De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
27/08/2015 - 14:07
Censuré, un photographe dévoile Venise engloutie sous le tourisme de masse


22 août 2015
La liberté d’expression semble être souvent un concept à deux vitesses,
surtout quand cette liberté vient ternir des intérêts économiques comme
le tourisme de masse. Gianni Berengo Gardin, un grand photographe
italien, vient visiblement d’en faire les frais… Censuré, il voulait
dénoncer le tourisme de masse à travers la photographie de paquebots
géants qui étouffent Venise.

Les bateaux de la désillusion
Le tourisme de masse qui écrase la sérénissime Venise un peu plus chaque année
ne cesse de nousquestionner sur l’impact de cette industrie sur les grands sites touristiques.
L’un des symboles de cette marchandisation du rêve se trouve être ces énormes paquebots à touristes.
Régulièrement, malgré une interdiction progressive instaurée en 2014, ces géants des mers
viennent vomir plusieurs milliers de passagers à quelques mètres de la place Saint-Marc, au cœur de Venise.
Au-delà de la destruction des berges que ces manœuvres provoquent, et dela vision d’horreur
de ce contraste entre la tradition et la machine, le paquebot fait office de symbole fort pour une Venise
qui perd chaque jour un peu plus son âme.
C’est cette incohérence du monde moderne que voulait afficher Gianni Berengo Gardin à travers
une série de 27 photographies poignantes. Du nom de Mostri a Venezia (Monstre à Venise), ses travaux devaient être
exposés au Palazzo Ducale, le fameux Palais des Doges où demeurent tant de mystères, d’histoires et
d’œuvres magistrales.
Malheureusement, le maire de Venise, Luigi Brugnaro, a « censuré » l’exposition jugeant qu’elle nuirait
probablement à l’image de la ville. En pratique, l’évènement a été reporté de manière indéterminée par les autorités,
laissant Gianni Berengo Gardin dans l’incapacité d’afficher ses œuvres.
L’internet libre entend bien réparer cette injustice.


Symbole d’une certaine mondialisation
En principe, sur base d’une décision prise en 2014, le passage de ces paquebots géants devrait être
progressivement interdit alors qu’un chenal de 150 millions d’euros est construit plus loin pour les accueillir.
Le problème sera déplacé, mais le débat de fond restera intacte. En effet, portant en elle le mythe de la ville des amoureux,
aidé par la magie de son carnaval légendaire, Venise engouffre près de 20 millions de visiteurs par an.
La majorité d’entre eux ne font que passer, un jour ou deux, le temps de goutter à la magie, et pour nombre,
de s’arracher quelques souvenirs low-cost made in China. Les trésors historiques et culturels, la profondeur d’une
ville insondable, se sont ainsi vus peu à peu remplacés par des allées de magasins identiques,
attrapes touristes pour tous les budgets, vendant des souvenirs à quelques euros probablement fabriqués à
l’autre bout du monde.
Si on est chanceux et attentif, on peut croiser un peu d’authenticité. Les derniers artisans résistent, tant bien que mal,
à laconcurrence féroce. La majorité des touristes ne fait aucune différenceentre un masque réalisé à la main et
sa parfaite copie industrialisée.
Et il faut l’avouer, la dictature du prix l’emporte souvent. Il est plus rentable de vendre un millier de masques
en plastique à 10 euros qu’unedizaine de traditionnels à 200 euros. Parfois même, dans la plus parfaite confusion,
ce sont les masques les plus chers, plus gros, plus faux, plus colorés, qui sortent des machines. Ces choix inconscients et
souvent involontaires des consommateurs, dont le budget n’est pas forcément à la hauteur d’une consommation équitable,
vident peu à peu Venise de sa substance. Les derniers artisans peinent à trouver des volontaires pour préserver
leurs savoirs si précieux et leurs prix ne rivalisent pas avec ceux de la concurrence. Malgré tout, Venise, la
vraie, existe encore, discrète, elle maintient le nez au dessus du niveau de la mer et espère qu’assez de visiteurs
prendront toute la hauteur de leur responsabilité quand il s’agira de ramener des souvenirsdans leur pays…









Source : periple.com / nuovavenezia.gelocal.it / lefigaro.fr / slate.fr
27/08/2015 - 11:15
                   Montagne de Bueren

La montagne de Bueren est un escalier de 374 marches (avec un dénivelé de 30%) de la ville de Liège reliant le quartier Féronstrée et Hors-Château au Péri et à la citadelle traversant les Coteaux.
 

