Casseurs & Gilets Jaunes Plongent Paris Dans Le Chaos & La Violence.
Des manifestants regroupés à Paris sur les Champs-Élysées ont renversé une voiture. Photo Alain Jocard, AFP. Marie WolfromAgence France-Presse Paris.
Barricades, voitures incendiées, vitrines brisées... Paris s'est retrouvé samedi en proie au chaos...Théâtre d'un déchaînement rare de violences de casseurs...En marge de rassemblements de « gilets jaunes », ces Français modestes protestant...Contre la politique fiscale et sociale du gouvernement, qui ne parvient pas à les calmer. Des policiers antiémeute ont été couverts de peinture par certains manifestants. Photo Alain Jocard, AFP
« Ils veulent le chaos », a dénoncé le président Emmanuel Macron, de Buenos Aires, où il participait au sommet du G20, commentant cette troisième journée...D'action d'un mouvement qui semble se radicaliser et qui met à rude épreuve l'appareil sécuritaire français. « Chaos » est bien le mot pour décrire les scènes de violences qui ont éclaté tout au long de la journée dans le cossu ouest parisien. « On est dans un état insurrectionnel », a résumé Jeanne d'Hauteserre, la maire de droite du 8e arrondissement.
L'emblématique Arc de Triomphe en haut de l'avenue des Champs-Élysées... (Complètement verrouillée par la police) a été le théâtre des premiers affrontements samedi matin. Ce monument, symbole national qui abrite la tombe du Soldat inconnu de la Première Guerre mondiale... A été pris d'assaut, couvert de graffitis par des « gilets » jaunes et des casseurs. Puis, la violence s'est répandue dans l'ouest parisien, où de nombreux incendies de voitures, de mobilier urbain ont éclaté. Des Parisiens et des touristes médusés regardaient les barricades se dresser dans un air saturé de gaz lacrymogène... De fumée, dans le vrombissement des hélicoptères de la police et le fracas des sirènes. Les manifestants violents « s'éclatent [en plusieurs points de la capitale]...De manière à rendre plus difficile » le travail des forces de l'ordre...A expliqué sur la chaîne de télévision BFM TV...Le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez. Paris « Pas Totalement Sécurisé » Des casseurs s'en sont largement pris aux magasins pour les piller. D'autres, arborant ou non des gilets jaunes, s'en sont directement prisaux policiers et aux gendarmes, tout au long de la journée. Un fusil d'assaut a même été dérobé dans un véhicule de police non loin de l'Arc de Triomphe...A déclaré une source proche du dossier, sans préciser si l'arme était ou non chargée. Vers 20h, Paris était « plus apaisé, pas totalement sécurisé », a commenté sur TF1 le ministre de l'Intérieur... Christophe Castaner, évoquant « quelques groupes de dizaines de personnes qui continuent d'errer dans Paris ». Le bilan est de « près de 100 blessés, dont un dans une urgence absolue »,a-t-il précisé, blessé lorsque qu'une grille de célèbre jardin des Tuileries...Tout près de Louvre, a été arrachée et est tombée sur des gilets jaunes. Vers 19 h 20, les forces de l'ordre avaient procédé à 263 interpellations à Paris. Arc de Triomphe, jardin des Tuileries, rue de Rivoli, quartier de l'Opéra, des grands magasins... Ce sont autant d'emblèmes du rayonnement international de Paris qui ont servi d'arrière-plan à ces scènes d'une violence extrêmement rare. L'Arc de Triomphe restera fermé dimanche pour réparer les dégâts. Parmi les manifestants pacifiques, certains dénonçaient ces violences. « Je suis solidaire avec les "gilets jaunes", mais j'ai envie de pleurer face à toute cette violence, ce gâchis »... Résumait Fanny, une infirmière de 47 ans, devant un conteneur à verre incendié boulevard Haussmann. « Ça sent la révolution ». « Ça fait 15 jours qu'on essaie de se faire entendre, et rien ne bouge. Il faudra à un moment que Macron nous entende, sinon ce sera de pire en pire »...A déclaré Gaetan Kerr, un agriculteur de 52 ans arrivé de l'Yonne, non loin des Champs-Élysées, la célèbre avenue sécurisée par un quadrillage policier très serré. Plusieurs leaders politiques, dont Jean-Luc Mélenchon, de l'extrême gauche, et Marine Le Pen... Ont accusé le gouvernement de laisser la violence s'installer pour discréditer une colère populaire à laquelle ils n'ont pas de réponses. Le premier ministre s'est dit « choqué » par les violences et a annulé son déplacement au sommet sur le climat COP 24 en Pologne. Emmanuel Macron a convoqué une réunion de crise dès son retour d'Argentine. Interrogé sur l'occasion d'instaurer l'état d'urgence mis en place après les attentats terroristes de Paris en 2015, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a dit samedi soir ne pas avoir de « tabou ». Préfecture Incendiée Les autorités ont recensé environ 75 000 manifestants en France vers 21h, moins qu'au cours des deux précédentes journées de mobilisation. (!!!) Ailleurs en France, plusieurs rassemblements de « gilets jaunes » se sont déroulés, pour beaucoup calmement, mais certains heurts les ont aussi émaillés. La préfecture, incarnation de l'autorité gouvernementale, du département de la Haute-Loire....A été incendiée lors d'un rassemblement de gilets jaunes. Des face-à-face tendus ont opposé samedi après-midi des « gilets jaunes » aux forces de l'ordre dans le sud-ouest, Bordeaux...Toulouse, Tarbes et Auch, alors que dans d'autres villes d'Occitanie de nombreux barrages filtrants ou bloquant totalement la circulation ont été organisés. Des dégradations « importantes » ont été commises samedi à Charleville-Mézières (Ardennes) en marge d'une manifestation des « gilets jaunes ». Des heurts ont éclaté à Strasbourg et Marseille, mais ces violences sont sans commune mesure avec celles de la capitale. Désarçonné par ce mouvement né sur les réseaux sociaux, hors de tout cadre politique ou syndical...Qui demande de la « considération » à des élites jugées déconnectées, le pouvoir peine à apporter une réponse. Ce mouvement de colère se met désormais à déborder hors des frontières de la France : deux véhicules de police ont été incendiés vendredi soir...À Bruxelles, à la fin d'une manifestation d'environ 300 « gilets jaunes », la première du genre organisée dans la capitale belge. Aux Pays-Bas également, environ 120 « gilets jaunes » ont paisiblement manifesté devant le Parlement à La Haye. Affrontements entre casseurs et forces de l'ordre - Le Soir
Ce commentaire a été modifié le 02/12/2018 à 07:58
Publié Le 30 Novembre 2018 Une Manifestation De «Gilets Jaunes» À Bruxelles A Dégénéré... Agence France-Presse Bruxelles Jets de pavés contre canons à eau, deux véhicules de police incendiés : la première manifestation de « gilets jaunes » belges à Bruxelles...A dégénéré vendredi, le premier ministre Charles Michel dénonçant des « violences inadmissibles ».
