Dans les années 70, une entreprise américaine réalisait une coccinelle camping car appellée le Super Bugger. Une coque en fibre de verre montée sur une chassis de Volkswagen Beetle de 1968 tranformait le véhicule en micro hébergement.
Pas de chambre avec lit ni de douche, mais une kitchenette avec une table permettait de déjeuner à l’abri. Ce véhicule insolite pouvait atteindre les 85 km/h sur autoroute.
Un véhicule moins emblématique que le célèbre combi VW mais qui a séduit quelques aventuriers du bitume. En tout cas, le tuning de cet coccinelle reste plus utile que de refaire sa carrosserie en fer forgé.
Quelques images du Super Bugger, la coccinelle camping car des années 70:
Saviez-vous que les origines de l’arobase remontent à loin ? Et connaissez-vous le Lolcode ?
Alors bienvenue dans cette nouvelle édition de culture G spéciale Internet et informatique !
Ah, Internet. On y passe tellement notre vie qu’on pense tout savoir de lui, dans ses moindres recoins un peu sombres ! Quelle douce illusion, pourtant : car l’Internet, cette belle invention, est si vaste que l’on pourrait surfer sans fin et disserter dessus pendant des semaines sans avoir fait le tour des lolcats. (Quoi, comment ça, « l’Internet n’est pas fait que de lolcats » ? On m’aurait menti ?)
C’est nul.
Alors fatalement, en vous proposant un « Le saviez-vous » spécial Internet, qui en plus s’étend (surtout) au domaine de l’informatique en général, j’avoue me sentir un peu présomptueuse. Mais je ne désespère de vous apprendre quelques petits faits insolites… Quitte à revenir à la charge plus tard avec une nouvelle fournée. N’est-ce pas.
Pour cette première édition, parlons déjà de l’arobase, votre amie de tous les jours que vous pensez si moderne, de langages de programmation exotiques, ou encore de bugs en tous genres, et on sera déjà bien.
L’arobase existerait depuis le VIe siècleÉcoutez, on n’en est pas sûr•e•s à 100%, mais il se pourrait bien que le signe @, que nous utilisons aujourd’hui dans nos adresses email ou pour mentionner quelqu’un sur les réseaux sociaux, ne soit pas aussi récent qu’on le pense. Il n’est pas né avec Internet, ça c’est certain. il se serait déjà affiché dans les manuscrits latins du VIe siècle.
Ce qui ne veut pas dire pour autant que le moines copistes s’envoyaient de photos de chats amusants par mail, hein. Calmons-nous. L’arobase, ou plutôt le signe @ puisqu’on ne l’appelait certainement pas ainsi, aurait alors été une ligature, soit la fusion de deux lettres consécutives formant la préposition latine « ad » (vers, chez, à). Si cela reste une hypothèse faute d’un nombre suffisant de documents pour l’étayer, il n’empêche que l’on retrouve le fameux signe quoi qu’il en soit au XIIe siècle. C’est déjà pas mal.
En ce qui concerne le nom « arobase », on fait en général un lien avec une unité de mesure (poids et volume) utilisée par les commerçants espagnols au XVIIe siècle : l’arroba. Avant de se faire détrôner par le système métrique, une arroba représentait l’équivalent de 11,5 kilos. De l’unité de mesure au symbole informatique, on peut dire qu’on a parcouru du chemin… Mais une autre théorie encore plus terre à terre part du principe que le mot « arobase » est une simple contraction de « a-rond-bas », pour désigner le « a » entouré d’un rond.
Dans tous les cas, le symbole s’est maintenu comme marqueur logique à travers les siècles, jusqu’à être prononcé « at » (à, chez) pour la première fois en anglais au XIXe siècle. Introduisant un lieu ou une adresse, ce n’est que justice s’il a été repris dès les années 1970 pour désigner le serveur de votre adresse email. Et ça c’est beau.
Comment le ctrl + alt + suppr aurait pu ne jamais exister Tout à fait, vous avez bien lu : la fameuse combinaison que vous avez dû taper un petit millier (ou presque) de fois sous Windows aurait pu ne jamais faire partie de votre vie ! Un frisson d’horreur vous échappe à cette idée, et ô comme je le comprends… Car qu’auraient donc été nos vies, sans ces crises de nerfs passées à appuyer frénétiquement sur ces trois touches pour redémarrer le PC récalcitrant qui ne daignait plus guère fonctionner !
Je vous rassure, en vrai, c’est la combinaison à trois touches qui a failli ne pas exister – pas la fonction. Enfin, les fonctions. C’est lors d’une conférence donnée à Harvard que Bill Gates a avoué n’avoir jamais voulu de ces trois touches. Lui, il n’en voulait qu’une seule, qui devait faire sortir l’ordinateur de sa veille en tout bien tout honneur ! Mais un ingénieur d’IBM, qui travaillait sur la conception des claviers, lui aurait dit « prout ». En substance.
L’ingénieur malotru s’appelait David Bradley, et en réalité, s’il a refusé cette fantaisie à Bill Gates, ce n’était pas pour les lui briser,mais bien parce que le design du clavier ne le permettait pas (et puis il faut savoir ce qu’on veut au bout d’un moment, hein, bon.)
Notez que finalement, nous nous sommes très bien accommodé•e•s de ces trois commandes au lieu d’une. Et quelque part, la fonction ayant été par la suite étendue, avouez qu’un redémarrage par accident aurait été plus vite arrivé avec une seule touche… Le « bug » informatique a d’abord été un (enfoiré d’) insecte
« Oh ben, oui tiens, c’est vrai : pourquoi est-ce lorsqu’un ordinateur plante, on appelle ça un « bug », alors que ça veut dire « insecte » en anglais ? D’où cela peut-il bien provenir ? On se demande, hein. Mais qui saura nous répondre, ohlala ? »
Eh bien mes petits amis, notre histoire commence en 1947, avec une femme répondant au nom de Grace Hopper. Mais vous avez peut-être déjà entendu ce nom : la dame n’était pas seulement un officier supérieur de la marine américaine, mais également une mathématicienne et informaticienne de génie qui a fini par être à l’origine du premier compilateur et du langage informatique COBOL. Et comme si tout ça ne rendait pas déjà assez bien sur un CV, c’est aussi elle qui a implanté le terme de « bug informatique ».
Bref, reprenons. Le 9 septembre 1947, Grace Hopper était tranquillement en train de travailler sur un ordinateur Harvard Mark, quand soudain, pfout ! Un court-circuit ! (Non, je ne sais pas si un court-circuit fait « pfout » dans la vraie vie, mais faites un effort d’imagination, bon sang.) Fortmarrie d’avoir perdu le travail qu’elle n’avait pas sauvegardé, ou pas parce que j’extrapole un brin, elle va pour inspecter les relais électriques de l’ordinateur… et découvre que c’est une vieille mite qui a provoqué l’incident en allant se coincer là-dedans. Il faut savoir qu’à cette époque, les ancêtres de l’ordinateur, s’ils étaient déjà des prouesses de technologie, occupaient des salles entières et produisaient beaucoup de chaleur. Chaleur qui attirait ces saloperies d’insectes qui venaient se fiche n’importe où, et tout faire planter en faisant kamikaze !!
Cet insecte-là, en revanche, s’il meurt comme les autres, passe à la postérité ce jour-là. Car Grace Hopper, qui avait pour manie de tenir un journal de bord très (un peu trop) précis, décide alors de récupérer la mite et de la scotcher dans son journal sous la mention « le tout premier bug ». Et vous connaissez la meilleure ? Elle y est encore. (La mite, pas Grace Hopper.)
