Le match OM-OL interrompu à cause de jets de projectiles On est dans un exercice de non-droit du foot, il faut vite y mettre un terme, ou alors ce n’est pas la peine d'investir dans les stades et dans les joueurs. Jean-Michel AULAS.
Mercure Et Vénus Documentaire Complet En Francais YouTube Mercure (Planète) Mercure est la planète la plus proche du Soleil et la moins massive du Système solaire1. Son éloignement au Soleil est compris entre 0,3075 et 0,4667 UA, ce qui correspond à une excentricité orbitale de 0,2056 — plus de douze fois supérieure à celle de la Terre, et de loin la plus élevée pour une planète du système solaire. Elle est visible à l'œil nu depuis la Terre avec un diamètre apparent de 4,5 à 13 secondes d'arc, et une magnitude apparente de 5,7 à -2,3 ; son observation est toutefois rendue difficile par son élongation toujours inférieure à 28,3° qui la noie le plus souvent dans l'éclat du Soleil. Mercure a la particularité d'être en résonance 3:2 sur son orbite, sa période de révolution (87,969 jours) valant exactement 1,5 fois sa période de rotation (58,646 jours), et donc la moitié d'un jour solaire (175,938 jours). L'inclinaison de l'axe de rotation de Mercure sur son plan orbital est la plus faible du système solaire, à peine 2 minutes d'arc. Son périhélie connaît une précession autour du Soleil plus rapide que celle prédite par la mécanique newtonienne, une avance de 42,98 secondes d'arc par siècle2 qui n'a pu être complètement expliquée que dans le cadre de la relativité générale3. Mercure est une planète tellurique, comme le sont également Vénus, la Terre et Mars. Elle est près de trois fois plus petite et presque vingt fois moins massive que la Terre mais presque aussi dense qu'elle, avec une gravité de surface pratiquement égale à celle de Mars, qui est pourtant près de deux fois plus massive. Sa densité remarquable — dépassée seulement par celle de la Terre, qui lui serait d'ailleurs inférieure sans l'effet de la compression gravitationnelle — est due à l'importance de son noyaumétallique, qui occuperait plus de 40 % de son volume, contre seulement 17 % pour la Terre. Comme Vénus, Mercure est quasiment sphérique — son aplatissement pouvant être considéré comme nul — en raison de sa rotation très lente. Dépourvue de véritable atmosphère, sa surface est très fortement cratérisée, et globalement similaire à la face cachée de la Lune. Seules deux sondes spatiales ont étudié Mercure. Mariner 10, qui a survolé à trois reprises la planète en 1974–1975, a cartographié 45 % de sa surface et découvert son champ magnétique. La sonde MESSENGER, après trois survols en 2008-2009, s'est mise en orbite autour de Mercure en mars 2011 et a entamé une étude détaillée notamment de sa topographie, son histoire géologique, son champ magnétique et son exosphère. La quasi-absence d'atmosphère — il s'agit en fait d'une exosphère exerçant une pression au sol de l'ordre d'1 nPa (10-14 atm) — combinée à la proximité du Soleil — dont l'irradiance à la surface de Mercure varie entre 4,6 et 10,6 fois la constante solaire (soit 12 300 W/m2 de surface mercurienne) — engendre des températures en surface allant de 90 K (-183 °C) au fond des cratères polaires (là où les rayons du Soleil ne parviennent jamais) jusqu'à 700 K (427 °C) au point subsolaire au périhélie. La planète Mercure doit son nom au dieu Mercure du commerce et des voyages, également messager des autres dieux dans la mythologie romaine. La planète a été nommée ainsi par les Romains à cause de la vitesse à laquelle elle se déplaçait4. Le symbole astronomique de Mercure est un cercle posé sur une croix et portant un demi-cercle en forme de cornes (Unicode : ?). C'est une représentation du caducée du dieu Hermès. Mercure laissa également son nom au troisième jour de la semaine, mercredi (« Mercurii dies »)5. Présentation GénéraleVénus (Planète) Vénus est une des quatre planètes telluriques du Système solaire. Elle est la deuxième planète par ordre d'éloignement au Soleil, et la sixième par masse ou par taille décroissantes.La planète Vénus a été baptisée du nom de la déesse Vénus de la mythologie romaine. Vénus est une planète tellurique, comme le sont également Mercure, la Terre et Mars. Elle possède un champ magnétique très faible et n'a aucun satellite naturel. Elle est, avec Uranus, l'une des deux seules planètes du Système solaire dont la rotation est rétrograde, et la seule ayant une période de rotation (243 jours) supérieure à sa période de révolution. Vénus présente en outre la particularité d'être quasiment sphérique — son aplatissement peut être considéré comme nul — et de parcourir l'orbite la plus circulaire des planètes du Système solaire, avec une excentricité orbitale de 0,0068 (contre 0,0167 pour la Terre). Vénus est presque aussi grande que la Terre — son diamètre représente 95 % de celui de notre planète — et a une masse équivalente aux quatre cinquièmes de celle de la Terre. Sa surface est dissimulée sous d'épaisses couches de nuages très réfléchissants qui lui confèrent un albédo de Bond de 0,75 et une magnitude apparente dans le ciel pouvant atteindre -4,6, valeur dépassée uniquement par la Lune et le Soleil. Étant plus proche du Soleil que la Terre, elle présente des phases au même titre que la Lune et Mercure selon sa position relative par rapport au Soleil et à la Terre, son élongation ne dépassant jamais 47,8°. L'atmosphère de Vénus est la plus épaisse de celle de toutes les planètes telluriques, avec une pression au sol atteignant 9,3 MPa (91,8 atm) au niveau de référence des altitudes vénusiennes. Cette atmosphère est composée d'environ 96,5 % de dioxyde de carbone et 3,5 % d'azote, avec de faibles concentrations de dioxyde de soufre et de divers autres gaz. Elle contient d'épaisses couches nuageuses opaques constituées de gouttelettes de dioxyde de soufre et d'acide sulfurique surmontées d'une brume de cristaux de glace d'eau qui donne à la planète son aspect laiteux lorsqu'on l'observe depuis l'espace. Ces nuages réfléchissent l'essentiel du rayonnement solaire, de sorte que la puissance solaire parvenant au sol sur Vénus représente moins de 45 % de celle reçue au sol sur Terre, et est même inférieure d'un quart à celle reçue à la surface de la planète Mars. L'atmosphère de Vénus est près de cent fois plus massive que celle de la Terre et possède une dynamique propre, indépendante de la planète elle-même, avec une super-rotation dans le sens rétrograde en quatre jours terrestres, ce qui correspond à une vitesse linéaire au sommet des nuages d'environ 100 m/s (360 km/h) par rapport au sol. Compte tenu de sa composition et de sa structure, cette atmosphère génère un très puissant effet de serre à l'origine des températures les plus élevées mesurées à la surface d'une planète du Système solaire : près de 740 K (environ 465 °C) en moyenne à la surface — supérieures à celles de Mercure, pourtant plus proche encore du Soleil, où les températures culminent à 700 K (environ 425 °C) — et ceci bien que l'atmosphère ne laisse passer que le quart de l'énergie solaire incidente. La topographie de Vénus présente peu de reliefs élevés, et consiste essentiellement en de vastes plaines a priori volcaniques géologiquement très jeunes — quelques centaines de millions d'années tout au plus. De très nombreux volcans ont été identifiés à sa surface — mais sans véritables coulées de lave, ce qui constitue une énigme — ainsi que des formations géologiques, parfois uniques dans le Système solaire telles que coronae, arachnoïdes et farra, attribuées à des manifestations atypiques de volcanisme. En l'absence de tectonique des plaques identifiée à la surface de la planète, on pense que Vénus évacue sa chaleur interne périodiquement lors d'éruptions volcaniques massives qui remodèlent entièrement sa surface, ce qui expliquerait que celle-ci soit si récente. Entre ces épisodes de volcanisme global, le refroidissement de la planète serait trop lent pour entretenir un gradient thermique suffisant dans la phase liquide du noyau pour générer un champ magnétique global par effet dynamo2. Par ailleurs, des mesures d'émissivité à 1,18 µm réalisées en 20083 ont suggéré une relative abondance des granites et autres roches felsiques sur les terrains les plus élevés — qui sont généralement les plus anciens — de la planète, ce qui impliquerait l'existence passée d'un océan global assorti d'un mécanisme de recyclage de l'eau dans le manteau susceptible d'avoir produit de telles roches. À l'instar de Mars, Vénus aurait ainsi peut-être connu, il y a plusieurs milliards d'années, des conditions tempérées permettant l'existence d'eau liquide en surface, eau aujourd'hui disparue — par évaporation puis dissociation photochimique dans la haute atmosphère — au point de faire de cette planète l'une des plus sèches du Système solaire. La planète Vénus a été baptisée du nom de la déesse Vénus de la féminité et de l'amour physique dans la mythologie romaine. Elle était déjà connue des Babyloniens à l'Âge du bronze, associée à la déesse Ishtar de la mythologie mésopotamienne.
