L'image d'astronomie Mercredi 17 décembre 2014 Boule de feu des Géminides sur le Mont Balang
Ce ciel inoubliable a été immortalisé il y a quelques jours à l'occasion de la dernière pluie d'étoiles filantes des Géminides, lorsque un brillant bolide a déchiré la nuit au dessus du Mont Balang, en Chine. En haut, au-dessus du bolide, on reconnaît les principales étoiles de la constellation d'Orion, notamment sa ceinture. Entre les deux, non loin du centre de l'image, étincelle Sirius, la plus brillante étoile du ciel nocturne. La boule de feu n'a que brièvement éclairé la scène, sa source étant un petit caillou éjecté dans sa course par l'astéroïde 3200 Phaeton et qui s'est consumé dans l'atmosphère terrestre.
Une tholos (du grec ?????, nom féminin ; le pluriel usuel est tholoi, du grec ?????) est, dans l'architecture de la Grèce antique, une construction monumentale de forme circulaire. L'expression tombe à tholos est employée pour désigner une tombe mycénienne à coupole ou, plus couramment pour désigner un édifice rond (généralement un temple) d'époque archaïque, classique ou hellénistique. Les préhistoriens ont parfois repris le mot pour désigner des édifices circulaires plus anciens. A Delphes, on désigne sous le nom de tholos un monument circulaire en marbre pentélique dont la destination précise reste inconnue à ce jour. Les archéologues ont daté sa construction des années 370-360 av. J.-C. La bâtisse, construite par l'architecte Théodoros de Phocée, est constituée d'un naos entouré d'une colonnade dorique, décorée de métopes.
Technique: sable coquille mosaïque. Sable unique et Shell mosaïque sont stockées dans toutes les nuances de nature sauvage de matériaux naturels. Art, qui combine la beauté captivante de la faune indigène. Insondable étirement de l'imagination de l'auteur ne laisse personne indifférent, soulignant à nouveau l'originalité du talent du peuple ukrainien. Svetlana est né et a grandi dans la mer Noire à Yalta. Elle a étudié à l'Ecole d'Art de Yalta, diplômé Glukhovsky Institut pédagogique, nommé par Sergeyev-Tsensky, specialtized en beaux-arts. Elle vit et travaille dans la ville de Dnipropetrovsk. Ses œuvres ornent des collections privées en Ukraine, la Russie, l'Allemagne et Israël
Une terrible catastrophe vient d’illustrer une fois de plus le merveilleux instinct et le dénouement de la belle race de chiens du Grand Saint-Bernard. On sait que des moines courageux se sont établis au sommet de cette montagne, une des plus hautes de la Suisse, et qu’avec l’aide de grands chiens, dressés dans ce but, ils viennent en aide aux voyageurs en danger.
Le 19 novembre dernier, à la pointe du jour, une caravane composée de douze ouvriers italiens se rendant dans leur pays quittait, malgré le mauvais temps et l’état des chemins, le bourg de Saint-Pierre et la cantine de Proz, où ils avaient passé la nuit pour franchir le col de la montagne ou s’arrêter à l’hospice selon les circonstances. Le ciel était couvert et il neigeait à flots. Parvenus au lieu dit la montagne de Pierre, à moitié distance entre le principal point de départ et la maison hospitalière, ils furent rejoints par deux religieux, précédés du marronnier ou domestique du couvent, et d’un gros chien. Fidèles à la règle du monastère, ils venaient à la rencontre des voyageurs. En ce moment, la tourmente redoublait d’intensité. Tout à coup une trombe glacée se forma, tourbillonna dans les airs et, enlevant la neige fraîchement tombée des parois des montagnes environnantes, enveloppa les voyageurs en mugissant.
