Extreme Jobs : Inspecteur des lignes à Haute Tension.
Dans cette vidéo on peut voir le travail sur des lignes et la maintenance des équipements électriques à haute tension.
Un inspecteur de ligne portant un costume de Faraday peut travailler sur des lignes à haute puissance sous tension, il est transporté vers les lignes dans un hélicoptère et avec son costume, il peut même ramper sur les lignes.
Étoiles Filantes : Pluie D'êta-Aquarides Dans La Nuit Du 5 Mai !
Il tombera jusqu'à 55 météores par heure ! Pour ne pas louper ce spectacle grandiose, voici tout ce qu'il faut savoir et retenir ! Par : Axel Leclercq - 3 mai 2016
Les météores sont de retour… et vont nous offrir un spectacle somptueux ! Dans la nuit de jeudi à vendredi, lancées à toute vitesse, plusieurs centaines d’êta-Aquarides vont en effet s’abattre sur notre atmosphère et laisser derrière elles autant de magnifiques traînées lumineuses ! Pour vous préparer à cette nuit si spéciale, voici ce qu’il fait savoir.
Les êta-Aquarides, c’est quoi ?Cet essaim d’étoiles filantes associé au passage de la comète de Halley été observé pour la première fois en l’an 401. Mais il a fallu attendre 1399 ans pour que, en 1870, un certain L. Tupman les découvre de façon très officielle !
A quelle vitesse progressent-elles ?Les êta-Aquarides sont particulièrement rapides. Elles filent à 66 kilomètres par seconde ! En verra-ton beaucoup ?Oh oui ! Il en passera jusqu’à 55 par heure et, par chance, nous pourrons facilement les observer : l’absence de la Lune garantira, cette nuit-là, des conditions optimales (à condition que les nuages ne s’en mêlent pas!)
A quelle heure les observer ?Comme pour la plupart des pluies d’étoiles filantes, le moment idéal est juste avant l’aube. Dans le cas présent (et pour la France) le meilleur moment sera très probablement vendredi matin… à 3h45 ! Pourquoi si tôt ? Parce que, dès 4h15, les premières lueurs du jour apparaîtront déjà (et gâcheront le spectacle). Où regarder ?Les pluies d’êta-Aquarides sont visibles de n’importe quel endroit dans le monde. Juste un conseil : préférez les zones isolées et hors de portée des points de lumière artificielle. Vers où regarder ?Idéalement, vers le sud-est !
Et si on n’est pas disponible cette nuit-là ?Le 6 mai à 3h45 représente l’apogée de la pluie d’êta-Aquarides. Mais, 24 heures avant et 24 heures après cette date, d’autres étoiles filantes pourraient tomber en nombre. D’ailleurs l’essaim ne cessera totalement son activité que le 28 mai… Après un réveil si matinal, la journée du vendredi sera sans doute un peu longue pour tout le monde… Mais on la vivra avec des tas d’étoiles dans les yeux… et on aura tout le week-end pour se reposer ! Vive les êta-Aquarides !
Des Légumes Produits & Vendus Sur Un Toit En Plein Paris !
Ca sera possible en 2017 dans le quartier Reuilly-Diderot à Paris. La société Toit Tout Vert va implanter la première serre urbaine à vocation commerciale. Par : Denis Gentile -3 mai 2016
La première serre maraîchère urbaine à vocation commerciale en France sera opérationnelle au début de l’année prochaine à Paris. Des fruits et légumes de saison seront cultivés pour être vendus et distribués aux habitants du quartier. L’équipe de Toit Tout Vert va construire une serre de 1 500 m2 sur la toiture d’une teinturerie industrielle, rue de Charenton dans le XIIe arrondissement de Paris.
Un panier avec des produits de la serre sera livré, une fois par semaine, à 1 500 clients abonnés, dans un rayon d’un kilomètre autour de l’équipement. Philippe Le Borgne, l’un des fondateurs de Toit tout vert, insiste sur la qualité des produits : « Pas d’OGM et cultivées sans pesticide, les semences seront choisies pour leur goût et leur qualité nutritionnelle, non pour leur calibrage, leur couleur ou encore leur capacité à résister au transport sur de longues distances. Cueillis à maturité, nos produits seront livrés par tricycle électrique dans la journée. Il n’y aura ni stockage ni réfrigération. » Des produits de qualité sont aussi des produits sains. En raison de la pollution, n’y a-t-il pas un risque de faire pousser des légumes en plein Paris ? Les responsables se veulent rassurants à ce sujet :
« Pas de soucis à se faire. Les teneurs en polluants de nos légumes seront sous les seuils détectables. »
Fraises, salades, tomates, concombres, courgettes, champignons et plantes aromatiques seront cultivés en hydroponie. C’est une technique de maraîchage hors-sol : les plantes poussent sur une fine couche de substrat inerte. Ce qui permet de réduire la charge sur le toit et de démultiplier la surface cultivable en réalisant des plantations sur plusieurs niveaux.