 
Cet imposant escalier perpétue le souvenir de Vincent de Bueren (vers 1440-1505), un noble d'origine gueldroise, qui, à la tête des Six cents Franchimontois, fut un des plus acharné défenseur
de Liège contre le duc de BourgogneCharles le Téméraire.
 

 
Certains Liégeois appellent à tort la Montagne de Bueren Lès sî cin grés 
(« Les six cent marches » en wallon) par confusion avec les Six cents Franchimontois.
Cet escalier, maintenant disparu, suivait, intra-muros, le rempart de la ville entre
la porte de Vivegnis et la Païenporte.
 

 
 
De la rue Hors-Château, laissant, à droite, le couvent des Ursulines et, à gauche,
l'impasse des Ursulinesserpenter à flanc de coteau jusqu'aux Terrasses des Minimes,
les 374 marches mènent Au-Péri puis à lacitadelle.
La rue mesure, en totalité, 260 mètres note 1 et les escaliers 194 mètres. La pente moyenne de l'escalier est de près de 28 %.
 
L'ascension est facilitée par la présence, à intervalles réguliers, de paliers, où
quelques bancs permettaient autrefois de regarder à l'aise la ville qui,
petit à petit, se révèle. On découvre d'abord la masse grise de l'îlot Saint-Georges,
la haute silhouette de la cité administrative, puis la coulée miroitante de la Meuse 
sous le pont des Arches.
 
Chaque année, le 1er samedi d'octobre, lors de la Nocturne des Coteaux de la Citadelle,
l'escalier, plongé dans l'obscurité, se voit éclairé par 3 000 bougies présentant au public
un spectacle chatoyant1.
 
Le Huffington Post cite en 2013 la montagne de Bueren parmi " les escaliers les plus extrêmes du monde"
 

 
Historique Ce nouveau chemin, établi au départ de l'impasse du Thier des Begards
tennant sur Hors-Château, est terminé en 1880 à la suite d'une décision prise par
le conseil communal en mars 1875. Il doit permettre un accès rapide de la garnison 
stationnée à la citadelle vers le centre de la ville en cas d'invasion ou de
 soulèvement populaire et, plus prosaïquement, interdiction est faite à cette garnison
d'encore passer par la rue Pierreuse où sont établis nombre d'estaminets et
où œuvrent desprostituées. Ces fonctions ne durent qu'une dizaine d'années,
la citadelle étant déclassée en 1891.
 

 
27/08/2015 - 11:02
La Roche-aux-Fées est un dolmen en forme d'allée couverte situé dans la commune d'Essé, dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.


Son nom vient d'une légende prétendant que les pierres auraient été apportées
par des fées, légende souvent à l'origine du nom de « roche aux fées » donné
à des dolmens ou allées couvertes.

Le dolmen est composé de plus d'une quarantaine de pierres formant un
couloir quatre fois plus long que large. Son orientation nord-nord-ouest
– sud-sud-est est telle que le soleil se lève dans l'alignement de
celui-ci lors du solstice d'hiver.

C'est un des mille premiers monuments historiques classés en France et un
des quatre situés à l'époque en Ille-et-Vilainen. 1.

Les mégalithes bretons ont une place si importante dans les monuments à
voir en Bretagne qu'un détour par le plus imposant de ceux ci n'est pas
vain. C'est au lieu dit de " la Roche aux Fées " à Essé, non loin de
Rennes en Ille et Vilaine, que vous trouverez ce dolmen de 19,50 mètres.



Cette allée couverte appartient à une famille très rare en Bretagne mais
beaucoup plus fréquente en Saumur : les portiques dits " angevins ".
Elle est datée d'environ 2500 ans avant notre ère. Sur le bord d'une
petite route de campagne, l'allée est aussi bordée d'arbre majestueux
qui accroissent encore le mysticisme de ce lieu.

