L'opale multicolore ou la pierre la plus éblouissante au monde ! Ce joyau a été découverte en Australie-Méridionale sur un site minier. Son nom est opale multicolore, c'est une pierre d'une beauté extrême qui est très rare à trouver. C'est un objet qui coûte dans les milliers de dollars donc il n'est pas donné a quiconque. Surnommée Virgin Rainbow, cette pierre est née des fossiles de dinosaures opalisés selon l'histoire.
1. Ramollir la cassonade Placez le bloc qui s’est formé dans un sac à congélation avec une tranche de pomme. Fermez hermétiquement le sac et mettez-le dans un endroit bien sec. Au bout de 1 ou 2 jours, la pomme aura absorbé l’humidité et le sucre aura retrouvé sa consistance poudreuse.
2. Attendrir la chair du poulet rôti Pour que votre poulet rôti soit moelleux et juteux, farcissez-le avec une pomme avant de l’enfourner.
3. Préserver la fraîcheur d’un gâteau
Pour prolonger la durée de vie d’un gâteau fait maison ou acheté dans le commerce, il suffit de le stocker avec une demi-pomme. Il restera moelleux beaucoup plus longtemps que si vous le rangiez tout simplement au réfrigérateur.
4. Faire mûrir des tomates vertes
Enfermez les tomates encore vertes pendant quelques jours dans un sac en papier avec 1 pomme bien mûre pour 5 ou 6 tomates
5. Neutraliser un excès de sel
Si vous vous apercevez en cours de cuisson que vous avez mis trop de sel dans votre plat de légumes ou de viande, ajoutez-y quelques tranches de pomme (ou de pomme de terre). Retirez-les après une dizaine de minutes de cuisson, elles auront absorbé le sel excédentaire. BONNE JOURNÉE!
La première photo prise sur la Lune est d’un sac poubelle. Le 20 juillet 1969, Neil Armstrong sort du module lunaire de la mission Apollo 11, descend l’échelle, pose le pied sur la surface de la Lune pour la première fois, prononce sa phrase historique … et prend un sac poubelle en photo. En effet approximativement 5 minutes avant avoir posé le pied sur la Lune, Armstrong et Aldrin se sont attelés à la tâche ingrate de nettoyer le module lunaire des détritus accumulés pendant le voyage, des emballages de la nourriture aux déchets d’origine humaine dans le but de gagner le maximum de masse et d’espace pour le voyage de retour. Ils ont placé tout ça dans un Jettison Bag, un sac blanc spécial de 1m par 70cm, Aldrin l’a fait passer à Armstrong qui l’a poussé plus bas sur le sol. Alors qu’Armstrong commence à photographier la surface lunaire lors de sa première sortie à la surface de la lune son premier réflexe est de photographier ce sac poubelle. Plus tard il lui donnera un coup de pied pour l’envoyer sous le module en dehors du passage où il restera jusqu’à la fin de la mission, et effectivement il est visible sur toutes les photos du module prises par la suite.
Cet énorme rhododendron de 125 ans n'est pas techniquement un arbre. La plupart sont considérés comme des arbustes.
Un Wisteria (une glycine) de 144 ans au Japon
A 1 990 mètres carrés, cette immense glycine est la plus grande du genre au Japon.
Des arbres balayés par le vent en Nouvelle-Zélande
Ces arbres sur la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, se développent ainsi parce-qu'ils sont constamment secoués par les vents extrêmes de l'Antarctique.
Un magnifique érable japonais dans L'Orégon.
Un hêtre de l'antarctique à haute densité recouvert de mousse en Orégon
Le hêtre de l'antarctique. Originaire du Chili et de l'Argentine, bien que ce spécimen soit de la région du Pacifique Nord aux Etats-Unis.
Des cerisiers en fleurs à Bonn, en Allemagne
Ce tunnel de magnifique de cerisiers fleurit à Bonn, en Allemagne, en Avril.
Le Chêne de l'ange dans L'île de John. En Caroline du Sud
Il mesure 20 m de haut et son âge estimé à 1500 ans environ.
Le flamboyant.
Le flamboyant est originaire de Madagascar, mais il pousse dans les régions tropicales à travers le monde.
Les arbres de sang du dragon au Yémen
Le sang du dragon. Originaire de l'archipel de Socotra dans l'océan indien. La sève qu'il produit est rouge sang.
Le séquoia, le 3 ème, plus grande arbre du monde
Il mesure 73 m de haut.
Un tunnel d'érables dans l'Orégon
Un eucalyptus arc-en-ciel à Hawaï
L'eucalyptus arc en ciel, qui pousse dans tout le Pacifique Sud, est à la fois utile et beau. Il est très apprécié pour ses couleurs,son fil et sa pâte à bois. On l'utilise pour fabriquer du papier.
