Un Caïman Arborant Une Couronne De Papillons... Laisse Son Côté Tendre S’exprimer... Le photographe Mark Cowan voyageait à travers l’Amazonie pour y étudier la diversité des reptiles et des amphibiens lorsqu’il est tombé sur un spectacle insolite… Un caïman arborant une couronne de papillons?! Mais ce n’est pas le plus inhabituel. En réalité, ce phénomène où les papillons se perchent sur des reptiles et boivent leurs larmes, qui contiennent un minéral indispensable à leur survie, le sel, a déjà été documenté par le passé. Ce qui est vraiment insolite dans ce cliché, c’est la manière dont les papillons se sont installés, en trois groupes d’espèces différentes. Plutôt chouette, non?? Proposé par shutterstock.com Un_caiman_arborant_une_couronne...
PORTRAIT DE L'HERMINE QUI EST CONNUE POUR SON BEAU PELAGE QUI DEVIENT BLANC L'HIVER
Hermine L’hermine (Mustela erminea) fait partie de la famille des Mustelidae au même titre que la belette, le putois, la martre, le glouton, le blaireau ou le vison. Tous ces mammifères carnivores ont en commun un profil de chasseur vorace, capable de s’attaquer à une proie plus grosse que lui. L’hermine est connue pour son beau pelage qui devient blanc l’hiver. Son pelage soyeux lui a d’ailleurs valu d’être impitoyablement chassée par l’homme.
L’hermine est un animal de la famille des mustélidés, devant son nom vernaculaire au latin armenius mus, « rat/souris d'Arménie ». Wikipédia
Portrait De L’hermine L’hermine vit en Amérique du Nord et en Eurasie. Elle évolue dans les toundras et forêts jusqu’à environ 40° de latitude Nord. En Europe, elle est surtout présente dans les régions tempérées du Nord. Elle est très bien adaptée aux zones situées au-delà du cercle arctique. Hermine et sa robe d'hiver. By Birdfreak.com. (CC BY-SA 3.0) Au nord de leur habitat, les hermines deviennent blanches en hiver ; au sud, elles restent brunes. Dans les régions intermédiaires, leur sensibilité génétique déclenche l’éclaircissement des flancs quand la température tombe en dessous de 2 °C, de la tête et de tout le corps quand elle atteint –1 °C. Donc, si la température fluctue autour de 0 °C, l’hermine peut rester pie. Le poids de l’hermine varie de 25 à 116 g pour une longueur maximum de 33 cm. Le mâle est deux fois plus gros que la femelle. Comme les autres mustélidés, le corps est allongé et les membres courts. La mâchoire inférieure est courte, assurant un fort effet de levier et des morsures profondes.
Les nouveau-nés sont sourds, aveugles et édentés et pèsent environ 2,5 g. Ils sont totalement dépendants de leur mère les premières semaines. Elle les élève et les nourrit seule. Les jeunes grandissent vite et peuvent déjà chasser avec leur mère à 2 mois. L’hermine a une espérance de vie très courte en liberté. Une femelle peut survivre 2 ans, mais meurt souvent peu après la première mise bas. Les nouveau-nées femelles restent près du territoire maternel qui deviendra le leur au décès de leur mère. Les mâles, moins précoces, s’attardent sur le territoire de leur mère jusqu’à la fin de leur premier hiver. Une femelle peut se reproduire dès l’âge de 3 mois alors que le mâle doit attendre sa deuxième année. Le record de longévité connu en liberté est de 7 ans. En captivité, une hermine peut vivre une dizaine d’années. L’hermine & L’hommeTous les mustélidés ont un fort instinct carnassier qui les rend peu populaires auprès des fermiers et des gardes-chasse. Les hermines peuvent s’attaquer à des enclos de gibiers à plumes, tuant adultes et juvéniles sans distinction. L’hermine accumule les handicaps, car non seulement c’est une chasseuse invétérée, mais en plus elle arbore une fourrure attractive. 300 peaux sont nécessaires pour confectionner un seul manteau d’hermine. Pourtant, les mustélidés tuent bien plus de nuisibles comme les rongeurs que des animaux d’élevage. Depuis le 19e siècle, le piégeage excessif pratiqué en Sibérie, en Alaska, au Canada ou en Scandinavie a entraîné une régression importante des populations d’hermines. Le commerce des peaux a dû être règlementé pour ne pas que l’espèce s’éteigne. Ancienne publicité pour l'achat d'un manteau avec un col d'hermine. By stevechasmar . (CC BY-SA 3.0)
L’homme a pourtant bien besoin des mustélidés pour réguler les populations de rongeurs et de lagomorphes. Malgré tout, l’hermine continue à être chassée, empoisonnée ou piégée sur l'ensemble de son aire de distribution. Le piège à mâchoires est interdit dans beaucoup de régions. Cette méthode cruelle inflige une énorme souffrance à l’animal qui agonise pendant des heures avant de mourir. Cette espèce ne bénéficie d’aucune protection. Elle n’est cependant pas actuellement considérée comme étant menacée bien que dans quelques régions, la chasse excessive mette en péril les populations. Classification: Animalia. Vertebrata. Mammalia. Carnivora. Caniformia. Mustelidae. Mustela V. Battaglia (12.07.2009)
Les hermines constituent l'héritage du duché de Bretagne. Cependant, le nombre d'hermines (11) n'a pas de signification particulière : mais on peut lui en trouver... Par exemple, les saints de Bretagne : il y a déjà les 7 saints du Tro Breizh... il en reste 4 à trouver...
Animaux de compagnie : les meilleurs alliés anti-stress
Passer du temps avec ses amis à quatre pattes permet de prendre du recul sur ses problèmes, de baisser sa tension artérielle et de se détendre.
Non seulement LES ANIMAUX qui partagent notre quotidien nous apportent de la compagnie, mais ils peuvent également nous aider à nous détendre lorsque le stress prend le dessus. D’après un récente étude citée par le site américain HEALTH et menée par les chercheurs de la Harvard school of public health, 87% des personnes qui passent du temps avec des animaux disent se sentir plus centrées et plus sereines.
La prochaine fois que vous vous sentez déphasé, cherchez un compagnon à quatre pattes pour profiter des bénéfices qu’il apporte pour la santé.
Les animaux diminuent l’hormone du stress Quand vous caressez votre chien, chat ou cochon d’Inde, il n’est pas le seul àprofiter de ce moment apaisant. Passer du temps avec des animaux de compagnie après avoir vécu un moment stressant permet de diminuer les niveaux de cortisol, l’hormone du stress, et d’augmenter le taux d’ocytocine, l’hormone du bonheur.
