Auprès d’un arbre, on vit vraiment heureux Une nouvelle étude britannique met en évidence les avantages de la verdure sur la santé mentale, rapporte Atlantico. Quand on a les idées noires, mieux vaut se mettre au vert. Selon un rapport publié dans la revue Landscape and Urban Planning, les Londoniens qui habitent dans des rues bordées d’arbres consomment moins d’antidépresseurs que les autres. Source de bonheur « On a déjà démontré que la présence d’espaces verts rend plus heureux, il est donc logique que cela joue sur la prescription d’antidépresseurs », confirme le médecin Philippe Rodet sur le site d’Atlantico. La proximité d’un espace vert est une source de bonheur importante comme le fait de se marier ou d’avoir un travail. Paysage naturel Peut-on se contenter d’un joli poster si les vrais arbres sont trop loin? « Le fait de regarder un paysage agréable naturel diminue les effets du stress. En revanche, si l’on photographie ce paysage et si l’on regarde un poster réalisé à partir de ce paysage, il n’y a plus d’effet sur notre bien-être. Il faut donc que le paysage soit naturel. »
Source: handmade-saratov.ru Bibury est souvent désigné comme la plus belle ville en Angleterre, et pour une bonne raison. La ville a été mentionné dans le Domesday Book de 1086 et a heureusement été pris au piège dans le passé depuis. La plupart de la ville est encore comme il ya des centaines d'années et la rivière Coin domine encore la rue principale. Source: wikipedia.org
Bibury est un petit villageanglais situé dans le district de Cotswold et le comté du Gloucestershire. C'est un village pittoresque typique des Cotswolds. L'artiste et artisan William Morris appela Bibury «le plus beau village d'Angleterre» lors de sa visite du village. Les cottages datent en majorité du XVIIe siècle, sont bâtis de pierres couleur miel et ont des toits en pente raide. La rivière Coln coule à travers le village, le long de la rue principale. Les attractions de Bibury incluent une ferme de truites (1902), où quelque 10 millions de truites arc-en-ciel naissent chaque année. À la fin du XIXe siècle, George Witts raconta la découverte de la villa romaine de Bibury : « Au cours de l'année 1880, une villa romaine a été découverte accidentellement dans la paroisse de Bibury, à environ six milles au nord-est de Cirencester. Certaines poteries romaines, des pièces de monnaie, des restes de trottoirs ont été trouvés, mais aucun examen n'a encore eu lieu, et aucune description de la villa ne peut être donnée1. »
Quelques conseils pour limiter votre exposition à la pollution quand vous êtes contraint de travailler à Paris ou dans une grande ville.
Selon une étude du CNRS publiée lundi 24 novembre, respirer à Paris pourrait parfois avoir les mêmes conséquences que le tabagisme passif. En cause, la pollution et plus particulièrement celle liée aux particules fines. Mais attention, la pollution est aussi présente à l'intérieur de nos maisons. Personne n’échappe pas à la pollution, pas même en intérieur, chez soi, mais il est possible de limiter les conséquences. Se protéger la bouche et le nez avec une écharpe ou un masque classique ne sert à rien. Mieux vaut éviter les déplacements à pieds ou à vélo sur les grands axes ou les rues trop étroites (car la pollution s’y condense). Malgré l’air pollué, aérer systématiquement les intérieurs, aux heures creuses de circulation. Atlantico : Quels sont les gestes à adopter pour se protéger de la pollution lorsque l'on est contraint de vivre en zone urbaine ? Pierre Souvet : Personne n'échappe à la pollution. On est tous soumis aux effets néfastes en période de pollution aigue comme que le montre cette étude du CNRS, mais le plus important est la pollution chronique qui fait que nous sommes tous les jours soumis, notamment dans les zones urbaines et encore plus à Paris, à de fines particules, supérieures aux normes de qualités de l'air définies par l'OMS (la référence étant la ville de Stockholm). Pour s'en protéger, il faut simplement éviter de s'approcher des lieux où la pollution est maximale, comme les lieux de circulation. Eviter de faire son jogging le long des voies de circulations, ne pas promener ses enfants là où la circulation est dense mais plutôt dans les parcs où la pollution se dilue un petit peu (celle-ci n'est pas homogène partout). Pour les personnes plus sensibles, les personnes âgées et celles souffrant de maladies cardiovasculaires, il faut leur dire de ne pas faire d'efforts lors de fortes pollutions. En ce qui concerne les automobilistes, l'intérieur de (...)lire la suite sur Atlantico
Iced Fleurs: bouquets de fleurs exotiques enfermés dans des blocs de glace par MakotoAzuma L'artiste botanique décrit lui-même Makoto Azuma est d'essayer de changer la façon dont nous regardons des fleurs. Il a utilisé l'eau et de la stratosphère comme toile de fond pour ses arrangements de fleurs exotiques mais maintenant il expérimente avec de la glace. Dans sa dernière exposition "Iced Fleurs," Azuma verrouille bouquets de fleurs dans les grands blocs de glace et les affiche comme des piliers. Placé dans une chambre inorganique, les «fleurs montreront expressions uniques qu'ils ne se affichent pas dans la vie quotidienne", dit Azuma. L'installation, tenue la semaine dernière au Japon, était de nature temporaire, mais l'artiste a fait en sorte de préserver les images.