Des Jacarandas en Afrique du Sud
Avenue des chênes dans une plantation en Caroline du Sud
Ces chênes ont été plantés en 1790.
Des baobabs à Madagascar
Ces baobabs de Madagascar sont parfaits pour emmagasiner de l'eau dans leurs épais troncs. On les utilises pendant les sécheresses.
Les haies sombres en Irlande du nord
Ces arbres ont été plantés au 18 ème siècle. Un tunnel de hêtres magnifique ...
Une autoroute électrique pour rouler sans limite. Le gouvernement anglais a lancé un appel d'offres pour construire un prototype d'autoroute électrique sur une piste d'essai, première étape vers l'électrification d'un premier segment sur le réseau public. Photo fournie par Highways England La Presse
Le gouvernement britannique va construire un segment d'autoroute électrique expérimentale pouvant recharger les véhicules électriques en marche, sans fil ni autre connexion directe. En fournissant de l'électricité tout au long de la route, l'autonomie des véhicules électriques pourrait devenir pratiquement infinie. Cet essai, qui devrait durer 18 mois, implique l'aménagement sous l'asphalte d'un système de charge par induction électromagnétique (le même principe qui permet de charger sans fil les téléphones cellulaires et les brosses à dents électriques). En gros, le système fonctionne comme ceci : des bobines électriques logées sous l'asphalte à intervalle régulier sont alimentées par le réseau électrique national. Elles créent un champ électromagnétique juste au-dessus de la route. Chaque véhicule est muni d'une bobine électrique qui réagit au champ magnétique en générant de l'électricité. Plusieurs constructeurs ont déjà annoncé des systèmes de recharge par induction, mais la plupart de ces initiatives visent des dispositifs de recharge stationnaires, avec une bobine unique enchâssée sous la dalle d'un garage domestique, ou encore placée à des endroits stratégiques du réseau d'autobus municipal. Autonomie sans grosse batterie Le segment de route que veut construire Highways England (une division du ministère des Transports) pour ses tests sera aménagé sur une piste d'essai hors du réseau routier. Mais Highways England s'attend à ce que l'expérience acquise mène à la construction d'un premier véritable tronçon d'autoroute électrique.
Le ministère des Transports a même évoqué - sans engager le gouvernement - un avenir où tout le réseau des grandes autoroutes de Grande-Bretagne serait électrifié. Highways England n'a donné aucun détail technique sur l'intensité électrique requise ni sur le risque (s'il y en a un), pour les passagers, du champ électromagnétique créé sur la route. L'organisme gouvernemental a dit que les critères de l'essai seront publiés dans l'appel d'offres. Volvo a déjà fait de tels essais à Göteborg, en Suède, où un tronçon de 500 m a été aménagé pour la recharge en marche des autobus municipaux, et la technologie est transférable aux voitures personnelles. Un tel réseau, à terme, permettrait de mettre des batteries moins grosses (et moins lourdes) dans les camions faisant la navette régulière sur des axes routiers électrifiés.Fils sous la route. Le gouvernement fédéral du Royaume-Uni a une politique d'électrification automobile assez dynamique: il a voté des crédits de 500 millions de livres (1 milliard de dollars) sur cinq ans. L'utilisation de ces sommes n'est pas encore tout à fait détaillée, mais la stratégie d'électrification routière prévoit, à long terme, un réseau national de bornes tous les 32,2 km (20 milles, en fait) sur certaines «routes A» (les autoroutes nationales) du Royaume-Uni. Ces expériences ne sont pas nouvelles. Au Congrès international de Versailles, en 1997, l'École nationale des ponts et chaussées de France avait présenté un rapport encourageant sur des essais faits avec les technologies disponibles à l'époque. Le coût d'enchâsser dans les routes des installations sera sûrement un enjeu. La multinationale Siemens propose une alternative bien moins coûteuse mais extrêmement laide: installer des fils au-dessus des autoroutes et munir les camions de transport de pantographes pour capter l'électricité. Par ailleurs, le gouvernement britannique a annoncé la semaine dernière qu'il prolonge au moins jusqu'à février 2016 le programme de subvention à l'achat de voitures électriques (jusqu'à 5000 livres, soit 10 365 $). Au Canada, le gouvernement fédéral n'a aucun programme de ce genre, mais plusieurs provinces, dont le Québec, en ont.