Après trois heures de défilé dans le calme d'environ 300 « gilets jaunes », des échauffourées ont commencé vers 13 h 30 locales. Quand des manifestants ont jeté des projectiles sur un cordon de police qui protégeait l'accès aux bâtiments officiels. Les forces de l'ordre ont répliqué en faisant usage de canons à eau pour tenter de les disperser. Peu après, deux fourgonnettes de la police ont été brûlées en pleine rue, au carrefour Arts-Loi...Non loin des institutions européennes et des bureaux du premier ministre, selon un correspondant de l'AFP sur place. Une enquête « pour incendies volontaires » a été ouverte, a annoncé le parquet de Bruxelles dans un communiqué. D'après une porte-parole de la police de Bruxelles, les manifestants ont notamment jeté « des boules de billard et des pavés » pendant la manifestation. Une soixantaine de personnes ont été interpellées parce qu'elles transportaient des objets interdits...Comme des couteaux, des fumigènes ou des bombes lacrymogènes. Les premières arrestations ont eu lieu dès la matinée, au moment où des petits groupes convergeaient vers le principal point de rassemblement. Dans l'après-midi, alors que des groupes de manifestants continuaient de faire face à la police...Dans un climat tendu, un journaliste de la plate-forme vidéo française Brut a été brièvement interpellé. « Il filmait des policiers qui avaient encerclé les manifestants [...]. Ils lui ont pris sa carte de presse, lui ont lié les poignets et l'ont fait s'asseoir pendant...Environ une demi-heure », a raconté à l'AFP Laurent Lucas, directeur éditorial de Brut. « Ce n'est pas normal [...]. C'est le zèle de policiers dans une situation un peu tendue », a-t-il poursuivi. Le premier ministre, le libéral francophone Charles Michel, et le ministre de l'Intérieur, le nationaliste flamand Jan Jambon... Ont dénoncé sur Twitter les violences à l'égard de la police, imputées à des « casseurs ». « Pas d'impunité pour les violences inadmissibles à #Bruxelles. Les casseurs et les pilleurs devront être sanctionnés », a tweeté Charles Michel. En fin d'après-midi le calme était revenu au pied des institutions européennes...Où les forces de l'ordre étaient déployées en nombre, a constaté un journaliste de l'AFP. Interrogé par la chaîne francophone RTBF, le bourgmestre (maire) de Bruxelles Philippe Close a prévenu un peu plus tôt que toute personne continuant àmanifester serait arrêtée. « Le peuple c'est nous, Charles Michel, t'es fini », ont scandé des manifestants à l'adresse du premier ministre libéral. « On nous taxe et on nous étrangle à travers des taxes. Nous, on est là dans la rue pour dire qu'on ne s'en sort plus. On n'arrive plus à vivre jusqu'à la fin du mois », a expliqué une manifestante à l'AFP. Lancé il y a deux semaines en France pour protester contre la baisse du pouvoir d'achat.. Et l'augmentation de la fiscalité sur les carburants, le mouvement des « gilets jaunes »...Avait essaimé en Wallonie, mais pas encore en Flandre, ni dans la capitale. Il s'agissait de la première manifestation appelée à Bruxelles, via les réseaux sociaux, sans meneur revendiqué. Lundi, un Youtubeur belge, Gary Ducran, avait décidé d'annuler un rassemblement autorisé par la ville pour vendredi. Il avait invoqué « un cahier des charges trop important » imposé par la police, et un service d'ordre selon lui impossible à constituer comme demandé. En Wallonie, les « gilets jaunes » ont plusieurs fois été débordés par descasseurs la semaine dernière et la police a procédé à des arrestations par dizaines.
Images Originales à Partager...Cadeau... Sources : Église de la Toussaint, paroisse de Raheny, Dublin
Source : Étonnant...Un écureuil Albinos Description L’albinisme représente 1 cas pour 200.000 naissances. On pense aux serpents, aux lapins, mais il existe aussi des écureuils albinos.
Décès de la comédienne Maria Pacôme à l'âge de 94 ans.
La comédienne Maria Pacôme, une des plus connues du théâtre de boulevard où elle excellait notamment dans les rôles de bourgeoises exubérantes, est morte samedi à l'âge de 94 ans, des suites d'une longue maladie, a annoncé son fils François à l'AFP. "Ma mère est décédée ce samedi à 16H00, des suites d'une longue maladie", a déclaré François Pacôme qui ne savait pas encore où et quand auraient lieux ses obsèques .
