COLPORTEUR : Les métiers ambulants sont vite devenus une nécessité dans les régions les plus difficiles. Pour les paysans-colporteurs d’origine, les départs temporaires peuvent parfois devenir définitifs. Et ces hommes rudes, rompus aux longues marches, deviennent alors colporteurs à part entière.
La marmotte en bandoulière
C’est surtout dans les zones de montagne que le métier de colporteur fait le plus d’adeptes. L’hiver, les activités agricoles et pastorales tournant au ralenti, l’un des membres de la famille peut ainsi prendre la route, marmotte en bandoulière, pour diffuser toutes sortes de produits achetésen gros à la ville la plus proche.
À l’origine, c’est d’ailleurs grâce aux colporteurs savoyards qui exhibent une marmotte dans une boîte en bois que ce terme apparaît pour désigner la mallette contenant les articles destinés à la vente.
À la fin du XIXème siècle, les hommes vendent plutôt des lunettes, des dés à coudre, des ciseaux, des bagues fantaisie ou des alliances en cuivre, des almanachs (pratiquement l’un des seuls écrits diffusés dans les campagnes avec la Bible),
tandis que, de leur côté, les femmes proposent des foulards, des rubans, de la dentelle, du fil à coudre et à broder et des aiguilles.
Selon les ressources locales, certains marchands ambulants exportent des pierres à aiguiser, ployant sous leur lourde charge, tandis que d’autres vendent des articles de religion.
Un ambulant original : le diseur de prières.
On peut bien sûr associer aux colporteurs tous les autres métiers ambulants qui sont légion jusqu’au début du XXème siècle.
Le diseur de prières en est un qui n’est pas toujours accueilli favorablement.
Mais, en bon commerçant, il sait se constituer au fil des ans son réseau de maisons amies.
Lui, ne transporte qu’un petit autel dépliant et quelques statuettes minuscules.
Il s’installe dans un coin de la maison, béret bas, et met une demi-heure environ à réciter à voix basse les sept psaumes de la Pénitence, chargés de conjurer le mauvais sort et de protéger tous ceux, bêtes et gens, qui vivent sous le même toit.
Pour tout paiement, on lui donne le gîte (une brassée de paille dans la grange) et le couvert, le plus souvent un peu de lard et un morceau de pain.
Certains clients aussi dévots que généreux lui octroient une piécette.
Parfois, il vend aussi quelques images pieuses.
Isabelle Sandy, grande poétesse fuxéenne, rapporte qu’en Haute-Ariège l’un d’entre eux, dont la notoriété semblait justifier les tarifs, demandait un sou pour un Pater et un Ave, deux sous et un litre de vin pour sept psaumes !
L’activité de diseur de prières est généralement pratiquée par les hommes.
Au cours de nos enquêtes en Haute-Ariège, nous avons découvert toutefois une exception à cette règle.
Au village de Lapège, dans la vallée du Vicdessos, à la fin du XIXème siècle, vivait une mademoiselle Franc qui partait dire les sèt-sants (les sept Psaumes) un peu partout dans la région, bien qu’elle fut déjà âgée.
Un jour, elle ne revint pas au village et personne n’entendit plus parler d’elle. On ne sait ce qu’elle est devenue. Sans doute décédée le long d’un chemin ou au fond d’un ravin
Certains de ces démarcheurs à domicile d’autrefois ont une autre spécialité et se proposent en tant que prestataires de services.
Mais il faut posséder quasiment un don, ou tout au moins un savoir-faire particulier.
Dans sa forme extraordinaire, le baptême du Seigneur est fêté le 13 janvier. L'Eglise catholique, dans le rite romain, fête le baptême du Seigneur le dimanche qui suit l'Épiphanie.
Jean-Baptiste baptise dans le Jourdain un baptême de conversion : - les Juifs traversaient le Jourdain pour se faire baptiser par Jean-Baptiste, à travers ce baptême ils se reconnaissaient pécheurs, et pouvaient de nouveau entrer dans la Terre Promise après leur baptême. James Seward
C'est dans ce contexte qu'a lieu d'après les évangiles le baptême de Jésus-Christ.
Le lieu du Jourdain a une signification particulière dans la Bible : - dans l' Ancien Testament , c'est l'une des limites de la Terre promise aux Hébreux menés par Moïse . Moïse n'ayant pas le droit d'entrer dans la Terre promise, il ne peut pas franchir le Jourdain.
Le baptême du Christest un des épisodes de la vie du Christ: - Il est relaté dans les trois Évangiles synoptiques. L'Église orthodoxe célèbre cet événement le 19 janvier (calendrier grégorien)
Je suis de l'avis de Christine il y a des fèves qui sont vraiment belles . Perso j 'ai une préférence pour les petits santons .Merci Victoria ...et de l'avis de Violetta pour les timbres , le grand d'Australie avec les rois mages est magnifique . Merci Christine Merci Clodisa pour Boule et Bill : j'adore ! Vive la galette ! ( et les papillotes ) ...miam miam Coucou Mimit !
