Toi Aussi Tu As Grandi Pendant Les Années 80-90, Souviens-Toi... - Tu connais tous les personnages des Minikeums, ainsi que la musique du générique ; - Tu as collectionné les Pogs ; - Tu lisais les livres de la collection « Chair de poule » ; - Tu as dansé sur « Wannabe » des Spice Girls ; - Tu as pleuré au cinéma quand Mufasa est mort dans « Le Roi Lion » ; - Les filles faisaient des chorégraphies sur « S Club 7 » ; - « Friends » passait encore sur France2 ; - Tu regardais « Docteur Quinn », « la petite maison dans la prairie » et « Une nounou d'Enfer » ; - Tu as plus d'une fois placé ton pouce sous ton menton avant de violemment le retirer en disant « Ché ! » ; - Tu ne lisais que « Tom-Tom et Nana » dans « J'aime lire » ; - Pour toi Anastasia c'est un Disney ; - Tu n'as PAS écouté Lorie à l'école primaire, tu écoutais et adorais dansersur les chansons des boys band (2be3, Alliage, Worlds Apart...) ; - Tu allais à la boulangerie pour acheter des malabars... ...que tu payais en Francs, - Tu as déjà dit « Wazzaaaaaaaa » en tirant la langue et en mimant un téléphone avec tes mains ; - « Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu » « MAIS BIEN SUR ! » ; - « Tout le monde se lève pour Danette »... ; - Tu allais dans des boums où la musique c'était Lou Bega, Daddy DJ et les Venga Boys ; - Tu t'es déjà dit « Putain, je suis né quand l'URSS existait encore ! » ; - Malheureusement tu sais qui est Larusso ; - Tu ne pouvais pas te passer de la Game Boy (tu sais la toute première :le truc énorme en Noir et Blanc qui nécessite quatre piles) ; - Tu dis « genre » « trop » et « c'est clair » quinze fois dans la même phrase ; - Et aussi « Le Club Dorothée », « Les Musclés » et « Hélène et les garçons »... ; - Tu regardais « les vacances de l'amour » et « Beverly Hills » avec passionet quand tu vois aujourd'hui un épisode tu l'as déjà vu tellement que tu connais la fin ! ; - Tu as collectionné les Pin's ; - Tous les dimanches soirs, tu regardais « ça cartoon » sur canal + ; - Tous les jours à la cantine, tu cherchais ton âge au fond de ton verre Duralex ; - Tu regardais « Madame est servie » et « Arnold & Willy » à la télé ; - Tu portais un t-shirt Waikiki, un coupe-vent Creeks et des Reebok Pump ; - Tu collectionnais des autocollants pour tes albums Panini ; - Tu faisais des canulars au téléphone sans que ton numéro s'affiche ; - Tu as passé des heures à jouer au Tetris sur ta game Boy ; - Tu vidais ta boite de céréales ou de chocolat en poudre pour trouver le cadeau à l'intérieur ; Ça Rappelle Des Souvenirs Tout Ça, Non ?
La SPA annule le Noël des Animaux qui devait avoir lieu place de la République,
Tous les amoureux des petites bêtes poilues s’en réjouissaient d’avance… Le traditionnel « Noël des Animaux » qui devait se tenir ce samedi 8 décembre place de la République n’aura finalement pas lieu. Ce refuge éphémère organisé chaque année par la SPA est en effet annulé « pour desraisons de sécurité ». L’événement devait permettre l’adoption de plus de 400 animauxSelon le président de la SPA, cette annulation fait suite aux violences qui ont eu lieu ce week-end un peu partout dans la capitale. Il s’agit avant tout de protéger les nombreux Parisiens qui souhaitaient s’y rendre (ils étaient plus de 13 000 l’année dernière), mais aussi le personnel de la SPA, la centaine de bénévoles, ainsi que les animaux en attente d’adoption. L’événement devait en effet avoir lieu place de la République, l’une des places les plus symboliques de la capitale pour les manifestations et les rassemblements. Seule bonne nouvelle dans l’histoire : les 62 refuges de l’hexagone qui accueillent au total plus de 5000 animaux restent, eux, bel et bien ouverts. Ce sera donc un peu plus compliqué, mais tous les Parisiens quiavaient le projet d’adopter un animal lors de cet événement peuvent tout de même se rendre dans l’un des refuges de la SPA d’Île de France. Pour connaître le refuge le plus proche de chez vous, on vous invite donc à vous rendre sur le site de la SPA.
Planter le blé de la Sainte Barbe, 20 jours avant Noël, soit le jour de la Sainte-Barbara, reste une des traditions calendales les plus suivies en Provence. Cette tradition nous vient de l’époque romaine, et la légende indique que si la germination se fait bien et si le blé est vert, la prochaine moisson sera abondante.
Mais d’où vient cette tradition ?
Sainte Barbe était la fille de Dioscore. Belle et jeune, elle était jadis très courtisée en Provence. Seulement, au grand dam de son père, elle préféra se consacrer à Dieu qu'aux hommes. Dioscore la fit enfermer dans une tour uniquement éclairée par deux fenêtres, où elle réussit tout de même à recevoir un enseignement chrétien, et à se faire baptiser.
Apprenant cela, son père la menaça de son épée, mais elle réussit à s'enfuir et se réfugia dans le creux d'un rocher qui, selon la légende, s'entrouvrit pour lui donner asile. Mais elle fut dénoncée parun berger qui reçu comme punition la transformation de son troupeau de moutons en sauterelles.
Elle se retrouva alors emprisonnée et dû renoncer au christianisme et épouser un païen. Ne voulant pas renier Dieu, Barbe fut victime de nombreuses tortures, et finalement, son père lui trancha la gorge avec ses propres mains. Dioscore fut alors frappé par la foudre, tel fut le châtiment céleste.
Afin de ne jamais oublier Sainte Barbe, les provençaux plantent du blé dans 3 coupelles, le jour de la Sainte Barbe (transformée par l'église en 1969 en Sainte Barbara), le 4 décembre. C'est là le début réel des fêtes calendales (de Noël) en Provence. Lors du gros souper , trois coupelles de blé sont disposées sur la table. Les trois coupellesreprésentent la trinité, que l'on retrouve également parmi d'autres traditions provençales. La tradition veut que si le blé est bien germé le 25 décembre, la moisson suivante sera bonne. On dit également à cette occasion : Quand lou blad vèn bèn, tout vèn bèn !
Si vous souhaitez faire pousser du blé, il faut faire germer du blé dans des coupelles couvertes de cotons humides. Vous trouverez aisément des petits sachets de blé dans toutes les boulangeries au profit d'oeuvres humanitaire, ou alors pendant la foire aux Santons de Marseille. Veillez tous les jours à humidifier le coton, sans noyer les graines.
