Les premières charentaises : au Moyen-Age La Pantoufle à Pépère est une charentaise traditionnelle typique de la région Charente. Au Moyen-Age, les paysans glissaient déjà l'ancêtre de la charentaise dans des sabots pour avoir chaud aux pieds et pour avoir un peu plus de confort. Puis dans les beaux châteaux français au XVIIème Les charentaises apparurent, sous leur forme actuelle sous le règne de Louis XIV. On les voyait essentiellement dans les belles demeures de la noblesse française. Mais ne vous y méprenez pas, Ce ne sont pas les châtelains mais les valets qui avaient les charentaises aux pieds... En effet leurs maîtres leur demandaient de les revêtir avec un double objectif en tête. - Tout d'abord, les châtelains ne voulaient pas être dérangés par le bruit des allers et venues des domestiques. Rien de mieux donc qu'une semelle en feutre qui permettaient des déplacements sans aucun bruit. A cette époque, les charentaises étaient appelées "les silencieuses". - L'autre but recherché était encore moins louable... Chacun sait que ces belles demeures abritaient des parquets massifs magnifiques. Qu'il fallait entretenir régulièrement pour qu'ils ne perdent pas leur lustre naturel. Grâce à leurs passages répétés avec leurs charentaises et leurs semelles en feutre, les valets briquaient les parquets, qui demeuraient brillants toute l'année ! Morale de l'histoire : A bien y réfléchir : qui étaient les plus malchanceux dans ces grandes demeures difficiles à chauffer ? Les domestiques avec des charentaises chaudes, légères et confortables... Ou les seigneurs avec leurs chaussures à talons, lourdes et froides ?
La charentaise est créée à la fin du XVIIe siècle à partir des rebuts de feutres utilisés pour la fabrication d'uniformes militaires à la suite de la fortification de la ville de Rochefort par Colbert en 1666. L'Administration Royale se tourne alors vers Angoulême et ses moulins à eau pour fouler la laine et fabriquer du feutre, les chutes et les rebuts de feutre des pèlerines de la Marine Royale étant recyclés par les cordonniers-savetiers pour fabriquer les premières charentaises qui sont noires, le dessus en laine, la semelle en feutre, sans pied droit ni pied gauche pour en faire durer l'usage.
La charentaise se développe également au XVIIe siècle à partir des rebuts de feutres de papeterie utilisés dans l' industrie papetière implantée sur la Charente et sur ses affluents, dans la région d' Angoulême.
Au début ce type de pantoufles, pour plus de confort, se glisse dans les sabots pour remplacer la paille, la languette des charentaises ayant pour fonction originelle de protéger le cou-de-pied du contact du bois.
Par la suite, un cordonnier aurait eu l'idée de poser une semelle rigide sous la pantoufle.
Au XVIIIe siècle, ces pantoufles tout en feutre servent aux domestiques pour cirer les parquets des châteaux.
La véritable charentaise apparaîtra au XXe siècle en 1907, grâce au docteur Jeva, , qui invente le collage du feutre et crée des pantoufles aux couleurs vives et aux décors de type écossais .
Cette Charentaise se verra portée toute seule à partir du XXe siècle
Le succès mondial vient avec James Rondinaud qui a l'idée de les exporter aux quatre coins du monde. L'entreprise Rondinaud qui fabrique depuis 1907 les célèbres charentaises vient d'envoyer une commande par bateau à voile datant de 1928. Une démarche écologique partagée avec le client qui affrète le bateau.
Aujourd'hui, Roselyne Cordin, ** Maître Artisan d'Art, unit ces deux savoir-faire Haute Façon Française : - la fabrication traditionnelle de la Charentaise avec celle - de la broderie Haute-Couture dite de Lunéville.
Elle protège à l'INPI, la technique de la broderie haute-couture jamais utilisée jusqu'à présent pour la fabrication de Charentaises, seulement les broderies machines, sérigraphie, flocage. De nos jours elles restent particulièrement prisées par les personnes du troisième age, notamment chez la benjamine des Rostain.
Le château de Varaignes (Dordogne) abrite le Musée de la charentaise et des tisserands. * L'association CPIE Périgord-Limousin, basée dans ce château, propose au groupe de découvrir la fabrication en direct d'une paire de charentaises grâce à la méthode du cousu-retournée (sans colle).
Une nouvelle indication géographique est homologuée par l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi), à compter du vendredi 29 mars, date de publication de la décision au bulletin officiel de la propriété industrielle : la "charentaise de Charente-Périgord".
Il s’agit de la huitième indication géographique homologuée depuis l’entrée en vigueur du dispositif, après: - le siège de Liffol (décembre 2016), - le granit de Bretagne (janvier 2017), - la porcelaine de Limoges (décembre 2017), - la pierre de Bourgogne (juin 2018), - le grenat de Perpignan (novembre 2018), - le tapis d’Aubusson et - la tapisserie d’Aubusson (décembre 2018).
Rappelons que c’est la loi dite "consommation" qui a élargi les indications géographiques, auparavant réservées aux produits agricoles et viticoles, aux produits de l’artisanat et de l’industrie.
