Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
26/03/2017 - 12:16
Tendresse animale.... Improbable et pourtant !


Moonpie, la vache de sauvetage miniature vit avec 12 chiens et pense qu'elle est l'un d'entre eux. Elle a été repéré dans une maison de vente aux enchères de bétail, par un ami de Janice Wolf, fondateur du sanctuaire "Refuge Rocky Ridge"









26/03/2017 - 09:14
Nos amis du Dimanche vus par National Géographic. 
























25/03/2017 - 07:53
Portrait D'un Animal Fascinant...Renne Ou Caribou ?


On le nomme « renne » en Europe et « caribou » en Amérique du Nord. Il s’agit en fait du même animal (Rangifer tarandus) qui parcourt inlassablement les régions froides de notre planète.
Ce mammifère qui porte des bois imposants parcourait déjà durant la préhistoire les steppes arides et froides.

En effet, le renne, tel que nous le connaissons aujourd’hui, n’a subi pratiquement aucune mutation depuis le paléolithique supérieur.
Selon le continent sur lequel il s’est fixé, le renne a connu un destin différent : vie sauvage pour certains ou domestication pour d’autres.


Le renne : Un survivant de L’ére glaciaire
Le renne est apparu sous sa forme actuelle il y a plus d’un million d’années dans la zone du détroit de Béring, alors en partie asséché.
De là, les rennes se sont dispersés vers l’est et vers l’ouest pour peupler l’ensemble des zones arctiques du pôle Nord.


Renouvellement Des Bois. © dinosoria.com
Le renne a côtoyé le mammouth et le rhinocéros laineux. Contrairement à eux, le renne a survécu aux changements climatiques successifs de l’ère quaternaire.
Les scientifiques attribuent cette survie aux faibles exigences alimentaires du renne.

Rangifer Tarandus. © dinosoria.com
On connaît moins bien les ancêtres plus lointains du renne. Il est possible que ces derniers aient vécu en Amérique du Sud. Morenelaphus, qui vivait en Amérique du Sud, il y a cinq millions d’années, est peut-être l’un de ses lointains ancêtres.
Le renne était particulièrement répandu en Europe au paléolithique supérieur. Les nombreuses peintures rupestres le représentant témoignentde l’importance qu’il avait dans la vie de nos ancêtres.
Le renne a connu deux évolutions différentes. En Eurasie, le renne a été plus ou moins domestiqué. Il reste cependant quelques populations parfaitement sauvages.

Le renne était répandu en Europe au paléolithique supérieur. © dinosoria.com
En Amérique du Nord, il a pris le nom de « caribou » qui est d’origine algonquienne. Ce surnom vient du mot indien
« xalibu » qui signifie « pelleteur ». En effet, le caribou se sert de ses sabots comme d’une pelle en creusant la neige pour trouver à manger.
En Amérique du Nord, il n’a jamais été domestiqué.

Les Différentes Espèces De Rennes
On rencontre le renne dans toutes les régions qui bordent le pôle Nord : Groenland, Canada, Alaska, Sibérie, Scandinavie …Selon la zone géographique, son mode de vie peut varier. Certains rennes sontcapables de parcourir des milliers de kilomètres, tandis que d’autres sont grégaires.
Ces différences ont un impact sur les caractéristiques physiques de l’animal. C’est pourquoi, on distingue plusieurs sous-espèces dont une éteinte.
Le Caribou des bois (Rangifer tarandus caribou) : Sa grande taille et son pelage plus foncé distinguent ce caribou de ses congénères.Un mâle pèse en moyenne 180 Kg.
Le caribou des bois ne se déplace pas en grands troupeaux. Ils vivent en petits groupes et sont extrêmement sauvages. Ils affectionnent les zonesde plaine plantée de sapins et parsemée de marais. Certains habitent des zones montagneuses, à plus de 2 000 m d’altitude.
Le Renne de la toundra (Rangifer tarandus groenlandicus) : C’est le plus répandu puisqu’on estime sa population à environ 1,2 million d’individus.Un Mâle Pèse En Moyenne 145 kg
Certains restent toute l’année dans la toundra, immense plaine où le sol reste toujours gelé en profondeur.
La plupart se rassemblent en immenses hardes pour migrer l’hiver dans la taïga. Ces troupeaux, très mobiles, peuvent ainsi parcourir des milliers de kilomètres chaque année.
La forme de l’Alaska, appelée « caribou de Grant » est légèrement plus grande que la forme canadienne.
De tous les cervidés, c’est le caribou de la toundra qui possède la plus grande ramure.