À New-York, une ferme verticale de 6500m² va produire 1000 tonnes de légumes par an
À New-York, une ferme verticale de 6500m² va produire 1000 tonnes de légumes par an Controversée dans le monde de l’agriculture biologique, la technique de l’aéroponie, qui consiste en la production de cultures hors du sol, va bientôt connaître son apogée aux États-Unis. L’objectif ? Allier une bonne productivité à une agriculture responsable et biologique au cœur de la ville. Le futur s’invite une nouvelle fois dans nos cultures, avec une incroyable structure sur le point d’ouvrir ses portes à proximité de New-York.
C’est au New-Jersey, à proximité de New-York, que va bientôt ouvrir le plus grand site de production agricole verticale au monde. Prenant place dans une usine abandonnée, deux tiers du bâtiment seront exclusivement dédiés à la culture de choux et de salades, tandis que le dernier tiers abritera un centre de recherche, des bureaux et un café, créant ainsi 78 emplois. Fondée par la société AeroFarms, cette ferme verticale de 6500m² répondrait à un pari fou : réussir à produire localement 1000 tonnes de salades et de choux par an, en utilisant le système de l’aéroponie. Selon cette technique, les plants ne verront jamais la lumière du jour et seront entièrement éclairés par des LED. L’irrigation classique sera remplacée par un brouillard ambiant qui hydratera les racines et les feuilles selon leurs besoins, économisant ainsi 95% des ressources habituelles en eau de l’agriculture industrielle classique. Un choix qui semble allier économie à écologie.
Si l’idée de l’absence de soleil ne semble pas très naturelle, les avantages de la technique sont clairs et nombreux. Tout d’abord, cette approche ne nécessite aucun recours aux pesticides ni aux dérivés pétroliers. La production est donc « biologique » d’un point de vue nutritionnel et brise les croyances conventionnelles dans la nécessité d’utiliser des intrants chimiques. L’absence de prédateur permet, par ailleurs, d’éviter le recours aux OGM. Ensuite, la récolte automatisée évite l’utilisation de tracteur et de matériels polluants qui utilisent des énergies fossiles. De ce point de vue, aucun animal ne peut être broyé par les machines agricoles. Enfin, le système signe un pourcentage de pertes quasi-nul grâce à une analyse informatisée et permanente des cultures, tout en évitant les intempéries. « Grâce à cette technique, nous pouvons donner à la plante tout ce dont elle a besoin, quand, comment et où elle en a besoin » explique le directeur général d’AeroFarms. Cette façon peu courante de produire localement et massivement, permettrait ainsi de réduire considérablement les inconvénients environnementaux des transports en camion, habituellement utilisés pour ravitailler les villes en fruits et légumes. Elle répondrait aussi à un accroissement de la population toujours plus grand en ville, offrant ainsi des cultures à grand rendement, occupant peu d’espace tout en étant de type écologique. À l’approche de la fin de l’ère des énergies fossiles, les alternatives locales (y compris urbaines) vont nécessairement devoir se développer si nous voulons avoir les moyens de nourrir l’ensemble de la population.
En plein essor, ces fermes aéroponiques posent une question épineuse : entrent-elles en rivalité avec les solutions locales naturelles comme l’agroforesterie ou la permaculture qui demandent plus d’espaces ? Au contraire, doit-on voir ces solutions comme étant complémentaires dans l’objectif de nourrir les populations de manière saine, tout en coupant l’herbe sous le pied des méthodes industrielles les plus polluantes qui, rappelons le, dominent plus de 95% du marché en Europe ? Il conviendra à chacun d’en juger.
Bonjour, j'au lu de A à Z , l'histoire du policier..... Emue , à la fin du récit Pas besoin de rajouter,quoique ce soit.....Ce Monsieur a tout dit , s'est bien exprimé , calmement..... Bonne journée Victoria
Voici un courrier que j’ai reçu d’un ami policier à la retraite de Belgique. Il m’a demandé gentiment, si je pouvais la publier sur ma page ; bien sûr j’ai accepté ! ********************************************************* J’aimerais montrer à nos amis de Ma Planète un " autre " visage de la police. Dans la deuxième partie, je voudrais vous partager ce récit relatant un incident peu ordinaire dans un véhicule servant aux transports en commun dans une grande ville ; récit qui à la fin, démontre que finalement, l'amitié n'a ni nationalité, ni de visage et que les " vrais " gens qui veulent aider quelqu'un dans une situation difficile le feront devant l'inertie des autres.... ********************************************************* J'avais, après mon service militaire (encore obligatoire en 1971) longtemps hésité avant de postuler comme policier. Après avoir rempli mes obligations de citoyen belge envers la défense nationale, j'ai d'abord travaillé quelque temps dans un magasin de prestige spécialisé dans la location et la vente de tapis d'orient en tant que magasinier. Comme la différence salariale était du simple, en tant que ouvrier, au double, en tant que fonctionnaire public. J’aimais ce métier et cela faisait un bon moment que je voulais être policier et j’ai fini par m’engager. Je dois avouer qu’une carrière complète dans la police laisse des traces indélébiles, telles que de l'insensibilité, une méfiance et un regard différent sur la nature humaine. En 35 ans , j’ai vécu des manifs pacifistes et d'autres, tournant à l'émeute ; des bagarres dans les débits de boissons ; des couples que se déchirent, avec les enfants au milieu, comme pauvres témoins de drames familiaux qu'ils ne comprenaient pas ; de graves accidents de voitures ; des suicides ; des gens solitaires qui décédaient de mort naturelles, seuls et oubliés de tous, sans famille, restant allongés des jours entiers sans que les voisins ne se demandent où ils étaient passés, mais finalement dérangés par une odeur bizarre qui persistait dans le quartier… Alors bien sûr... On va quand même appeler la police car ce n'était pas normal... Et on arrivait sur place, les premiers, avant tout le monde, après avoir enfoncé la porte, et... Mais il y avait aussi les collègues, qui devenaient des amis, des copains, des potes, on passait plus de temps avec eux, qu’auprès de nos familles...Après le service, on allait boire une chope, au café près du commissariat, et même si on avait vu le pire à voir, on rentrait chez nous, pour recommencer le lendemain et le jour suivant. C'était surtout le travail de nuit qui était le plus mal supporté par la plupart du personnel, on devait effectuer une garde de 17 heures au total tous les 6 jours...