Le Seul et Unique Moyen de Savoir si vos Oeufs sont Vraiment Bio ou Label Rouge.
1Ce n'est pas parce que c'est marqué sur la boite que c'est vrai. L'emballage est souvent trompeur et le mode d'élevage indiqué n'est pas forcément celui que vous croyez. Le plus courant est de se faire tromper dans les marchés où le commerçant nous fait croire que la poule a été élevé en pleine air à la ferme alors qu'ils s'agit souvent d'oeufs élevés en batterie... Alors, pour être sûr que les poules ont bien été élevées en plein air comme c'est indiqué sur la boite, pour être certain que vos oeufs proviennent de l'agriculture biologique, il n'existe qu'un seul critère : le numéro de série inscrit sur chaque oeuf.
Ce n'est pas parce que c'est marqué sur la boite que c'est vrai. L'emballage est souvent trompeur et le mode d'élevage indiqué n'est pas forcément celui que vous croyez. Le plus courant est de se faire tromper dans les marchés où le commerçant nous fait croire que la poule a été élevé en pleine air à la ferme alors qu'ils s'agit souvent d'oeufs élevés en batterie... Alors, pour être sûr que les poules ont bien été élevées en plein air comme c'est indiqué sur la boite, pour être certain que vos oeufs proviennent de l'agriculture biologique, il n'existe qu'un seul critère : le numéro de série inscrit sur chaque oeuf.
Comment déchiffrer ce numéro de série ? Voici le seul et unique truc à connaître pour ne plus se faire avoir. Le premier chiffre qui figure sur ce numéro de série permet de déterminer le mode d’élevage à coups sûrs :
- 0 pour les poules issues de l’agriculture biologique,
- 1 pour les poules élevées en plein air,
- 2 pour les poules élevées au sol,
- 3 pour les poules élevées en cage. Les deux lettres qui suivent désignent le pays de provenance de l’œuf.
FR = France. Enfin, les 5 derniers éléments du code comportent des informations sur le producteur, et sur le bâtiment de ponte duquel provient l’œuf. Pour vous montrer comment ça marche, je prends un oeuf dans mon frigo.
Le code est 0FRJGI4/5. En lisant l'inscription dans l'ordre, je sais que cet oeuf provient de l'agriculture biologique et qu'il est issu d'un élevage français.
Qui a inventé le pain ? Les historiens considèrent que ce sont les égyptiens qui ont inventé le pain au Vème millénaire avant notre ère.La légende raconte qu'un boulanger égyptien très distrait , aurait oublié sa pâte de céréales dans un coin au lieu de la cuire... Elle aurait ainsi eu le temps de fermenter et de donner naissance au premier pain levé du monde. Les Égyptiens disposaient des terres fertiles des berges du Nil où se sont développées très tôt les cultures de céréales, en abondance. On leur doit de nombreuses inventions, dont le tamis à farines.
