Il sauve la vie d'un ourson trouvé agonisant dans la forêt... Mais tous ses efforts pour le garder en vie auraient pu l'envoyer en prison ! Aux États-Unis, un homme s’est illustré en sauvant la vie d’un ourson après l’avoir trouvé gisant dans les bois. Un acte de bravoure qui aurait pu lui valoir la prison…
Photographe de métier, Corey Hancock est également un grand passionné de la nature. Une passion qui l’amène à effectuer des randonnées dans les plus beaux espaces sauvages que les États-Unis ont à offrir. Dans l’État de l’Oregon, il était en randonnée dans les montagnes Elkhorn lorsqu’il vitune silhouette gisant au sol. Il s’agissait d’un pauvre ourson en traind’agoniser… Sur sa page Facebook, l’homme raconte les conditions de sa découverte et décrit l’état alarmant dans lequel était l’ourson : « étendu sur son dos, il semblait mort. Ses lèvres étaient bleues, ses yeux ouverts et figés dans le vague. La pluie tombait, trempant son ventre, sa respiration était poussive. J’ai pensé à mon propre petit garçon à la maison. L’ourson était un nourrisson. Est-ce que j’allais seulement rester là à le regarder mourir sous la pluie ? Non… Je me devais de faire quelque chose ».
Ainsi, après avoir regardé les alentours pendant plusieurs minutes (et pris une photo de l’ourson) pour s’assurer qu’un prédateur n’allait pas débarquer à l’improviste, Corey Hancock est venu à la rescousse du pauvre ourson. Il l’a pris, l’a enroulé dans sa chemise en flanelle pourle réchauffer et l’a mis dans sa voiture : « Tout ce temps, j’étais persuadé qu’une maman ours allait venir m’attaquer » admet-il.
Alors qu’il conduit, son téléphone capte enfin du réseau. Il s’empresse de raconter ce qu’il lui arrive sur Facebook en demandant de l’aide, un avis professionnel, pour savoir où il pourrait emmener cet ourson. À ce moment-là, la petite bête s’arrête de respirer, amenant Corey Hancock à lui faire un bouche-à-bouche : « Sur mon troisième souffle, j’ai vu sa poitrine bouger. J’ai attendu, ça paraissait tellement long, il a repris une légère respiration, et on est reparti sur la route ».
Pendant cet épisode, son message sur les réseaux sociaux commençait à susciter beaucoup de réactions, positives et négatives. Un ami lui recommande un vétérinaire mais ce dernier lui signale qu’il ne soigne pas les animaux sauvages. Corey Hancock emmène alors l’ourson, souffrant de déshydratation et de famine, au « Turtle Ridge Wildlife Center », un centre de soins pour animaux sauvages.
Désormais, Elkhorn (nom que Corey Hancock a donné à l’ourson) est soigné dans un endroit chaud et reprend progressivement des forces. De son côté, son héros aurait pu être envoyé en prison… En effet, comme on vous l’a dit, son appel à l’aide sur les réseaux sociaux n’a pas engendré que des réactions positives.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il Il sauve la vie d'un ourson trouvé agonisant dans la forêt... Mais tous ses efforts pour le garder en vie auraient pu l'envoyer en prison ! Aux États-Unis, un homme s’est illustré en sauvant la vie d’un ourson après l’avoir trouvé gisant dans les bois. Un acte de bravoure qui aurait pu lui valoir la prison…
Photographe de métier, Corey Hancock est également un grand passionné de la nature. Une passion qui l’amène à effectuer des randonnées dans les plus beaux espaces sauvages que les États-Unis ont à offrir. Dans l’État de l’Oregon, il était en randonnée dans les montagnes Elkhorn lorsqu’il vit une silhouette gisant au sol. Il s’agissait d’un pauvre ourson en train d’agoniser… Sur sa page Facebook, l’homme raconte les conditions de sa découverte et décrit l’état alarmant dans lequel était l’ourson : « étendu sur son dos, il semblait mort. Ses lèvres étaient bleues, ses yeux ouverts et figés dans le vague. La pluie tombait, trempant son ventre, sa respiration était poussive. J’ai pensé à mon propre petit garçon à la maison. L’ourson était un nourrisson. Est-ce que j’allais seulement rester là à le regarder mourir sous la pluie ? Non… Je me devais de faire quelque chose ». Ainsi, après avoir regardé les alentours pendant plusieurs minutes (et pris une photo de l’ourson) pour s’assurer qu’un prédateur n’allait pas débarquer à l’improviste, Corey Hancock est venu à la rescousse du pauvre ourson. Il l’a pris, l’a enroulé dans sa chemise en flanelle pour le réchauffer et l’a mis dans sa voiture : « Tout ce temps, j’étais persuadé qu’une maman ours allait venir m’attaquer » admet-il.