Le « Lolcode » et autres langages de programmation exotiquesConnaissez-vous ce qu’on appelle des « langages de programmation exotique » ? Si non, restez encore un peu avec moi, parce que je vous assure que c’est aussi fou que fantastique. (Enfin, moi je trouve, mais après vous ferez ce que vous voulez.) Un langage de programmation exotique n’a rien à voir avec les tropiques, et, au bout du compte, pas grand chose à voir avec un langagede programmation classique dans le sens où il n’a pas pour but d’être utile, ni même utilisable. Ou plutôt, disons que le but n’est pas de le rendre facile d’utilisation. Car le langage de programmation exotique a quelque chose de la composition de poèmes, en ce que ses créateurs le développent dans le seul but d’exercer leur créativité, de s’amuser, de passer le temps… Ou toujours un peu dans l’idée de troller un peu, au fond – mais avec génie.
Parmi les plus connus, il y a Malbolge, qui a pour particularité d’être extrêmement compliqué… Et surtout, il y a mon petit préféré, le Lolcode. Pourquoi mon préféré ? Oh, vous allez comprendre : parce qu’il s’inspire directement du « vocabulaire » propre aux lolcats. Oui. Tout un langage informatique. À base. De lolcats. Et ça ressemble à ça : Allez me dire après ça que le génie est mort.
Ce commentaire a été modifié le 28/04/2018 à 17:59
Un chien d'assistance c'est quoi ? Les chiens d'assistance ont un rôle d'aide et d'assistance au quotidien auprès des personnes en situation de handicap moteur, se déplaçant ou non à l'aide d'un fauteuil roulant.stance Ils sont à différencier des chiens guide, qui ont pour rôle principal d'aider la personne aveugle dans ses déplacements. Ce sont le plus souvent des chiens de race Golden Retriever et Labrador, c'est-à-dire des chiens particulièrement sociables et gentils, à même de répondre à différents commandes. Le chien d'assistance constitue un moyen de compensation du handicap. Que fait-il ? Le chien d'assistance est capable de transporter, ramasser, rapporter des objets tels que des jouets, des clefs, ...Il sait aussi ouvrir ou fermer un placard, une porte, Il peut allumer la lumière, décrocher le téléphone,... Il sait aussi prévenir l'entourage en cas de problème en aboyant à la demande. Au total il peut répondre à au moins 52 commandes différentes. Le chien d'assistance représente un soutien moral et affectif et est un extraordinaire facteur d'insertion sociale car il constitue un vecteur de communication avec les autres. Certaines maisons de retraite, par exemple, peuvent ainsi en être dotées. On parle alors de chien d'accompagnement social. Il accompagne son maître partout où il va (l'accès d'un chien d'assistance dans les magasins, les lieux publics, l'école, les transports en commun,... est autorisé Comment les chiens sont-ils éduqués ? Comment en obtenir un ? Après une sélection très rigoureuse, les chiens d'assistance sont éduqués en famille d'accueil puis au sein d'un des quatre centres d'éducation Handi'Chiens labellisés par le ministère de la Santé et de ministère de l'Agriculture avant d'être confiés à leur maître, via un stage. Deux ans environ sont nécessaires pour sélectionner puis éduquer le chien avant qu'il puisse être confié à une personne en situation de handicap. Ils auront ainsi appris à répondre aux différentes commandes, à sa déplacer aux côtés d'une personne en fauteuil roulant,... Dans tous les cas, faire la demande d'obtention d'un chien d'assistance engage la personne, et donc le futur maître. Les responsables de l'association s'assureront que toutes les conditions sont réunies pour que vous puissiez adopter un chien d'assistance
Pont du 25 avril: 4 lieux incroyables à voir de l’autre côté
Pont du 25 avril (ou Ponte 25 abril en portugais): Pourquoi ce nom ? Que visiter de l’autre côté du pont ?
On ne dirait pas, et pourtant, ce pont d’acier rouge si connu de Lisbonne n’a que 50 ans. En effet, il a été édifié sous la décision de l’ancien dictateur portugais Salazar, en 1960.
Ce pont a une histoire très particulière, intimement lié à l’histoire politique du Portugal et un rayonnement international que l’on connaît aujourd’hui.
Il relie la capitale du Portugal, Lisbonne, à la ville d’Almada, de l’autre côté du fleuve Tejo, laquelle connaît aussi sa petite gloire avec le Cristo Rei (statue du Christ, faisant penser à celle de Rio de Janeiro, le Corcovado). Ce pont est double : routier et ferroviaire puisqu’il permet non seulement aux voitures de le traverser, mais également au train qui se situe au niveau juste au-dessous de la route. C’est un élément significatif de la ville, que l’on voit sur toutes les cartes postales et dont on sait généralement peu de choses. Il nous fait étrangement penser au pont Golden Gate Bridge de San Francisco, ce qui laisse rêveur…Suivez le guide, vous ne serez pas déçus !
Pont du 25 avril : un peu d’histoire…
La construction du pont est comme dit précédemment, à l’initiative de António de Oliveira Salazar, homme politique portugais initiateur du régime autoritaire dont le Portugal a été soumisde 1933 à 1970. Le pont, anciennement nommé pont Salazar, a été édifié par une entreprise américaine en collaboration avec des entreprises portugaises, tant la tâche était immense. Cette zone bien connue de séismes potentiels n’a pas échappé à la vigilance des constructeurs qui ont pris en compte cette donnée fondamentale lors de la mise en place du chantier. Lors de la révolution des oeillets, le 25 avril 1974, alors que les militaires ont mis en place avec succès et avec le soutien du peuple un coup d’état pour mettre fin à la dictature,il a été décidé de renommer le pont « ponte 25 de abril » en hommage à cette victoire.
Que visiter d’un côté et de l’autre du pont du 25 avril ? Le pont est aujourd’hui l’un des emblèmes les plus représentatifs de Lisbonne, avec le tramway. Il relie la capitale, à la ville d’Almada, et plus généralement à l’autre côté de la rive (Trafaria, Cacilhas, Setubal, Costa da caparica etc…). Ce pont traverse le Tejo, fleuve sur lequel il est possible de faire des croisières en bateau pour passer sous le pont du 25 Avril et pour aller même jusqu’au pont Vasco de Gama qui se situe à l’est de Lisbonne.
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Du côté nord donc, nous avons l’accès à la capitale portugaise, Lisbonne, ville magnifique et centre d’intérêt économique, culturel et touristique indéniable.
En effet, c’est une ville qui réunit plusieurs critères de vacances réussies : soleil quasi toute l’année, plages à proximité, architecture magnifique, vieille ville, collines pavées, vues extraordinaires, coût de vie très peu cher pour les français.
==> Du côté sud, vous avez accès à la rive qui fait face à Lisbonne. Cette rive offre beaucoup de possibilités de visites différentes :Cristo Rei
Vous pourrez vous rendre à Almada, ville dans laquelle vous pourrez admirer le Cristo Rei, monument très connu qui représente le Christ qui tend les bras vers Lisbonne. On peut y monter et admirer la vue magnifique d’en haut.
