De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
10/02/2018 - 14:29
Pita  Taufatafoua fait sensation aux JO. d'hiver !


                                                                            
                                                                       
                                     Même pas froid  ! 
Le sportif Pita Taufatofua, porte-drapeau des Tonga, lors de la cérémonie d’ouverture des JO-2018 à Pyeongchang, a bravé les
températures glaciales de Corée du Sud pour défiler torse nu huilé, vendredi soir.  
 
10/02/2018 - 12:55
10/02/2018 - 12:54
MERCI Victoria,cela à marché. Merci beaucoup j'avais osé de faire comme cela.
10/02/2018 - 10:21
Bonjour ,

Mayyan1

Mimit 29 vous pose une question sur pps ; pouvez vous , s.v.p. , lui répondre ;

merci
10/02/2018 - 10:20
Venise, dans un superbe voyage en couleurs et en musiques!   

 
Voila Venise et elle est très belle.
Vous allez pouvoir la visiter avec ce diaporama-vidéo qui vous fera voir les plus beaux lieux de cette légendaire ville qui semble être bâtie sur l’eau, puisqu’elle n’a pas de routes, juste des canaux qui relie les 100petites îles de cette partie de l’Italie.
Très beau voyage avec quelques personnages du carnaval de Venise qui se tient actuellement.



Des fleurs d’Italie et une chanson pour une journée agréable et douce

 
L’Italie nous accueille à son tour mais on ne la découvre qu’à travers les fleurs et quelques rares paysages qu’on aimerait bien visiter.
Cette vidéo-diaporama est un assemblage de clichés de fleurs, mais aussi une chanson qui plaira  aux fans de la chanson.
A découvrir avec ces séquences,  le plein écran serait plus apprécié!




10/02/2018 - 10:16
 Des enfants, des effets et de la musique dans une présentation très amusante.
 

 
Replongez dans l’enfance avec cette vidéo-diaporama.
Elle est très amusante et elle sera plus intéressante avec des enfants qui partagent ce moment de visionnage.
Il y ‘a des clichés d’enfants, des effets et une drôle de musique très amusante.
Oui, drôle et amusante.
Un moment de détente pour toutes les âmes à la recherche de la paix!


10/02/2018 - 09:44
Le Vieux Marseille.

Derrière l'Hôtel de Ville se développe le coeur historique de la Ville appelé "Le Panier".
L'origine du nom viendrait de l'enseigne d'une auberge "Le Logis du Panier", installée au XVIIe siècle. Depuis 1983, la ville de Marseille, aidée de la Commission Européenne, a entrepris la réhabilitation du quartier.

La Maison Diamantée.


Édifiée par de riches commanditaires d’origine espagnole et italienne, la Maison Diamantée sera habitée par de grandes familles marseillaises, puis sera morcelée à la Révolution. Parfait exemple du maniérisme en Provence, la Maison Diamantée est exceptionnelle par le décor de bossage en pointe de diamants de sa façade et les décorations de son escalier à caissons, unique à Marseille. Classée Monument Historique en 1925, elleest sauvée des destructions de 1943, et a abrité le Musée du Vieux Marseille de 1967 à 2009.

Le Pavillon Daviel.

Le Palais de Justice de Marseille a été édifié au milieu du XVIIIe siècle par les frères Gérard, architectes marseillais, sur l’emplacement d’une ancienne Maison de Justice du XVIe siècle. Le bâtiment est construit en pierre rose des carrières de la Couronne et présente une façade
relativement étroite mais harmonieuse, typique des maisons provençales de cette époque. L’avant-corps est couronné d’un fronton allégorique, l’étage noble est orné d’un splendide balcon en ferronnerie typique de l’art des artisans marseillais du XVIIIe siècle. C’est depuis ce balcon
qu’étaient rendues les sentences révolutionnaires, en contrebas, la guillotine était dressée sur la place. Le bâtiment est actuellement occupé par l'annexe de l’Hôtel de Ville.