Alors qu’il conduit, son téléphone capte enfin du réseau. Il s’empresse de raconter ce qu’il lui arrive sur Facebook en demandant de l’aide, un avis professionnel, pour savoir où il pourrait emmener cet ourson. À ce moment-là, la petite bête s’arrête de respirer, amenant Corey Hancock à lui faire un bouche-à-bouche : « Sur mon troisième souffle, j’ai vu sa poitrine bouger. J’ai attendu, ça paraissait tellement long, il a repris une légère respiration, et on est reparti sur la route ». Pendant cet épisode, son message sur les réseaux sociaux commençait à susciter beaucoup de réactions, positives et négatives. Un ami lui recommande un vétérinaire mais ce dernier lui signale qu’il ne soigne pas les animaux sauvages. Corey Hancock emmène alors l’ourson, souffrant de déshydratation et de famine, au « Turtle Ridge Wildlife Center », un centre de soins pour animaux sauvages. Désormais, Elkhorn (nom que Corey Hancock a donné à l’ourson) est soigné dans un endroit chaud et reprend progressivement des forces. De son côté, son héros aurait pu être envoyé en prison… En effet, comme on vous l’a dit, son appel à l’aide sur les réseaux sociaux n’a pas engendré que des réactions positives.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il était tout simplement illégal de transporter des animaux sauvages. Le protocole en vigueur oblige notamment les personnes à appeler directement le Département ou la police dans ces cas-là, sous peine d’une amende de 6 000 dollars (soit 5 600 euros) et d’un emprisonnement d’un an. Bien heureusement, au regard de l’héroïsme de Corey Hancock, qui a surtout agi instinctivement pour sauver la vie d’un animal, ce dernier ne sera finalement pas inquiété.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il était tout était tout simplement illégal de transporter des animaux sauvages. Le protocole en vigueur oblige notamment les personnes à appeler directement le Département ou la police dans ces cas-là, sous peine d’une amende de 6 000 dollars (soit 5 600 euros) et d’un emprisonnement d’un an. Bien heureusement, au regard de l’héroïsme de Corey Hancock, qui a surtout agi instinctivement pour sauver la vie d’un animal, ce dernier ne sera finalement pas inquiété.
Rat des moissons niché dans des roseaux communs, France Comment résister à cette bouille ? Le rat des moissons ou souris naine est un habitant des champs de céréales et des roselières d’Eurasie. On le rencontre autant en France, en Russie qu’au Japon. Si vous n’êtes pas fan des rongeurs, n’ayez toutefois pas peur de notre ami. Il est le pluspetit de la famille et n’est pas plus gros qu’un escargot pour un poids (léger) de six grammes. Comme vous l’avez sans doute remarqué, il n’habite ni dans un terrier, ni dans un trou dans le mur. Le rat des moissons excelle dans la construction de nid en boule à partir de tiges diverses. En Angleterre, comme il est en régression dans les îles Britanniques, des balles de tennis provenant du tournoi de Wimbledon ontété récupérées pour qu’ils servent de maisons à ces petits rongeurs. L’histoire ne dit pas si elles étaient dédicacées !
Disparu il y a 11 ans dans le Nord, le chien vient d'être retrouvé en Lorraine ....
Depuis le temps, ses propriétaires avaient sûrement abandonné l'idée de retrouver le chien. Preuve, qu'il ne faut jamais baisser les bras : onze ans après sa disparition dans le Nord, à Gravelines, leur bichon a été retrouvé – vivant mais un peu mal au point
— à près de 500 kilomètres de là, raconte La Voix du Nord.
