De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
12/10/2018 - 08:50
La Terre & L’espace Depuis La Station Spatiale Internationale (Vidéos)


La Station spatiale internationale (abrégé en SSI1, ou ISS, d'après le nom en anglais : International Space Station, en russe : Междунаро́дная косми́ческая ста́нция, МКС) est une station spatiale placée en orbite terrestre basse, occupée en permanence par un équipage international qui se consacre à la recherche scientifique dans l'environnement spatial.

Ce programme, lancé et piloté par la NASA, est développé conjointement avec l'agence spatiale fédérale russe (FKA), avec la participation des agences spatiales européenne, japonaise et canadienne.
Après de nombreuses études menées par la NASA dans les années 1960 et 1970, le projet est lancé en 1983 par le président des États-Unis Ronald Reagan, mais un coût toujours croissant et un contexte politique peu favorable aux grands programmes spatiaux civils retardent sa réalisation jusqu'en 1998.
En 1993, la Russie est invitée, pour des raisons géopolitiques, à devenir un acteur majeur du programme. L'assemblage en orbite débute en 1998, mais l'accident de la navette spatiale Columbia, en 2003, retarde sensiblement son avancement.
Les ambitions du programme sont, à plusieurs reprises, revues à la baisse, faute de disposer de budgets suffisants, tant du côté russe qu'américain.
Pour placer en orbite les composants de la station, mais également assurer le ravitaillement et rehausser l'orbite régulièrement dégradée par la traînée atmosphérique, plusieurs vaisseaux spatiaux se relaient...
Les cargos Progress russes, ATV européens, le HTV japonais, tandis que le vaisseau russe Soyouz assure de manière exclusive la relève des équipages depuis l'arrêt de la navette spatiale américaine.
Celle-ci a joué un rôle majeur grâce à sa capacité d'emport, et son retrait, intervenu en août 2011 pour des raisons d'obsolescence et de sécurité, crée des contraintes logistiques mal résolues, en l'absence de vaisseaux capables de la remplacer complètement.
La construction de la station doit s'achever en 2017.
La station spatiale internationale est le plus grand des objets artificiels placés en orbite terrestre. Elle s'étend sur 110 m de longueur, 74 m de largeur et 30 m de hauteur et a une masse d'environ 400 tonnes.
La station a une architecture hétérogène avec un sous-ensemble russe reprenant les choix architecturaux de la station Mir et un sous-ensemble beaucoup plus important développé selon des standards définis par la NASA.
Elle comporte une quinzaine de modules pressurisés, dont quatre consacrés aux expériences scientifiques, représentant un volume d'espace pressurisé d'environ 900 m3 dont 400 m3 habitables.
Les panneaux solaires, d'une superficie de 2 500 m2, fournissent 110 kW d'électricité. La station se déplace autour de la Terre à une altitude maintenue autour de 350–400 kilomètres.
Elle est occupée en permanence depuis 2000, d'abord par trois personnes, puis par six à compter de novembre 2009.
Chacun des six astronautes, au cours de son séjour d'une durée de 3 à 6 mois, partage son temps de travail entre les opérations d'assemblage, de maintenance, et les tâches scientifiques.
Les travaux scientifiques portent principalement sur la biologie – en particulier l'adaptation de l'être humain à l'absence de pesanteur – ainsi que sur la science des matériaux et l'astronomie.
Historique
La station spatiale Skylab (1973-1979). Skylab Station spatiale américaine précédente. Mir Station spatiale russe qui a largement inspiré la partie russe de la station spatiale internationale. Chronologie d'assemblage de la Station spatiale internationale Adaptation humaine à l'espace .Liste des vols habités vers la Station spatiale internationale De 1963 à 1966, le projet de station spatiale commence à se préciser : celle-ci doit utiliser le matériel développé pour le programme Apollo.
La NASA considère qu'une station spatiale occupée de manière permanente est la suite logique du programme Apollo au même titre que la navette spatiale et les missions habitées vers Mars.
Mais la décrue des moyens financiers alloués à la NASA ne permet pas de financer ces trois projets. Le président américain Richard Nixon choisit de privilégier le développement de la navette spatiale.
Néanmoins, le 14 mai 1973, une station spatiale aux objectifs limités, Skylab, est lancée par une fusée Saturn INT-21, une Saturn V dont seuls les deux premiers étages sont actifs, le troisième constituant le corps de la station.
La station n'est occupée que six mois. Le retard pris par le programme de la navette spatiale américaine, qui aurait pu permettre sa maintenance et la relève des équipages, ne permet pas de rehausser à temps l'orbite de la station...
En 1979 la station inoccupée depuis plusieurs années, parvenue à une altitude trop basse, entame sa rentrée dans l'atmosphère terrestre et est détruite.
Finalement en 1998 la construction de la station est décidée au cours d'une réunion qui se tient à Washington. Désormais seize nations y participent : les Étasts-Unis, onze États européens, le Canada, le Japon, le Brésil, la Russie.
L'assemblage de la station (1998-2018).
Chronologie d'assemblage de la Station spatiale internationale.
Anatomie de la station spatiale.
Lorsqu'elle sera achevée, la station spatiale internationale mesurera 108 mètres de long sur 74 mètres de large, pour une masse approchant les 400 tonnes.
Avec un volume pressurisé d'environ 900 m3, dont près de 400 m3 habitables, elle pourra ainsi accueillir six astronautes en permanence, qui se relaieront selon les exigences des missions.
La station spatiale est composée d'une part des modules pressurisés dans lesquels les astronautes vivent (laboratoires, modules d'amarrage, modules d'interconnexions, sas, modules polyvalents), d'autre part d'éléments non pressurisés qui assurent différentes fonctions comme la fourniture d'énergie, la régulation thermique, la maintenance (bras robotiques) et le stockage d'expériences scientifiques et de pièces détachées.
Historique de la conception de la station spatiale par la NASA Station spatiale.
L'architecture et l'aménagement intérieur de la partie non russe de la station spatiale (~85 % du tonnage) sont l'aboutissement de longues études démarrées au début des années 1970 qui ont abouti au cours des années 1980.
La Station Spatiale Internationale Comprend ...d'une part, les modules et composants développés appliquant les concepts architecturaux mis au point par la NASA, regroupés dans un sous-ensemble baptisé par l'agence spatiale américaine segment américain (USOS) qui inclut également des modules construits et financés par les agences spatiales japonaise et européenne... D'autre part, les modules et composants russes constituant un deuxième sous-ensemble (environ 25 % de la masse) baptisé segment russe (ROS). Les modules russes forment un ensemble bien distinct, relié au reste de la station uniquement par le module de la NASA de type nœud Unity. La partie russe de la station applique l'architecture des modules développés pour la station Mir. Leur conception plus classique est très différente de ce qui a été développé par la NASA.
Les nœuds sont intégrés dans des modules qui ne se cantonnent pas à cette spécialité. Les aménagements ne sont généralement pas amovibles.
La place accordée aux équipements scientifiques est beaucoup plus réduite.
Deux membres de l'équipage disposent de petites cabines.