Les animaux abaissent la pression sanguine L’hypertension et une hausse du rythme cardiaque font partie des effets secondaires liés au stress. En profitant des vertus apaisantes des animaux de compagnie, on contribue à la baisse des risques de troubles cardiovasculaires.
D’après une étude australienne, les propriétaires de chiens ou de chats présentent une pression sanguine plus basse que celle des personnes n’ayant pas d’animaux.
Les animaux nous aident à relativiser Vos tracas du quotidien prennent le dessus ? Un animal peut vous aider à vous en débarrasser. En cas de coup de stress, rien ne vaut une promenade avec un chien. Regarder un animal apprécier les petites choses de son entourage aide à relativiser ses soucis et à prendre du recul.
La moule est un drôle d’animal. Elle vit en bancs, dans sa coquille, et mène une vie plus ou moins immobile, à filtrer de l’eau. Elle n’a pas de tête (on dit qu’elle est acéphale), mais un pied. Si elle veut, elle peut donc se balader, très lentement, et changer de coin pour aller se fixer un peu plus loin à l’aide de son byssus, la fameuse barbe.
Mais généralement, soit elle est heureuse là où elle se trouve, et elle y reste, soit elle meurt. N’oubliez pas qu’elle n’a pas de tête, ce n’est donc pas une lumière du règne animal.
Il existe une quantité impressionnante d’espèces, dont seules 17 sont comestibles. Certaines sont toutes petites, d’autres sont de véritables monstres, comme ces moules aux orles verts que j’ai trouvées au marché de Busan, en Corée du Sud. Leur coquille peut aisément dépasser 25 centimètres de longueur.
Et puis il y a des moules de toutes les couleurs. Des brunes, des vertes, des bleues, des zébrées, tout dépend de l’endroit.
Moules aux orles verts, Busan
Aux Philippines, les moules sont vertes. En France, elles sont bleues. Enfin, noires et bleues. Ces deux pays ont une longue histoire avec ces coquillages. Des deux côtés, on les élève, les pêche, les cuisine à grande échelle. Seulement voilà, en réalité, il ne s’agit pas du tout des mêmes espèces. Et surtout, nos traditions culinaires n’ont aucune similitude. Des eaux chaudes de la mer de Chine aux marchés de Mindanao, suivons les moules jusqu’à table, version philippine.
Les goûts et les couleurs de la moule Bon, mettons-nous d’accord sur les couleurs et les appellations. Les moules que l’on trouve en Asie du Sud Est, et plus particulièrement aux Philippines et en Thaïlande, sont appelées moules vertes des Philippines, ou Mytilus smaragdinus. En tagalog, on les nomme tahong. Leur coquille est d’un beau vert turquoise.
Celles que nous connaissons en France sont appelées moules bleues par les Anglo-Saxons. En réalité, elles sont plutôt noires. L’intérieur de la coquille est bien bleu clair, par contre. Leur petit nom scientifique, c’est Mytilus edulis.
Les saveurs de ces deux espèces ne sont pas très lointaines. Elles ont beau provenir d’endroits radicalement différents, elles font la même taille, leur chair a la même texture, bref elles se ressemblent finalement beaucoup.
Quand on les ouvre, le mollusque a exactement la même couleur. Les femelles matures sont oranges, les femelles immatures et les mâles sont nettement plus clairs.Tout pareil.
Moule verte des Philippines
Les mots n’étant pas forcément suffisants, allons regarder tout ça de près. L’espèce verte des Philippines surprend au premier coup d’oeil. La couleur étonnante vient du plancton dont elles se nourrissent. Cette teinte vive est tellement belle qu’il est difficile de croire qu’il s’agit du même animal que notre moule terne, à quelques détails près.
Tout d’abord, la coquille est un peu plus plate, plus fine et plus lisse que celle de nos moules communes. Ensuite, cette moule aime la chaleur. Elle prolifère naturellement dans des eaux dont la température avoisine les 29°C, donc dans tout l’ouest, le centre et le sud de l’archipel philippin.
À l’extrême est, c’est l’océan Pacifique, plus froid, plus profond, grand ouvert aux vents. C’est l’endroit idéal pour les surfeurs, pas pour les moules.
Enfin, la salinité est d’une importance capitale. Si les eaux Philippines étaient aussi salées que la Méditerranée par exemple, aucune moule verte ne pourrait y survivre. Pour ceux qui ne connaissent pas les lois de la salinité, ça vaut le coup qu’on s’y intéresse deux minutes et qu’on regarde une carte. Les eaux les moins salées se situent en général à l’équateur et aux pôles. Al’équateur, des pluies tropicales viennent déverser de l’eau douce dans l’eau de mer tout au long de l’année. Aux pôles, non seulement il y a peu d’évaporation, mais il y a aussi beaucoup de pluie. Et puis, hum, il y a aussi la fonte des glaces. Salinité annuelle de surface des mers et océans
La zone où la moule verte s’épanouit est bleu ciel, donc moins salée que nos mers françaises. Par conséquent, ce coquillage est plus doux que ceux que nous avons l’habitude de manger. Ce qui est plus perturbant, c’est que nous avons tendance à associer le sel et l’iode, puisque le sel de table est souvent iodé, et à cause des huîtres, dont les saveurs sont salées et iodées en même temps.
Bon, alors déjà, levons le mythe, l’iode n’est pas seulement dans la mer. Les ananas en contiennent aussi, comme la farine de maïs, l’ail ou les groseilles vertes.
Du côté marin, le taux de salinité et la teneur en iode ne sont pas calqués l’un sur l’autre. Un aliment peut être très salé et peu iodé, et inversement. Ainsi la moule verte est moins salée que nos moules noires, mais tout aussi iodée.
Un envahisseur comestible La moule verte est une espèce invasive. Du genre à s’installer partout avec une telle frénésie qu’elle finit par causer de gros dégâts.
En Floride notamment, elles s’est incrustée et a sérieusement attaqué de nombreuses structures immergées, colonisant les réseaux de drainage et bouchant les canalisations des complexes industriels. En plus de cela, elle sécrète de l’ammoniac, qui ronge le revêtement en cuivre de la plupart des tuyaux utilisés.
Pour en remettreune couche, elle entartre joyeusement les équipements maritimes. Bref, c’est la plaie.