La Grand’Rue.
Elle marque le tracé de la principale voie antique qui est encore visible dans le Port Antique et que l’on peut suivre jusqu’à la Place de Lenche, ancienne Agora. Le niveau de la voie grecque se situe à 3 mètres en dessous du niveau de la rue actuelle. Au VIe siècle avant J.C elle était déjà très animée puisqu’elle desservait les principaux édifices publics et accueillait des marchés et des activités commerciales et artisanales..

L’Hôtel de Cabre.

Cet hôtel particulier construit en 1535 dans un curieux mélange de styles gothique et Renaissance pour Louis Cabre, négociant et consul, est l’une des maisons les plus anciennes de Marseille. Lors de la destruction des vieux quartiers en 1943, elle a été épargnée mais pour des raisons
d’urbanisme, elle a été déplacée d’un seul bloc sur vérins et tournée à 90° pour être dans l’alignement des rues actuelles. Les façades sont classées au titre des Monuments Historiques depuis 1941.


L’Hôtel Dieu.

L’hôpital du Saint-Esprit, créé au XIIe siècle, a été agrandi au cours des siècles et regroupé avec l’hôpital Saint-Jacques de Galice au XVIe siècle. Il devient Hôtel Dieu un siècle plus tard. Sa reconstruction estalors entreprise par un neveu du célèbre architecte Hardouin-Mansart,
son vaste projet n’a été que partiellement réalisé et c’est sous le Second Empire que l’Hôtel Dieu adopte sa physionomie actuelle. En effet,comme dans tous les édifices hospitaliers du XVIIIe siècle, le bâtiment était fermé sur 4 côtés et partagé en deux cours principales, une pour les femmes et une pour les hommes. L’architecte Blanchet décide d’ouvrir l’hôpital au sud et termine les deux ailes par des pavillons. Les trois étages sont ouverts par des galeries de circulation, typiques aussi de l’architecture hospitalière. Les escaliers sont l’oeuvre de Joseph-Esprit Brun.
Il abrite depuis 2013 l’hôtel 5 étoiles Intercontinental.
Le buste en bronze représentant Jacques Daviel rappelle qu’il a réalisé pour la première fois en 1745, à l’Hôtel Dieu, l’opération de la cataracte par extraction du cristallin. Il sera ainsi nommé oculiste du roi Louis XV.

L’Eglise des Accoules.

Depuis le XIe siècle s’élève ici une petite église paroissiale dédiée à Notre-Dame des Accoules. L’église a été reconstruite au XIIIe siècle ainsi que le clocher de la Tour Sauveterre qui sonnait le tocsin et convoquait le Conseil de Ville. L’ensemble a été partiellement rasé en 1794 et l’église a été rebâtie sur plan centré peu avant la Monarchie deJuillet. Sur l’emplacement de l’église primitive se trouve un golgotha en pierre « en expiation de tous les crimes commis pendant la Révolution». C’est également au cours du XIXe siècle qu’a été remaniée la flèche du clocher.

Le Préau des Accoules.
Au début du XVIIe siècle, les Jésuites créent l’église de Sainte-Croix et un grand collège où la jeunesse marseillaise qui se destine au négoce est formée aux langues orientales : le Collège des quatre langues.En 1701, sur décision de Louis XIV et conformément à ses volontés de développer le commerce à Marseille, l’école devient Observatoire Royal.En 1863, l’observatoire devenu trop petit est transféré sur le plateau de Longchamp.
Depuis une école s’est installée dans les anciens locaux de l’observatoire tandis que la salle de l’Académie des Belles Lettres, Sciences et Arts, réalisée par Joseph-Esprit Brun abrite aujourd’hui le Préau des Accoules, musée entièrement dédié aux enfants.

La Place de Lenche.