Un petit conseil tout de même : de nos jours, pour avoir du blé bien germé le jour de Noël, ne le plantez plus le jour de la Sainte Barbe, mais avec une semaine de décalage (dû aux températures élevées dans nos maisons actuelles)... sinon, le jour de Noël, votre blé aura trop grandiet retombera sur lui-même, et vous serez alors obligé de le maintenir artificiellement avec de petits rubans !
Ce commentaire a été modifié le 04/12/2018 à 15:25
Dépaysement garanti dans le passage des Soupirs. Direction le 20e arrondissement vers un endroit qui sonne comme un lieu romantique par excellence. Après le pont des Soupirs de Venise, on pourrait très bien se laisser tenter par le passage des Soupirs de Paris. Il faut se rendre à l’évidence, beaucoup d’endroits secrets et charmants sont parfois cachés juste sous nos yeux. La tendance se vérifie une foisde plus avec le passage des Soupirs, situé tout près d’un quartier trèsanimé, la place Gambetta. Une fois dans le passage, le saut dans le temps s’opère, comme si le lieu était resté dans le XXe siècle. Cette ambiance à part reflète d’ailleurs l’histoire de ce passage qui appartenait autrefois à la commune de Belleville. Le village ne sera rattaché à la capitale qu’en 1860, sous la supervision du baron Haussmann. La nature reprend ses droits . Si le lieu appartient plus que jamais à Paris, il est difficile pourtant de ne pas se croire dans un petit village de campagne. Une fois dans le passage, c’est le calme qui nous saisit en premier. Après le repos pour nos oreilles, place au régal pour nos yeux. Tout au long de la balade, de nombreux petits jardins prennent possession des lieux et la moindre parcelle de terrain semble être recouverte de verdure ou de fleurs. Trèsvite, la balade ressemble plus à une expédition, où l’on se perd facilement entre toutes les variétés de plantes. Du lilas à la glycine, en passant par les cerisiers et les palmiers, c’est un véritable feu d’artifice floral et coloré qui s’offre aux curieux. Au cœur de ce passage, on trouve même un jardin communautaire qu’il est difficile de louper puisque c’est un superbe cerbère en mosaïque qui monte la garde. Ce jardin partagé est pris en charge par l’association le Jardin des Soupirs, et les enfants du quartier viennent y découvrir les plaisirs dela botanique. Le passage des Soupirs, ce n’est pas que de magnifiques jardins, il y a aussi de charmantes demeures. Des pavillons ouvriers du XIXe siècle, desmaisons de ville en briques ou encore des petits immeubles des années 60, plusieurs époques semblent cohabiter et renforcent un peu plus la notion de voyage dans le temps. 21e siècle oblige, on retrouve aussi des bâtisses modernes conçues de manière écologique. Le résultat final est donc un mélange d’ancien et de récent, le tout dans une atmosphère paisible. Au milieu de la balade, l’on peut même tomber sur une ancienne fabrique aujourd’hui réaménagée. Sur la devanture, on peut d’ailleurs lire « Manufacture Parisienne de Perles ». Des jardins, de l’authentique et de la couleur… Rien d’étonnant à ce que lelieu ait longtemps attiré les artistes, notamment les peintres et les amateurs de street art. Aujourd’hui, la plupart des œuvres ont disparu et seules quelques traces subsistent, comme une mosaïque de J. Gulon par exemple. Le passage des Soupirs est aussi connu pour une légende urbaine : quiconque marque une pause en haut des escaliers voit sa montre s’arrêter. Pour que le voyage dure un peu plus longtemps…
Passage des Soupirs – Accès par rue des Pyrénées ou rue de la Chine Métro : Gambetta ligne 3 / ligne 3B
Presque,car à la place des commerces de bouche,ce sont aujourd’hui des boutiques de luxe (Dior, Chanel, Alain Martinière) qui s’exposent le long de la Cité Berryer. Les tarifs pratiqués par les établissements présents le long du passage (et dans le reste du quartier) ne nous permettront sans doute pas d’acheter quoi que ce soit, mais ce village préservé du tumulte parisien n’en est pas moins un lieu de flânerie qui vaut le détour. Ses jolies maisonnées, sesbalcons fleuris, ses pavés et ses lampadaires d’allure ancienne forment en effet un tableau plus que charmant.Et pour faire durer le plaisir, on n’hésitera pas, le temps d’un verre, à s’asseoir sur la terrasse du Village, le café-restaurant implanté au centre de la Cité Berryer. Ici, calme et bien-vivre sont toujours au programme. Village Royal - Entrée par le porche du 25 rue Royale, 75008 Métro : Concorde (lignes 1, 8 et 12), Madeleine ( lignes 8, 12 et 14) Le passage est ouvert du lundi au samedi de 8h à 20h30 et ses boutiques de 10h à 19h
La Cité florale, micro-quartier pittoresque du 13ème. Au détour d’une balade dans le 13ème arrondissement, on ne peut décemment s’éviter un passage par la Cité florale. Ce hameau de petites maisons colorées, situé tout près du Parc Montsouris, est tout simplement unique en son genre à Paris ! Pour y accéder, il suffitd’emprunter la rue Brillat-Savarin au départ de la Place de Rungis, puis de prendre à droite sur la rue des Orchidées. Ce micro-quartier, formant une zone triangulaire, est constituée de six charmantes ruelles pavées portant chacune le nom d’une fleur. De la rue des Glycines à la rue des Iris, en passant par la rue des Orchidées, chaque coin de rue nous transporte bien loin de la capitale. Agrémentées de petits jardins fleuris et arborés, les maisons qui composent la Cité florale forment un magnifique nuancier de couleurs pastel, à l’exception de l’une des demeures de la rue des Volubilis teintée d’un éclatant jaune orangé. La rue des Glycines
Rien ne saurait donc entacher le charme et la quiétude de ce petit îlot résidentiel, si ce n’est les barres d’immeubles voisines qui pointent lebout de leur nez à la sortie. Il faut dire que le tour du pâté de maisons est vite fait ! Compter une quinzaine de minutes environ, ce quilaisse bien le temps de se promener et de prendre quelques photos. Porche de la maison du 6, rue des Glycines
Pour la petite histoire, la Cité florale voit le jour en 1928, remplaçant un ancien pré régulièrement inondé par la Bièvre qui coulait tout près. Il était donc impossible d’y établir les traditionnels immeubles haussmanniens, trop lourds compte tenu de la configuration du terrainVoilà pourquoi ce quartier a été entièrement peuplé de maisonnettes et nous offre aujourd’hui ce véritable village dans la ville ! Charmante demeure dans la rue des Iris
La maison jaune vif de la rue des Volubilis tranche avec les demeures environnantes aux teintes plus pastel.