La partie non russe de la station comporte trois modules de type nœud qui peuvent assurer l'interconnexion entre six modules.
Programme spatial américain
Station spatiale internationale
Portail de l’astronautique
Programme spatial russe et soviétique
Skylab Station spatiale américaine précédente
Mir Station spatiale russe qui a largement inspiré la partie russe de la station spatiale internationale
Chronologie d'assemblage de la Station spatiale internationale
Adaptation humaine à l'espace
Liste des vols habités vers la Station spatiale internationale

"L'espace est vide, le son ne peut pas voyager dans le vide" Vous avez raison, mais vous savez que vous pouvez convertir une énergie à une autre énergie, non?
Donc, ces sons que vous entendez sont les énergies des ondes radio recueillies par les satellites ou les vaisseaux spatiaux sans pilote queles scientifiques ont envoyés et convertis en énergies sonores qui sontles sons que vous entendez
Les "sons" de chaque planètes et de quelques lunes dans le système solaire, certains d'entre eux sont assez effrayant.

Voyages et événements

Capturé par les astronautes Sergey Ryazanskiy, Paolo Nespoli et le commandant Randy Bresnik, la vidéo présente de superbes images de la terre et l’espace depuis la Station spatiale internationale en orbite terrestre basse pendant les mois d’août à octobre en 2017.




Voici les sons des planètes et du soleil enregistré ! Les planètes et le soleil n’émettent pas de sons à proprement parler mais plutôt des ondes électromagnétiques enregistré par différentes sondes tel que les sondes Voyager dont j'ai fais une vidéo dessus CLIC............https://www.youtube.com/watch?v=boXFX...
Ou par des télescopes pour le soleil par exemple.
Science et technologie





Ce commentaire a été modifié le 12/10/2018 à 08:55
11/10/2018 - 20:56
11/10/2018 - 12:42
Chasser Les Nuages Pour Changer Sa Vie...
  Photo Fabrice Coffrini, archives Agence France-Presse
Les nuages sont l'un des plus beaux et des plus fascinants spectacles que nous offre la nature. Prendre le temps de les observer est une activité beaucoup moins anodine qu'elle ne le semble. Elle pourrait peut-être même changer votre vie...

Photo Wikipedia Commons
L'altocumulus consiste en une série de petits nuages blancs et plutôt plats qui se déplacent par bande.


Photo Wikipedia Commons
Le cumulonimbus est en quelque sorte le « roi des nuages ».

Un clown géant qui jongle avec des fleurs, un dragon qui crache du feu... L'enfant peut passer de longs moments à observer le ciel pour y déceler les formes les plus originales.
Avec le temps, on cesse toutefois d'y voir une source de plaisir et de jeu.
Les grands auraient tout intérêt à s'inspirer des petits, croient certains.

« Avoir un nuage au-dessus de la tête », « pelleter des nuages », « entrevoir un avenir chargé de nuages », « voir passer un nuage dans les yeux de quelqu'un »...Autant d'expressions péjoratives associées à ces formes mouvantes qui surplombent nos univers, alors qu'un ciel bleu - ou sans nuages - est symbole de bonheur paisible.
Ce n'est qu'une question de perspective, croit l'auteur britannique Gavin Pretor-Pinney, cofondateur de la Société d'appréciation des nuages (Cloud Association Society - CAS) qui regroupe des milliers de membres dans le monde.
Tous ont en commun cette volonté de lever les yeux au ciel pour en admirer les beautés.
« Adulte, les nuages deviennent un paysage si familier que nous ne les voyons plus. Les seuls moments où ils captent notre attention sont lorsqu'ils font entrave au soleil », fait-il remarquer.
Ils représentent par ailleurs une autre menace : celle que le ciel nous tombe sur la tête.
La plupart ne sont pourtant pas annonciateurs de pluie ou d'orage...Ce qui ne serait d'ailleurs pas négatif en soi, étant donné que l'eau est nécessaire à la nature.
« Les nuages sont une belle métaphore pour la vie, estime celui qui est aussi l'auteur du livre Le guide des chasseurs de nuages. Les percevoir de façon négative n'est probablement pas la meilleure façon de vivre heureux. »

Un Spectacle À Ciel Ouvert.