Caribou De La Toundra. By Giant Ginkgo
Le Caribou de Peary (Rangifer tarandus pearyi) : On ne le rencontre que dans les parties les plus septentrionales du
Canada, sur les îles de l’archipel arctique, où le climat est très rigoureux.
Il y vit pendant plus de 6 mois dans l’obscurité. Sa taille est plus modeste. Un mâle pèse au maximum 70 Kg. Le pelage est
clair, presque blanc.

Contrairement aux autres espèces, les bois sont presque verticaux.
Cette espèce dont la population n’excède pas 3 000 individus est considérée comme étant en voie d’extinction.

Le caribou de Grant (Rangifer tarandus granti)
Caribou des îles Reine-Charlotte (Rangifer tarandus dawsoni) : cette espèce est éteinte.
On trouve le renne d’Europe essentiellement en Scandinavie, en Sibérie et en Islande. Il est morphologiquement très proche du caribou de la toundra. Un mâle pèse en moyenne 100 kg.
Il subsiste environ 1 500 rennes sauvages à l’est de la Finlande. Afin d’éviter toute reproduction avec les rennes domestiques pour préserver le patrimoine génétique, une clôture de 100 km a été construite dans la forêt.
Le renne d’Europe effectue des migrations mais il est encadré par les hommes qui vivent de son élevage.
Caractéristiques Du Renne
Le renne est capable de survivre à des températures de – 40°C. Pour cela, il bénéficie d’un manteau de fourrure constitué de deux couches...De longs poils creux, appelés « jarres » qui retiennent l’air chaud,un épais duvet de laine.
A la fin de l’hiver, le renne mue et perd ses poils.
Le sabot du renne a la particularité de s’adapter à la saison. En été, la bordure de corne se rétracte et laisse place à des coussinets de chair qui facilitent la marche dans les marécages. L’hiver, le sabot prend uneforme concave. Le bord devient coupant pour adhérer aux sols glissants.
Enfin, les coussinets de chair se rétrécissent et sont recouverts par des poils.


Sabot d'un renne. © dinosoria.com
Les lichens dont le renne se nourrit participent à la protection contre le froid. Ils sont très riches en sucres qui, en fermentant dans le rumen (une poche de l’estomac), produisent de la chaleur.
La température interne est maintenue à 37°C.

Par ailleurs, le renne emmagasine beaucoup d’eau dans ses tissus ce qui lui sert d’isolant thermique.
Cri du Renne (Son MP3)
Les sabots du renne font office de raquettes. Presque aussi larges que longs, ils servent à creuser pour trouver le précieux lichen mais également à propulser l’animal dans l’eau quand il traverse une rivière.

Le renne est capable de survivre à des températures de – 40°C. By Ianqui
Pour toutes les espèces, la femelle est plus petite que le mâle. Un renne peut vivre jusqu’à 15 ans et 20 ans en captivité.
Un renne peut courir à 80 km/h en vitesse de pointe.
La ramure du renne Les bois peuvent atteindre 1,50 m d’envergure et peser jusqu’à 7 kg chez un mâle adulte. Ils sont constitués d'une tige centrale, appelée « merrain »
Plusieurs ramifications, « les andouillers »
Aucun individu ne possède la même ramure. Cette couronne est une véritable signature personnelle.