Le mâle, baptisé Topaze et désormais âgé de 15 ans, a en effet été retrouvé par une femme fin mars du côté de Bouzonville, commune située en Lorraine près de la frontière avec l'Allemagne. Le chien a pu être identifié par sa puce électronique et son tatouage.
Difficile de savoir néanmoins quel a été le parcours du bichon depuis sa disparition en 2006, et comment il s'est retrouvé en Lorraine onze ans après.
Poussin jacana à poitrine dorée, parc de Chobe, Botswana.
Dans la famille jacana à poitrine dorée, c’est papa qui reste à la maison ! En effet, chez cette espèce d’oiseau d’Afrique subsaharienne, le mâle s’occupe du nid et des poussins tandis que la femelle entretient… un harem de mâles ! Ainsi, ce petit va rester 70 jours sous la protection de son papa avant de pouvoir s’aventurer seul sur ces nénuphars. Il va d’ailleurs passer le reste de sa vie sur ce type de plantes aquatiques. Grâce à ses longs doigts, le jacana peut répartir son poids sur cette surface végétale flottante sans risquer de couler. Il y trouve toute la nourriture nécessaire pour survivre sans avoir besoin d’aller voir ailleurs.
Le lézard qui projette du sang… par les yeux (vidéo)
C’est l’un des mécanismes de défense les plus étranges créés par la nature. Regardez comment la projection de sang par les yeux peut sauver la vie de ce lézard. Clic icic..........http://dai.ly/x5h0ugp
Un tigre sauve un homme de l'attaque d'un léopard. La scène se déroule dans un refuge au Mexique où le fondateur Eduardo Serio jouait avec des lions. En train de jouer avec des lions, un léopard s'est approché discrètement derrière lui avant d'entamer une course rapide pour l'attaquer. Heureusement, un tigre lui a sauté dessus pour s'amuser. Comme on peut le voir sur la vidéo, c'est ce geste du tigre qui a sauvé Eduardo Serio. Clic ici.........http://dai.ly/x560vhg
Cette petite oursonne est née il y a deux mois. C'est la première fois qu'elle pointe le nez hors du terrier et fait ses premiers pas. Extrait du documentaire "Bébés du froid" réalisé par Lucinda Axelsson et diffusé sur France 5.
On sait que les rivières tendent de plus en plus à se dépeupler de leurs habitants naturels, que des efforts sont faits pour les empoissonner, mais qu’on ne réussit guère qu’à les empoisonner, surtout quand on les détourne de leur cours pour les envoyer à Paris. Très affecté de cette situation déplorable, qui plonge d’ailleurs dans le désespoir l’intéressante corporation des pêcheurs à la ligne, un illustre savant étudiera les voies et mesures à prendre pour y remédier. Au moment même où, se promenant à la campagne, il se livrera à de profondes méditations, une écrevisse vivante cherra du ciel (cependant très pur) sur son nez, et y restera accrochée par la pince droite, pendant que la gauche lui enlèvera ses bésicles. Le lendemain, les gazettes annonceront cet événement, et aussi que, le même jour,une pluie d’ablettes est tombée sur Carpentras ; qu’une avalanche de sangsues s’est abattue sur Landerneau ; qu’enfin un terrible cyclone d’anguilles a ravagé de fond en comble Carcassonne et ses environs. Peu sensible aux misères du commun des mortels, l’illustre savant, apprenant cette catastrophe, se frottera les mains et s’écriera: « Eurêka ! »… c’est-à-dire : « Voilà mon affaire ! » Il fera construire aussitôt un ballon qu’il baptisera du nom de « Poissonnier de l’air », en raison de l’inconvenance d’autres désignations plus scientifiques et tirées du grec, telles que Aéropisce ou Pisce-en-l’air. Chaque année pendant la fermeture de la pêche, ce ballon ascensionnera du frai préparé selon la formule, et les aéronautes le sèmeront à pleines mains dans les nuages qui leur paraîtront le plus propices à la reproduction. Il en résultera que, par la suite, on ne pêchera plus qu’avec une arbalète, laquelle lancera dans les airs un bouchon garni d’une demi-douzaine de crins, d’autant d’hameçons, et d’autant d’asticots. Les gaillards adroits pourront très bien ramener une friture d’un seul coup, car il est de toute évidence que les malheureux poissons, réduits dans les hautes régions à un jeûne pénible, se jetteront sur n’importe quel appât, comme des députés sur un pot-de-vin.