Elle se reproduit naturellement si bien et grandit si vite que les Philippins ne se sont mis à les élever que très récemment, en 1962. Avant cette date, ces bivalves prolifiques étaient pêchés à l’état sauvage et consommés, mais c’était la peste des ostréiculteurs locaux, qui les arrachaient comme des mauvaises herbes dans leurs zones d’aquaculture.
Alors que ces hommes tentaient de collecter des naissains d’huîtres (des larves d’huîtres si vous préférez) dans la baie de Manille, dans des fonds moins limoneux que d’habitude, ils n’ont récolté que des bébés moules vertes d’une qualité exceptionnelle. Ils étaient si prometteurs que les ostréiculteurs ont commencé à envisager les choses différemment.
A force de tomber sur ces mollusques, et voyant la facilité avec laquelle ils s’imposaient naturellement, ils se sont dit qu’il était peut-être temps d’en faire quelque chose. D’autantplus qu’ils avaient bien du mal avec leurs huîtres. Ils ont donc poussé le gouvernement à tenter l’expérience de l’élevage de la moule, qui a été concluante immédiatement.
Certes, cela ne rapporterait pas autant d’argent que les huîtres, beaucoup plus chères, mais la quantité pourrait compenser. 10 pesos le demi kilo de moules, soit 15 centimes
Bon, on peut se demander pourquoi ils en élèveraient si elles prolifèrent. Il y a trois raisons à cela.
La première, c’est que ceux qui sont à l’origine de l’élevage de la moule sont des éleveurs, et non pas des pêcheurs. Ce n’est pas le même métier.Et ils ne comptaient pas en changer radicalement.
La deuxième, c’est la possibilité de contrôler les stocks de manière plus précise.
Et la troisième, c’est le déclin récent de la population de moules aux Philippines. La pollution de l’eau ne fait qu’augmenter depuis une cinquantaine d’années, ce que ces coquillages supportent très mal. Les bancs sauvages et les élevages en souffrent de plus en plus.
Aujourd’hui, le pays en produit environ 13 500 tonnes par an. En 1993, c’était 25 100 tonnes. Une sacrée baisse. Autrefois 8ème producteur mondial, l’archipel a dégringolé jusqu’à la 16ème position du classement. Mais contrairement aux grands producteurs,comme la Chine, l’Espagne ou la France qui exportent largement, les Philippins destinent surtout leur production au marché local.
Pour protéger une espèce menacée, tout doit être envisagé. Même les solutions les plus folles. Exemple ? Créer un sanctuaire pour éléphants dans le Limousin ! À première vue, ce projet semble loufoque. Et pourtant,il est déjà en train de devenir réalité ! Plus le temps passe, moins les cirques ont la côte. En tout cas, ceux qui « emploient » des animaux sauvages. Le public ne s’amuse plus de voir des êtres vivants traités comme des robots et les communes interdisant ce genre de spectacles se multiplient.
En soi, c’est une excellente nouvelle : un business alimenté par la cruauté ne devrait pas connaître d’autre issue que la disparition. Mais,à court terme, le phénomène va poser une question essentielle : que vont devenir les animaux sauvages mis à la « retraite » ? À cette épineuse question, deux anciens soigneurs du zoo d’Anvers apportent un début de réponse : ils vont ouvrir un sanctuaire pour éléphants dans la campagne française ! Actuellement, 141 éléphants seraient détenus dans les cirques européens. Or, Sofie Goetghebeur et Tony Verhulst, les deux soigneurs en question, en sont convaincus :
« Sous peu, de nombreux éléphants prendront une retraite bien méritée ». Les ramener dans leur environnement naturel ? Impossible :
« Il n’est pas réaliste d’envisager un retour au pays pour eux. Beaucoup ont été capturés petits, d’autres sont nés en captivité. »
Sofie Goetghebeur et Tony Verhulst se sont donc mis à la recherche d’un terrain capable d’accueillir des pachydermes…
« Il fallait trouver une très grande surface, mais aussi les bonnes conditions climatiques et agricoles, et tout cela dans un secteur accessible financièrement. »
D’où le choix du Limousin, région offrant une végétation généreuse et une météo propice. Grâce aux dons récoltés, les deux anges gardiens ont acquis un domaine de 29ha sur la commune de Bussière-Gallant.
Les premiers équipement (hangar er clôtures) ont déjà été installés cet été par des bénévoles et le premier éléphant est attendu pour le printemps prochain. Objectif : accueillir dix résidents. Ça ne semble peut-être pas gigantesque, mais les porteurs du projet veulent offrir les meilleures conditions de vie possible à leurs futurs protégés. Voici notamment ce qu’ils ont confié à FranceTV :
« Nous souhaitons que, contrairement à leur vie d’avant, ils puissent avoir suffisamment d’espace pour s’isoler des autres et être tranquilles. »
Etre tranquille : après une vie de torture, c’est tout ce que les éléphants méritent ! Un projet pharaonique et surprenant… mais magnifique !
Quand le chat (animal domestique) se promène au jardin, il est loin de s'imaginer qu'il y a de nombreux dangers dans ce terrain de jeux naturel. Chat heureux au jardin
Le jardin est le lieu privilégié de toutes les explorations, de toutes les rencontres… et de tous les dangers pour les chats ! Voici quelques dangers à éviter :
Produits phytosanitaires : les herbicides, les engrais et les produits chimiques utilisés contre les limaces, les insectes, les taupes ou les rongeurs, peuvent être toxiques. Utilisez plutôt des alternatives naturelles (fumier, COMPOST, paillis, TRAITEMENTS À BASE DE PLANTES, ECT ).
Plantes : à l’exception des graminées qui l’aident à se purger, le chat est peu enclin à consommer des végétaux. Néanmoins, un chaton peut mâchouiller par accident une plante vénéneuse ou traitée avec un insecticide. Surveillez-le ou évitez d’installer des fleurs ou des plantes toxiques (MUGUET, TULIPE , lupin, etc.)
OUTILS de jardin : ils peuvent être attirants pour un chat joueur, mais ils sont aussi très coupants. Rangez-les dans une remise bien fermée.
Réservoirs d’eau, BASSINS et piscines : ce sont autant de pièges pour un chaton inexpérimenté ou assoiffé. Pour éviter l’accident, installez un treillis et une rampe d’accès conduisant aux plans d’eau.