Les bois d'un renne peuvent atteindre 1,50 m d’envergure. © dinosoria.com
Les bois sont des excroissances osseuses du crâne qui se renouvellent tous les ans. Au début de la repousse, ils sont recouverts de « velours », une sorte de peau irriguée par de petits vaisseaux sanguins.
Ce sont eux qui acheminent les substances nutritives nécessaires à la croissance de la ramure.
Une fois la croissance terminée, le sang cesse de circuler, le tissu se dessèche et se détache par lambeaux, dévoilant la nouvelle ramure.
Chez le mâle, la ramure commence à pousser au mois de mars et atteint son apogée à la saison des amours.
Il la perd dès l’automne après la période de rut. La femelle conserve ses bois, d’une taille plus modeste, une grande partie de l’hiver.
La grande migration des caribous.
En Amérique du Nord, les rennes peuvent parcourir jusqu’à 6 000 km par an.
C’est la plus longue migration terrestre du monde animal.


Caribous en pleine migration. © dinosoria.com
À partir d’avril, quand le froid s’intensifie en Arctique, les caribous entament leur migration vers le nord. Ils profitent alors du bref été polaire.
Dès juillet, ils refont le parcours en sens inverse.
Les caribous, tous sexes confondus, peuvent alors former de gigantesques troupeaux de 120 000 têtes qui s’étirent sur une file de 300 km de long.
Une fois arrivés, ils se dispersent en petits groupes.
Quand il se déplace, le caribou fait entendre un cliquetis, audible à plus de100 m de distance. Ce bruit est dû au glissement des tendons sur les osde ses pattes.
Ce bruit de castagnettes assure la cohésion du troupeau pendant la longue migration.

En Amérique du Nord, les rennes peuvent parcourir jusqu’à 6 000 km par an. © dinosoria.com
Des chercheurs ont montré que les routes traditionnelles de migration sont enseignées par les femelles âgées qui voyagent en tête du troupeau.
Elles connaissent les bons pâturages et les aires d’hivernage. Quand ces femelles sont abattues par des chasseurs, le troupeau se désorganise et peut ne pas survivre.
Donc, outre l’instinct, la transmission d’une génération à l’autre est primordiale.
Pour mieux connaître les itinéraires des caribous et donc les protéger, un important programme de suivi par satellite a été initié par le gouvernement du Québec. Pour cela, des animaux ont été munis de colliersradio-émetteurs.
Les prédateurs du caribou et les dangers de la migration Les loups sont les principaux prédateurs des caribous. Dans certaines régions, le loup a été remplacé par le grizzli ou le lynx.
Les meutes de loups suivent toujours les caribous pendant leur migration.

Les loups chassent en meute. Ils repèrent une femelle et son petit, les encerclent, puis isolent le petit de la mère.
On estime qu’un seul loup tue entre 10 et 15 caribous par an.
Durant la longue transhumance, le caribou affronte le froid, la faim, les avalanches et les noyades.

By Mary Harrsch
L’été, le caribou doit faire face à un autre prédateur : l’oestre. C’est une mouche qui ressemble à un gros bourdon. Certaines espèces pondent sous la peau et d’autres déposent les œufs dans les cavités nasales.
Quand les larves se métamorphosent en insectes adultes, elles perforent la peau, occasionnant de grandes souffrances à l’animal.


Rennes qui migrent. © dinosoria.com
Durant tout l’été, les troupeaux sont harcelés par les mouches, les moustiquesou les varrons. Le bourdonnement incessant affole les animaux qui se mettent à courir pendant des kilomètres et cela jusqu’au bord de l’épuisement.
La constitution du harem A la fin du mois de septembre, la saison des amours commence pour les caribous. Seuls les mâles les plus vigoureux pourront s’accoupler.L’objectif d’un mâle est de constituer un harem dont il sera l’unique reproducteur.Pendant 2 à 3 semaines, les mâles s’affrontent en combats singuliers. Ce sont en quelque que sorte des tournois éliminatoires qui deviennent de plus en plus violents au fur et à mesure que les prétendants sont éliminés.
Cependant, les combats ne sont jamais mortels et les blessures sont plutôt rares.

Deux mâles qui s’affrontent . By Jimw
Le vainqueur s’approprie un groupe d’une quinzaine de femelles. Le mâle dominant reste au sein du harem le temps du rut puis repart.
Diriger et surveiller un harem n’est pas de tout repos. Le mâle doit avoir assez d’énergie pour les multiples accouplements mais aussi pour défendre ses femelles.
Dès qu’il s’accouple avec l’une d’entre elles, les autres mâles tentent leur chance avec les belles esseulées.

