Les céphalopodes modifient eux-mêmes leur code génétique.
Souvenons-nous de la théorie de Darwin qui met en exergue le phénomène de « sélection naturelle ». Autrement dit , les espèces les plus adaptées à leur milieuont le plus de chance de survivre et, par conséquent, de se reproduire. Aujourd’hui, les scientifiques remettent à l’honneur ce dogme grâce à une étonnante découverte. Sur le podium ? Les céphalopodes et particulièrement les seiches et les pieuvres ! Car ces espèces ont la faculté de transformer leurs codes génétiques selon leur environnement. Explications. QUI SONT-ILS ? Les céphalopodes sont une classe de mollusques apparus il y a 500 millions d’années dont la tête est munie de tentacules. Elle regroupe alors les pieuvres, les calamars ou encore les seiches. Au total, ce sont 800 espèces connues actuellement. Et ce chiffre continue de croître de jour en jour. ADN VS. ARN ? Quasiment tous les êtres vivants possèdent une molécule biologique appelée « acide ribonucléique » dont le diminutif est « ARN ». D’où vient-elle ? Des gènes portés par l’ADN (acide désoxyribonucléique) qui, lorsqu’ils se codent sous une autre forme se transforment en ARN lui-même. Cette métamorphose se nomme la « transcription » et permet à l’individu de fabriquer des milliers de protéines qui vont être utiles au fonctionnement de ses cellules. L’ART DE LA DÉSOBÉISSANCE Contrairement à d’autres animaux, les céphalopodes n’obéissent pas aux transformations de leurs codes génétiques. Au lieu d’effectuer une transcription classique, un autre phénomène se produit, celui de l’« édition » qui modifie davantage le nouveau code génétique. Les variations observées sont alors intéressantes car elles sont responsables du comportement complexe et de l’intelligence élevée de certains céphalopodes. Dans le cerveau des calamars, plus de 60 % des transcriptions de l’ADN qui se produisent résultent de l’édition. A contrario, chez les autres espèces incluant les humains, ce chiffre s’élève à 1 % seulement. Une comparaison qui démontre l’activité génétique exceptionnelle de ces animaux. Et des niveaux élevés semblables d’édition d’ARN ont été identifiés chez trois autres espèces de céphalopodes dits « intelligents » : deux poulpes et une seiche. EFFET CAMÉLÉON A l’heure où la transcription par édition des céphalopodes pose encore question, elle semble être fortement influencée par le contexte environnemental. A l’instar des changements de température ou, de manière plus complexe, la mémoire de l’espèce. Un grand nombre de caractéristiques ont amené les experts à comparer les pieuvres et autres céphalopodes aux extraterrestres : leur camouflage instantané lorsqu’ils changent de couleur de peau, leur sang de couleur bleu ou leur aptitude à voir la lumière polarisé
Portrait Du Chat Persan Très Détaillé... Avec Trois Vidéos...Du Chat Persan En HD... Le chat Persan est la race la plus populaire car il possède un caractère doux et calme. Ce chat majestueux au nez légèrement aplati qui évoque immanquablement la volupté serait peut-être Persan, Arménien ou Turc.Il serait issu des contrées du Moyen Orient. Déjà célèbre en Europe au 18e siècle, le chat Persan est la race la plus représentée dans les expositions félines. Le Caractère Du Persan Contrairement au Siamois, le Persan manifeste assez peu son affection. Mais, un seul regard suffit et il n’a nul besoin de miauler pour se faire comprendre. Son apparente placidité ne l'empêche nullement d'être très attaché à sesmaîtres. C’est d’ailleurs bien là tout son charme. Calme et pudique, c’est un chat très doux. Son humeur calme est très reposante. C’est un chat parfaitement adapté à la vie en appartement. Il ne grimpe pas aux rideaux et ne griffe pas. Soulignons qu’il n’est pas toujours très propre. Le chat Persan est très placide. Marcello, un Persan chinchilla. By Akk-rus
C’est un chat domestique par excellence qui est incapable de se débrouiller seul pour survivre. La femelle a sa première portée plus tardivement que les autres chats. Elle met au monde deux à trois chatons au poil court. Les jeunes obtiennent leur robe définitive après la deuxième mue annuelle. La plupart des Persans émettent de petits miaulements, mais très rarement. C'est en général un chat aimable qui supporte bien la présence d'autresanimaux, y compris les chiens. Ces chats montrent rarement leurs griffes et restent sereins vis-à-vis des enfants. Cependant, comme la plupart des chats, ils préfèrent une ambiance calme et peu agitée. L’histoire Du Chat Persan Un gentilhomme romain, Pietro della Valle, l’aurait ramené de ses voyages en Perse vers 1550. Les origines exactes sont en fait méconnues. Selon certains, le Persan à poil long descend des Angoras de Turquie que les navigateurs ramenèrent avec eux de leurs voyages en Turquie et en Perse. Ce chat se reproduisit en Italie, et fut introduit en France vers 1620 puis en Grande-Bretagne où on lui donna plusieurs noms successifs : chat français, chat chinois, chat indien puis il prit l’appellation de Longhair. Le Persan à poil long (Longhair) est la plus populaire race de chat au monde. Licence
Le chat Persan était très à la mode au temps de la reine Victoria. Les éleveurs de l’époque victorienne qui ne connaissaient rien en génétique croisaient ces chats sans se soucier de la couleur ou du type de pelage. Peu à peu, la race s’est transformée pour acquérir les caractéristiques du Persan actuel. Les premiers Persans étaient blancs mais sont élevés... Aujourd'hui dans une gamme de couleur très large. Licence
Sur les peintures du 18e siècle, le chat Persan apparaît très différent. Ila un profil européen : un nez droit et des oreilles effilées.Suite aux différents croisements entre chats à poil long, un type de Persan émergea : un pelage magnifique, un aspect massif et une tête à l’air boudeur. Le chat Persan a toujours un air boudeur. By Miamormiamor La première variété introduite en Europe a été le Persan blanc, choisi par Louis XV. Vers 1900, le Persan bleu était très populaire. Le blanc et le bleu restent toujours les couleurs les plus appréciées.
Persan blanc (White). Les Persans à la robe unie doivent avoir des yeux cuivre ou orange mais ceux des White peuvent être bleus ou vairons. Licence
Au début du 20e siècle, les éleveurs britanniques présentèrent les premières femelles tricolores et des chattes couleur écaille-de-tortue. Les Soins. Ce chat demande beaucoup d’entretien. En effet, il mue tout au long de l’année et un brossage quotidien est obligatoire si l’on veut éviter nœuds et pelotes disgracieuses. De plus, un manque d’entretien pourrait être néfaste pour sa santé. Il avale beaucoup de poils en se léchant.