Le jardin secret le plus hospitalier de Paris. Ce calme coin de verdure du 7e arrondissement fait partie de ces lieux dont on n’imagine même pas l’existence. Privé, caché derrière un long mur en pierre et seulement connu d’un petit nombre de privilégiés, le jardin de la Clinique de Saint Jean de Dieu est un havre de quiétude au cœur de Paris. On vous fait découvrir ce lieu préservé du tumulte parisien et pourtant bel et bien accessible à tous. Fleuri par des roses de toutes les couleurs, ce tranquille espace vert est le lieu de balade des patients de la clinique chirurgicale Oudinot, installée là, à deux pas des Invalides, depuis 1843. L’institution et son parc ont été fondés par les Frères del’Ordre hospitalier de Saint Jean de Dieu dans les locaux de l’ancien hôtel particulier Plumet – du nom de la rue au XVIIe siècle – pour le soin des pauvres et des malades. Si le mode de fonctionnement de l’institution médicale a bien changé au fil des décennies, une communauté de plusieurs frères est encore présente dans la clinique et poursuit l’objectif de ses fondateurs : accueillir, accompagner et soigner les malades et convalescents. Et quoi de plus hospitalier qu’un beau et apaisant parc pour se balader ? Toujours désert et souvent ensoleillé, ce ravissant jardin d’agrément abrite un insolite puits en pierre (dont on ne parvient pas à savoir s’il s’agit d’une relique ou d’un simple artifice décoratif), une serre,de jolis arbustes taillés, un jet d’eau ainsi qu’une petite chapelle. Le tout forme un lieu étonnant de tranquillité, idéal pour une courte balade ou une pause lecture en solitaire. Depuis quelque temps maintenant, l’entrée principale n’est plus située au niveau de la rue Oudinot, mais du côté de la rue Rousselet, ce qui permet d’accéder directement au parc sans passer par l’intérieur de la clinique. On peut ainsi s’aventurer dans le jardin plus facilement, maisattention : nous sommes bien dans un lieu privé où les patients et malades sont prioritaires. On y entre donc sur la pointe des pieds en tâchant de respecter la beauté et la tranquillité de ce précieux environnement. Clinique Oudinot, Fondation Saint Jean de Dieu – 2 rue Rousselet, 75007 Métro : Saint François Xavier (ligne 13), Duroc (lignes 10 et 13)
4 squares secrets et insolites à Paris. Non, les espaces verts à Paris ne sont pas tous des lieux où le moindre mètre carré se retrouve pris d’assaut par les Parisiens dès qu’un rayon de soleil pointe son nez. La preuve avec ces quatre jolis squares, peu fréquentés et méconnus… parce que très bien cachés !
Square Colbert (XIe arrondissement). On ne s’imagine pas une seconde qu’un beau et grand jardin public se cache derrière cette inhospitalière grille bleue. Et pourtant, derrière la barre d’immeubles du 159 rue de Charonne, le square Colbert abrite des allées arborées, une aire de jeu pour enfants, des pelouses pour pique-niquer, un jardin partagé et un élégant pavillon néoclassique, ultime vestige de l’ancienne pension Belhomme. Tout ça pour seulement quelques privilégiés : les riverains et les quelques promeneurs qui connaissent ce lieu bien gardé. Vous en faites désormais partie !
Le pavillon de l’ancienne pension Belhomme au fond du jardin Square Colbert - 159 rue de Charonne, 75011 Métro : Charonne (ligne 9) Ouvert tous les jours de 9h30 à 17h en hiver et de 9h30 à 20h30 en été
Square Roger-Stéphane (VIIe arrondissement). Anciennement nommé Square Récamier, du nom de la rue en cul-de-sac au bout de laquelle il se trouve, le square Roger-Stéphane est une pépite de verdure et de tranquillité. Lilas japonais, rhododendrons, chèvrefeuilles et bruyères poussent à leur aise autour d’un bassin en cascade et d’une architecture vallonnée. Un lieu où la nature reprend définitivement ses droits… On en oublierait presque que nous sommes dans l’un des quartiers les plus fréquentés de la capitale ! Square Roger-Stéphane – 7 rue Récamier, 75007 Métro : Sèvres-Babylone (lignes 10 et 12) Ouvert tous les jours
Square Saint-Gilles Grand Veneur – Pauline Roland (IIIe arrondissement) . Ses bancs, ses jolies roses toutes plus colorées les unes que les autres, ses pelouses centrales et ses colonnes grimpantes font de ce joli coin de verdure un jardin à la française aussi calme qu’accueillant. Pour atteindre ce lieu bien gardé du Marais, il existe deux accès : l’un par la rue du Grand-Veneur, l’autre par la rue de Hesse. Dans tous les cas, il ne faut pas hésiter à passer le porche des immeubles qui bordent le square et le cachent aux visiteurs les moins attentifs. Square Saint-Gilles Grand Veneur Pauline Roland - 9 rue du Grand Veneur, 75003 Métro : Chemin Vert (ligne 8) Ouvert tous les jours de 9h à 21h
Le rétro-futurisme à la française. Ces illustrations d’anticipation futuriste ont été publiées en 1954 dans une série d’ albums d’images qui étaient édités par la chocolaterie Cantalou.
5 activités pour découvrir la culture japonaise à Paris.
Ah le Japon… Sa douce culture et son soleil levant… Nous avons tendance à admirer cette nation située de l’autre côté du globe. À l’occasion du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France, 2018 est l’année des Japonismes, avec comme thème « Les âmes en résonance ». Pas besoin d’aller à l’autre bout du monde pour découvrir les différentes facettes de cette incroyable culture. Petite sélection d’événements organisés dans le cadre des Japonismes 2018, de juillet 2018 à février 2019. À vos agendas !