Les bons moments, il y en avait aussi ; des situations cocasses et drôles, irréelles parfois, merveilleuses surtout à l'approche des fêtes de fin d'année…
Il est vrai aussi, que j'ai constaté au fur et à mesure des années, un manque de respect grandissant, ainsi qu’un manque de reconnaissance de notre métier à sa juste valeur de la part d'une certaine couche de la population. Autrefois, il suffisait de juste voir un policier en tenue faire sa ronde pour qu’une ambiance préventive s’installe ; l'uniforme infligeait le respect. Plus tard, je suis monté en grade, commandant une équipe d’agents qui étaient sous mes ordres. Ils me demandaient souvent de pouvoir faire leurs rondes en tenue civiles parce qu’ils ne se sentaient plus à l'aise dans leur uniforme qui était de moins en moins respecté…
Enfin...J'ai encore tant et tant de chose raconter... Je voudrais partager des histoires d'amitiés qui se sont créés, de bons et joviaux rapports avec la population.
2ème partie :
" Eh bien, c'est simple: Sois mon ami!" 16HOO, la relève est là... Cette journée aura été rude au commissariat de la 8ème division de la police de Bruxelles, où j'étais affecté depuis pas mal d'années comme inspecteur principal. J'avais pris mon poste à 6h30 au matin et toute la journée s'était déroulée à auditionner des personnes dans le cadre d'affaires judiciaires, aussi nombreuses que variées. Certaines de ces auditions s'étaient déroulées sans problème, d'autres beaucoup moins, avec des gens agressifs, arrogants, affichant leur mépris total pour les forces de l'ordre… Dans ce métier, on apprend à garder son calme et finalement la journée s’est terminée sans d'incidents majeurs pendant le service. Le temps de refermer le casier du vestiaire et me voilà dans le bus de la ligne 53 qui fait la liaison entre la place Emile Bockstael qui se trouve dans le quartier de Laeken et Neder-Over-Heembeek qui font partie de la banlieue du Nord de Bruxelles. Ce bus, au cours de son trajet, passe dans le quartier dit " Versailles" dans lequel sévit une bande urbaine portant le même nom... C'est en fait l'avenue de Versailles, bordée dans sa plus grande longueur de logements sociaux. Je suis assis à l'arrière du bus...Pas beaucoup de monde ; quelques passagers anodins, et nous abordons l'avenue de Versailles... C'est une belle journée de printemps bien chaude et bien ensoleillée.... Le 53, arrive à l'arrêt dénommé " Pagodes". Je remarque une bande de 4 adolescents qui montent dans le bus... Deux d'entre eux prennent des sièges au milieu du bus, les deux autres entament une discussion avec le chauffeur. Cette discussion semble assez animée et dure assez longtemps… Finalement, les deux autres jeunes finissent par occuper des sièges un plus vers l'avant. Le bus ne redémarre pas et ne quitte pas l'arrêt. Comme les minutes s'écoulent, je me lève pour aller demander au chauffeur pourquoi il ne démarre pas et je lui montre ma carte de service. Il porte à ma connaissance que les deux derniers jeunes, l'ont insulté, protestant que l'un d'entre eux avait eu son pied coincé dans la porte qui s'était refermée sur lui au moment où il embarquait. Le conducteur avait demandé alors aux jeunes, leurs titres de transport ; mais ils ont refusé. Le chauffeur leur a demandé de quitter le bus, du fait qu'ils n'avaient pas payé pour leur trajet. Faisant les sourds d’oreilles, le couvrant d’injures. Je me dirige vers les jeunes gens et leur demande leur carte d'identité en présentant ma carte de policier. Comme toute réponse ils me lancent haineusement: "T'es qui toi, tu peux avaler ta carte, on n'en n'a rien à cirer, on a nos droits, on reste assis et fout nous la paix!" A ce moment-là, je savais qu'il valait mieux ne pas insister et sans hésiter je demande au chauffeur qu'il contacte son centre de transmission pour demander une voiture de police pour nous assister. Tout se passe très vite alors... Les 4 jeunes se lèvent en même temps, l'un d’eux tirant sur la poignée de secours pour arrêter le bus et prendre la fuite. Je m'interpose et reçois une forte secousse à l'épaule et je me positionne pour me défendre. La poussée est forte, mon pied droit se trouve coincé entre deux sièges. Je me retourne et ressens une vive douleur au genou droit ; le pied coincé, elle s'était tordue. J'entends comme un bruit d'os qui craque ; impossible alors de me tenir debout et je tombe. Je commence à ce moment-là de recevoir une pluie de coups mais je parviens à me protéger. Dans le bus, pas un seul des passagers présents n'a bougé pour me venir en aide....Bien au contraire, dès que la porte s'est ouverte par l'action de la poignée de secours ; tous, sans exception, ont quitté le bus sans demander leur reste… Seul, le chauffeur est venu à mon secours pour essayer de tirer les faiseurs de trouble en dehors du bus. J’ai quand même réussi à me relever sur l'autre jambe. Les 4 lascars ont réussi à s’enfuir dans l'avenue de Versailles... Je me retrouve alors à l'avant du bus à côté du chauffeur, quand les agresseurs tentent de revenir, cette fois-ci accompagnaient d'une vingtaine d'autres jeunes, hurlants et vociférants. Je conseille alors au chauffeur de quitter les lieux au plus vite et de conduire le bus vers un lieu sécurisé en donnant notre position aux voitures de police. Pour finir cette drôle d’aventure ; cela s'est soldé pour moi par une déchirure des ligaments, puis évacuer des lieux en ambulance... Ces 4 jeunes en question, je l'ai su plus tard, étaient bien connus par la police pour agression sur la voie publique, coups et blessures volontaires et outrages à agents... Quant au chauffeur du bus, un brave homme assez âgé, d'origine marocaine a été convoqué au commissariat où je travaillais pour faire son audition complète suite aux faits. Il avait été convoqué par un autre de mes collègues et je me trouvais là, par les hasards du service, dans un bureau voisin, lors de son audition. Quand son audition fut terminée, il demanda à mes collègues, si j'étais de poste et demanda s'il pouvait me voir. Il entra dans mon bureau et son visage s'éclaira. De suite, il me dit: "Alors, chef, comment vas-tu? Tu es de nouveau en service? J'en suis content pour toi! Je voulais te remercier pour être intervenu dans le bus!" Je lui réponds que c'était à moi de le remercier d'être venu à mon secours alors qu’aucun des passagers n'avait bougé... C'est alors qu'il me répond: "OK, si c'est toi qui veux me remercier, fais-le, mais... Tu sais comment?" Etonné, je lui réponds que non.... Il me rétorque: " Eh bien, c'est simple: sois mon ami!" Son ami, je le suis devenu et à chaque fois qu’on se rencontre, on se raconte cette histoire, laquelle finalement est devenue une belle histoire d'amitié....Notre histoire. Pierre du Molenblok
Sauf exception, tous les légumes doivent être blanchis avant la congélation, ceci en sauvegarde la saveur, la couleur et la texture durant la congélation. Il est essentiel de bien suivre la durée de blanchiment. Si c'est insuffisant les enzymes ne seront pas tous inactivés. Si c'est trop long, les légumes perdront leur saveur et les éléments nutritifs. Beaucoup d’eau, environ 4 litres pour 1 livre de légumes, le double pour les légumes feuillus. Envelopper les légumes, sans les serrer dans un sac de coton à fromage attaché avec une ficelle suffisamment longue facilitera la manipulation. Plongez les légumes dans l'eau à forte ébullition. Couvrir la casserole et commencer à compter immédiatement la durée de blanchiment. Refroidir immédiatement sous l'eau froide courante ou dans l'eau froide avec de la glace. Égoutter et congeler selon les informations. Bien identifier les paquets et les dates de congélation.
