraison abondante et durable de juin jusqu’aux premières gelées, selon les espèces. On peut le croiser sous
de nombreuses formes : à capitules simples ou doubles, à fleurs
alvéolées et dans des coloris très variés.
C’est habituellement le chrysanthème d’automne qui fleurit les
cimetières au début du mois de novembre. Mais pensez aux autres variétés
qui illumineront à merveille votre jardin ou votre balcon durant
l’hiver avec leurs incroyables pompons de couleurs ! Car le chrysanthème
offre d’innombrables variétés, aux aspects très différents les unes des
autres.
Un brin d’histoireLe chrysanthème est introduit en France au XVIIIe siècle et rencontre un succès immédiat. Surnommé « la fleur d’or », il est alors le symbole
de l’honneur et de l’empire au Japon, tandis que les Européens du Nord
en font un atout indispensable des cérémonies de mariage. Dans cet élan
de positivité et de prospérité, les botanistes vont créer, au fil des
décennies, des centaines d’hybrides. Jusqu’au début du XXe siècle, où le
destin du chrysanthème, influencé par les tourments de l’Histoire,
bascule.
Automne 1918. A la fin de la Première Guerre mondiale, la France se relève du plus grand conflit qu’elle n’ait jamais connu et doit rendre
hommage à des milliers de victimes. Un deuil qui s’exprime
traditionnellement par les fleurs, bien que l’hiver approche.
Ironie du sort ou loi de la nature, c’est le chrysanthème qui est choisi, grâce à sa floraison généreuse à cette époque de l’année.
Désormais, « la fleur d’or » sera communément associée à la mémoire des
disparus et viendra fleurir, au début du mois de novembre, les tombes de
la Toussaint.
Le mot de la fleur
Dans le langage des fleurs, offrir un chrysanthème est le témoignage d’un amour sincère et
constant. Une symbolique ultra positive que l’on retrouve dans la
plupart des pays du monde, du Japon à l’Australie en passant par les
Etats-Unis. En France comme dans certains pays d’Europe, en revanche, sa
connotation mortuaire ternit quelque peu ce message enjoué, même si
elle n’ôte rien à son intensité.
en train de transformer ses enfants
en de petits morveux trop gâtés. Mais elle ne s'attendait pas à cela, après
qu'elle soit décédée.
Une mère de trois enfants a pris du recul sur sa vie, lors du décès de sa
belle-mère. Elle témoigne de ce qu’elle pensait d’elle au début, et à
quel point elle s’était trompée sur son compte.
Cette lettre posthume qu’elle lui a écrite vous fera verser quelques larmes…
Tu m’as toujours coupé l’herbe sous le pied. Tu leur donnais tout ce
qu’ils voulaient. Tu ne leur disais jamais non, quoi qu’ils demandaient.
Une seconde assiette de dessert. Des sucreries avant le dîner. Quelques
minutes de plus dans le bain. De l’argent pour aller acheter des glaces.
J’ai beaucoup lutté pour parvenir à exprimer du respect et de la gratitude à
ton égard, tout en m’assurant que tu ne gâtes pas mes enfants. Je
pensais que tu les transformerais en gamins pourris gâtés égoïstes, en
leur donnant tout ce qu’ils demandaient. Je pensais qu’ils
n’apprendraient jamais à attendre, à prêter, à partager… parce que tu
leur accordais tous leurs désirs, dès l’instant où ils ouvraient la
bouche et pointaient quelque chose du doigt.
Tu berçais chacun de mes bébés dans tes bras, longtemps après qu’ils se
soient endormis. Ne comprenais-tu pas que je voulais qu’ils apprennent à
s’endormir tous seuls, comme des grands ?
Tu accourais en panique, aussitôt que tu les entendais faire le moindre
bruit qui s’apparenterait à un gémissement. Comment voulais-tu qu’ils
apprennent à se calmer seuls ?
Je t’en voulais, parce que tu leur achetais les meilleurs cadeaux, et les
plus chers, pour leurs anniversaires ou pour Noël. Comment pouvais-je
rivaliser avec toi ? Que croyais-tu que mes enfants pensent lorsque les
meilleurs cadeaux, ceux qu’ils ont vraiment hâte d’ouvrir, ne viennent
pas de leurs propres parents ?