Costa da Caparica
Vous pourrez vous rendre sur la Costa da Caparica, côte balnéaire très connue par les lisboètes et les habitants de la région pour détenir parmi les plus belles et les plus grandes plages. Il y a généralement moins de monde que sur les plages qui sont sur la même côte que Lisbonne puisqu’il est plus « difficile » d’y accéder. Mais cela vaut le coup !
Setúbal
Vous pourrez vous rendre à Setúbal, ville attractive de ce côté de la rive, de laquelle on peut aller à la magnifique plage de Troia en ferry. Cette plage est clairement dans le top 3 des plus belles plages de Lisbonne.
Sesimbra
Vous pourrez vous rendre à Sesimbra et notamment à la plage sublime de Ribeira do Cavalo
Ces deux côtés du pont ont chacun quelque chose d’unique à offrir. Et puis on ne peut pas se lasser de le photographier lorsqu’on lui fait face, que ce soit de Lisbonne, ou de l’autre côté de la rive ! Ce pont émerveille et continue de rester un élément indispensable au rayonnement de la capitale portugaise.
Ce commentaire a été modifié le 28/04/2018 à 14:37
L’huile, qu’elle soit de tournesol, d’olive, de noix ou autre, on la retrouve dans bon nombre de recettes. A tel point qu’on a tendance à croire qu’elle est irremplaçable. Erreur ! En cuisine, l’huile peut bel et bien être substituée par d’autres ingrédients moins gras, pour des résultats plus légers mais tout aussi savoureux. Nous vous en proposons 10, vraiment efficaces.
1. Le fromage blanc De préférence à 0% de matière grasse pour encore plus de garantie minceur, le fromage blanc apporte légèreté et crémeux aux sauces du typevinaigrette (moins translucide du coup), ou aux pâtes à gâteaux.
2. La crème d’amandes (ou de noisettes) L’amande étant une graine oléagineuse, elle apporte la texture grasse recherchée dans l’huile, mais avec moins de concentration en lipides puisqu’en crème elle n’a pas été pressée. Et elle est pleine de bienfaits santé !
3. La compote de pomme Oui, la compte de pomme peut bel et bien remplacer l’huile ! Apportant une vraie légèreté, de la consistance grâce à la pectine, et en plus de tout ça, un bon petit goût fruité et acidulé. Miam !
4. La purée de banane La banane nous surprend une fois de plus ! Elle permet en effet de se substituer à l’huile en écrasé, dans un gâteau par exemple. Certes la texture ne sera pas vraiment la même, mais elle apportera un côté moelleux et fondant formidable.
5. La crème Bon si on veut remplacer l’huile, c’est souvent pour manger moins gras. Alors évidemment, si on la remplace par de la crème, on choisira celle-ci allégée. La crème offrira des pâtes à gâteaux onctueuses ou des mijotés gourmands.
6. La purée de légumes Comme la banane, certains légumes peuvent se substituer à l’huile lorsqu’ils sont réduits en purée. Le potiron ou la patate douce par exemple, qui ont une chair farineuse et moelleuse une fois cuite, réaliseront des pâtes bien tendres, homogènes… et originales !
7. La crème de coco En crème ou en lait, la noix de coco a décidément bien des ressources. Elle permet notamment d’offrir de l’onctuosité aux plats en remplaçant l’huile. La crème étant plus grasse que le lait, elle donnera des résultats plus proches de ceux de l’huile.
8. La crème de soja De la même manière, la crème ou le lait de soja peuvent remplacer l’huile en cuisine. Le résultat sera moins onctueux, le soja étant naturellement moins gras que la noix de coco, mais son ajout sera plus neutre au niveau du goût.
9. Le tofu soyeux Outre ses qualités nutritives, le tofu soyeux est idéal pour apporter une texture onctueuse aux plats et une légèreté appréciée. Il n’est pas réservé qu’aux végétariens, et il est très facile à utiliser !
10. Le jus d’agrumes Pour la cuisson à la poêle (anti-adhésive), il est tout à fait possible de cuire viandes et légumes dans du jus d’agrumes, comme des oranges, plutôt que dans de l’huile. Douceur et saveur assurées !
Ce commentaire a été modifié le 28/04/2018 à 13:50
Jacques Dutronc est né le 28 avril 1943 à Paris. Fils de Pierre et Madeleine Dutronc, il connaît une enfance privilégiée dans le 9e arrondissement parisien. Son père, ingénieur et pianiste à ses heures, éveille le petit garçon à la musique. Très jeune, il prend des cours de piano et de violon. A l'adolescence, inscrit au Lycée Condorcet, il fait souvent l'école buissonnière préférant aller jouer au flipper ou s'enfermer dans les salles de cinéma sur les Grands Boulevards. Toujours entouré de copains, parmi lesquels Jean-Philippe Smet, la joyeuse bande se retrouve au square de la Trinité. A l'adolescence, la guitare a remplacé le violon et Jacques Dutronc monte son premier groupe, El Toro et les Cyclones, au début des années 60. Le bouillonnement culturel de l'époque est propice aux rencontres, et Jacques Dutronc commence à collaborer pour d'autres artistes; ainsi il compose pour le groupe Les Fantômes, devient un temps le guitariste d'Eddy Mitchell et son groupe El Toro et les Cyclones signe un contrat avec les éditions Vogue. Puis, engagé comme assistant du directeur artistique de Vogue, Jacques Wolfsohn, il est en charge de la carrière d'artistes débutants comme Zouzou. Il compose le titre Va pas prendre un tambour, pour une jeune chanteuse produite sous le label Vogue, Françoise Hardy. Pour concurrencer le succès du chanteur Antoine qui inonde les ondes, Jacques Wolfson commande un texte au romancier et parolier Jacques Lanzmann puis demande à Jacques Dutronc de le mettre en musique. Initialement destiné à un autre chanteur c'est finalement Jacques Dutronc lui-même qui va interpréter Et moi, et moi, et moi. La chanson est un véritable tube et reçoit le prix de l'Académie Charles-Cros. En 1966, son premier album, Et moi, et moi, et moi est certifié disque d'or et les principaux titres deviennent tous des tubes (Les play-boys, Les cactus, J'aime les filles...). La collaboration avec son parolier et complice Jacques Lanzmann est porteuse de grands succès, comme le titre Il est cinq heures, Paris s'éveille en 1968. Jacques Dutronc avec son répertoire décalé devient une figure incontournable des yé-yé. Il enchaîne les albums; Il est cinq heures (1968), L'opportuniste en 1969, et L'aventurier en 1970. La décennie suivante s'enrichie de titres tout autant incontournables Le petit jardin, Fais pas çi, fais pas ça, ou encore le générique de la série télévisée ArsèneLupin, Gentleman cambrioleur. En 1980, il enregistre l'album Guerre et Pets avec son ami Serge Gainsbourg. Il faut attendre 1992 pour voir le chanteur faire son retour sur scène au Casino de Paris. Le spectacle, filmé par le photographe Jean-Marie Périer, reçoit le Prix du meilleur spectacle de l'année et l'album enregistré en direct, Dutronc au Casino de Paris, se hisse en tête des ventes avec plus de 600 000 exemplaires vendus. Le chanteur se fait plus rare depuis. En 2003, il sort un nouvel opus, Madame l'existence, pour lequel il retrouve Jacques Lanzamnn. Il remonte sur scène en 2010, incité par son fils Thomas, pour une tournée gigantesque de plus de 80 dates. Clin d'oeil à ses débuts il rejoint Eddy Mitchell et Johnny Hallyday sur scène, en novembre 2014, pour le spectacle Les Vieilles Canailles Le charme de Jacques Dutronc lui ouvre très vite les portes du septième art. Il fait ses débuts sur grand écran en 1973 sous la direction de Jean-Marie Périer qui lui propose un rôle dans Antoine et Sébastien. Sa prestation est saluée par la critique et marque le début d'une riche filmographie. En 1974, il décroche un rôle dans L'important c'est d'aimer du réalisateur Andrzej Zulawski aux côtés de Romy Schneider. Il collabore avec de nombreux grands réalisateurs; Jean-Luc Godard (Sauve-qui peut la vie), Claude Lelouch (A nous deux), Nicole Garcia (Place Vendôme), Claude Chabrol (Merci pour le chocolat). En 1991, sous la direction de Maurice Pialat, il prête ses traits au peintre Van Gogh et rafle le César du Meilleur acteur en 1992. En 2014, il est au générique du film Les Francis de Fabrice Begotti tourné en Corse, pays d'adoption du chanteur qui réside désormais à Monticello Côté vie privée, Jacques Dutronc est marié depuis le 30 mars 1981 à la chanteuse Françoise Hardy, rencontrée en 1967. Ensemble ils ont un fils, Thomas Dutronc, né le 16 juin 1973. Sur le tournage de L'important c'est d'aimer il a vécu une brève idylle avec l'actrice Romy Schneider. Jacques Dutronc a également une fille, Aléya, née en 1970 d'une liaison avec une Tahitienne prénommée Tera.