Stephanie, un Persan blanc. Le Persan montre peu de goût pour l'extérieur sauf si vous l'habituez à sortir dès son plus jeune âge. By Mrs Margret
Les yeux réclament également beaucoup d'attention. Le Persan s’enrhume très facilement. Au printemps et en été, le Persan perd une bonne partie de sa fourrure. By Xti
Une fois par trimestre, vous pouvez baigner votre Persan avec un shampooing spécial pour chats. En dehors des bains, si le pelage est sale, utilisez un shampooing sec non parfumé puis brossez la fourrure soigneusement. Variétés De Chats Persan. Il existe plus d’une trentaine de variétés de Persans qui se définissent par la couleur de leur pelage et de leurs yeux. Le Persan Chinchilla. C’est, paraît-il, le plus somptueux des Persans. Son nom provient de celui des petits rongeurs que l’on élève pour leur fourrure. Son histoire est amusante. En 1882, en Grande-Bretagne, la chatte Persan Smoke de Mrs Valence qui ressemblait au lapin Chinchilla est accouplée avec un mâle marbré argenté. De cette union est née une petite chatte qui a été accouplée avec un Persan Smoke. C’est ainsi que l’on finit par obtenir une portée qui comportait le premier Persan Chinchilla. Persan chinchilla. By Eye of Einstein
Ce chat a été naturalisé et on peut le voir au South Kensington Museum à Londres. Le Chinchilla possède de superbes yeux bleus océan qu’il acquiert vers l’âge de 4 mois. Il est plus vif que les autres Persans. Le Persan Écaille De Tortue. La fourrure extrêmement délicate à obtenir de cette variété confère à ce Persan une grande valeur. Chat persan écaille de tortue. By Jknorri Comme tous les Persans, cette espèce se caractérise par la beauté de sa robe soyeuse tricolore sur laquelle se détachent de grands yeux de couleur cuivre. Le Persan Colourpoint. Après la Seconde Guerre mondiale, un éleveur britannique tenta de créer une nouvelle race à partir d’un Siamois et d’un Persan. La même expérience était menée en parallèle aux Etats-Unis. Le résultat est le Colourpoint qui conserve toutes les caractéristiques du Persan mais possède une robe apparentée au Siamois. Baptisé Colourpoint en Grande Bretagne, ce chat a été homologué aux Etats-Unis sous le nom d’Himalayen. Persan colourpoint. By Bigkidslovetoys
La plupart des Persans Colourpoint ont des yeux bleu clair mais les éleveurs recherchent le bleu foncé . La variété des couleurs est nombreuse. Les chatons naissent toujours blancs et les points colorés apparaissent au bout de quelques jours voire quelques semaines. Plus vif que le Persan, il est moins autoritaire que le Siamois. C’est un chat fidèle et attachant. Le Persan Smoke. L’épaisse fourrure du Persan smoke possède des nuances grisonnantes. Mais, en fait, les nuances de sa robe sont multiples et apparaissent quand l’animal est en mouvement. Son calme est légendaire et ses yeux cuivre reflètent le mystère. Son élevage est difficile. En effet, la perfection d’une robe fumée est rare. Sa beauté réside dans le contraste entre les racines blanches et le reste du poil. Persan smoke. By Lemoncat Le Persan smoke existe en une dizaine de couleurs. Une longue collerette recouvre les épaules et la poitrine. Principales couleurs : Fumé noir (Black Smoke) ; Fumé bleu (Blue Smoke) ; Fumé chocolat (Chocolate Smoke) ; Persan lilas (Lilac Smoke) ; Fumé roux (Red Smoke) ; Fumé crème (Cream Smoke) ; Fumé écaille-de-tortue (Tortie Smoke) ; Fumé écaille et bleu. Le Persan Tabby. Ce Persan possède une couleur tigrée qui lui donne un aspect sauvage. Pourtant, il a un caractère très doux et placide. C’est, avec le Persan unicolore, un des plus anciens représentants de la race. Persan tabby. Ikar Assez étrangement, les chatons sont moins beaux que les adultes. Il faut environ six semaines pour que la robe se développe et que les marques s’estompent. Le Persan Unicolore. Le Persan blanc : Sa fourrure est d’une blancheur immaculée. Dans cette variété, on distingue le Persan blanc aux yeux bleus qui devient rare. Une anomalie de l’oreille interne le rend souvent sourd. Le Persan blanc aux yeux orange et le Persan blanc qui possède des yeux vairons, l’un orange et l’autre bleu. Persan noir. By JRW Le Persan noir : il possède des yeux magnifiques de couleur cuivre orangé. Son poil a tendance à devenir roux au soleil. Il doit avoir la truffe et les coussinets noirs. Le Persan roux. Très rare car il est difficile d’obtenir une robe sans marques tabby et sans poils blancs. Il existe également le Persan bleu, crème, chocolat et lilas. V.Battaglia (03.2005)
A développé une langue et un bec puissants qui lui permettent de couper et d’arracher les racines des scirpes et des carex A souvent la face teintée de roux, tachée par les particules de fer présentes dans le sol où elle se nourrit est probablement l’espèce d’oie la plus abondante au Canada niche ordinairement en colonies contrairement à la plupart des autres oiseaux aquatiques; les colonies peuvent compter jusqu’à 5,000 couples par kilomètre carré Description: La Petite Oie des neiges, Chen caerulescencs caerulescens, existe sous deux formes de colorations différentes, la phase blanche et la phase bleue. Dans le premier cas, le plumage est presque complètement blanc, exception faite du bout des ailes qui est noir. L’oie de la phase bleue a la tête blanche, mais elle se distingue par un plumage bleuâtre à la partie inférieure du dos et sur les flancs, tandisque la couleur du corps varie de très pâle presque blanc à très foncé. Pendant les deux phases, elle a souvent la face teintée de roux, son plumage étant taché par les particules de fer présentes dans le sol où elle se nourrit.
Les oisons de la phase blanche sont jaunes, tandis que ceux de la phase bleue sont presque noirs. À deux mois, les jeunes des deux phases ont lecorps gris et le bout des ailes noir; cependant, ceux de la phase bleuesont généralement d’un gris plus foncé et présentent au menton et à la gorge des plumes claires qui peuvent être tachées comme celles des adultes. Le printemps suivant leur naissance, le plumage des jeunes est encore gris. En avril et en mai, les scapulaires (les plumes situées à proximité de l’endroit ou l’aile se rattache au corps), le cou et les tectrices secondaires (les plumes recouvrant la base des plumes de vol) affichent une couleur blanche, mais, dans l’ensemble, le reste est encore grisâtre. Au printemps, le bec des oiseaux immatures, de noir à gris foncé d’abord, est devenu gris-rose. Chez l’adulte, le bec est rose et il est plus étroit que le large bec noir de la Bernache du Canada. Sa forme est adaptée de façon à ce que les oies puissent consommer les racines nutritives des plantes marécageuses. La bordure dentelée du bec donne l’impression que l’oiseau sourit et est parfois appelée « rictus ».
Les Petites Oies des neiges pèsent en moyenne de 2,2 à 2,7 kg, les mâles étant plus gros, et l’envergure de leurs ailes est d’environ 90 cm. On trouve deux autres sortes d’oies blanches en Amérique du Nord : la Grande Oie des neiges, Chen caerulescens atlantica, et l’Oie de Ross, Chen rossii. La Grande Oie des neiges est un peu plus grosse que la Petite Oie des neiges et elle niche plus au nord et plus à l’est qu’elle; la phase bleue de cette espèce est rarement observée. L’Oie de Ross est beaucoup plus petite que la Petite Oie des neiges et elle n’a pas de rictus sur les côtés du bec; la phase bleue de l’Oie de Ross est rare.
Comme les populations et les territoires de ces oies se sont accrus au cours des 50 dernières années, l’hybridation entre les deux espèces est devenue assez fréquente. Les hybrides ont une taille intermédiaire entrecelle de l’Oie de Ross et celle de la Petite Oie des neiges. Signes & Sons. Les Petites Oies des neiges émettent en choeur des whouk et des houk nasillards, puissants et retentissants.Habitat & Habitudes Chaque printemps et chaque automne, de brillantes volées d’oies blanches aux bouts des ailes noirs sillonnent le ciel du Sud du Canada.
La beauté et la force de ces oies, qui doivent parcourir des distances énormes entre leurs aires de nidification en Arctique et leur habitat d’hiver tempéré, constituent une source d’émerveillement pour beaucoup de personnes.
La plupart des oies blanches en migration observées dans le Sud du Canada,à l’Ouest du Québec, sont de Petites Oies des neiges quoique des Oies de Ross plus petites se mêlent aux troupeaux des Prairies. Dans le Sud du Québec, on a plus de chances de voir la Grande Oie des neiges. Un certain nombre de Petites Oies se joignent toutefois aux troupeaux des Grandes Oies qui survolent la province et elles aussi font halte à Cap-Tourmente sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Dans les provinces de l’Atlantique, on peut voir à l’occasion des volées d’Oies des neiges en migration.
Les habitants de la Colombie-Britannique qui vivent dans les basses terres continentales de la province ont la chance d’admirer les Petites Oies des neiges non seulement au moment de leurs migrations, mais également dans leurs aires d’hivernage. En effet, une partie de la grande population de cette oie, que l’Amérique du Nord partage avec l’Asie orientale, hiverne dans le delta du fleuve Fraser après être allée se reproduire 4 000 km plus loin sur l’île de Wrangel, en Arctique soviétique.
Les Petites Oies des neiges sont ordinairement rassemblées en immenses troupeaux et elles sont toujours passablement bruyantes. Elles volent également en groupes importants, mais elles n’établissent pas de formation en V comme la Bernache du Canada. Elles forment plutôt des lignes ou des U qui changent fréquemment de forme, donnant l’impression d’un mouvement ondulatoire. Caractéristiques Uniques: Comme la plupart des plantes des marais emmagasinent leurs réserves d’énergie dans les racines pendant les mois d’hiver... L’Oie des neiges a développé un bec puissant, garni de denticules, qui lui permet de couper et d’arracher les racines des scirpes et des carex poussant dans les marais côtiers. Elle saisit la plante avec les denticules de son bec, puis la coupe à l’aide de sa langue...Qui est indurée et puissante, également bordée de denticules. Conservation: La Petite Oie des neiges est la plus étudiée des oies nichant en Arctique. On a appris beaucoup de choses sur elle, mais on ne sait pas tout. Sa population augmente de façon constante depuis une cinquantaine d’années... Et ce, pour plusieurs raisons, la plus importante étant probablement l’augmentation de la nourriture en hiver apportée par les nouvelles techniques agricoles utilisées dans le Sud des États-Unis.
Source : Oies Dans Le Parc De Roosevelt En Georgie...
Les changements du climat arctique sont peut-être également un facteur. En effet, la fonte plus précoce des neiges au printemps dans l’Est de l’Arctique a permis aux oies d’occuper de nouveaux territoires dans l’île de Baffin et dans la partie continentale du district de Keewatin. Le phénomène peut également s’expliquer du fait que de nouvelles colonies,créées dans l’Est de l’Arctique, s’établissent assez au sud, là où leurreproduction est rarement compromise par des neiges persistantes.