(Re)découvrir le cinéma japonais à la Cinémathèque . La Cinémathèque et la Maison de la culture au Japon accueillent une grande rétrospective pour présenter l’histoire du cinéma japonais. Des films datant de 1920 à 2018 seront ainsi présentés sur grand écran. Une évolution chronologique sera effectuée grâce au découpage de la rétrospective en trois volets distincts. Le premier volet, de septembre à octobre 2018, présentera l’âge d’or du cinéma japonais avec des films de 1920 à 1940. Le second ira jusqu’aux années 2 000 de décembre à février 2019 avant de s’aventurer dans une troisième partie, consacrée aux œuvres contemporaines, en février prochain. Setsuko Hara et Chishu Ryu dans Tokyo Story (1953)
Informations pratiques : La Cinémathèque française, Maison de la culture du Japon à Paris – 100 ans de cinéma japonais 51 rue de Bercy, 75012 Paris http://www.cinematheque.fr/infos-pratiques.html
-Ikébana – ateliers d’Art floral à Maison de la culture du Japon . Trois écoles d’art floral permettent de découvrir l’art de l’ikébana autour d’ateliers. Chaque école a sa singularité, qui nous initie pour réaliserun arrangement floral de base. L’idée étant de saisir la manière dont sont pensées les compositions, puisque tout a une signification bien particulière. À nos bouquets ! Informations pratiques : Maison de la culture du Japon à Paris 101 bis, quai Branly, 75 015 Paris Les samedis de 16h à 17h30 : 19 mai : école Ikenobô / 26 mai : école Ohara / 2 juin : école Sôgetsu
-Penser la culture culinaire japonaise à Pompidou et à l’UNESCO. Quoi de plus beau qu’une montagne de sushi ? Au-delà des clichés, de nombreux colloques et débats sont organisés pour penser la culture culinaire japonaise. Quels sont les liens entre l’art et la gastronomie ? Quels sont les spécificités régionales ? Des chefs japonais penseront par exemple des menus en relation avec des discussions avec des artistes au centre Pompidou. Un voyage créatif avecdes démonstrations de la culture washoku (le savoir-faire culinaire japonais) et des colloques sur les liens entre la philosophie et la cuisine auront lieu à l’UNESCO.
Centre Pompidou. Métro : Rambuteau (ligne 11), Hôtel de Ville (lignes 1 et 11), Châtelet (lignes 1, 4, 7, 11 et 14) RER : Châtelet Les Halles (lignes A, B, D) Bus : 29, 38, 47, 75 Vélib : station n°4020, face 27, rue Quincampoix, station n°3014, face 34, rue Grenier Saint-Lazare, station n°3010, 46, rue Beaubourg Autolib : station 204, rue Saint-Martin, station 36, rue du Temple Parking Centre Pompidou : accès au 31, rue Beaubourg Réservez votre place de parking à tarifs négociés sans frais de réservation grâce à ParkingsdeParis.com, partenaire du Centre Pompidou. Retrouvez toutes les informations relatives aux conditions d’accès prioritaires pour les personnes en situation de handicap PLAN. MAISON DE L'UNESCO. 125 Avenue Suffren PARIS 75007 Ouverture Lundi au Vendredi 9h à 12h30 - 14h à 18h. Voici le plan d'accès du lieu. . ***************************************************************************** Le meilleur de la gastronomie japonaise à Paris. Le sushi a tendance à être une véritable passion pour un bon nombre de Parisiens et de Parisiennes. Mais on commence à avoir fait un peu le tour des california à l’avocat et autre maki. Pour varier les plaisirs, on vous propose une sélection de supers restaurants japonais qui montrent la diversité, la richesse et la philosophie de la gastronomie japonaise ! À vos baguettes.
-Le Bizan . Parmi la multitude de restaurants aguicheurs de la rue Saint-Anne, nous avonschoisi de pousser la porte du Bizan. La décoration est très épurée et reposante ! Des menus dégustations pour découvrir un panel assez vaste de la gastronomie japonaise nous emmènent sur la colline verdoyante dont le restaurant tire son nom… La carte est un peu chère, mais la tranquillité dans le quartier en vaut la peine.
- Tu connais tous les personnages des Minikeums, ainsi que la musique du générique ;
- Tu as collectionné les Pogs ;
- Tu lisais les livres de la collection « Chair de poule » ;
- Tu as dansé sur « Wannabe » des Spice Girls ;
- Tu as pleuré au cinéma quand Mufasa est mort dans « Le Roi Lion » ;
- Les filles faisaient des chorégraphies sur « S Club 7 » ;
- « Friends » passait encore sur France2 ;
- Tu regardais « Docteur Quinn », « la petite maison dans la prairie » et « Une nounou d'Enfer » ;
- Tu as plus d'une fois placé ton pouce sous ton menton avant de violemment le retirer en disant « Ché ! » ;
- Tu ne lisais que « Tom-Tom et Nana » dans « J'aime lire » ;
- Pour toi Anastasia c'est un Disney ;
- Tu n'as PAS écouté Lorie à l'école primaire, tu écoutais et adorais dansersur les chansons des boys band (2be3, Alliage, Worlds Apart...) ;
- Tu allais à la boulangerie pour acheter des malabars... ...que tu payais en Francs,
- Tu as déjà dit « Wazzaaaaaaaa » en tirant la langue et en mimant un téléphone avec tes mains ;
- « Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d'alu » « MAIS BIEN SUR ! » ;
- « Tout le monde se lève pour Danette »... ;
- Tu allais dans des boums où la musique c'était Lou Bega, Daddy DJ et les Venga Boys ;
- Tu t'es déjà dit « Putain, je suis né quand l'URSS existait encore ! » ;
- Malheureusement tu sais qui est Larusso ;
- Tu ne pouvais pas te passer de la Game Boy (tu sais la toute première :le truc énorme en Noir et Blanc qui nécessite quatre piles) ;
- Tu dis « genre » « trop » et « c'est clair » quinze fois dans la même phrase ;
- Et aussi « Le Club Dorothée », « Les Musclés » et « Hélène et les garçons »... ;
- Tu regardais « les vacances de l'amour » et « Beverly Hills » avec passionet quand tu vois aujourd'hui un épisode tu l'as déjà vu tellement que tu connais la fin ! ;
- Tu as collectionné les Pin's ;
- Tous les dimanches soirs, tu regardais « ça cartoon » sur canal + ;
- Tous les jours à la cantine, tu cherchais ton âge au fond de ton verre Duralex ;
- Tu regardais « Madame est servie » et « Arnold & Willy » à la télé ;
- Tu portais un t-shirt Waikiki, un coupe-vent Creeks et des Reebok Pump ;
- Tu collectionnais des autocollants pour tes albums Panini ;
- Tu faisais des canulars au téléphone sans que ton numéro s'affiche ;
- Tu as passé des heures à jouer au Tetris sur ta game Boy ;
- Tu vidais ta boite de céréales ou de chocolat en poudre pour trouver le cadeau à l'intérieur ;
Ça Rappelle Des Souvenirs Tout Ça, Non ?
Amicalement.
Tous les amoureux des petites bêtes poilues s’en réjouissaient d’avance… Le traditionnel « Noël des Animaux » qui devait se tenir ce samedi 8 décembre place de la République n’aura finalement pas lieu. Ce refuge éphémère organisé chaque année par la SPA est en effet annulé « pour desraisons de sécurité ».
