De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
23/03/2019 - 10:37
Roues à aube dans la prairie, Comté autonome Tadjik de Tashkurgan, Xinjiang
Raté, il ne s’agit pas des ruines d’un ancien parc d’attractions chinois. Ces deux roues à aube, situées sur la rivière Tashkurgan, font partie du système d’irrigation permettant d’approvisionner en eau douce les quelque 13 000 habitants de la région. Cette accessibilité à l’eau douce est l’une des raisons pour lesquelles cette région est habitée depuis des milliers d’années et constitue une étape importante sur l’ancienne et la nouvelle route de la soie. Il est important de souligner que l’eau douce est essentielle à l’occasion de cette Journée mondiale de l’eau, qui a lieu tous les 22 mars. Le thème de cette année est « N’abandonner personne ». Avec plus de 2,1 milliards de personnes vivant sans eau potable, c’est l’un des objectifs les plus ambitieux de l’ONU en matière de développement durable.

23/03/2019 - 09:53
En Mayenne, un parc de loisirs unique en France pour faire des batailles de mini-tanks va bientôt ouvrir.

Le Parc de loisirs de Bergault va ouvrir le 31 mars prochain à Arquenay enMayenne, à 15 minutes de Laval. Il va proposer une activité inédite en France : piloter un mini-tank en plein air et organiser des batailles entre amis.
Le concept a été découvert en Angleterre par trois amis français.
Guillaume Rondeau, Grégoire Larreur et Arnaud de la Pastellière regardaient des vidéos sur les réseaux sociaux lorsqu’ils sont tombés sur des mini-tanks en Angleterre.


En Mayenne, un parc de loisirs unique en France pour faire des batailles
de mini-tanks va bientôt ouvrir. Crédits photo : Facebook Parc de
Bergault

Ils ont trouvé l’idée originale et ont décidé de lancer cette activité ludique en France. « On s’est dit qu’on avait un terrain tout trouvé quiappartenait à la mère de mon associé : le Parc de Bergault à Arquenay àcôté de Meslay-du-Maine » raconte un des associés pour les Nouvelles de Sablé.
Le trio se rend alors en Angleterre pour tester ces petites machines à moteur dans le parc d’attractions Tank Land. Ilsreviennent en France motivés à l’idée de développer cette activité inédite en France. Ils achètent dix tanks et aménagent le terrain de cinq hectares dans le Parcde Bergault.
À partir du 31 mars et jusqu’au 3 novembre 2019, les joueurs pourront être aux commandes d’une fidèle reproduction en miniature d’un char d’assaut sur chenilles. Munis d’un casque avec micro et oreillettes intégrées, ils pourront s’affronter cinq contre cinq.
Le principe du jeu est d’éliminer l’équipe adverse à l’aide de canons laser et de viseurs numériques. Avec deux leviers de commande, le mini-tank se pilote comme si c’était un vrai. Avec ses 21 chevaux, il est capable de s’adapter à tous types de terrains et d’atteindre une vitesse de 10 km/h.«C’est très ludique, avec ses chenilles, il peut franchir pas mal d’obstacles ».

Cette activité sera accessible à partir de 10 ans et proposée aussi bien à des familles, à des groupes d’amis, qu’à des entreprises souhaitant proposer des activités de team building à leurs salariés. D’autres activités, plus traditionnelles, comme le laser tag, seront proposées pour le plus grand plaisir des petits et grands.

23/03/2019 - 09:29
Les 50 meilleurs restaurants de Paris (selon la redac’Paris ZigZag).




Les jeux sont faits : La rédaction vous a concocté une sélection aux petits oignons de ses cinquante restaurants parisiens préférés ! Bistros, italiens, vietnamiens, méditerranéens… Il y en aura pour tous les goûts et tous les budgets, on vous le promet !

Par arrondissements.

1er.
-Ellsworth.
Ellsworth, c’est hot spot du premier : restau le midi, bar à tapas le soir, Ellsworth sait satisfaire les envies des affamés. Ambiance anglo-saxonne mais surtout des plats goûteux, le burger au poulet frit et lait ribot est un incontournable. Le weekend, on vient bruncher sans hésiter.


crédit photo : Instagram @ellsworth.paris
Ellsworth
34 rue de Richelieu, Paris 1er.

-Poulette.
Un bistrot pas vieillot, une cuisine du marché dans un décor classé : que demande le peuple ! Dans cet intérieur Art Nouveau aux magnifiques faïences, on vous sert aussi des cocktails au top concoctés par des mixologues qui savent y faire.


Crédit photo : Instagram @pouletterestaurant
Poulette
3 rue Etienne Marcel, Paris 1

2ème.
-Dépôt Légal.

La réputation du restaurant du grand chef Christophe Adam n’est plus à faire : à deux pas du Palais-Royal, Dépôt Légal est une adresse déjà culte. Tartare de boeuf et croque Vivienne (croque monsieur au fromage truffé) règnent en majesté, tandis que les desserts n’ont rien à envier aux meilleures pâtisseries. On dit oui à latarte pralinée et aux chou vanille et caramel beurre salé.


Crédit photo : Dépôt Légal
Dépôt légal
6 rue des petits champs, Paris 2.

-Frenchie Bar à vin.

Une des meilleures adresses du 2ème pour sûr, à deux pas de la rue Montorgueil : une sélection de vins tout simplement renversante, des terrines et pâtés à se damner, des poissons mijotés, des desserts sucrés-salés de haute volée : Frenchie met la barre haute.


Crédit photo : Instagram @frenchieruedunil
Frenchie Bar à vin
6 rue du Nil, Paris 2.

-Iovine’s.
Pas facile de trouver une bonne pizzeria dans un quartier aussi touristique que celui de Louvre… Mais pas de panique, Iovine’s arrive à la rescousse avec ses pizza napolitaines aux bons produits (tomates san marzano, mozzarella dop…). On craque sans hésiter pour la Diavola ou la Bronte, au pesto de pistaches, mortadelle et huile d’olive extra vierge bio.


Instagram @iovines_pizzerie
Iovine’s
7 rue bis du Colonel Driant, Paris 1er

-Ibrik Kitchen.

Café-restaurant du 9ème, Ibrik introduit aux palais parisiens une cuisine originaire des Balkans. Spécialités grecques et turques réconfortantes au menu. On fond en dessert pour leur gâteau tout pistache, un bonheur. Le samedi, on vient savourer leur brunch.


Crédit photo : Instagram @ibrikparis
Ibrik
9 rue de Mulhouse, Paris 2
 
Mozzato.
Comptoir à Mozzarella, c’est ça Mozzatto ! Le délicieux fromage italien au lait de bufflonne est partout à la carte de ce restaurant : burrata crémeuse avec une assiette de charcuterie, gnocchi tomate mozza, salade de tomates anciennes à la mozzarella di buffala…


Crédit photo : Mozzato Paris
3 rue Bachaumont, Paris 2
Ouvert du lundi au samedi de 12h à 14h15 et de 19h à 22h15 (23h le samedi)
01 42 21 02 63

-Street Bangkok.
Ici, on vient croquer à pleine dents dans un canard laqué bien dégoulinant accompagné de riz pimenté et de coriandre frâiche. Ambiance gargotte thaï futuriste avec ses néons tigre, Street Bangkok est définitivement un hot spot du 2ème, à deux pas de Montorgueil.