Signe officiel de qualité et d’origine, l’indication géographique assure aux consommateurs l’origine et l’authenticité des produits qu’ils achètent. Elle permet aux artisans et entreprises de valoriser leurs produits et de protéger leur savoir-faire de la concurrence déloyale et de la contrefaçon. Elle permet aussi aux collectivités locales de mettre en valeur des savoir-faire territoriaux.
Véritable espadrille d'hiver, la charentaise n'avait à l'origine ni de pied droit, ni de pied gauche. Fabriqué en feutre et laine, l'histoire veut que chaque pied laisse son empreinte propre dans le chausson. Même si aujourd'hui elle se décline en une version droite et gauche, le principe reste le même. Ainsi, c'est votre pied qui va faire la forme de la charentaise !
La laine, matière naturelle très dense, va épouser votre pied pour s'y adapter parfaitement. Au bout de 2 jours, l'intérieur de votre chausson va prendre la forme de vos orteils, s'écraser légèrement, laisser la place pour le chaussant parfait, le vôtre !
Sortie de la matière, découpage du dessus, découpe de la première (semelle intérieure), découpe de la semelle extérieure, impression sur la semelle, jointage et pliage, réalisation de la baguette qui vient renforcer l'arrière, bordage, assemblage de la tige, la semelle et l'empeigne (partie supérieure de la charentaise), couture à l'envers, douilletage... Le clou du spectacle ? Le fameux retourné réalisé sur le banc de bois, puis le passage sur forme pour donner le bon galbe avant les étapes de finition : contrôle qualité, coupe des fils qui dépassent, ajout de l'étiquette et enfin la mise dans la boîte.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- L’Atelier-musée du tisserand et de la charentaise retrace l’histoire de l’activité textile du Périgord-Limousin, berceau de la pantoufle « Charentaise ». Il expose des créations textiles contemporaines, gérées par l’association Fils et Métiers et est le cœur historique du Marché des tisserands de la Pentecôte…
Tous les savoir-faire textiles régionaux, du travail du chanvre et de la laine à la technique du cousu-retourné des charentaises sont présentés.
La maison du tisserand de village au XIXème siècle rappelle qu’ici, on était bien souvent à la fois tisserand, fileur et agriculteur.
Plus tard, à la fin du XIXème et surtout au début du XXème siècle, l’industrie gagne le pays : - des usines se créent.
Elles fournissent le feutre aux papeteries d’Angoulême, puis aux pantoufliers du pays.
Certaines utilisent l’énergie hydraulique des moulins, d’autres, plus rapidement, s’équipent de turbines électriques…
Les salles du château, aux noms des nombreuses usines locales, rappellent ce riche passé textile de la région : - filature et son laboratoire, machines à découper et à coudre les célèbres “charentaises”.
------------------------------------------------------------------------------------------------------ ** Roselyne Cordin est maitresse artisane d'art en broderie haute couture Héritière du haut savoir-faire français, elle a protégé le concept "Broderie de Lunéville et de Ruban" - la broderie haute couture à l'INNORPI. Elle est l'ambassadrice d'Angoulême et de Charente la broderie de Luneville
Ce commentaire a été modifié le 27/03/2019 à 02:57
Une de ces explications relie le poisson d'avril aux fêtes de Pâques, qui marquent la fin du jeûne du carême. Le poisson prend alors une place importante dans le régime alimentaire des populations de l'époque. En plus de cela, l'ichthus chrétien, le symbole graphique qui représente un poisson, est un acronyme du nom de Jésus utilisé du Ier siècle au IVème siècle. Enfin, plusieurs études prouveraient que le mot « poisson » serait en fait une corruption du mot « passion », très ancré dans la religion chrétienne.
Une autre des origines privilégiées par les historiens viendrait de l'usage d'ouvrir ou de suspendre la saison de pêche au 1er avril, et ce dans de nombreux pays. Cela permettrait de respecter la période de reproduction des différentes races de poissons. Ainsi, on faisait un cadeau aux pêcheurs, et aussi pour se moquer d'eux : - car la pêche était extrêmement facile au jour d'ouverture (du au grand nombre de poissons) - ou infructueuse au jour de suspension : on leur offrait un hareng. C'est alors qu'une habitude populaire s'installa au premier avril, on se mit à accrocher sournoisement des vrais poissons dans le dos des gens. A cette époque, les habits étaient très larges, les victimes ne s'en apercevaient donc pas immédiatement, le poisson devenait alors de plus en plus gluant et émanait une odeur de plus en plus nauséabonde. Ce serait comme cela que serait né le goût de faire des petits cadeaux qui feraient rire les gens, au premier avril, couplés avec des farces et des mystifications. Le premier lien entre le premier avril et les farces se retrouverait dans le recueil « Les contes de Canterbury » de l'anglais Geoffrey Chaucer, écrit en 1392.