Les Grecs découvrirent à leur tour le pain, et leur ingéniosité leur permit d'améliorer rapidement la technique et de diversifier les produits. Ils conçoivent le moulin olynthien constitué de 2 meules carrées superposées et animées par des esclaves à l'aide d'un levier (vers 2.700 ans avant notre ère). C'est aussi en Grèce Antique que naît le métier de boulanger. Les boulangers grecs confectionnent le painet les premières pâtisseries. Ils pouvaient déjà proposer jusqu'à 72 variétés de pains au 2ème siècle avant JC. C'est dire l'importance du pain dans l'alimentation de cette civilisation majeure.
C'est au contact de la civilisation grecque que les Romains ont découvert l'art de fabriquer le pain. Ils ont ramené chez eux des boulangers Hellènes réduits à l'état d'esclave, qui leur ont enseigné l'art de fabriquer du pain. Les Romains développent la culture du blé à tel point que vers le 1er siècle de notre ère, sa culture est présente dans tout l'empire romain ! Les Romains améliorent la technique des Grecs en affinant les méthodes du pétrissage de la pâte et poussent le raffinement jusqu'à confectionner des pains en forme de lyre, d'oiseaux,d'étoiles... Le pain était célébré comme un dieu. Au 1er siècle après J.C, Pline l'Ancien, naturaliste romain, raconte que « les pains Gaulois et Ibériques, auxquels on incorpore de l'écume de bière (c'est-à-dire la levure remontée à la surface du liquide au cours de la fermentation de la bière), sont réputés pour leur légèreté ». Cela illustre bien qu'il y a eu sans doute, pendant de nombreuses années, un lien entre la production de pain avec celle de la bière.
Durant la 1ère Guerre Mondiale le pain fut un aliment de luxe car très rare. Il n'y avait plus de blé, les champs servant aux batailles. La mobilisation des boulangers sur le front posait problème, notamment pour trouver des personnes aptes physiquement au pétrissage manuel. Les femmes remplacèrent les hommes au travail. Mais elles surent s'équiper de matériels pour leur faciliter la tâche : les pétrins mécaniques se développèrent fortement pendant cette période ! L'Europe survécut aussi grâce à l'importation du blé américain. Les Etats-Unis refusèrent de livrer l'Allemagne et l'Autriche : les céréales étaient alors un moyen de pression politique et économique. Les années 20 furent une période d'insouciance et de légèreté. Le pain était de nouveau accessible. C'est dans ce contexte que naît la baguette qui connut un immense succès. Elle est d'ailleurs devenue le symbole de la France à travers le monde.
Les années suivantes furent beaucoup moins gaies : la Seconde Guerre Mondiale éclate et apporte son lot de désolations et de pénuries. Le pain est rationné et de très mauvaise qualité : c'est un pain gris préparé avec un mélange de farine complète, de blé et de farines de fèves, maïs, orge, pommes de terre, riz... Autant dire que ce pain n'avait pas la saveur des jours heureux !
Après la Seconde Guerre Mondiale, le pain blanc remporta un énorme succès. Le pain noir rappelant trop les années de guerre, on ne voulait plus en entendre parler ! Cependant, les années 50 furent des années de prospérité. La hausse du salaire moyen permit aux gens d'accéder à denombreux produits alimentaires : fromage, viande, poisson... Le pain est délaissé et on observe une chute vertigineuse de la consommation du pain... On l'accusa de faire grossir, d'être la nourriture du « pauvre »... Même « la nouvelle cuisine » des années 80 ne supporte pas l'idée de servir du pain à table ! Heureusement, le pain est de nouveau à la fête, mais pas n'importe quel pain ! Les consommateurs deviennent exigeants et veulent du pain authentique au goût savoureux etaux apports nutritionnels bénéfiques pour la forme et la santé. De cette vague de bien-être naît le désir de faire son pain soi-même, en choisissant ses ingrédients, en testant de nouveaux mélanges et se faisant plaisir en reproduisant les gestes du boulanger et en fabriquant un bon pain chaud et croustillant.