Ces créations atmosphériques sont l'un des plus beaux spectacles qu'offre la nature et le plus démocratique d'entre tous...
Tout le monde a un ciel à observer, où que les gens soient et peu importe leurs moyens. Les nuages ont aussi une dimension magique, et c'est peut-être pourquoi ils inspirent les poètes et les artistes.
Les enfants aussi. Imprévisibles, en constante mouvance, ils n'obéissent qu'aux lois de la physique.
Les nuages sont en effet composés de vapeur d'eau condensée sous forme liquide ou solide. Elle a le pouvoir unique de se transformer en gaz et de disparaître ou d'apparaître ainsi au gré des variations de température.
« Un petit cumulus de beau temps a une durée de vie de 45 minutes à 1 heure », explique le météorologue Réjean Ouimet.
« Par évaporation et condensation, une nouvelle structure se crée à tout instant et se déplace simultanément au gré du vent.
Car même s'il ne vente pas au sol, là où se trouve le cumulus moyen, c'est-à-dire à environ 2 km au-dessus de nos têtes, il y a souvent des vents de 30 à 40 km/h », indique le spécialiste.

Par conséquent, lorsqu'un nuage adopte une forme particulière dans le ciel,vous savez que ce moment est éphémère et qu'il ne se représentera jamais.
« Les nuages sont une représentation éthérée du temps qui passe et un rappel qu'il faut savoir saisir l'instant », explique Gavin Pretor-Pinney, cofondateur de la Société d'appréciation des nuages (Cloud Association Society - CAS).

Perdre Son Temps N'est Pas Du Temps Perdu...
À une époque où tout va vite, succomber à la rêverie est plus pertinent que jamais, selon le fondateur de la CAS qui voit dans cette activité une forme de méditation.
« Nous sommes entourés d'appareils sur lesquels nous sommes constamment branchés. Lorsqu'on observe les nuages, c'est une autre partie du cerveau qui s'active : le subconscient prend le dessus et le cerveau se met en mode "veille". »
Ces moments de décrochage sont nécessaires pour notre bien-être émotionnel et notre créativité, dit-il. Ils nous permettent de prendre du recul parrapport à nos soucis quotidiens.
L'auteur à succès Carl Honoré, qui est l'un des principaux acteurs du mouvement « slow », est aussi de cet avis. Adopter la lenteur signifie être présent et prendre le temps de vivre chaque moment, décrit-il dans son livre Éloge de la lenteur.
« Les gens ont souvent peur que la vie leur échappe s'ils ralentissent. C'est complètement faux ! La vie est ce qui se produit ici et maintenant, et ce n'est qu'en ralentissant qu'on peut la vivre vraiment », raconte-t-il en entrevue.
Ralentir permet de réduire son stress, de recharger le corps et l'esprit, ce qui est bénéfique pour la santé mentale et la pensée créative.
« Mettre la pédale douce procure une paix intérieure et un espace pour réfléchirà des questions plus profondes que celles qui émergent au quotidien..."Qui suis-je ?", par exemple, ou "quel est mon rôle dans la vie ?".Ce qui donne une richesse et un sens à la vie », ajoute-t-il.
Nous sommes, au bout du compte, plus efficaces, car moins sujets à l'erreur et plus en mesure de prendre des décisions éclairées.
Apprendre À Chasser Les Nuages.

« Il est parfois nécessaire de prévoir des moments de détente. L'idéal est toutefois de développer le réflexe de ralentir, quand vous en avez besoin », soutient Carl Honoré.
Les nuages n'attendront pas votre case horaire idéale pour se pointer, précise Pretor-Pinney. C'est plutôt une question d'attitude : on doit être présent et attentif, car les nuages ne font que passer.
Trouver des formes dans les nuages ne vous permettra pas d'accomplir de grandes choses, bien sûr, mais c'est une façon de mettre la vie et ses soucis en perspective.
Les nuages nous rappellent la constante, mais changeante, beauté du monde.
Ils offrent de surcroît un parfait prétexte pour ne rien faire ! Une occasion à saisir durant la belle saison.

Devenez Chasseur De Nuages.

« Les nuages sont surreprésentés au Québec, c'est vrai, convient Réjean Ouimet, météorologue à MétéoMédia.
Normalement, le soleil est présent 60 % du temps, alors que c'est plutôt 45-50 % cet été.
Les gens ont une impression nette d'un été décevant, mais pour les amateurs de nuages, c'est parfait ! »
« J'aime l'altocumulus lenticularus qui ressemble à une soucoupe volante et qui se forme au sommet des montagnes.
Le fluctus aussi, qui ressemble à une série de vagues ondulées et qui apparaît souvent sous d'autres nuages, souligne le fondateur de la Société d'appréciation des nuages (CAS), Gavin Pretor-Pinney.
Je préfère généralement les nuages subtils, dont l'observation dépend de la vigilance de l'observateur. »
Chaque amateur a ses formations nuageuses préférées. Pour celui qui s'y intéresse, le ciel offre en effet quantité de divertissements éphémères,mais sans cesse renouvelables.
Il y a trois étages de nuages qui situent leur hauteur dans le ciel, 10 principaux groupes - ou genres - (les cumulus, stratus ou stratocumulusen font partie), 14 espèces qui définissent leur structure interne et neuf variétés qui reflètent la disposition de leurs différents éléments.
À ceux-ci s'ajoutent une centaine de combinaisons possibles : on peut, par exemple, avoir affaire à un stratocumulus cumulogenitus (un cumulus qui a donné naissance à un stratocumulus).
Et de nouveaux nuages continuent de s'ajouter au lot ! Autrement dit, c'est un univers à découvrir.
Pour décrire les choses plus simplement, contentons-nous de souligner qu'il existe deux grands types de nuages...Ceux de type stratiforme, ou en couches, qui s'étirent dans le ciel de manière relativement régulière, et les cumuliformes, qui se divisent en monceaux comme des boules de ouate plus ou moins denses.
Ces derniers sont souvent les plus intéressants à observer, précise Réjean Ouimet.
Les stratus, quant à eux, requièrent un oeil aguerri pour en distinguer lessubtiles découpes, souvent localisées dans leur partie inférieure.