Vous en serez encore plus persuadé quand vous saurez que l'alignement de
l'allée : Nord-Ouest Sus-sud-est est tel, et ce n'est certainement pas
le fruit du hasard, que la chambre est parfaitement orientée de manière à
recevoir les premiers rayons du soleil lors du solstice d'hiver.

Formée de pas moins de 41 pierres dont le plus lourde pèse autour de 45
tonnes, cette allée assoit sa grandeur en affichant des dimensions
jamais vues sur d'autres dolmens bretons : 19,50 mètres de long, 4
mètres de large et 2 mètres de hauteur interne. Rares sont les
mégalithes où, comme ici, vous pouvez facilement vous tenir debout à
l'intérieur.


Comme si ce chef d'œuvre de la préhistoire n'était pas assez impressionnant
pour le visiteur qui sait regarder, nos ancêtres pour le construire ont
choisi de trainer les pierres qui le composent sur 4 kilomètres. C'est
en effet la distance qui conduit au gisement le plus proche de schiste
rouge cambrien dont sont faites les pierres.

La légende, loin de rendre hommage aux peuplades préhistoriques qui ont
du, selon les reconstitutions, rassembler au moins 300 hommes pour bâtir
cette allée couverte préfère attribuer ce monument aux fées très
présentes dans la mythologie bretonne.

En effet, les fées auraient transporter dans leur tablier les pierres.
Mais, plus acharnées qu'organisées elles n'auraient pas économiser leurs
efforts et lorsque la dernière pierre fut posée, quelques fées volaient
encore affublées de blocs devenus intuiles.


Ni une, ni deux, elles les abandonnent donc sur place d'où la présence de
quelques menhirs éparpillés aux alentours comme celui de Runfort.

Le dolmen, trop important pour passer inaperçu à travers les âges, se
trouva trop vite dépouillé pour qu'on y trouve quelques offrandes
laissées au bon soin des défunts confiés à cette sépulture colossale.

Que le visiteur intéressé, passant près de Rennes, n'hésite pas à faire un
détour vers l'allée couverte de " la Roche aux Fées ".

Il y puisera au passage un peu de la force habile et de la détermination
dont il fallut faire preuve pour élever au sommet d'une colline un
témoignage aussi massif des civilisations préhistoriques...



27/08/2015 - 10:22
BALADE AU SAGUENAY    QUÉBEC

                  Parc De La Caverne Du Trou De La Fée

Visite Dans L'antre De La Grotte...


La grotte est aussi l'habitat naturel des chauves-souris. Or, une maladie
qui les affecte les rend de plus en plus rares, et une seule a été vue
ce printemps dans la grotte.

Photo François Roy, La Presse
[url=http://recherche.lapresse.ca/cyberpresse/search/theme/cyberpresse/template/result?q=&fq[]=author%3AMarie-Eve+Morasse&sort=recent]Marie-Eve Morasse[/url]
La Presse

DESBIENS) Il faut s'éloigner du lac Saint-Jean et remonter un peu le long de la
rivière Métabetchouane pour accéder au parc de la caverne du Trou de la
fée, à Desbiens.

C'est autour d'un barrage ayant cessé ses activités en 1967 et d'une caverne
formée il y a une dizaine de milliers d'années que s'articule le parc
régional, qui propose des randonnées dans une nature restée sauvage.

On s'y rend surtout pour visiter la fameuse grotte du Trou de la fée,
formée de trois chambres de dimensions différentes. Une courte visite
d'une trentaine de minutes avec un guide permet d'en comprendre la
formation.

On y voit également la coloration sur la paroi rocheuse, apparue comme une
image de fée aux yeux des hommes de la région qui s'étaient cachés dans
la caverne pour éviter la conscription pendant la Seconde Guerre
mondiale.


Source:  Desbiens, Québec
C'est l'apparition de cette fameuse fée qui leur aurait indiqué la fin des hostilités.
La grotte est aussi l'habitat naturel des chauves-souris. Or, une maladie
qui les affecte les rend de plus en plus rares, et une seule a été vue
ce printemps dans la grotte.

De quoi rassurer ceux qui en ont peur, mais faire craindre pour leur survie dans la région.
Un circuit pour tous
La visite de la grotte ne tient en rien de la spéléologie extrême. Il faut
bien se pencher de temps à autre, mais les enfants de plus de 5 ans
feront sans problème le circuit, qui se parcourt debout en tout temps.
Il suffit d'être prêt à gravir les escaliers pour remonter à la surface
de la Terre.