Les métiers ambulants sont vite devenus une nécessité dans les régions les plus difficiles.
Pour les paysans-colporteurs d’origine, les départs temporaires peuvent parfois devenir définitifs.
Et ces hommes rudes, rompus aux longues marches, deviennent alors colporteurs à part entière.
La marmotte en bandoulière
C’est surtout dans les zones de montagne que le métier de colporteur fait le plus d’adeptes.
L’hiver, les activités agricoles et pastorales tournant au ralenti, l’un des membres de la famille peut ainsi prendre la route,
marmotte en bandoulière, pour diffuser toutes sortes de produits achetésen gros à la ville la plus proche.
À l’origine, c’est d’ailleurs grâce aux colporteurs savoyards qui exhibent une marmotte dans une boîte en bois que ce terme apparaît pour
désigner la mallette contenant les articles destinés à la vente.
À la fin du XIXème siècle,
les hommes vendent plutôt
des lunettes,
des dés à coudre,
des ciseaux,
des bagues fantaisie ou
des alliances en
cuivre,
des almanachs
(pratiquement l’un des seuls écrits diffusés dans les campagnes avec la Bible),
tandis que, de leur côté, les femmes
proposent des foulards, des rubans, de la dentelle, du fil à coudre et à broder et des aiguilles.
Selon les ressources locales, certains marchands ambulants exportent des
pierres à aiguiser, ployant sous leur lourde charge,
tandis que d’autres vendent des articles de religion.
Un ambulant original : le diseur de prières.
On peut bien sûr associer aux colporteurs tous
les autres métiers ambulants qui sont légion jusqu’au début du XXème siècle.
Le diseur de prières en est un qui n’est pas toujours accueilli favorablement.
Mais, en bon commerçant, il sait se constituer au fil des ans son réseau de maisons amies.
Lui, ne transporte qu’un petit autel dépliant et quelques statuettes minuscules.
Il s’installe dans un coin de la maison, béret bas, et met une demi-heure environ à réciter à voix basse les sept psaumes de la Pénitence,
chargés de conjurer le mauvais sort et de protéger tous ceux, bêtes et gens,
qui vivent sous le même toit.
Pour tout paiement, on lui donne le gîte
(une brassée de paille dans la grange)
et le couvert, le plus souvent un peu de lard et un morceau de pain.
Certains clients aussi dévots que généreux lui octroient une piécette.
Parfois, il vend aussi quelques images pieuses.
Isabelle Sandy, grande poétesse fuxéenne,
rapporte qu’en Haute-Ariège l’un d’entre eux, dont la notoriété semblait justifier les tarifs,
demandait un sou pour un Pater et un Ave,
deux sous et un litre de vin pour sept psaumes !
L’activité de diseur de prières est généralement pratiquée par les hommes.
Au cours de nos enquêtes en Haute-Ariège, nous avons découvert toutefois
une exception à cette règle.
Au village de Lapège, dans la vallée du Vicdessos, à la fin du XIXème siècle,
vivait une mademoiselle Franc qui partait dire les sèt-sants
(les sept Psaumes)
un peu partout dans la région, bien qu’elle fut déjà âgée.
Un jour, elle ne revint pas au village et personne n’entendit plus parler d’elle.
On ne sait ce qu’elle est devenue.
Sans doute décédée le long d’un chemin ou au fond d’un ravin
Certains de ces démarcheurs à domicile d’autrefois ont une autre spécialité et se proposent en tant que prestataires de services.
Mais il faut posséder quasiment un don, ou tout au moins un savoir-faire particulier.
jolies les photos de Marie et bébé Jésus
représentation de la vierge Marie et de son enfant Jésus :
la maternité bleue, modele pour le gemmail d'art sacré
Dans sa forme extraordinaire, le baptême du Seigneur est fêté le 13 janvier.
L'Eglise catholique, dans le rite romain, fête le baptême du Seigneur le dimanche qui suit l'Épiphanie.
Jean-Baptiste baptise dans le Jourdain un baptême de conversion :
- les Juifs traversaient le Jourdain pour se faire baptiser par Jean-Baptiste,
à travers ce baptême ils se reconnaissaient pécheurs, et pouvaient de nouveau entrer dans
la Terre Promise après leur baptême.
C'est dans ce contexte qu'a lieu d'après les évangiles le baptême de Jésus-Christ.
Le lieu du Jourdain a une signification particulière dans la Bible :
- dans l' Ancien Testament ,
c'est l'une des limites de la Terre promise aux Hébreux menés par Moïse .
Moïse n'ayant pas le droit d'entrer dans la Terre promise, il ne peut pas franchir le Jourdain.
Le baptême du Christ est un des épisodes de la vie du Christ :
- Il est relaté dans les trois Évangiles synoptiques.
L'Église orthodoxe célèbre cet événement le 19 janvier (calendrier grégorien)
Le baptême du Christ ou le baptême du jourdain
"Ravenne, capitale de la Mosaïque"
Vive la galette ! ( et les papillotes