Mais tous ses efforts pour le garder en vie auraient pu l'envoyer en prison !
Aux États-Unis, un homme s’est illustré en sauvant la vie d’un ourson après l’avoir trouvé gisant dans les bois. Un acte de bravoure qui aurait pu lui valoir la prison…
Photographe de métier, Corey Hancock est également un grand passionné de la nature.
Une passion qui l’amène à effectuer des randonnées dans les plus beaux espaces sauvages que les États-Unis ont à offrir. Dans l’État de l’Oregon, il était en randonnée dans les montagnes Elkhorn lorsqu’il vitune silhouette gisant au sol. Il s’agissait d’un pauvre ourson en traind’agoniser…
Sur sa page Facebook, l’homme raconte les conditions de sa découverte et décrit l’état alarmant dans lequel était l’ourson :
« étendu sur son dos, il semblait mort. Ses lèvres étaient bleues, ses yeux ouverts et figés dans le vague. La pluie tombait, trempant son ventre, sa respiration était poussive. J’ai pensé à mon propre petit garçon à la maison. L’ourson était un nourrisson. Est-ce que j’allais seulement rester là à le regarder mourir sous la pluie ? Non… Je me devais de faire quelque chose ».
Ainsi, après avoir regardé les alentours pendant plusieurs minutes (et pris une photo de l’ourson) pour s’assurer qu’un prédateur n’allait pas débarquer à l’improviste, Corey Hancock est venu à la rescousse du pauvre ourson. Il l’a pris, l’a enroulé dans sa chemise en flanelle pourle réchauffer et l’a mis dans sa voiture : « Tout ce temps, j’étais persuadé qu’une maman ours allait venir m’attaquer » admet-il.
Alors qu’il conduit, son téléphone capte enfin du réseau. Il s’empresse de raconter ce qu’il lui arrive sur Facebook en demandant de l’aide, un avis professionnel, pour savoir où il pourrait emmener cet ourson. À ce moment-là, la petite bête s’arrête de respirer, amenant Corey Hancock à lui faire un bouche-à-bouche : « Sur mon troisième souffle, j’ai vu sa poitrine bouger. J’ai attendu, ça paraissait tellement long, il a repris une légère respiration, et on est reparti sur la route ».
Pendant cet épisode, son message sur les réseaux sociaux commençait à susciter beaucoup de réactions, positives et négatives. Un ami lui recommande un vétérinaire mais ce dernier lui signale qu’il ne soigne pas les animaux sauvages. Corey Hancock emmène alors l’ourson, souffrant de déshydratation et de famine, au « Turtle Ridge Wildlife Center », un centre de soins pour animaux sauvages.
Désormais, Elkhorn (nom que Corey Hancock a donné à l’ourson) est soigné dans un endroit chaud et reprend progressivement des forces. De son côté, son héros aurait pu être envoyé en prison… En effet, comme on vous l’a dit, son appel à l’aide sur les réseaux sociaux n’a pas engendré que des réactions positives.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il Il sauve la vie d'un ourson trouvé agonisant dans la forêt... Mais tous
ses efforts pour le garder en vie auraient pu l'envoyer en prison !
Aux États-Unis, un homme s’est illustré en sauvant la vie d’un ourson après
l’avoir trouvé gisant dans les bois. Un acte de bravoure qui aurait pu
lui valoir la prison…
Photographe de métier, Corey Hancock est également un grand passionné de la nature.
Une passion qui l’amène à effectuer des randonnées dans les plus beaux
espaces sauvages que les États-Unis ont à offrir. Dans l’État de
l’Oregon, il était en randonnée dans les montagnes Elkhorn lorsqu’il vit
une silhouette gisant au sol. Il s’agissait d’un pauvre ourson en train
d’agoniser…
Sur sa page Facebook, l’homme raconte les conditions de sa découverte et décrit l’état alarmant dans lequel était l’ourson : « étendu sur son dos, il semblait mort. Ses lèvres étaient bleues, ses yeux
ouverts et figés dans le vague. La pluie tombait, trempant son ventre,
sa respiration était poussive. J’ai pensé à mon propre petit garçon à la
maison. L’ourson était un nourrisson. Est-ce que j’allais seulement
rester là à le regarder mourir sous la pluie ? Non… Je me devais de
faire quelque chose ».