L’augmentation de la population crée des problèmes tant pour la Petite Oie elle-même que pour les humains. La concentration d’un grand nombre d’oies sur des territoires relativement restreints peut entraîner l’épuisement des sources naturelles de nourriture. À la rivière McConnell, sur la côte ouest de la baie d’Hudson, une colonie d’environ 200 000 oies nicheuses a ainsi presque éliminé la végétation comestible dans l’aire de nidification initiale pour n’y laisser qu’un sol quasi dénudé. Dans certaines colonies (y compris la colonie nouvellement constituée de l’île Jenny Lind), les oies pourraient bien être trop nombreuses compte tenu des ressources disponibles.
Lorsqu’elles se tournent vers les champs agricoles au sud, les oies ne se limitent pas aux céréales laissées dans les champs; des cultures de blé d’hiver et d’importants pâturages sont parfois ainsi ravagés. D’autre part, les concentrations de grands nombres d’oiseaux sur de petits territoires augmentent les risques d’épidémies. Ces dernières années, des épidémies de choléra aviaire ont tué beaucoup de Petites Oies des neiges aux aires de rassemblement printanières du Centre des États-Unis et dans les colonies de nidification situées sur la côte ouest de la baie d’Hudson, sur l’île Banks et dans le Centre de l’Arctique.
De nombreuses Oies des neiges sont abattues par les chasseurs dont la tâche est facilitée par l’abondance de cette population et la vaste répartition de ces oiseaux tant dans le Sud du Canada, durant la période de migration automnale, qu’aux États-Unis, à la fin de l’automne et de l’hiver. Les oies constituent par ailleurs une importante source d’alimentation pourcertains peuples du Nord, notamment les Cris vivant le long de la baie James, lorsqu’un autre type de viande fraîche est rare ou impossible à trouver. En 1988, les chasseurs sportifs ont signalé avoir abattu 70 000 Oies des neiges au Canada et 270 000 aux États-Unis. Les recherches concernant les oies portent actuellement sur la biologie de la reproduction, la migration (routes, utilisation et chronologie) et l’alimentation, y compris les conséquences pour les plantes qui constituent leur nourriture. Les gestionnaires de la faune se préoccupent surtout des populations de la Petite Oie, de l’étendue et de la qualité des habitats dont elle a besoin au cours de son cycle biologique et du nombre d’oies abattues annuellement par les chasseurs. Tous les quatre à six ans, la taille des colonies de nidification est estimée à l’aide de photographies aériennes, contrôlées par des vérifications au sol (relevés sur le terrain).
Des efforts continus sont faits afin de protéger les habitats critiques. Ainsi, des refuges d’oiseaux migrateurs ont été établis afin de protégerles colonies de nidification situées dans le delta de la rivière Anderson, sur l’île Kendall et l’île Banks, dans les Territoires du Nord-Ouest, ainsi que le golfe de Queen Maud, l’île Southampton, l’île de Baffin et près de la rivière McConnell, au Nunavut. L’île de Wrangell, située en Russie, constitue un autre territoire protégé pour cette espèce. Beaucoup d’Oies des neiges hivernent également dans des refuges qui sont pour la plupart établis aux États-Unis. Il existe au Canada une aire d’hivernage qui jouit de la même protection. La réserve nationale de faune d’Alaksen, dans le delta du Fraser, en Colombie-Britannique, représente en effet un important habitat d’hivernage de la Petite Oie des neiges originaire de l’île de Wrangel, sans compter les autres oiseaux qui y trouvent refuge tout au cours de l’année.
Chaque année, on peut y assister à un spectacle magnifique lorsque des milliers d’Oies des neiges retournent à leur habitat traditionnel, situé à proximité de la ville de Vancouver.
Trump vient tout juste d'autoriser en Alaska le massacre des ours et loups, ainsi que leurs bébés.
Ils pourront être abattus par hélicoptère et tués dans leurs terriers c'est désormais officiel : depuis aujourd'hui, lundi 10 avril 2017, les loups et les ours pourront être à nouveau abattus en Alaska — y compris les bébés et les animaux hibernants, qui pourront être tués par hélicoptère mais aussi directement dans leurs terriers, au moment où ils sont le plus vulnérables.
Il ne manquait plus que la signature de Donald Trump pour valider un texte approuvé par le Congrès… c'est aujourd'hui chose faite. Cette nouvelle loi, qui rentrera immédiatement en vigueur, fait machine arrière sur toute un ensemble de mesures mises en place aux États-Unis par l'ancien président Barack Obama concernant la régulation des pratiques de chasse de ces animaux. 76.8 millions d'acres de réserves fédérales et de zones de protection concernés
Cette loi, poussée par des sénateurs Républicains, signe la fin de l'Alaska National Wildlife Refuges Rule, une loi mise en place par le gouvernement Obama pour interdire de tuer ces animaux sur une vaste zone protégée. La nouvelle législation permettrait non seulement de rouvrir la chasse de ces prédateurs, mais aussi d'autoriser des pratiques de chasse que de nombreux écologistes et militants pour les droits des animaux jugent cruelles et lâches, comme le fait de tuer des bébés, ou encore detirer des animaux en train d'hiberner (donc immobiles et sans défense). Comment peut-on qualifier de « chasse » la simple mise à mort d'un animal endormi ? Où est le « sport », là-dedans ? Des préoccupations morales Des préoccupations morales qui étaient loin d'empêcher certains membres du congrès de dormir, apparemment, puisque la mesure a été approuvée à 52 voix contre 47 il y a quelques jours comme nous vous le révélions dans un article.
Pour l'heure, 76.8 millions d'acres de réserves fédérales et de zones de protection sont concernés par cette mesure, qui est en train d'être largement critiquée et condamnée par les franges les plus progressistes de l'opinion, et notamment par l'Humane society of the United States (HSUS), l'une des organisations de protection animale les plus importantes du monde.
« Ce qui vient de se produire à la maison blanche aujourd'hui devrait choquer les consciences de toutes les personnes qui aiment un tant soit peu les animaux », s'est indigné Wayne Pacelle, directeur de l'HSUS, dans un communiqué
Mais cette loi aura avant tout le mérite de plaire aux électeurs : l'Alaska est en effet un des bastions les plus solides du parti Républicain et dela droite conservatrice, et les politiques de cet État savent très bie comment s'attirer les faveurs de leurs supporters en parlant « patrimoine », « droit à l'autogestion » et « chasse sportive »...
« Il faut comprendre qu'il ne s'agit pas seulement des petits ours polaires et des petits grizzlys et loups mignons qu'on voit à la télévision, il s'agit du droit des états fédéraux à gérer leurs propres ressources — et a ne pas laisser le gouvernement fédéral le faire à leur place », a rétorqué Don Young, membre de la Chambre des représentants, qui a présenté le projet de loi controversé…
Avant d'ajouter que, « si les Alaskains n'étaient pas satisfaits de ce genre de lois, il ne tenait qu'à eux d'arrêter de [le] réélire ». Âgé de 83 ans, il est en fonction depuis 1973, et s'est fait réélire sans interruption en tant que représentant du 49e État.
1. L’opossum est un marsupial avec un poids entre 1 et 5 kg, il n’est guère plus gros qu’un chat. 2. On retrouve l’opossum en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Océanie. 3. Il passe sa journée à dormir dans les arbres, les crevasses de rocher, les terriers abandonnés, etc., et sort le soir pour chercher sa nourriture. 4. Il est omnivore, il se nourrit de fruits et de graines, mais surtout d’insectes et autres petits animaux tels que des grenouilles, des serpents, des oiseaux, des vers de terre, des insectes et des petits mammifères. 5. La femelle donne naissance généralement à une portée de 6 à 9 petits et peut aller jusqu’à 20 bébés opossums. 6. Lorsqu’ils viennent au monde, les petits mesurent environ 1 centimètre et pèsent moins d’un gramme. Ils n’ont ni yeux ni oreilles apparentes. 7. L’opossum peut vivre 2 à 3 ans en milieu sauvage et jusqu’à 6 ans en captivité. 8. Il a la particularité de savoir faire le mort et de dégager une odeur repoussante lorsqu’il est mis en danger. Voici un petit vidéo démontrant comment la mère opossum transporte ses bébés.
Les photographes animaliers concentrent leur travail sur la présentation des animaux dans la nature sauvage... Seul quelques photographes utilisent la photographie d'animaux dans les zoos comme une forme d'art .
Je pense personnellement que c'est une occasion ratée. Tout comme les animaux sauvages vivants en liberté , les animaux vivants dans les zoos sont aussi aptes pour faire des photos très esthétiques .
Avec mes photos je voudrais passer de la photographie de ces animaux à la photographie d'art et montrer des photos qui ne sont pas seulement et purement documentaire .
Contrairement à la photographie de vie sauvage,les animaux du zoo vivent normalement dans un environnement qui est artificiel , très distrayant et sont d'une conception artistique difficile .
Par conséquent en tant que technologie photographique j'assombris toutes les parties de l'image qui ne sont pas nécessaires à la création de l'image.
Comme dans la photographie de portrait, j'essaie de trouver la bonne position dans laquelle les animaux sont à l'aise .
Mes photos ne tiennent jamais comptede la situation réelle.
Ils sont mon élégie sur un monde animal qui disparaît de manière tragique chaque jour de plus en plus .