Ces seniors toujours actifs qui défient les stéréotypes Beaucoup d'entre nous se sont rendus coupables de tenir ce genre de stéréotype injuste qui dit que, une fois que nous vieillissons, nos meilleurs jours sont derrière nous et que nous ne pouvons plus réaliser pleinement nos rêves. Le photographe russe Vladimir Yakovlev a ainsi tenu à passer outre les stéréotypes, en prouvant à tout le monde que tous les seniors n'étaient pas destinés à vivre dans les maisons de retraite. Qu'ils soient âgés de 80, 90 ou 100 ans, certains ont su rester actifs, et n'hésitent pas à poursuivre leurs rêves ou essayer de nouvelles choses. Il n'y a pas d'âge pour commencer à vivre, preuve en est faite : Vladimiryakovlev.ru Lloyd Kahn, 78 ans, skateboarder depuis l'âge de 65 ans Robert Marchand, cycliste à 102 ans Annette Larkins, 70 ans, végétalienne depuis l'âge de 40 ans Cette mamie de 72 ans, DJ depuis l'âge de 68 ans Yvonne Dowlen, jeune patineuse de 87 ans Doris Long, qui a commencé l'escalade à l'âge de 85 ans Lynn Ruth Miller, 80 ans, qui a commencé la comédie et le stand-up à l'âge de 70 ans Le Dr Jeffrey, 70 ans, qui a commencé à prendre soin de son corps il y a 10 ans Duan Tzinfu, 73 ans, expert en mouvements Tzinfu Tellement fort que les plus jeunes n'arrivent pas à le concurrencer Alexander Rozental, skieur à 96 ans Greta Pontarelly, 61 ans, pole dancing Cindy Joseph, 61 ans, modèle photo depuis des années Jim Morris, 78 ans, bodybuilder devenu végétarien à 50 ans, et végétalien 15 ans plus tard Pat Moorhead et Alicia, 81 et 66 ans, parachutistes Badich Valentin, 75 ans, roi du boogie-woogie Madonna Buder, 83 ans, marathonienne et religieuse Paul Fegen, 78 ans, magicien, et ancien multi-millionaire Jacqueline Murdock, devenue modèle à 82 ans Ce globe-trotter de 70 ans, qui part chaque année photographier le monde Ou ce groupe de femmes âgée de 50 à 75 ans, expertes en Aïkido
COMPAGNIE REPUBLICAINE DE SECURITE LES C R S Les Compagnies républicaines de sécurité, également connues sous le sigle CRS, sont un corps de la police nationale en France, intervenant dans les manifestations, mais aussi dans la protection civile. Elles ont été créées par un décret du 8 décembre 1944 par le Général De Gaulle.
Le sigle « CRS » désigne d'abord une compagnie, mais dans la langue courante, par métonymie, « un CRS » est un policier affecté dans une « compagnie républicaine de sécurité ».
La devise des compagnies républicaines de sécurité est « Servir ».
Forces civiles, réserves générales de la police nationale, les CRS ont un double impératif de disponibilité et de mobilité, leur conférant une importante rapidité de projection.
Voici les principales missions de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) :
-maintien de l’ordre et services d’ordre et de sécurité lors des grands évènements (sommet de chefs d'État, déplacement de ministre, etc.), des rencontres sportives (matchs de foot), des rassemblements de foule (spectacles, festivals, etc.) et des conflits sociaux (manifestations, grèves massives, etc.)
-surveillance des plages (MNS : maîtres nageurs sauveteur) en période estivale,(fonctionnaires issus des unités de maintien de l'ordre) -sauvetage dans un massif en haute montagne en alternance avec la Gendarmerie nationale (une semaine sur deux) toute l'année - lutte contre les violences urbaines, -sécurité routière et surveillance des autoroutes (autoroutes de contournement des grandes agglomérations (gratuites), -organisation d'actions à destination de la jeunesse : piste d'éducation routière, rocher d'escalade et de prévention de la délinquance (centresde loisirs jeunes en période estivale) -musée des CRS -musique de la Police nationale.
CELA FAIT PENSER UN PEU AU PEINTRE RENE MAGRITTE
Une nouvelle étude britannique met en évidence les avantages de la
verdure sur la santé mentale, rapporte Atlantico.