Et comme ils aimaient les après-midis passés avec toi... Tu préparais
leurs repas préférés pour le dîner — trois plats différents pour trois
petits garçons différents. Et tu avais toujours une petite surprise ! Un
cadeau, des bonbons, une petite attention spéciale… Je ne voulais pas
qu’ils t’associent avec les cadeaux et les sucreries. Je pensais qu’ils
devaient t’aimer pour ce que tu étais, pas pour ce que tu leur offrais.
J’ai essayé de te le dire, mais tu ne voulais pas m’écouter. Tu
continuais à les gâter de toutes les manières possibles et imaginables…
J’ai passé beaucoup de temps à me demander pourquoi tu faisais tout cela, et
sur ce que je pouvais faire pour que tu calmes un peu le jeu. Je sais
bien que les grands-mères sont censées « gâter les enfants » avant de
les renvoyer chez eux des bonbons plein les poches, mais avec toi cela
allait trop loin. Vraiment, je trouvais… que tu exagérais.
Puis, tu es partie.
J’ai dû serrer mes garçons contre moi, et leur dire que leur grand-mère
était morte. Cela ne semblait pas possible — tu étais censée être là
pour tous les autres moments spéciaux de leurs vies : le Bac, leur
remise de diplôme, leurs mariages… Mais ils ont perdu leur grand-mère
trop vite et trop brusquement. Ils n’étaient pas prêts à te dire au
revoir.
Pendant toutes ces années où j’ai souhaité ardemment que tu arrêtes de les
gâter, je n’ai jamais réfléchi à quel point tu les aimais. Tu les aimais
tant, que tu le montrais de toutes les manières possibles. Dans ta
cuisine. Dans tes cadeaux. Dans les bonbons et les gâteaux. Dans ta
seule présence, aussi.
Ton amour pour eux ne connaissait pas de limites. Ton cœur débordait
d’amour de toutes parts — de ta cuisine, de ton sac, de tes mots et de
tes bras-câlins infatigables.
Je sais que c’est inutile de sombrer dans les regrets, dans le remords…
mais je repense souvent à tout cela, et je suis sidérée de voir à quel
point j’avais tout faux. J’avais tout faux dans la manière même dont je
percevais ta générosité. Mes enfants, maintenant adolescents, t’aiment
de tout leur cœur et tu leur manques profondément. Et ce ne sont pas des
cadeaux, ni ton argent qui leur manque. C’est toi.
Ce qui leur manque, c’est de courir à la porte pour t’accueillir et te
sauter dessus, avant même que tu ne parviennes à poser un pied à
l’intérieur. Ce qui leur manque, c’est de regarder dans les gradins du
terrain de foot et te voir toi, l’une de leurs plus grandes fans, leur
faire un énorme sourire et leur faire des grands signes de la main. Ce
qui leur manque, c’est de te parler et d’écouter tes paroles empreintes
de sagesse, d’encouragements et d’amour.
Si je pouvais te parler une fois encore, je te dirais qu’à chaque fois
qu’un moment précieux fait s’emballer mon cœur, chaque fois que je les
vois arriver à un nouveau point dans leur vie, et chaque fois qu’ils
m’étonnent avec leur persévérance, leurs talents ou leurs réussites, je
pense à toi. Et je souhaite qu’ils puissent t’avoir auprès d’eux.
Reviens, et aime-les une dernière fois, comme personne d’autre au monde à part
une grand-mère ne le pourrait. Amène tes friandises et tes surprises.
Récompense-les avec d’incroyables cadeaux pour les plus petites
occasions. Prépare tous leurs plats favoris avec minutie, pendant des
heures. Amène-les dans tous les endroits où ils veulent aller. Et tout
cela, simplement parce que tu les aimes.
Oh, comme j’aimerais, de tout mon cœur, que tu puisses revenir.
Viens t’asseoir pendant des heures interminables sur les gradins, avec moi.
Reviens, et regarde son regard déterminé, ses efforts sans réserve, ses
petits rituels anxieux. Toi comme moi, je sais que nous pourrions
étudier le visage de mon fils, et savoir instantanément s’il est
confiant, intimidé, s’il a simplement soif ou s’il s’ennuie.
Reviens, et viens l’écouter jouer du saxophone, et tu observeras son visage en
silence avec moi. Nous savons toutes les deux quelles sont ses musiques
préférées, simplement en regardant ses yeux tandis qu’il joue.
Regarde-le avec moi, tandis qu’il s’assoit sur sa chaise, qu’il regarde
timidement le public et qu’il soupire de soulagement à la fin de chaque
musique.