La première colonne, composée de cinq ouvriers italiens, des deux religieux et de l’animal conducteur, disparut sous un linceul de neige de plusieurs mètres d’épaisseur, sans qu’aucune avalanche se fût détachée des cimes. Les sept autres qui suivaient furent renversés du même souffle à une petite distance des premiers. Tout à coup, les corps des sept dernières victimes enfouies sous la neige se remuèrent. Des bras, des jambes, se débarrassaient des obstacles qui les pressaient. Les malheureux étaient sauvés ils regagnèrent, contusionnés, l’endroit où ils étaient partis quelques heures auparavant, après s’être assuré de l’inutilité de leurs efforts pour sauver leurs camarades de la première colonne du tombeau où ils étaient ensevelis. C’est alors que le chien de ces malheureux, le fidèle Turvo, réussissant à se débarrasser de la glace qui le recouvrait, reprit la route du couvent. Là les bons pères à sa vue comprirent l’étendue du malheur, et, guidés par l’intelligent animal, ils gagnèrent le lieu du sinistre.
Après de longs efforts, ils purent retirer un des moines encore vivant et le ranimer.Le merveilleux instinct du brave chien avait donc sauvé la vie d’une des malheureuses victimes.
Lorsqu'il y a des orages, ces derniers s'accompagnent la plus part du temps de la foudre. Les nuages porteurs d'orages sont les cumulonimbus et il se produit une différence de température énorme entre le bas et le haut de ces nuages. Il existe alors des déplacements d'air très importants.
Ce phénomène induit une accumulation de charge électrique dans l'air. Les nuages ont alors une zone chargée d'électricité négative à leur base et positive au sommet. Le champ électrique est très important. L'électricité statique est fortement accumulée et il se produit des décharges électrostatiques appelées plus communément la foudre. La tension peut aller jusqu'à cent millions de volts.
Un balanced Hotel Nouveau symbole de Lima, la capitale du Pérou, ce projet « Unbalanced Hotel » proposera près de 125 chambres perchées sur le flanc d’une falaise. Un projet impressionnant proposé par les architectes madrilènes de OOIIO qui est à découvrir en détails et en images dans la suite de l’article.
AMMY JUDD PEINTRE ANGLAISE La peintre anglaise Amy Judd (représentée par Hicks Gallery), entretient un rapport particulier aux oiseaux et aux femmes. A travers ses toiles, elle dessine des créatures hybrides, quasi-mythiques, mêlant des corps sensuels et nus à des ailes majestueuses de volatiles. Des figures féminines habillées de plumes, à découvrir.
PIERRE ADRIEN SOLLIER PEINTRE ORIGINAL Voici une série de créations de l’artiste français Pierre-Adrien Sollier, qui mêle les personnages en plastique de la célèbre marque Playmobil avec les grands chefs-d’œuvre de la peinture classique ou contemporaine,de Léonard de Vinci à Basquiat en passant par Diego Velázquez ou EdwardHopper.
Né en 1863 à Rolle, Ernest Biéler a grandi à Lausanne.
Il accomplit sa formation à Paris jusqu’à ce que des difficultés financières l’obligent en 1892 à rentrer en Suisse où il s’établit alors à Genève.Jusqu’en 1917 séjours de plusieurs années dans la capitale française, où il entretint d’intenses relations avec ses collègues artistes.Puis il s’installe définitivement à Savièse, sa patrie d’adoption valaisanne, et à Rivaz, sur le lac Léman. Biéler fut une personnalité hors du commun et il resta toute sa vie un marginal, y compris dans sa retraite valaisanne. Il y passa en effet son existence sans jamais vraiment faire partie de la communauté villageoise qui l’appelait « Monsieur le peintre » et le considérait comme un dandy.
Chansons de Savièse.
Deux filles
Le troisième anniversaire de Giovanni Pascolli
Confidence à l'abri du bois
Portrait d'Hélène Du Mandrot 1904
L'été et les moissons 1918
Les Bacchantes
Tournesol, 1910
Biéler sut s’adapter stratégiquement aux nécessités imposées par la diversité des désirs des col-lectionneurs.
À Paris, il se tourna aussi bien vers les thèmes à la mode de la peinture de salon que vers l’art d’avant-garde d’un artiste comme Édouard Manet – il mit en scène de sublimes portraits pleins d’élégance.
De retour en Suisse, il se spécialisa dans des motifs typiques de la Suisse tels que la communauté villageoise de Savièse encore très largement préservée de la civilisation moderne.
Boule de feu des Géminides sur le Mont Balang
Ce ciel inoubliable a été immortalisé il y a quelques jours à l'occasion
de la dernière pluie d'étoiles filantes des Géminides, lorsque un
brillant bolide a déchiré la nuit au dessus du Mont Balang, en Chine.