Asperges : Bien laver et couper à la longueur désirée. Blanchir 2 à 4 minutes selon la grosseur
Betteraves : Conserver les racines et laisser un pouce de tige. Cuire à l'eau bouillante jusqu'à tendreté, refroidir, peler, trancher ou couper en dés. Congeler dans des sacs à congélation.
Brocolis : Pour faire sortir les insectes, immerger le pied ou les fleurettes durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel. Enlever les tiges, couper en morceaux d'au plus 3/4" de diamètre. Blanchir les morceaux de 3 à 4 minutes.
Carottes : Gratter ou peler. On peut laisser les petites carottes entières; les plus grosses seront en tranches de 1/4" d'épaisseur, en dés ou en bâtonnets. Blanchir 3 minutes pour les morceaux coupés et 5 minutes pour les carottes entières.
Choux : Enlevez les feuilles extérieures. Coupez en pointe ou râpez grossièrement. Blanchir les morceaux en pointe 2 minutes et le chou râpé 1 minute.
Choux-fleurs : Pour faire sortir les insectes, immerger le pied ou les fleurettes durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel. Enlever les tiges, couper en morceaux d'au plus 3/4" de diamètre. Blanchir les morceaux de 3 minutes.
Choux de Bruxelles : Pour faire sortir les insectes, immerger les choux durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel. Enlever les tiges et les feuilles extérieures. Blanchir les petits 3 minutes, les moyens 4 minutes et les gros 5 minutes.
Citrouilles : Couper en morceaux et enlevez les graines et membranes. Cuire à la vapeur, à l'eau bouillante ou au four jusqu'à tendreté. Refroidir et retirer la pulpe de l'écorce, mettre en purée et congeler.
Courges : Procéder comme pour les citrouilles.
Haricots verts ou jaunes : Bien laver, couper la tige et la queue. Blanchir 3 minutes.
Épinards : Bien laver et enlever la tige sur le dos des feuilles. Blanchir 2 minutes.
Fines herbes : Les fines herbes peuvent être congelées hachées ou sur des tiges. Congeler sur un plateau avant de mettre en sac.
Maïs en grains : Éplucher et enlever les soies, blanchir 4 minutes, refroidir, égrener et empaqueter.
Maïs en épis : Le maïs en épis développe souvent des saveurs indésirables en cours de congélation. Il est recommandé de minuter avec précision la durée de blanchiment qui est de 7 minutes pour les petits, 9 minutes pour les moyens et 11 minutes pour les gros épis.
Petits pois : Bien laver. Blanchir 1/2 minutes.
Pois mange-tout : Bien laver et enlever la tige. Blanchir 2 minutes.
Poireaux : Bien laver et enlever les racines et couper la tige feuillée. Blanchir 3 minutes.
Poivrons : Les piments rouges ou verts peuvent être laissés entiers, on peut aussi enlever les graines et les tiges, les couper en deux ou les trancher. Il est inutile de les blanchir.
Tomates : Les tomates peuvent être laissées entières, on peut aussi enlever les graines et les tiges, les couper en deux ou les trancher. Il est inutile de les blanchir. Au moment de les utiliser, il suffit de les passer à l'eau chaude, sous, le robinet, la peau se détachera toute seule. Bon WE,
Ouessant est la quatrième île de la France métropolitaine par la taille (après la Corse, l’île d'Yeu et Belle-Île-en-Mer), si l'on omet l’île d’Oléron, l'île de Ré et l'île de Noirmoutier, qui sont désormais reliées au continent par un pont. Distante de vingt kilomètres de la côte ouest du Finistère, longue de huit kilomètres et large de quatre, elle est la terre la plus occidentale de la France métropolitaine si l’on excepte le rocher de AnIvidic à quelques encablures de l’île, sur lequel est ancré le phare de Nividic. Phare du Four pendant la tempête d 'Herman L’île est séparée de l’archipel de Molène par le passage du Fromveur, un froid et puissant courant marin (8 à 10 nœuds) résultant d’une faille locale de 60 m de profondeur. Tout marin connaît cette île du Ponant, ultime escale avant les Amériques. « L'île haute », « l'île de l'épouvante », « l'île des naufragés », tous les marins connaissent ces effroyables surnoms, les perfides écueils qui la ceinturent, les brumes qui l'engloutissent un jour sur quatre, et les redoutables courants qui l'enserrent, tel le Fromveur, l'un des plus forts d'Europe. « Qui voit Ouessant voit son sang ». Le dicton dit tout. GéologieGéologiquement, Ouessant est formée principalement de granulite grenue à gros grains dans sa moitié nord et de gneiss granulitique micacé, alternant avec des micaschistes, avec des filons de granulite grenue blanche dans sa moitié sud1. L'île possède aussi un gisement de graphite dans sa partie sud-ouest et des grenats dans sa partie sud. La levée de gros galets basaltiques située à Porz Nenv près de l'ancien hameau de Pern seraient venus d'Islande, transportés par des icebergs lors des glaciations quaternaires et forment une plage suspendue, témoignant d'un niveau de la mer plus élevé lors des périodes de réchauffement interglaciaires. L'archipel d'Ouessant-Molène est un morceau détaché de l'anticlinal du Léon, formé de granites d'époque archéenne et carbonifère, que l'on peut subdiviser en deux parties : la première, composée de la seule île d'Ouessant, est séparée du continent depuis très longtemps ; Situé à l'ouest de l 'île, c'est la plage la plus fréquentée car c'est la plus proche du bourg, mais aussi la plus visible. Elle est situé à l'est de la BAIE DE LAMPAUL. La seconde, qui comprend Molène et les îles de son archipel, dont la séparation d'avec le continent est récente. Une ancienne barrière granitique unissait les îles de l'archipel de Molène au continent au niveau de l'actuel chenal du Four ; Cette barrière s'abaissa lentement, provoquant un ennoiement progressif dont des forêts submergées comme on en retrouve des traces dans l'Anse de Goulven ou à Tréompan, des monuments mégalithiques engloutis et des légendes de villes englouties (Ys, Tolente).
« L'archipel d'Ouessant est constitué d'un ensemble d'îles dont les plus importantes sont, à partir de la pointe Saint-Mathieu, les îles de l'archipel de Molène : Béniguet, Quéménès, Trielen, Molène, Balanec, Bannec, et enfin Ouessant. À ces îles, il faut ajouter une infinité d'îlots, hauts fonds, récifs, parties émergentes d'un vaste plateau sous-marin, limité à l'Ouest par Ouessant et au sud par la chaussée des Pierres Noires. Cette ligne de rochers, matérialisée par un phare du même nom, s'ouvre sur la rade de Brest et la baie de Douarnenez. Phare de la Jument à Ouessant en Bretagne Cet archipel ne ménage, entre les îlots et récifs, que d'étroits passages peu profonds hérissés d'écueils et réservés à la navigation locale. Par contre au Nord, le chenal du Four permet de communiquer avec l'Iroise en longeant le continent : Malgré son étroitesse, il peut être emprunté par tous les navires car les courants suivent la direction du chenal ; les récifs des Plâtresses le séparent du chenal de la Helle, autre passage permettant d'éviter les dangers de l'archipel. »
À 500 m d’altitude, d’une superficie de 657 ha, le lac de Monteynard étend ses eaux turquoise sur 20 Km de long. À moins d'une demi-heure de Grenoble, aux portes du Trièves, venez prendre un bain de nature, vous immerger dans un monde à part, plonger dans l'aventure entre ciel et eau… Le lac de Monteynard est le paradis de la planche à voile et du kite surf mais pas seulement. Randonneurs, vététistes, véliplanchistes, pêcheurs, actifs, contemplatifs, petits et grand, à vous de jouer !