Des rôles de bourgeoises excentriques. C'est en 1958 que Maria Pacôme, passée plus jeune par le cours Simon, a réellement débuté sa carrière théâtre dans "Oscar" aux côtés de Pierre Mondy et Jean-Paul Belmondo, qu'elle retrouvera en 1965 au cinéma dans "Les tribulations d'un Chinois en Chine" de Philippe de Broca.
Elle alternera avec succès dans les années 60 et 70 performances théâtrales et cinématographiques où dans les deux cas on lui confie le plus souvent des rôles de bourgeoises excentriques. "N'écoutez pas, Mesdames" (1962), "Ta femme nous trompe" 1965-1967), "Les grosses têtes" (1969), "Le noir te va si bien" (1972), "Joyeuses Pâques" (1980) font sa réputation sur les planches.
Mais devant la caméra son visage est tout aussi familier et apprécié, là aussi le plus souvent dans des comédies comme "Tendre voyou" (Jean Becker, 1966), "Le distrait" (Pierre Richard, 1970) ou encore "Les sous-doués" (Claude Zidi, 1980) En 1992, elle fait un retour remarqué au7e art dans "La crise" de Coline Serreau, où, interprétant la mère de Vincent Lindon, elle brille dans une scène mémorable où elle s'énerve contre lui ("Tes problèmes je m'en fous").
Un dialogue devenu culte quiimmortalise également une voix désormais reconnaissable entre mille. Moins présente ces dernières années, elle avait publié en 2007 une autobiographie "Maria sans Pacôme".
Utilisée pour signifier gagner beaucoup d’argent cette expression trouve son origine dans la mythologie. Le roi Midas, personnage à moitié légendaire, roi de Phyrgie ayant régné de l’an 715 à 676 avant JC, reçut de Dionysos le don de voir tout ce qu’il touchait se transformer en or. Mais cette faculté si fabuleuse à première vue s’avéra être un véritable cadeau empoisonné.
En effet Midas ne pouvait plus toucher ni sa nourriture ni ses enfants, sous peine de les voir eux aussi devenir or. Il implora donc Dionysos de le délivrer de ce don. Ce dernier lui indiqua qu’il devait se rouler dans le fleuve Paktolos, devenu par la suite Pactole.
Ce dernier hérita de la faculté de tout transformer en or et ses eaux se mirent à rouler des sables aurifères. Et c’est ainsi que ce fleuve fit plus tard la fortune du roi de la région dans laquelle il coulait. Un roi nommé… Crésus.
Que faire à Brest ? Les 10 activités incontournables. Par Aurélie Tiercin
Brest, située à la pointe de la Bretagne au nord Finistère, est une ville qui se révèle aux visiteurs qui prennent le temps de la découvrir. Détruite quasiment totalement lors de la seconde guerre mondiale, Brest, cité militaire à visiter en France a fini par renaître de ses cendres pour donner vie à une ville singulière et en perpétuelle mutation. Brest, la cité du Ponant entre terre et mer, s’offre à la découverte à travers 10 incontournables ! Château de Brest.
Le château de Brest, survivant des guerres qui ont frappées la ville, abrite en son sein le Musée National de la Marine et la préfecture maritime. Le château, l’histoire vivante de la ville. Rare édifice ayant survécu lors des bombardements de la ville en 1944, le château de Brest s’élève à l’embouchure du fleuve côtier la Penfeld et domine de sa haute stature la rade de Brest qui se trouve à ses pieds. Construit au IIIe siècle, maintes fois remanié et fortifié par Vauban, cette place forte accueille aujourd’hui la préfecture maritime et le Musée de la Marine qui retrace 17 siècles d’histoire navale, à travers de riches collections et de nombreuses animations qui se déroulent tout au long de l’année. Une ville portuaire. Brest a son destin intimement lié au monde maritime. De la création d’un port militaire par Richelieu aux plus grandes compétitions maritimes, la cité brestoise ne cesse de regarder vers la mer et de s’ouvrir vers elle. Aujourd’hui encore, lesnombreux ports présents dans la ville en témoignent qu’ils soient militaires, de commerce, de pêche, d’escale ou de plaisance. La ville s‘organise autourde ces points majeurs de la vie locale, faisant de Brest le premier port de plaisance de Bretagne. Pour ceux qui n’ont pas le pied marin, les deux marinas offrent une vue imprenable sur ces bateaux en attente d’aventure depuis les terrasses des nombreux cafés et restaurants présents sur les quais. Océanopolis, la mer à portée de main. Dans un espace de 9000 m², 68 aquariums répartis dans 3 pavillons (polaire, tropical et Bretagne), Océanopolis permet aux visiteurs de découvrir les merveilles des mondes aquatiques dans une incroyable odyssée sous-marine. Ce parc de découvertes des Océans s’inscrit dans une démarche d’information scientifique, avec notamment des espaces d’animations et d’exposition, qui permet au plus grand nombre de mieux appréhender les richesses des fonds marins et notamment ceux de la Bretagne, avec la "revisite" en 2017 du pavillon qui lui est consacrée. Les Capucins, un lieu incontournable. Longtemps propriété militaire, les Capucins font partie intégrante de la vie des brestois. Cédé en 2011 à la ville, cet ensemble de 2,5 hectares en pleine ville inscrit son nom dans une autre dynamique, tournée vers la culture en accueillant un véritable pôle d’innovation, de diffusion et de création, avec notamment la présence de la médiathèque et de lieux d’exposition. Avec sa vue imprenable sur la mer et son énergie débordante, les Capucins