« Allez dehors et observez le ciel. Vous y trouverez plein d'enseignements pourfaire vos propres prédictions météorologiques », souligne Réjean Ouimet, météorologue à MétéoMédia.
Un vieux dicton dit, par exemple, que lorsque le soleil est dans sa maison (autrement dit, entouré d'un halo), il y a risque de précipitations dans les 18 heures.
« Bien sûr, il est plus simple d'ouvrir une application, mais c'est moins intéressant que d'apprendre à distinguer les nuages et ce qu'ils annoncent ! », conclut le spécialiste.

Nouveaux venus au Ciel.

Les nuages sont classés en fonction de leur aspect, de leur position et de leur forme, tels qu'ils sont vus du sol.
Cette année, 11 nouveaux types de nuages ont été ajoutés à l'Atlas international des nuages, qui n'avait pas été revu depuis 1953 par l'Organisation météorologique mondiale.
« Avec les médias sociaux, des images de formations nuageuses nouvellement observées circulent rapidement.
L'observation des nuages s'est beaucoup développée », souligne Réjean Ouimet.
Parmi ces nouveaux arrivants figure l'asperitas, proposé par la CAS et qui ressemble à une mer houleuse vue du dessous.

Auteur...Isabelle Morin
La Presse
Ce commentaire a été modifié le 11/10/2018 à 12:45
11/10/2018 - 10:31
Circuits d’Auvergne : découvrez les volcans et puys d’Auvergne.

Par Dominique Le Brun

Profitez des plus beaux circuits d’Auvergne avec Détours en France. Partez à la découverte des volcans et des puys d'Auvergne en voiture ou mieux, à bord de votre camping-car. Délectez-vous d'une montagne à dimension humaine qui offre le plus vif des dépaysements. Avis de randonneurs : ce n'est pas toujours l'altitude qui fait la montagne, et le massif le plus exotique de France n'est peut-être pas celui qui compte les plus hauts sommets.
De Bort-les-Orgues à Salers en passant par Clermont-Ferrand, découvrez les circuits d’Auvergne les plus attrayants.



Circuit d’Auvergne : d’Aurillac à Clermont-Ferrand.
En reliant Clermont-Ferrand à Aurillac par les monts Dôme et Dore ainsi que les monts du Cantal, puis en revenant par le plateau du Cézallier et les lacs, on parcourt tous les sites qui donnent à l’Auvergne sa dimension sauvage et dépaysante : sur les rondeurs de la vieille montagne, les étendues herbeuses ne prennent-elles pas des dimensions de steppes asiatiques ? Au bord des lacs bleu pastel ou gris anthracite, les bouleaux rabougris et les conifères aux troncs torturés, enracinés dans la roche grise, évoquent le Grand Nord scandinave ou canadien. Le vieux Clermont-Ferrand, lui, offre un visage qui n’appartient qu’à lui, avec ses hautes églises de lave noire pointant flèches et clochers au-dessus d’un fouillis de toitures en tuile rousse.


Parc naturel régional des volcans d’Auvergne.
Vers les Monts Dôme, chaîne de 112 volcans.
Avant de se lancer dans l’exploration de cette partie du Massif central, nous avons une autre étape de votre circuit d’Auvergne à vous proposer : Vulcania. Une sorte de parc d’attractions qui vous apprendra tout ce qu’il faut savoir sur la formation des volcans pour apprécier les paysages comme ils le méritent. Vulcania se trouve à 15 kilomètres au nord-ouest de Clermont-Ferrand, à Saint-Ours-les-Roches. On reviendraensuite vers les Monts Dôme, chaîne de 112 volcans (éteints !) courant sur une trentaine de kilomètres. Depuis le sommet du Puy-de-Dôme, on domine un paysage de cratères et de landes rases, quasi lunaire. Une jolie promenade consiste à descendre son flanc nord par le sentier balisé qui offre la meilleure vue sur les puys de Pariou et de Côme, les plus caractéristiques de tous les volcans de la chaîne. À savoir : les formes arrondies du puy de Dôme viennent de ce que lalave s’est refroidie dès son apparition à l’air libre ; alors que le cratère du puy de Pariou révèle une éruption violente.



Le puy de Pariou.
Direction le Mont-Dore.
Entre le col de la Ventouse et le Mont-Dore, la route D983 multiplie les coups d’œil saisissants avec notamment les très sauvages lacs Servière et de Guéry, et surtout les roches Tuilière et Sanadoire. C’estdu col de Guéry qu’on appréciera le mieux les énormes rochers dont le premier se compose d’un faisceau de colonnes prismatiques qui fut la cheminée d’un ancien volcan effondré.