Crédit photo : Instagram @velvet_louise
Street Bangkok
112 rue Saint-Denis, Paris 2

-Strogoff.

Vous avez faim de tartare ? C’est à Strogoff que ça se passe ! Dans cette brasserie moderne toute de bois vêtue, nos papilles s’embrasent pour les tartares de boeuf, veau, canard, saumon ou encore thon. Leur brunch du dimanche est également à tester.


Crédit photo : Strogoff Paris
Strogoff
37 boulevard de Bonne Nouvelle, Paris 2

3eme.

-Paris New York.Sans aucun doute le meilleur burger de Paris. Les années passent et la qualité est toujours au rendez-vous : des burgers authentiques et ultra-généreux qui ravissent tout le monde. Bacon fumé divin, fromages affinés, viande de boeuf sélectionnée, sauces à se damner : le paradis des fanas du sandwich américain.


Crédit photo : Instagram @pnyburger
PNY
1 rue Perrée, Paris 3

-Breizh Café.
Fameuse crêperie
dont la réputation n’est plus à faire : toute droit venue de Cancale avec un détour par Tokyo, elle nous étonne en servant des crêpes bretonnes intégrant des associations de saveurs typiquement japonaises : wasabi & sarrasin, caramel au gingembre…


Crédit photo : Instagram @breizhcafe_fr
Breizh Café
109 rue Vieille du Temple, Paris 3

4ème
-La Mangerie.
Le bar à tapas à savourer entre copains pour démarrer le weekend en fanfare : carte en forme de QCM, service au top, petits plats à partager qui déboîtent, du saumon gravlax en tataki à l’émincé de boeuf et son risotto.


Crédit photo : Instagram @lamangerie
La Mangerie
7 rue de Jarente, Paris 4
Ouvert du lundi au samedi de 18h à 01h
01 42 77 49 35

-Benedict.
Au coeur de Marais, on vient se délecter des fameux oeufs Bénédictine, plat star de la carte. Déclinés à l’envi, ces coulants oeufs pochés accompagnés de charcuterie et arrosés de sauce hollandaise font de cette adresse un des brunchs les plus courus du 4ème.


Instagram @benedict_paris
Benedict
19 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, Paris 4.

-Jaja.
Véritable oasis de verdure en plein marais, Jaja nous séduit avec sa carte aux notes fruitées et herbacées : gnocchi à la sauge, mulet noir à la bergamote, caille farcie au foie gras, ou en dessert la crème à la fève tonka et son biscuit à la mangue,agrumes et sirop au romarin.


Crédit photo : Instagram @jaja.resto
Jaja
3 rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, Pairs 4

-Miznon.

Sans doute l’une des meilleures adresses street food du quartier Saint-Paul, et de loin. Ici, on vient croquer dans de généreuses pitas fourrées à la viande d’agneau, accompagnées de choux-fleurs entiers rôtis et épicés. Immersion totale dans la gastronomie de rue israélienne.


Crédit photo : Instagram @narciss0
Miznon
24 rue des Escouffes, Paris 4

5ème.

-La bouteille d’or.
Auberge parisienne centennaire, La Bouteille d’or a connu récemment un véritable coup de jeune. À la carte, une délicieuse cuisine française gourmande à souhait (on pense aux plats de coquillages ou à la poitrine de porc fumé, l’éclair au chocolat…) Aux beaux jours, on vient se dorer la pilule sur la belle terrasse donnant sur la Seine.


Crédit photo : la bouteille d’or
La bouteille d’or
9 quai de Montebello, Paris 5

6ème.

-Compagnie des vins surnaturels.

Un très bon bar à vins du 6ème. Avec ses 3000 références, la compagnie impressionne. On s’y rend pour un apéro de luxe avec d’excellents produits, comme le prosciutto al tartufo, le tarama à la truffe ou encore une bien belle sélection de fromages affinés.


Crédit photo : Instagram @leicadds
Compagnie des vins surnaturels
7 rue Lobineau, Paris 6

-Treize au jardin.
Manger des plats du sud des Etats-Unis en plein 6ème, ça vous étonne ? Pourtant chez Treize, adresse rustique-chic tenue par une américaine de Caroline de Sud amoureuse de Paris, on vous sert une cuisine « comfort food » à base de poulet frit maison, tourtes aux champignons, et desserts généreux typiquement américains. Tout est maison, et l’atmosphère chaleureuse.


Crédit photo : Instagram @treizebakeryparis
Treize au jardin
5 rue de Médicis, Paris 6

-Niébé.

À deux pas du métro Vavin, Niébé nous régale d’une cuisine soul food aux inspirations africaines et sud-américaines : feijoada brésilienne, daurade mijotée au lait de coco et curcuma, mousse onctueuse au maracuja… Le tout sous la très jolie verrière au fond du restaurant. Géré par une équipe de filles passionnées qui dépotent !


Crédit photo

Niébé
16 rue de la Grande Chaumière, Paris 6

7ème
.
-Petrossian.
La célébrissime maison de caviar a ouvert fin 2018 un restaurant qui fait du caviar le Tsar du menu. À la carte, des déclinaisons surprenantes du précieux oeuf d’esturgeon, à l’image du quasi du veau de lait au caviar maturé, les tagliatelle fraîches au caviar Ossetra… Et que dire des frites Pont Neuf ou des pommes soufflées maison à tremper dans le caviar liquide !


Crédit photo : Instagram @culturefoood
Petrossian
13 boulevard de la Tour Maubourg, Paris 7

-Pottoka.
Un bistrot basque
à Paris, ça vous dit ? Potokka insuffle à la capitale ce qu’il faut d’esprit basque pour ravir les palets parisiens : lotte rôtie au lard Ibaïama, foie gras de la ferme Uhartia, poulpe de Galice laqué, sans oublier le fameux gâteau basque en dessert…


Crédit photo : Instagram @ljy880112
Pottoka
4 rue de l’Exposition, Paris 7

8ème

-Shirvan Café Métisse.
Invitation au voyage
par la route de la soie au Shirvan : le chef expérimenté Akrame Benallal prépare une cuisine aux influences méditerranéennes et caucasiennes. Le tout dans un décor ultra-travaillé de brasserie chic, très du quartier.


Crédit photo : Instagram @shirvancafemetisse
Shirvan café métisse
5 place de l’Alma, Paris 8

9ème.

-Buvette.
Bonjour la gastrothèque du 9ème ! Petite soeur de la Buvette New-Yorkaise, adresse culte du West village, Buvetteversion paris régale de ses généreuses tartines, oeufs brouillés, charcuteries bien choisies. Sans oublier le dessert culte de la maison :la tarte tatin.