En Irlande, il existait une tradition qui consistait à confier une « lettre importante » à une victime, en lui demandant de la donner à une autre personne. Cette personne demanderait alors à la victime de plutôt aller la donner à une autre personne, et ainsi de suite. Lorsque la lettre serait enfin ouverte, elle ne contenait que les mots suivants : « Envoyez le fou plus loin encore. »
Le fameux « APRIL FOOLS' DAY »(comprendre le jour des bouffons d'avril) est célébré chaque année au premier avril chez les américains et les anglais. Il s'agit de faire des farces à ses proches, et de répandre de fausses nouvelles dans les médias, qui expliquent bien souvent leurs blagues le lendemain dans un édito. Les bourreaux, une fois découverts crient alors « April Fool ! ». Bien que cette journée soit extrêmement populaire depuis le XIXème siècle, ce n'est pas un jour férié dans le pays.
Dans les pays nordiques (Danemark, Finlande, Norvège, Suède, Island), on célèbre également le premier avril, alors appelé «APRILSNAR» en danois et «APRILLIPÄLVÄ» en finlandais. La majorité des médias publient une seule histoire inventée de toute pièce. Pour les journaux locaux, il s'agira bien souvent d'un encart sur la première page.
La première farce célèbre du 1er avril date de 1957 ! La BBC diffuse alors à l'époque, dans le cadre de son émission d'actualités « Panorama », un reportage sur : - la culture de l'arbre à spaghetti, dans le canton du Tessin en Suisse. La chaîne reçut tellement de lettres demandant une adresse où acheter ces arbres à spaghetti qu'elle du expliquer la supercherie quelques jours plus tard.
Plus récemment, en 2014, la radio France Inter annonce dans son journal de 8h qu'à cause de coûts budgétaires en hausse, Anne Hidalgo, la nouveau maire de Paris à l'époque, a décidé de vendre : - la tour Eiffel au Qatar car elle engendrait trop de frais supplémentaires.
C'est également cette année-là que LU annonce la sortie des Broculus, de petits biscuits fourrés aux brocolis.
Le poisson d'avril prend donc bien des formes différentes. Tant que tout le monde en rigole et que ça ne fait de mal à personne........
Gaël Pollès, journaliste et fondateur de Pratiks décrypte nos traditions et croyances : Le Poisson d’avril, tout le monde le sait, n’est autre chose qu’une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire) que l’on tend à quelque personne amie, parente ou familière, le premier jour de ce mois d’avril. Donner un poisson d’avril à quelqu’un, c’est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle qu’on invente, l’envoyer au-devant de quelqu’un qui ne vient pas, en un mot, se divertir un peu à ses dépens, et éprouver sa patience. Poisson d’avril (Origine du) vidéo. (D’après le « Journal de Verdun » paru en 1749,« Album littéraire et musical de la Minerve » paru en 1849 et« La Semaine des familles » paru en 1862) Chopin Etude Op. 25 No. 1
La journée internationale de la météorologie commémore l’entrée en vigueur, le 23 mars 1950, de la Convention qui a institué l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM).
Cette organisation a contribué au progrès rapide - des sciences météo-climatiques, - des technologies connexes et - de la coopération internationale.
Cette évolution s’est vite traduite par : - la mise en place de systèmes opérationnels d’envergure mondiale pour la protection des personnes et des biens et - l’atténuation des effets des catastrophes naturelles, ainsi que - par la mise en oeuvre de toute une série d’activités socio-économiques menées au profit d’un développement durable défini comme le développement qui satisfait les besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs.
Une météo pas bien folichonne... Aujourd’hui, plus que jamais, on s’aperçoit que l’économie mondiale est de plus en plus sensible au temps et au climat.
Toutes les activités humaines sont soumises à : - l’influence du temps, - du climat et - de l’eau, et un nombre croissant de ces activités dispose d’une marge de manoeuvre de plus en plus réduite pour faire face aux risques.
En 2000, l’Organisation des Nations Unies a affiné et recentré sa stratégie en faveur : - d’un développement plus respectueux de l’environnement - en incitant ses membres à réduire de moitié le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable, - mais aussi en favorisant la résolution des problèmes de vulnérabilité aux risques climatiques, - en favorisant la prévention et - en améliorant la qualité des interventions en cas de catastrophes.
Ces objectifs ont été développés dans le Plan de mise en oeuvre du Sommet mondial pour le développement durable (Johannesburg 2002).
Les progrès accomplis en ce qui concerne : - l’observation à distance à l’aide de radars, de satellites et autres moyens de surveillance, - le traitement des données et - les communications ont permis de renforcer considérablement la compréhension scientifique des processus physiques qui se produisent dans :
- l’atmosphère et - les océans ainsi que - leurs interactions avec les autres composantes du système terrestre.
Ces progrès ont débouché sur : - une amélioration sans précédent de la qualité et de l’exactitude des prévisions et des alertes météorologiques.
Il est désormais possible d’établir des prévisions météorologiques déterministes : - sept à dix jours à l’avance dans les régions extra tropicales et - trois à quatre jours à l’avance dans les régions tropicales.
Les nouveaux risques : - La concentration accrue de gaz à effet de serre dans l’atmosphère vient aujourd'hui poser de nouveaux problèmres : -- le changement climatique, -- l’appauvrissement de la couche d’ozone stratosphérique, -- la raréfaction des ressources en eau douce -- et la pollution croissante de l’atmosphère et des eaux.
Parallèlement, l’aggravation des conséquences des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes - notamment des cyclones tropicaux, - des inondations, - des sécheresses et - des vagues de froid ou de chaleur - dans plusieurs parties du monde fait peser une menace considérable sur le développement durable.