En haut, au-dessus du bolide, on reconnaît les principales étoiles de la constellation d'Orion, notamment sa ceinture.
Entre les deux, non loin du centre de l'image, étincelle Sirius, la plus brillante étoile du ciel nocturne.
La boule de feu n'a que brièvement éclairé la scène, sa source étant un
petit caillou éjecté dans sa course par l'astéroïde 3200 Phaeton et qui
s'est consumé dans l'atmosphère terrestre.
Une tholos (du grec ?????, nom féminin ; le pluriel usuel est tholoi, du
grec ?????) est, dans l'architecture de la Grèce antique, une
construction monumentale de forme circulaire.
L'expression tombe à tholos est employée pour désigner une tombe mycénienne à
coupole ou, plus couramment pour désigner un édifice rond (généralement
un temple) d'époque archaïque, classique ou hellénistique.
Les préhistoriens ont parfois repris le mot pour désigner des édifices circulaires plus anciens.
A Delphes, on désigne sous le nom de tholos un monument circulaire en
marbre pentélique dont la destination précise reste inconnue à ce jour.
Les archéologues ont daté sa construction des années 370-360 av. J.-C.
La bâtisse, construite par l'architecte Théodoros de Phocée, est
constituée d'un naos entouré d'une colonnade dorique, décorée de métopes.
DROLES D’OISEAUX
S’ils vous plaisent… si cela vous dit…
Vous prenez…
BONNE SEMAINE.
Technique: sable coquille mosaïque.
Sable unique et Shell mosaïque sont stockées dans toutes les nuances de nature sauvage de matériaux naturels.
Art, qui combine la beauté captivante de la faune indigène. Insondable étirement de l'imagination de l'auteur ne laisse personne indifférent,
soulignant à nouveau l'originalité du talent du peuple ukrainien.
Svetlana est né et a grandi dans la mer Noire à Yalta. Elle a étudié à l'Ecole d'Art de Yalta, diplômé Glukhovsky Institut
pédagogique, nommé par Sergeyev-Tsensky, specialtized en beaux-arts. Elle vit et travaille dans la ville de Dnipropetrovsk. Ses œuvres ornent des collections privées en Ukraine, la Russie, l'Allemagne et Israël
Une terrible catastrophe vient d’illustrer une fois de plus le merveilleux
instinct et le dénouement de la belle race de chiens du Grand Saint-Bernard. On sait que des moines courageux se sont établis au sommet de cette
montagne, une des plus hautes de la Suisse, et qu’avec l’aide de grands
chiens, dressés dans ce but, ils viennent en aide aux voyageurs en
danger.
Le 19 novembre dernier, à la pointe du jour, une caravane composée de
douze ouvriers italiens se rendant dans leur pays quittait, malgré le
mauvais temps et l’état des chemins, le bourg de Saint-Pierre et la
cantine de Proz, où ils avaient passé la nuit pour franchir le col de la
montagne ou s’arrêter à l’hospice selon les circonstances. Le ciel
était couvert et il neigeait à flots. Parvenus au lieu dit la montagne de Pierre, à moitié distance entre le principal point de départ et la maison
hospitalière, ils furent rejoints par deux religieux, précédés du
marronnier ou domestique du couvent, et d’un gros chien. Fidèles à la
règle du monastère, ils venaient à la rencontre des voyageurs. En ce
moment, la tourmente redoublait d’intensité. Tout à coup une trombe
glacée se forma, tourbillonna dans les airs et, enlevant la neige
fraîchement tombée des parois des montagnes environnantes, enveloppa les
voyageurs en mugissant.
La première colonne, composée de cinq ouvriers italiens, des deux
religieux et de l’animal conducteur, disparut sous un linceul de neige
de plusieurs mètres d’épaisseur, sans qu’aucune avalanche se fût
détachée des cimes. Les sept autres qui suivaient furent renversés du
même souffle à une petite distance des premiers. Tout à coup, les corps
des sept dernières victimes enfouies sous la neige se remuèrent. Des
bras, des jambes, se débarrassaient des obstacles qui les pressaient.