Selon Philippe le Borgne, les fruits et légumes cultivés consommeront dix fois moins d’eau que les cultures conventionnelles en plein champ. L’eau, qui ne sera pas utilisée par les plantes, sera récupérée et réutilisée. La serre sera partiellement chauffée par dissipation de la chaleur venant de l’immeuble. Vente directe aux consommateurs, optimisation des techniques de production, factures d’eau et de chauffage réduites sont autant d’avantages qui permettront de limiter les coûts et de proposer des produits à un prix raisonnable. Aménager une serre sur le toit d’un immeuble était considéré comme la construction d’un étage supplémentaire. Pour éviter ce problème, la Mairie de Paris a adopté un nouveau plan local d’urbanisme (PLU). La serre de Toit Tout Vert pourra être construite en étant considérée comme un simple équipement technique. Ce changement va permettre de développer plus facilement de nouveaux projets de ce genre. La semaine dernière, nous mettions en avant le projet de la RATP qui va végétaliser les murs et les toits de ses bureaux parisiens. Le retour de l’agriculture à Paris se confirme.
14 Douceurs Venues D'ailleurs Pour Les Amoureux De L'espace...
Quand l'espace inspire les amateurs de plaisirs sucrés, ça donne une série de 14 photos qui mettent l'eau à la bouche et des étoiles dans les yeux ! Par : Harold Paris -3 mai 2016
Vous avez la tête dans les étoiles et vous appréciez aussi les petites douceurs ? Alors, on a trouvé exactement ce qu’il vous faut ! Quand on regarde les vidéos que les astronautes publient depuis la station spatiale internationale, on peut voir qu’espace et bons petits plats ne font pas forcément bon ménage. À moins d’être fan des sachets de nourriture déshydratée, c’est : peut mieux faire. Heureusement, on a déniché pour vous cette série de 14 images de jolies douceurs. De quoi réconcilier espace et friandises. En espérant que celles-ci pourront inspirer les pâtissiers en herbe et autres amateurs de douceurs venues d’ailleurs. Pour le plaisir des yeux et des papilles, c’est parti !
Publié Le 03 Mai 2016 | Mis À Jour Le 04 Mai 2016... Canada: Fort McMurray: Toute La Ville Évacuée, L'armée Appelée En Renfort
Sur cette photo provenant d'une station de radio locale, la fumée assombrit le ciel alors que des centaines de voiture font la file à Fort McMurray, où la moitié de la ville fait l'objet d'une ordonnance d'évacuation... PC Marc BRAIBANT La Presse Canadienne
Un immense incendie de forêt qui brûle près de Fort McMurray, dans le nord de l'Alberta, a détruit 80% des maisons dans un quartier et causé de lourds dégâts dans plusieurs autres. L'Alberta a demandé de l'aide au gouvernement canadien à laquelle le ministre de la Défense a acquiescé.
> Appel à tous : [url=mailtoVous">. Le ministre de la Défense, Harjit Singh Sajjan, a confirmé que le gouvernement de la province albertaine a demandé mardi soir l'assistance de l'armée canadienne. Celui-ci a accepté de mettre à la disposition de la province toutes les ressources nécessaires.
La municipalité régionale de Wood Buffalo a annoncé au cours des dernières heures que le quartier de Beacon Hill, dans le sud de la ville, a été le plus fortement endommagé par les flammes qui ont envahi la ville mardi après-midi, forçant l'évacuation de la totalité des 80 000 habitants. Une dizaine de maisons mobiles ont été détruites dans le quartier de Timberlea, et on fait état de dégâts importants dans les banlieues d'Abasand et de Waterways. Des maisons ont aussi été rasées au sol dans quatre autres quartiers, mais on ne rapporte pour le moment aucune victime. Bernie Schmitte, un représentant de la gestion des incendies, a expliqué tard mardi lors d'une conférence téléphonique avec les journalistes que le pire de l'incendie n'est pas encore passé, puisque du temps chaud, une humidité faible et des vents puissants sont prévus pour mercredi. Les pompiers tentent de protéger les principales infrastructures de la ville, y compris l'autoroute 63 - le seul lien vers la ville depuis le sud - et le seul pont qui enjambe la rivière Athabasca. Le chef des pompiers, Darby Allen, a demandé l'aide de l'armée et des renforts militaires sont attendus d'ici quelques jours. La première ministre de l'Alberta, Rachel Notley, a indiqué que la province faisait tout en son pouvoir pour assurer la sécurité des ses citoyens. Elle a dit envisager la possibilité de transporter par avion les résidants qui éprouveraient des problèmes de santé. Elle a incité les habitants à suivre les instructions des autorités en évacuant leurs maisons. Le chef de l'Opposition en Alberta, Brian Jean, a affirmé en entrevue à La Presse Canadienne que la plupart du centre-ville était en train d'être détruit par les flammes. La maison que M. Jean habitait depuis dix ans a été détruite et il croit que la maison de son enfance l'a probablement aussi été. Les équipes d'incendie semblaient avoir fait des progrès pour maîtriser l'incendie, qui a pris naissance la fin de semaine dernière, mais les perspectives se sont assombries rapidement, mardi. En après-midi, les résidants de trois quartiers ont dû quitter immédiatement leurs résidences. Le temps chaud et sec a transformé la forêt boréale en véritable poudrière. Le degré de danger des incendies de forêt pour les zones boisées de l'Alberta et de la Saskatchewan voisine va de « élevé » à « extrême ».