sont devenus rapidement LE lieu incontournable de la vie culturelle brestoise. Poser un nouveau regard sur la ville depuis le téléphérique. Si tous les chemins mènent aux Capucins, il en est un plus original que les autres : le téléphérique ! Mis en place dans un souci d’accessibilité aux Ateliers du Capucins qui surplombent la ville, le premier téléphérique urbain de France propose une traversée de 420 m, d’une rive à l’autre de la Penfeld, en menant ses passagers à 60 m de haut et en leur offrant une vue remarquable sur la ville, la rade et la Presqu’île de Crozon, au tarif d’un ticket de bus ou de tram. Randonner sur le GR34. Le sentier de randonnée qui longe les côtes de Bretagne n’oublie pas le littoral brestois. Avec pas moins de 30 sentiers de randonnées sur Brest et sa métropole, les amateurs du genre ne seront pas en reste pour découvrir les richesses des chemins côtiers et les points de vue sensationnels qui s’ouvrent sur la ville et ses environs. A l’ouest, l’une d’entre mène à la Pointe du Petit Minou qui, avec son fort, son phare et sa vue imprenable que la Presqu’île de Crozon, saura séduire les marcheurs à coup sûr ! Une escapade au quartier de Maison blanche. Loin de l’agitation citadine, mais à quelques pas seulement du centre-ville se cache un lieu semblable à nul autre à Brest : le quartier Maison Blanche. Dominant une petite plage de galets, une soixantaine de cabanes de pêcheurs, qui se transmettent en famille, parent le paysage de leurs multiples couleurs depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Les étroits passages portent des noms de rues, tel un quartier à part entière de la vie brestoise. Naviguer dans la Rade. Difficile de venir à Brest sans succomber à l’appel de la mer. Pour naviguer à quelques encablures de la ville, les moyens ne manquent pas. La Recouvrance, réplique d’un bateau militaire du XIX° siècle séduira les amateurs d’Histoire quand le Brestoâ attirera les fins gourmets avec ses balades gourmandescomposées de produits locaux. Ceux qui préfèreront l’originalité, opteront pour le Loch Monna, un ancien coquillier réhabilité pour des balades maritimes. Flâner dans les jardins. Si Brest se veut résolument tournée vers la mer, elle n’en oublie pas pour autant l’importance de la terre comme le démontre les deux parcs qui occupent la ville. Le Jardin du Conservatoire Botanique National,avec son jardin de 30 ha et ses serres tropicales, invite à la préservation des plantes rares et sauvages. Le Jardin des Explorateurs, quant à lui, est un hommage aux explorateurs et botanistes du XVIIIe siècle qui ramenèrent de leurs voyages une grande collection de plantes exotiques. Faire du shopping rue de Siam. Cette grande rue fut tracée par Vauban, avec la rue Jean Jaurès son prolongement, comme l’une des artères principales de la ville. Renommée ainsi en l’honneur des 3 ambassadeurs du roi de Siam qui débarquèrent à Brest au XVIIe siècle, elle es aujourd’hui bordée de commerces et descend de l’Hôtel de Ville vers le Pont de la Recouvrance qui enjambe la Penfeld, où les terrasses des cafés permettent une pause bienvenue avec vue sur l’un des plus hauts ponts levants d’Europe.
Office de tourisme de Brest Métropole Océane - Voir la fiche Musée National de la Marine - Brest - Musée/Monument/Site - Voir la fiche Océanopolis - Musée/Monument/Site - Voir la fiche Les Capucins - Musée/Monument/Site - Voir la fiche Maison Blanche - Musée/Monument/Site - Voir la fiche Bateau La Recouvrance - Activités - Voir la fiche Le Loch Monna - Activités - Voir la fiche Le Brestoâ - Activités - Voir la fiche Jardin des explorateurs de Brest - Jardin - Voir la fiche Jardin du Conservatoire botanique national de Brest - Jardin - Voir la fiche
Sur ce rond-point de Tonnerre (Yonne), les "gilets jaunes", une petite trentaine ce jour-là, sont installés pour tenir. "Nos campagnes se meurent" : à Tonnerre, les "gilets jaunes" font acte de présence et de désespoir
Un "gilet jaune" à Tonnerre (Yonne), le 28 novembre 2018. (LOUISE HEMMERLE / FRANCE INFO) "On ne peut pas nous enlever beaucoup plus"
Un rassemblement de "gilets jaunes" devant le centre des finances publiques de Tonnerre (Yonne), le 29 novembre 2018. (LOUISE HEMMERLE / FRANCE INFO) "On a tiré sur la corde jusqu'au bout"
D’où vient l’expression « être sous la férule » de quelqu’un ?
« Etre sous la férule » signifie être placé sous l’autorité d’une tierce personne, le plus souvent d’une grande sévérité. Le mot « férule » vientde la ferula, une plante qui ressemble à un roseau et qui pousse autour de la méditerranée. Autrefois on se servait de sa tige extrêmement rigide une fois sèche, pour fabriquer des férules, ces règles d’école tant craintes par les élèves du siècle dernier.
Elles étaient en effet utilisées par les professeurs pour taper sur les doigts des enfants récalcitrants. Certains pensent que les Romains déjà utilisaient des férules pour battre les écoliers ou les esclaves. Mais la faible résistance de cette plante ne semble pas plaider en faveur de cette hypothèse.
Dès 1694 le dictionnaire de l’Académie française valide le mot «férule» pour désigner cette règle de bois. Naturellement dans le langage courant cet outil symbole de l’apprentissage dans la souffrance fut repris pour désigner une rude autorité.