Appauvrissement du vocabulaire : signe d’une apathie cérébrale ou conséquence d’un manque d’éducation ? (D’après « Les Annales politiques et littéraires », paru en 1925)
Emile Littré
En 1925, un chroniqueur des Annales politiques et littéraires s’indigne, non sans humour, de l’appauvrissement du vocabulaire de ses contemporaines, observant avec consternation leur propension à employer avec une déconcertante facilité les mots truc ou machin !!! On entend assez souvent, déplore le professeur strasbourgeois agrégé d’histoire et essayiste André Lichtenberger, une charmante jeune femme dire à une autre : « J’adore votre petit truc. » A quoi l’autre répond : « Vous savez, ces machins-là, rien n’est plus facile que de les choisir soi-même. » Et notre chroniqueur d’avouer combien ces manières de parler l’horripilent, lui apparaissant comme autant de signes de neurasthénie, d’ignorance, de défaut d’éducation, n’hésitant par à voir en cette incapacité de trouver les mots la traduction la plus manifeste et la plus inquiétante de la fatigue cérébrale menant à l’anémie et conduisant au cabanon. À moins, toutefois, que ces défaillances de mémoire n’aient leur véritable origine dans une certaine insuffisance de leur instruction primaire, poursuit-il. Apprendre des mots est l’un des premiers signes de l’éveil de l’intelligence. L’homme qui dispose de beaucoup de mots s’avère un esprit cultivé. Une indigence excessive de vocabulaire traduit presque toujours une indigence spirituelle. Il y a des chances pour que la jeune personne dont l’effort cérébral ne va plus jusqu’à pouvoir articuler : « Je vais essayer mon chapeau », mais se borne à marmotter en bâillant de façon vaseuse : « Je vais choisir mon machin », n’ait pas d’excès de bagage intellectuel. A moins que ce qui lui manque ne soit plutôt un sentiment élémentaire des égards dus à notre prochain. Certaines affectations de nonchaloir verbal ont tout juste la grâce du malotru qui trouve trop fatigant de céder sa place dans l’autobus, d’ôter son chapeau dans la rue, ou de tirer sa cigarette du coin de la lèvre pour dire bonjour. Il y a, dans ces négligences, de la goujaterie. C’est une manière de signifier à l’interlocuteur : — La dignité de ma personne et de mes occupations m’élève trop au-dessus de vous pour que je m’impose le minuscule effort de vous parler d’une manière intelligible. A vous de vous hausser jusqu’à moi, si vous voulez que je daigne poursuivre l’entretien. En somme, c’est, parmi tant d’autres, un des symptômes du laisser aller général, de la mauvaise tenue, qu’il convient d’affecter quand elle ne nous est pas naturelle, du débraillé démocratique. La parole est le propre de l’homme. Bien parler est un des signes de la culture et un des agréments de la vie de société. Jargonner est un acte de sabotage ou un signe de déchéance. Mesdames, daignez, pour votre faible part, contribuer, selon vos forces, au maintien du joli parler de France. Il traverse de bien tristes jours ! s’exclame le chroniqueur en guise de conclusion. Et de nos jours c'est pire.
Partir sur la trace de ses ancêtres Nombreux sont les Québécois à fouiller le passé en France, dans les villes et villages autrefois habités par leurs ancêtres pionniers. Sur la photo, Denise Tremblay Perron, de Baie-Saint-Paul, découvre l'ancienne demeure de son aïeule Ozanne Achon, en compagnie de Jany Grassiot, historien charentais. Photo Sylvain Sarrazin, La Presse S'extasier devant la maison de son aïeul, humer l'air des quartiers où résidaient les pionniers, marcher dans les pas de Jacques Cartier... autant de façons de vivre le tourisme généalogique, auquel s'adonnent de plus en plus de Québécois en France. Introduction à un voyage à nul autre pareil, au gré de nos racines familiales et sociales. Quête dans les méandres du passé, le tourisme généalogique, qui consiste à retrouver les lieux de vie de ses aïeux sur le Vieux Continent, déchaîne des passions auprès des Québécois, nombreux à se lancer sur les traces de leurs ancêtres en France, ou en Irlande et en Angleterre. « On trouve des touristes généalogistes amateurs qui voyagent pour faire des recherches historiques sur leur famille, et ceux sans prétention généalogique qui y vont par simple curiosité », relève Pascale Marcotte, professeure au département d'études en loisir, culture et tourisme de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Ainsi, tout parcours se révèle propre à chacun, en fonction de son passé familial et des connaissances historiques qui ont pu être retrouvées et conservées. Les plus chanceux peuvent ainsi visiter la maison autrefois occupée par leur ancêtre ; d'autres doivent se borner à explorer quartiers, villages et églises où se tinrent baptêmes et mariages. Photo Sylvain Sarrazin, La Presse Ces lieux de visite se concentrent, logiquement, dans les régions qui constituèrent des foyers d'émigration vers la