Quand on a les idées noires, mieux vaut se mettre au vert. Selon un rapport
publié dans la revue Landscape and Urban Planning, les Londoniens qui
habitent dans des rues bordées d’arbres consomment moins d’antidépresseurs
que les autres.
Source de bonheur
« On a déjà démontré que la présence d’espaces verts rend plus heureux,
il est donc logique que cela joue sur la prescription d’antidépresseurs »,
confirme le médecin Philippe Rodet sur le site d’Atlantico.
La proximité d’un espace vert est une source de bonheur
importante comme le fait de se marier ou d’avoir un travail.
Paysage naturel
Peut-on se contenter d’un joli poster si les vrais arbres sont trop
loin? « Le fait de regarder un paysage agréable naturel diminue les
effets du stress. En revanche, si l’on photographie ce paysage et si
l’on regarde un poster réalisé à partir de ce paysage, il n’y a plus
d’effet sur notre bien-être. Il faut donc que le paysage soit naturel. »
Source: handmade-saratov.ru
Bibury est souvent désigné comme la plus belle ville en Angleterre, et pour une bonne raison. La ville a été mentionné dans le Domesday Book de 1086 et a heureusement été pris au piège dans le passé depuis. La plupart de la ville est encore comme il ya des centaines d'années et la rivière Coin domine encore la rue principale. Source: wikipedia.org
Bibury est un petit village anglais situé dans le district de Cotswold et le comté du Gloucestershire. C'est un village pittoresque typique des Cotswolds.
L'artiste et artisan William Morris appela Bibury «le plus beau village d'Angleterre» lors de sa visite du village. Les cottages datent en majorité du XVIIe siècle, sont bâtis de pierres couleur miel et ont des toits en pente raide.
La rivière Coln coule à travers le village, le long de la rue principale. Les
attractions de Bibury incluent une ferme de truites (1902), où quelque
10 millions de truites arc-en-ciel naissent chaque année.
À la fin du XIXe siècle, George Witts raconta la découverte de la villa romaine de Bibury :
« Au cours de l'année 1880, une villa romaine a été découverte
accidentellement dans la paroisse de Bibury, à environ six milles au
nord-est de Cirencester. Certaines poteries romaines, des pièces de monnaie, des restes de
trottoirs ont été trouvés, mais aucun examen n'a encore eu lieu, et
aucune description de la villa ne peut être donnée1. »
Quelques conseils pour limiter votre exposition à la pollution quand vous êtes
contraint de travailler à Paris ou dans une grande ville.
Selon une étude du CNRS publiée lundi 24 novembre, respirer à Paris pourrait
parfois avoir les mêmes conséquences que le tabagisme passif. En cause,
la pollution et plus particulièrement celle liée aux particules fines.
Mais attention, la pollution est aussi présente à l'intérieur de nos
maisons.
Personne n’échappe pas à la pollution, pas même en intérieur, chez soi, mais il est possible
de limiter les conséquences.
Se protéger la bouche et le nez avec une écharpe ou un masque classique ne sert à rien.
Mieux vaut éviter les déplacements à pieds ou à vélo sur les grands axes ou
les rues trop étroites (car la pollution s’y condense).
Malgré l’air pollué, aérer systématiquement les intérieurs, aux heures creuses de circulation.
Atlantico : Quels sont les gestes à adopter pour se protéger de la pollution lorsque l'on est
contraint de vivre en zone urbaine ? Pierre Souvet : Personne n'échappe à la pollution.
On est tous soumis aux effets néfastes en période de pollution aigue comme que le montre
cette étude du CNRS, mais le plus important est la pollution chronique qui fait que nous
sommes tous les jours soumis, notamment dans les zones urbaines et encore plus à Paris,
à de fines particules, supérieures aux normes de qualités de l'air définies par l'OMS
(la référence étant la ville de Stockholm).
Pour s'en protéger, il faut simplement éviter de s'approcher des lieux où la
pollution est maximale, comme les lieux de circulation. Eviter de faire
son jogging le long des voies de circulations, ne pas promener ses
enfants là où la circulation est dense mais plutôt dans les parcs où la
pollution se dilue un petit peu (celle-ci n'est pas homogène partout).