Ce commentaire a été modifié le 30/11/2018 à 21:23
Casseurs & Gilets Jaunes Plongent Paris Dans Le Chaos & La Violence.
Des manifestants regroupés à Paris sur les Champs-Élysées ont renversé une voiture.
Photo Alain Jocard, AFP.
Marie WolfromAgence France-Presse Paris.
Barricades, voitures incendiées, vitrines brisées... Paris s'est retrouvé samedi en proie au chaos...Théâtre d'un déchaînement rare de violences de casseurs...En marge de rassemblements de « gilets jaunes », ces Français modestes protestant...Contre la politique fiscale et sociale du gouvernement, qui ne parvient pas à les calmer.
Des policiers antiémeute ont été couverts de peinture par certains manifestants.
Photo Alain Jocard, AFP
« Ils veulent le chaos », a dénoncé le président Emmanuel Macron, de Buenos Aires, où il participait au sommet du G20, commentant cette troisième journée...D'action d'un mouvement qui semble se radicaliser et qui met à rude épreuve l'appareil sécuritaire français.
« Chaos » est bien le mot pour décrire les scènes de violences qui ont éclaté tout au long de la journée dans le cossu ouest parisien.
« On est dans un état insurrectionnel », a résumé Jeanne d'Hauteserre, la maire de droite du 8e arrondissement.
L'emblématique Arc de Triomphe en haut de l'avenue des Champs-Élysées...
(Complètement verrouillée par la police) a été le théâtre des premiers affrontements samedi matin.
Ce monument, symbole national qui abrite la tombe du Soldat inconnu de la Première Guerre mondiale...
A été pris d'assaut, couvert de graffitis par des « gilets » jaunes et des casseurs.
Puis, la violence s'est répandue dans l'ouest parisien, où de nombreux incendies de voitures, de mobilier urbain ont éclaté.
Des Parisiens et des touristes médusés regardaient les barricades se dresser dans un air saturé de gaz lacrymogène...
De fumée, dans le vrombissement des hélicoptères de la police et le fracas des sirènes.
Les manifestants violents « s'éclatent [en plusieurs points de la capitale]...De manière à rendre plus difficile » le travail des forces de l'ordre...A expliqué sur la chaîne de télévision BFM TV...Le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez.
Paris « Pas Totalement Sécurisé »
Des casseurs s'en sont largement pris aux magasins pour les piller.
D'autres, arborant ou non des gilets jaunes, s'en sont directement prisaux policiers et aux gendarmes, tout au long de la journée.
Un fusil d'assaut a même été dérobé dans un véhicule de police non loin de l'Arc de Triomphe...A déclaré une source proche du dossier, sans préciser si l'arme était ou non chargée.
Vers 20h, Paris était « plus apaisé, pas totalement sécurisé », a commenté sur TF1 le ministre de l'Intérieur...
Christophe Castaner, évoquant « quelques groupes de dizaines de personnes qui continuent d'errer dans Paris ».
Le bilan est de « près de 100 blessés, dont un dans une urgence absolue »,a-t-il précisé, blessé lorsque qu'une grille de célèbre jardin des Tuileries...Tout près de Louvre, a été arrachée et est tombée sur des gilets jaunes. Vers 19 h 20, les forces de l'ordre avaient procédé à 263 interpellations à Paris.
Arc de Triomphe, jardin des Tuileries, rue de Rivoli, quartier de l'Opéra, des grands magasins... Ce sont autant d'emblèmes du rayonnement international de Paris qui ont servi d'arrière-plan à ces scènes d'une violence extrêmement rare.
L'Arc de Triomphe restera fermé dimanche pour réparer les dégâts.
Parmi les manifestants pacifiques, certains dénonçaient ces violences.
« Je suis solidaire avec les "gilets jaunes", mais j'ai envie de pleurer face à toute cette violence, ce gâchis »...
Résumait Fanny, une infirmière de 47 ans, devant un conteneur à verre incendié boulevard Haussmann. « Ça sent la révolution ».
« Ça fait 15 jours qu'on essaie de se faire entendre, et rien ne bouge. Il faudra à un moment que Macron nous entende, sinon ce sera de pire en pire »...A déclaré Gaetan Kerr, un agriculteur de 52 ans arrivé de l'Yonne, non loin des Champs-Élysées, la célèbre avenue sécurisée par un quadrillage policier très serré.
Plusieurs leaders politiques, dont Jean-Luc Mélenchon, de l'extrême gauche, et Marine Le Pen...
Ont accusé le gouvernement de laisser la violence s'installer pour discréditer une colère populaire à laquelle ils n'ont pas de réponses.
Le premier ministre s'est dit « choqué » par les violences et a annulé son déplacement au sommet sur le climat COP 24 en Pologne.
Emmanuel Macron a convoqué une réunion de crise dès son retour d'Argentine.
Interrogé sur l'occasion d'instaurer l'état d'urgence mis en place après les attentats terroristes de Paris en 2015, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a dit samedi soir ne pas avoir de « tabou ».
Préfecture Incendiée
Les autorités ont recensé environ 75 000 manifestants en France vers 21h, moins qu'au cours des deux précédentes journées de mobilisation. (!!!)
Ailleurs en France, plusieurs rassemblements de « gilets jaunes » se sont déroulés, pour beaucoup calmement, mais certains heurts les ont aussi émaillés.
La préfecture, incarnation de l'autorité gouvernementale, du département de la Haute-Loire....A été incendiée lors d'un rassemblement de gilets jaunes.
Des face-à-face tendus ont opposé samedi après-midi des « gilets jaunes » aux forces de l'ordre dans le sud-ouest, Bordeaux...Toulouse, Tarbes et Auch, alors que dans d'autres villes d'Occitanie de nombreux barrages filtrants ou bloquant totalement la circulation ont été organisés.