Photos D'une Famille De Sangliers... Photographiée À La Plage... Avec Les Vacanciers... 13/09/2016
Une laie et ses cinq marcassins ont pris leurs habitudes sur une plage de Cerbère (Pyrénées-Orientales), venant se rafraîchir tous les jours au grand étonnement des vacanciers, a constaté un correspondant de l’AFP. Depuis l’été 2015, l’animal se rend quotidiennement sur la plage Méditerranéenne de Peyrefite, au milieu des estivants et des plongeurs.
« Elle n’est pas farouche, se laisse approcher, les gens la nourrissent. Elle se déplace sur la terrasse du restaurant et entre les serviettes », raconte, amusé, le patron du restaurant le «Bout du Monde». « Ca devient la mascotte de la plage ».
Mais cette cohabitation doit prendre fin sous peu: la préfecture a pris un arrêté le 7 septembre annonçant le « prélèvement » des animaux et leur « introduction » dans le parc animalier voisin Les Angles avant le 30 septembre, selon un exemplaire affiché sur la plage.
Ce qui ce cache dans cette poubelle va vous surprendre .. La plupart d’entre nous seraient terrifié ou auraient envie de fuir en hurlant si nous trouvions un ours dans notre poubelle. Mais cet homme audacieux à Steamboat Springs, dans le Colorado (USA) a eu une réaction différente . Au lieu de cela , il a crié à l’ ours pour sortir ! Et Étonnamment, il a obéit !
Le chat avec un cœur sur le buste ( si truquage , il y a..., truquage bien fait ! )
Celui avec un cœur sous le menton
Et celui avec un cœur sur le dos
Le chat à moustache Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats. Albert Schweitzer Petit à petit, les chats deviennent l’âme de la maison. Jean Cocteau
L’idéal du calme est dans un chat assis. Jules Renard
A fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Colette Qui aime un chat aime tous les chats. Qui aime son chien n’aime pas les autres. Roland Topor
25 ans de sa vie à essayer de documenter la beauté majestueuse des baleines et des dauphins.
Christopher Swann a passé plus de 25 ans à prendre de superbes photographies de baleines et de dauphins, et comme vous pouvez le voir grâce à ces magnifiques clichés,le photographe britannique passionné par les cétacésentretient véritablement un lien très étroit avec ces impressionnants mammifères marins. « J’aime la beauté et la perfection de la mer », a-t-il déclaré. « C’est ce que les cétacés incarnent, et rien n’est plus parfait qu’un cétacé immergé, mais les baleines sont vraiment spéciales. Voir des animaux aussi énormes et pourtant si gracieux, si à l’aise et ne faisant qu’un avec leur environnement, est merveilleux. » Pendant des années le photographe a organisé des sorties d’observation de dauphin et de baleine dans le monde entier,mais il a décidé de dire adieu à sa carrière pour se consacrer exclusivement à ses photographies. Regardez quelques-unes de ses étonnants clichés ci-dessous. Ses photographies nous permettent de nous rappeler que malgré leurs tailles,ces paisibles créatures ont le pouvoir d’instiller en nous un sentiment de quiétude. Christopher Swann est un photographe britannique qui prend de merveilleux clichés de baleines et de dauphins.
« J’observe des baleines depuis 25 ans. C’est ce que je fais presque quotidiennement. »
« J’aime la beauté et la perfection de la mer. C’est ce que les cétacés incarnent. »
Rien n’est plus parfait qu’un cétacé immergé, mais les baleines sont vraiment spéciales. »
« Voir des animaux aussi énormes et pourtant si gracieux, si à l’aise et ne faisant qu’un avec leur environnement, est merveilleux. »
« Je navigue sur les océans depuis que j’ai 17 ans (il y a 40 ans). »
« J’ai organisé des sorties d’observation de baleines, au début dans les Hébrides, puis dans les îles Canaries. »
J’ai passé tout ce temps à connaître les espèces et leurs façons de réagir, comment se trouver au bon endroit, etc. »
« J’adorerais pouvoir consacrer mon temps à la photographie de baleines. »
« Organiser des sorties pour observer les baleines signifie placer continuellement d’autres personnes dans la position parfaite pour prendre une photographie pendant que je ne peux que regarder. »
« Pendant quelques années, j’aimerais m’entraîner et prendre de meilleurs clichés, il me faut donc me concentrer sur cette activité. »
Laisse Son Côté Tendre S’exprimer...
Le photographe Mark Cowan voyageait à travers l’Amazonie pour y étudier la
diversité des reptiles et des amphibiens lorsqu’il est tombé sur un
spectacle insolite… Un caïman arborant une couronne de papillons?!
Mais ce n’est pas le plus inhabituel. En réalité, ce phénomène où les
papillons se perchent sur des reptiles et boivent leurs larmes, qui
contiennent un minéral indispensable à leur survie, le sel, a déjà été
documenté par le passé.
Ce qui est vraiment insolite dans ce cliché, c’est la manière dont les
papillons se sont installés, en trois groupes d’espèces différentes.
Plutôt chouette, non??
Proposé par shutterstock.com
Un_caiman_arborant_une_couronne...
Hermine
L’hermine (Mustela erminea) fait partie de la famille des Mustelidae au même
titre que la belette, le putois, la martre, le glouton, le blaireau ou
le vison.
Tous ces mammifères carnivores ont en commun un profil de chasseur vorace,
capable de s’attaquer à une proie plus grosse que lui.
L’hermine est connue pour son beau pelage qui devient blanc l’hiver. Son pelage
soyeux lui a d’ailleurs valu d’être impitoyablement chassée par l’homme.
L’hermine est un animal de la famille des mustélidés, devant son nom vernaculaire
au latin armenius mus, « rat/souris d'Arménie ». Wikipédia
Nom scientifique : Mustela erminea
Poids : Mâle: 260 g (Adulte)
Espérance de vie : 4 – 6 ans (À l'état sauvage)
Période de gestation : 280 jours
Statut de conservation : Préoccupation mineure (Stable) Encyclopédie de la Vie
Rang : Espèce
Niveau trophique : Carnivore Encyclopédie de la Vie
Portrait De L’hermine
L’hermine vit en Amérique du Nord et en Eurasie. Elle évolue dans les toundras et forêts jusqu’à environ 40°
de latitude Nord.
En Europe, elle est surtout présente dans les régions tempérées du Nord.
Elle est très bien adaptée aux zones situées au-delà du cercle arctique.
Hermine et sa robe d'hiver. By Birdfreak.com. (CC BY-SA 3.0)
Au nord de leur habitat, les hermines deviennent blanches en hiver ; au sud, elles restent brunes.