La place de Lenche est située sur l’ancienne agora grecque depuis laquelle les citoyens pouvaient surveiller les activités du port. A l’origine la place était fermée des quatre côtés et c’est au sud qu’au Ve siècle Saint-Cassien fonda le couvent des religieuses de Saint-Sauveur faisant ainsi face au monastère de Saint-Victor sur l’autre rive du port.
Sous la place se trouvent les caves Saint-Sauveur qui seraient en fait les citernes de la ville grecque du IIIe siècle avant J.C, classées MonumentHistorique en 1840, elles sont considérées comme un monument antique intact mais demeurent inacessibles.??Le nom de Lenche vient d’une famille corse, Lincio, qui a, au XVIe siècle, marqué fortement la place en y installant un atelier de corail, des magasins et en se faisant construire un somptueux hôtel particulier.
La partie Sud de la place a été démolie selon les plans des autorités allemandes durant l’hiver 1943 et des immeubles ont été reconstruits  en contre bas dans les années 1950.
Sans être au centre des destructions des vieux quartiers pendant la deuxième guerre mondiale, la partie sud de la place a été démolie selon les plans des autorités allemandes durant l’hiver 1943 et des immeubles ont été reconstruits par les architectes du béton. Des échappées visuelles
vers le Vieux-Port ont été ménagées et partout des sculptures témoignent de la vocation portuaire du quartier.


10/02/2018 - 09:36
En 1895 Louis et Auguste Lumière inventent le Cinématographe.

 Ils tournent parmi les tout premiers films de l’histoire du cinéma et rendent possible cette expérience inédite et
collective :

voir un film sur grand écran pour partager rires, larmes et découvrir l’inconnu…

Mise en scène, sujets, genres, travelling ou remake, ils inventent aussi l’art de filmer.
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Si l’invention du Cinématographe a beaucoup participé à  la réputation
de la famille Lumière,

ceux-ci doivent avant tout être considérés comme des industriels  :


Leur usine de Lyon-Monplaisir se déploie en 1913 sur 4 hectares

et emploie 800 salariés qui produisent plaques de verre, papiers sensibles et produits photochimiques.

Appareils, accessoires et pellicules photographiques complèteront par la suite cette production.

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Le cinéma est à la croisée des chemins d’une série de découvertes dans des disciplines aussi diverses   :

- que l’optique,

- la perception du mouvement,

- la mécanique

- et la chimie. 


Au cours du 19e siècle, tout s’accélère et chaque invention vient enrichir un fonds commun de réflexion.

Le Cinématographe constitue ainsi un point d’aboutissement, à la confluence de tous les travaux précédents.

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Le prototype n° 1 du Cinématographe, datant de 1894 :

témoigne des premiers travaux de Louis Lumière

- sur l’image animée et de ses essais sur des bandes de papier sensibilisé.

Déjà, le format est le 35 mm et l’entraînement de la pellicule se fait de façon intermittente.

Le Cinématographe Lumière produit en série est une véritable usine à images autonome, réunissant dans un appareil unique
pesant moins de 5 kg,

les fonctions de caméra, de tireuse de copies et de projecteur.

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Photographe aux origines modestes, Antoine a su se reconvertir en industriel de la photographie.

Il pressent que l’arrivée des plaques sèches va mettre la photographie à la portée de tous.

C’est à ce moment qu’interviendront ses deux fils, liés par un serment adolescent de travailler toujours ensemble.

La complémentarité de ces trois fortes personnalités conduira la famille
vers le succès.
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En 1895, les comptes rendus élogieux des projections de démonstration du Cinématographe suscitent nombre de propositions d’achat.

Mais les frères Lumière préfèrent conserver la maîtrise de son exploitation et mettent en place
un système de distribution contrôlée.

Le Cinématographe Lumière s’implante simultanément en France et à l’étranger
et
l’exploitation se mêle opportunément à la production grâce aux opérateurs envoyés sur place.

Les images tournées dans le monde entier engendreront chez les spectateurs un sentiment de proximité fulgurante et de rétrécissement du  globe terrestre.

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En 1895, Antoine Lumière se charge de l’exploitation commerciale du Cinématographe. 

Il loue à Paris une salle de billard, le Salon Indien, dans le sous-sol du Grand Café. 