Des dégradations « importantes » ont été commises samedi à Charleville-Mézières (Ardennes) en marge d'une manifestation des « gilets jaunes ». Des heurts ont éclaté à Strasbourg et Marseille, mais ces violences sont sans commune mesure avec celles de la capitale.
Désarçonné par ce mouvement né sur les réseaux sociaux, hors de tout cadre politique ou syndical...Qui demande de la « considération » à des élites jugées déconnectées, le pouvoir peine à apporter une réponse.
Ce mouvement de colère se met désormais à déborder hors des frontières de la France : deux véhicules de police ont été incendiés vendredi soir...À Bruxelles, à la fin d'une manifestation d'environ 300 « gilets jaunes », la première du genre organisée dans la capitale belge.
Aux Pays-Bas également, environ 120 « gilets jaunes » ont paisiblement manifesté devant le Parlement à La Haye.
Affrontements entre casseurs et forces de l'ordre - Le Soir
Une Manifestation De «Gilets Jaunes» À Bruxelles A Dégénéré...
Agence France-Presse
Bruxelles
Jets de pavés contre canons à eau, deux véhicules de police incendiés : la première manifestation de « gilets jaunes » belges à Bruxelles...A dégénéré vendredi, le premier ministre Charles Michel dénonçant des « violences inadmissibles ».
Après trois heures de défilé dans le calme d'environ 300 « gilets jaunes », des échauffourées ont commencé vers 13 h 30 locales.
Quand des manifestants ont jeté des projectiles sur un cordon de police qui protégeait l'accès aux bâtiments officiels.
Les forces de l'ordre ont répliqué en faisant usage de canons à eau pour tenter de les disperser.
Peu après, deux fourgonnettes de la police ont été brûlées en pleine rue, au carrefour Arts-Loi...Non loin des institutions européennes et des bureaux du premier ministre, selon un correspondant de l'AFP sur place.
Une enquête « pour incendies volontaires » a été ouverte, a annoncé le parquet de Bruxelles dans un communiqué.
D'après une porte-parole de la police de Bruxelles, les manifestants ont notamment jeté « des boules de billard et des pavés » pendant la manifestation.
Une soixantaine de personnes ont été interpellées parce qu'elles transportaient des objets interdits...Comme des couteaux, des fumigènes ou des bombes lacrymogènes.
Les premières arrestations ont eu lieu dès la matinée, au moment où des petits groupes convergeaient vers le principal point de rassemblement.
Dans l'après-midi, alors que des groupes de manifestants continuaient de faire face à la police...Dans un climat tendu, un journaliste de la plate-forme vidéo française Brut a été brièvement interpellé.
« Il filmait des policiers qui avaient encerclé les manifestants [...]. Ils lui ont pris sa carte de presse, lui ont lié les poignets et l'ont fait s'asseoir pendant...Environ une demi-heure », a raconté à l'AFP Laurent Lucas, directeur éditorial de Brut.
« Ce n'est pas normal [...]. C'est le zèle de policiers dans une situation un peu tendue », a-t-il poursuivi.
Le premier ministre, le libéral francophone Charles Michel, et le ministre de l'Intérieur, le nationaliste flamand Jan Jambon...
Ont dénoncé sur Twitter les violences à l'égard de la police, imputées à des « casseurs ».
« Pas d'impunité pour les violences inadmissibles à #Bruxelles.
Les casseurs et les pilleurs devront être sanctionnés », a tweeté Charles Michel.
En fin d'après-midi le calme était revenu au pied des institutions européennes...Où les forces de l'ordre étaient déployées en nombre, a constaté un journaliste de l'AFP.
Interrogé par la chaîne francophone RTBF, le bourgmestre (maire) de Bruxelles Philippe Close a prévenu un peu plus tôt que toute personne continuant àmanifester serait arrêtée.
« Le peuple c'est nous, Charles Michel, t'es fini », ont scandé des manifestants à l'adresse du premier ministre libéral.
« On nous taxe et on nous étrangle à travers des taxes. Nous, on est là dans la rue pour dire qu'on ne s'en sort plus.
On n'arrive plus à vivre jusqu'à la fin du mois », a expliqué une manifestante à l'AFP.
Lancé il y a deux semaines en France pour protester contre la baisse du pouvoir d'achat..
Et l'augmentation de la fiscalité sur les carburants, le mouvement des « gilets jaunes »...Avait essaimé en Wallonie, mais pas encore en Flandre, ni dans la capitale.
Il s'agissait de la première manifestation appelée à Bruxelles, via les réseaux sociaux, sans meneur revendiqué.
Lundi, un Youtubeur belge, Gary Ducran, avait décidé d'annuler un rassemblement autorisé par la ville pour vendredi.
Il avait invoqué « un cahier des charges trop important » imposé par la police, et un service d'ordre selon lui impossible à constituer comme demandé.
En Wallonie, les « gilets jaunes » ont plusieurs fois été débordés par descasseurs la semaine dernière et la police a procédé à des arrestations par dizaines.
Sources : Église de la Toussaint, paroisse de Raheny, Dublin
Source : Étonnant...Un écureuil Albinos
Description
L’albinisme représente 1 cas pour 200.000 naissances. On pense aux serpents, aux lapins, mais il existe aussi des écureuils albinos.
La comédienne Maria Pacôme, une des plus connues du théâtre de boulevard où elle excellait notamment dans les rôles de bourgeoises exubérantes, est morte samedi à l'âge de 94 ans, des suites d'une longue maladie, a annoncé son fils François à l'AFP. "Ma mère est décédée ce samedi à 16H00, des suites d'une longue maladie", a déclaré François Pacôme qui ne savait pas encore où et quand auraient lieux ses obsèques .