Crédit photo Buvette Paris
Buvette
28 rue Henri Monnier, Paris 9

-Bistrot Rougemont
.
À deux pas du Grand Rex, un petit nouveau parmi les bistrots du quartier : le Rougemont est une jeune et très bonne adresse avec aux manettes le chef Anthony Roussel, passé par l’Élysée ou le Plaza Athénée. Quelques plats pour vous allécher : oeufs meurette aux chanterelles, burratina des pouilles, épaule de cochon confite 12 heures…


Crédit photo : Instagram @ideatmagazine
Bistrot Rougemont
10 rue Rougemont, Paris 9

-Pantruche.

En vieil argot, pantruche signifie parisien. Tout un programme dans ce bistrot qui ne paie pas de mine et sert pourtant une cuisine gourmande et tradi française. Bon point : la carte à l’ardoise évolutive. Viandes et poissons de qualité, associations osées, desserts de gourmets : un grand oui à la bistronomie !


Crédit photo : Instagram @marc_obin
Pantruche
3 rue Victor Massé, Paris 9

10ème
-Da Graziella.
Très bon spot à pizzas
du 10ème. Ici c’est pizza napolitaine au feu de bois dans un surprenant décor ancien fait de faïences. Nichée dans une
ancienne oisellerie, Da Graziella nous fait aujourd’hui piailler de plaisir en italien s’il vous plaît !


Crédit photo : Instagram @pizzeriadagraziella
Da Graziella
43 rue des Petites-Ecuries, Paris 10

Le Brebant.
Tout près du musée Grévin, le Brebant s’impose comme le café où il faut être si l’on traîne ses guêtres du côté des grands boulevards. Gastronomie française tradi, bons cocktails, tout ce qu’on aime.


Crédit photo : Instagram @lebrebantparis
Café le Brebant
32 boulevard Poissonière

-SAam.
SAam, c’est notre petite madeleine de Proust du 10ème, mais coréenne la madeleine ! Sont servis quotidiennement des baos, fondantes brioches asiatiques fourrées au boeuf mariné, poulet frit, poitrine de porc fumée ou tofu frit. Le tout agrémenté de petits légumes vinaigrés façon pickles. La bonne street food coréenne à portée de bouche.


Crédit photo : Instagram @Saamparis
SAam
59bis rue de Lancry, Paris 10

11ème
-Aux deux Amis.
Tapas tapas tapas
! En dépit de son nom très frenchie, Aux Deux amis régale de ses spécialités hispaniques : tortilla, jambon tranché minute servi avec des amandes grillées, guacamole maison… Simple, gouleyant et terriblement efficace pour un apéro à Oberkampf.


Crédit photo : Instagram@respectfulcoolguy
Aux Deux Amis
45 rue Oberkampf, Paris 11

-Borgo Delle Tovaglie.

Attention très bonne adresse : restaurant boutique de 700m2, Borgo Delle Tovaglie sert en semaine de très bons risottos et le weekend un brunch all’italiana, faisant la part belle aux fromages et charcuteries transalpins. Andiamo la régalade !


Crédit photo : Instagram @inesengelin
Borgo Delle Tovaglie
4 rue du Grand Prieuré, Paris 11

-Septime.

8 ans déjà que Septime rend fous les gastronomes exigeants. En quelques mots : cuisine de grand chef (Bertrand Grébaut) beaucoup d’iode et de légumes frais, associations surprenantes et originales. Une cuisine française constamment réinventée.


Crédit photo : Instagram @septimeparis
Septime
80 rue de Charonne, Paris 11

-Chakchouka.

Un détour par la Méditerranée… C’est ce qui ce cache derrière Chakchouka, c’est une carte qui va de la botte italienne jusqu’au Maghreb. Couscous, Ossobucco, poulet au citron confit, mezze… Sans oublier la chachouka bien sûr, avec ses délicieux poivrons et aubergines mijotés.


Crédit photo : Chakchouka Paris
Chakchouka
71 rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11

-Clown Bar.

Dans son drolatique décor rétro fait de faïences ornées de clowns colorés, le Clown bar propose une cuisine de bistrot twistée avec quelques influences japonaise : pigeon sucré-salé, truite à la ricotta et aux abricots, crème brûlée glace verveine. Du multicolore et des acrobaties des murs à l’assiette.


Crédit photo

Clown Bar
114 rue Amelot, Paris 11

-Mokonuts.
Tout petit restaurant toujours plein à Ledru-Rollin, entre le 11ème et le 12ème. Chez Mokonuts, un couple passionné sert une carte follement 
inventive et ultra-fraîche, aux inspirations arabes et japonaises. N’oubliez pas en dessert de fondre pour l’un de leurs délicieux cookies maison.


Instagram @r_larkin
Mokonuts
5 rue Saint-Bernard, Paris 11

-Paperboy.
Paperboy, c’est le spot du 11ème pour bruncher comme à NYC. 4 formules (healthy, fatty, veggy, paperben) pour satisfaire tous les appétits. Pancakes fluffy à souhait, oeufs bénédictine dégoulinants de sauce hollandaise, granola aux fruits frais, tous les essentiels du bon brunch du dimanche maîtrisés.


Crédit photo : Insatgram @paperboyparis
Paperboy
137 rue Amelot, Paris 11

12ème
-Dersou.

À Bastille, Dersou affole les papilles des locaux avec le midi une carte aux influences asiatiques et un menu concept le soir : toujours surprise et surprenant, où chaque plat est associé à un cocktail très travaillé. Une table exigeante à l’addition salée.


Crédit photo : Instagram @takdersou
Dersou
21 rue Saint-Nicolas, Paris 12

-Passerini.

Passerini, c’est l’adresse italienne du 12ème pour déguster d’excellentes pasta maison (mmmm, les tagliolini) mais aussi des délicieuses tripes à la romaine, des croquettes de riz et mozzarella… Une des meilleures tables italiennes de Paris.


Crédit photo : Instagram @karajan01
Passerini
65 rue Traversière, Paris 12

13ème.
-Phô 13.

Esprit cantine vietnamienne pour se réchauffer été comme hiver avec une délicieuse phô, soupe à base de bouillon fumant, viande et légumes. Les portions sont ultra-généreuses et les choix multiples. Phô 13 ne déçoit jamais !


Crédit photo : Instagram @tuaninou
Phô 13
135 Avenue de Choisy, Paris 13

14ème.
-La Verrière.

Belle cuisine franco-japonaise sophistiquée (les deux chefs ont fait leurs armes dans différents grands palaces parisiens) dans un décor épuré, tout en tons de gris. Niché dans l’hôtel Niepce, ce jeune restaurant propose également un brunch de luxe pour gourmets exigeants.


Crédit photo : Instagram @verriere_paris
La Verrière
4 rue Nièpce, Paris 14

15ème.
-Gioco .

Une trattoria italienne sans chichi, où les pizzas blanches (à base de crème fraîche) sont parmi les must (goûtez celle à la crème de truffe !). De très bons classiques italiens outre les pizzas (pasta, piccata de veau, escalope parmigiana) et un tiramisu à tomber !