Reviens, et écoute sa voix de basse tandis qu’il chante dans la chorale du
lycée. Avec délices, c’est ainsi qu’il chante, de tout son cœur et de
toute son âme. Ses yeux verts s’enflamment avec passion, et se ferment à
demi lorsqu’il chante certaines notes.
Je pourrais jeter un coup d’œil discret vers toi, et savoir que personne au monde
ne l’adore autant que toi ou moi.
Reviens, et regarde-le dans sa blouse d’étudiant alors qu’il reçoit son diplôme.
Regarde le vent souffler dans ses cheveux et éloigner sa mèche de son
visage, tu seras frappée tout comme moi d’admiration alors que nous
entrapercevons cet homme qu’il est en train de devenir. Reste avec moi
tandis que nous nous interrogeons, sans échanger un seul mot, sur ces
années qui semblent filer beaucoup trop vite.
Et, plus je te supplie de revenir, plus je comprends que, dans un sens,
tu n’es jamais vraiment partie.
Je comprends, désormais. Je sais que tu les as aimés de toutes les
manières possibles. Je sais qu’être leur grand-mère t’a apporté du
bonheur et une nouvelle raison de vivre. Et bien sûr, je sais que tu ne
peux pas revenir, mais je sais aussi que ton amour pour eux demeurera
toujours. Ton amour les a construits, les a protégés d’une manière qui
ne peut être décrite par les mots. Ton amour représente une partie
énorme de ce qu’ils sont à présent, et de ce qu’ils deviendront plus
tard, lorsqu’ils grandiront. Pour cela, et pour chaque cadeau, et pour
chaque friandise, et pour chaque fois que tu les as tenus un peu trop
longtemps dans tes bras, et pour chaque fois que tu les as un peu trop
consolés, et pour chaque fois que tu les as laissés se coucher un peu
trop tard… Je te remercie éternellement.
Et je souhaite de toute mon âme que tu puisses refaire tout cela encore, et encore.
Tourmentée par la peine et éprise d’amour, elle a écrit ces quelques mots sublimes
à sa belle-mère. Si nous avions l’opportunité de passer, ne serait-ce
qu’une seule journée de plus, en compagnie des êtres chers que nous
avons perdus, que leur dirions-nous ? Si la peur, le rejet et les
petites disputes futiles du quotidien étaient écartés de cette équation,
que nous resterait-il à dire à ceux qui sont encore auprès de nous ?
Si vous aussi vous avez trouvé que cette lettre est un magnifique
témoignage d’amour et d’honnêteté, n’oubliez pas de la partager.
La 5 est dingue !
La pub peut parfois se montrer créative. Et capable de soulever des consciences.
Références culturelles mondiales, "mots et phrases chocs", trompes l’œil, jeux de
mots, thèmes phares du 21ème siècle... tout est bon pour nous faire
réagir !
Voici une compilation des campagnes publicitaires les plus incisives du moment :
1. A destination des personnes handicapées, incapables de monter les
escaliers : "Pour certains, ces marches, c'est comme gravir le Mont
Everest".
2. "Des milliers de gens doivent leurs vies aux donneurs d'organes"
3. Cause animale : "Stop aux mauvais traitements !"
4. En référence aux arbres, "poumons" de la Terre : "Avant qu'il ne soit trop tard."
5. La pub de WWF choc qui a tant fait parler par le passé :
"Le tsunami a tué 100 fois plus de personnes que le 11 septembre."
6. "Ne lui parlez pas pendant qu'elle conduit."
7. "Tend une main à la Nature."
8. "Est-ce que c'est le cahier de dessin de ton enfant...?
Stop aux mauvais traitements envers les enfants. Maintenant."
9. "Faire des Likes n'aide pas. Être volontaire peut changer une vie."
10. "On récolte ce que l'on sème."
11. "Ne coupez pas un rêve." RIP Père Noël
12. Il ne lui reste qu'un bras, elle réclame la limitation de vitesse.
13. "La Terre a chaud"
14. "Plus les enfants autistes évoluent longtemps sans aide, plus difficilement ils restent "à portée".
15. "La pollution de l'air tue 60 000 personnes par an."
16. "Sur internet, il y a des choses qui ne sont pas ce qu'elles semblent être."
17. "Stoppez la maltraitance."
18. "Les animaux ne sont pas des clowns."
19. "Si vous ne les aidez pas à téter, qui le fera?"