Nouvelle-France : la Normandie (et tout particulièrement le Perche), le Poitou-Charentes et l'Île-de-France, notamment. De plus en plus populaire cette curiosité semble s'aiguiser au fil des ans, avec la multiplication du nombre de voyageurs se prêtant à ce jeu de piste généalogique. « On voit passer de plus en plus de Québécois, et cela ne cesse d'augmenter. Actuellement, on en reçoit une soixantaine par an », constate Francis Pilfert, maire de Randonnai, village d'origine de la famille Tremblay, niché au fin fond du Perche (à 140 km à l'ouest de Paris). Cette tendance, liée à la croissance globale du tourisme ainsi qu'à l'accès plus aisé aux données généalogiques, pourrait aussi s'expliquer par une conscience historique plus aiguë des générations vieillissantes. « On observe un vieillissement de la population, laquelle est plus scolarisée que les générations précédentes et va davantage s'intéresser à la généalogie », souligne l'universitaire Pascale Marcotte. Un penchant qui n'a pas échappé à certains villages, qui n'hésitent pas à mettre en valeur ces vestiges et lieux de mémoire. C'est le cas de Tourouvre, en Basse-Normandie, qui fut un bassin majeur de pionniers en Nouvelle-France. Çà et là, on dénote des hommages aux grandes familles du Québec : dans l'église, avec des vitraux et des plaques commémoratives (Mercier, Boucher, Giguère, Gagnon, etc.) ou dans les rues (place du Québec, salle Félix-Leclerc). Tourouvre a également érigé un musée de l'émigration française au Canada, relatant l'épopée des pionniers du XVIIe siècle. Le village de Tourouvre, dans la région du Perche, foyer de pionniers partis en Nouvelle-France. Photo Sylvain Sarrazin, La Presse Ascendants et descendants « C'est mon 39e voyage en France, et probablement le dernier », lâche Jean-Paul Gagnon, résidant de Saint-Lambert passionné de généalogie, parti en juin lancer un ultime adieu à la terre de ses aïeux, de Versailles à Brest. Aujourd'hui âgé de 94 ans, il a écumé sans relâche les traces de ses ancêtres Gagnon, anciennement Gaignon, incitant même les descendants français à s'intéresser à leurs origines. « Ici, au Québec, on veut savoir d'où on vient et on découvre souvent des éléments historiques que les Français ne cherchent plus », souligne le passionné, qui continue de consigner ses recherches dans des ouvrages. Sur la feuille de route de ses nombreux voyages l'incontournable lieu-dit de La Gagnonnière, berceau de la branche québécoise de la famille Gagnon. Ce regroupement de vieilles bâtisses, en Basse-Normandie, constitue un véritable lieu de pèlerinage familial, même si le doute plane sur la demeure exacte qui fut autrefois occupée par les frères Gagnon. Le château de Villaines. Photo Sylvain Sarrazin, La Presse Autre lieu apprécié par Jean-Paul Gagnon lors de ses séjours, le Château de Villaines, dans la Sarthe (au sud de la Normandie), ayant appartenu à un certain Louis de Gaignon. Le Québécois y organise même des retrouvailles avec des descendants de la branche familiale française.
Des générations plus jeunes aussi intéresséesCertes, nombreux sont les aînés à entreprendre des recherches et à se déplacer sur les traces de leurs ancêtres, mais les générations plus jeunes font aussi montre de curiosité. Lors de notre visite de la maison Rivard, à Tourouvre (en Basse-Normandie), un couple de Québécois dans la jeune trentaine venait tout juste d'explorer les lieux. « Ils cherchaient la maison de leur ancêtre depuis une semaine, sans la trouver, relate l'actuelle propriétaire des lieux, qui en a fait sa maison de vacances. Finalement, ils ont cogné à la bonne porte le tout dernier jour, juste avant leur départ. Je peux dire qu'il y a eu des larmes ! » Autre exemple : Isabelle Dion, résidante de Québec venant de franchir le cap de la quarantaine, est partie s'aventurer sur les sentiers de Compostelle, mais n'a pas hésité à faire un détour par la Basse-Normandie. « J'étais curieuse de découvrir les escaliers construits par mon ancêtre Jean Guyon dans l'église de Tourouvre », confie-t-elle. Comment expliquer le rajeunissement de cet engouement pour le tourisme généalogique ? «On trouve divers facteurs dont, entre autres, l'éclatement des familles et l'apparition de nouvelles structures familiales, avance Pascale Marcotte, professeure à l'UQTR. Pour certaines personnes, aller faire ce voyage, c'est remonter plus loin dans le temps, et une façon de tisser le fil de sa propre histoire, de mieux comprendre d'où on vient. Le besoin de reconstituer l'histoire familiale peut apparaître plus important dans une société où on connaît une diversité de modèles familiaux.»
Ce joyau a été découverte en Australie-Méridionale sur un site minier. Son nom est opale multicolore,
c'est une pierre d'une beauté extrême qui est très rare à trouver.
C'est un objet qui coûte dans les milliers de dollars donc il n'est pas donné a quiconque.