Le gouvernement albertain a interdit tous les feux en plein air - sauf dans les zones réservées des campings - en raison de la menace. Environ 30 incendies brûlaient dans la province. L'Alberta prévoyait envoyer plus de renforts à Fort McMurray, dont 100 pompiers supplémentaires et un hélicoptère géant qui peut larguer plus de 2000 litres d'eau à la fois. Les équipes d'incendies s'affairaient à couper une série d'arbres sur le chemin du brasier. Des avions laissaient tomber des produits ignifuges alors que d'autres arrosaient d'eau la zone touchée. Fort McMurray est la capitale des sables bitumineux de l'Alberta. Elle compte une population de 61 000 habitants, selon le recensement de 2011. Les autorités surveillaient attentivement la situation en Saskatchewan, où une douzaine d'incendies étaient actifs dans des régions éloignées. L'année dernière, les incendies de forêt en Saskatchewan avaient forcé l'évacuation de 13 000 résidants et ravagé 17 000 kilomètres carrés de la forêt. Des Québécois sont frappés de plein fouet par les feux de forêt catastrophiques qui forcent l'évacuation de Fort McMurray, depuis hier.
La ville de quelque 60 000 habitants, très liée à l'industrie pétrolière, s'est entièrement vidée dans les dernières heures devant l'avancée des flammes. « Je vis dans le dernier quartier à être évacué et je suis réaliste, a expliqué Renée Plante à La Presse. Je crains perdre la maison demain, mercredi. D'ailleurs, des quartiers ont déjà brûlé. » Mme Plante s'est réfugiée dans un camp de travailleurs à 40 km de Fort Mc Murray. D'autres ont préféré quitter la région. C'est le cas de Valérie Laprise, partie dans les environs de 22 h vers Edmonton. « La situation à [sic] vraiment changé rapidement, le matin le ciel était bleu presque pas de fumée et en fin d'après midi c'était l'apocalypse », a-t-elle écrit dans un courriel. « On ne sait pas si notre maison est sauve. »
Catherine Gagnon, elle, a été dirigée vers une réserve autochtone au nord de la ville. « Nous vivons dans le quartier Abasand et apparemment, la moitié des maisons y ont brûlé. Nous gardons espoir que la nôtre n'en fasse pas partie », a-t-elle espéré. (Sherbrooke) «Quand on a quitté la ville, on voyait que notre quartier était sur le point de prendre en feu.»
Camille Bégin, une Sherbrookoise vivant en Fort McMurray depuis l'hiver dernier, a vu de près l'immense feu de forêt qui menace le nord de l'Alberta depuis mardi. «Nous avons dû évacuer en 15 minutes. Mardi matin, nous avons été avertis de nous tenir sur nos gardes, mais une heure plus tard nous devions évacuer d'urgence», raconte la jeune femme partie demeurer chez son copain en janvier dernier. «C'était le temps qu'on parte. Ça devenait dangereux. Nous ne savons pas ce qui va arriver avec notre maison. Les vents étaient forts et en direction de notre quartier.» Camille Bégin fait partie des milliers de personnes évacuées en raison de l'immense feu de forêt qui fait rage dans ce secteur de l'Alberta. Lors de sa fuite, elle a pu voir des hélicoptères arroser un hôpital menacé par les flammes pour laisser le temps d'en sortir les malades. Ceux-ci étaient évacués en autobus. «Nous avons pris un autoroute vers le nord», ajoute-t-elle lors d'un entretien téléphonique. «Nous n'avons avancé que de 500 mètres en deux heures.» «Heureusement, nous sommes sains et saufs. »
Attention à ces numéros de renseignement téléphonique qui peuvent vous coûter (très) cher
Numéro surtaxé, mise en relation directe avec le client… Les astuces de certains services de renseignement téléphonique sont nombreuses afin de faire augmenter la note. Explications.
Dans un article publié lundi, la revue 60 millions de consommateurs pointe du doigt les tarifs des services de renseignement téléphonique, dont certains sont véritablement exorbitants. Preuve en est avec les nombreuses plaintes de consommateurs piégés reçues par le magazine. Les numéros pour ce type de services commencent toujours par le 118. Et même le leader du marché, le 118 218, pratique des tarifs très élevés. "Pour à peine 2 minutes et 40 secondes au bout du fil, un de noslecteurs s’étonne d’avoir payé 10,80 euros" en appelant ce numéro, rapporte la revue. 87 euros pour 33 minutes d’appel Et les tarifs sont parfois encore plus démesurés. En cause ? La mise en relation demandée par les clients sans savoir que le numéro surtaxé continue lorsqu’on leur transmet directement le correspondant qu’ils cherchaient à joindre.
"La surtaxe continue à s’appliquer si vous demandez la mise en relation avec le numéro recherché. Les consommateurs sont rarement conscients de ce piège", précise la revue. Ainsi, un consommateur dit avoir payé 87 euros pour 33 minutes d’appel ! Pour ne pas vous faire avoir, le magazine rappelle que vous pouvez prendre connaissance des tarifs de ces numéros en appuyant sur la touche "1" ou "#" lorsque vous les appelez.
33 Lions Rescapés Du Cirque Retrouvent La Brousse Africaine...
33 lions sauvés de cirques illégaux au Pérou et en Colombie se sont envolés ce dimanche 1er mai pour rejoindre un sanctuaire d'Afrique du Sud. Par : Harold Paris - 4 mai 2016
Depuis 2011 pour le Pérou, et 2013 pour la Colombie, l’utilisation d’animaux sauvages dans les cirques a été complètement interdite. Une décision courageuse que l’on ne peut que saluer. Pourtant, lors de ces dernières années, faire appliquer la loi n’a pas été une mince affaire pour ces deux pays. Heureusement, des associations apportent leur aide et contribuent au sauvetage des animaux sauvages pour les retirer des griffes de ces cirques hors-la-loi. Dernier coup d’éclat ce dimanche 1er mai, l’association Animal Defenders International (ADI) a pu récupérer et rapatrier 33 lions détenus dans des cirques illégaux au Pérou (24 lions) et en Colombie (9 lions). Ces animaux sauvages, transportés à bord d’un avion spécialement affrété pour eux, ont pu rejoindre le sanctuaire Emoya Big Cat Sanctuary à Waalwater en Afrique du Sud.