Des rôles de bourgeoises excentriques. C'est en 1958 que Maria Pacôme, passée plus jeune par le cours Simon, a réellement débuté sa carrière théâtre dans "Oscar" aux côtés de Pierre Mondy et Jean-Paul Belmondo, qu'elle retrouvera en 1965 au cinéma dans "Les tribulations d'un Chinois en Chine" de Philippe de Broca.
Elle alternera avec succès dans les années 60 et 70 performances théâtrales et cinématographiques où dans les deux cas on lui confie le plus souvent des rôles de bourgeoises excentriques. "N'écoutez pas, Mesdames" (1962), "Ta femme nous trompe"
1965-1967), "Les grosses têtes" (1969), "Le noir te va si bien" (1972), "Joyeuses Pâques" (1980) font sa réputation sur les planches.
Mais devant la caméra son visage est tout aussi familier et apprécié, là aussi le plus souvent dans des comédies comme "Tendre voyou" (Jean Becker, 1966), "Le distrait" (Pierre Richard, 1970) ou encore "Les sous-doués" (Claude Zidi, 1980) En 1992, elle fait un retour remarqué au7e art dans "La crise" de Coline Serreau, où, interprétant la mère de Vincent Lindon, elle brille dans une scène mémorable où elle s'énerve contre lui ("Tes problèmes je m'en fous").
Un dialogue devenu culte quiimmortalise également une voix désormais reconnaissable entre mille. Moins présente ces dernières années, elle avait publié en 2007 une autobiographie "Maria sans Pacôme".
Pourquoi dit-on « toucher le pactole » ?
Utilisée pour signifier gagner beaucoup d’argent cette expression trouve son origine dans la mythologie.
Le roi Midas, personnage à moitié légendaire, roi de Phyrgie ayant régné de l’an 715 à 676 avant JC, reçut de Dionysos le don de voir tout ce qu’il touchait se transformer en or. Mais cette faculté si fabuleuse à première vue s’avéra être un véritable cadeau empoisonné.
En effet Midas ne pouvait plus toucher ni sa nourriture ni ses enfants, sous peine de les voir eux aussi devenir or. Il implora donc Dionysos de le délivrer de ce don. Ce dernier lui indiqua qu’il devait se rouler dans le fleuve Paktolos, devenu par la suite Pactole.
Ce dernier hérita de la faculté de tout transformer en or et ses eaux se mirent à rouler des sables aurifères. Et c’est ainsi que ce fleuve fit plus tard la fortune du roi de la région dans laquelle il coulait. Un roi nommé… Crésus.
Par Aurélie Tiercin
Brest, située à la pointe de la Bretagne au nord Finistère, est une ville qui se révèle aux visiteurs qui prennent le temps de la découvrir. Détruite quasiment totalement lors de la seconde guerre mondiale, Brest, cité militaire à visiter en France a fini par renaître de ses cendres pour donner vie à une ville singulière et en perpétuelle mutation. Brest, la cité du Ponant entre terre et
mer, s’offre à la découverte à travers 10 incontournables !
Château de Brest.
Le château de Brest, survivant des guerres qui ont frappées la ville, abrite en son sein le Musée National de la Marine et la préfecture maritime.
Le château, l’histoire vivante de la ville.
Rare édifice ayant survécu lors des bombardements de la ville en 1944, le château de Brest s’élève à l’embouchure du fleuve côtier la Penfeld et domine de sa haute stature la rade de Brest qui se trouve à ses pieds. Construit au IIIe siècle, maintes fois remanié et fortifié par Vauban, cette place forte accueille aujourd’hui la préfecture maritime et le Musée de la Marine qui retrace 17 siècles d’histoire navale, à travers de riches collections et de nombreuses animations qui se déroulent tout au long de l’année.
Une ville portuaire.
Brest a son destin intimement lié au monde maritime. De la création d’un port militaire par Richelieu aux plus grandes
compétitions maritimes, la cité brestoise ne cesse de regarder vers la mer et de s’ouvrir vers elle. Aujourd’hui encore, lesnombreux ports présents dans la ville en témoignent qu’ils soient militaires, de commerce, de pêche, d’escale ou de plaisance. La ville s‘organise autourde ces points majeurs de la vie locale, faisant de Brest le premier port de plaisance de Bretagne. Pour ceux qui n’ont pas le pied marin, les deux marinas offrent une vue imprenable sur ces bateaux en attente d’aventure depuis les terrasses des nombreux cafés et restaurants présents sur les quais.
Océanopolis, la mer à portée de main.
Dans un espace de 9000 m², 68 aquariums répartis dans 3 pavillons (polaire, tropical et Bretagne), Océanopolis permet aux visiteurs de découvrir les merveilles des mondes aquatiques dans une incroyable odyssée sous-marine. Ce parc de découvertes des Océans s’inscrit dans une démarche d’information scientifique, avec notamment des espaces d’animations et d’exposition, qui permet au plus grand nombre de mieux appréhender les richesses des fonds marins et notamment ceux de la Bretagne, avec la "revisite" en 2017 du pavillon qui lui est consacrée.
Les Capucins, un lieu incontournable.
Longtemps propriété militaire, les Capucins font partie intégrante de la vie des brestois. Cédé en 2011 à la ville, cet ensemble de 2,5 hectares en pleine ville inscrit son nom dans une autre dynamique, tournée vers la culture en accueillant un véritable pôle d’innovation, de diffusion et de création, avec notamment la présence de la médiathèque et de lieux d’exposition. Avec sa vue
imprenable sur la mer et son énergie débordante, les Capucins sont devenus rapidement LE lieu incontournable de la vie culturelle brestoise.