20. "Toutes les 60 secondes, une espèce disparaît."
21. "Les victimes sont des gens comme vous et moi."
22. "Les ouvriers ne sont pas des outils."
23. "La censure ne dit pas toute la vérité."
24. Stop aux SMS au volant... "Je serai là dans une... chaise roulante."
25. "Un "click" de ceinture peut changer votre futur. Attachez-vous."
26. "Il a les yeux de sa mère".
27. "Ignorons-nous. Ignorons les droits de l'Homme."
28. "Le siège arrière n'est pas plus sécurisé. Attachez-vous."
29. Sensibilisation aux formations de Premiers Soins : "Aidez avant que ce ne soit trop tard".
30. "Certaines choses restent ancrées pour toujours..."
31. "Les balles laissent de plus gros trous que vous ne pensez..."
32. "Ca ne se déroule pas ici, ça se passe en ce moment".
33. "Les sacs plastiques tuent."
34. "Fumer accélère le vieillissement".
35. "Ca ne devrait pas être aussi dangereux".
36. "Sauvez le papier. Sauvez la planète."
Alors, efficaces n'est-ce pas ?
révèle certains petits secrets sur votre relation....
Pour ma part, c'est vraiment tout à fait ça !
Nous savons que le langage corporel révèle énormément de choses sur les
intentions et la personnalité véritable d'un individu. Cela prend encore
plus d'importance, quand on sait que 93% de la communication entre les
individus est non-verbale ! Ainsi, le ton de notre voix, mais aussi nos
gestes et la manière dont nous nous positionnons ont en fait beaucoup
plus de sens que le sens même des mots que nous prononçons.
On sait que la manière dont on marche, le sens de notre regard lorsqu'on
parle, et même la position que l'on adopte lorsqu'on dort signifie
énormément de choses sur notre personnalité — d'autant plus que tout
cela se fait au niveau inconscient.
Mais que se passe-t-il lorsque deux personnalités entrent en collision et se
rapprochent — dans un câlin ou une étreinte, par exemple ?
Parce que le contact physique est d'une importance capitale au sein des
rapports humains, et plus encore dans les relations de couple, ce n'est
pas vraiment surprenant qu'il y ait tant de manières différentes de se
faire un câlin. Et les positions que vous adoptez révèle énormément de
choses sur vous !
En fait, si vous analysez attentivement la façon dont vous embrassez les autres à travers ce spectre, vous serez
étonné de voir à quel point cette analyse peut se montrer précise.
1. Le protecteur
Le câlin protecteur est un câlin qui puise toute sa force dans le grand
sentiment de sécurité qu’il procure à celui ou celle qui le reçoit. La
personne située à l’arrière entoure ses bras autour de la taille de
l’autre, ce qui procure une sensation de chaleur et de stabilité.
Cette position est la preuve d’une grande confiance réciproque au sein du
couple, et il démontre que prendre soin l’un de l’autre est d’une
importance capitale pour votre couple. « En couvrant votre dos, il vous
fait passer le message qu’il cherche à vous protéger du danger, » écrit
Patti Wood, expert en body langage et auteur du best-seller.
2. Le dos frotté
C’est un câlin qui cherche avant tout à rassurer. Chaque personne frotte le
dos de l’autre personne du plat de la main, comme pour lui rappeler à
quel point il ou elle a de l’importance à ses yeux.
Cette position traduit un grand sens d’ouverture, de vulnérabilité et de
confiance l’un envers l’autre. « Le dos est la partie la plus vulnérable
du corps, c’est le point aveugle, que l’on ne voit pas, et c’est aussi
par là que l’on peut être attaqué par surprise. Comme on ne peut pas
voir son dos, être touché à cet endroit procure une sensation
particulière.
Frotter le dos est votre façon de procurer du réconfort à votre partenaire de câlin.
3. La tape dans le dos
Lorsqu’on tapote le dos ou l’omoplate d’une autre personne, on lui communique un
fort sentiment d’amitié et de camaraderie. Chaque personne peut ainsi
offrir à l’autre un sentiment de réconfort émotionnel, d’approbation et
de validation sociale. Il n’y a pas vraiment de sentiment d’intimité
dans ce type de câlin.