Dans les régions intermédiaires, leur sensibilité génétique déclenche l’éclaircissement des flancs
quand la température tombe en dessous de 2 °C, de la tête et de tout le corps quand elle atteint –1 °C.
Donc, si la température fluctue autour de 0 °C, l’hermine peut rester pie.
Le poids de l’hermine varie de 25 à 116 g pour une longueur maximum de 33 cm. Le mâle est deux fois
plus gros que la femelle.
Comme les autres mustélidés, le corps est allongé et les membres courts. La mâchoire inférieure est courte,
assurant un fort effet de levier et des morsures profondes.
Les canines sont perçantes comme des dagues. Les dents carnassières peuvent cisailler la peau ou la chair.
La vision de l’hermine est excellente et ses mouvements très rapides témoignent de sa grande souplesse.
L’hermine est capable de poursuivre sa proie dans son terrier. C’est également une excellente nageuse qui
peut coloniser des îles.
Chaque pied possède cinq orteils terminés par des griffes puissantes.
En Amérique du Nord, l’hermine partage son territoire avec la belette à longue queue.
On confond souvent les deux espèces.
Il est vrai que l’hermine et la belette possèdent une morphologie très proche.
Belette. By Keven Law. (CC BY-SA 3.0)
On peut reconnaître l’hermine au pinceau de poils noirs qui termine sa queue, même lorsque sa fourrure devient totalement blanche.
L' hermine en Nouvelle-Zélande Les belettes et les hermines ont été introduites en Nouvelle-Zélande à la fin du
19e siècle.
Elles sont en partie responsables de l’extinction de plusieurs espèces locales d’oiseaux.
Cependant, les premiers coupables sont les chiens et les rats introduits également par l’homme.
Depuis 1981, toutes les hermines de l’île Adèle ont été chassées pour donner aux colonies d’oiseaux une chance de survivre.
Maladie
L’hermine, comme la belette, est souvent parasitée par un ver (Skrjabingylus nasicola) qui infecte ses sinus et
affecte le cerveau.
Le parasite forme des nœuds étroits et déforme peu à peu les cavités crâniennes jusqu’à y faire des trous.
La mort survient après des irritations, des douleurs et des troubles mentaux.
Mode de vie
L’hermine est un animal solitaire qui occupe un territoire farouchement défendu.
La taille de ce domaine vital dépend de l’abondance des proies et varie de10 ha à 20 ha environ.
Les mâles ont un territoire plus grand.
Chaque domaine est imprégné de l’odeur de son occupant. Pendant la saison des amours, les mâles circulent plus librement à travers les territoires en quête de femelles consentantes.
Hermine en pleine chasse. By Keven Law. (CC BY-SA 3.0)
Quand une femelle est enceinte, la hiérarchie change et les futures mères acquièrent un statut comparable à
celui des gros mâles en devenant dominantes.
Elles étendent alors considérablement leur territoire nourricier pour assurer un bon approvisionnement en proies.
Elles le protègent des prédateurs, mais aussi des mâles qui peuvent devenir cannibales avec les nouveau-nés.
L’hermine utilise les abris naturels et les terriers de rongeurs pour s’y reposer.
La tanière est douillettement aménagée avec de la végétation, des poils et des plumes des proies.
L’inconvénient est qu’elle hérite des parasites des anciens occupants, notamment les puces spécifiques aux rats et
aux écureuils.
Cri de l'hermine
Très propre, l’hermine utilise des cavités proches de la tanière pour y stocker de la nourriture et y déposer ses excréments.
Techniques De Chasse L’hermine est un prédateur audacieux qui pratique une chasse en solitaire.
Chasser représente une grande perte d’énergie qui doit être fréquemment renouvelée d’où l’appétit insatiable de
l’hermine et des autres mustélidés.
Elle prend souvent des risques en s’attaquant à de grosses proies. Par exemple, la ruade d’un lièvre peut briser le cou d’une hermine.
Crâne d'hermine. By Eli Hodapp . (CC BY-SA 3.0)
Elle concentre donc ses efforts sur des proies correspondant à ses capacités.
Cette technique permet également d’éviter toute concurrence avec d’autres
mustélidés de taille différente, mais également entre individus de la
même espèce, mais de sexe différent.
Le mâle chasse de plus grosses proies que la femelle.
Les campagnols sont un menu de choix ainsi que les lapins.
Ce sont des chasseurs essentiellement nocturnes.
Quand les petits mammifères viennent à manquer, l’hermine se rabat sur
les oiseaux, les œufs, les batraciens, les poissons ou les insectes.
Dans les régions les plus froides, elle chasse le lemming.
Hermine qui vient de tuer un rongeur. © dinosoria.com
L’hermine doit manger quotidiennement pour contrebalancer l’énorme perte de calories.
Elle peut se faufiler dans les abris et les galeries souterraines.
Sa technique de chasse se décompose en plusieurs étapes.
Tout d’abord, elle explore son environnement à la recherche d’une proie,
elle approche silencieusement, elle poursuit la proie puis la capture et
la met à mort.
Elle peut consommer immédiatement sa victime ou la stocker.
L’odorat, l’ouïe et la vue jouent des rôles essentiels. Ses capacités athlétiques
font le reste puisqu’elle peut courir, sauter, grimper ou faire
volte-face très rapidement.
L’attaque est rapide et la mise à mort également. L’hermine maintient sa proie au
sol et plante ses crocs dans la nuque à la manière d’un félin.
Si la proie est plus importante comme un lapin, elle roule au sol avec lui en essayant de porter un coup fatal.
Plusieurs morsures viennent à bout de la proie.
Reproduction Mâles et femelles ne se fréquentent qu’au moment de la reproduction qui s’effectue au début de l’été.
L’hermine a développé deux astuces pour profiter des années où les proies abondent.
Tout d’abord, dans une année pauvre en proies, la plupart des œufs de la femelle ne seront pas fécondés, ou seront avortés, ou encore les petits mourront au stade de l’allaitement.
Seuls les plus robustes survivent.
La seconde astuce est la gestation différée qui permet de faire coïncider la mise bas avec une phase d’abondance des proies.
Le développement des ovules fécondés démarre normalement pendant les deux premières semaines puis s’interrompt durant 9 à 10 mois.
Ainsi, pour un accouplement intervenu en début d’été, la mise bas ne se produira effectivement qu’au printemps suivant, après la reprise de la gestation durant au total environ 28 jours.