Pour les personnes plus sensibles, les personnes âgées et celles
souffrant de maladies cardiovasculaires, il faut leur dire de ne pas
faire d'efforts lors de fortes pollutions.
En ce qui concerne les automobilistes, l'intérieur de (...)lire la suite sur Atlantico
Paris : selon une étude, la pollution serait aussi nocive que le tabagisme passif
Les députés votent l'interdiction du sac en plastique... mais son alternative est plus polluante
Pollution + allergies : la France en alerte au mix infernal.
L'artiste botanique décrit lui-même Makoto Azuma est d'essayer de changer la façon dont nous regardons des fleurs. Il a utilisé l'eau et de la stratosphère comme toile de fond pour ses arrangements de fleurs exotiques mais maintenant
il expérimente avec de la glace. Dans sa dernière exposition "Iced
Fleurs," Azuma verrouille bouquets de fleurs dans les grands blocs de
glace et les affiche comme des piliers. Placé dans une chambre
inorganique, les «fleurs montreront expressions uniques qu'ils ne se
affichent pas dans la vie quotidienne", dit Azuma. L'installation, tenue
la semaine dernière au Japon, était de nature temporaire, mais
l'artiste a fait en sorte de préserver les images.
1 Ce n'est pas parce que c'est marqué sur la boite que c'est vrai. L'emballage est souvent
trompeur et le mode d'élevage indiqué n'est pas forcément celui que vous
croyez. Le plus courant est de se faire tromper dans les marchés où le
commerçant nous fait croire que la poule a été élevé en pleine air à la
ferme alors qu'ils s'agit souvent d'oeufs élevés en batterie... Alors,
pour être sûr que les poules ont bien été élevées en plein air comme
c'est indiqué sur la boite, pour être certain que vos oeufs proviennent
de l'agriculture biologique, il n'existe qu'un seul critère : le numéro
de série inscrit sur chaque oeuf.
Ce n'est pas parce que c'est marqué sur la boite que c'est vrai. L'emballage est
souvent trompeur et le mode d'élevage indiqué n'est pas forcément celui
que vous croyez. Le plus courant est de se faire tromper dans les
marchés où le commerçant nous fait croire que la poule a été élevé en
pleine air à la ferme alors qu'ils s'agit souvent d'oeufs élevés en
batterie... Alors, pour être sûr que les poules ont bien été élevées en
plein air comme c'est indiqué sur la boite, pour être certain que vos
oeufs proviennent de l'agriculture biologique, il n'existe qu'un seul
critère : le numéro de série inscrit sur chaque oeuf.
Comment déchiffrer ce numéro de série ? Voici le seul et unique truc à
connaître pour ne plus se faire avoir. Le premier chiffre qui figure sur
ce numéro de série permet de déterminer le mode d’élevage à coups sûrs :
- 0 pour les poules issues de l’agriculture biologique,
- 1 pour les poules élevées en plein air,
- 2 pour les poules élevées au sol,
- 3 pour les poules élevées en cage. Les deux lettres qui suivent désignent le pays de provenance de l’œuf.
FR = France. Enfin, les 5 derniers éléments du code comportent des
informations sur le producteur, et sur le bâtiment de ponte duquel
provient l’œuf. Pour vous montrer comment ça marche, je prends un oeuf
dans mon frigo.
Le code est 0FRJGI4/5. En lisant l'inscription dans l'ordre, je sais que
cet oeuf provient de l'agriculture biologique et qu'il est issu d'un
élevage français.
Les historiens considèrent que ce sont les égyptiens qui ont inventé le pain au
Vème millénaire avant notre ère.La légende raconte qu'un boulanger égyptien très distrait ,
aurait oublié sa pâte de céréales dans un coin au lieu de la cuire...
Elle aurait ainsi eu le temps de fermenter et de donner naissance au premier pain levé du monde.
Les Égyptiens disposaient des terres fertiles des berges du Nil où se sont développées
très tôt les cultures de céréales, en abondance.
On leur doit de nombreuses inventions, dont le tamis à farines.