Le panda est un mammifère des forets d'Inde et de Chine dont il existe 2 espèces très différentes, le grand panda, qui ressemble à un ourson et le petit panda qui ressemble à un gros chat mais avec une queue touffue. En chinois panda devient Daxiongmao.
Sa Carte D'identité...
Classe : mammifère Ordre :carnivore Durée de vie: environ 15ans Régime : végétarien Portée : 1 à 2 petits mais rarement 4 Gestation : 90 à 150 jours Poids : 3 à 4 kg Longueur de la tête au tronc : 51 à 63 cm Longueur de la queue : 28 à 48 cm
Son Portrait Le panda roux appelé aussi "petit panda ou panda doré" vit dans l'Himalaya et dans les montagnes d'Asie du sud-est et centrale. Il ressemble à un raton laveur. Il peut vivre jusqu'à 15 ans . Il vit en couple ou en solitaire. Il mange des fruits, du bambou, des insectes, des racines, des bourgeons et parfois des souris. Ses griffes semi rétractives et très aiguisées lui permettent de monter facilement aux arbres. Il se repose sur les branches en balançant ses pattes dans le vide. Sur le sol le petit panda a une démarche maladroite à cause de sa plante de pied. Il fait des mouvements lents comme l'ours. Il marque son territoire grâce àun liquide à l'odeur de musc émis par les glandes anales.
En Danger (Lui Aussi). Son espèce est un peu plus répandue que celle de son cousin le panda géant mais il est quand même en voie de disparition . Il est donc classé dans les espèces protégées depuis 1960. Sa Nourriture & Sa Taille Le petit panda (Ailurus fulgens) est rattaché à la même famille que celle du raton laveur. On l'associe communément au grand panda, car il se nourrit de bambou et possède lui aussi un faux pouce aux pattes antérieures qui l'aide à le cueillir. Le panda roux se nourrit aussi de lichens, feuilles, fruits et racines. Au printemps, il se nourrit aussi d'œufs et d'oisillons. De la taille d'un gros chat, le petit panda est pourvu d'une épaisse fourrure d'un brun rougeâtre. Il mesure environ 60 cm et pèse tout juste 5 kg. Sa queue touffue peut atteindre 50 cm et présente des anneaux bien délimités. Il habite les forêts d'altitude en Asie.
Autres Infos Reproduction Le panda roux interagit rarement avec ses congénères en dehors de la saison des amours. Celle-ci débute au début de l'hiver, les naissances ayant lieu au printemps et en été. Quelques jours avant la mise bas, la femelle commence à transporter des matériaux de nidification (bâtons, de l'herbe, des feuilles) vers un site convenable. Dans la nature, un nid peut être un arbre creux ou une crevasse. En captivité, une boîte, des troncs creux, ou d'autres tanières artificielles peuvent servir de nid. Après une période de gestation d'environ 134 jours, la femelle met au monde une portée de 1 à 4 petits. A la naissance, les petits ont déjà une fourrure, ne mesurent que 6 cm et ne pèsent que 100 g. Ils sont d'abord aveugles et n'ouvrent les yeux qu'au bout de 18 jours. Après la naissance, la mère nettoie rapidement ses petits et passe avec eux 60 à 90% de son temps les premiers jours. La mère reconnait sa progéniture par des signaux olfactifs établis peu après la naissance. Après une semaine, elle passe plus de temps loin du nid. Dépendants, les jeunes pandas roux ne sortent de la tanière qu'après 90 jours et vivent avec leur mère jusqu'à la période de reproduction suivante. Ils sont sevrés après 5 mois. Ils atteignent leur maturité sexuelle vers l'âge de 18 ou 20 mois. Les mâles ont un faible rôle voir quasi aucun dans l'éducation et les soins aux petits. La longévité maximale dupanda roux est de 14 ans, mais la moyenne est de 8 à 10 ans. Les pandas roux n'ont jamais suscité autant d'intérêt vis à vis du public que leurs homonymes noirs et blancs bien qu'ils ont été découvert presque un demi-siècle avant. Déjà en 1869 (date où le Père David aperçut pour la première fois une peau de grand panda), le zoo de Londres accueillait le premier panda roux. La classification des pandas roux pose elle-aussi un certain nombre de problèmes aux spécialistes. En effet, même si les pandas roux ressemblent à des ratons laveurs, ils ont pourtant des points communs avec les ours. C'est ainsi qu'ils sont alternativement classés avec les grands pandas ou dans une famille à part : les Ailuridae. Leur aire de répartition est plus vaste : elle couvre à l'ouest certaines parties de l'Himalaya (Népal, Bhoutan et Tibet) et à l'est, le nord de la Birmanie et les provinces chinoises du Sichuan et du Yunnan. On distingue même 2 sous-espèces : à l'est, celle des petits pandas du Styan (Ailurus fulgens styani), légèrement plus grands, et à l'ouest celle des Ailurus fulgens fulgens. En Chine, petit et grand pandas cohabitent sans problème même là où leurs territoires se superposent. Plus agiles, ils sont cependant capables de survivre sur des pentes plus abruptes, à de plus grandes altitudes (jusqu'à 4000 mètres). Ils sont plutôt solitaires et consacrent une grande majorité de la journée à dormir dans des arbres ou dans des cachettes naturelles, sous des rochers ou des arbres tombés. Il n'est pas rare qu'on les voit prendre des bains de soleil au sud qui les aident à faire des économies d'énergie. Ils sont actifs à la tombée du jour, la nuit et à l'aube. Il mérite tout à fait son surnom de "renard de feu" que les chinois lui ont donné. Son dos roux, sa grosse tête avec des oreilles pointues bordées de poils blancs, son museau allongé et sa face marquée de taches blanches caractéristiques correspondent parfaitement à ce surnom. Sa queue d'un brun-roux est épaisse et cerclée de neuf bandes plus foncées, son ventre sombre et ses pattes sont nettement visibles lorsqu'il se déplace sur la neige ou grimpe à un arbre. Sa queue, presque aussi longue que son corps, lui sert d'oreiller et, par temps froid, de couverture. Il s'en enveloppe pour dormir et elle lui évite toute déperdition de chaleur. C'est la fin de la partie sur les pandas roux, Vous avez appris que même le panda roux est en danger . Menaces Le panda roux souffre de la perte de son habitat dans toute son aire de répartition. La déforestation pour l'exploitation du bois, l'agriculture et le développement humain en sont les principales causes. En Chine, l'espèce aurait ainsi subi une baisse d'environ 40% ces 50 dernières années. Au Népal, la sous-espèceAilurus fulgens fulgens est également menacée d'extinction. La déforestation élimine les sites de nidification et les sources de nourriture, et isole les populations en petits fragments séparés dans des habitats inhospitaliers. Il est une cible occasionnelle dans la pratique de la chasse, et on le trouve souvent dans des pièges destinés aux porte-musc alpin. Le panda roux a également été exploité pour sa fourrure pour en fabriquer des chapeaux qui sont toujours très demandés dans le Yunnan en Chine pour les jeunes mariés, car il symbolise traditionnellement un mariage heureux. L'expansion des populations humaines en Asie et la nécessité croissante de terre etde bois sont des menaces importantes pour la survie de cette espèce. Le panda roux est protégé dans tous les pays où il se trouve, à l'exception du Myanmar. Il est inscrit à l'Annexe I de la CITES depuis 1995. La Liste rouge des espèces menacées de l'IUCN répertorie l'espèce dans la catégorie vulnérable (VU). En Chine, l'espèce est présente dans bon nombre de réserves qui ont été établies pour protéger le panda géant. Un programme d'élevage international existe, et les pandas roux sont élevés en captivité dans plus de 30 zoos du monde entier. En Amérique du Nord la population captive était de 182 individus en 2001 et ceux-ci sont maintenus et gérés dans le cadre du Plan de Survie des Espèces (SSP). La protection de l'habitat restant pour ce mammifère attrayant et discret la véritable solution pour que survive le panda roux qui est aujourd'hui déjà rare à l'état sauvage.
Les céphalopodes modifient eux-mêmes leur code génétique.
Souvenons-nous de la théorie de Darwin qui met en exergue le phénomène de « sélection naturelle ». Autrement dit , les espèces les plus adaptées à leur milieuont le plus de chance de survivre et, par conséquent, de se reproduire.
Aujourd’hui, les scientifiques remettent à l’honneur ce dogme grâce à une étonnante découverte. Sur le podium ? Les céphalopodes et particulièrement les seiches et les pieuvres ! Car ces espèces ont la faculté de transformer leurs codes génétiques selon leur environnement.
Explications.
QUI SONT-ILS ? Les céphalopodes sont une classe de mollusques apparus il y a 500 millions d’années dont la tête est munie de tentacules. Elle regroupe alors les pieuvres, les calamars ou encore les seiches. Au total, ce sont 800 espèces connues
actuellement. Et ce chiffre continue de croître de jour en jour.