La météo façon livre des records :
- La moyenne annuelle des précipitations la plus faible du monde a été enregistrée à Arica (Chili). Au cours des 59 dernières années, la moyenne annuelle n'a atteint que 0,8 mm. - La moyenne annuelle des précipitations la plus élevée du monde a été enregistrée à Lloro (Colombie). Au cours des 29 dernières années, la moyenne annuelle a atteint 13 230 mm.
- La température la plus élevée du monde (58 °C) a été enregistrée à El Azizia (Libye), le 13 septembre 1922. - La température la plus basse du monde (-89.4°C) a été enregistrée à Vostok (Antarctique), le 21 juillet 1983.
- Le grêlon le plus gros (environ 45 cm de circonférence, plus de 14 cm de diamètre) a été ramassé et mesuré à Coffeyville, dans le Kansas, aux États-Unis, le 3 septembre 1970. Il pesait 755 grammes. Le plus souvent, le diamètre des grêlons est inférieur à 5 cm.
- La chute de neige la plus importante du monde a eu lieu à Silver Lake, dans le Colorado, aux États-Unis, le 15 avril 1921. Un manteau de 190 cm d'épaisseur s'est formé en moins de 24 heures. - Le flocon de neige le plus gros (il mesurait 20,3 cm sur 30,4 cm) du monde est tombé à Bratsk, en Sibérie, en 1971.
Entre 1992 et 2001 :
- Les catastrophes naturelles liées au temps et au climat ont tué environ 622 000 personnes. - Affecté la vie de plus de deux milliards d'individus. - Laissé derrière elles des millions de personnes sans-abri. - Dévasté des terres arables . - Contribué à la propagation des maladies.
Certaines études ont démontré que le nombre des catastrophes naturelles liées au climat a été multiplié par trois au cours de ces trente dernières années.
Celle d’une idée qui a germé dans l’esprit d’on ne sait qui.
Apparut peut-être par magie dans un monde qui regorge de mystères ou alors amoureusement préparée dans un lieu fantastique.
Et voila que cette idée arrive jusqu’à nous, on a entendu un appel.
Et si nous fêtions les contes ?
Depuis 2004, le monde a donc choisi de célébrer à sa manière les contes
Un thème par année, voilà l’idée de base.
En cette journée, les conteurs du monde entier se retrouvent pour fêter à leur façon les belles histoires et les livres qui les renferment.
De plus, la volonté est de se diriger vers un public neuf, faire ou refaire découvrir les plaisirs de la lecture.
Par amour des bonnes choses, enchanter nos oreilles par des lectures publiques et organisations d’événements comme des parcours contés.
Amoureux des livres et de la lecture notez ce rendez-vous sur vos agendas, nous n’avons pas encore écrit les dernières lignes de cette histoire.
Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants Ben oui, quoi ! ça finit toujours comme cela...
« La Journée Mondiale du Conte a ses racines dans une journée nationale pour la narration créée en Suède, vers 1991-1992. A cette époque, une manifestation a été organisée le 20 mars en Suède, appelée "Alla berättares dag" (Jour de tous les conteurs). Le réseau de contes national suédois s’est éteint quelque temps après, mais cette journée a continué d’exister, célébrée à travers le pays par différents passionnés. En 1997, les conteurs de Perth, en Australie occidentale, ont organisé une longue célébration de cinq semaines autour du conte, et le 20 mars est devenue la journée internationale des narrateurs oraux. En même temps, au Mexique et dans d'autres pays d'Amérique du Sud, le 20 mars a été considérée comme la Journée Nationale des conteurs. » EXEMPLES Contes de Perrault
Ce commentaire a été modifié le 20/03/2019 à 20:05
Merci Christine
Histoire de la charentaise
Les premières charentaises : au Moyen-Age
La Pantoufle à Pépère est une charentaise traditionnelle typique de la région Charente.
Au Moyen-Age, les paysans glissaient déjà l'ancêtre de la charentaise dans des sabots pour avoir chaud aux pieds et pour avoir un peu plus de confort.
Puis dans les beaux châteaux français au XVIIème
Les charentaises apparurent, sous leur forme actuelle sous le règne de Louis XIV.
On les voyait essentiellement dans les belles demeures de la noblesse française.
Mais ne vous y méprenez pas, Ce ne sont pas les châtelains mais les valets qui avaient les charentaises aux pieds...
En effet leurs maîtres leur demandaient de les revêtir avec un double objectif en tête.
- Tout d'abord, les châtelains ne voulaient pas être dérangés par le bruit des allers et venues des domestiques. Rien de mieux donc qu'une semelle en feutre qui permettaient des déplacements sans aucun bruit.
A cette époque, les charentaises étaient appelées "les silencieuses".
- L'autre but recherché était encore moins louable...
Chacun sait que ces belles demeures abritaient des parquets massifs magnifiques.
Qu'il fallait entretenir régulièrement pour qu'ils ne perdent pas leur lustre naturel.
Grâce à leurs passages répétés avec leurs charentaises et leurs semelles en feutre, les valets briquaient les parquets, qui demeuraient brillants
toute l'année !