Les portées de la femelle hermine peuvent aller jusqu’à 20 petits, qui se disputeront les 4 ou 5 paires de mamelles.
La portée moyenne est de 7 petits.
Les nouveau-nés sont sourds, aveugles et édentés et pèsent environ 2,5 g.
Ils sont totalement dépendants de leur mère les premières semaines. Elle les élève et les nourrit seule.
Les jeunes grandissent vite et peuvent déjà chasser avec leur mère à 2 mois.
L’hermine a une espérance de vie très courte en liberté. Une femelle peut survivre 2 ans, mais meurt souvent
peu après la première mise bas.
Les nouveau-nées femelles restent près du territoire maternel qui deviendra le leur au décès de leur mère.
Les mâles, moins précoces, s’attardent sur le territoire de leur mère jusqu’à la fin de leur premier hiver.
Une femelle peut se reproduire dès l’âge de 3 mois alors que le mâle doit attendre sa deuxième année.
Le record de longévité connu en liberté est de 7 ans. En captivité, une hermine peut vivre une dizaine d’années.
L’hermine & L’homme Tous les mustélidés ont un fort instinct carnassier qui les rend peu populaires auprès des fermiers et des gardes-chasse.
Les hermines peuvent s’attaquer à des enclos de gibiers à plumes, tuant adultes et juvéniles sans distinction.
L’hermine accumule les handicaps, car non seulement c’est une chasseuse invétérée, mais en plus elle arbore une fourrure attractive.
300 peaux sont nécessaires pour confectionner un seul manteau d’hermine.
Pourtant, les mustélidés tuent bien plus de nuisibles comme les rongeurs que des animaux d’élevage.
Depuis le 19e siècle, le piégeage excessif pratiqué en Sibérie, en Alaska, au Canada ou en Scandinavie a entraîné une régression importante des populations d’hermines.
Le commerce des peaux a dû être règlementé pour ne pas que l’espèce s’éteigne.
Ancienne publicité pour l'achat d'un manteau avec un col d'hermine.
By stevechasmar . (CC BY-SA 3.0)
L’homme a pourtant bien besoin des mustélidés pour réguler les populations de rongeurs et de lagomorphes.
Malgré tout, l’hermine continue à être chassée, empoisonnée ou piégée sur l'ensemble de son aire de distribution.
Le piège à mâchoires est interdit dans beaucoup de régions. Cette méthode cruelle inflige une énorme souffrance à l’animal qui agonise pendant des heures avant de mourir.
Cette espèce ne bénéficie d’aucune protection. Elle n’est cependant pas actuellement considérée comme étant
menacée bien que dans quelques régions, la chasse excessive mette en péril les populations.
Classification: Animalia. Vertebrata. Mammalia. Carnivora. Caniformia. Mustelidae. Mustela
V. Battaglia (12.07.2009)
Les hermines constituent l'héritage du duché de Bretagne. Cependant, le nombre d'hermines (11) n'a pas de signification
particulière : mais on peut lui en trouver...
Par exemple, les saints de Bretagne : il y a déjà les 7 saints du Tro Breizh... il en reste 4 à trouver...
Passer du temps avec ses amis à quatre pattes permet de prendre du recul sur ses problèmes, de baisser sa tension
artérielle et de se détendre.
Non seulement LES ANIMAUX qui partagent notre quotidien nous apportent de la compagnie, mais ils peuvent également nous aider à nous détendre lorsque le stress prend le dessus. D’après un récente étude citée par le site américain HEALTH et menée par les chercheurs de la Harvard school of public health, 87% des personnes qui passent du temps avec des animaux disent se sentir
plus centrées et plus sereines.
La prochaine fois que vous vous sentez déphasé, cherchez un compagnon à quatre pattes pour profiter des bénéfices qu’il apporte pour la santé.
Les animaux diminuent l’hormone du stress
Quand vous caressez votre chien, chat ou cochon d’Inde, il n’est pas le seul àprofiter de ce moment apaisant. Passer du temps avec des animaux de compagnie après avoir vécu un moment stressant permet de diminuer les niveaux de cortisol, l’hormone du stress, et d’augmenter le taux d’ocytocine, l’hormone du bonheur.
Les animaux abaissent la pression sanguine
L’hypertension et une hausse du rythme cardiaque font partie des effets secondaires liés au stress. En profitant des vertus apaisantes des animaux de compagnie, on contribue à la baisse des risques de troubles cardiovasculaires.
D’après une étude australienne, les propriétaires de chiens ou de chats présentent une pression sanguine plus basse que celle des personnes n’ayant pas d’animaux.
Les animaux nous aident à relativiser
Vos tracas du quotidien prennent le dessus ? Un animal peut vous aider à vous en débarrasser. En cas de coup de stress, rien ne vaut une promenade avec un chien.
Regarder un animal apprécier les petites choses de son entourage aide à relativiser ses soucis et à prendre du recul.
La moule est un drôle d’animal.
Elle vit en bancs, dans sa coquille, et mène une vie plus ou moins immobile, à filtrer de l’eau. Elle n’a pas de tête (on dit qu’elle est acéphale), mais un pied. Si elle veut, elle peut donc se balader, très lentement, et changer de coin pour aller se fixer un peu plus loin à l’aide de son byssus, la fameuse barbe.
Mais généralement, soit elle est heureuse là où elle se trouve, et elle y reste, soit elle meurt. N’oubliez pas qu’elle n’a pas de tête, ce n’est donc pas une lumière du règne animal.
Il existe une quantité impressionnante d’espèces, dont seules 17 sont comestibles. Certaines sont toutes petites, d’autres sont de véritables monstres, comme ces moules aux orles verts que j’ai trouvées au marché de Busan, en Corée du Sud. Leur coquille peut aisément dépasser 25 centimètres de longueur.
Et puis il y a des moules de toutes les couleurs. Des brunes, des vertes, des bleues, des zébrées, tout dépend de l’endroit.
Moules aux orles verts, Busan
Aux Philippines, les moules sont vertes. En France, elles sont bleues. Enfin, noires et bleues. Ces deux pays ont une longue histoire avec ces coquillages. Des deux côtés, on les élève, les pêche, les cuisine à grande échelle. Seulement voilà, en réalité, il ne s’agit pas du tout des mêmes espèces.
Et surtout, nos traditions culinaires n’ont aucune similitude. Des eaux chaudes de la mer de Chine aux marchés de Mindanao, suivons les moules jusqu’à table, version philippine.