Poser un nouveau regard sur la ville depuis le téléphérique.
Si tous les chemins mènent aux Capucins, il en est un plus original que les autres : le téléphérique ! Mis en place dans un souci d’accessibilité aux Ateliers du Capucins qui surplombent la ville, le premier téléphérique urbain de France propose une traversée de 420 m, d’une rive à l’autre de la Penfeld, en menant ses passagers à 60 m de haut et en leur offrant une vue remarquable sur
la ville, la rade et la Presqu’île de Crozon, au tarif d’un ticket de bus ou de tram.
Randonner sur le GR34.
Le sentier de randonnée qui longe les côtes de Bretagne n’oublie pas le littoral brestois. Avec pas moins de 30 sentiers de randonnées sur Brest et sa métropole, les amateurs du genre ne seront pas en reste pour découvrir les richesses des chemins côtiers et les points de vue sensationnels qui s’ouvrent sur la ville et ses environs. A l’ouest, l’une d’entre mène à la Pointe du Petit Minou qui, avec son fort, son phare et sa vue imprenable que la Presqu’île de Crozon, saura séduire les marcheurs à coup sûr !
Une escapade au quartier de Maison blanche.
Loin de l’agitation citadine, mais à quelques pas seulement du centre-ville se cache un lieu semblable à nul autre à Brest : le quartier Maison Blanche. Dominant une petite plage de galets, une soixantaine de cabanes de pêcheurs, qui se transmettent en famille, parent le paysage de leurs multiples couleurs depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Les étroits passages portent des noms de rues, tel un quartier à part entière de la vie brestoise.
Naviguer dans la Rade.
Difficile de venir à Brest sans succomber à l’appel de la mer. Pour naviguer à quelques encablures de la ville, les moyens ne manquent pas. La Recouvrance, réplique d’un bateau militaire du XIX° siècle séduira les amateurs d’Histoire quand le Brestoâ attirera les fins gourmets avec ses balades gourmandescomposées de produits locaux. Ceux qui préfèreront l’originalité, opteront pour le Loch Monna, un ancien coquillier réhabilité pour des balades maritimes.
Flâner dans les jardins.
Si Brest se veut résolument tournée vers la mer, elle n’en oublie pas pour autant l’importance de la terre comme le démontre les deux parcs qui occupent la ville. Le Jardin du Conservatoire Botanique National,avec son jardin de 30 ha et ses serres tropicales, invite à la préservation des plantes rares et sauvages. Le Jardin des Explorateurs, quant à lui, est un hommage aux explorateurs et botanistes du XVIIIe siècle qui ramenèrent de leurs voyages une grande collection de plantes exotiques.
Faire du shopping rue de Siam.
Cette grande rue fut tracée par Vauban, avec la rue Jean Jaurès son prolongement, comme l’une des artères principales de la ville.
Renommée ainsi en l’honneur des 3 ambassadeurs du roi de Siam qui débarquèrent à Brest au XVIIe siècle, elle es aujourd’hui bordée de commerces et descend de l’Hôtel de Ville vers le Pont de la Recouvrance qui enjambe la Penfeld, où les terrasses
des cafés permettent une pause bienvenue avec vue sur l’un des plus hauts ponts levants d’Europe.
Office de tourisme de Brest Métropole Océane - Voir la fiche
Musée National de la Marine - Brest - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Océanopolis - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Les Capucins - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Maison Blanche - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Bateau La Recouvrance - Activités - Voir la fiche
Le Loch Monna - Activités - Voir la fiche
Le Brestoâ - Activités - Voir la fiche
Jardin des explorateurs de Brest - Jardin - Voir la fiche
Jardin du Conservatoire botanique national de Brest - Jardin - Voir la fiche
Sur ce rond-point de Tonnerre (Yonne), les "gilets jaunes", une petite trentaine ce jour-là, sont installés pour tenir.
"Nos campagnes se meurent" : à Tonnerre, les "gilets jaunes" font acte de présence et de désespoir
Un "gilet jaune" à Tonnerre (Yonne), le 28 novembre 2018. (LOUISE HEMMERLE / FRANCE INFO)
"On ne peut pas nous enlever beaucoup plus"
Un rassemblement de "gilets jaunes" devant le centre des finances publiques de Tonnerre (Yonne), le 29 novembre 2018. (LOUISE HEMMERLE / FRANCE INFO)
"On a tiré sur la corde jusqu'au bout"
Des "gilets jaunes", le 18 novembre 2018, à Caen (Calvados). (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)
D’où vient l’expression « être sous la férule » de quelqu’un ?
« Etre sous la férule » signifie être placé sous l’autorité d’une tierce personne, le plus souvent d’une grande sévérité. Le mot « férule » vientde la ferula, une plante qui ressemble à un roseau et qui pousse autour de la méditerranée. Autrefois on se servait de sa tige extrêmement rigide une fois sèche, pour fabriquer des férules, ces règles d’école tant craintes par les élèves du siècle dernier.
Elles étaient en effet utilisées par les professeurs pour taper sur les doigts des enfants récalcitrants. Certains pensent que les Romains déjà utilisaient des férules pour battre les écoliers ou les esclaves. Mais la faible résistance de cette plante ne semble pas plaider en faveur de cette hypothèse.
Dès 1694 le dictionnaire de l’Académie française valide le mot «férule» pour désigner cette règle de bois. Naturellement dans le langage courant cet outil symbole de l’apprentissage dans la souffrance fut repris pour désigner une rude autorité.