Morale de l'histoire :
A bien y réfléchir : qui étaient les plus malchanceux dans ces grandes demeures difficiles à chauffer ?
Les domestiques avec des charentaises chaudes, légères et confortables...
Ou les seigneurs avec leurs chaussures à talons, lourdes et froides ?
La charentaise est créée à la fin du XVIIe siècle à partir des rebuts de feutres utilisés pour la fabrication d'uniformes militaires à la suite de la fortification de la ville de Rochefort par Colbert en 1666.
L'Administration Royale se tourne alors vers Angoulême et ses moulins à eau pour fouler la laine et fabriquer du feutre, les chutes et
les rebuts de feutre des pèlerines de la Marine Royale étant recyclés par les cordonniers-savetiers pour fabriquer les premières charentaises qui sont noires, le dessus en laine, la semelle en feutre, sans pied droit ni pied gauche pour en faire durer l'usage.
La charentaise se développe également au XVIIe siècle à partir des rebuts de feutres de papeterie utilisés dans l' industrie papetière implantée sur la Charente et sur ses affluents, dans la région d' Angoulême.
Au début ce type de pantoufles, pour plus de confort, se glisse dans les sabots pour remplacer la paille, la languette des charentaises ayant pour fonction originelle de protéger le cou-de-pied du contact du bois.
Par la suite, un cordonnier aurait eu l'idée de poser une semelle rigide sous la pantoufle.
Au XVIIIe siècle, ces pantoufles tout en feutre servent aux domestiques pour cirer les parquets des châteaux.
La véritable charentaise apparaîtra au XXe siècle en 1907, grâce au docteur Jeva, , qui invente le collage du feutre et crée des pantoufles aux couleurs vives et aux décors de type écossais .
Cette Charentaise se verra portée toute seule à partir du XXe siècle
Le succès mondial vient avec James Rondinaud qui a l'idée de les exporter aux quatre coins du monde.
L'entreprise Rondinaud qui fabrique depuis 1907 les célèbres charentaises vient d'envoyer une commande par bateau à voile datant de 1928. Une démarche écologique partagée avec le client qui affrète le bateau.
Aujourd'hui, Roselyne Cordin, **
Maître Artisan d'Art, unit ces deux savoir-faire Haute Façon Française :
- la fabrication traditionnelle de la Charentaise
avec celle
- de la broderie Haute-Couture dite de Lunéville.
Elle protège à l'INPI, la technique de la broderie haute-couture jamais utilisée jusqu'à présent pour la fabrication de Charentaises, seulement les broderies machines, sérigraphie, flocage.
De nos jours elles restent particulièrement prisées par les personnes du troisième age,
notamment chez la benjamine des Rostain.
Le château de Varaignes (Dordogne) abrite le Musée de la charentaise et des tisserands. *
L'association CPIE Périgord-Limousin, basée dans ce château, propose au groupe de découvrir la fabrication en direct d'une paire de charentaises grâce à la méthode du cousu-retournée (sans colle).
Une nouvelle indication géographique est homologuée par l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi), à compter du
vendredi 29 mars,
date de publication de la décision au bulletin officiel de la propriété industrielle :
la "charentaise de Charente-Périgord".
Il s’agit de la huitième indication géographique homologuée depuis l’entrée en vigueur du dispositif,
après:
- le siège de Liffol (décembre 2016),
- le granit de Bretagne (janvier 2017),
- la porcelaine de Limoges (décembre 2017),
- la pierre de Bourgogne (juin 2018),
- le grenat de Perpignan (novembre 2018),
- le tapis d’Aubusson et
- la tapisserie d’Aubusson (décembre 2018).
Rappelons que c’est la loi dite "consommation" qui a élargi les indications géographiques, auparavant réservées aux produits agricoles et viticoles, aux produits de l’artisanat et de l’industrie.
Signe officiel de qualité et d’origine,
l’indication géographique assure aux consommateurs l’origine et l’authenticité des produits qu’ils achètent.
Elle permet aux artisans et entreprises de valoriser leurs produits et de protéger leur savoir-faire de la concurrence déloyale
et de la contrefaçon.
Elle permet aussi aux collectivités locales de mettre en valeur des savoir-faire territoriaux.
Véritable espadrille d'hiver, la charentaise n'avait à l'origine ni de pied droit, ni de pied gauche.
Fabriqué en feutre et laine, l'histoire veut que chaque pied laisse son empreinte propre dans le chausson.
Même si aujourd'hui elle se décline en une version droite et gauche, le principe reste le même.
Ainsi, c'est votre pied qui va faire la forme de la charentaise !
La laine, matière naturelle très dense, va épouser votre pied pour s'y adapter parfaitement.
Au bout de 2 jours, l'intérieur de votre chausson va prendre la forme de vos orteils, s'écraser légèrement, laisser la place pour le chaussant parfait, le vôtre !
Sortie de la matière, découpage du dessus, découpe de la première (semelle intérieure), découpe de la semelle extérieure, impression sur la semelle, jointage et pliage, réalisation de la baguette qui vient renforcer l'arrière, bordage, assemblage de la tige, la semelle et l'empeigne (partie supérieure de la charentaise), couture à l'envers, douilletage...