Le Paris de Marie Curie La célèbre scientifique qui a décroché deux prix Nobel est parisienne d’adoption. D’origine polonaise, elle débarque à Paris en 1891 pour ne plus jamais quitter la ville. Celle qui a commencé sa scolarité dans une université clandestine de Varsovie va devenir la première femme à enseigner à la Sorbonne et à être inhumée au Panthéon ! Partons sur les traces de cette immense femme de sciences à Paris. Arrivée à Paris, rue d’AllemagneEn 1891, Marie Curie, née Maria Skłodowska, arrive à Paris. Elle est hébergée chez sa sœur rue d’Allemagne, l’actuelle avenue Jean-Jaurès. Cette dernière lui procure logement et nourriture afin qu’elle puisse étudier. Cette décision fait suite à la mort de leur mère qui voulait que l’une des deux sœurs travaille pour que l’autre puisse devenir médecin. Elle avait déjà commencé ses études au sein de l’université volante de Varsovie en Pologne, illégale puisque les femmes n’avaient pas le droit à l’enseignement supérieur. Maria Sklodowska à 16 ans
Une étudiante brillante qui dort rue FlattersComme toute intellectuelle qui se respecte, Maria Skłodowska déménage rive gauche pour s’installer dans le 5e arrondissement, rue Flatters. Elle est alors étudiante à la Faculté des Sciences de Paris et fait partie des 27 étudiantes de l’établissement. Brillante, la jeune femme obtient sa licence de physique en majorant en 1893, celle de mathématiques un anplus tard. Rencontre avec Pierre Curie à l’École Municipale de Physique et de Chimie Industrielles. Maria Skłodowska pense repartir en Pologne lorsqu’elle rencontre Pierre Curie, alors chercheur à l’EMPCI (École Municipale de Physique et de Chimie Industrielles), rue Vauquelin dans le 5e arrondissement. Leur point commun ? La recherche autour du magnétisme. C’est le coup de foudre. Pierre Curie la convainc alors de rester en France. Leur relation est forte puisqu’en plus d’avoir une première fille en 1897, Irène, ils travaillent, jour et nuit dit-on, dans leur laboratoire de larue Lhomont. Découverte du radium rue Lhomont. Leur atelier, très vétuste, ressemble plus à une grange qu’à un laboratoire scientifique. Dépourvus de moyens à ce moment-là de leur vie, le couple Curie travaille sur le radium, jusqu’à l’obtention de leur prix Nobel de physique en 1903. Ils le partagent avec Henri Becquerel qui a découvert la radioactivité quelques années auparavant, en 1896. Ils y font surtout des expériences la nuit, malgré le froid, pour admirer les reflets du radium sur les murs. Aujourd’hui, le hangar a laissé place à un centre de recherche sur le cancer. Le laboratoire des Curie. Rue Cuvier, du laboratoire au musée Curiele couple est à l’apogée de sa gloire lorsque Pierre Curie meurt en avril 1906, peu de temps après avoir inauguré une nouvelle chaire de physique àla faculté des sciences. Il est renversé par une voiture à cheval entrela rue Dauphine et le quai de Conti : il décède sur le coup. Marie Curie, effondrée, perd à la fois son mari et son partenaire de recherche. Elle trouve malgré tout la force de reprendre la chaire de Pierre ainsi que le laboratoire rue Cuvier qu’ils avaient pu ouvrir grâce à la reconnaissance scientifique du prix Nobel. Le second prix Nobel de Marie Curie.
Marie Curie devient la première femme à diriger un laboratoire universitaire en France et la première professeure de la Sorbonne. Le laboratoire et le bureau de Marie Curie rue Cuvier font aujourd’hui partie du musée Curie. On peut donc visiter les lieux au sein desquels la célèbre chercheuse a mené ses expériences qui lui ont valu son second prix Nobel en 1911.
Le Panthéon. Pendant sa vie, Marie Curie a non seulement fait des découvertes essentielles dans le champ scientifique, mais a aussi été une véritable pionnière. Eneffet, en plus d’avoir été la première femme professeur à la Sorbonne et la première directrice d’un laboratoire, elle est également la première personne, tout sexe confondu, à remporter deux prix Nobel. Ultime reconnaissance, elle sera la première femme inhumée au Panthéon pour ses propres faits. Décédée en 1934 à 66 ans suite à des maladies liées au contact d’éléments chimiques très nocifs et radioactifs, Marie Curie a d’abord été enterréedans le caveau familial à Sceaux aux côtés de son mari. Les restes du couple seront finalement transférés au Panthéon en 1995, près de 60 ans après sa mort. Le corps de Marie Curie repose désormais sous la coupole dans un cercueil en plomb de 2,5 mm d’épaisseur, suite à ses pratiques scientifiques risquées liées à la radioactivité.
L’artiste canadienne Aganetha Dyck collabore avec des abeille pour transformer des objets qu’elle place dans des ruches pour que les abeilles se les approprient.
Sciences De L'Univers. La vie dans l'Univers L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe, régi par un certain nombre de lois. La cosmologie cherche à appréhender l'Univers d'un point de vue scientifique, comme l'ensemble de la matière distribuée dans l'espace-temps. Pour sa part, la cosmogonie vise à établir une théorie de la création de l'Univers sur des bases philosophiques ou religieuses. La différence entre ces deux définitions n'empêche pas nombre de physiciens d'avoir une conception finaliste de l'univers (voir à ce sujet le principe anthropique). Si l'on veut faire correspondre le mouvement des galaxies avec les lois physiques telles qu'on les conçoit actuellement, on peut considérer que l'on n'accède par l'expérience qu'à une faible partie de la matière de l'Univers1, le reste se composant de matière noire. Par ailleurs, pour expliquer l'accélération de l'expansion de l'Univers, il faut également introduire le concept d'énergie sombre. Plusieurs modèles alternatifs ont été proposés pour faire correspondre les équations et nos observations en prenant d'autres approches.