ADN VS. ARN ? Quasiment tous les êtres vivants possèdent une molécule biologique appelée « acide ribonucléique » dont le diminutif est « ARN ». D’où vient-elle ? Des gènes portés par l’ADN (acide désoxyribonucléique) qui, lorsqu’ils se codent sous une autre forme se transforment en ARN lui-même. Cette métamorphose se nomme la « transcription » et permet à l’individu de fabriquer des milliers de protéines qui vont être utiles au fonctionnement de ses cellules.
L’ART DE LA DÉSOBÉISSANCE Contrairement à d’autres animaux, les céphalopodes n’obéissent pas aux transformations de leurs codes génétiques. Au lieu d’effectuer une transcription classique, un autre phénomène se produit, celui de l’« édition » qui modifie davantage le nouveau code génétique. Les variations observées sont alors intéressantes car elles sont responsables du
comportement complexe et de l’intelligence élevée de certains céphalopodes.
Dans le cerveau des calamars, plus de 60 % des transcriptions de l’ADN qui se produisent résultent de l’édition. A contrario, chez les autres espèces incluant les humains, ce chiffre s’élève à 1 % seulement. Une comparaison qui démontre l’activité génétique exceptionnelle de ces animaux. Et des niveaux élevés semblables d’édition d’ARN ont été identifiés chez trois autres espèces
de céphalopodes dits « intelligents » : deux poulpes et une seiche.
EFFET CAMÉLÉON A l’heure où la transcription par édition des céphalopodes pose encore question, elle semble être fortement influencée par le contexte environnemental. A l’instar des changements de température ou, de manière plus complexe, la mémoire de l’espèce.
Un grand nombre de caractéristiques ont amené les experts à comparer les pieuvres et autres céphalopodes aux extraterrestres : leur camouflage instantané lorsqu’ils changent de couleur de peau, leur sang de couleur bleu ou leur aptitude à voir la lumière polarisé
Avec Trois Vidéos...Du Chat Persan En HD...
Le chat Persan est la race la plus populaire car il possède un caractère doux et calme.
Ce chat majestueux au nez légèrement aplati qui évoque immanquablement la volupté serait peut-être Persan, Arménien ou Turc.Il serait issu des contrées du Moyen Orient. Déjà célèbre en Europe au 18e siècle, le chat Persan est la race la plus représentée dans les expositions félines.
Le Caractère Du Persan
Contrairement au Siamois, le Persan manifeste assez peu son affection. Mais, un seul regard suffit et il n’a nul besoin de miauler pour se faire comprendre.
Son apparente placidité ne l'empêche nullement d'être très attaché à sesmaîtres.
C’est d’ailleurs bien là tout son charme. Calme et pudique, c’est un chat très doux. Son humeur calme est très reposante.
C’est un chat parfaitement adapté à la vie en appartement. Il ne grimpe pas aux rideaux et ne griffe pas. Soulignons qu’il n’est pas toujours très propre.
Le chat Persan est très placide. Marcello, un Persan chinchilla. By Akk-rus
C’est un chat domestique par excellence qui est incapable de se débrouiller seul pour survivre.
La femelle a sa première portée plus tardivement que les autres chats.
Elle met au monde deux à trois chatons au poil court. Les jeunes obtiennent leur robe définitive après la deuxième mue annuelle.
La plupart des Persans émettent de petits miaulements, mais très rarement.
C'est en général un chat aimable qui supporte bien la présence d'autresanimaux, y compris les chiens.
Ces chats montrent rarement leurs griffes et restent sereins vis-à-vis des enfants.
Cependant, comme la plupart des chats, ils préfèrent une ambiance calme et peu agitée.
L’histoire Du Chat Persan
Un gentilhomme romain, Pietro della Valle, l’aurait ramené de ses voyages en Perse vers 1550. Les origines exactes sont en fait méconnues. Selon certains, le Persan à poil long descend des Angoras de Turquie que les navigateurs ramenèrent avec eux de leurs voyages en Turquie et en Perse.
Ce chat se reproduisit en Italie, et fut introduit en France vers 1620 puis en Grande-Bretagne où on lui donna plusieurs noms successifs : chat français, chat chinois, chat indien puis il prit l’appellation de Longhair.
Le Persan à poil long (Longhair) est la plus populaire race de chat au monde. Licence
Le chat Persan était très à la mode au temps de la reine Victoria. Les éleveurs de l’époque victorienne qui ne connaissaient rien en génétique croisaient ces chats sans se soucier de la couleur ou du type de pelage.
Peu à peu, la race s’est transformée pour acquérir les caractéristiques du Persan actuel.
Les premiers Persans étaient blancs mais sont élevés...
Aujourd'hui dans une gamme de couleur très large. Licence
Sur les peintures du 18e siècle, le chat Persan apparaît très différent. Ila un profil européen : un nez droit et des oreilles effilées.Suite aux différents croisements entre chats à poil long, un type de Persan émergea : un pelage magnifique, un aspect massif et une tête à l’air boudeur.
Le chat Persan a toujours un air boudeur. By Miamormiamor
La première variété introduite en Europe a été le Persan blanc, choisi par Louis XV.
Vers 1900, le Persan bleu était très populaire.
Le blanc et le bleu restent toujours les couleurs les plus appréciées.
Au début du 20e siècle, les éleveurs britanniques présentèrent les premières femelles tricolores et des chattes couleur écaille-de-tortue.
Les Soins. Ce chat demande beaucoup d’entretien. En effet, il mue tout au long de l’année et un brossage quotidien est obligatoire si l’on veut éviter nœuds et pelotes disgracieuses.
De plus, un manque d’entretien pourrait être néfaste pour sa santé. Il avale beaucoup de poils en se léchant.
Les yeux réclament également beaucoup d'attention.
Le Persan s’enrhume très facilement.
Au printemps et en été, le Persan perd une bonne partie de sa fourrure. By Xti
Une fois par trimestre, vous pouvez baigner votre Persan avec un shampooing spécial pour chats. En dehors des bains, si le pelage est sale, utilisez un shampooing sec non parfumé puis brossez la fourrure soigneusement.
Variétés De Chats Persan.
Il existe plus d’une trentaine de variétés de Persans qui se définissent par la couleur de leur pelage et de leurs yeux.
Le Persan Chinchilla.
C’est, paraît-il, le plus somptueux des Persans. Son nom provient de celui des petits rongeurs que l’on élève pour leur fourrure.
Son histoire est amusante. En 1882, en Grande-Bretagne, la chatte Persan Smoke de Mrs Valence qui ressemblait au lapin Chinchilla est accouplée avec un mâle marbré argenté. De cette union est née une petite chatte qui a été accouplée avec un Persan Smoke.
C’est ainsi que l’on finit par obtenir une portée qui comportait le premier Persan Chinchilla.
Persan chinchilla. By Eye of Einstein
Ce chat a été naturalisé et on peut le voir au South Kensington Museum à Londres.
Le Chinchilla possède de superbes yeux bleus océan qu’il acquiert vers l’âge de 4 mois.
Il est plus vif que les autres Persans.
Le Persan Écaille De Tortue.
La fourrure extrêmement délicate à obtenir de cette variété confère à ce Persan une grande valeur.
Chat persan écaille de tortue. By Jknorri
Comme tous les Persans, cette espèce se caractérise par la beauté de sa robe soyeuse tricolore sur laquelle se détachent de grands yeux de couleur cuivre.
Le Persan Colourpoint.
Après la Seconde Guerre mondiale, un éleveur britannique tenta de créer une nouvelle race à partir d’un Siamois et d’un Persan. La même expérience était menée en parallèle aux Etats-Unis.
Le résultat est le Colourpoint qui conserve toutes les caractéristiques du Persan mais possède une robe apparentée au Siamois.
Baptisé Colourpoint en Grande Bretagne, ce chat a été homologué aux Etats-Unis sous le nom d’Himalayen.
Persan colourpoint. By Bigkidslovetoys
La plupart des Persans Colourpoint ont des yeux bleu clair mais les éleveurs recherchent le bleu foncé . La variété des couleurs est nombreuse.
Les chatons naissent toujours blancs et les points colorés apparaissent au bout de quelques jours voire quelques semaines.
Plus vif que le Persan, il est moins autoritaire que le Siamois. C’est un chat fidèle et attachant.
Le Persan Smoke.
L’épaisse fourrure du Persan smoke possède des nuances grisonnantes. Mais, en fait, les nuances de sa robe sont multiples et apparaissent quand l’animal est en mouvement. Son calme est légendaire et ses yeux cuivre reflètent le mystère.
Son élevage est difficile. En effet, la perfection d’une robe fumée est rare. Sa beauté réside dans le contraste entre les racines blanches et le reste du poil.
Persan smoke. By Lemoncat
Le Persan smoke existe en une dizaine de couleurs. Une longue collerette recouvre les épaules et la poitrine.
Principales couleurs : Fumé noir (Black Smoke) ; Fumé bleu (Blue Smoke) ; Fumé chocolat (Chocolate Smoke) ; Persan lilas (Lilac Smoke) ; Fumé roux (Red Smoke) ; Fumé crème (Cream Smoke) ; Fumé écaille-de-tortue (Tortie Smoke) ; Fumé écaille et bleu.
Le Persan Tabby.