Crédit photo : Instagram @marine_levy
Gioco
2 rue Mademoiselle, Paris 15

Pilgrim.
Digne d’un étoilé, Pilgrim propose une cuisine de produits d’excellences, aux subtiles influences japonaises. Aux manettes Hideki Nishi, le grand chef japonais déjà propriétaire de Neige d’été, autre fameuse adresse du 15ème. Le must : l’oeuf mollet cuit en tempura, crème de panais et truffe…


Crédit photo : Instagram @baeg_
Pilgrim
8 rue Nicolas Charlet, Paris 15

16ème.
-Le Chalet des îles.

Véritable écrin romantique niché sur le une île du lac inférieur du bois de Boulogne, le Chalet des îles met à l’honneur une cuisine gastronomique à la fois française et plus exotique. Près de la grande cheminée, dans un décor chaleureux, on aime se lover l’hiver sur un grand canapé en cuir, et bruncher l’été sur la terrasse au bord de l’eau.


Crédit photo : Instagram @chaletdesiles
Le Chalet des îles
14 Chemin de Ceinture du lac Inférieur, Paris 16

17ème.
-Les françaises.

Bar à tapas bien loin de la traditionnelle version espagnole, les françaises concocte des assiettes partagées aux petits oignons : tataki de thon, jambon blanc à la truffe, ceviche aux clémentines, fruits rouges au vin chaud et glace yaourt…


Crédit photo : Les françaises
Les françaises
87 rue Legendre, Paris 17

-Brutus.
Crêperie locavore
qui fait du sarrasin la base de toutes ses crêpes, Brutus se targue aussi d’être une véritable bar à cidre. Ou l’association bretonne parfaite. Brutus se permet quelques libertés vis-à-vis de notre bonne vieille crêpe bretonne tradi, en témoigne la crêpe raclette façon samossa !


Crédit photo
Brutus
99 rue des dames, Paris 17

18ème.
-Le Ruisseau.
« Burger joint » comme disent les anglo-saxons, le ruisseau c’est d’excellents burgers généreusement garnis. Fromage dégoulinant, salade croquante, pains boulangers moelleux à souhaits, impossible d’être déçu et certitude de repartir toujours repu.


Crédit photo : Instagram @leruisseauparis
Le Ruisseau
65 rue du Ruisseau, Paris 18

-Vava.

Un méditerranéen de luxe adoré des gens du quartier : entre le houmous aux herbes, le riz de veau câpres/chorizo/citron confit, les couteaux à la pancha… On ne sait que choisir. Par contre, au dessert, impossible de passer à côté du calisson à la fleur d’oranger, spécialité de la maison.


Crédit photo : Instagram @restaurant_vava
Vava
42 rue Véron, Paris 18

19ème.

-Pavillon Puebla.
Au coeur des Buttes Chaumont, le Pavillon Puebla est un hot spot bucolique à savourer les soirs d’été. Carte aux tonalités italiennes, cocktails de compèt’, et le weekend un brunch à boulotter bien installé dans les canapés vintage avec vue sur les grands arbres du parc.


Crédit photo : Instagram @valentine_davase
Pavillon Puebla
Parc des Buttes-Chaumont, Avenue Darcel, Paris 19

-le Balcon.

Au 6ème étage de la philarmonie de Paris, le Balcon offre non seulement une vue panoramique sur Paris, mais aussi une cuisine de saison travaillée. Les desserts sortent véritablement du lot, très originaux : citron-butternut meringué, baba au rhum infusé aux épices et à la crème de châtaigne, opéra façon finger au chocolat et pleurotes (!).


Crédit photo : Instagram @restaurantlebalcon

20ème
-DiliaCôté Ménilmontant,

Dilia joue la carte du néobistrot italien qui n’a rien d’une trattoria. Ici, c’est le repaire des gourmets, la cuisine est précise, les accords mets-vins divins. Menus 4 à 6 plats, une vraie carte de dégustation. le tout dans un décor chaleureux fait de briques.


Crédit photo : Instagram @dilia_restaurant
Dilia
1 rue d’Eupatoria, Paris 20

-Les Canailles.

Extension des Canailles de Pigalle, les Canailles version Ménilmontant assume une carte fort franchouillarde et on ne va pas les blâmer : blanquette de dinde fermière, pommes dauphine, rumsteck, terrine de sanglier au cognac… Avec une mention spéciale pour la langue de boeuf et la tête de veau. Les parigots sont peut être tête de veau, mais ils aiment les bons restos !


Instagram @danilbukreev
Les Canailles
15 rue des Panoyaux, Paris 20
Ce commentaire a été modifié le 23/03/2019 à 09:42
23/03/2019 - 08:44
Comment Paris est-elle devenue la capitale de la gastronomie ?
 
Paris est incontestablement perçue comme la capitale gastronomique mondiale, en tant qu’épicentre de la traditionnelle cuisine française mais également pour la palette d’autres saveurs que ses restaurants proposent parfois. Mais comment la ville lumière s’est-elle historiquement forgée cette réputation ?
Dès le XVIe siècle, les traditions françaises se font ressentir, on parle alors de service « à la française » pour désigner les grandes tablées remplies de tous les plats du soir. La fin de l’Ancien Régime signera l’ouverture des premiers restaurants, sous la forme de bouillons mais verra aussi apparaître les critiques gastronomiques, c’est le début de la tradition culinaire française.

Mais la cuisine de l’hexagone connaîtra un véritable essor par la suite, et notamment au XIXe siècle. La « grande cuisine française » va se développer en même temps que la littérature gourmande, amorcée par un certain Grimod de la Reynière. Ainsi, les auberges vont être progressivement requinquées, leur environnement va se transformer pour laisser place à des établissements de plus haut standing, où l’on sert des mets plus raffinés.

Bien manger devient alors une passion, les convives s’empressent aux portes des restaurants, et veulent s’y faire voir. Les plaisirs de la table vont devenir codifiés et sacralisés, on voue alors un véritable culte à ces derniers. Peu après viendra le XXe siècle et l’arrivée du Larousse Gastronomique. Les prouesses et inventions culinaires à l’initiative deschefs français se multiplient au fil des années, à l’image de la « nouvelle cuisine ».

Instagram @septimeparis

La gastronomie française est depuis célébrée dans le monde entier et les chefs français « s’exportent » à merveille, souvent récompensés par des étoiles Michelin. Paris, capitale de la gastronomie, n’est pas prête de perdre son statut.



23/03/2019 - 08:25
L’histoire des cafés et grandes brasseries de Paris.
 
Vous avez leurs noms en tête, mais connaissez-vous leur histoire ? Découvrezce qui se cache derrière les cafés et brasseries les plus mythiques de Paris : souvent symboles d’une époque, ils ont accueilli de nombreuses personnalités au fil des siècles qui ont souvent contribué au prestige des lieux. Petit tour d’horizon des origines de quelques grands noms de la restauration parisienne.

La Closerie des Lilas .
C’est en 1847 qu’ouvre entre Port Royal et Montparnasse la Closerie des Lilas, un établissement qui a vu passer tant d’artistes prodigieux qu’ildemeure difficile de les énumérer tous. Au XIXème siècle, le restaurantjouit de sa proximité avec le bal Bullier, véritable rendez vous mondain de la scène culturelle parisienne, attirant de fait écrivains etpeintres. Zola, Mallarmé, Paul Cézanne ou les Frères Goncourt y traînent leurs guêtres. Puis vient au XXème siècle une seconde vague
d’artistes, des dadaïstes Tristan Tzara et André Breton aux américains de la génération perdue, Hemingway ou F.S Fitzgerald en tête…
Véritable petit écrin de verdure, la Closerie sert aujourd’hui une cuisine des plus fines (on vous conseille notamment l’étourdissante tarte tatin).