Cette position ne traduit pas de proximité amoureuse. Si vous faites cela
fréquemment au sein d’un couple, cela peut vouloir dire deux choses : si
vous faites cela en parallèle avec d’autres types de câlins plus
intimes, vous envisagez votre relation de couple comme celle de deux
meilleurs amis, en plus d’être des amants, ce qui est très positif. Par
contre, si vous ne faites « que » ce type de câlin, cela signifie que
vous continuez à vous apprécier, mais que votre relation ne grandit pas
et qu’elle a tendance à régresser au niveau de la passion et de l’amour.
Et si vous n’êtes pas encore en couple et que vous avez des ambitions
avec une personne qui vous embrasse ainsi, désolé mais c’est plutôt mal
parti ! « C’est de cette manière que les hommes donnent l’accolade à
leurs potes », explique le docteur Christopher Blazina. « Si un homme
vous embrasse de cette manière, cela signifie qu’il veut que la relation
entre vous reste au stade d’amis. »
4. Le slow
Lorsqu’on s’embrasse de cette manière, comme si on dansait le slow, cela crée un
puissant lien de tendresse entre les deux partenaires. Cela traduit le
romantisme et la passion douce, à leur état le plus pur ! L’un des
partenaires entoure ses bras autour de la taille de l’autre, tandis que
l’autre personne accroche ses bras autour de son cou …
Ce type de câlin est typique des jeunes amours, de la passion des débuts.
Cependant, si vous embrassez toujours votre partenaire de cette façon
des années après le début de votre relation, cela signifie que la flamme
du début est encore bien présente en vous et que vous vous aimez comme
au premier jour !
5. L’accolade
L’accolade est typique de deux personnes qui sont vraiment complices, et qui
aspirent à faire tout et n’importe quoi ensemble et à se soutenir dans
toutes leurs entreprises. C’est une sorte de demi-câlin, avec un seul
bras passé au-dessus de l’épaule de l’autre.
Ce câlin et sa position de côté démontrent que ces deux personnes
préfèrent être liées par une relation côte à côte, soit d’égal à égal,
que d’être connectées sexuellement ou romantiquement. Pour autant, la
proximité du contact traduit aussi une forte connexion mentale et
émotionnelle.
6. La clé de bras
Dans ce câlin, vous vous serrez tellement fort que vous avez presque du mal à
respirer, dans une étreinte qui frôle une certaine peur de laisser
l’autre partir. Les deux personnes entremêlent leurs corps aussi serrés
qu’il est physiquement possible de le faire, en se pressant d’une telle
manière que rien ou presque ne les sépare.
Cette position traduit un profond attachement l’un envers l’autre, ainsi
qu’une certaine crainte d’être séparés. En s’étreignant de cette façon,
vous avez peur que le simple fait de lâcher l’autre personne ne puisse
signifier qu’elle s’en ira. Vous préférez rester avec elle et profiter
des moindres instants ensemble.
7. Le câlin volant
Le câlin volant évoque de manière puissante la passion brûlante et le
désir sexuel. L’un des partenaires chevauche l’autre, soit en étant
assis sur une table ou en suspension complète, porté par les bras de
l’autre.
Que vous ayez ou non une connexion plus profonde sur le plan émotionnel,
cela exprime avant tout un lien étroit sur le plan charnel et physique.
Cette position signifie que vous avez constamment envie l’un de l’autre
au niveau sexuel. Ce type d’étreinte a souvent cours lors des relations
non-durables, purement passionnées et physiques. Cependant, si vous
faites ce type de câlin dans une relation amoureuse construite et
stable, cela signifie que malgré la stabilité de votre amour, vous
continuez à vous désirer ardemment sur le plan sexuel, comme d’éternels
amants d’un soir !
8. Le pont
Ce câlin probablement peu forcé cherche à mettre le plus de distance
possible entre les deux personnes, tout en feignant l’affection. Chaque
personne ne penche que la partie haute de son corps, tout en gardant la
partie basse du corps très éloignée de manière instinctive.
Cette position démontre un grand niveau de désaccord ou d’inconfort entre les
deux personnes. Avec un tel câlin, vos corps déclarent que ni l’un, ni
l’autre ne veut véritablement être proche de cette autre personne. Il
faut croire que tout le monde ne peut pas être ami…
9. Les yeux dans les yeux
Ce câlin, les yeux plongés dans le regard de l’autre, exprime avant tout
la profondeur de la connexion de vos âmes et de vos esprits. Quelle que
soit la forme que ce câlin pourrait prendre, et quoi que vous fassiez
avec le reste de votre corps, cela n’a finalement que peu d’importance :
ce qui importe ici, c’est que vous soutenez le regard de l’autre et que
vous gardez une grande proximité entre vos deux visages.