L’événement devait permettre l’adoption de plus de 400 animaux Selon le président de la SPA, cette annulation fait suite aux violences qui ont eu lieu ce week-end un peu partout dans la capitale. Il s’agit avant tout de protéger les nombreux Parisiens qui souhaitaient s’y rendre (ils étaient plus de 13 000 l’année dernière), mais aussi le personnel de la SPA, la centaine de bénévoles, ainsi que les animaux en attente d’adoption. L’événement devait en effet avoir lieu place de la République, l’une des places les plus symboliques de la capitale pour les manifestations et les rassemblements.
Seule bonne nouvelle dans l’histoire : les 62 refuges de l’hexagone qui accueillent au total plus de 5000 animaux restent, eux, bel et bien ouverts. Ce sera donc un peu plus compliqué, mais tous les Parisiens quiavaient le projet d’adopter un animal lors de cet événement peuvent tout de même se rendre dans l’un des refuges de la SPA d’Île de France. Pour connaître le refuge le plus proche de chez vous, on vous invite donc à vous rendre sur le site de la SPA.
Planter le blé de la Sainte Barbe, 20 jours avant Noël, soit le jour de la Sainte-Barbara, reste une des traditions calendales les plus suivies en Provence. Cette tradition nous vient de l’époque romaine, et la légende indique que si la germination se fait bien et si le blé est vert, la prochaine moisson sera abondante.
Mais d’où vient cette tradition ?
Sainte Barbe était la fille de Dioscore. Belle et jeune, elle était jadis très courtisée en Provence. Seulement, au grand dam de son père, elle préféra se consacrer à Dieu qu'aux hommes. Dioscore la fit enfermer dans une tour uniquement éclairée par deux fenêtres, où elle réussit tout de même à recevoir un enseignement chrétien, et à se faire baptiser.
Apprenant cela, son père la menaça de son épée, mais elle réussit à s'enfuir et se réfugia dans le creux d'un rocher qui, selon la légende, s'entrouvrit pour lui donner asile. Mais elle fut dénoncée parun berger qui reçu comme punition la transformation de son troupeau de moutons en sauterelles.
Elle se retrouva alors emprisonnée et dû renoncer au christianisme et épouser un païen. Ne voulant pas renier Dieu, Barbe fut victime de nombreuses tortures, et finalement, son père lui trancha la gorge avec ses propres mains. Dioscore fut alors frappé par la foudre, tel fut le châtiment céleste.
Afin de ne jamais oublier Sainte Barbe, les provençaux plantent du blé dans 3 coupelles, le jour de la Sainte Barbe (transformée par l'église en 1969 en Sainte Barbara), le 4 décembre.
C'est là le début réel des fêtes calendales (de Noël) en Provence. Lors du gros souper , trois coupelles de blé sont disposées sur la table. Les trois coupellesreprésentent la trinité, que l'on retrouve également parmi d'autres traditions provençales. La tradition veut que si le blé est bien germé le 25 décembre, la moisson suivante sera bonne. On dit également à cette occasion : Quand lou blad vèn bèn, tout vèn bèn !
Si vous souhaitez faire pousser du blé, il faut faire germer du blé dans des coupelles couvertes de cotons humides. Vous trouverez aisément des petits sachets de blé dans toutes les boulangeries au profit d'oeuvres humanitaire, ou alors pendant la foire aux Santons de Marseille. Veillez tous les jours à humidifier le coton, sans noyer les graines.
Un petit conseil tout de même : de nos jours, pour avoir du blé bien germé le jour de Noël, ne le plantez plus le jour de la Sainte Barbe, mais avec une semaine de décalage (dû aux températures élevées dans nos maisons actuelles)... sinon, le jour de Noël, votre blé aura trop grandiet retombera sur lui-même, et vous serez alors obligé de le maintenir artificiellement avec de petits rubans !
Direction le 20e arrondissement vers un endroit qui sonne comme un lieu romantique par excellence.
Après le pont des Soupirs de Venise, on pourrait très bien se laisser tenter par le passage des Soupirs de Paris.
Il faut se rendre à l’évidence, beaucoup d’endroits secrets et charmants sont parfois cachés juste sous nos yeux. La tendance se vérifie une foisde plus avec le passage des Soupirs, situé tout près d’un quartier trèsanimé, la place Gambetta. Une fois dans le passage, le saut dans le temps s’opère, comme si le lieu était resté dans le XXe siècle. Cette
ambiance à part reflète d’ailleurs l’histoire de ce passage qui appartenait autrefois à la commune de Belleville. Le village ne sera rattaché à la capitale qu’en 1860, sous la supervision du baron Haussmann.
La nature reprend ses droits .
Si le lieu appartient plus que jamais à Paris, il est difficile pourtant de ne pas se croire dans un petit village de campagne. Une fois dans le passage, c’est le calme qui nous saisit en premier. Après le repos pour nos oreilles, place au régal pour nos yeux. Tout au long de la balade, de nombreux petits jardins prennent possession des lieux et la moindre parcelle de terrain semble être recouverte de verdure ou de fleurs. Trèsvite, la balade ressemble plus à une expédition, où l’on se perd
facilement entre toutes les variétés de plantes. Du lilas à la glycine, en passant par les cerisiers et les palmiers, c’est un véritable feu d’artifice floral et coloré qui s’offre aux curieux. Au cœur de ce passage, on trouve même un jardin communautaire qu’il est difficile de louper puisque c’est un superbe cerbère en mosaïque qui monte la garde.
Ce jardin partagé est pris en charge par l’association le Jardin des Soupirs, et les enfants du quartier viennent y découvrir les plaisirs dela botanique.
Le passage des Soupirs, ce n’est pas que de magnifiques jardins, il y a aussi de charmantes demeures. Des pavillons ouvriers du XIXe siècle, desmaisons de ville en briques ou encore des petits immeubles des années 60, plusieurs époques semblent cohabiter et renforcent un peu plus la notion de voyage dans le temps. 21e siècle oblige, on retrouve aussi des
bâtisses modernes conçues de manière écologique. Le résultat final est donc un mélange d’ancien et de récent, le tout dans une atmosphère paisible. Au milieu de la balade, l’on peut même tomber sur une ancienne fabrique aujourd’hui réaménagée. Sur la devanture, on peut d’ailleurs lire « Manufacture Parisienne de Perles ».