Dans les années 70, une entreprise américaine réalisait une coccinelle camping car appellée le Super Bugger.
Une coque en fibre de verre montée sur une chassis de Volkswagen Beetle de 1968 tranformait le véhicule en micro hébergement.
Pas de chambre avec lit ni de douche, mais une kitchenette avec une table permettait de déjeuner à l’abri.
Ce véhicule insolite pouvait atteindre les 85 km/h sur autoroute.
Un véhicule moins emblématique que le célèbre combi VW mais qui a séduit quelques aventuriers du bitume.
En tout cas, le tuning de cet coccinelle reste plus utile que de refaire sa carrosserie en fer forgé.
Quelques images du Super Bugger, la coccinelle camping car des années 70:
Alors bienvenue dans cette nouvelle édition de culture G spéciale Internet et informatique !
Ah, Internet. On y passe tellement notre vie qu’on pense tout savoir de lui, dans ses moindres recoins un peu sombres ! Quelle douce illusion, pourtant : car l’Internet, cette belle invention, est si vaste que l’on pourrait surfer sans fin et disserter dessus pendant des semaines sans avoir fait le tour des lolcats.
(Quoi, comment ça, « l’Internet n’est pas fait que de lolcats » ? On m’aurait menti ?)
C’est nul.
Alors fatalement, en vous proposant un « Le saviez-vous » spécial Internet, qui en plus s’étend (surtout) au domaine de l’informatique en général, j’avoue me sentir un peu présomptueuse. Mais je ne désespère de vous apprendre quelques petits faits insolites… Quitte à revenir à la charge plus tard avec une nouvelle fournée. N’est-ce pas.
Pour cette première édition, parlons déjà de l’arobase, votre amie de tous les jours que vous pensez si moderne, de langages de programmation exotiques, ou encore de bugs en tous genres, et on sera déjà bien.
L’arobase existerait depuis le VIe siècleÉcoutez, on n’en est pas sûr•e•s à 100%, mais il se pourrait bien que le signe @, que nous utilisons aujourd’hui dans nos adresses email ou pour mentionner quelqu’un sur les réseaux sociaux, ne soit pas aussi récent qu’on le pense.
Il n’est pas né avec Internet, ça c’est certain. il se serait déjà affiché dans les manuscrits latins du VIe siècle.
Ce qui ne veut pas dire pour autant que le moines copistes s’envoyaient de photos de chats amusants par mail, hein. Calmons-nous. L’arobase, ou plutôt le signe @ puisqu’on ne l’appelait certainement pas ainsi, aurait alors été une ligature, soit la fusion de deux lettres consécutives formant la préposition latine « ad » (vers, chez, à). Si cela reste une hypothèse faute d’un nombre suffisant de documents pour l’étayer, il n’empêche que l’on retrouve le fameux signe quoi qu’il en soit au XIIe siècle. C’est déjà pas mal.
En ce qui concerne le nom « arobase », on fait en général un lien avec une unité de mesure (poids et volume) utilisée par les commerçants espagnols au XVIIe siècle : l’arroba. Avant de se faire détrôner par le système métrique, une arroba représentait l’équivalent de 11,5 kilos. De l’unité de mesure au symbole informatique, on peut dire qu’on a parcouru du chemin… Mais une autre théorie encore plus terre à terre part du principe que le mot « arobase » est une simple contraction de « a-rond-bas », pour désigner le « a » entouré d’un rond.
Dans tous les cas, le symbole s’est maintenu comme marqueur logique à travers les siècles, jusqu’à être prononcé « at » (à, chez) pour la première fois en anglais au XIXe siècle. Introduisant un lieu ou une adresse, ce n’est que justice s’il a été repris dès les années 1970 pour désigner le serveur de votre adresse email. Et ça c’est beau.
Comment le ctrl + alt + suppr aurait pu ne jamais exister
Tout à fait, vous avez bien lu : la fameuse combinaison que vous avez dû taper un petit millier (ou presque) de fois sous Windows aurait pu ne jamais faire partie de votre vie ! Un frisson d’horreur vous échappe à cette idée, et ô comme je le comprends… Car qu’auraient donc été nos vies, sans ces crises de nerfs passées à appuyer frénétiquement sur ces trois touches
pour redémarrer le PC récalcitrant qui ne daignait plus guère fonctionner !
Je vous rassure, en vrai, c’est la combinaison à trois touches qui a failli ne pas exister – pas la fonction. Enfin, les fonctions. C’est lors d’une conférence donnée à Harvard que Bill Gates a avoué n’avoir jamais voulu de ces trois touches. Lui, il n’en voulait qu’une seule, qui devait faire sortir l’ordinateur de sa veille en tout bien tout honneur ! Mais un ingénieur d’IBM, qui travaillait sur la conception des claviers, lui aurait dit « prout ». En substance.
L’ingénieur malotru s’appelait David Bradley, et en réalité, s’il a refusé cette fantaisie à Bill Gates, ce n’était pas pour les lui briser,mais bien parce que le design du clavier ne le permettait pas (et puis il faut savoir ce qu’on veut au bout d’un moment, hein, bon.)
Notez que finalement, nous nous sommes très bien accommodé•e•s de ces trois commandes au lieu d’une. Et quelque part, la fonction ayant été par la suite étendue, avouez qu’un redémarrage par accident aurait été plus vite arrivé avec une seule touche…
Le « bug » informatique a d’abord été un (enfoiré d’) insecte Eh bien mes petits amis, notre histoire commence en 1947, avec une femme répondant au nom de Grace Hopper. Mais vous avez peut-être déjà entendu ce nom : la dame n’était pas seulement un officier supérieur de la marine américaine, mais également une mathématicienne et informaticienne de génie qui a fini par être à l’origine du premier compilateur et du langage informatique COBOL. Et comme si tout ça ne rendait pas déjà assez bien sur un CV, c’est aussi elle qui a implanté le terme de « bug informatique ».
Bref, reprenons. Le 9 septembre 1947, Grace Hopper était tranquillement en train de travailler sur un ordinateur Harvard Mark, quand soudain, pfout ! Un court-circuit ! (Non, je ne sais pas si un court-circuit fait « pfout » dans la vraie vie, mais faites un effort d’imagination, bon sang.) Fortmarrie d’avoir perdu le travail qu’elle n’avait pas sauvegardé, ou pas parce que j’extrapole un brin, elle va pour inspecter les relais électriques de l’ordinateur… et découvre que c’est une vieille mite qui a provoqué l’incident en allant se coincer là-dedans.
Il faut savoir qu’à cette époque, les ancêtres de l’ordinateur, s’ils étaient déjà des prouesses de technologie, occupaient des salles entières et produisaient beaucoup de chaleur. Chaleur qui attirait ces saloperies d’insectes qui venaient se fiche n’importe où, et tout faire planter en faisant kamikaze !!
Cet insecte-là, en revanche, s’il meurt comme les autres, passe à la postérité ce jour-là. Car Grace Hopper, qui avait pour manie de tenir un journal de bord très (un peu trop) précis, décide alors de récupérer la mite et de la scotcher dans son journal sous la mention « le tout premier bug ». Et vous connaissez la meilleure ? Elle y est encore. (La mite, pas Grace Hopper.)
Le « Lolcode » et autres langages de programmation exotiquesConnaissez-vous ce qu’on appelle des « langages de programmation exotique » ? Si non, restez encore un peu avec moi, parce que je vous assure que c’est aussi fou que fantastique. (Enfin, moi je trouve, mais après vous ferez ce que vous voulez.)