Cette position traduit un amour véritable et profond, ainsi qu’une forte
appréciation mutuelle et une affection puissante pour ce qu’est l’autre
en profondeur, bien au-delà de ses aspects purement physiques. Dans
cette relation, vous êtes tous deux capables de voir à travers l’autre
et de percevoir les tréfonds de son âme. Votre lien est extrêmement
puissant, et certainement inébranlable !
10. La poupée de chiffon
Voilà un câlin qui est typique d’une relation qui ne semble aller que dans un
seul sens… L’une des personnes serre l’autre dans ses bras aussi
étroitement que possible, tandis que l’autre personne reste simplement
là les bras ballants, légèrement mal à l’aise, un peu comme une poupée
de chiffon.
Cette position témoigne d’un profond déséquilibre au niveau de vos sentiments
l’un pour l’autre. Que votre relation soit celle d’un couple ou d’une
amitié, les sentiments ne sont visiblement pas tout à fait réciproques…
en tout cas quant au niveau de leur intensité. Parfois, il vaut mieux
laisser tomber que de vouloir à tout prix forcer le cours des choses…
11. Le câlin-pickpocket
Le câlin-pickpocket est une position qui témoigne d’un grand sentiment de
confort, de bien-être. Les deux individus sont parfaitement à l’aise
l’un avec l’autre, et n’ont aucune barrière entre eux. Dans ce câlin, au
moins une des deux personnes a placé ses mains dans les poches de
l’autre.
Cette position montre à quel point votre relation est détendue, confortable
et paisible. Vous semblez en parfaite adéquation, la confiance entre
vous est absolue et vous ne devriez pas avoir trop d’efforts à faire
pour faire perdurer votre amour !
Ce n’est que lorsque vous êtes parfaitement en confiance avec l’autre que
vous le laissez glisser ses mains dans vos poches, cet endroit que vous
avez tendance à protéger d’habitude. Lorsqu’un tel sentiment de
confiance règne entre deux personnes, vous savez instantanément qu’ils
forment un magnifique couple !
Le pouce est ce gras cabaretier flamand, d'humeur goguenarde et grivoise,
qui fume sur sa porte, à l'enseigne de la double bière de mars.
L'index est sa femme, virago sèche comme une merluche, qui dès le matin
soufflette sa servante dont elle est jalouse, et caresse la bouteille
dont elle est amoureuse.
Le doigt du milieu est leur fils, compagnon dégrossi à la hache, qui
serait soldat s'il n'était brasseur, et qui serait cheval s'il n'était
homme.
Le doigt de l'anneau est leur fille, leste et agaçante Zerbine qui vend
des dentelles aux dames et ne vend pas ses sourires aux cavaliers.
Et le doigt de l'oreille est le Benjamin de la famille, marmot pleureur,
qui toujours se trimballa à la ceinture de sa mère comme un petit enfant
pendu au croc d'une ogresse.
Les cinq doigts de la main sont la plus mirobolante giroflée à cinq
feuilles qui ait jamais brodé les parterres de la noble cité de Harlem.
Aloysius Bertrand (1807-1841) est le poète d'une seule oeuvre, qu'il ne vit
jamais publiée: Gaspard de la Nuit. Depuis, ce recueil de poèmes
baroques et précieux a connu une relative notoriété, grâce en
particulier à Maurice Ravel qui y trouva inspiration, ainsi que par
l'admiration que lui vouèrent Baudelaireet Max Jacob, qui voyaient en lui la source de la poésie en prose.
L'auteur de "Gaspard de la Nuit" est mort de la tuberculose dans le dénuement le
plus total, et doit sa première publication (posthume) à son ami le
sculpteur David d'Anger
Voici "Les Héaux de Bréat'trés proche de chez moi.Vous porrez voir "Le Sillon du Talberg"site remarquable de Bretagne.Kénavo.
S’il en était encore besoin, les phares montreraient qu’en architecture, le « rond » est une option parmi
d’autres et donc plutôt un choix esthétique que technique. Il y a des
phares « carrés », d’autres à facettes, mais je n’ai retenu que les
ronds, bien sûr !
Ça fait toujours rêver, les phares, même s’ils ne sont plus habités, même si le GPS les rends peut-être moins
utiles. Ils veillent sur l’horizon, ils sont nos moaïs.
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