Nouveau et unique en Europe
Deux passerelles himalayennes permettent d’enjamber le Drac et l’'Ébron et de passer d’'une rive à l'autre au fil d'un itinéraire forestier à sensations de 12,5 Km de long.
Le match OM-OL interrompu à cause de jets de projectiles
On est dans un exercice de non-droit du foot, il faut vite y mettre un terme,
ou alors ce n’est pas la peine d'investir dans les stades et dans les joueurs.
Jean-Michel AULAS.
Mercure (Planète)
Mercure est la planète la plus proche du Soleil et la moins massive du Système solaire1. Son éloignement au Soleil est compris entre 0,3075 et 0,4667 UA, ce qui correspond à une excentricité orbitale de 0,2056 — plus de douze fois supérieure à celle de la Terre, et de loin la plus élevée pour une planète du système solaire.
Elle est visible à l'œil nu depuis la Terre avec un diamètre apparent de 4,5 à 13 secondes d'arc, et une magnitude apparente de 5,7 à -2,3 ; son observation est toutefois rendue difficile par son élongation toujours inférieure à 28,3° qui la noie le plus souvent dans l'éclat du Soleil.
Mercure a la particularité d'être en résonance 3:2 sur son orbite, sa période de révolution (87,969 jours) valant exactement 1,5 fois sa période de rotation (58,646 jours), et donc la moitié d'un jour solaire (175,938 jours). L'inclinaison de l'axe de rotation de Mercure sur son plan orbital est la plus faible du système solaire, à peine 2 minutes d'arc. Son périhélie connaît une précession autour du Soleil plus rapide que celle prédite par la mécanique newtonienne, une avance de 42,98 secondes d'arc par siècle2 qui n'a pu être complètement expliquée que dans le cadre de la relativité générale3.
Mercure est une planète tellurique, comme le sont également Vénus, la Terre et Mars. Elle est près de trois fois plus petite et presque vingt fois moins massive que la Terre mais presque aussi dense qu'elle, avec une gravité de surface pratiquement égale à celle de Mars, qui est pourtant près de deux fois plus massive.
Sa densité remarquable — dépassée seulement par celle de la Terre, qui lui serait d'ailleurs inférieure sans l'effet de la
compression gravitationnelle — est due à l'importance de son noyau métallique, qui occuperait plus de 40 % de son volume, contre seulement 17 % pour la Terre.
Comme Vénus, Mercure est quasiment sphérique — son aplatissement pouvant être considéré comme nul — en raison de sa rotation très lente. Dépourvue de véritable atmosphère, sa surface est très fortement cratérisée, et globalement similaire à la face cachée de la Lune. Seules deux sondes spatiales ont étudié Mercure. Mariner 10, qui a survolé à trois reprises la planète en 1974–1975, a cartographié 45 % de sa surface et découvert son champ magnétique.
La sonde MESSENGER, après trois survols en 2008-2009, s'est mise en orbite autour de
Mercure en mars 2011 et a entamé une étude détaillée notamment de sa topographie, son histoire géologique, son champ magnétique et son exosphère.
La quasi-absence d'atmosphère — il s'agit en fait d'une exosphère exerçant une pression au sol de l'ordre d'1 nPa (10-14 atm) — combinée à la proximité du Soleil — dont l'irradiance à la surface de Mercure varie entre 4,6 et 10,6 fois la constante solaire (soit 12 300 W/m2 de surface mercurienne) — engendre des températures en surface allant de 90 K (-183 °C) au fond des cratères polaires (là où les rayons du Soleil ne parviennent jamais) jusqu'à 700 K (427 °C) au point subsolaire au périhélie.
La planète Mercure doit son nom au dieu Mercure du commerce et des voyages, également messager des autres dieux dans la mythologie romaine.
La planète a été nommée ainsi par les Romains à cause de la vitesse à laquelle elle se déplaçait4. Le symbole astronomique de Mercure est un cercle posé sur une croix et portant un demi-cercle en forme de cornes (Unicode : ?). C'est une représentation du caducée du dieu Hermès. Mercure laissa également son nom au troisième jour de la semaine, mercredi (« Mercurii dies »)5.
Présentation Générale Vénus (Planète)
Vénus est une des quatre planètes telluriques du Système solaire. Elle est la deuxième planète par ordre d'éloignement au Soleil, et la sixième par masse ou par taille décroissantes. La planète Vénus a été baptisée du nom de la déesse Vénus de la mythologie romaine.
Vénus est une planète tellurique, comme le sont également Mercure, la Terre et Mars. Elle possède un champ magnétique très faible et n'a aucun satellite naturel. Elle est, avec Uranus, l'une des deux seules planètes du Système solaire dont la rotation est rétrograde, et la seule ayant une période de rotation (243 jours) supérieure à sa période de révolution. Vénus présente en outre la particularité d'être quasiment sphérique — son aplatissement peut être considéré comme nul — et de parcourir l'orbite la plus circulaire des planètes du Système solaire, avec une excentricité orbitale de 0,0068 (contre 0,0167 pour la Terre).
Vénus est presque aussi grande que la Terre — son diamètre représente 95 % de celui de notre planète —
et a une masse équivalente aux quatre cinquièmes de celle de la Terre. Sa surface est dissimulée sous
d'épaisses couches de nuages très réfléchissants qui lui confèrent un albédo de Bond de 0,75 et
une magnitude apparente dans le ciel pouvant atteindre -4,6, valeur dépassée uniquement par la Lune et le Soleil.
Étant plus proche du Soleil que la Terre, elle présente des phases au même titre que la Lune et Mercure selon sa position relative par rapport au Soleil et à la Terre, son élongation ne dépassant jamais 47,8°.
L'atmosphère de Vénus est la plus épaisse de celle de toutes les planètes telluriques, avec une pression au sol atteignant 9,3 MPa (91,8 atm) au niveau de référence des altitudes vénusiennes. Cette atmosphère est composée d'environ 96,5 % de dioxyde de carbone et 3,5 % d'azote, avec de faibles concentrations de dioxyde de soufre et de divers autres gaz.
Elle contient d'épaisses couches nuageuses opaques constituées de gouttelettes de dioxyde de soufre et d'acide sulfurique surmontées d'une brume de cristaux de glace d'eau qui donne à la planète son aspect laiteux lorsqu'on l'observe depuis l'espace.
Ces nuages réfléchissent l'essentiel du rayonnement solaire, de sorte que la puissance solaire parvenant au sol sur Vénus représente moins de 45 % de celle reçue au sol sur Terre, et est même inférieure d'un quart à celle reçue à la surface de la planète Mars.
L'atmosphère de Vénus est près de cent fois plus massive que celle de la Terre et
possède une dynamique propre, indépendante de la planète elle-même, avec
une super-rotation dans le sens rétrograde en quatre jours terrestres,
ce qui correspond à une vitesse linéaire au sommet des nuages d'environ 100 m/s (360 km/h) par rapport au sol.
Compte tenu de sa composition et de sa structure, cette atmosphère génère un très puissant effet de serre à l'origine des températures les plus élevées mesurées à la surface d'une planète du Système solaire : près de 740 K (environ 465 °C) en moyenne à la surface — supérieures à celles de Mercure, pourtant plus proche encore du Soleil, où les températures culminent à 700 K (environ 425 °C) — et ceci bien que l'atmosphère ne laisse passer que le quart de l'énergie solaire incidente.
La topographie de Vénus présente peu de reliefs élevés, et consiste
essentiellement en de vastes plaines a priori volcaniques géologiquement
très jeunes — quelques centaines de millions d'années tout au plus.