Au retour, on ne manquera pas de passer par la promenade de la conduite d'eau, qui mène à des passerelles fixées sur le granite.
Aménagées il y a cinq ans, elles sont agrémentées de ponts suspendus et
offrent un point de vue inédit sur la rivière Métabetchouane.

Quant aux amateurs de sensations fortes, ils poursuivront leur visite dans le
parc du haut des airs, grâce à une tyrolienne qui les conduira
au-dessus du canyon, à 50 mètres de hauteur.

Chemin Trou de la Fée, 7e Avenue, Desbiens

cavernetroudelafee.ca

27/08/2015 - 08:32
10 choses que vous ignorez sur vos seins


La Française grossit… mais pas ses seins !
Le très sérieux Institut français du textile et de l’habillement a
renduPublique il y a trois ans une campagne nationale de mensuration
menée auprès de 11562 personnes. Résultat : la Française d’aujourd’hui mesure 1,62 m en moyenne pour 62,4 kg, soit 1,8 kg de plus qu’en 1970. Son tour de taille a pris dans la même période 6,5 cm, à 79,9 cm. Mais ses seins ? Rien!

Le tour de poitrine stagne de décennie en décennie autour de 93,7 cm (et 80,1 cm de tour de dessous de poitrine), soit un 90B en soutien-gorge, la taille la plus vendue en France.

Les Japonaises en ont parfois un troisième
Pour des raisons génétiques ignorées, une Japonaise sur vingt naît avec un troisième sein. Il ne s’agit pas évidemment d’un frétillant nichon nippon digne des deux autres, mais d’un simple mamelon surnuméraire. Niché sous le sein, aux aisselles ou parfois à l’aine, il est souvent confondu avec
un grain de beauté… jusqu’à ce qu’il sécrète du lait à la grossesse.
En Europe, ce sont d’autres insulaires, les Britanniques, qui sont les plus nombreuses à être dotées de tétons surnuméraires (une femme sur 250).

Vos seins pratiquent le thélotisme
Le thélotisme est le nom scientifique de l’érection réflexe du mamelon. Il est dérivé du mot grec thêlê,
qui désignait le mamelon, lui-même issu du verbe thêlein, bourgeonner, fleurir.
Le thélotisme est provoqué par le froid, le toucher, la succion… Il est souvent asymétrique (un mamelon après l’autre).
Physiquement, cette réaction d’autodéfense n’est pas due à un afflux de sang dans un corps caverneux,
mais à la simple contraction des fibres musculaires du mamelon. Rappel : il est important de régulièrement informer les hommes qu’avoir les bouts qui pointent ne signifie pas que vous voulez leur pénis là,
tout de suite, dans la rue, mais juste que vos seins ont envie de se dégourdir le mamelon !

Certaines femmes connaissent des orgasmes mammaires
Les cas sont peu fréquents, mais dûment constatables : certaines femmes sont capables de jouir par la seule stimulation de leurs mamelons.

Comment y parvenir tout comme elles ? En s’entraînant ! Plus une zone érogène est régulièrement soumise à une excitation de la langue ou des doigts, plus elle devient réactive… Mais dans la montée vers le nirvana mammaire, bien que le bout des seins soit sollicité, c’est le clitoris qui reste le point de perception névralgique. Le flash orgasmique est alors décrit par ces jouisseuses comme identique à celui d’un orgasme clitoridien.

Ce pauvre sein est dénué de muscle
Que trouve-t-on à l’intérieur d’un sein ? Des petites grappes, appelées acini, qui auront pour fonction de secréter le lait après une grossesse, des tissus de soutien neutre et du gras. Pas le moindre muscle ! Performance admirable, le sein ne se maintient que par la peau qui l’entoure.
Double conséquence : 1) même en se concentrant très fort, il est impossible de bouger tout seul son sein ;
2) aucun exercice physique ne permet réellement d’empêcher son affaissement au fil du temps.
Il faut donc parier sur une bonne tenue de l’élasticité de la peau. Sont préjudiciables à sa fermeté
l’abus de café, le tabac, les bains trop chauds, le soleil et… les maternités.