Surnommée Virgin Rainbow, cette pierre est née des fossiles de dinosaures opalisés selon l'histoire.
1. Ramollir la cassonade
Placez le bloc qui s’est formé dans un sac à congélation avec une tranche de pomme.
Fermez hermétiquement le sac et mettez-le dans un endroit bien sec.
Au bout de 1 ou 2 jours, la pomme aura absorbé l’humidité et le sucre aura retrouvé sa consistance poudreuse.
2. Attendrir la chair du poulet rôti
Pour que votre poulet rôti soit moelleux et juteux, farcissez-le avec une pomme avant de l’enfourner.
3. Préserver la fraîcheur d’un gâteau
Pour prolonger la durée de vie d’un gâteau fait maison ou acheté dans le commerce,
il suffit de le stocker avec une demi-pomme.
Il restera moelleux beaucoup plus longtemps que si vous le rangiez tout simplement au réfrigérateur.
4. Faire mûrir des tomates vertes
Enfermez les tomates encore vertes pendant quelques jours
dans un sac en papier avec 1 pomme bien mûre pour 5 ou 6 tomates
5. Neutraliser un excès de sel
Si vous vous apercevez en cours de cuisson que vous avez mis trop de sel dans votre plat de légumes ou de viande,
ajoutez-y quelques tranches de pomme (ou de pomme de terre).
Retirez-les après une dizaine de minutes de cuisson, elles auront absorbé le sel excédentaire.
BONNE JOURNÉE!
Par Meredith WOOLNOUGH
puissance, beauté et fragilité de la nature dans les fils de broderie noués
est d’un sac poubelle.
Le 20 juillet 1969, Neil Armstrong sort du module lunaire de la mission
Apollo 11, descend l’échelle, pose le pied sur la surface de la Lune
pour la première fois, prononce sa phrase historique … et prend un sac
poubelle en photo.
En effet approximativement 5 minutes avant avoir posé le pied sur la Lune,
Armstrong et Aldrin se sont attelés à la tâche ingrate de nettoyer le
module lunaire des détritus accumulés pendant le voyage, des emballages
de la nourriture aux déchets d’origine humaine dans le but de gagner le
maximum de masse et d’espace pour le voyage de retour.
Ils ont placé tout ça dans un Jettison Bag, un sac blanc spécial de 1m par 70cm,
Aldrin l’a fait passer à Armstrong qui l’a poussé plus bas sur le sol.
Alors qu’Armstrong commence à photographier la surface lunaire lors de sa
première sortie à la surface de la lune son premier réflexe est de
photographier ce sac poubelle.
Plus tard il lui donnera un coup de pied pour l’envoyer sous le module en
dehors du passage où il restera jusqu’à la fin de la mission, et
effectivement il est visible sur toutes les photos du module prises par la suite.
par Christophe CARLIER
Un rhododendron de 125 ans au Canada
Cet énorme rhododendron de 125 ans n'est pas techniquement un arbre.
La plupart sont considérés comme des arbustes.
Un Wisteria (une glycine) de 144 ans au Japon
A 1 990 mètres carrés, cette immense glycine est la plus grande du genre au Japon.
Des arbres balayés par le vent en Nouvelle-Zélande
Ces arbres sur la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, se développent ainsi parce-qu'ils sont constamment
secoués par les vents extrêmes de l'Antarctique.
Un magnifique érable japonais dans L'Orégon.
Un hêtre de l'antarctique à haute densité recouvert de mousse en Orégon
Le hêtre de l'antarctique. Originaire du Chili et de l'Argentine, bien que ce spécimen soit de la région du
Pacifique Nord aux Etats-Unis.
Des cerisiers en fleurs à Bonn, en Allemagne
Ce tunnel de magnifique de cerisiers fleurit à Bonn, en Allemagne, en Avril.
Le Chêne de l'ange dans L'île de John. En Caroline du Sud
Il mesure 20 m de haut et son âge estimé à 1500 ans environ.
Le flamboyant.
Le flamboyant est originaire de Madagascar, mais il pousse dans les régions tropicales à travers le monde.
Les arbres de sang du dragon au Yémen
Le sang du dragon. Originaire de l'archipel de Socotra dans l'océan indien.
La sève qu'il produit est rouge sang.
Le séquoia, le 3 ème, plus grande arbre du monde
Il mesure 73 m de haut.
Un tunnel d'érables dans l'Orégon
Un eucalyptus arc-en-ciel à Hawaï
L'eucalyptus arc en ciel, qui pousse dans tout le Pacifique Sud, est à
la fois utile et beau. Il est très apprécié pour ses couleurs,son fil et
sa pâte à bois. On l'utilise pour fabriquer du papier.
Des Jacarandas en Afrique du Sud
Avenue des chênes dans une plantation en Caroline du Sud
Ces chênes ont été plantés en 1790.