Le clou du spectacle ?
Le fameux retourné réalisé sur le banc de bois, puis le passage sur forme pour donner le bon galbe avant les étapes de finition : contrôle qualité, coupe des fils qui dépassent, ajout de l'étiquette et enfin la mise dans la boîte.
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L’Atelier-musée du tisserand et de la charentaise
retrace l’histoire de l’activité textile du Périgord-Limousin, berceau de la pantoufle « Charentaise ».
Il expose des créations textiles contemporaines, gérées par l’association
Fils et Métiers et
est le cœur historique du Marché des tisserands de la Pentecôte…
Tous les savoir-faire textiles régionaux, du travail du chanvre et de la
laine à la technique du cousu-retourné des charentaises sont présentés.
La maison du tisserand de village au XIXème siècle rappelle qu’ici, on
était bien souvent à la fois tisserand, fileur et agriculteur.
Plus tard, à la fin du XIXème et surtout au début du XXème siècle,
l’industrie gagne le pays :
- des usines se créent.
Elles fournissent le feutre aux papeteries d’Angoulême, puis aux pantoufliers du pays.
Certaines utilisent l’énergie hydraulique des
moulins, d’autres, plus rapidement, s’équipent de turbines électriques…
Les salles du château, aux noms des nombreuses usines locales, rappellent ce riche passé textile de la région :
- filature et son laboratoire, machines à découper et à coudre les célèbres
“charentaises”.
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** Roselyne Cordin
est maitresse artisane d'art en broderie haute couture
Héritière du haut savoir-faire français, elle a protégé le concept
"Broderie de Lunéville et de Ruban"
- la broderie haute couture à l'INNORPI.
Elle est l'ambassadrice d'Angoulême et de Charente
comme étant une journée dédiée aux farces en tout genre, reprenant le principe du fameux
"poisson d'avril".
Ce n'est pas un jour férié, mais cela reste tout de même un jour particulier dans la tête d'une majorité de personnes.
Même
si l'on ne s'adonne pas à la pratique de farces, on s'attend toujours à en recevoir,
si bien que l'on reste vigilant, même lorsqu'il s'agit des médias.
En effet, depuis bien des années,
les médias jouent le jeu du poisson d'avril, dévoilant quelques nouvelles bien farfelues sortant directement de l'imagination de leurs rédacteurs.
Il faut cependant faire attention aux farces que l'on peut faire,
il s'agit de rester dans le registre du rire.
Il est bon d'éviter les blagues trop extrêmes aux dépens des autres.
Le premier avril doit être une fête joyeuse, et non un prétexte pour malmener les gens.
D'où sort donc cette journée si particulière, où l'on colle des poissons (de préférence en papier) au dos des gens ?
. Les écrits
folkloristes ont de nombreuses explications entourant la création du poisson d'avril,
mais il ne s'agit que d'hypothèses et de suppositions.
Une de ces explications relie le poisson d'avril aux fêtes de Pâques, qui marquent la fin du jeûne du carême.
Le poisson prend alors une place importante dans le régime alimentaire des populations de l'époque.
En plus de cela, l'ichthus chrétien, le symbole graphique qui représente un poisson, est un acronyme du nom de Jésus utilisé du Ier siècle au IVème
siècle.
Enfin, plusieurs études prouveraient que le mot « poisson » serait en fait une corruption du mot « passion », très ancré dans la religion chrétienne.
Une autre des origines privilégiées par les historiens viendrait de l'usage d'ouvrir ou de suspendre la saison de
pêche au 1er avril, et ce dans de nombreux pays.
Cela permettrait de respecter la période de reproduction des différentes races de poissons.
Ainsi, on faisait un cadeau aux pêcheurs, et aussi pour se moquer d'eux :
- car la pêche était extrêmement facile au jour d'ouverture (du au grand nombre de poissons)
- ou infructueuse au jour de suspension : on leur offrait un hareng.
C'est alors qu'une habitude populaire s'installa au premier avril, on se mit à accrocher sournoisement des vrais poissons
dans le dos des gens.
A cette époque, les habits étaient très larges, les victimes ne s'en apercevaient donc pas immédiatement, le poisson
devenait alors de plus en plus gluant et émanait une odeur de plus en plus nauséabonde.
Ce serait comme cela que serait né le goût de faire des petits cadeaux qui feraient rire les gens, au premier avril, couplés
avec des farces et des mystifications.
Le premier lien entre le premier avril et les farces se retrouverait dans le recueil
« Les contes de Canterbury » de l'anglais Geoffrey Chaucer, écrit en 1392.
En Irlande,
il existait une tradition qui consistait à confier une « lettre importante » à une victime, en lui demandant de la donner à une autre personne.
Cette personne demanderait alors à la victime de plutôt aller la donner à une autre personne, et
ainsi de suite.
Lorsque la lettre serait enfin ouverte, elle ne contenait que les mots suivants :
« Envoyez le fou plus loin encore. »
Le fameux « APRIL FOOLS' DAY »(comprendre le jour des bouffons d'avril)
est célébré chaque année au premier avril chez les américains et les anglais.