Vue sur le Mont-Dore.
Autour du Mont-Dore, point de départ pour excursions.
Nous poursuivons notre tour des circuits d’Auvergne avec le Mont-Dore. Ce dernier mélange l'ambiance des villes d'eau du XIXe siècle et celle des villages de montagne aux toits d'ardoise épaisse, devenus stations de sports d'hiver avec la mode du ski. Outre ses parcs et ses promenades, il offre un bon point de départ pour deux excursions incontournables : le puy de Sancy et la vallée de Chaudefour. Ses 1 886 mètres font du Sancy le point culminant du Massif central. On y accède par la station du Mont-Dore, un téléphérique dépose quasiment au sommet d’où, par beau temps, la vue porte jusqu’aux Alpes du Dauphiné. Mais pourquoi ne pas y monter à pied depuis le col de la croix-Saint-Robert ? « Faire » ce sommet demande 3 heures d’ascension facile, en suivant les balises du sentier GR4. La vallée de Chaudefour se trouve à 15 kilomètres du Mont-Dore par la D36.
Du parking aménagé au bord de la route, un chemin s’enfonce dans une gorgequi conduit au pied du massif du Sancy qui, sous cet angle, montre des reliefs très acérés. Cette balade, quoique facile, demande une demi-journée.



Prenez le téléphérique pour monter au puy de Sancy 1886 mètres.
Ses 1886 mètres font du Sancy le point culminant du Massif central.
 On y accède par la station du Mont-Dore, un téléphérique dépose quasiment au sommet d’où, par beau temps, la vue porte jusqu’aux Alpes du Dauphiné.

Circuit d’Auvergne : De la Bourboule à Bort-les-Orgues.
7 kilomètres à l’ouest du Mont-Dore, la Bourboule est une autre station thermale typique du XIXe siècle, dont le grand parc est planté de séquoias. C’est d’ici qu’on se met en route vers le sud de l’Auvergne, via le plateau de l’Artense. Plateau granitique, l’Artense présente un relief tourmenté dont les creux sont occupés par des lacs et des tourbières, et les bosses par des pâtures et des bois. Tel est le paysage que l’on traverse en passant par La Tour-d’Auvergne, Bagnols et Bort-les-Orgues. De Bort, on admirera les constructions basaltiques qui lui ont donné son nom, et le barrage sur la Dordogne qui a créé un lac long de 15 kilomètres.



Le barrage de Bort-les-Orgues.
De Bort-les-Orgues à Salers, un des plus beaux villages de France.
La D679 sinue jusqu’à Champs-sur-Tarentaine avant d’entrer dans les gorges boisées de la Rhue, où on longe le lac artificiel de Vaussaire. Au bout de celui-ci, guettez la D47 qui conduit à Saint-Amandin. On y trouvera la D678 en direction de Riom-ès-Montagnes, Trizac et Mauriac.
On s’arrêtera à Riom pour visiter la Maison de la gentiane, où on apprendra non seulement les secrets de fabrication de l’apéritif amer (la Suze). Puis, après Valette, notre circuit d’Auvergne passe par les orgues basaltiques de Peyre-Grosse, avec de beaux points de vue sur la région de Bort. Passés Trizac puis Moussages, guetter sur la gauche la D22 vers Anglards-de-Salers et Salers. À juste titre classé parmi les «Plus beaux villages de France», Salers dresse ses demeures anciennes en belvédère au-dessus des valléesde l’Aspre, du Rat et de la Maronne. Parce que ce village devint, au tournant des XVe et XVIe siècles, chef-lieu de bailliage des Hautes Montagnes d’Auvergne, juges et officiers de justices’y installèrent, édifiant les hôtels qui font aujourd’hui son charme. Au bout du village, l’esplanade de Barrouze offre une vue idéale sur lesmonts du Cantal, avec en premier plan le puy Violent.


                                       Vue sur Salers et ses alentours.
.


Salers, un fromage et une vache magnifiques.

Une caractéristique frappante des alpages auvergnats est la beauté – ainsi que la vivacité – des vaches qui y paissent : les salers. Du nom d’un charmant village situé dans l’ouest du Cantal, on les reconnaît de loin à leur robe acajou et à leurs longues cornes en forme de lyre. Fournissant une viande réputée (l’origine Salers signe généralement les bonnes tables), ces vaches fournissent aussi un lait de qualité, utilisépour tous les fromages du Massif central : cantal, bleu d’Auvergne, saint-nectaire, fourme d’Ambert, et salers.

Les monts du Cantal : départ de l'ascension du Puy Mary.
On reprend la route de nos circuits d’Auvergne sur une nouvelle départementale. La D680 vers le col de Neronne nous fait entrer dans ce paysage grandiose, dominant le cirque du Falgoux avant d’atteindre le Pas de Peyrol. À 1 582 mètres d’altitude, c’est
 le plus haut col routier de tout le Massif central, et le départ de l’ascension du Puy Mary, point culminant des monts du Cantal avec 1 787 mètres d’altitude. Un sentier facile conduit au sommet : quelle vue ! Il faut prévoir 1 heure et demie pour l’aller-retour. Du Pas de Peyrol, la D17 descend vers la vallée de Mandailles, offrant un joli coup d’œil sur les 1 694 mètres du puy Griou. On longe ainsi la rivière Jordanne dont le lit contiendrait encore, disent certains, des paillettes d’or ! Pour ses vieux quartiers autour de l’église Saint-Géraud, Aurillac mérite une halte avant de revenir vers le Cantal. On suit pour cela la N122 en direction de Murat : s’y succèdent les très beaux villages de Vic-sur-Cère et de Thiézac. Les virages en lacet du col de Cère (1 294 m) annoncent qu’on a retrouvé les sommets.Voici en effet la station de ski de Super-Lioran,où un téléphérique donne accès au Plomb du Cantal (1855m). Ici encore, le panorama est à couper le souffle.