De très nombreux volcans ont été identifiés à sa surface — mais sans véritables coulées de lave, ce qui constitue une énigme — ainsi que des formations géologiques, parfois uniques dans le Système solaire telles que coronae, arachnoïdes et farra, attribuées à des manifestations atypiques de volcanisme.
En l'absence de tectonique des plaques identifiée à la surface de la planète, on pense que Vénus évacue sa
chaleur interne périodiquement lors d'éruptions volcaniques massives qui
remodèlent entièrement sa surface, ce qui expliquerait que celle-ci
soit si récente.
Entre ces épisodes de volcanisme global, le refroidissement de la planète
serait trop lent pour entretenir un gradient thermique suffisant dans la
phase liquide du noyau pour générer un champ magnétique global par
effet dynamo2.
Par ailleurs, des mesures d'émissivité à 1,18 µm réalisées en 20083 ont suggéré une relative abondance des granites et autres roches felsiques sur les terrains les plus élevés — qui sont généralement les plus
anciens — de la planète, ce qui impliquerait l'existence passée d'un océan global assorti d'un mécanisme de recyclage de l'eau dans le manteau susceptible d'avoir produit de telles roches.
À l'instar de Mars, Vénus aurait ainsi peut-être connu, il y a plusieurs milliards
d'années, des conditions tempérées permettant l'existence d'eau liquide
en surface, eau aujourd'hui disparue — par évaporation puis dissociation
photochimique dans la haute atmosphère — au point de faire de cette planète l'une des plus sèches du Système solaire.
La planète Vénus a été baptisée du nom de la déesse Vénus de la féminité et de l'amour physique dans la mythologie romaine. Elle était déjà connue des Babyloniens à l'Âge du bronze, associée à la déesse Ishtar de la mythologie mésopotamienne.
À New-York, une ferme verticale de 6500m² va produire 1000 tonnes de légumes par an
Controversée dans le monde de l’agriculture biologique, la technique de l’aéroponie,
qui consiste en la production de cultures hors du sol, va bientôt
connaître son apogée aux États-Unis. L’objectif ? Allier une bonne
productivité à une agriculture responsable et biologique au cœur de la
ville. Le futur s’invite une nouvelle fois dans nos cultures, avec une
incroyable structure sur le point d’ouvrir ses portes à proximité de
New-York.
C’est au New-Jersey, à proximité de New-York, que va bientôt ouvrir le plus
grand site de production agricole verticale au monde. Prenant place dans
une usine abandonnée, deux tiers du bâtiment seront exclusivement dédiés à la culture de choux et de salades, tandis que le dernier tiers abritera un centre de recherche, des bureaux et un café, créant ainsi 78 emplois.
Fondée par la société AeroFarms, cette ferme verticale de 6500m² répondrait à un pari fou : réussir à produire localement 1000 tonnes de salades et de choux par an, en utilisant le système de l’aéroponie. Selon cette technique, les
plants ne verront jamais la lumière du jour et seront entièrement
éclairés par des LED. L’irrigation classique sera remplacée par un
brouillard ambiant qui hydratera les racines et les feuilles selon leurs
besoins, économisant ainsi 95% des ressources habituelles en eau de
l’agriculture industrielle classique. Un choix qui semble allier
économie à écologie.
Si l’idée de l’absence de soleil ne semble pas très naturelle, les
avantages de la technique sont clairs et nombreux. Tout d’abord, cette
approche ne nécessite aucun recours aux pesticides ni aux dérivés
pétroliers. La production est donc « biologique » d’un point de vue
nutritionnel et brise les croyances conventionnelles dans la nécessité
d’utiliser des intrants chimiques. L’absence de prédateur permet, par
ailleurs, d’éviter le recours aux OGM. Ensuite, la récolte automatisée
évite l’utilisation de tracteur et de matériels polluants qui utilisent
des énergies fossiles. De ce point de vue, aucun animal ne peut être
broyé par les machines agricoles. Enfin, le système signe un pourcentage
de pertes quasi-nul grâce à une analyse informatisée et permanente des
cultures, tout en évitant les intempéries. « Grâce à cette technique, nous pouvons donner à la plante tout ce dont elle a besoin, quand, comment et où elle en a besoin » explique le directeur général d’AeroFarms.
Cette façon peu courante de produire localement et massivement, permettrait ainsi
de réduire considérablement les inconvénients environnementaux des
transports en camion, habituellement utilisés pour ravitailler les
villes en fruits et légumes. Elle répondrait aussi à un accroissement de
la population toujours plus grand en ville, offrant ainsi des cultures à
grand rendement, occupant peu d’espace tout en étant de type
écologique. À l’approche de la fin de l’ère des énergies fossiles, les
alternatives locales (y compris urbaines) vont nécessairement devoir se
développer si nous voulons avoir les moyens de nourrir l’ensemble de la
population.
En plein essor, ces fermes aéroponiques posent une question épineuse :
entrent-elles en rivalité avec les solutions locales naturelles comme
l’agroforesterie ou la permaculture qui demandent plus d’espaces ? Au
contraire, doit-on voir ces solutions comme étant complémentaires dans
l’objectif de nourrir les populations de manière saine, tout en coupant
l’herbe sous le pied des méthodes industrielles les plus polluantes qui,
rappelons le, dominent plus de 95% du marché en Europe ? Il conviendra à
chacun d’en juger.
https://www.facebook.com/video.php?v=10150136134999700
j'au lu de A à Z , l'histoire du policier.....
Emue , à la fin du récit
Pas besoin de rajouter,quoique ce soit.....Ce Monsieur a tout dit , s'est bien exprimé , calmement.....
Bonne journée
Victoria
Belgique. Il m’a demandé gentiment, si je pouvais la publier sur
ma page ; bien sûr j’ai accepté !
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J’aimerais montrer à nos amis de Ma Planète un " autre " visage de la police. Dans
la deuxième partie, je voudrais vous partager ce récit relatant un
incident peu ordinaire dans un véhicule servant aux transports en commun
dans une grande ville ; récit qui à la fin, démontre que finalement,
l'amitié n'a ni nationalité, ni de visage et que les " vrais " gens qui
veulent aider quelqu'un dans une situation difficile le feront devant
l'inertie des autres....
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J'avais, après mon service militaire (encore obligatoire en 1971)
longtemps hésité avant de postuler comme policier. Après avoir rempli
mes obligations de citoyen belge envers la défense nationale, j'ai
d'abord travaillé quelque temps dans un magasin de prestige spécialisé
dans la location et la vente de tapis d'orient en tant que magasinier.
Comme la différence salariale était du simple, en tant que ouvrier, au
double, en tant que fonctionnaire public. J’aimais ce métier et cela
faisait un bon moment que je voulais être policier et j’ai fini par
m’engager.
Je dois avouer qu’une carrière complète dans la police laisse des traces
indélébiles, telles que de l'insensibilité, une méfiance et un regard
différent sur la nature humaine.
En 35 ans , j’ai vécu des manifs pacifistes et d'autres, tournant à
l'émeute ; des bagarres dans les débits de boissons ; des couples que se
déchirent, avec les enfants au milieu, comme pauvres témoins de drames
familiaux qu'ils ne comprenaient pas ; de graves accidents de
voitures ; des suicides ; des gens solitaires qui décédaient de mort
naturelles, seuls et oubliés de tous, sans famille, restant allongés des
jours entiers sans que les voisins ne se demandent où ils étaient
passés, mais finalement dérangés par une odeur bizarre qui persistait
dans le quartier… Alors bien sûr... On va quand même appeler la police
car ce n'était pas normal... Et on arrivait sur place, les premiers,
avant tout le monde, après avoir enfoncé la porte, et...