Les Grecs découvrirent à leur tour le pain, et leur ingéniosité leur
permit d'améliorer rapidement la technique et de diversifier les
produits. Ils conçoivent le moulin olynthien constitué de 2 meules
carrées superposées et animées par des esclaves à l'aide d'un levier
(vers 2.700 ans avant notre ère).
C'est aussi en Grèce Antique que naît le métier de boulanger.
Les boulangers grecs confectionnent le painet les premières pâtisseries.
Ils pouvaient déjà proposer jusqu'à 72 variétés de pains au 2ème siècle avant JC.
C'est dire l'importance du pain dans l'alimentation de cette civilisation majeure.
C'est au contact de la civilisation grecque que les Romains ont découvert
l'art de fabriquer le pain. Ils ont ramené chez eux des boulangers
Hellènes réduits à l'état d'esclave, qui leur ont enseigné l'art de
fabriquer du pain. Les Romains développent la culture du blé à tel point
que vers le 1er siècle de notre ère, sa culture est présente dans tout
l'empire romain !
Les Romains améliorent la technique des Grecs en affinant les méthodes
du pétrissage de la pâte et poussent le raffinement jusqu'à confectionner des pains
en forme de lyre, d'oiseaux,d'étoiles... Le pain était célébré comme un dieu.
Au 1er siècle après J.C, Pline l'Ancien, naturaliste romain, raconte que « les pains
Gaulois et Ibériques, auxquels on incorpore de l'écume de bière
(c'est-à-dire la levure remontée à la surface du liquide au cours de la
fermentation de la bière), sont réputés pour leur légèreté ». Cela
illustre bien qu'il y a eu sans doute, pendant de nombreuses années, un
lien entre la production de pain avec celle de la bière.
Durant la 1ère Guerre Mondiale le pain fut un aliment de luxe car très rare.
Il n'y avait plus de blé, les champs servant aux batailles.
La mobilisation des boulangers sur le front posait problème, notamment pour
trouver des personnes aptes physiquement au pétrissage manuel.
Les femmes remplacèrent les hommes au travail. Mais elles surent s'équiper
de matériels pour leur faciliter la tâche : les pétrins mécaniques se
développèrent fortement pendant cette période !
L'Europe survécut aussi grâce à l'importation du blé américain. Les Etats-Unis refusèrent
de livrer l'Allemagne et l'Autriche : les céréales étaient alors un
moyen de pression politique et économique.
Les années 20 furent une période d'insouciance et de légèreté.
Le pain était de nouveau accessible. C'est dans ce contexte que naît la baguette
qui connut un immense succès. Elle est d'ailleurs devenue le symbole de la France à
travers le monde.
Les années suivantes furent beaucoup moins gaies : la Seconde Guerre Mondiale
éclate et apporte son lot de désolations et de pénuries. Le pain est rationné et
de très mauvaise qualité : c'est un pain gris préparé avec un mélange de farine complète,
de blé et de farines de fèves, maïs, orge, pommes de terre, riz...
Autant dire que ce pain n'avait pas la saveur des jours heureux !
Après la Seconde Guerre Mondiale, le pain blanc remporta un énorme succès.
Le pain noir rappelant trop les années de guerre, on ne voulait plus en entendre parler !
Cependant, les années 50 furent des années de prospérité. La hausse du salaire moyen
permit aux gens d'accéder à denombreux produits alimentaires : fromage, viande, poisson...
Le pain est délaissé et on observe une chute vertigineuse de la consommation du pain...
On l'accusa de faire grossir, d'être la nourriture du « pauvre »... Même « la nouvelle cuisine »
des années 80 ne supporte pas l'idée de servir du pain à table !
Heureusement, le pain est de nouveau à la fête, mais pas n'importe quel pain !
Les consommateurs deviennent exigeants et veulent du pain authentique au goût
savoureux etaux apports nutritionnels bénéfiques pour la forme et la santé.
De cette vague de bien-être naît le désir de faire son pain soi-même, en
choisissant ses ingrédients, en testant de nouveaux mélanges et se
faisant plaisir en reproduisant les gestes du boulanger et en fabriquant
un bon pain chaud et croustillant.