La Closerie des Lilas
171 Boulevard de Montparnasse, Paris 6

Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 23h30.

Grand Café Capucines.
Inauguré en 1875, dans la même période que l’Opéra Garnier voisin, Le Grand CaféCapucines impressionne encore aujourd’hui avec son décor Art Nouveau, de toute beauté. C’est dans cette brasserie du quartier des grands boulevards que les frères Lumière auraient projeté leur tout premier film en 1895.

Grand Café Capucines
4 boulevard des Capucines, Paris 9
Ouvert tous les jours 24/24.

Lipp .
Une institution d’origine alsacienne au coeur de Saint-Germain-des-Prés, ouverte en 1880. La brasserie Lipp et sa façade en acajou verni est reconnaissable entre mille. Elle a vu le passage de nombreux artistes, intellectuels et politiques : Rimbaud, Camus, Mitterrand, Sartre… Classée aux Monuments historiques, elle a conservé son charme d’antan grâce à ses céramiques murales conçues par Léon Fargues et ses plafonds de Charly Garrey.
Dans les années 20, elle est reprise par des auvergnats, puis, dans les années 1990, ce sont les propriétaires du café Angelina, la famille Bertrand, qui rachète le lieux.

Brasserie Lipp
151 boulevard Saint-Germain, Paris 6
Ouvert tous les jours de 9h à 1h.

Les deux Magots.
L’un des deux cafés mythiques de Saint-Germain-des-Prés, avec le café de Flore bien sûr ! Ouvert en 1885, les deux Magots a vu passer de nombreuxartistes du monde littéraire, tant et si bien qu’un prix « les deux magots » est décerné chaque année à un auteur de talent. Il tient son patronyme d’un magasin de nouveautés qui existait avant lui au même
emplacement, signifiant « les deux figurines chinoises« . Dans la salle du café, deux statues rappellent ce passé. Aujourd’hui, lettrés et touristes se côtoient encore aux deux Magots.


Les deux Magots
6 Place Saint-Germain des Prés, Paris 6

Ouvert tous les jours de 7h30 à 1h.

Café de Flore.
Lieu symbole de l’intelligentsia de gauche, le Café de Flore n’a pas toujours été un foyer d’accueil progressiste… Fondé en 1887, il accueille d’abord les grandes figures de l’Action française, un mouvement nationaliste d’extrême-droite. Mais dans les années 1920, c’est la vague surréaliste qui imprègne de sa fougue créatrice le Flore. Guillaume Apollinaire, Jaques Prévert, Boris Vian et surtout le couple Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre comptent sans doute parmi les plus illustres habitués du café, qui tient son nom de la déesse Flore.

Café de Flore
172 Boulevard Saint-Germain, Paris 6

Ouvert tous les jours de 7h30 à 1h30.

Bouillon Chartier.
C’est sans doute la brasserie la plus mythique et populaire de Paris : le Bouillon Chartier, ouvert en 1896 par les frères Frédéric et Camille Chartier. Lieu témoin de l’architecture et du style de vie de la Belle-Epoque, avec ses larges miroirs, boiseries foncées et décors en zinc, il sert une cuisine simple, revigorante et peu chère : oeufs-mayo,steak frites, boeuf bourguignon…. Un établissement encore aujourd’hui adoré par les parisiens et les touristes. C’est aujourd’hui le groupe
Joulie, propriétaire d’une dizaine de brasseries parisiennes, qui possède le plus célèbre bouillon de Paris.


Crédit photo : Bouillon Chartier

Bouillon Chartier
7 rue du Faubourg-Montmartre, Paris 9

Ouvert tous les jours de 11h30 à 00h.

Au chien qui fume.
En 1920 naît Au chien qui fume, succédant à différentes auberges dont la première a vu le jour en 1740 ! Inscrit aux monuments historiques, ce restaurant à la drôle d’effigie d’un chien fumant la pipe accueillait d’abord les mandataires et travailleurs des Halles. D’ailleurs, la salleintérieure est recouverte de tableaux de chiens fumant !
Encore aujourd’hui, il sert des classiques de la cuisine française à prix modique, notamment les oeufs-mayonnaise, escargots, plateaux de fruits de mer, crème brûlée…

Crédit photo : au chien qui fume
Au chien qui fume
33 rue du Pont-Neuf, Paris 1
.
Ouvert du dimanche au jeudi de 7h30 à 1h, les vendredis et samedis de 7h30 à 2h.

La Coupole.
Pas moins de 32 artistes se sont réunis pour peindre et décorer la superbe salle du restaurant la Coupole, évidemment classée aux monuments historiques. Inaugurée en 1927, elle est l’un des lieux phares du Montparnasse des artistes, époque où Joséphine Baker, Picasso, Man Ray ou Louis Aragon écumaient les lieux jusqu’à tard dans la nuit. Encore
aujourd’hui, on y sert une bonne cuisine de fruits de mer et de poissons.




La Coupole
102 Boulevard de Montparnasse, Paris 14

Ouvert tous les jours de 8h à 00h.

Au pied de cochon.
Brasserie emblématique de l’après-guerre, Au pied de cochon demeure sans doute ledernier témoin de l’époque ou les anciennes Halles voisines constituaient ce que l’on appelait alors le ventre de Paris. Un périmètre d’effervescence dont la petite brasserie est aujourd’hui la seule survivante. Ouverte en 1946 par Clément Blanc, ancien mandataire de boucherie reconverti dans la restauration, Au pied de Cochon devient rapidement le quartier général des travailleurs des Halles. Ces dernierstravaillant souvent la nuit, Au pied de cochon s’ouvre à eux 24 heures sur 24 pour satisfaire leur faim et soif.
Après les années creuses qui suivent la fermeture des Halles en 1969, la brasserie retrouve une seconde jeunesse, notamment grâce à la venue en grande pompe de François Mitterrand pour célébrer son élection en 1981.
De quoi en faire une institution toujours en pleine forme de nos jours !


Au pied de Cochon
6 rue Coquillère, Paris 1

Ouvert tous les jours 24h/24


23/03/2019 - 07:52
Gratitude Pour La Beauté De La Nature...
Je vous propose d’assister à un pur instant de grâce et d’émotion en compagnie de Louis Schwartzberg et de la nature, la passion de sa vie.
Les images et l’histoire en seconde partie sont magnifiques.