Mais il y avait aussi les collègues, qui devenaient des amis, des
copains, des potes, on passait plus de temps avec eux, qu’auprès de nos
familles...Après le service, on allait boire une chope, au café près du
commissariat, et même si on avait vu le pire à voir, on rentrait chez
nous, pour recommencer le lendemain et le jour suivant. C'était surtout
le travail de nuit qui était le plus mal supporté par la plupart du
personnel, on devait effectuer une garde de 17 heures au total tous les 6
jours...
Les bons moments, il y en avait aussi ; des situations cocasses et
drôles, irréelles parfois, merveilleuses surtout à l'approche des fêtes
de fin d'année…
Il est vrai aussi, que j'ai constaté au fur et à mesure des années, un
manque de respect grandissant, ainsi qu’un manque de reconnaissance de
notre métier à sa juste valeur de la part d'une certaine couche de la
population. Autrefois, il suffisait de juste voir un policier en tenue
faire sa ronde pour qu’une ambiance préventive s’installe ; l'uniforme
infligeait le respect. Plus tard, je suis monté en grade, commandant une
équipe d’agents qui étaient sous mes ordres. Ils me demandaient souvent
de pouvoir faire leurs rondes en tenue civiles parce qu’ils ne se
sentaient plus à l'aise dans leur uniforme qui était de moins en moins
respecté…
Enfin...J'ai encore tant et tant de chose raconter... Je voudrais
partager des histoires d'amitiés qui se sont créés, de bons et joviaux
rapports avec la population.
2ème partie :
" Eh bien, c'est simple: Sois mon ami!"
16HOO, la relève est là... Cette journée aura été rude au commissariat de la
8ème division de la police de Bruxelles, où j'étais affecté depuis pas
mal d'années comme inspecteur principal.
J'avais pris mon poste à 6h30 au matin et toute la journée s'était déroulée à
auditionner des personnes dans le cadre d'affaires judiciaires, aussi
nombreuses que variées. Certaines de ces auditions s'étaient déroulées
sans problème, d'autres beaucoup moins, avec des gens agressifs,
arrogants, affichant leur mépris total pour les forces de l'ordre… Dans
ce métier, on apprend à garder son calme et finalement la journée s’est
terminée sans d'incidents majeurs pendant le service.
Le temps de refermer le casier du vestiaire et me voilà dans le bus de la
ligne 53 qui fait la liaison entre la place Emile Bockstael qui se
trouve dans le quartier de Laeken et Neder-Over-Heembeek qui font partie
de la banlieue du Nord de Bruxelles.
Ce bus, au cours de son trajet, passe dans le quartier dit " Versailles"
dans lequel sévit une bande urbaine portant le même nom... C'est en fait
l'avenue de Versailles, bordée dans sa plus grande longueur de
logements sociaux.
Je suis assis à l'arrière du bus...Pas beaucoup de monde ; quelques
passagers anodins, et nous abordons l'avenue de Versailles... C'est une
belle journée de printemps bien chaude et bien ensoleillée....
Le 53, arrive à l'arrêt dénommé " Pagodes". Je remarque une bande de 4
adolescents qui montent dans le bus... Deux d'entre eux prennent des
sièges au milieu du bus, les deux autres entament une discussion avec le
chauffeur. Cette discussion semble assez animée et dure assez
longtemps… Finalement, les deux autres jeunes finissent par occuper des
sièges un plus vers l'avant.
Le bus ne redémarre pas et ne quitte pas l'arrêt. Comme les minutes
s'écoulent, je me lève pour aller demander au chauffeur pourquoi il ne
démarre pas et je lui montre ma carte de service. Il porte à ma
connaissance que les deux derniers jeunes, l'ont insulté, protestant que
l'un d'entre eux avait eu son pied coincé dans la porte qui s'était
refermée sur lui au moment où il embarquait. Le conducteur avait demandé
alors aux jeunes, leurs titres de transport ; mais ils ont refusé. Le
chauffeur leur a demandé de quitter le bus, du fait qu'ils n'avaient pas
payé pour leur trajet. Faisant les sourds d’oreilles, le couvrant
d’injures.
Je me dirige vers les jeunes gens et leur demande leur carte d'identité en
présentant ma carte de policier. Comme toute réponse ils me lancent
haineusement: "T'es qui toi, tu peux avaler ta carte, on n'en n'a rien
à cirer, on a nos droits, on reste assis et fout nous la paix!" A ce
moment-là, je savais qu'il valait mieux ne pas insister et sans hésiter
je demande au chauffeur qu'il contacte son centre de transmission pour
demander une voiture de police pour nous assister.
Tout se passe très vite alors... Les 4 jeunes se lèvent en même temps, l'un
d’eux tirant sur la poignée de secours pour arrêter le bus et prendre
la fuite. Je m'interpose et reçois une forte secousse à l'épaule et je
me positionne pour me défendre. La poussée est forte, mon pied droit se
trouve coincé entre deux sièges. Je me retourne et ressens une vive
douleur au genou droit ; le pied coincé, elle s'était tordue. J'entends
comme un bruit d'os qui craque ; impossible alors de me tenir debout et
je tombe. Je commence à ce moment-là de recevoir une pluie de coups mais
je parviens à me protéger.
Dans le bus, pas un seul des passagers présents n'a bougé pour me venir en
aide....Bien au contraire, dès que la porte s'est ouverte par l'action
de la poignée de secours ; tous, sans exception, ont quitté le bus sans
demander leur reste…
Seul, le chauffeur est venu à mon secours pour essayer de tirer les faiseurs
de trouble en dehors du bus. J’ai quand même réussi à me relever sur
l'autre jambe. Les 4 lascars ont réussi à s’enfuir dans l'avenue de
Versailles... Je me retrouve alors à l'avant du bus à côté du chauffeur,
quand les agresseurs tentent de revenir, cette fois-ci accompagnaient
d'une vingtaine d'autres jeunes, hurlants et vociférants.
Je conseille alors au chauffeur de quitter les lieux au plus vite et
de conduire le bus vers un lieu sécurisé en donnant notre position aux
voitures de police.
Pour finir cette drôle d’aventure ; cela s'est soldé pour moi par une
déchirure des ligaments, puis évacuer des lieux en ambulance...
Ces 4 jeunes en question, je l'ai su plus tard, étaient bien connus par la
police pour agression sur la voie publique, coups et blessures
volontaires et outrages à agents...
Quant au chauffeur du bus, un brave homme assez âgé, d'origine marocaine a
été convoqué au commissariat où je travaillais pour faire son audition
complète suite aux faits. Il avait été convoqué par un autre de mes
collègues et je me trouvais là, par les hasards du service, dans un
bureau voisin, lors de son audition. Quand son audition fut terminée, il
demanda à mes collègues, si j'étais de poste et demanda s'il pouvait me
voir. Il entra dans mon bureau et son visage s'éclaira.
De suite, il me dit:
"Alors, chef, comment vas-tu? Tu es de nouveau en service? J'en suis content
pour toi! Je voulais te remercier pour être intervenu dans le bus!"
Je lui réponds que c'était à moi de le remercier d'être venu à mon secours
alors qu’aucun des passagers n'avait bougé... C'est alors qu'il me
répond:
"OK, si c'est toi qui veux me remercier, fais-le, mais... Tu sais comment?"
Etonné, je lui réponds que non.... Il me rétorque:
" Eh bien, c'est simple: sois mon ami!"
Son ami, je le suis devenu et à chaque fois qu’on se rencontre, on se
raconte cette histoire, laquelle finalement est devenue une belle
histoire d'amitié....Notre histoire.
Pierre du Molenblok
La congélation des légumes
Sauf exception, tous les légumes doivent être blanchis avant la congélation, ceci en sauvegarde la
saveur, la couleur et la texture durant la congélation.