Des jardins, de l’authentique et de la couleur… Rien d’étonnant à ce que lelieu ait longtemps attiré les artistes, notamment les peintres et les amateurs de street art. Aujourd’hui, la plupart des œuvres ont disparu et seules quelques traces subsistent, comme une mosaïque de J. Gulon par exemple. Le passage des Soupirs est aussi connu pour une légende urbaine : quiconque marque une pause en haut des escaliers voit sa montre s’arrêter. Pour que le voyage dure un peu plus longtemps…
Passage des Soupirs – Accès par rue des Pyrénées ou rue de la Chine
Métro : Gambetta ligne 3 / ligne 3B
C’est dans la quiétude du très privilégié quartier de la Madeleine que se cache ce petit passage aux allures d’antan.
La Cité Berryer, désormais connue sous le nom (plus grandiloquent) de Village Royal, est une charmante cour qui oscille entre authenticité et luxe. On vous fait découvrir cette atypique voie du 8e arrondissement.
Une ancienne cour de marché… C’est en 1746, sur un terrain vierge de toute construction, que cette cité à la lisière entre lacour de commerce et le passage caché, voit le jour.
Elle est alors destinée à accueillir le marché d’Aguesseau, créé en 1727 et jusque-là implanté quelques rues plus au sud, dans le Faubourg Saint-Honoré. Les bouchers s’installent du coté gauche, tandis que les poissonniers, boulangers et fruitiers prennent place du côté droit. À ses débuts, le lieu est très populaire et n’est pas forcément bâti pour durer. Il
faudra ainsi attendre la fin du XVIIIe siècle, entre 1760 et 1785, pour que des immeubles et des maisonnées « en dur » soient construits.… devenu village de luxe au cœur de la ville Pour pénétrer dans ce petit coin bien caché de la capitale, c’est au niveau du 25 rue Royale, dans le 8e arrondissement, qu’il faut se rendre. Aprèsavoir franchi le majestueux porche surmonté du nom donné au passage au moment de sa rénovation en 1992, on découvre une jolie cour piétonne,
entièrement cernée par des édifices construits peu avant la Révolution française. La structure et les façades des immeubles, classés aux monuments historiques depuis 1987, ont été préservées lors de la rénovation qui a eu lieu dans les
années 1990. Cela nous permet de découvrir le lieu presque de la même manière que les Parisiens du XVIIIe siècle.
© Smarter Paris
Presque,car à la place des commerces de bouche,ce sont aujourd’hui des boutiques de luxe (Dior, Chanel, Alain Martinière) qui s’exposent le long de la Cité Berryer. Les tarifs pratiqués par les établissements présents le long du passage (et dans le
reste du quartier) ne nous permettront sans doute pas d’acheter quoi que ce soit, mais ce village préservé du tumulte parisien n’en est pas moins un lieu de flânerie qui vaut le détour. Ses jolies maisonnées, sesbalcons fleuris, ses pavés et ses lampadaires d’allure ancienne forment en effet un tableau plus que charmant.Et pour faire durer le plaisir, on n’hésitera pas, le temps d’un verre, à s’asseoir sur la terrasse du Village, le café-restaurant implanté au centre de la Cité Berryer.
Ici, calme et bien-vivre sont toujours au programme.
Village Royal - Entrée par le porche du 25 rue Royale, 75008
Métro : Concorde (lignes 1, 8 et 12), Madeleine ( lignes 8, 12 et 14)
Le passage est ouvert du lundi au samedi de 8h à 20h30 et ses boutiques de 10h à 19h
Au détour d’une balade dans le 13ème arrondissement, on ne peut décemment s’éviter un passage par la Cité florale. Ce hameau de petites maisons colorées, situé tout près du Parc Montsouris, est tout simplement unique en son genre à Paris ! Pour y accéder, il suffitd’emprunter la rue Brillat-Savarin au départ de la Place de Rungis, puis de prendre à droite sur la rue des Orchidées.
Ce micro-quartier, formant une zone triangulaire, est constituée de six charmantes ruelles pavées portant chacune le nom d’une fleur. De la rue des Glycines à la rue des Iris, en passant par la rue des Orchidées, chaque coin de rue nous transporte bien loin de la capitale. Agrémentées de petits jardins fleuris et arborés, les maisons qui composent la Cité
florale forment un magnifique nuancier de couleurs pastel, à l’exception de l’une des demeures de la rue des Volubilis teintée d’un éclatant jaune orangé.
La rue des Glycines
Rien ne saurait donc entacher le charme et la quiétude de ce petit îlot résidentiel, si ce n’est les barres d’immeubles
voisines qui pointent lebout de leur nez à la sortie. Il faut dire que le tour du pâté de maisons est vite fait ! Compter une quinzaine de minutes environ, ce quilaisse bien le temps de se promener et de prendre quelques photos.
Porche de la maison du 6, rue des Glycines
Pour la petite histoire, la Cité florale voit le jour en 1928, remplaçant un ancien pré régulièrement inondé par la Bièvre qui coulait tout près. Il était donc impossible d’y établir les traditionnels immeubles haussmanniens, trop lourds compte tenu de la configuration du terrainVoilà pourquoi ce quartier a été entièrement peuplé de maisonnettes et nous offre aujourd’hui ce véritable village dans la ville !
Charmante demeure dans la rue des Iris
La maison jaune vif de la rue des Volubilis tranche avec les demeures environnantes aux teintes plus pastel.
Ce calme coin de verdure du 7e arrondissement fait partie de ces lieux dont on n’imagine même pas l’existence. Privé,
caché derrière un long mur en pierre et seulement connu d’un petit nombre de privilégiés, le jardin de la Clinique de Saint Jean de Dieu est un havre de quiétude au cœur de Paris. On vous fait découvrir ce lieu préservé du tumulte parisien et pourtant bel et bien accessible à tous.
Fleuri par des roses de toutes les couleurs, ce tranquille espace vert est le lieu de balade des patients de la clinique chirurgicale Oudinot, installée là, à deux pas des Invalides, depuis 1843. L’institution et son parc ont été fondés par les Frères del’Ordre hospitalier de Saint Jean de Dieu dans les locaux de l’ancien hôtel particulier Plumet – du nom de la rue au XVIIe siècle – pour le soin des pauvres et des malades. Si le mode de fonctionnement de l’institution médicale a bien changé au fil des décennies, une communauté de plusieurs frères est encore présente dans la clinique et poursuit l’objectif de ses fondateurs : accueillir, accompagner et soigner les malades et convalescents.
Et quoi de plus hospitalier qu’un beau et apaisant parc pour se balader ?
Toujours désert et souvent ensoleillé, ce ravissant jardin d’agrément abrite un insolite puits en pierre (dont on ne parvient pas à savoir s’il s’agit d’une relique ou d’un simple artifice décoratif), une serre,de jolis arbustes taillés, un jet d’eau ainsi qu’une petite chapelle.