Un langage de programmation exotique n’a rien à voir avec les tropiques, et, au bout du compte, pas grand chose à voir avec un langagede programmation classique dans le sens où il n’a pas pour but d’être utile, ni même utilisable. Ou plutôt, disons que le but n’est pas de le rendre facile d’utilisation. Car le langage de programmation exotique a quelque chose de la composition de poèmes, en ce que ses créateurs le développent dans le seul but d’exercer leur créativité, de s’amuser, de passer le temps… Ou toujours un peu dans l’idée de troller un peu, au fond – mais avec génie.
Parmi les plus connus, il y a Malbolge, qui a pour particularité d’être extrêmement compliqué… Et surtout, il y a mon petit préféré, le Lolcode. Pourquoi mon préféré ? Oh, vous allez comprendre : parce qu’il s’inspire directement du « vocabulaire » propre aux lolcats. Oui. Tout un langage informatique. À base. De lolcats. Et ça ressemble à ça :
Allez me dire après ça que le génie est mort.
LE SAVIEZ VOUS ?
Un chien d'assistance c'est quoi ?
Les chiens d'assistance ont un rôle d'aide et d'assistance au quotidien
auprès des personnes en situation de handicap moteur, se déplaçant ou
non à l'aide d'un fauteuil roulant.stance
Ils sont à différencier des chiens guide, qui ont pour rôle principal d'aider la personne aveugle dans ses déplacements.
Ce sont le plus souvent des chiens de race Golden Retriever et Labrador,
c'est-à-dire des chiens particulièrement sociables et gentils, à même de
répondre à différents commandes.
Le chien d'assistance constitue un moyen de compensation du handicap.
Que fait-il ?
Le chien d'assistance est capable de transporter, ramasser, rapporter des
objets tels que des jouets, des clefs, ...Il sait aussi ouvrir ou fermer
un placard, une porte,
Il peut allumer la lumière, décrocher le téléphone,...
Il sait aussi prévenir l'entourage en cas de problème en aboyant à la demande.
Au total il peut répondre à au moins 52 commandes différentes.
Le chien d'assistance représente un soutien moral et affectif et est un
extraordinaire facteur d'insertion sociale car il constitue un vecteur
de communication avec les autres. Certaines maisons de retraite, par
exemple, peuvent ainsi en être dotées. On parle alors de chien
d'accompagnement social.
Il accompagne son maître partout où il va (l'accès d'un chien d'assistance dans les magasins, les lieux publics,
l'école, les transports en commun,... est autorisé
Comment les chiens sont-ils éduqués ? Comment en obtenir un ?
Après une sélection très rigoureuse, les chiens d'assistance sont éduqués en
famille d'accueil puis au sein d'un des quatre centres d'éducation
Handi'Chiens labellisés par le ministère de la Santé et de ministère de
l'Agriculture avant d'être confiés à leur maître, via un stage. Deux ans
environ sont nécessaires pour sélectionner puis éduquer le chien avant
qu'il puisse être confié à une personne en situation de handicap.
Ils auront ainsi appris à répondre aux différentes commandes, à sa déplacer aux côtés d'une personne en fauteuil roulant,...
Dans tous les cas, faire la demande d'obtention d'un chien d'assistance
engage la personne, et donc le futur maître. Les responsables de
l'association s'assureront que toutes les conditions sont réunies pour
que vous puissiez adopter un chien d'assistance
Pont du 25 avril (ou Ponte 25 abril en portugais):
Pourquoi ce nom ?
Que visiter de l’autre côté du pont ?
On ne dirait pas, et pourtant, ce pont d’acier rouge si connu de Lisbonne n’a que 50 ans. En effet, il a été édifié sous la décision de l’ancien dictateur portugais Salazar, en 1960.
Il relie la capitale du Portugal, Lisbonne, à la ville d’Almada, de l’autre côté du fleuve Tejo, laquelle
connaît aussi sa petite gloire avec le Cristo Rei (statue du Christ, faisant penser à celle de Rio de Janeiro, le Corcovado).
Ce pont est double :
routier et ferroviaire puisqu’il permet non seulement aux voitures de le traverser, mais également au train qui se situe au niveau juste au-dessous de la route.
C’est un élément significatif de la ville, que l’on voit sur toutes les cartes postales et dont on sait généralement peu de choses.
Il nous fait étrangement penser au pont Golden Gate Bridge de San Francisco, ce qui laisse rêveur…Suivez le guide, vous ne serez pas déçus !
Pont du 25 avril : un peu d’histoire…
La construction du pont est comme dit précédemment, à l’initiative de António de Oliveira Salazar, homme politique portugais initiateur du régime autoritaire dont le Portugal a été soumisde 1933 à 1970.
Le pont, anciennement nommé pont Salazar, a été édifié par une entreprise américaine en collaboration avec des entreprises portugaises, tant la tâche était immense.
Cette zone bien connue de séismes potentiels n’a pas échappé à la vigilance des constructeurs qui ont pris en compte cette donnée fondamentale lors de la mise en place du chantier.
Lors de la révolution des oeillets, le 25 avril 1974, alors que les militaires ont mis en place avec succès et avec le soutien du peuple un coup d’état pour mettre fin à la dictature,il a été décidé de renommer le pont « ponte 25 de abril » en hommage à cette victoire.
Que visiter d’un côté et de l’autre du pont du 25 avril ?
Le pont est aujourd’hui l’un des emblèmes les plus représentatifs de Lisbonne, avec le tramway.
Il relie la capitale, à la ville d’Almada, et plus généralement à l’autre côté de la rive (Trafaria, Cacilhas, Setubal, Costa da caparica etc…).
Ce pont traverse le Tejo, fleuve sur lequel il est possible de faire des croisières en bateau pour passer sous le pont du 25 Avril et pour aller même jusqu’au pont Vasco de Gama qui se situe à l’est de Lisbonne.
Du côté nord donc, nous avons l’accès à la capitale portugaise, Lisbonne, ville magnifique et centre d’intérêt économique, culturel et touristique indéniable.
En effet, c’est une ville qui réunit plusieurs critères de vacances réussies : soleil quasi toute l’année, plages à proximité, architecture magnifique, vieille ville, collines pavées, vues extraordinaires, coût de vie très peu cher pour les français.
==> Du côté sud, vous avez accès à la rive qui fait face à Lisbonne.
Cette rive offre beaucoup de possibilités de visites différentes :Cristo Rei
Vous pourrez vous rendre à Almada, ville dans laquelle vous pourrez admirer le Cristo Rei, monument très connu qui représente le Christ qui tend les bras vers Lisbonne. On peut y monter et admirer la vue magnifique d’en haut.
Costa da Caparica
Vous pourrez vous rendre sur la Costa da Caparica, côte balnéaire très connue par les lisboètes et les habitants de la région pour détenir parmi les plus belles et les plus grandes plages. Il y a généralement moins de monde que sur les plages qui sont sur la même côte que Lisbonne puisqu’il est plus « difficile » d’y accéder. Mais cela vaut le coup !
Setúbal
Vous pourrez vous rendre à Setúbal, ville attractive de ce côté de la rive, de laquelle on peut aller à la magnifique plage de Troia en ferry. Cette plage est clairement dans le top 3 des plus belles plages de Lisbonne.