Beaucoup d'entre nous se sont rendus coupables de tenir ce genre de stéréotype
injuste qui dit que, une fois que nous vieillissons, nos meilleurs jours
sont derrière nous et que nous ne pouvons plus réaliser pleinement nos
rêves.
Le photographe russe Vladimir Yakovlev a ainsi tenu à passer outre les stéréotypes, en prouvant à tout le monde que
tous les seniors n'étaient pas destinés à vivre dans les maisons de
retraite. Qu'ils soient âgés de 80, 90 ou 100 ans, certains ont su
rester actifs, et n'hésitent pas à poursuivre leurs rêves ou essayer de
nouvelles choses. Il n'y a pas d'âge pour commencer à vivre, preuve en
est faite : Vladimiryakovlev.ru
Lloyd Kahn, 78 ans, skateboarder depuis l'âge de 65 ans
Robert Marchand, cycliste à 102 ans
Annette Larkins, 70 ans, végétalienne depuis l'âge de 40 ans
Cette mamie de 72 ans, DJ depuis l'âge de 68 ans
Yvonne Dowlen, jeune patineuse de 87 ans
Doris Long, qui a commencé l'escalade à l'âge de 85 ans
Lynn Ruth Miller, 80 ans, qui a commencé la comédie et le stand-up à l'âge de 70 ans
Le Dr Jeffrey, 70 ans, qui a commencé à prendre soin de son corps il y a 10 ans
Duan Tzinfu, 73 ans, expert en mouvements Tzinfu
Tellement fort que les plus jeunes n'arrivent pas à le concurrencer
Alexander Rozental, skieur à 96 ans
Greta Pontarelly, 61 ans, pole dancing
Cindy Joseph, 61 ans, modèle photo depuis des années
Jim Morris, 78 ans, bodybuilder devenu végétarien à 50 ans, et végétalien 15 ans plus tard
Pat Moorhead et Alicia, 81 et 66 ans, parachutistes
Badich Valentin, 75 ans, roi du boogie-woogie
Madonna Buder, 83 ans, marathonienne et religieuse
Paul Fegen, 78 ans, magicien, et ancien multi-millionaire
Jacqueline Murdock, devenue modèle à 82 ans
Ce globe-trotter de 70 ans, qui part chaque année photographier le monde
Ou ce groupe de femmes âgée de 50 à 75 ans, expertes en Aïkido
Les Compagnies républicaines de sécurité, également connues sous le sigle
CRS, sont un corps de la police nationale en France, intervenant dans
les manifestations, mais aussi dans la protection civile. Elles ont été
créées par un décret du 8 décembre 1944 par le Général De Gaulle.
Le sigle « CRS » désigne d'abord une compagnie, mais dans la langue
courante, par métonymie, « un CRS » est un policier affecté dans une «
compagnie républicaine de sécurité ».
La devise des compagnies républicaines de sécurité est « Servir ».
Forces civiles, réserves générales de la police nationale, les CRS ont un
double impératif de disponibilité et de mobilité, leur conférant une
importante rapidité de projection.
Voici les principales missions de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) :
-maintien de l’ordre et services d’ordre et de sécurité lors des grands
évènements (sommet de chefs d'État, déplacement de ministre, etc.), des
rencontres sportives (matchs de foot), des rassemblements de foule
(spectacles, festivals, etc.) et des conflits sociaux (manifestations,
grèves massives, etc.)
-surveillance des plages (MNS : maîtres nageurs sauveteur) en période
estivale,(fonctionnaires issus des unités de maintien de l'ordre)
-sauvetage dans un massif en haute montagne en alternance avec la Gendarmerie nationale
(une semaine sur deux) toute l'année
- lutte contre les violences urbaines,
-sécurité routière et surveillance des autoroutes (autoroutes de contournement des grandes
agglomérations (gratuites),
-organisation d'actions à destination de la jeunesse : piste d'éducation routière, rocher
d'escalade et de prévention de la délinquance (centresde loisirs jeunes en période estivale)
-musée des CRS
-musique de la Police nationale.