Crédit photo : ADI / 33lions Crédit photo : ADI / 33lionsJan Creamer, le Président de l’ADI, explique :
« Avant que l’ADI ne les sauve, ces félins n’avaient jamais senti l’herbe sous leurs pattes ou le soleil au dessus de leur tête. Depuis hier, ils sont dans la brousse africaine. »
Crédit photo : ADI / 33lionsUne opération qui n’a pas été de tout repos. En effet, si en Colombie, les cirques illégaux ont pu remettre leurs animaux volontairement, au Pérou,l’association a du intervenir conjointement avec les forces de l’ordre pour pouvoir récupérer les félins.
« C’est une mission importante qui nous permet d’éliminer la souffrance des animaux dans les cirques au Pérou et sauver de futures générations d’animaux. Ramener ces animaux à la maison a été à la fois épuisant et exaltant. »
Crédit photo : ADI / 33lionsCes 33 lions ont ensuite été rapatriés par avion vers l’Afrique du Sud, ce qui fait de ce vol la plus grande opération de transport de félins en captivité de l’histoire ! Animal Defenders International explique :
« Le coût du transfert est de 10 000$ par lion, le même prix que pour un passager qui voyage en 1ere classe sur un vol transatlantique. »
Crédit photo : ADI / 33lions Maltraités et mutilés (la plupart ont eu leurs griffes arrachées ou des dents cassées) par leurs anciens « propriétaires », ces félins ne pourront malheureusement pas être remis en liberté.
Crédit photo : ADI / 33lionsStérilisés, mâles et femelles seront dans un premier temps séparés avant de réapprendre à vivre en communauté. Néanmoins, ils disposent désormais d’un endroit à eux, confortable et à l’abris des maltraitances et autres horreurs de la vie en cirque.
Crédit photo : ADI / 33lions Une nouvelle vie pour ces 33 lions à qui l’on souhaite tout le meilleur. Et bravo à l’association Animal Defenders International pour ce travail remarquable !
Redécouvrez Paris à travers cette sublime vidéo. Elle vous transportera à toute vitesse dans ses moindres recoins.
.CLIC ICI......https://vimeo.com/156045670 Paris est une ville bien particulière. Elle possède une histoire riche et bourdonne de vie, elle attire des touristes venant de toute la planète pour parcourir ses monuments et ses rues. Tyler Fairbanks est l’un d’entre eux. Ce vidéaste et photographe new-yorkais a passé l’été dernier à Paris. Il en résulte un petit clip de deux minutes réalisé en hyperlapse tout à fait exceptionnel. Que l’on soit parisien ou non, il est des spectacles, des panoramas qui ne cessent de nous toucher. C’est le cas de cette visite dynamique de Paris. Un patchwork de tout ce qui est le plus remarquable dans la capitale, mélangé à de très vives couleurs qui donnent l’impression de vivre dans un autre univers enchanté. Une promenade à couper le souffle. Voilà une vidéo qu’on ne se lasse pas de regarder et qui donne une vision émerveillée de la Ville Lumière. Même si l’on fréquente ces quartiers tous les jours, on a envie nous aussi de les re-parcourir caméra en main.
Parcourez le Vietnam. ce pays à la nature préservée qui vit dans le respect de ses traditions
Entre traditions, richesse culturelle, paysages éblouissants et vie citadine, le Vietnam est un pays d’une beauté à couper le souffle.
Situé en Asie du Sud-Est, le Vietnam compte 92,7 millions d’habitants et est bordé par la Chine, le Laos et le Cambodge. Il est divisé en trois grandes régions appelées “Bô” : le Tonkin, l’Annam et le Cochinchine, dans lesquelles la religion dominante est le bouddhisme. Oscillant entre paysages éblouissants, traditions et vie citadine, le Vietnam est aujourd’hui un pays économiquement émergeant à la richesse culturelle impressionnante.
Riccardo Fasoli a eu la chance de visiter ce majestueux pays durant deux semaines, et c’est afin de nous faire partager son voyage qu’il a réalisé cette somptueuse vidéo baptisée “One Minute in Vietnam“. En un peu plus d’une minute, il nous emmène aux quatre coins de ce pays respectueux de ses traditions. Les images s’enchaînent rapidement et en un clin d’œil, nous passons d’un temple bouddhiste à des rizières, de plaines paisibles à l’effervescencede la vie citadine, de la rencontre d’animaux sauvages à celle de Vietnamiens continuant de vivre dans le respect de leur culture.
Cette vidéo est tout simplement magnifique… Elle nous fait parcourir les quatre coins du Vietnam à toute vitesse, tout en nous offrant un large aperçu de la richesse culturelle et des traditions de ce magnifique pays.
Dans cette vidéo on peut voir le travail sur des lignes et la maintenance des équipements électriques à haute tension.
Un inspecteur de ligne portant un costume de Faraday peut travailler sur des lignes à haute puissance sous tension,
il est transporté vers les lignes dans un hélicoptère et avec son costume, il peut même ramper sur les lignes.