Sesimbra
Vous pourrez vous rendre à Sesimbra et notamment à la plage sublime de Ribeira do Cavalo
Ces deux côtés du pont ont chacun quelque chose d’unique à offrir.
Et puis on ne peut pas se lasser de le photographier lorsqu’on lui fait face, que ce soit de Lisbonne, ou de l’autre côté de la rive !
Ce pont émerveille et continue de rester un élément indispensable au rayonnement de la capitale portugaise.
L’huile, qu’elle soit de tournesol, d’olive, de noix ou autre, on la retrouve dans bon nombre de recettes. A tel point qu’on a tendance à croire qu’elle est irremplaçable.
Erreur ! En cuisine, l’huile peut bel et bien être substituée par d’autres ingrédients moins gras, pour des résultats plus légers mais tout aussi savoureux. Nous vous en proposons 10, vraiment efficaces.
1. Le fromage blanc
De préférence à 0% de matière grasse pour encore plus de garantie minceur, le fromage blanc apporte légèreté et crémeux aux sauces du typevinaigrette (moins translucide du coup), ou aux pâtes à gâteaux.
2. La crème d’amandes (ou de noisettes)
L’amande étant une graine oléagineuse, elle apporte la texture grasse recherchée dans l’huile, mais avec moins de concentration en lipides puisqu’en crème elle n’a pas été pressée. Et elle est pleine de bienfaits santé !
3. La compote de pomme
Oui, la compte de pomme peut bel et bien remplacer l’huile ! Apportant une vraie légèreté, de la consistance grâce à la pectine, et en plus de tout ça, un bon petit goût fruité et acidulé. Miam !
4. La purée de banane
La banane nous surprend une fois de plus ! Elle permet en effet de se substituer à l’huile en écrasé, dans un gâteau par exemple. Certes la texture ne sera pas vraiment la même, mais elle apportera un côté moelleux et fondant formidable.
5. La crème
Bon si on veut remplacer l’huile, c’est souvent pour manger moins gras.
Alors évidemment, si on la remplace par de la crème, on choisira celle-ci allégée. La crème offrira des pâtes à gâteaux onctueuses ou des mijotés gourmands.
6. La purée de légumes
Comme la banane, certains légumes peuvent se substituer à l’huile lorsqu’ils sont réduits en purée. Le potiron ou la patate douce par exemple, qui ont une chair farineuse et moelleuse une fois cuite, réaliseront des pâtes bien tendres, homogènes… et originales !
7. La crème de coco
En crème ou en lait, la noix de coco a décidément bien des ressources.
Elle permet notamment d’offrir de l’onctuosité aux plats en remplaçant l’huile. La crème étant plus grasse que le lait, elle donnera des résultats plus proches de ceux de l’huile.
8. La crème de soja
De la même manière, la crème ou le lait de soja peuvent remplacer l’huile en cuisine. Le résultat sera moins onctueux, le soja étant naturellement moins gras que la noix de coco, mais son ajout sera plus neutre au niveau du goût.
9. Le tofu soyeux
Outre ses qualités nutritives, le tofu soyeux est idéal pour apporter une texture onctueuse aux plats et une légèreté appréciée. Il n’est pas réservé qu’aux végétariens, et il est très facile à utiliser !
10. Le jus d’agrumes
Pour la cuisson à la poêle (anti-adhésive), il est tout à fait possible de cuire viandes et légumes dans du jus d’agrumes, comme des oranges, plutôt que dans de l’huile. Douceur et saveur assurées !
Jacques Dutronc est né le 28 avril 1943 à Paris. Fils de Pierre et Madeleine
Dutronc, il connaît une enfance privilégiée dans le 9e
arrondissement parisien. Son père, ingénieur et pianiste à ses
heures, éveille le petit garçon à la musique. Très jeune, il prend des
cours de piano et de violon. A l'adolescence, inscrit au Lycée
Condorcet, il fait souvent l'école buissonnière préférant aller
jouer au flipper ou s'enfermer dans les salles de cinéma sur les
Grands Boulevards. Toujours entouré de copains, parmi lesquels
Jean-Philippe Smet, la joyeuse bande se retrouve au square de la
Trinité. A l'adolescence, la guitare a remplacé le violon et Jacques
Dutronc monte son premier groupe, El Toro et les Cyclones, au début des
années 60.
Le bouillonnement culturel de l'époque est propice aux rencontres, et Jacques Dutronc commence à collaborer pour d'autres
artistes; ainsi il compose pour le groupe Les Fantômes, devient un temps
le guitariste d'Eddy Mitchell et son groupe El Toro et les Cyclones
signe un contrat avec les éditions Vogue. Puis, engagé comme assistant
du directeur artistique de Vogue, Jacques Wolfsohn, il est en charge
de la carrière d'artistes débutants comme Zouzou. Il compose le titre
Va pas prendre un tambour, pour une jeune chanteuse produite sous le
label Vogue, Françoise Hardy. Pour concurrencer le succès du chanteur
Antoine qui inonde les ondes, Jacques Wolfson commande un texte au
romancier et parolier Jacques Lanzmann puis demande à Jacques Dutronc
de le mettre en musique. Initialement destiné à un autre chanteur
c'est finalement Jacques Dutronc lui-même qui va interpréter Et moi,
et moi, et moi. La chanson est un véritable tube et reçoit le prix de
l'Académie Charles-Cros. En 1966, son premier album, Et moi, et moi,
et moi est certifié disque d'or et les principaux titres deviennent
tous des tubes (Les play-boys, Les cactus, J'aime les filles...).
La collaboration avec son parolier et complice Jacques Lanzmann est
porteuse de grands succès, comme le titre Il est cinq heures, Paris
s'éveille en 1968. Jacques Dutronc avec son répertoire décalé devient
une figure incontournable des yé-yé. Il enchaîne les albums; Il est
cinq heures (1968), L'opportuniste en 1969, et L'aventurier en 1970.
La décennie suivante s'enrichie de titres tout autant
incontournables Le petit jardin, Fais pas çi, fais pas ça, ou encore
le générique de la série télévisée ArsèneLupin, Gentleman
cambrioleur. En 1980, il enregistre l'album Guerre et Pets avec son
ami Serge Gainsbourg. Il faut attendre 1992 pour voir le chanteur
faire son retour sur scène au Casino de Paris. Le spectacle, filmé par
le photographe Jean-Marie Périer, reçoit le Prix du meilleur spectacle
de l'année et l'album enregistré en direct, Dutronc au Casino de
Paris, se hisse en tête des ventes avec plus de 600 000 exemplaires
vendus. Le chanteur se fait plus rare depuis. En 2003, il sort un
nouvel opus, Madame l'existence, pour lequel il retrouve Jacques
Lanzamnn. Il remonte sur scène en 2010, incité par son fils Thomas, pour
une tournée gigantesque de plus de 80 dates. Clin d'oeil à ses débuts
il rejoint Eddy Mitchell et Johnny Hallyday sur scène, en novembre
2014, pour le spectacle Les Vieilles Canailles
Le charme de Jacques Dutronc lui ouvre très vite les portes du septième
art. Il fait ses débuts sur grand écran en 1973 sous la direction de
Jean-Marie Périer qui lui propose un rôle dans Antoine et Sébastien. Sa
prestation est saluée par la critique et marque le début d'une riche
filmographie. En 1974, il décroche un rôle dans L'important c'est
d'aimer du réalisateur Andrzej Zulawski aux côtés de Romy Schneider.