Panorama sur le puy Mary.
Un circuit d'Auvergne de Murat à Clermont-Ferrand.
Toujours par la N122, on atteint le pittoresque bourg de Murat, dont les maisons semblent s’accrocher au rocher de Bonnevie, faisant face à l’église de Bredons, de l’autre côté de l’étroite vallée. Et c’est ici qu’on prend le chemin du retour vers Clermont-Ferrand en longeant les confins du plateau du Cézallier. La D3 puis la D16 nousconduisent à Condat, village isolé à un carrefour de vallées boisées, au bord du lac artificiel créé par le barrage hydroélectrique des Essarts. Dominant ce dernier, la forêt de Maubert possède plusieurs arbres remarquables comme le hêtre Pierre et Paul Buffault, qui atteint 44 mètres de hauteur! En route pour Besse-en-Chandesse et Saint-Nectaire, on traverse la région des lacs, tous admirables à divers titres. Méritent ainsi l’arrêt, voire un léger détour : Montcineyre pour son caractère sauvage, Pavin pour la couleur de ses eaux, et Chambon pour son cadre bucolique. Mais il en existe d’autres! De Besse-en-Chandesse, on appréciera les demeures anciennes et les vestigesde rempart ; et à Saint-Nectaire, on dégustera un fromage fermier accompagné d’un de ces petits vins d’Auvergne qui mériteraient d’être mieux connus, comme le chanturgue et le châteaugay. Enfin, aux portes mêmes de Clermont-Ferrand, la montée sur le plateau de Gergovie s’impose. Le panorama sur toute l’Auvergne est tellement extraordinaire qu’il serait dommage de se priver de tous ces
circuits d’Auvergne.



Véritable coeur de la ville, la place de Jaude à Clermont-Ferrand est un lieu de rencontre pour de nombreux habitants
Ce commentaire a été modifié le 11/10/2018 à 10:35
11/10/2018 - 10:08
Route Napoléon : itinéraire de Cannes à Grenoble.

Par Dominique Le Brun

La route Napoléon est un itinéraire historique de Cannes à Grenoble par la Nationale 85.
Suivons le parcours déjà tout tracé de 325 kilomètres où paysages et villes, méritent bien plus qu'un simple passage mais bien un roadtrip ! Alors, prêt à engloutir la N85 et sa route Napoléon ?




La Route Napoléon traverse Cannes où la ville présente aujourd’hui deux visages dont le plus connu est celui du célébrissime festival de cinéma, avec pour haut lieu la Croisette, ce front de mer où se succèdent les palaces, séparés de la plage par un
rideau de palmiers et de pelouses.
De la route Napoléon au tapis rouge.
Il faut l’avoir parcourue, mais visitez aussi le vieux Cannes, avec son quartier du Suquet dont la tour du Guet offre un panorama unique surla baie, les îles de Lérins et le massif de l’Esterel. L’itinéraire historique de la route Napoléon passe par Le Cannet et Mougins (ne pas ymanquer le musée de l’Automobile) et pour entrer dans Grasse, on fera le détour par le village de Cabris. En plus de bénéficier d’un point de vue unique sur l’arrière-pays cannois, on passera par le plateau où Napoléon fit halte.
À Grasse, la tradition veut que la parfumerie remonte à Catherine de Médicis, qui s’y fournissait en gants particulièrement souples et
qu’elle appréciait parfumés. Aujourd’hui, le musée international de la Parfumerie consacre Grasse comme capitale des « nez », et la visite de la célèbre parfumerie Fragonard s’impose. Mais il ne faut pas manquer non plus les jardins somptueux, tels ceux de la
princesse Pauline et le parc de la villa Noailles.



Cannes (06). Le Carlton, sur le boulevard de la Croisette, est l'un des palaces prisés des stars de cinéma lorsqu'elles viennent pour
"leur" festival

Grasse à Digne-les-Bains, capitale de la lavande.
Après Grasse, l’ambiance de la Côte d’Azur s’estompe. Enfin, la nationale franchit le col de Luens (1054 m), qui annonce Castellane. Occupant un cirque montagneux au croisement de vallées sur le Verdon, Castellane mêle sa personnalité d’ancien site stratégique et son charme de petite ville provençale. La place Maréchal-Sauvaire, aux arcades sympathiques, y offre un point de départ idéal pour explorer les ruellespiétonnes aux maisons provençales bien conservées. Étape de choix sur la Route Napoléon, Castellane se trouve aussi à une douzaine de kilomètres seulement des hallucinantes gorges du Verdon. Pourquoi ne pas s’offrir un détour par leur route de corniche ? En vérité, la Route Napoléon offre à présent, jusqu’à Digne, des points de vue tout à fait grandioses, tout en accumulant virages et dénivelés, notamment au col des Lèques (1 148 m). C’est pourquoi Digne-les-Bains paraîtra tout à fait bienvenue. Plus tout à fait provençale, mais pas non plus alpine, la préfecture des Alpes-de-Haute-Provence est la capitale de la lavande, dont les champs colorent le plateau de Valensole voisin. Mais ce sont ses sources thermales, connues depuis l’Antiquité, qui ont fait la réputation de Digne-les-Bains : ses eaux sorties de terre à 40 °C dans le vallon des Eaux Chaudes sont souveraines pour soigner les rhumatismes.



