je travaillée a toupret corbeille ésonne comme femme de menage une femme des bureaux vien me voir est me dit avec la geueule que jai je doit pas me fair draguer souvent est que jai la médaille dore de la fégnasserie jai travaille25 ans sans avoir de reproche alors je luis est répondu devent tout le monde aune réunion q'avec la geueul que j'avais je me suis marier trés jeune est est en plus que j'avai la médaille dore de la fégnasserie mai par contre elle avais la médaille dore de la connerie elle c'est mise a pleuer tout le monde a aplomdie en me disent que j'avai bein fai depuie le temps q'uélle me lancer des réfléction celas ma soulager
C'était...il y a fort longtemps, j'étais un petit garçon de 7 ans élevé par mes grand-parents réfugiés à la campagne pendant "l'occupation", Mon grand-père avait le don d'apprivoiser tous les amimaux, ou presque tous, Il avait receuilli un poussin naissant rejeté par sa mère poule et décidé de le sauver, au grand dam de mère-grand. Car, figurez vous le le poussin passait sa journée au chaud dans le "jabot" de la chemise de grand-père qui, aux repas, le sortait et lui donnait la becquée (mie de pain trempée au lait). Mère -grand supporta ce manège en rongeant son frein et déclarait souvant, excédée par la vue de sa nappe souillée: Ton poulet soigne le bien, il finira au four, bien doré. Que nénni, ALFRED, car c'était un poulet, alfred a grandi, est devenu un superbe coq tout blanc tout dévoué à mon grand père, le suivant partout et prèt à le défendre . Il n'a pas fini à la casserolle, il est mort de vieillesse. Jean Ciaude HIVERT
C'était il y a q.q.e.s années......lors des obsèques de mon conjoint.....nous attendions devant la petite chapelle de l'hôpital, l'arrivée du fourgon funéraire......qui n'arrivait pas.....Le groupe d'amis présents uniquement composés de medecins et soignants, était assz pressé de rejoindre leur unité.......Je décidais de me rendre à la chambre funéraire de l'hôpital à une centaine de mètres, où reposait le corps du défunt.FOrce fut de constater que le corps avait disparu!.......Panique, consternation......un coup de fil aux Pompes funèbres, qui nous informe que le corps avait été transféré au funérarium de la ville(prévu dans un contract trés ancien....avant la maladie de mon conjoint qui résident (hospitalisé au long séjour) avait droit de séjourner à l'amphitéatre de ce même hôpital, et de célébrer les obsèques à la chapelle de ce même hôpital.L'agent de service n'avait pas transmis l'information......il fallut partir chercher et ramener le corps du funérarium de la ville à plusieurs kms......et ce jour-là était jour de grèves et manifestation la circulation était épouvantable......de sorte que...devant la chapelle....il n'y avait plus personne pour nous accompagner dans ce dernier voyage......
en arrivant en vacances à fréjus....ma fille avait 8 ans et c'était la 2éme fois qu'elle voyait la mer ....la 1ère elle était petite (3 ans) et là elle court vers le balcon en criant la mer!!! et boum elle se cogne contre la vitre très propre..... on en rit encore lorsqu'on y pense....heureusement elle n'a pas eu très mal....
Mon grand-père avait le don d'apprivoiser tous les amimaux, ou presque tous, Il avait receuilli un poussin naissant rejeté par sa mère poule et
décidé de le sauver, au grand dam de mère-grand.
Car, figurez vous le le poussin passait sa journée au chaud dans le "jabot" de la chemise de grand-père qui, aux repas, le sortait et lui donnait la becquée (mie de pain trempée au lait).
Mère -grand supporta ce manège en rongeant son frein et déclarait souvant, excédée par la vue de sa nappe souillée: Ton poulet soigne le bien, il finira
au four, bien doré.
Que nénni, ALFRED, car c'était un poulet, alfred a grandi, est devenu un superbe coq tout blanc tout dévoué à mon grand père, le suivant partout et prèt à le défendre .
Il n'a pas fini à la casserolle, il est mort de vieillesse.
Jean Ciaude HIVERT
l'arrivée du fourgon funéraire......qui n'arrivait pas.....Le groupe d'amis présents uniquement composés de medecins et soignants, était assz pressé de rejoindre leur unité.......Je décidais de me rendre à la chambre funéraire de l'hôpital à une centaine de mètres, où reposait le corps du défunt.FOrce fut de constater que le corps avait disparu!.......Panique, consternation......un coup de fil aux Pompes funèbres, qui nous informe que le corps avait été transféré au funérarium de la ville(prévu dans un contract trés ancien....avant la maladie de mon conjoint qui résident (hospitalisé au long séjour) avait droit de séjourner à l'amphitéatre de ce même hôpital, et de célébrer les obsèques à la chapelle de ce même hôpital.L'agent de service n'avait pas transmis l'information......il fallut partir chercher et ramener le corps du funérarium de la ville à plusieurs kms......et ce jour-là était jour de grèves et manifestation la circulation était épouvantable......de sorte que...devant la chapelle....il n'y avait plus personne pour nous accompagner dans ce dernier voyage......