Il s'agit de faire des farces à ses proches, et de répandre de fausses nouvelles dans les médias,
qui expliquent bien souvent leurs blagues le lendemain dans un édito.
Les bourreaux, une fois découverts crient alors « April Fool ! ».
Bien que cette journée soit extrêmement populaire depuis le XIXème siècle, ce n'est pas un jour férié dans le pays.
Dans les pays nordiques (Danemark, Finlande, Norvège, Suède, Island),
on célèbre également le premier avril, alors appelé «APRILSNAR» en danois
et «APRILLIPÄLVÄ» en finlandais.
La majorité des médias publient une seule histoire inventée de toute pièce.
Pour les journaux locaux, il s'agira bien souvent d'un encart sur la première page.
La première farce célèbre du 1er avril date de 1957 !
La BBC diffuse alors à l'époque, dans le cadre de son émission d'actualités
« Panorama », un reportage sur :
- la culture de l'arbre à spaghetti, dans le canton du Tessin en Suisse.
La chaîne reçut tellement de lettres demandant une adresse où acheter ces arbres à spaghetti qu'elle du expliquer la
supercherie quelques jours plus tard.
Plus récemment, en 2014,
la radio France Inter annonce dans son journal de 8h qu'à cause de coûts budgétaires en hausse,
Anne Hidalgo, la nouveau maire de Paris à l'époque, a décidé de vendre :
- la tour Eiffel au Qatar
car elle engendrait trop de frais supplémentaires.
C'est également cette année-là que LU annonce la sortie des Broculus,
de petits biscuits fourrés aux brocolis.
Le poisson d'avril prend donc bien des formes différentes.
Tant que tout le monde en rigole et que ça ne fait de mal à personne........
Donc :
Tout le monde connaît l'histoire "officielle" de la coutume du poisson d'avril, correspondant à l'hypothèse de la
réforme du calendrier:
-- en 1564, Charles IX décide, par l'"Edit de Roussillon", que l'année ne commence plus le premier avril, mais le premier janvier.
Cependant, comme cité plus haut :
- bon nombre d'hypothèses à la fois étymologiques, historiques ou religieuses remettent en question et le
sens du mot "poisson" et la signification de cette tradition.
Et selon
beaucoup de sources, le mot "poisson" n'aurait rien (ou preque rien) en commun avec le vertébré aquatique, étant en fait l'altération du mot "passion", celle qui arrive à Jésus-Christ le 3 avril, renvoyé de Caïphe à Pilate et de Pilate à Caïphe.
Et si cette hypothèse de la modification phonétique (bien séduisante et assez possible)
était vraie, ce serait l'une des méprises les plus singulières de l'histoire des traditions,
un quiproquo valant, à lui seul, le titre de canular...
- Que ce soit un acronyme intelligent,
- un mot-valise conciliant plusieurs symboles et rituels chrétiens ou
- tout simplement une énorme farce historique,
le poisson d'avril constitue l'une des fêtes profanes les plus... goûtées
.
Gaël Pollès, journaliste et fondateur de Pratiks décrypte nos traditions et croyances :
Le Poisson d’avril, tout le monde le sait, n’est autre chose qu’une attrape, un piège innocent (et bienséant, cela va sans dire) que l’on tend à quelque personne amie, parente ou familière, le premier jour de ce mois d’avril.
Donner un poisson d’avril à quelqu’un, c’est lui faire faire une démarche inutile, lui annoncer une nouvelle qu’on invente,
l’envoyer au-devant de quelqu’un qui ne vient pas, en un mot, se divertir un peu à ses dépens, et éprouver sa patience.
Poisson d’avril (Origine du) vidéo.
(D’après le « Journal de Verdun » paru en 1749,« Album littéraire et musical de la Minerve » paru en 1849
et« La Semaine des familles » paru en 1862) Chopin Etude Op. 25 No. 1
La journée internationale de la météorologie commémore l’entrée en vigueur,
le 23 mars 1950, de la Convention qui a institué l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM).
Cette organisation a contribué au progrès rapide
- des sciences météo-climatiques,
- des technologies connexes et
- de la coopération internationale.
Cette évolution s’est vite traduite par :
- la mise en place de systèmes opérationnels d’envergure mondiale pour la protection des personnes et des biens
et
- l’atténuation des effets des catastrophes naturelles,
ainsi que
- par la mise en oeuvre de toute une série d’activités socio-économiques menées au profit d’un développement durable défini comme le développement qui satisfait les besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs.
Une météo pas bien folichonne...
Aujourd’hui, plus que jamais, on s’aperçoit que l’économie mondiale est de plus en plus sensible au temps et au climat.
Toutes les activités humaines sont soumises à :
- l’influence du temps,
- du climat et
- de l’eau,
et un nombre croissant de ces activités dispose d’une marge de manoeuvre
de plus en plus réduite pour faire face aux risques.
En 2000,
l’Organisation des Nations Unies a affiné et recentré sa stratégie en faveur :
- d’un développement plus respectueux de l’environnement
- en incitant ses membres à réduire de moitié le pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable,
- mais aussi en favorisant la résolution des problèmes de vulnérabilité aux risques climatiques,
- en favorisant la prévention et
- en améliorant la qualité des interventions en cas de catastrophes.