Il tombera jusqu'à 55 météores par heure ! Pour ne pas louper ce spectacle
grandiose, voici tout ce qu'il faut savoir et retenir !
Par : Axel Leclercq - 3 mai 2016
Les météores sont de retour… et vont nous offrir un spectacle somptueux !
Dans la nuit de jeudi à vendredi, lancées à toute vitesse, plusieurs
centaines d’êta-Aquarides vont en effet s’abattre sur notre atmosphère
et laisser derrière elles autant de magnifiques traînées lumineuses !
Pour vous préparer à cette nuit si spéciale, voici ce qu’il fait savoir.
Les êta-Aquarides, c’est quoi ? Cet essaim d’étoiles filantes associé au passage de la comète de Halley été
observé pour la première fois en l’an 401. Mais il a fallu attendre
1399 ans pour que, en 1870, un certain L. Tupman les découvre de façon très officielle !
Crédit photo : Asim Patel / Wikipedia
A quelle vitesse progressent-elles ? Les êta-Aquarides sont particulièrement rapides.
Elles filent à 66 kilomètres par seconde !
En verra-ton beaucoup ? Oh oui ! Il en passera jusqu’à 55 par heure et, par chance, nous pourrons
facilement les observer : l’absence de la Lune garantira, cette nuit-là,
des conditions optimales (à condition que les nuages ne s’en mêlent pas!)
Source : Shutterstock
A quelle heure les observer ? Comme pour la plupart des pluies d’étoiles filantes, le moment idéal est
juste avant l’aube. Dans le cas présent (et pour la France) le meilleur
moment sera très probablement vendredi matin… à 3h45 ! Pourquoi si tôt ?
Parce que, dès 4h15, les premières lueurs du jour apparaîtront déjà (et gâcheront le spectacle).
Où regarder ? Les pluies d’êta-Aquarides sont visibles de n’importe quel endroit dans le
monde. Juste un conseil : préférez les zones isolées et hors de portée
des points de lumière artificielle.
Vers où regarder ? Idéalement, vers le sud-est !
Et si on n’est pas disponible cette nuit-là ? Le 6 mai à 3h45 représente l’apogée de la pluie d’êta-Aquarides.
Mais, 24 heures avant et 24 heures après cette date, d’autres étoiles filantes pourraient tomber en nombre.
D’ailleurs l’essaim ne cessera totalement son activité que le 28 mai…
Après un réveil si matinal, la journée du vendredi sera sans doute un peu longue pour tout le monde…
Mais on la vivra avec des tas d’étoiles dans les yeux… et on aura tout le week-end pour se reposer !
Vive les êta-Aquarides !
Ca sera possible en 2017 dans le quartier Reuilly-Diderot à Paris. La
société Toit Tout Vert va implanter la première serre urbaine à vocation
commerciale.
Par : Denis Gentile -3 mai 2016
La première serre maraîchère urbaine à vocation commerciale en France sera
opérationnelle au début de l’année prochaine à Paris. Des fruits et
légumes de saison seront cultivés pour être vendus et distribués aux
habitants du quartier.
L’équipe de Toit Tout Vert va construire une serre de 1 500 m2 sur la toiture d’une teinturerie
industrielle, rue de Charenton dans le XIIe arrondissement de Paris.
Crédit photo : Toit Tout Vert
Un panier avec des produits de la serre sera livré, une fois par
semaine, à 1 500 clients abonnés, dans un rayon d’un kilomètre autour de
l’équipement.
Philippe Le Borgne, l’un des fondateurs de Toit tout vert, insiste sur la qualité des produits :
« Pas d’OGM et cultivées sans pesticide, les semences seront choisies pour
leur goût et leur qualité nutritionnelle, non pour leur calibrage, leur
couleur ou encore leur capacité à résister au transport sur de longues
distances.
Cueillis à maturité, nos produits seront livrés par tricycle électrique dans la
journée. Il n’y aura ni stockage ni réfrigération. »
Des produits de qualité sont aussi des produits sains. En raison de la
pollution, n’y a-t-il pas un risque de faire pousser des légumes en
plein Paris ? Les responsables se veulent rassurants à ce sujet :
Fraises, salades, tomates, concombres, courgettes, champignons et plantes
aromatiques seront cultivés en hydroponie. C’est une technique de
maraîchage hors-sol : les plantes poussent sur une fine couche de
substrat inerte.
Ce qui permet de réduire la charge sur le toit et de démultiplier la
surface cultivable en réalisant des plantations sur plusieurs niveaux.
Crédit photo : Production Perig / Shutterstock
Selon Philippe le Borgne, les fruits et légumes cultivés consommeront dix
fois moins d’eau que les cultures conventionnelles en plein champ.
L’eau, qui ne sera pas utilisée par les plantes, sera récupérée et
réutilisée.
La serre sera partiellement chauffée par dissipation de la chaleur venant de l’immeuble.
Vente directe aux consommateurs, optimisation des techniques de production,
factures d’eau et de chauffage réduites sont autant d’avantages qui
permettront de limiter les coûts et de proposer des produits à un prix
raisonnable.
Aménager une serre sur le toit d’un immeuble était considéré comme la
construction d’un étage supplémentaire. Pour éviter ce problème, la
Mairie de Paris a adopté un nouveau plan local d’urbanisme (PLU).