Ce Persan possède une couleur tigrée qui lui donne un aspect sauvage. Pourtant, il a un caractère très doux et placide.
C’est, avec le Persan unicolore, un des plus anciens représentants de la race.
Persan tabby. Ikar
Assez étrangement, les chatons sont moins beaux que les adultes.
Il faut environ six semaines pour que la robe se développe et que les marques s’estompent.
Le Persan Unicolore.
Le Persan blanc : Sa fourrure est d’une blancheur immaculée. Dans cette variété, on distingue le Persan blanc aux yeux bleus qui devient rare.
Une anomalie de l’oreille interne le rend souvent sourd.
Le Persan blanc aux yeux orange et le Persan blanc qui possède des yeux vairons, l’un orange et l’autre bleu.
Persan noir. By JRW
Le Persan noir : il possède des yeux magnifiques de couleur cuivre orangé.
Son poil a tendance à devenir roux au soleil. Il doit avoir la truffe et les coussinets noirs.
Le Persan roux.
Très rare car il est difficile d’obtenir une robe sans marques tabby et sans poils blancs.
Il existe également le Persan bleu, crème, chocolat et lilas.
V.Battaglia (03.2005)
Au Premier Regard
Cet Oiseau
A développé une langue et un bec puissants qui lui permettent de couper et d’arracher les racines des scirpes et des carex
A souvent la face teintée de roux, tachée par les particules de fer présentes dans le sol où elle se nourrit est probablement l’espèce d’oie la plus abondante au Canada niche ordinairement en colonies contrairement à la plupart des autres oiseaux aquatiques; les colonies peuvent compter jusqu’à 5,000 couples par kilomètre carré
Description:
La Petite Oie des neiges, Chen caerulescencs caerulescens, existe sous deux formes de colorations différentes, la phase blanche et la phase bleue. Dans le premier cas, le plumage est presque complètement blanc, exception faite du bout des ailes qui est noir.
L’oie de la phase bleue a la tête blanche, mais elle se distingue par un plumage bleuâtre à la partie inférieure du dos et sur les flancs, tandisque la couleur du corps varie de très pâle presque blanc à très foncé.
Pendant les deux phases, elle a souvent la face teintée de roux, son plumage étant taché par les particules de fer présentes dans le sol où elle se nourrit.
Les oisons de la phase blanche sont jaunes, tandis que ceux de la phase bleue sont presque noirs. À deux mois, les jeunes des deux phases ont lecorps gris et le bout des ailes noir; cependant, ceux de la phase bleuesont généralement d’un gris plus foncé et présentent au menton et à la gorge des plumes claires qui peuvent être tachées comme celles des
adultes.
Le printemps suivant leur naissance, le plumage des jeunes est encore gris. En avril et en mai, les scapulaires (les plumes situées à proximité de l’endroit ou l’aile se rattache au corps), le cou et les tectrices secondaires (les plumes recouvrant la base des plumes de vol) affichent une couleur blanche, mais, dans l’ensemble, le reste est encore grisâtre.
Au printemps, le bec des oiseaux immatures, de noir à gris foncé d’abord, est devenu gris-rose. Chez l’adulte, le bec est rose et il est plus étroit que le large bec noir de la Bernache du Canada. Sa forme est adaptée de façon à ce que les oies puissent consommer les racines nutritives des plantes marécageuses. La bordure dentelée du bec donne l’impression que l’oiseau sourit et est parfois appelée « rictus ».
Les Petites Oies des neiges pèsent en moyenne de 2,2 à 2,7 kg, les mâles étant plus gros, et l’envergure de leurs ailes est d’environ 90 cm.
On trouve deux autres sortes d’oies blanches en Amérique du Nord : la Grande Oie des neiges, Chen caerulescens atlantica, et l’Oie de Ross, Chen rossii. La Grande Oie des neiges est un peu plus grosse que la Petite Oie des neiges et elle niche plus au nord et plus à l’est qu’elle; la phase bleue de cette espèce est rarement observée.
L’Oie de Ross est beaucoup plus petite que la Petite Oie des neiges et elle n’a pas de rictus sur les côtés du bec; la phase bleue de l’Oie de Ross est rare.
Comme les populations et les territoires de ces oies se sont accrus au cours des 50 dernières années, l’hybridation entre les deux espèces est devenue assez fréquente. Les hybrides ont une taille intermédiaire entrecelle de l’Oie de Ross et celle de la Petite Oie des neiges.
Signes & Sons.
Les Petites Oies des neiges émettent en choeur des whouk et des houk nasillards, puissants et retentissants.Habitat & Habitudes Chaque printemps et chaque automne, de brillantes volées d’oies blanches aux bouts des ailes noirs sillonnent le ciel du Sud du Canada.
La beauté et la force de ces oies, qui doivent parcourir des distances énormes entre leurs aires de nidification en Arctique et leur habitat d’hiver tempéré, constituent une source d’émerveillement pour beaucoup de personnes.
La plupart des oies blanches en migration observées dans le Sud du Canada,à l’Ouest du Québec, sont de Petites Oies des neiges quoique des Oies de Ross plus petites se mêlent aux troupeaux des Prairies.
Dans le Sud du Québec, on a plus de chances de voir la Grande Oie des neiges.
Un certain nombre de Petites Oies se joignent toutefois aux troupeaux des Grandes Oies qui survolent la province et elles aussi font halte à Cap-Tourmente sur le bord du fleuve Saint-Laurent. Dans les provinces de l’Atlantique, on peut voir à l’occasion des volées d’Oies des neiges en migration.
Les habitants de la Colombie-Britannique qui vivent dans les basses terres continentales de la province ont la chance d’admirer les Petites Oies des neiges non seulement au moment de leurs migrations, mais également dans leurs aires d’hivernage.
En effet, une partie de la grande population de cette oie, que l’Amérique du Nord partage avec l’Asie orientale, hiverne dans le delta du fleuve Fraser après être allée se reproduire 4 000 km plus loin sur l’île de Wrangel, en Arctique soviétique.
Les Petites Oies des neiges sont ordinairement rassemblées en immenses troupeaux et elles sont toujours passablement bruyantes.
Elles volent également en groupes importants, mais elles n’établissent pas de formation en V comme la Bernache du Canada. Elles forment plutôt des lignes ou des U qui changent fréquemment de forme, donnant l’impression d’un mouvement ondulatoire.
Caractéristiques Uniques:
Comme la plupart des plantes des marais emmagasinent leurs réserves d’énergie dans les racines pendant les mois d’hiver...
L’Oie des neiges a développé un bec puissant, garni de denticules, qui lui permet de couper et d’arracher les racines des scirpes et des carex
poussant dans les marais côtiers.
Elle saisit la plante avec les denticules de son bec, puis la coupe à l’aide de sa langue...Qui est indurée et puissante, également bordée de denticules.
Conservation:
La Petite Oie des neiges est la plus étudiée des oies nichant en Arctique.
On a appris beaucoup de choses sur elle, mais on ne sait pas tout.
Sa population augmente de façon constante depuis une cinquantaine d’années...
Et ce, pour plusieurs raisons, la plus importante étant probablement l’augmentation de la nourriture en hiver apportée par les nouvelles techniques agricoles utilisées dans le Sud des États-Unis.
Source : Oies Dans Le Parc De Roosevelt En Georgie...
Les changements du climat arctique sont peut-être également un facteur. En effet, la fonte plus précoce des neiges au printemps dans l’Est de l’Arctique a permis aux oies d’occuper de nouveaux territoires dans l’île de Baffin et dans la partie continentale du district de Keewatin.
Le phénomène peut également s’expliquer du fait que de nouvelles colonies,créées dans l’Est de l’Arctique, s’établissent assez au sud, là où leurreproduction est rarement compromise par des neiges persistantes.
L’augmentation de la population crée des problèmes tant pour la Petite Oie elle-même que pour les humains. La concentration d’un grand nombre d’oies sur des territoires relativement restreints peut entraîner l’épuisement des
sources naturelles de nourriture.
À la rivière McConnell, sur la côte ouest de la baie d’Hudson, une colonie d’environ 200 000 oies nicheuses a ainsi presque éliminé la végétation comestible dans l’aire de nidification initiale pour n’y laisser qu’un sol quasi dénudé.
Dans certaines colonies (y compris la colonie nouvellement constituée de l’île Jenny Lind), les oies pourraient bien être trop nombreuses compte tenu des ressources disponibles.
Lorsqu’elles se tournent vers les champs agricoles au sud, les oies ne se limitent pas aux céréales laissées dans les champs; des cultures de blé d’hiver et d’importants pâturages sont parfois ainsi ravagés.
D’autre part, les concentrations de grands nombres d’oiseaux sur de petits territoires augmentent les risques d’épidémies. Ces dernières années, des épidémies de choléra aviaire ont tué beaucoup de Petites Oies des neiges aux aires de rassemblement printanières du Centre des États-Unis et dans les colonies de nidification situées sur la côte ouest de la
baie d’Hudson, sur l’île Banks et dans le Centre de l’Arctique.