Ainsi, après avoir regardé les alentours pendant plusieurs minutes (et pris
une photo de l’ourson) pour s’assurer qu’un prédateur n’allait pas
débarquer à l’improviste, Corey Hancock est venu à la rescousse du
pauvre ourson. Il l’a pris, l’a enroulé dans sa chemise en flanelle pour
le réchauffer et l’a mis dans sa voiture : « Tout ce temps, j’étais persuadé qu’une maman ours allait venir m’attaquer » admet-il.
Alors qu’il conduit, son téléphone capte enfin du réseau. Il s’empresse de
raconter ce qu’il lui arrive sur Facebook en demandant de l’aide, un
avis professionnel, pour savoir où il pourrait emmener cet ourson. À ce
moment-là, la petite bête s’arrête de respirer, amenant Corey Hancock à
lui faire un bouche-à-bouche : « Sur mon troisième souffle, j’ai vu sa poitrine bouger. J’ai attendu, ça paraissait tellement long, il a
repris une légère respiration, et on est reparti sur la route ».
Pendant cet épisode, son message sur les réseaux sociaux commençait à susciter
beaucoup de réactions, positives et négatives. Un ami lui recommande un
vétérinaire mais ce dernier lui signale qu’il ne soigne pas les animaux
sauvages. Corey Hancock emmène alors l’ourson, souffrant de
déshydratation et de famine, au « Turtle Ridge Wildlife Center », un
centre de soins pour animaux sauvages.
Désormais, Elkhorn (nom que Corey Hancock a donné à l’ourson) est soigné dans un
endroit chaud et reprend progressivement des forces. De son côté, son
héros aurait pu être envoyé en prison… En effet, comme on vous l’a dit,
son appel à l’aide sur les réseaux sociaux n’a pas engendré que des
réactions positives.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il
était tout simplement illégal de transporter des animaux sauvages. Le
protocole en vigueur oblige notamment les personnes à appeler
directement le Département ou la police dans ces cas-là, sous peine
d’une amende de 6 000 dollars (soit 5 600 euros) et d’un emprisonnement
d’un an. Bien heureusement, au regard de l’héroïsme de Corey Hancock,
qui a surtout agi instinctivement pour sauver la vie d’un animal, ce
dernier ne sera finalement pas inquiété.
Le Département de la Vie Sauvage de l’Oregon lui a notamment signalé qu’il était tout était tout simplement illégal de transporter des animaux sauvages. Le protocole en vigueur oblige notamment les personnes à appeler
directement le Département ou la police dans ces cas-là, sous peine d’une amende de 6 000 dollars (soit 5 600 euros) et d’un emprisonnement d’un an. Bien heureusement, au regard de l’héroïsme de Corey Hancock, qui a surtout agi instinctivement pour sauver la vie d’un animal, ce dernier ne sera finalement pas inquiété.
Comment résister à cette bouille ? Le rat des moissons ou souris naine est un habitant des champs de céréales et des roselières d’Eurasie. On le rencontre autant en France, en Russie qu’au Japon. Si vous n’êtes pas fan des rongeurs, n’ayez toutefois pas peur de notre ami. Il est le pluspetit de la famille et n’est pas plus gros qu’un escargot pour un poids
(léger) de six grammes. Comme vous l’avez sans doute remarqué, il n’habite ni dans un terrier, ni dans un trou dans le mur. Le rat des moissons excelle dans la construction de nid en boule à partir de tiges diverses. En Angleterre, comme il est en régression dans les îles Britanniques, des balles de tennis provenant du tournoi de Wimbledon ontété récupérées pour qu’ils servent de maisons à ces petits rongeurs.
L’histoire ne dit pas si elles étaient dédicacées !
Ballet de raies Manta
Depuis le temps, ses propriétaires avaient sûrement abandonné l'idée de retrouver le chien. Preuve, qu'il ne faut jamais baisser les bras : onze ans après sa disparition dans le Nord, à Gravelines, leur bichon a été retrouvé – vivant mais un peu mal au point
— à près de 500 kilomètres de là, raconte La Voix du Nord.