La serre de Toit Tout Vert pourra être construite en étant considérée
comme un simple équipement technique. Ce changement va permettre de
développer plus facilement de nouveaux projets de ce genre.
La semaine dernière, nous mettions en avant le projet de la RATP qui va végétaliser les murs et
les toits de ses bureaux parisiens.
Le retour de l’agriculture à Paris se confirme.
Quand l'espace inspire les amateurs de plaisirs sucrés, ça donne une série de
14 photos qui mettent l'eau à la bouche et des étoiles dans les yeux !
Par : Harold Paris -3 mai 2016
Vous avez la tête dans les étoiles et vous appréciez aussi les petites
douceurs ? Alors, on a trouvé exactement ce qu’il vous faut !
Quand on regarde les vidéos que les astronautes publient depuis la station
spatiale internationale, on peut voir qu’espace et bons petits plats ne
font pas forcément bon ménage. À moins d’être fan des sachets de
nourriture déshydratée, c’est : peut mieux faire.
Heureusement, on a déniché pour vous cette série de 14 images de jolies douceurs. De quoi réconcilier espace et friandises.
En espérant que celles-ci pourront inspirer les pâtissiers en herbe et
autres amateurs de douceurs venues d’ailleurs. Pour le plaisir des yeux
et des papilles, c’est parti !
14 Sucettes système solaire et galactiques
Crédit photo : [url=https://ad.zanox.com/ppc/?30688037C97527843&zpar0=[[com]]&ulp=[/url]
Macarons venus d’ailleurs
Crédit photo : viagonnalike.tumblr.com
Jupiter & La Terre À Déguster
Crédit photo : Cakecrumbs
Aurores Boréales
Crédit photo : Oakleaf Cakes
Gateau Hubble
Crédit photo : Inconnu
Cupcakes Galactiques
Crédit photo : cloudykitchen
La Grande Ours
Crédit photo : Kylie Mangles
Galaxies À Croquer
Crédit photo : Laura Piper
Cookies Galactiques
Crédit photo : Sweet Ambs
Météorite De Pierres Précieuses
Crédit photo : Nell Buckett
Pomme D’amour Venue D’ailleurs
Crédit photo : thalonelydonkeykong
Glace De L’espace
Crédit photo : Inconnu
Système Solaire À Déguster
Crédit photo : Holly-Kate and Company
Gateau Du Zodiaque
Crédit photo : Life With The Crust Cut Off
Ça donne envie, n’est-ce pas ?
Canada:
Fort McMurray: Toute La Ville Évacuée, L'armée Appelée En Renfort
Sur cette photo provenant d'une station de radio locale, la fumée assombrit
le ciel alors que des centaines de voiture font la file à Fort
McMurray, où la moitié de la ville fait l'objet d'une ordonnance
d'évacuation... PC
Marc BRAIBANT La Presse Canadienne
Un immense incendie de forêt qui brûle près de Fort McMurray, dans le nord
de l'Alberta, a détruit 80% des maisons dans un quartier et causé de
lourds dégâts dans plusieurs autres. L'Alberta a demandé de l'aide au
gouvernement canadien à laquelle le ministre de la Défense a acquiescé.
> Appel à tous :
[url=mailto
Le ministre de la Défense, Harjit Singh Sajjan, a confirmé que le
gouvernement de la province albertaine a demandé mardi soir l'assistance
de l'armée canadienne. Celui-ci a accepté de mettre à la disposition de
la province toutes les ressources nécessaires.
La municipalité régionale de Wood Buffalo a annoncé au cours des dernières
heures que le quartier de Beacon Hill, dans le sud de la ville, a été
le plus fortement endommagé par les flammes qui ont envahi la ville
mardi après-midi, forçant l'évacuation de la totalité des
80 000 habitants.
Une dizaine de maisons mobiles ont été détruites dans le quartier de
Timberlea, et on fait état de dégâts importants dans les banlieues d'Abasand et de Waterways.
Des maisons ont aussi été rasées au sol dans quatre autres quartiers, mais on ne rapporte pour le moment aucune victime.
Bernie Schmitte, un représentant de la gestion des incendies, a expliqué tard
mardi lors d'une conférence téléphonique avec les journalistes que le
pire de l'incendie n'est pas encore passé, puisque du temps chaud, une
humidité faible et des vents puissants sont prévus pour mercredi.
Les pompiers tentent de protéger les principales infrastructures de la
ville, y compris l'autoroute 63 - le seul lien vers la ville depuis le
sud - et le seul pont qui enjambe la rivière Athabasca.
Le chef des pompiers, Darby Allen, a demandé l'aide de l'armée et des renforts militaires
sont attendus d'ici quelques jours.
La première ministre de l'Alberta, Rachel Notley, a indiqué que la
province faisait tout en son pouvoir pour assurer la sécurité des ses
citoyens. Elle a dit envisager la possibilité de transporter par avion
les résidants qui éprouveraient des problèmes de santé. Elle a incité
les habitants à suivre les instructions des autorités en évacuant leurs
maisons.
Le chef de l'Opposition en Alberta, Brian Jean, a affirmé en entrevue à La
Presse Canadienne que la plupart du centre-ville était en train d'être
détruit par les flammes. La maison que M. Jean habitait depuis dix ans a
été détruite et il croit que la maison de son enfance l'a probablement
aussi été.