Les goûts et les couleurs de la moule
Bon, mettons-nous d’accord sur les couleurs et les appellations. Les moules que l’on trouve en Asie du Sud Est, et plus particulièrement aux Philippines et en Thaïlande, sont appelées moules vertes des Philippines, ou Mytilus smaragdinus. En tagalog, on les nomme tahong. Leur coquille est d’un beau vert turquoise.
Celles que nous connaissons en France sont appelées moules bleues par les Anglo-Saxons. En réalité, elles sont plutôt noires.
L’intérieur de la coquille est bien bleu clair, par contre. Leur petit nom scientifique, c’est Mytilus edulis.
Les saveurs de ces deux espèces ne sont pas très lointaines. Elles ont beau provenir d’endroits radicalement différents, elles font la même taille, leur chair a la même texture, bref elles se ressemblent finalement beaucoup.
Quand on les ouvre, le mollusque a exactement la même couleur. Les femelles matures sont oranges, les femelles immatures et les mâles sont nettement plus clairs.Tout pareil.
Moule verte des Philippines
Les mots n’étant pas forcément suffisants, allons regarder tout ça de près. L’espèce verte des Philippines surprend au premier coup d’oeil. La couleur étonnante vient du plancton dont elles se nourrissent. Cette teinte vive est tellement belle qu’il est difficile de croire qu’il s’agit du même animal que notre moule terne, à quelques détails près.
Tout d’abord, la coquille est un peu plus plate, plus fine et plus lisse que celle de nos moules communes. Ensuite, cette moule aime la chaleur. Elle prolifère naturellement dans des eaux dont la température avoisine les 29°C, donc dans tout l’ouest, le centre et le sud de l’archipel philippin.
À l’extrême est, c’est l’océan Pacifique, plus froid, plus profond, grand ouvert aux vents. C’est l’endroit idéal pour les surfeurs, pas pour les moules.
Enfin, la salinité est d’une importance capitale. Si les eaux Philippines étaient aussi salées que la Méditerranée par exemple, aucune moule verte ne pourrait y survivre.
Pour ceux qui ne connaissent pas les lois de la salinité, ça vaut le coup qu’on s’y intéresse deux minutes et qu’on regarde une carte. Les eaux les moins salées se situent en général à l’équateur et aux pôles. Al’équateur, des pluies tropicales viennent déverser de l’eau douce dans l’eau de mer tout au long de l’année. Aux pôles, non seulement il y a peu d’évaporation, mais il y a aussi beaucoup de pluie. Et puis, hum, il y a aussi la fonte des glaces.
La zone où la moule verte s’épanouit est bleu ciel, donc moins salée que nos mers françaises. Par conséquent, ce coquillage est plus doux que ceux que nous avons l’habitude de manger.
Ce qui est plus perturbant, c’est que nous avons tendance à associer le sel et l’iode, puisque le sel de table est souvent iodé, et à cause des huîtres, dont les saveurs sont salées et iodées en même temps.
Bon, alors déjà, levons le mythe, l’iode n’est pas seulement dans la mer. Les ananas en contiennent aussi, comme la farine de maïs, l’ail ou les groseilles vertes.
Du côté marin, le taux de salinité et la teneur en iode ne sont pas calqués l’un sur l’autre. Un aliment peut être très salé et peu iodé, et inversement. Ainsi la moule verte est moins salée que nos moules noires, mais tout aussi iodée.
Un envahisseur comestible
La moule verte est une espèce invasive. Du genre à s’installer partout avec une telle frénésie qu’elle finit par causer de gros dégâts.
En Floride notamment, elles s’est incrustée et a sérieusement attaqué de nombreuses structures immergées, colonisant les
réseaux de drainage et bouchant les canalisations des complexes industriels. En plus de cela, elle sécrète de l’ammoniac, qui ronge le
revêtement en cuivre de la plupart des tuyaux utilisés.
Pour en remettreune couche, elle entartre joyeusement les équipements maritimes. Bref, c’est la plaie.
Elle se reproduit naturellement si bien et grandit si vite que les Philippins ne se sont mis à les élever que très récemment, en 1962. Avant cette date, ces bivalves prolifiques étaient pêchés à l’état sauvage et consommés, mais c’était la peste des ostréiculteurs locaux, qui les arrachaient comme des mauvaises herbes dans leurs zones d’aquaculture.
Alors que ces hommes tentaient de collecter des naissains d’huîtres (des larves d’huîtres si vous préférez) dans la baie de Manille, dans des fonds moins limoneux que d’habitude, ils n’ont récolté que des bébés moules vertes d’une qualité exceptionnelle. Ils étaient si prometteurs que les ostréiculteurs ont commencé à envisager les choses différemment.
A force de tomber sur ces mollusques, et voyant la facilité avec laquelle ils s’imposaient naturellement, ils se sont dit qu’il était peut-être temps d’en faire quelque chose. D’autantplus qu’ils avaient bien du mal avec leurs huîtres. Ils ont donc poussé
le gouvernement à tenter l’expérience de l’élevage de la moule, qui a été concluante immédiatement.
Certes, cela ne rapporterait pas autant d’argent que les huîtres, beaucoup plus chères, mais la quantité pourrait compenser.
10 pesos le demi kilo de moules, soit 15 centimes
Bon, on peut se demander pourquoi ils en élèveraient si elles prolifèrent. Il y a trois raisons à cela.
La première, c’est que ceux qui sont à l’origine de l’élevage de la moule sont des éleveurs, et non pas des pêcheurs. Ce n’est pas le même métier.Et ils ne comptaient pas en changer radicalement.
La deuxième, c’est la possibilité de contrôler les stocks de manière plus précise.
Et la troisième, c’est le déclin récent de la population de moules aux Philippines. La pollution de l’eau ne fait qu’augmenter depuis une
cinquantaine d’années, ce que ces coquillages supportent très mal. Les bancs sauvages et les élevages en souffrent de plus en plus.
Aujourd’hui, le pays en produit environ 13 500 tonnes par an. En 1993, c’était 25 100 tonnes. Une sacrée baisse.
Autrefois 8ème producteur mondial, l’archipel a dégringolé jusqu’à la 16ème position du classement. Mais contrairement aux grands producteurs,comme la Chine, l’Espagne ou la France qui exportent largement, les Philippins destinent surtout leur production au marché local.
Pour protéger une espèce menacée, tout doit être envisagé. Même les solutions les plus folles. Exemple ?
Créer un sanctuaire pour éléphants dans le Limousin ! À première vue, ce projet semble loufoque. Et
pourtant,il est déjà en train de devenir réalité !