Petite balade en canoë dans les gorges du Verdon.
De Digne-les-Bains à Gap, aux portes des Alpes.
Peu à peu, la vallée s’élargit, annonçant la confluence avec la Durance. On y arrive juste après Malijai, et l’on repère alors, sur la gauche, une curiosité géologique : les Pénitents des Mées, des rochers ainsi sculptés par l’érosion qu’ils évoquent une procession de moines encapuchonnés. Pour remonter maintenant la vallée de la Durance jusqu’à Sisteron, nous vous suggérons de quitter la N85 et la route Napoléon avant Château-Arnoux-Saint-Auban, pour longer la rivière par sa rive gauche, via Volonne.
Et voici Sisteron, postée en sentinelle sur l’étroit défilé par lequel se glisse la Durance, marquant la limite entre la Provence et le Dauphiné. Ici, on quitte le pays des oliviers pour trouver les terrasses alluviales plus propres à la culture fruitière. Bien entendu, cette frontière naturelle fut de tout temps fortifiée ; la vieille ville, au pied de sa citadelle, s’organise sous la forme d’un labyrinthe de ruelles, rampes et escaliersoù l’on s’égare à loisir pour découvrir ici et là des vues magnifiques sur la Durance. Mais le plus spectaculaire reste la citadelle, avec notamment son escalier de 365 marches creusées dans le roc. Quelques kilomètres avant Tallard, la N85 quitte la vallée de la Durance pour se diriger, plein nord, vers Grenoble. Très vite, les paysages évoluent. À Gap, si l’altitude demeure modeste (750 m), on se sent clairement aux portes des Alpes. Dès la sortie de la ville, la route grimpe rudement pour atteindre, en moins de 8 kilomètres, l’altitude de 1 248 mètres au col Bayard. Cette fois, la vraie montagne est atteinte, et si l’on veut un point de vue sur les Écrins, une petiteroute, à gauche immédiatement après avoir atteint le col, monte aux 1 696 mètres du col de Gleize.



Sisteron (04) est bâtie de part et d'autre de la Durance. De l'autre côté du pont, sa citadelle épouse les anfractuosités de la roche
et semble s'y fondre.

Du col Bayard à Grenoble, fin de la route Napoléon.
À partir du col Bayard, la N85 se glisse d’abord, majestueuse, entre le massif du Dévoluy, à gauche, et celui des Écrins, sur la droite. Et comme cette montagne fascine – n’a-t-elle pas le statut de parc national? – nous ne saurions trop vous recommander d’en approcher les sommets en vous enfonçant, au niveau de Saint-Firmin, dans le Valgaudemar. Vous suivrez l’étroite D985A qui, de chapelle en oratoire et en hameau, conduit à la Chapelle-en-Valgaudemar en passant sous les 3.564 mètres du pic d’Olan. Après Saint-Firmin, la route Napoléon retrouve l’ambiance des pays de plaine. À Grenoble, l'auberge des Trois Dauphins (7, rue Montorge) devenue par la suite Auberge Napoléon est un excellent point de départ pour visiter la ville! Car à deux pas se trouvent le jardin de ville (ainsi que la gare de départ du téléphérique de la Bastille), et la place Grenette qui constitue le cœur battant du vieux Grenoble. Puis, par la Grande-Rue, onrejoindra les quais de l’Isère avec, sur la rive opposée et accessible par la sympathique passerelle Saint-Laurent, le musée Dauphinois.



À Grenoble, l'hôtel des Lesdiguières et le jardin de ville, 1,3 hectare de verdure en plein centre de la capitale iséroise
11/10/2018 - 09:49
Nationale 7 : la mythique route en 5 étapes.

Par Chloé Madec

Prenez la Nationale 7 avec nous pour découvrir cette route mythique aussi connue sous le nom de "route des vacances". En tout, 995 kilomètres répartis en cinq grandes étapes : de Paris à Sancerre, de Sancerre à Roanne, de Roanne à Valence, de Valence à Avignon, d'Avignon à Menton. En route pour l'historique RN7 !



Nationale 7, nous voilà !
RN7 Étape 1 : de Paris aux vignobles de SancerreLa première étape de notre périple sur la route nationale 7 - ou RN7 - nous conduit jusqu'à Sancerre et ses vignobles. En chemin, nous passons par Barbizon, aussi connu sous le nom de "village des peintres", avant de nous arrêter au château de Fontainebleau. Plus loin, nous visitons le château de la Buissière, également appelé
"château des pêcheurs" en raison de son musée de la pêche dissimulé en son coeur. Puis Briare et sa manufacture de mosaïques, où nous explorons le musée des Mosaïques et des Émaux au sein de l'usine.



Départ : Porte d'Italie.
RN7 Étape 2 : de Sancerre à Roanne en passant par NeversQuittons le vignoble de Sancerrois direction Nevers, avec un détour par le village de la Charité-sur-Loire pour visiter l'église Notre-Dame,inscrite par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité. Le négus nous appelle à Nevers et c'est à la maison Grelier & Lyron que nous dégustons cette délicieuse confiserie. Puis, cap sur Moulins, ses monuments et son Grand Café avant de nous arrêter à Saint-Loup au petit musée dédié à la route nationale 7. Gagnons ensuite Lapalisse, son château fort et son musée d'Art brut. Avant de rejoindre Roanne, qui marque le fin de cette deuxième étape, offrons-nous une halte à Saint-Martin-d'Estréaux.



Un arrêt s'impose au musée de la RN7.
RN7 Étape 3 : de Roanne chez les Troisgros à Valence.Incontournable de cette troisième étape de notre voyage sur la Nationale 7, déjeuner à la Maison Troisgros à Roanne, restaurant étoilé par le guideMichelin. Puis direction Saint-Étienne, qui, malgré ce que l'on peut endire, n'est pas grise mais verte. Déambulons donc dans le jardin du musée d'Art et crapahutons sur la montée du Crêt du Roch. Petite pause au col de la République, où nous nous arrêtons à l'auberge du Grand-Bois. À Tain l'Hermitage, Valrhona et sa cité du chocolat nous fait les yeux doux. Avant d'atteindre Valence, pause gourmande au restaurant étoilé de Michel Chabran à Pont-de-l'Isère.