Les équipes d'incendie semblaient avoir fait des progrès pour maîtriser
l'incendie, qui a pris naissance la fin de semaine dernière, mais les
perspectives se sont assombries rapidement, mardi. En après-midi, les
résidants de trois quartiers ont dû quitter immédiatement leurs
résidences.
Le temps chaud et sec a transformé la forêt boréale en véritable
poudrière. Le degré de danger des incendies de forêt pour les zones
boisées de l'Alberta et de la Saskatchewan voisine va de « élevé » à
« extrême ».
Le gouvernement albertain a interdit tous les feux en plein air - sauf
dans les zones réservées des campings - en raison de la menace. Environ
30 incendies brûlaient dans la province.
L'Alberta prévoyait envoyer plus de renforts à Fort McMurray, dont 100 pompiers
supplémentaires et un hélicoptère géant qui peut larguer plus de
2000 litres d'eau à la fois.
Les équipes d'incendies s'affairaient à couper une série d'arbres sur le
chemin du brasier. Des avions laissaient tomber des produits ignifuges
alors que d'autres arrosaient d'eau la zone touchée.
Fort McMurray est la capitale des sables bitumineux de l'Alberta. Elle
compte une population de 61 000 habitants, selon le recensement de 2011.
Les autorités surveillaient attentivement la situation en Saskatchewan, où
une douzaine d'incendies étaient actifs dans des régions éloignées.
L'année dernière, les incendies de forêt en Saskatchewan avaient forcé
l'évacuation de 13 000 résidants et ravagé 17 000 kilomètres carrés de
la forêt.
Des Québécois sont frappés de plein fouet par les feux de forêt
catastrophiques qui forcent l'évacuation de Fort McMurray, depuis hier.
La ville de quelque 60 000 habitants, très liée à l'industrie pétrolière,
s'est entièrement vidée dans les dernières heures devant l'avancée des
flammes.
« Je vis dans le dernier quartier à être évacué et je suis réaliste, a
expliqué Renée Plante à La Presse. Je crains perdre la maison demain,
mercredi. D'ailleurs, des quartiers ont déjà brûlé. »
Mme Plante s'est réfugiée dans un camp de travailleurs à 40 km de Fort Mc Murray.
D'autres ont préféré quitter la région. C'est le cas de Valérie Laprise, partie dans les environs de 22 h vers Edmonton.
« La situation à [sic] vraiment changé rapidement, le matin le ciel était
bleu presque pas de fumée et en fin d'après midi c'était l'apocalypse »,
a-t-elle écrit dans un courriel. « On ne sait pas si notre maison est sauve. »
Catherine Gagnon, elle, a été dirigée vers une réserve autochtone au nord de la
ville. « Nous vivons dans le quartier Abasand et apparemment, la moitié
des maisons y ont brûlé. Nous gardons espoir que la nôtre n'en fasse pas
partie », a-t-elle espéré.
(Sherbrooke) «Quand on a quitté la ville, on voyait que notre quartier était sur le point de prendre en feu.»
Camille Bégin, une Sherbrookoise vivant en Fort McMurray depuis l'hiver
dernier, a vu de près l'immense feu de forêt qui menace le nord de
l'Alberta depuis mardi.
«Nous avons dû évacuer en 15 minutes. Mardi matin, nous avons été avertis de
nous tenir sur nos gardes, mais une heure plus tard nous devions évacuer
d'urgence», raconte la jeune femme partie demeurer chez son copain en
janvier dernier.
«C'était le temps qu'on parte. Ça devenait dangereux. Nous ne savons pas ce qui
va arriver avec notre maison. Les vents étaient forts et en direction de
notre quartier.»
Camille Bégin fait partie des milliers de personnes évacuées en raison de
l'immense feu de forêt qui fait rage dans ce secteur de l'Alberta.
Lors de sa fuite, elle a pu voir des hélicoptères arroser un hôpital menacé
par les flammes pour laisser le temps d'en sortir les malades. Ceux-ci
étaient évacués en autobus.
«Nous avons pris un autoroute vers le nord», ajoute-t-elle lors d'un
entretien téléphonique. «Nous n'avons avancé que de 500 mètres en deux
heures.»
«Heureusement, nous sommes sains et saufs. »
qui peuvent vous coûter (très) cher
Numéro surtaxé, mise en relation directe avec le client… Les astuces de
certains services de renseignement téléphonique sont nombreuses afin de
faire augmenter la note. Explications.
Dans un article publié lundi, la revue 60 millions de consommateurs pointe du doigt les tarifs des services de renseignement téléphonique, dont certains sont véritablement exorbitants.
Preuve en est avec les nombreuses plaintes de consommateurs piégés reçues par le magazine.
Les numéros pour ce type de services commencent toujours par le 118. Et même le leader du marché, le 118 218, pratique des tarifs très élevés. "Pour à peine 2 minutes et 40 secondes au bout du fil, un de noslecteurs s’étonne d’avoir payé 10,80 euros"
en appelant ce numéro, rapporte la revue.
87 euros pour 33 minutes d’appel
Et les tarifs sont parfois encore plus démesurés. En cause ? La mise en relation demandée par les clients sans savoir que le numéro surtaxé continue lorsqu’on leur transmet directement le correspondant qu’ils cherchaient à joindre.
"La surtaxe continue à s’appliquer si vous demandez la mise en relation avec le numéro recherché. Les consommateurs
sont rarement conscients de ce piège", précise la revue. Ainsi, un consommateur dit avoir payé 87 euros pour 33 minutes d’appel !