Des baobabs à Madagascar
Ces baobabs de Madagascar sont parfaits pour emmagasiner de l'eau dans
leurs épais troncs. On les utilises pendant les sécheresses.
Les haies sombres en Irlande du nord
Ces arbres ont été plantés au 18 ème siècle. Un tunnel de hêtres magnifique ...
Le gouvernement anglais a lancé un appel d'offres pour construire un
prototype d'autoroute électrique sur une piste d'essai, première étape
vers l'électrification d'un premier segment sur le réseau public.
Photo fournie par Highways England
La Presse
Le gouvernement britannique va construire un segment d'autoroute
électrique expérimentale pouvant recharger les véhicules électriques en
marche, sans fil ni autre connexion directe. En fournissant de
l'électricité tout au long de la route, l'autonomie des véhicules
électriques pourrait devenir pratiquement infinie.
Cet essai, qui devrait durer 18 mois, implique l'aménagement sous
l'asphalte d'un système de charge par induction électromagnétique (le
même principe qui permet de charger sans fil les téléphones cellulaires
et les brosses à dents électriques).
En gros, le système fonctionne comme ceci : des bobines électriques logées
sous l'asphalte à intervalle régulier sont alimentées par le réseau
électrique national. Elles créent un champ électromagnétique juste
au-dessus de la route. Chaque véhicule est muni d'une bobine électrique
qui réagit au champ magnétique en générant de l'électricité.
Plusieurs constructeurs ont déjà annoncé des systèmes de recharge par induction,
mais la plupart de ces initiatives visent des dispositifs de recharge
stationnaires, avec une bobine unique enchâssée sous la dalle d'un
garage domestique, ou encore placée à des endroits stratégiques du
réseau d'autobus municipal.
Autonomie sans grosse batterie
Le segment de route que veut construire Highways England (une division du
ministère des Transports) pour ses tests sera aménagé sur une piste
d'essai hors du réseau routier. Mais Highways England s'attend à ce que
l'expérience acquise mène à la construction d'un premier véritable
tronçon d'autoroute électrique.
Le ministère des Transports a même évoqué - sans engager le gouvernement -
un avenir où tout le réseau des grandes autoroutes de Grande-Bretagne
serait électrifié.
Highways England n'a donné aucun détail technique sur l'intensité électrique
requise ni sur le risque (s'il y en a un), pour les passagers, du champ
électromagnétique créé sur la route. L'organisme gouvernemental a dit
que les critères de l'essai seront publiés dans l'appel d'offres.
Volvo a déjà fait de tels essais à Göteborg, en Suède, où un tronçon de 500 m
a été aménagé pour la recharge en marche des autobus municipaux, et la
technologie est transférable aux voitures personnelles.
Un tel réseau, à terme, permettrait de mettre des batteries moins grosses
(et moins lourdes) dans les camions faisant la navette régulière sur des
axes routiers électrifiés.Fils sous la route.
Le gouvernement fédéral du Royaume-Uni a une politique d'électrification
automobile assez dynamique: il a voté des crédits de 500 millions de
livres (1 milliard de dollars) sur cinq ans.
L'utilisation de ces sommes n'est pas encore tout à fait détaillée, mais la stratégie
d'électrification routière prévoit, à long terme, un réseau national de
bornes tous les 32,2 km (20 milles, en fait) sur certaines «routes A»
(les autoroutes nationales) du Royaume-Uni.
Ces expériences ne sont pas nouvelles. Au Congrès international de
Versailles, en 1997, l'École nationale des ponts et chaussées de France
avait présenté un rapport encourageant sur des essais faits avec les
technologies disponibles à l'époque.
Le coût d'enchâsser dans les routes des installations sera sûrement un
enjeu. La multinationale Siemens propose une alternative bien moins
coûteuse mais extrêmement laide: installer des fils au-dessus des
autoroutes et munir les camions de transport de pantographes pour capter
l'électricité.
Par ailleurs, le gouvernement britannique a annoncé la semaine dernière
qu'il prolonge au moins jusqu'à février 2016 le programme de subvention à
l'achat de voitures électriques (jusqu'à 5000 livres, soit 10 365 $).
Au Canada, le gouvernement fédéral n'a aucun programme de ce genre, mais
plusieurs provinces, dont le Québec, en ont.
Appauvrissement du vocabulaire :
signe d’une apathie cérébrale ou conséquence d’un manque d’éducation ?
(D’après « Les Annales politiques et littéraires », paru en 1925)
Emile Littré
En 1925, un chroniqueur des Annales politiques et littéraires s’indigne,
non sans humour, de l’appauvrissement du vocabulaire de ses
contemporaines, observant avec consternation leur propension à employer
avec une déconcertante facilité les mots truc ou machin !!!