Il est essentiel de bien suivre la durée de blanchiment. Si c'est
insuffisant les enzymes ne seront pas tous inactivés. Si c'est trop
long, les légumes perdront leur saveur et les éléments nutritifs.
Beaucoup d’eau, environ 4 litres pour 1 livre de légumes, le double pour
les légumes feuillus.
Envelopper les légumes, sans les serrer dans un sac de coton à fromage attaché
avec une ficelle suffisamment longue facilitera la manipulation. Plongez
les légumes dans l'eau à forte ébullition. Couvrir la casserole et
commencer à compter immédiatement la durée de blanchiment. Refroidir
immédiatement sous l'eau froide courante ou dans l'eau froide avec de la
glace. Égoutter et congeler selon les informations. Bien identifier les
paquets et les dates de congélation.
Asperges : Bien laver et couper à la longueur désirée. Blanchir 2 à 4 minutes selon la grosseur
Betteraves : Conserver les racines et laisser un pouce de tige. Cuire à l'eau
bouillante jusqu'à tendreté, refroidir, peler, trancher ou couper en
dés. Congeler dans des sacs à congélation.
Brocolis : Pour faire sortir les insectes, immerger le pied ou les fleurettes
durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel.
Enlever les tiges, couper en morceaux d'au plus 3/4" de diamètre.
Blanchir les morceaux de 3 à 4 minutes.
Carottes : Gratter ou peler. On peut laisser les petites carottes entières; les
plus grosses seront en tranches de 1/4" d'épaisseur, en dés ou en
bâtonnets. Blanchir 3 minutes pour les morceaux coupés et 5 minutes pour
les carottes entières.
Choux : Enlevez les feuilles extérieures. Coupez en pointe ou râpez
grossièrement. Blanchir les morceaux en pointe 2 minutes et le chou râpé
1 minute.
Choux-fleurs : Pour faire sortir les insectes, immerger le pied ou les fleurettes
durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel.
Enlever les tiges, couper en morceaux d'au plus 3/4" de diamètre.
Blanchir les morceaux de 3 minutes.
Choux de Bruxelles : Pour faire sortir les insectes, immerger les choux
durant 15 minutes dans 4 tasses d'eau froide et 2 c. à table de sel.
Enlever les tiges et les feuilles extérieures. Blanchir les petits 3
minutes, les moyens 4 minutes et les gros 5 minutes.
Citrouilles : Couper en morceaux et enlevez les graines et membranes. Cuire à la
vapeur, à l'eau bouillante ou au four jusqu'à tendreté. Refroidir et
retirer la pulpe de l'écorce, mettre en purée et congeler.
Courges : Procéder comme pour les citrouilles.
Haricots verts ou jaunes : Bien laver, couper la tige et la queue. Blanchir 3 minutes.
Épinards : Bien laver et enlever la tige sur le dos des feuilles. Blanchir 2 minutes.
Fines herbes : Les fines herbes peuvent être congelées hachées ou sur des tiges. Congeler sur un plateau avant de mettre en sac.
Maïs en grains : Éplucher et enlever les soies, blanchir 4 minutes, refroidir, égrener et empaqueter.
Maïs en épis : Le maïs en épis développe souvent des saveurs indésirables en
cours de congélation. Il est recommandé de minuter avec précision la
durée de blanchiment qui est de 7 minutes pour les petits, 9 minutes
pour les moyens et 11 minutes pour les gros épis.
Petits pois : Bien laver. Blanchir 1/2 minutes.
Pois mange-tout : Bien laver et enlever la tige. Blanchir 2 minutes.
Poireaux : Bien laver et enlever les racines et couper la tige feuillée. Blanchir 3 minutes.
Poivrons : Les piments rouges ou verts peuvent être laissés entiers, on peut
aussi enlever les graines et les tiges, les couper en deux ou les
trancher. Il est inutile de les blanchir.
Tomates : Les tomates peuvent être laissées entières, on peut aussi enlever les
graines et les tiges, les couper en deux ou les trancher. Il est
inutile de les blanchir. Au moment de les utiliser, il suffit de les
passer à l'eau chaude, sous, le robinet, la peau se détachera toute
seule.
Bon WE,
Ouessant est la quatrième île de la France métropolitaine par la taille (après la Corse, l’île d'Yeu et Belle-Île-en-Mer),
si l'on omet l’île d’Oléron, l'île de Ré et l'île de Noirmoutier, qui sont désormais reliées au continent par un pont.
Distante de vingt kilomètres de la côte ouest du Finistère, longue de huit kilomètres et large de quatre, elle est la terre
la plus occidentale de la France métropolitaine si l’on excepte le rocher de AnIvidic à quelques encablures de l’île, sur lequel est ancré le phare de Nividic.
Phare du Four pendant la tempête d 'Herman
L’île est séparée de l’archipel de Molène par le passage du Fromveur, un froid et puissant courant marin (8 à 10 nœuds) résultant d’une faille locale de 60 m de profondeur.
Tout marin connaît cette île du Ponant, ultime escale avant les Amériques. « L'île haute », « l'île de l'épouvante », « l'île des naufragés », tous les marins connaissent ces
effroyables surnoms, les perfides écueils qui la ceinturent, les brumes
qui l'engloutissent un jour sur quatre, et les redoutables courants qui
l'enserrent, tel le Fromveur, l'un des plus forts d'Europe. « Qui voit Ouessant voit son sang ». Le dicton dit tout.
Géologie Géologiquement, Ouessant est formée principalement de granulite grenue à gros grains dans sa moitié nord et de gneiss granulitique micacé, alternant avec des micaschistes, avec des filons de granulite grenue blanche dans sa moitié sud1. L'île possède aussi un gisement de graphite dans sa partie sud-ouest et des grenats dans sa partie sud.
La levée de gros galets basaltiques située à Porz Nenv près de l'ancien hameau de Pern seraient venus d'Islande, transportés par des icebergs lors des glaciations quaternaires et forment une plage suspendue, témoignant d'un niveau de la mer plus élevé lors des périodes de réchauffement interglaciaires.
L'archipel d'Ouessant-Molène est un morceau détaché de l'anticlinal du Léon, formé de granites d'époque archéenne et carbonifère, que l'on peut subdiviser en deux parties : la première, composée de la seule île d'Ouessant, est séparée du continent depuis très longtemps ;
Situé à l'ouest de l 'île, c'est la plage la plus fréquentée car c'est la
plus proche du bourg, mais aussi la plus visible. Elle est situé à l'est
de la BAIE DE LAMPAUL.
La seconde, qui comprend Molène et les îles de son archipel, dont la
séparation d'avec le continent est récente. Une ancienne barrière
granitique unissait les îles de l'archipel de Molène au continent au
niveau de l'actuel chenal du Four ;
Cette barrière s'abaissa lentement, provoquant un ennoiement progressif dont
des forêts submergées comme on en retrouve des traces dans l'Anse de
Goulven ou à Tréompan, des monuments mégalithiques engloutis et des
légendes de villes englouties (Ys, Tolente).
À 500 m d’altitude, d’une superficie de 657 ha, le lac de Monteynard étend ses eaux turquoise sur 20 Km de long.
À moins d'une demi-heure de Grenoble, aux portes du Trièves, venez
prendre un bain de nature, vous immerger dans un monde à part, plonger
dans l'aventure entre ciel et eau…
Le lac de Monteynard est le paradis de la planche à voile et du kite surf
mais pas seulement. Randonneurs, vététistes, véliplanchistes, pêcheurs,
actifs, contemplatifs, petits et grand, à vous de jouer !
Nouveau et unique en Europe
Deux passerelles himalayennes permettent d’enjamber le Drac et l’'Ébron et
de passer d’'une rive à l'autre au fil d'un itinéraire forestier à
sensations de 12,5 Km de long.