Les malheureux étaient sauvés ils regagnèrent, contusionnés, l’endroit
où ils étaient partis quelques heures auparavant, après s’être assuré de
l’inutilité de leurs efforts pour sauver leurs camarades de la première
colonne du tombeau où ils étaient ensevelis. C’est alors que le chien
de ces malheureux, le fidèle Turvo, réussissant à se débarrasser de la glace qui le recouvrait, reprit la
route du couvent. Là les bons pères à sa vue comprirent l’étendue du
malheur, et, guidés par l’intelligent animal, ils gagnèrent le lieu du
sinistre.
Après de longs efforts, ils purent retirer un des moines encore vivant et le ranimer.Le merveilleux instinct du brave chien avait donc sauvé la vie d’une des malheureuses victimes.
Lorsqu'il y a des orages, ces derniers s'accompagnent la plus part du temps de la foudre.
Les nuages porteurs d'orages sont les cumulonimbus et il se produit une
différence de température énorme entre le bas et le haut de ces nuages.
Il existe alors des déplacements d'air très importants.
Ce phénomène induit une accumulation de charge électrique dans l'air. Les
nuages ont alors une zone chargée d'électricité négative à leur base et
positive au sommet.
Le champ électrique est très important.
L'électricité statique est fortement accumulée et il se produit des décharges
électrostatiques appelées plus communément la foudre.
La tension peut aller jusqu'à cent millions de volts.
Nouveau symbole de Lima, la capitale du Pérou, ce projet « Unbalanced Hotel » proposera près de 125 chambres
perchées sur le flanc d’une falaise.
Un projet impressionnant proposé par les architectes madrilènes de OOIIO qui est à découvrir en détails et en images
dans la suite de l’article.
La peintre anglaise Amy Judd (représentée par Hicks Gallery), entretient un rapport particulier
aux oiseaux et aux femmes.
A travers ses toiles, elle dessine des créatures hybrides, quasi-mythiques, mêlant des corps
sensuels et nus à des ailes majestueuses de volatiles.
Des figures féminines habillées de plumes, à découvrir.
PIERRE ADRIEN SOLLIER PEINTRE ORIGINAL
Voici une série de créations de l’artiste français Pierre-Adrien Sollier, qui mêle les personnages
en plastique de la célèbre marque Playmobil avec les grands chefs-d’œuvre de la peinture classique
ou contemporaine,de Léonard de Vinci à Basquiat en passant par Diego Velázquez ou EdwardHopper.
Portrait de Nathalie Bieler
Né en 1863 à Rolle, Ernest Biéler a grandi à Lausanne.
Il accomplit sa formation à Paris jusqu’à ce que des difficultés
financières l’obligent en 1892 à rentrer en Suisse où il s’établit alors
à Genève.Jusqu’en 1917 séjours de plusieurs années dans la capitale française, où il
entretint d’intenses relations avec ses collègues artistes.Puis il s’installe définitivement à Savièse, sa patrie d’adoption valaisanne, et à Rivaz, sur le lac Léman. Biéler fut une personnalité hors du commun et il resta toute sa vie un
marginal, y compris dans sa retraite valaisanne. Il y passa en effet son
existence sans jamais vraiment faire partie de la communauté
villageoise qui l’appelait « Monsieur le peintre » et le considérait comme un dandy.
Chansons de Savièse.
Deux filles
Le troisième anniversaire de Giovanni Pascolli
Confidence à l'abri du bois
Portrait d'Hélène Du Mandrot 1904
L'été et les moissons 1918
Les Bacchantes
Tournesol, 1910
Biéler sut s’adapter stratégiquement aux nécessités imposées par la diversité des désirs des col-lectionneurs.
À Paris, il se tourna aussi bien vers les thèmes à la mode de la peinture
de salon que vers l’art d’avant-garde d’un artiste comme Édouard Manet –
il mit en scène de sublimes portraits pleins d’élégance.
De retour en Suisse, il se spécialisa dans des motifs typiques de la
Suisse tels que la communauté villageoise de Savièse encore très
largement préservée de la civilisation moderne.
Portrait d'Edouard Rod, 1909
Jeune fille au chapeau 1918