Ça monte au col de la République !
RN7 Étape 4 : de Valence au palais des Papes d'AvignonAprès Valence et son port de plaisance, nous arrivons à Montélimar, la ville du nougat. Visite du palais des Bonbons et du Nougat avant de conclure cette escapade à la maison Soubeyran pour nous approvisionner en sucreries. À Piolenc, de nouveau un musée dédié à la route nationale 7. Prochaine escale à Orange, où le théâtre antique accueille les Chorégies, célèbre festival d'opéra. Avignon se profile enfin, c'est ici que s'achève la quatrième étape. Pour cette occasion, nous faisons un tour au palais des Papes.



Tranquille sur la route, nous profitons du paysage.
RN7 Étape 5 : d'Avignon à Menton, la fin d'une aventureUltime étape de notre road-trip sur la Nationale 7, nous partons d'Avignon et prenons la direction d'Aix-en-Provence. N'oublions pas de faire un petit tour à l'ancien palais de l'Archevêché, au Grand Théâtre de Provence, au château du Tholonet, au musée Granet... Enfin la côte, Fréjus et ses plages. Premier bain de soleil, avant de faire un petit tour par les arènes et le théâtre antique.
Rapide escale à Cannes,puis nous gagnons Nice et ses cathédrales Sainte-Réparate et Sainte-Nicolas, le palais Lascaris, le château Valrose,l'ancien palais de la princesse Kotchoubey devenu le musée des Beaux-arts... Escale à Èze, un des plus beaux villages perchés de France, pour recharger nos batteries et reprendre la route nationale 7 vers Monaco pour découvrir son jardin exotique et faire un petit détour par le célèbre casino, le Monte-Carlo. Notre voyage se termine par la ville de Menton, la visite de la basilique Saint-Michel-Archange, le monastère de l'Annonciade et le palais Carnolès.



À toute allure, nous arrivons enfin.


Ce commentaire a été modifié le 11/10/2018 à 09:54
11/10/2018 - 09:32
Une rue typique à Strasbourg.



La rue du Bain-aux-Plantes est bordée par nombre de belles maisons Renaissance alsacienne (16e-17e s.), à encorbellements, pans de bois, galeries et pignons... Au n° 42, en particulier, la maison des tanneurs ( de 1572. Mais c'est surtout un charme d'ensemble auquel il faut s'abandonner.




Cette maison située au n° 25  fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis 1927. 


La Maison des Tanneurs







11/10/2018 - 09:06



 
        
11/10/2018 - 08:39
GÉNIAL...Sandra, une maman qui a du génie.

BRAVO  cette Maman a eu une super bonne idée .........


Un jour alors qu'elle sort de l'école Mélodie ne voit pas sa maman.
 Elle cherche un peu partout du regard mais personne de sa connaissance n'est présent.
C'est alors qu'un homme jeune et bien habillé s'avance vers elle et lui dit :
– « ta maman est en retard elle a eu un empêchement de dernière minute et ne peut venir te chercher 
« .
Mélodie regarde l'homme d’un air interrogateur. Elle lui demande : » le mot de passe ?»
L'homme rigole et lui dit mais c'est quoi cette histoire de mot de passe. Allez viens!!
Mélodie se sauve alors en courant et rentre à toute vitesse dans l'école en hurlant au secours.
Affolé l'homme qui ne comprend pas la situation se sauve à son tour.
La directrice de l'école venue au secours de Mélodie lui demande de raconter son histoire :
Mélodie dit alors:  " maman m'a donné un mot de passe. Elle m'a dit que si quelqu'un me demande de venir avec lui et ce, même si je le connais mais qu'il n’a pas ce mot de passe, il faut que je m'enfuie en courant.Et c’est ce que j'ai fait ".
Sandra lui a certainement sauvé la vie.
Elle racontera avoir eu cette idée en entendant qu'une fillette avait été enlevée. En voulant regarder plus précisément cette info elle a du taper le mot de passe de son ordinateur et l'idée a germé dans sa tête.
Elle a donc donné un mot de passe à sa fille en lui expliquant que si elle avait un empêchement elle donnerai ce mot de passe à la personne qui viendrait l'a chercher à l’école ou au sport.
Elle lui a également rappelé de ne pas parler à des inconnus, raison pour laquelle la fillette a juste demandé le mot de passe!!
Elle lui a également dit de crier au secours et de se diriger vers des personnes de connaissances ou dans un magasin.
Sandra ne pensait pas que sa fille aurait a mettre ce « code » en pratique. mais elle est très heureuse et fière de sa fille.
 Si toutes les mamans du monde faisaient la même chose il y aurait peut-être moins de disparition d'enfants. Faites circuler car on ne sait jamais. Si cela peut sauver ne serait-ce qu'un enfant c'est déjà ça. Mais nous espérons qu'il en sauvera beaucoup. 

Parents, grand-parents, famille, amis parlez-en autour de vous. Merci pour nos enfants
11/10/2018 - 08:03
À CONSERVER. quipoquiz !!!

Quand il n'y a rien d'intéressant à la TV, comme cela arrive souvent, voici de quoi faire travailler vos neurones et passer le temps !!! 
CONSERVER C'EST GÉNIAL ...??? 

Cliquer sur:    http://quipoquiz.com/fr/