Il collabore avec de nombreux grands réalisateurs; Jean-Luc Godard
(Sauve-qui peut la vie), Claude Lelouch (A nous deux), Nicole Garcia
(Place Vendôme), Claude Chabrol (Merci pour le chocolat). En 1991, sous
la direction de Maurice Pialat, il prête ses traits au peintre Van
Gogh et rafle le César du Meilleur acteur en 1992. En 2014, il est au
générique du film Les Francis de Fabrice Begotti tourné en Corse, pays
d'adoption du chanteur qui réside désormais à Monticello
Côté vie privée, Jacques Dutronc est marié depuis le 30 mars 1981 à la
chanteuse Françoise Hardy, rencontrée en 1967. Ensemble ils ont un
fils, Thomas Dutronc, né le 16 juin 1973. Sur le tournage de
L'important c'est d'aimer il a vécu une brève idylle avec l'actrice
Romy Schneider. Jacques Dutronc a également une fille, Aléya, née en
1970 d'une liaison avec une Tahitienne prénommée Tera.
La célèbre scientifique qui a décroché deux prix Nobel est parisienne d’adoption. D’origine polonaise, elle débarque à Paris en 1891 pour ne plus jamais quitter la ville. Celle qui a commencé sa scolarité dans une université clandestine de Varsovie va devenir la première femme à enseigner à la Sorbonne et à être inhumée au Panthéon ! Partons sur les traces de cette immense femme de sciences à Paris.
Arrivée à Paris, rue d’Allemagne En 1891, Marie Curie, née Maria Skłodowska, arrive à Paris. Elle est hébergée chez sa sœur rue d’Allemagne, l’actuelle avenue Jean-Jaurès.
Cette dernière lui procure logement et nourriture afin qu’elle puisse étudier. Cette décision fait suite à la mort de leur mère qui voulait que l’une des deux sœurs travaille pour que l’autre puisse devenir médecin. Elle avait déjà commencé ses études au sein de l’université volante de Varsovie en Pologne, illégale puisque les femmes n’avaient pas le droit à l’enseignement supérieur.
Maria Sklodowska à 16 ans
Une étudiante brillante qui dort rue Flatters Comme toute intellectuelle qui se respecte, Maria Skłodowska déménage rive
gauche pour s’installer dans le 5e arrondissement, rue Flatters. Elle est alors étudiante à la Faculté des Sciences de Paris et fait partie des 27 étudiantes de l’établissement. Brillante, la jeune femme obtient sa licence de physique en majorant en 1893, celle de mathématiques un anplus tard.
Rencontre avec Pierre Curie à l’École Municipale de Physique et de Chimie Industrielles.
Maria Skłodowska pense repartir en Pologne lorsqu’elle rencontre Pierre Curie, alors chercheur à l’EMPCI
(École Municipale de Physique et de Chimie Industrielles), rue Vauquelin dans le 5e arrondissement. Leur
point commun ? La recherche autour du magnétisme. C’est le coup de foudre.
Pierre Curie la convainc alors de rester en France. Leur relation est forte puisqu’en plus d’avoir une première fille en 1897,
Irène, ils travaillent, jour et nuit dit-on, dans leur laboratoire de larue Lhomont.
Découverte du radium rue Lhomont.
Leur atelier, très vétuste, ressemble plus à une grange qu’à un laboratoire scientifique. Dépourvus de moyens à ce moment-là de leur vie, le couple Curie travaille sur le radium, jusqu’à l’obtention de leur prix Nobel de physique en 1903.
Ils le partagent avec Henri Becquerel qui a découvert la radioactivité quelques années auparavant, en 1896. Ils y font
surtout des expériences la nuit, malgré le froid, pour admirer les reflets du radium sur les murs. Aujourd’hui, le hangar a laissé place à un centre de recherche sur le cancer.
Le laboratoire des Curie.
Rue Cuvier, du laboratoire au musée Curie le couple est à l’apogée de sa gloire lorsque Pierre Curie meurt en avril
1906, peu de temps après avoir inauguré une nouvelle chaire de physique àla faculté des sciences. Il est renversé par une voiture à cheval entrela rue Dauphine et le quai de Conti : il décède sur le coup. Marie Curie, effondrée, perd à la fois son mari et son partenaire de recherche. Elle trouve malgré tout la force de reprendre la chaire de Pierre ainsi que le laboratoire rue Cuvier qu’ils avaient pu ouvrir grâce à la reconnaissance scientifique du prix Nobel.
Le second prix Nobel de Marie Curie.
Marie Curie devient la première femme à diriger un laboratoire universitaire en France et la première professeure de la Sorbonne. Le laboratoire et le bureau de Marie Curie rue Cuvier font aujourd’hui partie du musée Curie. On peut donc visiter les lieux au sein desquels la célèbre chercheuse a mené ses expériences qui lui ont valu son second prix Nobel
en 1911.
Le Panthéon.
Pendant sa vie, Marie Curie a non seulement fait des découvertes essentielles dans le champ scientifique, mais a aussi été une véritable pionnière. Eneffet, en plus d’avoir été la première femme professeur à la Sorbonne et la première directrice d’un laboratoire, elle est également la première personne, tout sexe confondu, à remporter deux prix Nobel.
Ultime reconnaissance, elle sera la première femme inhumée au Panthéon pour ses propres faits.
Décédée en 1934 à 66 ans suite à des maladies liées au contact d’éléments chimiques très nocifs et radioactifs, Marie Curie a d’abord été enterréedans le caveau familial à Sceaux aux côtés de son mari. Les restes du couple seront finalement transférés au Panthéon en 1995, près de 60 ans après sa mort. Le corps de Marie Curie repose désormais sous la coupole
dans un cercueil en plomb de 2,5 mm d’épaisseur, suite à ses pratiques scientifiques risquées liées à la radioactivité.
L’artiste canadienne Aganetha Dyck collabore avec des abeille pour transformer des objets qu’elle place dans des ruches pour que les abeilles se les approprient.
La vie dans l'Univers
L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe, régi par un certain nombre de lois.
La cosmologie cherche à appréhender l'Univers d'un point de vue scientifique, comme l'ensemble de la matière distribuée dans l'espace-temps. Pour sa part, la cosmogonie vise à établir une théorie de la création de l'Univers sur des bases philosophiques ou religieuses.
La différence entre ces deux définitions n'empêche pas nombre de physiciens d'avoir une conception finaliste de l'univers (voir à ce sujet le principe anthropique).
Si l'on veut faire correspondre le mouvement des galaxies avec les lois physiques telles qu'on les conçoit actuellement, on peut considérer que l'on n'accède par l'expérience qu'à une faible partie de la matière de l'Univers1, le reste se composant de matière noire.
Par ailleurs, pour expliquer l'accélération de l'expansion de l'Univers, il faut également introduire le concept d'énergie sombre.
Plusieurs modèles alternatifs ont été proposés pour faire correspondre les équations et nos observations en prenant d'autres approches.
Sciences De L'Univers.
Bien qu'en principe l'Univers regroupe tout ce qui existe, les sciences de l'Univers désignent en pratique les disciplines scientifiques qui étudient ce qui est extérieur à la Terrea.
Les Différentes Branches Astronomie Astrophysique Cosmologie Les Objets De L'Univers Comète Galaxie d'Andromède Petit Nuage de Magellan Grand Nuage de Magellan Système solaire Voie lactée Exoplanètes Science Sciences de la Terre Projet:Astronomie
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