La séance de l’après-midi est réservée aux invités, subjugués.

Certains sont prêts à acheter l’appareil très cher.

La séance du soir, publique et payante, n’est pas un franc succès
mais le bouche-à-oreille répand rapidement la nouvelle et

les séances seront multipliées pour répondre à la demande.
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Pour l’Exposition universelle de Paris en 1900,

Louis Lumière propose des projections du Cinématographe sur un écran monumental.

Il a, à cet effet, conçu un nouvel appareil au format large, utilisant une pellicule de 75 mm.

Une dizaine de films sont réalisés, mais la mise au point du projecteur n’aboutit pas à temps et ne donne
lieu à aucune forme d’exploitation.

C’est donc avec le Cinématographe 35 mm que sont réalisées avec succès les projections sur écran géant.
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En 1903, le brevet pour un dispositif visant à « l’obtention de photographies en couleurs » est déposé, mais sa commercialisation, sous le nom de plaques Autochromes, ne commencera que quatre ans plus tard.

Louis Lumière parlera de « sept années d’efforts ininterrompus » pour mettre au point puis aboutir à la fabrication industrielle de ce procédé, qu’il considère comme son chef-d’œuvre.

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En 1900, Louis Lumière dépose le brevet du Photorama, premier procédé de photographie panoramique permettant la projection dans une rotonde, d’un cliché unique représentant un tour d’horizon,
soit 360°.
 De février 1902 jusqu’au printemps 1903, plus de 600 photographies panoramiques sont réalisées et projetées en public à Paris, dans une salle de 20 mètres de diamètre.

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Entre 1894 et 1914, s’écrit la belle histoire des origines du cinéma.

 Une histoire de pionniers, d’artistes, d’industriels et d’aventuriers dont
Louis et Auguste Lumière, Georges Méliès, Charles Pathé et Léon Gaumont se partagent le prestige.


 La France dominera le cinéma international jusqu’à la Première Guerre mondiale.
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La 3D au cinéma ne date pas des années 2000 puisqu’en 1935,
Louis Lumière présente déjà un procédé de cinéma en relief.


Il s’agit d’un remake 3D de l’Arrivée du train en gare de La Ciotat,
qui se regarde munis de lunettes anaglyphes à verres bleus et jaunes.

Une exploitation commerciale commence mais l’expérience reste sans réel
lendemain.

Louis Lumière déclare « tant que le relief nécessitera des lunettes, il ne pourra pas se répandre ».
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Depuis sa création, le cinéma a connu de nombreuses évolutions techniques.

Le passage de l’argentique au numérique a considérablement transformé la production mais également la projection et les modes de consommation des images.

 Cette mutation affecte le cinéma dans son essence et pose la question du devenir de l’expérience collective de la salle de cinéma face à l’expérience individuelle sur
smartphone.
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Ville d’invention du Cinématographe,
Lyon devient naturellement le sujet des premiers films.

 De mars à juin 1895, tous les films tournés par les Lumière le sont exclusivement à Lyon
.

 Au final ce sont 200 vues qui y sont tournées, dont une trentaine qui montre avec précision la ville et son architecture.
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Les films réalisés par les frères Lumière.
Projetés dans leurs intégralités, ces chefs-d’œuvre mondialement célèbres ou « pépites » méconnues, sont les témoignages uniques d’une époque.

Présenté à la Berlinale 2012, ce film documentaire traite du passage de la pellicule au numérique vu par les réalisateurs et chefs opérateurs majeurs de l’Histoire du cinéma.

Keanu Reeves, également producteur du film, devient pour l’occasion
l’interviewer de Martin Scorsese, James Cameron ou encore David Lynch.

Projection du documentaire : Lumière, au début et pour toujours réalisé en 2015 par l’Institut Lumière.


Exposition au musée de la Confluence ( jusqu'au  25 février 2018)









George Melies





Léon Gaumont





Charles Pathé


10/02/2018 - 09:08
MARSEILLE, MA VILLE.