De nombreuses Oies des neiges sont abattues par les chasseurs dont la tâche est facilitée par l’abondance de cette population et la vaste répartition de ces oiseaux tant dans le Sud du Canada, durant la période de migration automnale, qu’aux États-Unis, à la fin de l’automne et de l’hiver.
Les oies constituent par ailleurs une importante source d’alimentation pourcertains peuples du Nord, notamment les Cris vivant le long de la baie James, lorsqu’un autre type de viande fraîche est rare ou impossible à trouver. En 1988, les chasseurs sportifs ont signalé avoir abattu 70 000 Oies des neiges au Canada et 270 000 aux États-Unis.
Les recherches concernant les oies portent actuellement sur la biologie de la reproduction, la migration (routes, utilisation et chronologie) et l’alimentation, y compris les conséquences pour les plantes qui constituent leur nourriture.
Les gestionnaires de la faune se préoccupent surtout des populations de la Petite Oie, de l’étendue et de la qualité des habitats dont elle a besoin au cours de son cycle biologique et du nombre d’oies abattues annuellement par les chasseurs.
Tous les quatre à six ans, la taille des colonies de nidification est estimée à l’aide de photographies aériennes, contrôlées par des vérifications au sol (relevés sur le terrain).
Des efforts continus sont faits afin de protéger les habitats critiques. Ainsi, des refuges d’oiseaux migrateurs ont été établis afin de protégerles colonies de nidification situées dans le delta de la rivière Anderson, sur l’île Kendall et l’île Banks, dans les Territoires du Nord-Ouest, ainsi que le golfe de Queen Maud, l’île Southampton, l’île de Baffin et près de la rivière McConnell, au Nunavut.
L’île de Wrangell, située en Russie, constitue un autre territoire protégé pour cette espèce. Beaucoup d’Oies des neiges hivernent également dans des refuges qui sont pour la plupart établis aux États-Unis.
Il existe au Canada une aire d’hivernage qui jouit de la même protection.
La réserve nationale de faune d’Alaksen, dans le delta du Fraser, en Colombie-Britannique, représente en effet un important habitat d’hivernage de la Petite Oie des neiges originaire de l’île de Wrangel, sans compter les autres oiseaux qui y trouvent refuge tout au cours de l’année.
Chaque année, on peut y assister à un spectacle magnifique lorsque des milliers d’Oies des neiges retournent à leur habitat traditionnel, situé à proximité de la ville de Vancouver.
Ils pourront être abattus par hélicoptère et tués dans leurs terriers c'est désormais officiel : depuis aujourd'hui, lundi 10 avril 2017, les loups et les ours pourront être à nouveau abattus en Alaska — y compris les bébés et les animaux hibernants, qui pourront être tués par hélicoptère mais aussi directement dans leurs terriers, au moment où ils sont le plus vulnérables.
Il ne manquait plus que la signature de Donald Trump pour valider un texte approuvé par le Congrès… c'est aujourd'hui chose faite. Cette nouvelle loi, qui rentrera immédiatement en vigueur, fait machine arrière sur toute un ensemble de mesures mises en place aux États-Unis par l'ancien président Barack Obama concernant la régulation des pratiques de chasse de ces animaux.
76.8 millions d'acres de réserves fédérales et de zones de protection concernés
Cette loi, poussée par des sénateurs Républicains, signe la fin de l'Alaska National Wildlife Refuges Rule, une loi mise en place par le gouvernement Obama pour interdire de tuer ces animaux sur une vaste zone protégée. La nouvelle législation permettrait non seulement de rouvrir la chasse de ces prédateurs, mais aussi d'autoriser des pratiques de chasse que de nombreux écologistes et militants pour les droits des animaux jugent cruelles et lâches, comme le fait de tuer des bébés, ou encore detirer des animaux en train d'hiberner (donc immobiles et sans défense).
Comment peut-on qualifier de « chasse » la simple mise à mort d'un animal endormi ? Où est le « sport », là-dedans ? Des préoccupations morales
Des préoccupations morales qui étaient loin d'empêcher certains membres du congrès de dormir, apparemment, puisque la mesure a été approuvée à 52 voix contre 47 il y a quelques jours comme nous vous le révélions dans un article.
Pour l'heure, 76.8 millions d'acres de réserves fédérales et de zones de protection sont concernés par cette mesure, qui est en train
d'être largement critiquée et condamnée par les franges les plus progressistes de l'opinion, et notamment par l'Humane society of the United States (HSUS), l'une des organisations de protection animale les plus importantes du monde.
« Ce qui vient de se produire à la maison blanche aujourd'hui devrait choquer les consciences de toutes les personnes qui aiment un tant soit peu les animaux », s'est indigné Wayne Pacelle, directeur de l'HSUS, dans un communiqué
Mais cette loi aura avant tout le mérite de plaire aux électeurs : l'Alaska est en effet un des bastions les plus solides du parti Républicain et dela droite conservatrice, et les politiques de cet État savent très bie comment s'attirer les faveurs de leurs supporters en parlant « patrimoine », « droit à l'autogestion » et « chasse sportive »...
« Il faut comprendre qu'il ne s'agit pas seulement des petits ours polaires et des petits grizzlys et loups mignons qu'on voit à la télévision, il s'agit du droit des états fédéraux à gérer leurs propres ressources — et a ne pas laisser le gouvernement fédéral le faire à leur place », a rétorqué Don Young, membre de la Chambre des représentants, qui a présenté le projet de loi controversé…
Avant d'ajouter que, « si les Alaskains n'étaient pas satisfaits de ce genre de lois, il ne tenait qu'à eux d'arrêter de [le] réélire ». Âgé de 83 ans, il est en fonction depuis 1973, et s'est fait réélire sans interruption en tant que représentant du 49e État.
1. L’opossum est un marsupial avec un poids entre 1 et 5 kg, il n’est guère plus gros qu’un chat.
2. On retrouve l’opossum en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Océanie.
3. Il passe sa journée à dormir dans les arbres, les crevasses de rocher, les terriers abandonnés, etc., et sort le soir pour
chercher sa nourriture.
4. Il est omnivore, il se nourrit de fruits et de graines, mais surtout d’insectes et autres petits animaux tels que des
grenouilles, des serpents, des oiseaux, des vers de terre, des insectes et des petits mammifères.
5. La femelle donne naissance généralement à une portée de 6 à 9 petits et peut aller jusqu’à 20 bébés opossums.
6. Lorsqu’ils viennent au monde, les petits mesurent environ 1 centimètre et pèsent moins d’un gramme. Ils n’ont ni yeux ni
oreilles apparentes.
7. L’opossum peut vivre 2 à 3 ans en milieu sauvage et jusqu’à 6 ans en captivité.
8. Il a la particularité de savoir faire le mort et de dégager une odeur repoussante lorsqu’il est mis en danger.
Voici un petit vidéo démontrant comment la mère opossum transporte ses bébés.
QUELLE BANDE DE PETITS COQUINS C'EST AUSSI POUR CELA QU'ON LES AIME
CA ME BOTTE DE FAIRE MA SIESTE AU CHAUD
Images À Partager...Cadeau...
Les photographes animaliers concentrent leur travail sur la présentation des animaux dans la nature sauvage...
Seul quelques photographes utilisent la photographie d'animaux dans les zoos comme une forme d'art .
Je pense personnellement que c'est une occasion ratée. Tout comme les animaux sauvages vivants en liberté , les animaux vivants dans les zoos sont aussi aptes pour faire des photos très esthétiques .
Avec mes photos je voudrais passer de la photographie de ces animaux à la photographie d'art et montrer des photos qui ne sont pas seulement et purement documentaire .
Contrairement à la photographie de vie sauvage,les animaux du zoo vivent normalement dans un environnement qui est artificiel , très distrayant et sont d'une conception artistique difficile .
Par conséquent en tant que technologie photographique j'assombris toutes les parties de l'image qui ne sont pas
nécessaires à la création de l'image.
Comme dans la photographie de portrait, j'essaie de trouver la bonne position dans laquelle les animaux sont à l'aise .
Mes photos ne tiennent jamais comptede la situation réelle.
Ils sont mon élégie sur un monde animal qui disparaît de manière tragique chaque jour de plus en plus .
Auteur: Loup Ademeit
Ma galerie de photos
Incroyable : un blaireau enterre un veau.
Par Nathalie Mayer, Futura
Clic ici........http://dai.ly/x5h4cv0
La morphologie et la génétique des blaireaux sont plutôt bien connues. En revanche, leur comportement reste encore mystérieux. Et justement, le comportement qu'une équipe de chercheurs américains a enregistré récemment est des plus surprenants. Cette vidéo en time-lapse montre un blaireau enfouissant complètement la carcasse d'un veau !
Le blaireau est un animal que l'on peut qualifier d'opportuniste. Il lui arrive même régulièrement de jouer les charognards. Et il est connu pour enfouir sous terre ses petites réserves de nourriture. Durant l'hiver 2016, il a été pris sur le fait, d'une manière plutôt spectaculaire par des chercheurs de l'université de l’Utah. Ces derniers ont pu observer deux blaireaux en train d'enterrer chacun la carcasse d'un veau pesant entre 3 et 4 fois leur poids.