Le tout forme un lieu étonnant de tranquillité, idéal pour une courte balade ou une pause lecture en solitaire.
Depuis quelque temps maintenant, l’entrée principale n’est plus située au niveau de la rue Oudinot, mais du côté de la rue Rousselet, ce qui permet d’accéder directement au parc sans passer par l’intérieur de la clinique. On peut ainsi s’aventurer dans le jardin plus facilement, maisattention : nous sommes bien dans un lieu privé où les patients et malades sont prioritaires. On y entre donc sur la pointe des pieds en tâchant de respecter la beauté et la tranquillité de ce précieux
environnement.
Clinique Oudinot, Fondation Saint Jean de Dieu – 2 rue Rousselet, 75007
Métro : Saint François Xavier (ligne 13), Duroc (lignes 10 et 13)
Non, les espaces verts à Paris ne sont pas tous des lieux où le moindre mètre carré se retrouve pris d’assaut par les Parisiens dès qu’un rayon de soleil pointe son nez. La preuve avec ces quatre jolis squares, peu fréquentés et méconnus… parce que très bien cachés !
Square Denys-Bühler (VIIe arrondissement).
On remarque facilement ce petit espace de verdure parce qu’il détonne dansla rue de Grenelle, presque exclusivement composée de béton et d’immeubles. Et pourtant seuls quelques braves osent s’y aventurer !
Emménagé au pied de la charmante Église Saint-Jean et d’une maison à colombages, le square Denys-Bühler appartient à la paroisse luthérienne Saint-Jean mais, peu de gens le savent, est ouvert au public tous les jours. Pour profiter de ce coin de tranquillité à quelques pas de l’Hôtel des Invalides, il suffit de franchir la grille de la paroisse et de longer l’église.
Un jardin composé de quelques bancs et massifs de bruyères vous attend dans le calme et le silence.
© François Grunberg / Mairie de Paris
Square Denys-Bühler - 147 rue de Grenelle, 75007
Métro : La Tour-Maubourg (ligne 8)
Ouvert tous les jours de 8h00 à 18h00 et jusqu’à 20h30 entre avril et août
Square Colbert (XIe arrondissement).
On ne s’imagine pas une seconde qu’un beau et grand jardin public se cache derrière cette inhospitalière grille bleue. Et pourtant, derrière la barre d’immeubles du 159 rue de Charonne, le square Colbert abrite des allées arborées, une aire de jeu pour enfants, des pelouses pour pique-niquer, un jardin partagé et un élégant pavillon néoclassique, ultime vestige de l’ancienne pension Belhomme. Tout ça pour seulement quelques privilégiés : les riverains et les quelques promeneurs qui
connaissent ce lieu bien gardé. Vous en faites désormais partie !
Le pavillon de l’ancienne pension Belhomme au fond du jardin
Square Colbert - 159 rue de Charonne, 75011
Métro : Charonne (ligne 9)
Ouvert tous les jours de 9h30 à 17h en hiver et de 9h30 à 20h30 en été
Square Roger-Stéphane (VIIe arrondissement).
Anciennement nommé Square Récamier, du nom de la rue en cul-de-sac au bout de laquelle il se trouve, le square Roger-Stéphane est une pépite de verdure et de tranquillité. Lilas japonais, rhododendrons, chèvrefeuilles et bruyères poussent à leur aise autour d’un bassin en cascade et d’une architecture vallonnée. Un lieu où la nature reprend définitivement ses droits… On en oublierait presque que nous sommes dans l’un des quartiers les plus fréquentés de la capitale !
Square Roger-Stéphane – 7 rue Récamier, 75007
Métro : Sèvres-Babylone (lignes 10 et 12)
Ouvert tous les jours
Square Saint-Gilles Grand Veneur – Pauline Roland (IIIe arrondissement) .
Ses bancs, ses jolies roses toutes plus colorées les unes que les autres, ses pelouses centrales et ses colonnes grimpantes font de ce joli coin de verdure un jardin à la française aussi calme qu’accueillant. Pour atteindre ce lieu bien gardé du Marais, il existe deux accès : l’un par la rue du Grand-Veneur, l’autre par la rue de Hesse. Dans tous les cas, il ne faut pas hésiter à passer le porche des immeubles qui bordent le square et le cachent aux visiteurs les moins attentifs.
Square Saint-Gilles Grand Veneur Pauline Roland - 9 rue du Grand Veneur, 75003
Métro : Chemin Vert (ligne 8)
Ouvert tous les jours de 9h à 21h
Ces illustrations d’anticipation futuriste ont été publiées en 1954 dans une série d’ albums d’images qui étaient édités par la chocolaterie Cantalou.
Ah le Japon… Sa douce culture et son soleil levant… Nous avons tendance à admirer cette nation située de l’autre côté du globe. À l’occasion du 160ème anniversaire des relations diplomatiques entre le Japon et la France, 2018 est l’année des Japonismes, avec comme thème « Les âmes en résonance ». Pas besoin d’aller à l’autre bout du monde pour découvrir les différentes facettes de cette incroyable culture. Petite sélection d’événements organisés dans le cadre des
Japonismes 2018, de juillet 2018 à février 2019. À vos agendas !
-Bunraku (théâtre de marionnettes) à la Philharmonie.
Des artistes de l’Association de Bunraku du Japon viennent donner un spectacle bien particulier. Il s’agit faire jouer de grandes marionnettes auxquelles se mêlent des chants qui narrent l’histoire et des instruments de musique. L’occasion au cours de deux comptes poétiques de découvrir cet art japonais qui vaut absolument le détour.
Le bunraku est d’ailleurs inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco !
© Ivan Fourie
Informations pratiques :
https://philharmoniedeparis.fr/fr/activite/spectacle/19245-bunraku
Cité de la musique – Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès, 75 019 Paris
Vendredi 12 et samedi 13 octobre 2018
Tarifs : 20/25€
(Re)découvrir le cinéma japonais à la Cinémathèque .
La Cinémathèque et la Maison de la culture au Japon accueillent une grande rétrospective pour présenter l’histoire du cinéma japonais. Des films datant de 1920 à 2018 seront ainsi présentés sur grand écran. Une évolution chronologique sera effectuée grâce au découpage de la rétrospective en trois volets distincts.
Le premier volet, de septembre à octobre 2018, présentera l’âge d’or du cinéma japonais avec des films de 1920 à 1940.
Le second ira jusqu’aux années 2 000 de décembre à février 2019 avant de s’aventurer dans une troisième partie, consacrée aux œuvres contemporaines, en février prochain.