On entend assez souvent, déplore le professeur strasbourgeois agrégé
d’histoire et essayiste André Lichtenberger, une charmante jeune femme
dire à une autre : « J’adore votre petit truc. »
A quoi l’autre répond : « Vous savez, ces machins-là, rien n’est plus facile que de les choisir soi-même. »
Et notre chroniqueur d’avouer combien ces manières de parler
l’horripilent, lui apparaissant comme autant de signes de neurasthénie,
d’ignorance, de défaut d’éducation, n’hésitant par à voir en cette
incapacité de trouver les mots la traduction la plus manifeste et la
plus inquiétante de la fatigue cérébrale menant à l’anémie et conduisant
au cabanon.
À moins, toutefois, que ces défaillances de mémoire n’aient leur
véritable origine dans une certaine insuffisance de leur instruction
primaire, poursuit-il.
Apprendre des mots est l’un des premiers signes de l’éveil de l’intelligence.
L’homme qui dispose de beaucoup de mots s’avère un esprit cultivé. Une
indigence excessive de vocabulaire traduit presque toujours une
indigence spirituelle.
Il y a des chances pour que la jeune personne dont l’effort cérébral ne va
plus jusqu’à pouvoir articuler : « Je vais essayer mon chapeau », mais
se borne à marmotter en bâillant de façon vaseuse : « Je vais choisir mon
machin », n’ait pas d’excès de bagage intellectuel.
A moins que ce qui lui manque ne soit plutôt un sentiment élémentaire des égards dus à notre prochain.
Certaines affectations de nonchaloir verbal ont tout juste la grâce du malotru
qui trouve trop fatigant de céder sa place dans l’autobus, d’ôter son
chapeau dans la rue, ou de tirer sa cigarette du coin de la lèvre pour
dire bonjour.
Il y a, dans ces négligences, de la goujaterie.
C’est une manière de signifier à l’interlocuteur :
— La dignité de ma personne et de mes occupations m’élève trop au-dessus
de vous pour que je m’impose le minuscule effort de vous parler d’une
manière intelligible.
A vous de vous hausser jusqu’à moi, si vous voulez que je daigne poursuivre l’entretien.
En somme, c’est, parmi tant d’autres, un des symptômes du laisser aller
général, de la mauvaise tenue, qu’il convient d’affecter quand elle ne
nous est pas naturelle, du débraillé démocratique.
La parole est le propre de l’homme. Bien parler est un des signes de la culture et un des agréments de la vie de société.
Jargonner est un acte de sabotage ou un signe de déchéance.
Mesdames, daignez, pour votre faible part, contribuer, selon vos forces, au maintien du joli parler de France.
Il traverse de bien tristes jours ! s’exclame le chroniqueur en guise de conclusion.
Et de nos jours c'est pire.
Partir sur la trace de ses ancêtres
Nombreux sont les Québécois à fouiller le passé en France, dans les villes et
villages autrefois habités par leurs ancêtres pionniers. Sur la photo,
Denise Tremblay Perron, de Baie-Saint-Paul, découvre l'ancienne demeure
de son aïeule Ozanne Achon, en compagnie de Jany Grassiot, historien
charentais.
Photo Sylvain Sarrazin, La Presse
S'extasier devant la maison de son aïeul, humer l'air des quartiers où
résidaient les pionniers, marcher dans les pas de Jacques Cartier...
autant de façons de vivre le tourisme généalogique, auquel s'adonnent de
plus en plus de Québécois en France. Introduction à un voyage à nul
autre pareil, au gré de nos racines familiales et sociales.
Quête dans les méandres du passé, le tourisme généalogique, qui consiste à
retrouver les lieux de vie de ses aïeux sur le Vieux Continent, déchaîne
des passions auprès des Québécois, nombreux à se lancer sur les traces
de leurs ancêtres en France, ou en Irlande et en Angleterre.
« On trouve des touristes généalogistes amateurs qui voyagent pour faire des
recherches historiques sur leur famille, et ceux sans prétention
généalogique qui y vont par simple curiosité », relève Pascale Marcotte,
professeure au département d'études en loisir, culture et tourisme de
l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).
Ainsi, tout parcours se révèle propre à chacun, en fonction de son passé
familial et des connaissances historiques qui ont pu être retrouvées et
conservées. Les plus chanceux peuvent ainsi visiter la maison autrefois
occupée par leur ancêtre ; d'autres doivent se borner à explorer
quartiers, villages et églises où se tinrent baptêmes et mariages.
Photo Sylvain Sarrazin, La Presse
Ces lieux de visite se concentrent, logiquement, dans les régions qui
constituèrent des foyers d'émigration vers la Nouvelle-France : la
Normandie (et tout particulièrement le Perche), le Poitou-Charentes et
l'Île-de-France, notamment.