Les carcasses avaient en effet été déposées là par les chercheurs afin d'observer le balai des charognards. Lorsqu'une semaine plus tard, l'unedes carcasses a totalement disparu, les zoologistes ont visionné les images enregistrées. Ils ont alors découvert un blaireau d'Amérique — accompagné par un second, plus loin — qui, pendant 5 jours et 5 nuits, s'est affairé à creuser autour et sous le veau de quelque 25 kilos pour l'enterrer.
Le blaireau, un charognard égoïste.
Le blaireau s'est ensuite dissimulé à proximité dans son terrier deux semaines durant. Puis pendant plusieurs semaines, il est régulièrement revenu finir de déguster son précieux butin. Selon les chercheurs, le blaireau enterre des carcasses « comme pour les mettre au frigo » et les garder à l'abri aussi d'autres charognards.
Ce comportement étonnant — mais qui semble plutôt répandu parmi les blaireaux — pourrait avoir plusieurs répercussions. En dissimulant ainsid'énormes quantités de nourriture aux autres charognards, les blaireauxpourraient peser sur l'écosystème local. Mais on pourrait également les imaginer aidant les éleveurs à se débarrasser de carcasses gênantes avant qu'elles ne pourrissent et ne
contaminent les troupeaux.
© University of Utah
C'est Quoi Un Panda Roux ?
Le panda est un mammifère des forets d'Inde et de Chine dont il existe 2 espèces très différentes, le grand panda, qui ressemble à un ourson et le petit panda qui ressemble à un gros chat mais avec une queue touffue. En chinois panda devient Daxiongmao.
Sa Carte D'identité...
Son Portrait
Le panda roux appelé aussi "petit panda ou panda doré" vit dans l'Himalaya et dans les montagnes d'Asie du sud-est et centrale.
Il ressemble à un raton laveur. Il peut vivre jusqu'à 15 ans . Il vit en couple ou en solitaire.
Il mange des fruits, du bambou, des insectes, des racines, des bourgeons et parfois des souris. Ses griffes semi rétractives et très aiguisées lui permettent de monter facilement aux arbres.
Il se repose sur les branches en balançant ses pattes dans le vide.
Sur le sol le petit panda a une démarche maladroite à cause de sa plante de pied.
Il fait des mouvements lents comme l'ours. Il marque son territoire grâce àun liquide à l'odeur de musc émis par les glandes anales.
En Danger (Lui Aussi).
Son espèce est un peu plus répandue que celle de son cousin le panda géant mais il est quand même en voie de disparition . Il est donc classé dans les espèces protégées depuis 1960.
Sa Nourriture & Sa Taille
Le petit panda (Ailurus fulgens) est rattaché à la même famille que celle du raton laveur.
On l'associe communément au grand panda, car il se nourrit de bambou et possède lui aussi un faux pouce aux pattes antérieures qui l'aide à le cueillir.
Le panda roux se nourrit aussi de lichens, feuilles, fruits et racines. Au printemps, il se nourrit aussi d'œufs et d'oisillons.
De la taille d'un gros chat, le petit panda est pourvu d'une épaisse fourrure d'un brun rougeâtre.
Il mesure environ 60 cm et pèse tout juste 5 kg. Sa queue touffue peut atteindre 50 cm et présente des anneaux bien délimités. Il habite les forêts d'altitude en Asie.
Autres Infos
Reproduction
Le panda roux interagit rarement avec ses congénères en dehors de la saison des amours. Celle-ci débute au début de l'hiver, les naissances ayant lieu au printemps et en été.
Quelques jours avant la mise bas, la femelle commence à transporter des matériaux de nidification (bâtons, de l'herbe, des feuilles) vers un site convenable.
Dans la nature, un nid peut être un arbre creux ou une crevasse. En captivité, une boîte, des troncs creux, ou d'autres tanières artificielles peuvent servir de nid. Après une période de gestation d'environ 134 jours, la femelle met au monde une portée de 1 à 4 petits.
A la naissance, les petits ont déjà une fourrure, ne mesurent que 6 cm et ne pèsent que 100 g. Ils sont d'abord aveugles et n'ouvrent les yeux qu'au bout de 18 jours.
Après la naissance, la mère nettoie rapidement ses petits et passe avec eux 60 à 90% de son temps les premiers jours. La mère reconnait sa progéniture par des signaux olfactifs établis peu après la naissance. Après une semaine, elle passe plus de temps loin du nid.
Dépendants, les jeunes pandas roux ne sortent de la tanière qu'après 90 jours et vivent avec leur mère jusqu'à la période de reproduction suivante. Ils sont sevrés après 5 mois.
Ils atteignent leur maturité sexuelle vers l'âge de 18 ou 20 mois. Les mâles ont un faible rôle voir quasi aucun dans l'éducation et les soins aux petits. La longévité maximale dupanda roux est de 14 ans, mais la moyenne est de 8 à 10 ans.
Les pandas roux n'ont jamais suscité autant d'intérêt vis à vis du public que leurs homonymes noirs et blancs bien qu'ils ont été découvert presque un demi-siècle avant.
Déjà en 1869 (date où le Père David aperçut pour la première fois une peau de grand panda), le zoo de Londres accueillait le premier panda roux. La classification des pandas roux pose elle-aussi un certain nombre de problèmes aux spécialistes.
En effet, même si les pandas roux ressemblent à des ratons laveurs, ils ont pourtant des points communs avec les ours.
C'est ainsi qu'ils sont alternativement classés avec les grands pandas ou dans une famille à part : les Ailuridae.
Leur aire de répartition est plus vaste : elle couvre à l'ouest certaines parties de l'Himalaya (Népal, Bhoutan et Tibet) et à l'est, le nord de la Birmanie et les provinces chinoises du Sichuan et du Yunnan.
On distingue même 2 sous-espèces : à l'est, celle des petits pandas du Styan (Ailurus fulgens styani), légèrement plus grands, et à l'ouest celle des Ailurus fulgens fulgens.
En Chine, petit et grand pandas cohabitent sans problème même là où leurs territoires se superposent. Plus agiles, ils sont cependant capables de survivre sur des pentes plus abruptes, à de plus grandes altitudes (jusqu'à 4000 mètres).
Ils sont plutôt solitaires et consacrent une grande majorité de la journée à dormir dans des arbres ou dans des cachettes naturelles, sous des rochers ou des arbres tombés.
Il n'est pas rare qu'on les voit prendre des bains de soleil au sud qui les aident à faire des économies d'énergie. Ils sont actifs à la tombée du jour, la nuit et à l'aube. Il mérite tout à fait son surnom de "renard de feu" que les chinois lui ont donné.
Son dos roux, sa grosse tête avec des oreilles pointues bordées de poils blancs, son museau allongé et sa face marquée de taches blanches caractéristiques correspondent parfaitement à ce surnom.
Sa queue d'un brun-roux est épaisse et cerclée de neuf bandes plus foncées, son ventre sombre et ses pattes sont nettement visibles lorsqu'il se déplace sur la neige ou grimpe à un arbre.
Sa queue, presque aussi longue que son corps, lui sert d'oreiller et, par temps froid, de couverture. Il s'en enveloppe pour dormir et elle lui évite toute déperdition de chaleur.
C'est la fin de la partie sur les pandas roux, Vous avez appris que même le panda roux est en danger .
Menaces
Le panda roux souffre de la perte de son habitat dans toute son aire de répartition. La déforestation pour l'exploitation du bois, l'agriculture et le développement humain en sont les principales causes.
En Chine, l'espèce aurait ainsi subi une baisse d'environ 40% ces 50 dernières années. Au Népal, la sous-espèce Ailurus fulgens fulgens est également menacée d'extinction.
La déforestation élimine les sites de nidification et les sources de nourriture, et isole les populations en petits fragments séparés dans des habitats inhospitaliers.
Il est une cible occasionnelle dans la pratique de la chasse, et on le trouve souvent dans des pièges destinés aux porte-musc alpin.
Le panda roux a également été exploité pour sa fourrure pour en fabriquer des chapeaux qui sont toujours très demandés dans le Yunnan en Chine pour les jeunes mariés, car il symbolise traditionnellement un mariage heureux.
L'expansion des populations humaines en Asie et la nécessité croissante de terre etde bois sont des menaces importantes pour la survie de cette espèce.
Le panda roux est protégé dans tous les pays où il se trouve, à l'exception du Myanmar. Il est inscrit à l'Annexe I de la CITES depuis 1995. La Liste rouge des espèces menacées de l'IUCN répertorie l'espèce dans la catégorie vulnérable (VU).
En Chine, l'espèce est présente dans bon nombre de réserves qui ont été établies pour protéger le panda géant. Un programme d'élevage international existe, et les pandas roux sont élevés en captivité dans plus de 30 zoos du monde entier.
En Amérique du Nord la population captive était de 182 individus en 2001 et ceux-ci sont maintenus et gérés dans le cadre du Plan de Survie des Espèces (SSP).
La protection de l'habitat restant pour ce mammifère attrayant et discret la véritable solution pour que survive le panda roux qui est aujourd'hui déjà rare à l'état sauvage.