Pour ne pas vous faire avoir, le magazine rappelle que vous pouvez prendre connaissance des tarifs de ces numéros en appuyant sur la touche "1" ou "#" lorsque vous les appelez.
Hommage aux anciennes françaises.
Renault Gordini 1964
Renault 10 1962
Renault 4cv 1964
Renault 5 1973
Renault Alpine A110 1967
Citroën Ami 6 1961
Peugeot 504 1964
Peugeot 404 1968
c'est tout pour aujourd'hui!
A Bientôt
33 lions sauvés de cirques illégaux au Pérou et en Colombie se sont envolés ce dimanche 1er mai
pour rejoindre un sanctuaire d'Afrique du Sud.
Par : Harold Paris -
4 mai 2016
Depuis 2011 pour le Pérou, et 2013 pour la Colombie, l’utilisation d’animaux
sauvages dans les cirques a été complètement interdite.
Une décision courageuse que l’on ne peut que saluer. Pourtant, lors de ces
dernières années, faire appliquer la loi n’a pas été une mince affaire
pour ces deux pays.
Heureusement, des associations apportent leur aide et contribuent au sauvetage des
animaux sauvages pour les retirer des griffes de ces cirques
hors-la-loi.
Dernier coup d’éclat ce dimanche 1er mai, l’association Animal Defenders International (ADI) a pu récupérer et
rapatrier 33 lions détenus dans des cirques illégaux au Pérou (24 lions) et en Colombie (9 lions).
Ces animaux sauvages, transportés à bord d’un avion spécialement affrété pour eux,
ont pu rejoindre le sanctuaire Emoya Big Cat Sanctuary à Waalwater en Afrique du Sud.
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions Jan Creamer, le Président de l’ADI, explique :
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lionsUne opération qui n’a pas été de tout repos.
En effet, si en Colombie, les cirques illégaux ont pu remettre leurs animaux volontairement,
au Pérou,l’association a du intervenir conjointement avec les forces de l’ordre
pour pouvoir récupérer les félins.
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lionsCes 33 lions ont ensuite été rapatriés par avion vers l’Afrique du Sud,
ce qui fait de ce vol la plus grande opération de transport de félins en
captivité de l’histoire ! Animal Defenders International explique :
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Maltraités et mutilés (la plupart ont eu leurs griffes arrachées ou des dents
cassées) par leurs anciens « propriétaires », ces félins ne pourront
malheureusement pas être remis en liberté.
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lions
Crédit photo : ADI / 33lionsStérilisés, mâles et femelles seront dans un premier temps séparés avant de
réapprendre à vivre en communauté. Néanmoins, ils disposent désormais
d’un endroit à eux, confortable et à l’abris des maltraitances et autres
horreurs de la vie en cirque.
Crédit photo : ADI / 33lions
Une nouvelle vie pour ces 33 lions à qui l’on souhaite tout le meilleur.
Et bravo à l’association Animal Defenders International pour ce travail remarquable !
Elle vous transportera à toute vitesse dans ses moindres recoins.
.CLIC ICI......https://vimeo.com/156045670
Paris est une ville bien particulière. Elle possède une histoire riche et
bourdonne de vie, elle attire des touristes venant de toute la planète
pour parcourir ses monuments et ses rues. Tyler Fairbanks est l’un
d’entre eux. Ce vidéaste et photographe new-yorkais a passé l’été
dernier à Paris. Il en résulte un petit clip de deux minutes réalisé en
hyperlapse tout à fait exceptionnel.
Que l’on soit parisien ou non, il est des spectacles, des panoramas qui ne
cessent de nous toucher. C’est le cas de cette visite dynamique de
Paris. Un patchwork de tout ce qui est le plus remarquable dans la
capitale, mélangé à de très vives couleurs qui donnent l’impression de
vivre dans un autre univers enchanté. Une promenade à couper le souffle.
Voilà une vidéo qu’on ne se lasse pas de regarder et qui donne une vision
émerveillée de la Ville Lumière. Même si l’on fréquente ces quartiers
tous les jours, on a envie nous aussi de les re-parcourir caméra en
main.
ce pays à la nature préservée qui vit dans le respect de ses traditions
Entre traditions, richesse culturelle, paysages éblouissants et vie citadine,
le Vietnam est un pays d’une beauté à couper le souffle.
Situé en Asie du Sud-Est, le Vietnam compte 92,7 millions d’habitants et est bordé par la Chine,
le Laos et le Cambodge. Il est divisé en trois grandes régions appelées
“Bô” : le Tonkin, l’Annam et le Cochinchine, dans lesquelles la religion
dominante est le bouddhisme. Oscillant entre paysages éblouissants,
traditions et vie citadine, le Vietnam est aujourd’hui un pays
économiquement émergeant à la richesse culturelle impressionnante.
Riccardo Fasoli a eu la chance de visiter ce majestueux pays durant deux semaines, et c’est afin de nous faire partager son voyage qu’il a réalisé cette somptueuse vidéo baptisée “One Minute in Vietnam“.
En un peu plus d’une minute, il nous emmène aux quatre coins de ce pays respectueux de ses traditions.
Les images s’enchaînent rapidement et en un clin d’œil, nous passons d’un temple bouddhiste à des rizières,
de plaines paisibles à l’effervescencede la vie citadine, de la rencontre d’animaux sauvages à celle de
Vietnamiens continuant de vivre dans le respect de leur culture.