Setsuko Hara et Chishu Ryu dans Tokyo Story (1953)
Informations pratiques :
La Cinémathèque française, Maison de la culture du Japon à Paris – 100 ans de cinéma japonais
51 rue de Bercy, 75012 Paris
http://www.cinematheque.fr/infos-pratiques.html
-Danse contemporaine : du butō au Théâtre de la Ville.
Takao Kawaguchi, un ancien membre du collectif Dumb Type, reprend geste pour geste, silence pour silence des spectacles de Kazuo Ohno, un des fondateurs du butō. Cette danse japonaise née dans les années 1960 est souvent vue comme une danse obscure, une invocation des ténèbres. Proche de la performance, ce sont souvent des gestes lents, avec un fort imaginaire du masque. À ne surtout pas manquer.
© Takuya Matsumi
Informations pratiques :
About Kazuo Ohno par Takao Kawaguchi
Théâtre de la Ville – Espace Pierre Cardin
1, avenue Gabriel, 75008 Paris
-Ikébana – ateliers d’Art floral à Maison de la culture du Japon .
Trois écoles d’art floral permettent de découvrir l’art de l’ikébana autour d’ateliers. Chaque école a sa singularité, qui nous initie pour réaliserun arrangement floral de base. L’idée étant de saisir la manière dont sont pensées les compositions, puisque tout a une signification bien particulière. À nos bouquets !
Informations pratiques :
Maison de la culture du Japon à Paris
101 bis, quai Branly, 75 015 Paris
Les samedis de 16h à 17h30 : 19 mai : école Ikenobô / 26 mai : école Ohara / 2 juin : école Sôgetsu
-Penser la culture culinaire japonaise à Pompidou et à l’UNESCO.
Quoi de plus beau qu’une montagne de sushi ? Au-delà des clichés, de nombreux colloques et débats sont organisés pour penser la culture culinaire japonaise. Quels sont les liens entre l’art et la gastronomie ? Quels sont les spécificités régionales ? Des chefs japonais penseront par exemple des menus en relation avec des discussions avec des artistes au centre Pompidou. Un voyage créatif avecdes démonstrations de la culture washoku (le savoir-faire culinaire japonais) et des colloques sur les liens entre la philosophie et la cuisine auront lieu à l’UNESCO.
Centre Pompidou.
Métro : Rambuteau (ligne 11), Hôtel de Ville (lignes 1 et 11), Châtelet (lignes 1, 4, 7, 11 et 14)
RER : Châtelet Les Halles (lignes A, B, D)
Bus : 29, 38, 47, 75
Vélib : station n°4020, face 27, rue Quincampoix, station n°3014, face 34, rue Grenier Saint-Lazare, station n°3010, 46, rue Beaubourg
Autolib : station 204, rue Saint-Martin, station 36, rue du Temple
Parking Centre Pompidou : accès au 31, rue Beaubourg
Réservez votre place de parking à tarifs négociés sans frais de réservation grâce à ParkingsdeParis.com, partenaire du Centre Pompidou.
Retrouvez toutes les informations relatives aux conditions d’accès prioritaires pour les personnes en situation de handicap
PLAN.
MAISON DE L'UNESCO.
125 Avenue Suffren PARIS 75007
Ouverture Lundi au Vendredi 9h à 12h30 - 14h à 18h.
Voici le plan d'accès du lieu.
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Le meilleur de la gastronomie japonaise à Paris.
Le sushi a tendance à être une véritable passion pour un bon nombre de Parisiens et de Parisiennes. Mais on commence à avoir fait un peu le tour des california à l’avocat et autre maki. Pour varier les plaisirs, on vous propose une sélection de supers restaurants japonais qui montrent la diversité, la richesse et la philosophie de la gastronomie japonaise ! À vos baguettes.
-Gyoza Bar.
Le succulent Gyoza Bar se trouve le passage des Panoramas, un lieu très privilégié. On y déguste des gyoza, cette spécialité japonaise à base defarine de blé fourrée à la viande. Un vrai délice ! Il y a peu de tables et le prix est très abordable, ce qui donne un aspect très
convivial de cantine de quartier. Une adresse à ne pas louper.
© scorpiolivier
Informations pratiques
Passage des Panoramas
47 Rue Condorcet, 75009 Paris
-Kinugawa .
Le concept de ce très bon restaurant est de montrer une nouvelle manière de déguster la gastronomie japonaise. Les différentes pièces sont prévues pour être partagées, dans un esprit de convivialité. Le thon et le saumon sont les rois des entrées froides ! L’idéal est de se rendre au premier étage, où l’Atelier permet de regarder les sushis être préparés devant nos yeux amoureux.
Informations pratiques
-Kinugawa .
9, rue du Mont Thabor
75001 PARIS
-Matsuhisa.
Parmi les aventures culinaires japonaises disponibles à Paris, Matsuhisa excelle. La cuisine raffinée est dirigée par le chef Hideki Endo, dont on ne cessera de chanter les louanges. Le petit plus ? Matsuhisa promet un mélange entre l’Asie et l’Amérique latine auquel on ne peut que succomber. Le foie gras y côtoie les raviolis et la truffe se mêle aux
tacos d’algue : du très haut de gamme !
© mtomtom
Informations pratiques
Matsuhisa Paris
37, avenue Hoche, 75008 Paris
-Le Bizan .
Parmi la multitude de restaurants aguicheurs de la rue Saint-Anne, nous avonschoisi de pousser la porte du Bizan. La décoration est très épurée et reposante ! Des menus dégustations pour découvrir un panel assez vaste de la gastronomie japonaise nous emmènent sur la colline verdoyante dont le restaurant tire son nom… La carte est un peu chère, mais la tranquillité dans le quartier en vaut la peine.
© bim
Informations pratiques
Le Bizan
56, rue Sainte-Anne, 75 002 Paris
-Ito Chan
Tout de bois vêtu, ce restaurant est une jolie trouvaille. Une cuisine japonaise avec des produits de saisons est agréablement organisée dans nos assiettes. La carte est courte, ce qui permet de faire des bons choix à tous les coups. Les ramens y sont très bons ! Comptez environ 12€ le menu.
© vaninagsb
Informations pratiques
Ito Chan
2, rue Pierre Fontaine, 75009 Paris
-Izakaya Issé.
Détour dans la première maison à saké de Paris. Ici, on partage des mets japonais entre amis, autour d’un verre de saké, entre 12 et 16 degrés.
Dépaysement assuré, notamment au sous-sol où l’on doit enlever ses chaussures pour s’installer sur les tatamis. On déguste des donburi, des bols de riz surmontés de canard, de porc ou d’anguille, avant de passerà une glace au sésame, toujours arrosée de saké.
© lalanguevivante
Informations pratiques
Izakaya Issé
45 rue de Richelieu, 75 001 Paris