Voici quelques citations qui m’ont particulièrement touché.
« Nous protégeons ce dont nous tombons amoureux »
« Quand nous nous voyons dans la nature, ça nous relie aussi à chacun de nous, parce qu’il est clair que nous sommes tous liés en une entité. »
« Quand les gens voient mes images, souvent ils disent « Oh mon Dieu ! » « 80% de l’information que nous recevons passe par les yeux »
« La beauté de la nature est un cadeau qui cultive l’appréciation et la reconnaissance. »
« Vous croyez que ce n’est qu’un jour de plus dans votre vie ? Ce n’est pas qu’un jour de plus. C’est LE jour qui vous est donné aujourd’hui. Il vous a été donné.
La beauté de la nature est un cadeau qui cultive l’appréciation et la reconnaissance. J’ai un cadeau que je veux partager avec vous aujourd’hui, un projet sur lequel je travaille, appelé « Le Bonheur Révélé » . 

Il nous donnera un aperçu de cette perspective du point de vue d’un enfant et d’un homme âgé de ce monde.
Enfant : « Quand je regarde la télé, ce ne sont que des programmes que tu — qui font semblant, et quand tu explores, tu gagnes plus d’imagination que tu n’avais déjà. 
Et quand tu as plus plus d’imagination, ça te donne envie d’aller plus loin, donc tu peux en avoir plus et voir des choses plus belles, comme un chemin, si c’est un chemin, il peut te mener à une plage ou un truc comme ça,et ça peut être beau. »

Homme âgé : « Vous croyez que ce n’est qu’un jour de plus dans votre vie ? Ce n’est pas qu’un jour de plus. C’est LE jour qui vous est donné aujourd’hui. 
Il vous a été donné. C’est un cadeau. C’est le seul cadeau que vous avez maintenant, et la seule réponse appropriée est la reconnaissance. 
Si vous ne faites rien d’autre que cultiver cette réponse au grand cadeau qu’est ce jour unique, si vous apprenez à répondre comme si c’était le premier jour de votre vie et le tout dernier jour, alors vous passerez une très bonne journée.
Commencez par ouvrir vos yeux et par être surpris d’avoir des yeux que vous pouvez ouvrir, qu’un incroyable ensemble de couleurs nous est constamment offert pour notre pur plaisir. 

Regardez le ciel.Nous regardons si rarement le ciel. Nous remarquons si rarement combien il est différent à chaque instant, avec les nuages qui vont et qui viennent. 
Nous ne pensons qu’à la météo, et même quand il s’agit de la météo, nous ne pensons pas à toutes ses nuances. Nous pensons qu’au beau temps et au mauvais temps. 
Aujourd’hui, à ce moment même, a un climat unique, d’une sorte qui peut-êtrei ne reviendra jamais exactement sous cette forme. 
Cette formation de nuages dans le ciel ne sera plus jamais la même qu’en ce moment. Ouvrez vos yeux. Regardez ça.
Regardez les visages des gens que vous rencontrez. Chacun a une histoire incroyable derrière son visage, une histoire au bout de laquelle vous ne pourriez jamais vraiment aller. 
Non seulement sa propre histoire, mais l’histoire de ses ancêtres. Nous venons de si loin, et dans ce moment présent, aujourd’hui,tous les gens que vous rencontrez...Toute cette vie de plusieurs générations et de tant d’endroits dans le monde s’écoule ensemble et vous rencontre ici, comme de l’eau de Jouvence, si seulement vous ouvrez votre cœur et buviez.
Ouvrez votre cœur aux cadeaux incroyables que la civilisation nous offre. Vous appuyez sur un interrupteur et il y a de la lumière électrique. 

Vous ouvrez un robinet et il y a de l’eau chaude et de l’eau froide, et de l’eau potable. C’est un cadeau que des millions de gens dans le monde ne connaîtront jamais.
Ce ne sont que quelques-uns des innombrables cadeaux auxquels nous pouvons ouvrir nos cœurs. Je vous souhaite donc d’ouvrir votre cœur à toutes ces bénédictions, et de les laisser couler à travers vous.
Et tous ceux que vous rencontrerez aujourd’hui seront bénis par vous, rien que par vos yeux, par votre sourire, par votre toucher, rien que par votre présence.
Laissez la reconnaissance déborder dans une bénédiction tout autour de vous.Alors, ce sera vraiment une bonne journée.»

Si vous ne faites rien d’autre que cultiver cette réponse au grand cadeau qu’est ce jour unique, si vous apprenez à répondre comme si c’était le premier jour de votre vie et le tout dernier jour, alors vous passerez une très bonne journée. »
« Regardez les visages des gens que vous rencontrez. Chacun a une histoire incroyable derrière son visage, une histoire au bout de laquelle vous ne pourriez jamais vraiment aller. »

Retranscription.
Quand j’ai obtenu mon diplôme à UCLA, j’ai déménagé au nord de la Californie et j’habitais dans une petite ville qui s’appelait Elk, sur la côte du Mendocino. Je n’avais pas de téléphone ni de télé, mais j’avais la poste américaine. 
C’était la belle vie à l’époque, si vous vous en souvenez. J’allais au magasin d’alimentation générale pour une tasse de café et un brownie, et j’envoyais mon film par la poste à San Francisco, et voilà, 2 jours après il arrivait à ma porte d’entrée, ce qui était mieux que d’avoir à lutter contre les embouteillages de Hollywood.

Je n’avais pas beaucoup d’argent. Mais j’avais du temps et une impression d’émerveillement.
J’ai commencé à faire de la photographie en time-lapse. Il me fallait un mois pour tourner un rouleau de pelliculle de 4 minutes, car c’était tout ce que je pouvais me permettre.
J’ai filmé des fleurs en time-lapse continuellement, sans cesse, 24 heures par jour, 7 jours par semaine,pendant 30 ans, et les voir bouger est une danse dont je ne me lasserai jamais. 

Leur beauté nous plonge dans les couleurs, les goûts, le toucher. Elle nous fournit aussi un tiers de la nourriture que nous mangeons. 
La beauté et la séduction sont les outils de la nature pour sa survie, car nous protégeons ce dont nous tombons amoureux. 

Ça ouvre nos cœurs et nous fait prendre conscience que nous faisons partie de la nature et n’en sommes pas séparés. 
Quand nous nous voyons dans la nature, ça nous relie aussi à chacun de nous, parce qu’il est clair que nous sommes tous liés en une entité.

Quand les gens voient mes images, souvent ils disent«Oh mon Dieu !»Vous êtes-vous jamais demandé ce que ça signifie ?
Le « Oh » signifie que votre attention a été attirée, que vous êtes présent, attentif. 
Le « mon » signifie que ça vous lie à quelque chose qui est tout au fond de votre âme. Ça ouvre une porte pour que votre voix intérieure se lève et qu’elle soit entendue.

Et « Dieu » ? Dieu est le voyage personnel que nous voulons tous entreprendre, pour être inspiré, pour nous sentir en phase avec un univers qui célèbre la vie.
Saviez-vous que 80% de l’information que nous recevons passe par les yeux ? 
Et si on compare l’énergie de la lumière aux gammes musicales, l’œil nu ne verrait qu’une octave, celle qui est en plein milieu ? 
Et ne sommes-nous pas reconnaissants que nos cerveaux prennent cette impulsion électrique qui vient de l’énergie de la lumière pour créer les images afin que nous explorions notre monde ? 