Faon. © NHPA
A la fin de la période des amours, le chef du harem est sur les « genoux ». D’ailleurs, ce travail est si épuisant qu’un mâle ne dirige un harem qu’une fois dans sa vie.
Cette caractéristique permet aux caribous d’éviter toute consanguinité et de plus, les faons possèdent les attributs des plus forts.
La résistance de l’espèce est ainsi assurée.

Pour séduire les femelles, le mâle possède une botte secrète : sa glande tarsienne. Située sur chaque patte arrière à l’intérieur du jarret, cette glande produit une sécrétion odorante irrésistible.
Le cycle de la vie.7 ½ mois après le rut, les femelles donnent naissance à leur petit. Ellesmettent bas chaque année au même endroit même si la harde a changé d’aire d’hivernage.
Toutes les naissances ont lieu dans un laps de temps très court : une dizaine de jours échelonnés entre fin mai et début juin.
Les changements climatiques rendent les naissances des caribous de plus en plus difficiles. Autrefois, les femelles mettaient bas qu’une fois arrivées au terme de la migration de printemps.
Aujourd’hui, la progression des troupeaux est ralentie par l’alternance de gel et dedégel. La nourriture devient donc plus difficile à trouver.
De ce fait, beaucoup de bébés naissent en route et meurent noyés dans les rivières en crue.

Caribou. © dinosoria.com
Même à la fin du printemps, il fait très froid dans le Grand Nord. Le faon est léché dès sa naissance par sa mère pour éviter que son poil gèle.Au bout de trois jours, le jeune doit être capable de suivre le troupeau.
Le lait des femelles est quatre fois plus riche que celui d’une vache. Le faon tête toutes les 18 minutes pour grandir rapidement. A sa naissance,le bébé ne pèse que 6 ou 7 kilos mais un mois plus tard, il en pèsera déjà 26.
Si la femelle conserve ses bois durant l’hiver c’est parce que cela lui donne des avantages pour élever son petit.
Elle peut creuser la neige pour trouver la nourriture, se défendre contre les prédateurs. De plus, les bois représentent une réserve de calcium.
Le fœtus puise dans cette réserve si l’alimentation de sa mère n’en contient pas assez.

Le faon reste près de sa mère pendant près d’un an. Pour le retrouver au milieu du troupeau, elle dispose du larmier.
C’est une glande, située sous l’orbite de l’œil, qui lui permet d’imprimer son odeur en frottant sa tête contre le corps du faon.
Environ ¼ des faons meurent avant d’atteindre un mois. 50 à 80% des jeunes mourront avant leur première année.

Heureusement, les femelles sont très fertiles et 90% d’entre elles ont un petit chaque année.
Classification: Animalia. Vertebrata. Mammalia. Artiodactyla . Cervidae. Rangifer

V.Battaglia (14.12.2005)














24/03/2017 - 18:39
La première espèce de bourdons placée
sur la liste des espèces en danger.


Présent originellement dans le sud du Canada et dans le nord des États-Unis, le Bombus affinis, une espèce de bourdons, a vu sa population décliner de 95% ces dernières années. Par conséquent, la sonnette d’alarme a été tirée…

À l’initiative de l’US Fish and Wildlife Service, un organisme fédéral attaché au Département de l’Intérieur des États-Unis s’occupant de la gestion et de la préservation de la faune, le Bombus affinis a donc été placé sur la liste des espèces en danger.

Il s’agit tout simplement de la première espèce de bourdons à acquérir ce statut sur le continent américain. Aujourd’hui, ces bourdons existent regroupés en petites populations isolées, à travers 12 États américains et dans la province de l’Ontario (Canada).

Le déclin exponentiel de ce bourdon est le résultat de plusieurs facteurs humains. L’urbanisation de l’environnement et la modernisation de l’agriculture ont joué un rôle prépondérant pour accentuer ce triste phénomène. Auparavant, les petites fermes familiales produisaient une variété d’habitats potentiels, dans les champs de fleurs sauvages.
Aujourd’hui, le monopole des grosses entreprises agricoles ne produit qu’une à deux variétés différentes.