On n’est pas tant que ça à n’en avoir que deuxPourquoi la femme n’a-t-elle que deux seins ?
Non pas parce que votre mec n’a que deux mains, mais parce que la femelle humaine ne donne
des portées que d’un ou deux bébés. Dans la classe des mammifères, c’est plutôt une rareté.
Seule la chauve-souris, l’éléphante ou certains animaux improbables comme le wombat
(un marsupial australien) n’ont que deux seins, par ailleurs bien moins jolis que ceux des femmes.

Les hommes aussi peuvent produire du lait S’ils ne pourront jamais nourrir leur enfant, les hommes
aussi peuvent avoir du lait qui pointe au bout de leurs seins. Mais c’est toujours un mauvais signe :
soit d’une tumeur glandulaire, soit l’effet secondaire indésirable d’un traitement médicamenteux contre l’hypertension ou le cancer de la prostate. Dans la vie courante, seule une overdose de… réglisse peut enclencher une surproduction de prolactine, l’hormone qui permet la lactation.

Le téton n’est pas le mamelon.
Le bout sensible et coloré de vos seins se compose de deux parties, l’aréole et le mamelon qui
se dresse en son centre. Parler à son propos de téton revient à un abus de langage.
Selon le Petit Robert, le téton désigne de manière familière le sein en entier.
En revanche, le substantif tétin existe lui, quoique vieilli, et signifie bien mamelon !
L’homme est le seul animal que les seins excitent.
À part l’espèce humaine, aucun autre type de mammifère ne considère les seins de sa femelle
comme une zone érogène. Vous ne verrez jamais un taureau se frotter le museau sur les pis
de sa vache chérie ou une souris quémander des léchouilles de son beau mec à poil ras.
À quoi l’exception humaine est-elle due ? À la position debout ! En se redressant, la femme a
offert à la vue des hommes ses seins, et en a fait un attrait sexuel, perçu par les mâles comme
un signe visible de fertilité. La femme est d’ailleurs le seul mammifère dont les glandes mammaires s’épanouissent à la puberté.

Chez les bêtes, les mamelles ne se gonflent que pour les grossesses et pendent le reste du temps,
toutes vides et plates.

Une Française sur dix aura un cancer du sein
S’il donne bien de la joie à sa propriétaire au cours de leur vie commune, le sein cause également
la mort d’environ 10000 Françaises chaque année.

Impitoyables, les statistiques révèlent qu’entre neuf et dix Françaises développeront un cancer
du sein au cours de leur vie. L’âge moyen au diagnostic est de 61 ans.
27/08/2015 - 08:23
           Tout savoir sur le zizi.

Louise-Marie Lacombe a entrepris une quête journalistique teintée d'humour sur le sexe masculin. Tirée du livre :Le zizi quiz, de Louise-Marie Lacombe


«Tout, tout, tout, vous saurez tout sur le zizi, le vrai, le faux, le laid, le
beau, le dur, le mou, le gros touffu, le grand ridé», chantait le
Français Pierre Perret.

Cette fois, avec Le zizi quiz, l'auteure Louise-Marie Lacombe propose
40 questions pour découvrir le pénis sous tous les angles:

psychologique, scientifique et anthropologique.«Je voulais parler avec
légèreté de la masculinité.

On parle beaucoup des femmes dans notre société, probablement à cause des
nombreux changements qu'elles vivent dans leur existence, les
grossesses, les accouchements, la ménopause...


On en oublie presque les hommes ! Je me suis donc lancée dans cette quête
journalistique sur le pénis, recherches à l'appui, car il y a tellement
de choses fascinantes qu'on ne connaît pas et que vous allez découvrir»,
explique Louise-Marie Lacombe.

 
On apprend par exemple qu'il existe un musée de la phallologie à
Reykjavik, en Islande, où on trouve des pénis de baleine, d'ours
polaire, de morse, de phoque et d'homme...


«C'est un livre sérieux, intelligent, qui a été écrit avec beaucoup
d'humour, ce qui était important à mes yeux», souligne l'auteure. Elle
ajoute qu'il faut être capable de parler librement du pénis, surtout
quand on est en couple.