Ne sommes-nous pas reconnaissants d’avoir des cœurs qui peuvent ressentir ces vibrations afin de nous permettre de ressentir le plaisir et la beauté de la nature ? 
La beauté de la nature est un cadeau qui cultive l’appréciation et la reconnaissance. 
J’ai un cadeau que je veux partager avec vous aujourd’hui, un projet sur lequel je travaille, appelé « Le Bonheur Révélé » . 
Il nous donnera un aperçu de cette perspective du point de vue d’un enfant et d’un homme âgé de ce monde.
Regardez le ciel.Nous regardons si rarement le ciel. Nous remarquons si rarement combien il est différent à chaque instant, avec les nuages qui vont et qui viennent. 
Nous ne pensons qu’à la météo, et même quand il s’agit de la météo, nous ne pensons pas à toutes ses nuances. Nous pensons qu’au beau temps et au mauvais temps. 
Aujourd’hui, à ce moment même, a un climat unique, d’une sorte qui peut-êtrei ne reviendra jamais exactement sous cette forme. 
Cette formation de nuages dans le ciel ne sera plus jamais la même qu’en ce moment. Ouvrez vos yeux. Regardez ça.

Regardez les visages des gens que vous rencontrez. Chacun a une histoire incroyable derrière son visage, une histoire au bout de laquelle vous ne pourriez jamais vraiment aller. 
Non seulement sa propre histoire, mais l’histoire de ses ancêtres.

Et tous ceux que vous rencontrerez aujourd’hui seront bénis par vous, rien que par vos yeux, par votre sourire, par votre toucher, rien que par votre présence.Laissez la reconnaissance déborder dans une bénédiction tout autour de vous. Alors, ce sera vraiment une bonne journée.» 


23/03/2019 - 06:50
Éphéméride du 82ème jour de l’année : 23 mars.

Saint du jour :
Saint-Victorien
, gouverneur chrétien de Carthage, refusa d’emprisonner ses coreligionnaires et mourut en martyr en 484.



Étymologie :
Victorien, du latin victoria, « victoire » (Féminin : Victorienne)
Rebecca, de l’hébreu rivacq « prédestiné »


Autres prénoms fêtés ce jour :
Bonne fête aux :
Didier et ses variantes : Desiderio, Didia, Didiane, etc.
Victorien et son féminin : Victorienne.

Et aussi aux :
Annonciade
Justog, prénom breton,
Rebecca ou Rébecca, et son diminutif Becky.
Turibe, et ses variantes : Toribio, Turibio.

Patron(nes) :
Saint-Victorien est le patron des commerçants. Il est invoqué pour favoriser la cicatrisation des égratignures.
Les personnes dépensières adressent des prières à Saint-Frumence pour avoir la force de résister à la tentation de l’achat.
Saint-Félix était invoqué par ceux qui voulaient être couchés sur un testament d’un mourant sans héritier.
Saint-Maidoc de Fiddown est le patron des apiculteurs.

Dictons :
Arbre à papillons planté à la Saint-Victorien, sera bien fleuri à la Saint-Adrien (8 septembre)
Douceur de Saint-Victorien, pour les fleurs de printemps ne sert à rien.
Hiver qui se réveille à la Saint-Victorien n’est qu’un vaurien.
Quant à glace il gèle à la Saint-Victorien, en pêches, en abricots, il n’y a rien.
S’il pleut à la Saint-Victorien, on ne ramassera que du foin.
S’il pleut la Saint-Victorien (ou Victorin), tu peux compter sur bien du foin.
Soleil de Saint-Victorien, réveille le saurien (les lézards sortent de leur torpeur hivernale)

Écorce qui se détache à la Sainte-Victorienne, gare aux maladies bactériennes.
Lorsqu’on fête Victorienne, il faut que le beau temps revienne.
Soleil de Sainte-Victorienne, jardinier, reprend tes activités terriennes.



Quelques célébrations du jour :
►Journée internationale de la météorologie, commémore l’entrée en vigueur, le 23 mars 1950, de la Convention qui a institué l’OrganisationMétéorologique Mondiale (OMM) - L’OMM, succédait ainsi à l’OrganisationMétéorologique Internationale (OMI) qui existait depuis 1873. (O.N.U.)
►Semaine de l’industrie (2011) {Date variable}

22/03/2019 - 11:16
Les meilleurs musées gratuits de Paris.



Si la culture n’a pas de prix, certains musées affichent parfois des prix assez dérisoires…
Si l’on attend parfois les premiers dimanches du mois avec impatience pour profiter de la gratuité des musées parisiens les plus emblématiques, notre réjouissance vient vite à son terme après avoir vu les kilomètres de queue… La solution à nos maux ? Les musées gratuits toute l’année. Voici notre sélection :
L’Atelier Brancusi Logé dans le Centre Pompidou, la reconstitution de l’atelier Brancusi est un reflet de son œuvre à part entière.
En tant qu’écrin de ses sculptures, l’atelier de l’artiste roumain et son jardin clos vous attendent gratuitement tout au long de l’année dans un cadre lumineux et intimiste.Profitez en pour découvrir le travail d’un sculpteur illustre,parfois au cœur de petites discordes.

Atelier Brancusi du Centre Georges Pompidou 
Ouvert tous les jours sauf le mardi de 14h à 18h.

Le Musée Curie.

En tant que véritable lieu de connaissances et de mémoire sur l’histoire des sciences, le musée Curie retrace l’histoire de la radioactivité jusqu’à l’origine de sa découverte, pour une expérience unique en son genre. Vous y trouverez bon nombre d’instruments scientifiques et de documentsanciens, témoignant du travail des Curie. Ce véritable hommage à la famille « aux 5 prix Nobel » est lui aussi disponible toute l’année gratuitement.

Musée Curie
1, rue Pierre et Marie Curie, Paris 5
Ouvert du mercredi au samedi de 13h à 17h.

Le Musée du parfum Fragonard.

Situé à deux pas de l’Opéra Garnier, le musée du parfum Fragonard a une histoire tout aussi chargée que son voisin de palier. En effet, si l’établissement ouvrit ses portes en tant que théâtre, il devint par la suite un manège puis un magasin de meuble pour enfin se transformer en musée. On peut alors s’immiscer dans une aventure olfactive inédite et hors du temps autour du parfum et de sa confection à toutes les époques.

Musée du Parfum Fragonard 
3-5, square de l’Opéra Louis Jouvet, Paris 9
Ouvert du lundi au samedi de 9h à 18h.

Musée de la Préfecture de Police.

Dans un tout autre mais non moins intéressant registre, le musée de la Préfecture de Police retrace, vous l’aurez compris, l’Histoire de la police sous toutes ses formes depuis sa création mais pas que… Au delà de la collection impressionnante et tout à fait singulière d’objets historiques que propose l’établissement, on y retrouve également tout cequi concerne les affaires judiciaires les plus célèbres ou encore les évènements historiques de l’Histoire de France. À découvrir gratuitement, pour sortir des sentiers battus.

Musée de la Préfecture de Police 
4, rue de la Montagne Sainte-Geneviève, Paris 5
Ouvert du lundi au vendredi et le 3e samedi du mois de 9h30 à 17h.