Le mâle, baptisé Topaze et désormais âgé de 15 ans, a en effet été retrouvé par une femme fin mars du côté de Bouzonville, commune située en Lorraine
près de la frontière avec l'Allemagne. Le chien a pu être identifié par sa puce électronique et son tatouage.
Difficile de savoir néanmoins quel a été le parcours du bichon depuis sa disparition en 2006, et comment il s'est retrouvé en Lorraine onze ans après.
Dans la famille jacana à poitrine dorée, c’est papa qui reste à la maison !
En effet, chez cette espèce d’oiseau d’Afrique subsaharienne, le mâle s’occupe du nid et des poussins tandis que la femelle entretient… un harem de mâles ! Ainsi, ce petit va rester 70 jours sous la protection de son papa avant de pouvoir s’aventurer seul sur ces nénuphars. Il va d’ailleurs passer le reste de sa vie sur ce type de plantes aquatiques.
Grâce à ses longs doigts, le jacana peut répartir son poids sur cette surface végétale flottante sans risquer de couler. Il y trouve toute la nourriture nécessaire pour survivre sans avoir besoin d’aller voir ailleurs.
C’est l’un des mécanismes de défense les plus étranges créés par la nature.
Regardez comment la projection de sang par les yeux peut sauver la vie de ce lézard.
Clic icic..........http://dai.ly/x5h0ugp
La scène se déroule dans un refuge au Mexique où le fondateur Eduardo Serio jouait avec des lions.
En train de jouer avec des lions, un léopard s'est approché discrètement derrière lui avant d'entamer une course rapide pour l'attaquer. Heureusement, un tigre lui a sauté dessus pour s'amuser.
Comme on peut le voir sur la vidéo, c'est ce geste du tigre qui a sauvé Eduardo Serio.
Clic ici.........http://dai.ly/x560vhg
Extrait du documentaire "Bébés du froid" réalisé par Lucinda Axelsson et diffusé sur France 5.
On sait que les rivières tendent de plus en plus à se dépeupler de leurs habitants naturels, que des efforts sont faits pour les empoissonner, mais qu’on ne réussit guère qu’à les empoisonner, surtout quand on les détourne de leur cours pour les envoyer à Paris.
Très affecté de cette situation déplorable, qui plonge d’ailleurs dans le désespoir l’intéressante corporation des pêcheurs à la ligne, un illustre savant étudiera les voies et mesures à prendre pour y remédier.
Au moment même où, se promenant à la campagne, il se livrera à de profondes méditations, une écrevisse vivante cherra du ciel (cependant très pur) sur son nez, et y restera accrochée par la pince droite, pendant que la gauche lui enlèvera ses bésicles.
Le lendemain, les gazettes annonceront cet événement, et aussi que, le même jour,une pluie d’ablettes est tombée sur Carpentras ; qu’une avalanche de sangsues s’est abattue sur Landerneau ; qu’enfin un terrible cyclone d’anguilles a ravagé de fond en comble Carcassonne et ses environs. Peu sensible aux misères du commun des mortels, l’illustre savant, apprenant cette catastrophe, se frottera les mains et s’écriera: « Eurêka ! »… c’est-à-dire : « Voilà mon affaire ! »
Il fera construire aussitôt un ballon qu’il baptisera du nom de « Poissonnier de l’air », en raison de l’inconvenance d’autres
désignations plus scientifiques et tirées du grec, telles que Aéropisce ou Pisce-en-l’air. Chaque année pendant la fermeture de la pêche, ce ballon ascensionnera du frai préparé selon la formule, et les aéronautes le sèmeront à pleines mains dans les nuages qui leur paraîtront le plus propices à la reproduction.
Il en résultera que, par la suite, on ne pêchera plus qu’avec une arbalète, laquelle lancera dans les airs un bouchon garni d’une
demi-douzaine de crins, d’autant d’hameçons, et d’autant d’asticots. Les gaillards adroits pourront très bien ramener une friture d’un seul coup, car il est de toute évidence que les malheureux poissons, réduits dans les hautes régions à un jeûne pénible, se jetteront sur n’importe quel appât, comme des députés sur un pot-de-vin.