 
Le but, c'est aussi de s'amuser en répondant aux questions avec des amis
et conjoints. «On a fait passer le test à 40 hommes et le résultat, en
moyenne, est de 42%, et le plus haut pointage est de 56%.

 
C'est donc une preuve qu'on ignore beaucoup de choses à ce sujet. Il faut
voir la tête des hommes qui font le quiz! Ils disent: "Ah non, c'est
impossible, ça ne se peut pas! C'est faux!"», dit Mme Lacombe en riant.


Le zizi quiz
Louise-Marie Lacombe
Illustrations Carol Ann Robillard
Les éditions Plume de Plui

Voici quelques questions tirées du livre Le zizi quiz. Testez vos connaissances.

Le volume moyen de l'éjaculat durant la vie d'un homme pourrait remplir:
A. Une bouteille de vin
B. Un magnum de champagne
C. Le réservoir d'essence d'une voiture moyenne
D. Le réservoir d'essence d'un camion
E. Une piscine
Réponse: C, le réservoir d'essence d'une voiture moyenne. En moyenne,
un homme en santé éjaculera 53,6 L de sperme durant son existence, en
considérant qu'un éjaculat moyen contient environ 7 ml.


Quel fruit un homme pourrait-il consommer afin d'augmenter ses prouesses sexuelles ?

A. Le pamplemousse
B. L'orange
C. La banane
D. La grenade
 E. On ne l'appelle quand même pas le fruit de la passion pour rien...
Réponse: D, la grenade. Le jus de grenade favoriserait le flux sanguin dans la région pelvienne.

Pourquoi les testicules sont-ils placés à l'extérieur du corps ?

A. Parce que les testicules humains sont trop volumineux pour être à l'intérieur.
 B. Pour les protéger de virus susceptibles d'infecter la région du bassin.
C. Parce qu'ils sont douillets et risqueraient d'avoir trop chaud à l'intérieur.
D. À cause de la quantité d'éjaculat qui exige qu'ils soient extensibles.
E. Il n'y a aucune raison particulière, c'est simplement un hasard de la nature
Réponse: C, parce qu'ils sont douillets et risqueraient d'avoir trop
chaud à l'intérieur. Il faut une température légèrement inférieure à 37
degrés pour permettre aux testicules de produire les spermatozoïdes.

Or, la température moyenne du corps atteint justement les 37 degrés et,
selon l'individu, peut aller jusqu'à 37,5 degrés. Un vrai sauna à
spermatozoïdes ! La nature a donc décidé de leur offrir un environnement
extérieur un peu plus frais.
27/08/2015 - 08:14
Historique Et Légende De La Tête D’Or De Lyon

 

Source :  Le lac De La Tête D'or De Lyon, France

L’histoire se situe en 1856 et 1857, dates de la création et de la première
ouverture aux lyonnais du parc. A cette époque, le Rhône inondait
régulièrement les terrains qui l’entouraient, puis tout rentrait ensuite
dans l’ordre. La ville de Lyon décida, à la suite du projet de parc
public présenté par le préfet Vaïsse, de devenir propriétaire du domaine
de la Tête d’Or.

Il faut savoir qu’à ce moment là, Lyon connaissait des périodes houleuses.
En effet, par deux fois, en 1831 et 1834, les Canuts s’étaient révoltés à cause des mauvaises conditions de travail dans la soierie et du chômage relatif à ce secteur d’activité.
Aveuglés par la pauvreté et la misère, ces travailleurs désoeuvrés devaient être
canalisés pour éviter d’autres débordements plus importants. Le projet
de la ville arrivait donc à point nommé.

Les soyeux-chômeurs constituaient une main d’oeuvre interessante,
permettant d’apaiser les esprits, d’éviter les émeutes sanglantes, et
aussi d’apporter un pécule supplémentaire aux familles de canuts.

Mobilisés pour la création du lac dans le parc, les Canuts se munirent
de pelles, de pioches, brouettes……………, tout en gardant espoir de trouver
un jour, le fameux trésor du domaine de la Tête d’Or. C’est en tout 900
000 m3 de terre qui ont été déblayés, pour servir ensuite à
l’édification de digues sur les quais du Rhône.