De plus en plus populaire
cette curiosité semble s'aiguiser au fil des ans, avec la multiplication du
nombre de voyageurs se prêtant à ce jeu de piste généalogique. « On voit
passer de plus en plus de Québécois, et cela ne cesse d'augmenter.
Actuellement, on en reçoit une soixantaine par an », constate Francis
Pilfert, maire de Randonnai, village d'origine de la famille Tremblay,
niché au fin fond du Perche (à 140 km à l'ouest de Paris).
Cette tendance, liée à la croissance globale du tourisme ainsi qu'à l'accès
plus aisé aux données généalogiques, pourrait aussi s'expliquer par une
conscience historique plus aiguë des générations vieillissantes.
« On observe un vieillissement de la population, laquelle est plus
scolarisée que les générations précédentes et va davantage s'intéresser à
la généalogie », souligne l'universitaire Pascale Marcotte.
Un penchant qui n'a pas échappé à certains villages, qui n'hésitent pas à
mettre en valeur ces vestiges et lieux de mémoire. C'est le cas de
Tourouvre, en Basse-Normandie, qui fut un bassin majeur de pionniers en
Nouvelle-France. Çà et là, on dénote des hommages aux grandes familles
du Québec : dans l'église, avec des vitraux et des plaques
commémoratives (Mercier, Boucher, Giguère, Gagnon, etc.) ou dans les
rues (place du Québec, salle Félix-Leclerc). Tourouvre a également érigé
un musée de l'émigration française au Canada, relatant l'épopée des
pionniers du XVIIe siècle.
Le village de Tourouvre, dans la région du Perche, foyer de pionniers partis en Nouvelle-France.
Photo Sylvain Sarrazin, La Presse
Ascendants et descendants
« C'est mon 39e voyage en France, et probablement le dernier », lâche Jean-Paul
Gagnon, résidant de Saint-Lambert passionné de généalogie, parti en
juin lancer un ultime adieu à la terre de ses aïeux, de Versailles à Brest.
Aujourd'hui âgé de 94 ans, il a écumé sans relâche les traces de ses ancêtres
Gagnon, anciennement Gaignon, incitant même les descendants français à
s'intéresser à leurs origines.
« Ici, au Québec, on veut savoir d'où on vient et on découvre souvent des
éléments historiques que les Français ne cherchent plus », souligne le
passionné, qui continue de consigner ses recherches dans des ouvrages.
Sur la feuille de route de ses nombreux voyages l'incontournable lieu-dit
de La Gagnonnière, berceau de la branche québécoise de la famille
Gagnon. Ce regroupement de vieilles bâtisses, en Basse-Normandie,
constitue un véritable lieu de pèlerinage familial, même si le doute
plane sur la demeure exacte qui fut autrefois occupée par les frères
Gagnon.
Le château de Villaines.
Photo Sylvain Sarrazin, La Presse
Autre lieu apprécié par Jean-Paul Gagnon lors de ses séjours, le Château de
Villaines, dans la Sarthe (au sud de la Normandie), ayant appartenu à un
certain Louis de Gaignon. Le Québécois y organise même des
retrouvailles avec des descendants de la branche familiale française.
Des générations plus jeunes aussi intéressées Certes, nombreux sont les aînés à entreprendre
des recherches et à se déplacer sur les traces de leurs ancêtres, mais les générations plus jeunes
font aussi montre de curiosité.
Lors de notre visite de la maison Rivard, à Tourouvre (en Basse-Normandie),
un couple de Québécois dans la jeune trentaine venait tout juste d'explorer les lieux.
« Ils cherchaient la maison de leur ancêtre depuis une semaine, sans la
trouver, relate l'actuelle propriétaire des lieux, qui en a fait sa
maison de vacances. Finalement, ils ont cogné à la bonne porte le tout
dernier jour, juste avant leur départ. Je peux dire qu'il y a eu des larmes ! »
Autre exemple : Isabelle Dion, résidante de Québec venant de franchir le cap
de la quarantaine, est partie s'aventurer sur les sentiers de
Compostelle, mais n'a pas hésité à faire un détour par la
Basse-Normandie. « J'étais curieuse de découvrir les escaliers
construits par mon ancêtre Jean Guyon dans l'église de Tourouvre »,
confie-t-elle.
Comment expliquer le rajeunissement de cet engouement pour le tourisme généalogique ?
«On trouve divers facteurs dont, entre autres, l'éclatement des familles et
l'apparition de nouvelles structures familiales, avance Pascale Marcotte, professeure à l'UQTR.
Pour certaines personnes, aller faire ce voyage, c'est remonter plus loin
dans le temps, et une façon de tisser le fil de sa propre histoire, de
mieux comprendre d'où on vient. Le besoin de reconstituer l'histoire
familiale peut apparaître plus important dans une société où on connaît
une diversité de modèles familiaux.»