Mémorial de la Shoah.

Ouvert maintenant depuis presque 15 ans, le Mémorial de la Shoah est un lieu de mémoire important de l’Histoire des Juifs de France.
Divisé en plusieurs parties, il réunit un musée consacré à l’histoire juive, un centre de documentation et plusieurs lieux de mémoires
poignants parmi lesquels le Mur des noms, contenant les noms de 76 000 déportés de France.  
En plein cœur du Marais, le Mémorial propose une entrée libre tout au long de l’année.

Mémorial de la Shoah
17, rue Geoffroy-l’Asnier, Paris 4
Ouvert du dimanche au vendredi de 10h à 18h, jusqu’à 22h le jeudi.

Le Musée d’Ennery.

Plutôt méconnu du public, cette annexe du Musée Guimet est un véritable cabinet de curiosités consacré à l’art de l’Extrême-Orient. Dans cet hôtel particulier sont effectivement exposés plus de 7 000 objets liés au Japon et à la Chine du XVIe au XIXe siècle. Après ce voyage dans le temps vous pourrez éventuellement vous relaxer au jardin du Panthéon Bouddhique, également annexe du Musée Guimet, décidément riche en surprises !

Musée d’Ennery
59, avenue Foch, Paris 16
Visite guidée gratuite tous les samedis à 11h30.

Musée de la Légion d’honneur et des ordres de Chevalerie.

Comme son nom l’indique, ce musée met à l’honneur l’histoire des décorations et des ordres de chevalerie française, depuis leur instauration. Logé dans l’hôtel de Salm dans le 7e arrondissement de Paris, le musée attire chaque année de plus en plus de
curieux depuis sa création il y a presque 100 ans. Il vous sera possible de visiter gratuitement ce lieu exposant fièrement une collection impressionnante de plus de 10 000 objets.

Musée de la Légion d’honneur et des ordres de Chevalerie
2, rue de la Légion d’Honneur, Paris 7
Ouvert de mercredi à dimanche de 13h à 18h.

À lire également : 
Les musées préférés des Parisiens
Ces musées planqués qui cachent des trésors

22/03/2019 - 10:49
Heure d'été ou heure d'hiver, quelle est la meilleure pour ma santé?
Par Delphine Loez

 le 15 mars 2019


Le 31 mars, nous avancerons notre pendule d’une heure. Chouette, les journées vont s’allonger! Mais heure d’hiver ou d’été, laquelle est meilleure pour notre santé?
• Pourquoi changer d’heure?
Le changement d’heure a été appliqué pour la première fois en Europe en 1917. Les temps de guerre poussaient à réaliser des économies sur le charbon, et l’ajout d’une heure en été allait dans ce sens. Puis il a été abandonné. Le changement d’heure est revenu au goût du jour après les chocs pétroliers des années 1970. Il est en vigueur en France depuis1975, mais a perdu de son intérêt économique avec l’arrivée de l’éclairage LED.

• Bientôt fini?
En août 2018, la commission européenne publiait le résultat de la “consultation publique sur les dispositions relatives à l’heure d’été”.
4,6 millions de personnes ont répondu à ce sondage (sur plus de 400 millions d’Européens en âge de voter): 84% étaient contre le changement d’heure. Le président de la commission va proposer cette suppression. La date n’en est pas encore fixée, mais cela pourrait avoir lieu dès l’automne 2019.

• Plutôt l'heure d'été: vive la lumière!

L’avis du Pr Claire Leconte,professeur émérite de psychologie de l’éducation(université de Lille 3) et chercheuse en chronobiologie, spécialiste des rythmes de l’enfant et de l’adolescent.
– L’heure d’été nous permettrait de bénéficier de plus de luminosité naturelle tout au long de l’année et plus particulièrement les après-midi d’hiver. De plus, cet horaire permet de multiplier les rencontres amicales, le contact avec l’environnement, de profiter de la nature… L’heure d’été encourage à faire plus d’activité physique en extérieur, ce qui permet d’être davantage exposé à la lumière. Pour rappel, la dose minimale de lumière naturelle nécessaire à l’être humain est de trente minutes par jour.
– L’heure d’hiver présente l’inconvénient majeur de nous priver quotidiennement de lumière naturelle. Et en effet,il fait noir très tôt. Ce déficit entraînerait plus de dépressions saisonnières. De même, les journées plus courtes feraient augmenter le nombre d’accidents de la route: piétons et cyclistes sont particulièrement touchés.

• Plutôt l'heure d'hiver: la forme d'abord.
L’avis du Dr Nicolas Cermakian
, directeur du laboratoire de chronobiologie moléculaire de l’institut Douglas et de l’université McGill à Montréal.
L’heure d’hiver: notre horloge interne contrôle tout ce qui se passe dans notre corps selon l’heure du jour, et ces rythmes circadiens nous permettent d’être bien adaptés aux cycles de notre environnement. Pendant l’automne et l’hiver, si le décalage avec l’heure solaire est trop important durant une longue période, nous commencerions nos activités quotidiennes pendant qu’il fait noir.
Par conséquent, notre horloge biologique n’aurait pas eu le temps de préparer notre corps pour le début de journée. Cela poserait des problèmes de concentration et d’attention au travail, à l’école, mais aussi sur le trajet, ce qui peut être dangereux. En outre, notre horaire d’activité ne serait plus synchrone avec notre horloge interne. Ce serait comme vivre avec un décalage horaire pendant presque la moitié de l’année. Or un dérèglement de nos rythmes circadiens représente un facteur de risque pour de nombreuses pathologies comme le cancer, les problèmes métaboliques ou les troubles mentaux. Nous sommes physiologiquement adaptés au cycle jour-nuit, le décalage social n’est pas sain pour l’organisme.
À GMT +1, nous sommes déjà en avance sur le soleil, ne majorons pas cet écart. La lumière naturelle du matin est excellente pour la santé et pour le moral, s’en priver serait néfaste!

• Étonnant!

Jusqu’en 1940, la France vivait à l’heure de son méridien, celui de Greenwich (GMT). Quand les Allemands ont envahi une partie du pays, l’heure statutaire est devenue celle de Berlin (GMT +1) dans la zone occupée. À la fin de la guerre, l’ensemble du pays est resté… à l’heure de Berlin!
Avec 

Ce commentaire a été modifié le 22/03/2019 à 10:51
22/03/2019 - 09:09
Une plantation de baobabs près de la Réserve de Bandia, Sénégal.

















A l’occasion de la Journée Internationale des Forêts, nous avons devant nous un baobab du Sénégal. Les cultures indigènes d’Afrique subsahariennes, où poussent les baobabs à l’état sauvage, ont longtemps utilisé les avantages de cet arbre : fruits, graines et feuilles sont comestibles. En Tanzanie, la pulpe de bois est l’un des ingrédients de fermentation des bières locales. Cette année, le thème de la Journée Internationale des Forêts est « forêts et éducation ».
Ce thème met en lumière les avantages les plus abstraits des forêts : une forêt danse peut assainir l’air et l’eau en retirant les composants de carbone et autres polluants de l’écosystème et les forêts réduisent également considérablement l’érosion.