Notre-Dame de la Garde « La Bonne Mère », figure emblématique de la Ville, veille sur les marins, les pêcheurs et tous les Marseillais.
La colline de la Garde (154 m) a toujours été un poste d'observation. Au XVe siècle une ordonnance de Charles II d'Anjou inscrit la colline de laGarde dans la liste des relais. Ce système de vigie va s'améliorer au fil des siècles et la fonction a perduré sur la colline jusqu'en 1978.
Pour protéger Marseille des armées de Charles Quint par le Connétable de Bourbon, François Ier fait construire un fort en 1524, qui constitue avec le Château d'If, une défense maritime dont la ville était dépourvue. De nos jours, on peut encore constater la présence du fort servant d'assise à la basilique actuelle et deviner au-dessus du porche nord l'emblème du Roi : la Salamandre.?
Plusieurs chapelles ont précédé sa construction. Ainsi la colline de la Garde a dès lors une triple vocation : un poste de vigie, un ouvrage militaire, un lieu de culte et de pèlerinage.
Au milieu du XIXe siècle, le sanctuaire s’avère être trop petit pour les nombreux pèlerins qui le visitent, Monseigneur de Mazenod décide d'y construire une grande basilique Notre-Dame de la Garde.
La première pierre est posée le 11 septembre 1853, les travaux sont confiés à l'architecte Henry Espérandieu et la consécration a lieu le 5 juin 1864.
De style romano-byzantin : coupoles, polychromie des pierres, ors, mosaïques, la basilique répond parfaitement au programme des grandes constructions entreprises à Marseille sous Napoléon III. L'édifice se compose de deux parties ; une église basse, crypte, voûtée et une église haute, le sanctuaire, consacrée à la Vierge (fête et pèlerinage le 15 août). La présence de nombreux ex-voto exposés sur les murs témoigne de la foi populaire.
Le campanile supporte une statue monumentale de la Vierge. Elle a été réalisée par le sculpteur Lequesne, exécutée en bronze doré à la feuilled'or par les ateliers Christofle à Paris, et mise en place en septembre1870.

Le musée d’art sacré de Notre-Dame de la Garde, ouvert en 2013, retrace l’histoire de la basilique.





 
Quand on arrive à Marseille en France, elle domine la ville depuis la colline boisée.
Difficile de manquer la Basilique Notre-Dame de la Garde.
Elle jette aux Quatre points cardinaux, que tous appellent ici BONNE MERE.
Le point de vue panoramique depuis le parvis est époustouflant.

 
10/02/2018 - 08:59

LE CANAL DES MOINES (CORRÈZE)
 

 
Le canal des moines est un canal d'irrigation situé sur la commune d'Aubazines, en Corrèze, construit par les moines de l'abbaye d'Obazine au XIIe siècle.
Il fait l'objet de protections au titre des monuments historiques.
Puisant les eaux du Coiroux en amont d'Aubazines, il longe le flanc de la vallée jusqu'à amener ses eaux au niveau du village.
Les moines ont dû par endroits entailler la roche (brèche Saint-Étienne, baignoires, bretèches) et soutenir l'installation par des murs de soutènement afin de faire passer les eaux ainsi déviées.
Le canal part d'un lieu reculé en amont du village où est aménagée une déviation des eaux du Coiroux.
A l'endroit de cette prise d'eau se trouvaient un moulin et un vivier qui ont disparu.
Le canal longe le flanc de la montagne jusqu'au bourg, avec une pente de 0,5%, laissant en aval le ruisseau se transformer en torrent.
Pour mener à bien cette construction, les moines ont dû par endroits contourner ou entailler la roche en granit (brèche Saint-Étienne, baignoires, bretèches) et soutenir l'installation par des murs de soutènement épais et étanches afin de faire passer les eaux ainsi déviées à une quarantaine de mètres au-dessus du précipice.
Une légende raconte que la construction du canal fut arrêtée par la présence d'un énorme bloc de granit.
Étienne leva alors la main, bénit le rocher qui fut alors tranché et une brèche apparut.