En outre, cette industrialisation de l’agriculture a fait émerger inévitablement l’utilisation de pesticides. Si les abeilles de ruche
semblent bien résister aux pesticides, c’est loin d’être le cas des bourdons.

Par ailleurs, les abeilles élevées dans un but commercial ont tendance à être infectées d’une variété de maladies qui peuvent être transmises indirectement aux bourdons sauvages. Enfin, le changement climatique est également considéré comme un autre facteur du déclin de la population des Bombus affinis.
 
Pourquoi sauver ces bourdons ? Selon Forbes, la fonction de « pollinisateur » des Bombus affinis est primordiale dans la récolte d’une grande variété de fruits, de fleurs et de légumes comme les pommes, les prunes, les oignons, les melons, les poivrons ou encore la luzerne. Des récoltes qui sont estimées, dans l’ensemble, à près de 9 milliards de dollars par an (soit plus de 8,3 milliars d'euros). Une somme qu’il est difficile d’ignorer…


 
22/03/2017 - 07:57
Delphinariums et captivité des cétacés
star des bassins ou cobaye ?
(vidéo)



 
Souriant, joueur et rassurant, star du petit écran, nous aimerions tous l’avoir pour ami ! Le dauphin occupe une place à part dans notre imaginaire : depuis toujours cet excellent nageur nous attire et nous intrigue.
Un sentiment apparemment partagé puisqu’il n’a de cesse de se rapprocher de nous. À quoi est due cette attirance mutuelle ? La réponse tient peut-être à ses facultés psychiques exceptionnelles proches des nôtres…
Serait-il notre « double aquatique » ?
En captivité ou à l’état sauvage le dauphin est aussi « victime » de son succès. Star des bassins ou cobaye ? C’est ce que nous allons tenter de savoir !


 

22/03/2017 - 07:52
Ours noir adulte dans la forêt nationale de Tongass, Alaska

À premiere vue, il semble que la forêt nationale de Tongass soit l’habitat idéal pour notre ami ours noir. 6,9 millions d'hectares de forêt, glaciers et rochers, la plus importante concentration de grands arbres des États-Unis, cinq espèces de saumon… Pas de doute, c’est bien le paradis des ours ! Au point que notre ami noir doit cohabiter avec son cousin brun, ainsi qu’avec un nombre plutôt impressionnant d’autres espèces. Pas de problème, il y a de la place pour tout le monde en Alaska ! Tongass compte un tiers des forêts pluviales tempérées de la planète. Un écosystème si riche – et si rare - qu’il contient plus de
biomasse que les forêts tropicales humides.


21/03/2017 - 07:53
Sélection naturelle!
21/03/2017 - 07:44
VALERIANO ET AZA LE CHIEN...

Dans le Nord, il achète une maison... et le vieux chien qui vivait là depuis le décès de son maître!
 

 
L'histoire, repérée par nos confrères de France Bleu Nord, se déroule à Aulnoye-les-Valenciennes. Cet hiver,
un homme y a acheté une maison.

Quand il a vu qu'elle était déjà occupée par un vieux chien, resté dans le garage, il a décidé de l'adopter. 
 
Cet hiver, Valeriano décide d'acheter une maison, laissée à l'abandon depuis le décès de la personne qui y vivait.
Mais la maison n'était pas tout à fait vide. Le chien de l'ancien propriétaire était resté dans le garage de la maison depuis un an et demi - un membre de la famille venait lui apporter à manger de temps en temps. 

Lorsque Valeriano a appris l'existence d'Aza, un braque allemand de 12 ans, il a alors fait une double proposition d'achat : la maison et le chien !
 Les membres de la famille, qui avaient promis à son maître de le confier à quelqu'un de confiance, ont bien entendu 
accepté la proposition. 


Depuis, Valeriano et Aza sont inséparables, et le vieil animal a retrouvé son entrain. 

 
20/03/2017 - 09:57
 Cinq animaux étranges et surprenants.

Clic ici.........http://dai.ly/x2hwxgd
20/03/2017 - 08:22
Nos amis de la semaine.....

















 Je suis prêt pour mon bain!


"Etre ou ne pas être? Telle est la question!!!!!!