Plus le temps passe, moins les cirques ont la côte. En tout cas, ceux qui « emploient » des animaux sauvages.
Le public ne s’amuse plus de voir des êtres vivants traités comme des robots et les communes interdisant ce genre de spectacles se multiplient.
En soi, c’est une excellente nouvelle : un business alimenté par la cruauté ne devrait pas connaître d’autre issue que la disparition. Mais,à court terme, le phénomène va poser une question essentielle : que vont devenir les animaux sauvages mis à la « retraite » ?
À cette épineuse question, deux anciens soigneurs du zoo d’Anvers apportent un début de réponse : ils vont ouvrir un sanctuaire pour éléphants dans la campagne française !
Actuellement, 141 éléphants seraient détenus dans les cirques européens.
Or, Sofie Goetghebeur et Tony Verhulst, les deux soigneurs en question, en sont
convaincus :
Quand le chat (animal domestique) se promène au jardin, il est loin de s'imaginer qu'il y a de nombreux dangers dans ce terrain de jeux naturel.
Chat heureux au jardin
Le jardin est le lieu privilégié de toutes les explorations, de toutes les rencontres… et de tous les dangers pour les chats ! Voici quelques dangers à éviter :
Produits phytosanitaires : les herbicides, les engrais et les produits chimiques utilisés contre les limaces, les insectes, les taupes ou les rongeurs, peuvent être toxiques. Utilisez plutôt des alternatives naturelles (fumier, COMPOST, paillis, TRAITEMENTS À BASE DE PLANTES, ECT ).
Plantes : à l’exception des graminées qui l’aident à se purger, le chat est peu enclin à consommer des végétaux. Néanmoins, un chaton peut mâchouiller par accident une plante vénéneuse ou traitée avec un insecticide. Surveillez-le ou évitez d’installer des fleurs ou des plantes toxiques (MUGUET, TULIPE , lupin, etc.)
OUTILS de jardin : ils peuvent être attirants pour un chat joueur, mais ils sont aussi très coupants. Rangez-les dans une remise bien fermée.
Réservoirs d’eau, BASSINS et piscines : ce sont autant de pièges pour un chaton inexpérimenté ou assoiffé.
Pour éviter l’accident, installez un treillis et une rampe d’accès conduisant aux plans d’eau.
Photographiée À La Plage...
Avec Les Vacanciers...
13/09/2016
Une laie et ses cinq marcassins ont pris leurs habitudes sur une plage de
Cerbère (Pyrénées-Orientales), venant se rafraîchir tous les jours au
grand étonnement des vacanciers, a constaté un correspondant de l’AFP.
Depuis l’été 2015, l’animal se rend quotidiennement sur la plage
Méditerranéenne de Peyrefite, au milieu des estivants et des plongeurs.
« Elle n’est pas farouche, se laisse approcher, les gens la nourrissent.
Elle se déplace sur la terrasse du restaurant et entre les serviettes »,
raconte, amusé, le patron du restaurant le «Bout du Monde». « Ca devient
la mascotte de la plage ».
Mais cette cohabitation doit prendre fin sous peu: la préfecture a pris un
arrêté le 7 septembre annonçant le « prélèvement » des animaux et leur
« introduction » dans le parc animalier voisin Les Angles avant le 30
septembre, selon un exemplaire affiché sur la plage.
Source: AFP animal France vidéo
La plupart d’entre nous seraient terrifié ou auraient envie de fuir en hurlant si nous trouvions un ours dans notre poubelle.
Mais cet homme audacieux à Steamboat Springs, dans le Colorado (USA) a eu une réaction différente .
Au lieu de cela , il a crié à l’ ours pour sortir ! Et Étonnamment, il a obéit !
Celui avec un cœur sous le menton
Et celui avec un cœur sur le dos
Le chat à moustache
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Petit à petit, les chats deviennent l’âme de la maison.
Jean Cocteau
L’idéal du calme est dans un chat assis.
Jules Renard
A fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir.
Colette
Qui aime un chat aime tous les chats. Qui aime son chien n’aime pas les autres.
Roland Topor
majestueuse des baleines et des dauphins.
Christopher Swann a passé plus de 25 ans à prendre de superbes photographies de baleines et de dauphins, et comme vous pouvez le voir grâce à ces magnifiques clichés,le photographe britannique passionné par les cétacésentretient véritablement un lien très étroit avec ces impressionnants mammifères marins.
« J’aime la beauté et la perfection de la mer », a-t-il déclaré. « C’est ce que les cétacés incarnent, et rien n’est plus parfait qu’un cétacé immergé, mais les baleines sont vraiment spéciales. Voir des animaux aussi énormes et pourtant si gracieux, si à l’aise et ne faisant qu’un avec leur environnement, est merveilleux. »
Pendant des années le photographe a organisé des sorties d’observation de dauphin et de baleine dans le monde entier,mais il a décidé de dire adieu à sa carrière pour se consacrer exclusivement à ses photographies.
Regardez quelques-unes de ses étonnants clichés ci-dessous. Ses photographies nous permettent de nous rappeler que malgré leurs tailles,ces paisibles créatures ont le pouvoir d’instiller en nous un sentiment de quiétude.
Christopher Swann est un photographe britannique qui prend de merveilleux clichés de baleines et de dauphins.
« J’observe des baleines depuis 25 ans. C’est ce que je fais presque quotidiennement. »
« J’aime la beauté et la perfection de la mer. C’est ce que les cétacés incarnent. »
Rien n’est plus parfait qu’un cétacé immergé, mais les baleines sont vraiment spéciales. »
« Voir des animaux aussi énormes et pourtant si gracieux, si à l’aise et ne
faisant qu’un avec leur environnement, est merveilleux. »
« Je navigue sur les océans depuis que j’ai 17 ans (il y a 40 ans). »
« J’ai organisé des sorties d’observation de baleines, au début dans les Hébrides, puis dans les îles Canaries. »
J’ai passé tout ce temps à connaître les espèces et leurs façons de réagir, comment se trouver au bon endroit, etc. »
« J’adorerais pouvoir consacrer mon temps à la photographie de baleines. »
« Organiser des sorties pour observer les baleines signifie placer continuellement
d’autres personnes dans la position parfaite pour prendre une photographie
pendant que je ne peux que regarder. »
« Pendant quelques années, j’aimerais m’entraîner et prendre de meilleurs
clichés, il me faut donc me concentrer sur cette activité. »