Le parc de la Tête d'Or est un parc urbain de Lyon, l'un des plus grands
de France. Œuvre des frères Denis et Eugène Bühler, le parc est ouvert
dès 1857 alors que les travaux ne sont pas achevés. Wikipédia

Pourtant une légende perdure au sein de la communauté de tisseurs lyonnais.
Certains racontent qu’après avoir longtemps déblayé, remblayé, nivelé et
même creusé ce terrain sur plusieurs mètres de profond (et sur une
surface de 12 hectares pour aménager des massifs et autres lieux de
plantations), la pelle d’un Canut aurait rencontré un obstacle
résistant.

En enlevant la terre excédante, l’homme vit apparaître, comme en rêve, la
tête de Christ en or. Ne pouvant cacher bien longtemps sa découverte aux
yeux de ses compatriotes, ils ne tardèrent pas à se quereller au sujet
du partage du précieux butin. Ne voulant partager, les Canuts
s’empoignèrent devant le visage impassible de la Tête d’Or.

Face à ce triste spectacle, la légende veut que ce Christ se mît à pleurer en
voyant comme sa simple présence semait le trouble chez ces travailleurs.
Une larme coula le long de son visage puis tomba sur la terre de la
vaste étendue creusée par les tisseurs lyonnais, pour se transformer en
gigantesque lac.

La montée des eaux fut telle qu’elle engloutit à jamais la tête du Christ
sous le regard médusé des ouvriers. Selon cette légende, c’est ainsi que
naquit le lac de la Tête d’Or.

On sait qu’un réalité, après des fouilles approfondies, le domaine ne livra jamais son secret.


Source : http://www.jardin-botanique-lyon.com/jbot/
27/08/2015 - 07:48
Une pause s' impose :
admirez la splendeur de la nature à l'état pur !

Ce film : un jour sur Terre a été réalisé pour nous montrer à quel point notre planète est belle et magnifique. Il nous montre le cœur de notre planète et sa biodiversité tant sur le côté animalier, tant sur la végétation qui nous entoure. C'est étonnant de voir toutes ces merveilles avec des arrêts sur image comme l'éclosion des fleurs, la course des renards, le saut des grenouilles ,
bref les images sont plus belles les unes des autres que l'on a l'impression de perdre notre souffle. 
Et c'est Delphine Simard, une québécoise, amoureuse de la nature a voulu nous faire part de cette
beauté somptueuse accompagné d'une musique si douce de Rachel Portman , que nous avons tendance à oublier. C'est un émerveillement total que vous vivrez à travers ces 4 vidéos intitulées : One Day On Earth ou comme traduit ci-dessus un jour sur terre. Laissez -vous emporter par la magie de la nature car c'est époustouflant!



























 
26/08/2015 - 16:22

PAYSAGES JAPONAIS COLORES  DU PHOTOGRAPHE
                            HIDENOBU SUZUKI

 
Des couleurs du Mont Fuji au soleil couchant aux cascades en pleine nature,
en passant par des villages reculés, toutes les facettes du Japon se
retrouvent dans ses clichés.

 












26/08/2015 - 14:34
LA DISPARITION DE LAURENT ROSSI FILS DE TINO ROSSI


Bien que l'on ne peut remplacer le père par le fils
ce chanteur d'une époque a surtout cultivé le patrimoine
de son père ,que beaucoup d'entre-nous on connu
donc laurent ,tu sais que ton père attendait d'avoir des nouvelles de ses
anciennes fans ,, alors vas y dit lui que la corse t'aime toujours
autant.


 
Laurent Rossi, né le 22 mai 1948 et mort à Paris le 19 août 2015 est un
chanteur, écrivain et compositeur français, fils de Tino Rossi.

En 1974, il crée avec Claude Morgan, le groupe disco Bimbo Jet qui
connaîtra un succès mondial en 1975 avec El Bimbo. En 1984, il
intervient comme musicien pour le cinéma dans le film Notre histoire de
Bertrand Blier et dans d'autres participations. Ensuite, Laurent Rossi
fut producteur. Il a deux fils : Jean-Baptiste et Constantin.

Il est mort le 19 août 2015 à Paris, à l’âge de 67 ans. Il aurait succombé
à une crise cardiaque à son domicile ; le parquet de Paris a cependant
ordonné l’ouverture d’une enquête sur les circonstances du décès.