Ces objectifs ont été développés dans le Plan de mise en oeuvre du Sommet mondial pour le développement durable (Johannesburg 2002).
Les progrès accomplis en ce qui concerne :
- l’observation à distance à l’aide de radars, de satellites et autres moyens de surveillance,
- le traitement des données et
- les communications ont permis de renforcer
considérablement la compréhension scientifique des processus physiques qui se produisent dans :
- l’atmosphère
et
- les océans
ainsi que
- leurs interactions avec les autres composantes du système terrestre.
Ces progrès ont débouché sur :
- une amélioration sans précédent de la qualité et de l’exactitude des prévisions et des alertes météorologiques.
Il est désormais possible d’établir des prévisions météorologiques déterministes :
- sept à dix jours à l’avance dans les régions extra tropicales
et
- trois à quatre jours à l’avance dans les régions tropicales.
Les nouveaux risques :
- La concentration accrue de gaz à effet de serre dans l’atmosphère vient aujourd'hui poser de nouveaux problèmres :
-- le changement climatique,
-- l’appauvrissement de la couche d’ozone stratosphérique,
-- la raréfaction des ressources en eau douce
-- et la pollution croissante de l’atmosphère et des eaux.
Parallèlement,
l’aggravation des conséquences des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes
- notamment des cyclones tropicaux,
- des inondations,
- des sécheresses et
- des vagues de froid ou de chaleur - dans plusieurs parties du monde fait peser une menace considérable sur le développement durable.
La météo façon livre des records :
- La moyenne annuelle des précipitations la plus faible du monde a été enregistrée à Arica (Chili).
Au cours des 59 dernières années, la moyenne annuelle n'a atteint que 0,8 mm.
- La moyenne annuelle des précipitations la plus élevée du monde a été enregistrée à Lloro (Colombie).
Au cours des 29 dernières années, la moyenne annuelle a atteint 13 230 mm.
- La température la plus élevée du monde (58 °C) a été enregistrée à El Azizia (Libye), le 13 septembre 1922.
- La température la plus basse du monde (-89.4°C) a été enregistrée à Vostok (Antarctique), le 21 juillet 1983.
- Le grêlon le plus gros (environ 45 cm de circonférence, plus de 14 cm de diamètre) a été ramassé et mesuré à Coffeyville, dans le Kansas, aux États-Unis, le 3 septembre 1970. Il pesait 755 grammes.
Le plus souvent, le diamètre des grêlons est inférieur à 5 cm.
- La chute de neige la plus importante du monde a eu lieu à Silver Lake, dans le Colorado, aux États-Unis, le 15 avril 1921. Un manteau de 190 cm d'épaisseur s'est formé en moins de 24 heures.
- Le flocon de neige le plus gros (il mesurait 20,3 cm sur 30,4 cm) du monde est tombé à Bratsk, en Sibérie, en 1971.
Entre 1992 et 2001 :
- Les catastrophes naturelles liées au temps et au climat ont tué environ 622 000 personnes.
- Affecté la vie de plus de deux milliards d'individus.
- Laissé derrière elles des millions de personnes sans-abri.
- Dévasté des terres arables .
- Contribué à la propagation des maladies.
Certaines études ont démontré que le nombre
des catastrophes naturelles liées au climat a été multiplié par trois au cours de ces trente dernières années.
et de
20 mars 2019
Il était une fois...
Histoire originale.
Celle d’une idée qui a germé dans l’esprit d’on ne sait qui.
Apparut peut-être par magie dans un monde qui regorge de mystères ou alors amoureusement préparée dans un lieu fantastique.
Et
voila que cette idée arrive jusqu’à nous, on a entendu un appel.
Et si nous fêtions les contes ?
Depuis 2004, le monde a donc choisi de célébrer à sa manière les contes
Un thème par année, voilà l’idée de base.
En cette journée, les conteurs du monde entier se retrouvent pour fêter à leur façon les belles histoires et les livres qui les renferment.
De plus, la volonté est de se diriger vers un public neuf, faire ou refaire découvrir les plaisirs de la lecture.
Par amour des bonnes choses, enchanter nos oreilles par des lectures publiques et organisations d’événements comme des parcours contés.
Amoureux des livres et de la lecture notez ce rendez-vous sur vos agendas, nous n’avons pas encore écrit les dernières lignes de cette histoire.
Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants Ben oui, quoi ! ça finit toujours comme cela...
« La Journée Mondiale du Conte a ses racines dans une journée nationale pour la narration créée en Suède, vers 1991-1992.
A cette époque, une manifestation a été organisée le 20 mars en Suède, appelée "Alla berättares dag" (Jour de tous les conteurs).
Le réseau de contes national suédois s’est éteint quelque temps après, mais cette journée a continué d’exister, célébrée à travers le pays par différents passionnés.
En 1997, les conteurs de Perth, en Australie occidentale, ont organisé une longue célébration de cinq semaines autour du conte, et le 20 mars est devenue la journée internationale des narrateurs oraux.
En même temps, au Mexique et dans d'autres pays d'Amérique du Sud, le 20 mars a été considérée comme la Journée Nationale des conteurs. »
EXEMPLES Contes de Perrault