COMMENT LES PINGOINS DE L'ANTARTIQUE S'ADAPTENT AUX CHANGEMENT CLIMATIQUUES Selon les scientifiques de l'Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales de la première moitié de l'année 2016 a été la plus chaude demi-année de la planète sur le disque
Penguins sont touchés par le réchauffement climatique, car il change leur environnement naturel
Un côté de la glace a fondu fournit Gentoo, Adélie et jugulaire pingouins avec plus d'espace de reproduction
Ces espèces ne soulèvent pas leurs poussins sur la glace de mer. Au lieu de cela, ils construisent un nid de cailloux sur les zones clairsemées de la côte de l'Antarctique qui sont libres de glace et de neige
Ils utilisent des cailloux pour construire leur nid
Les deux parents travaillent pour construire un nid circulaire de pierres, de l'herbe, de la mousse et des plumes
Mais seulement l'espèce Gentoo de pingouin est en mesure de prospérer dans ces conditions
C'est parce que manchots papous ont un régime alimentaire beaucoup plus souple que les deux autres espèces
Ils ne sont pas aussi dépendants des minuscules, des crustacés transparents que les deux autres espèces, qui se trouvent également compter sur les poissons qui mangent le krill
Et ils augmentent en nombre
Mais pour Adelie et jugulaires, le réchauffement des océans et la fontedes glaces de mer sont liés à la baisse de leur importante krill approvisionnement alimentaire en Antarctique
Krill dans cette région ont diminué de près de 80% depuis les années 1970 (Actionbioscience)
Les manchots Adélie diminuent rapidement. Ils sont les plus sensibles au changement climatique
Dans un article publié le 29 Juin dans la revue Rapports scientifiques, les chercheurs prévoient qu'environ 30 pour cent des colonies actuelles Adélie peuvent être en baisse en 2060
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à piéger la chaleur en grande partie responsable de la majeure partie du réchauffement moyen au cours des dernières décennies
Les actions individuelles des gens ordinaires sont toujours cruciales pour réduire les émissions de carbone. Manger moins de viande rouge, le recyclage, l'achat de produits locaux
Par exemple, en prenant des décisions sur le climat-conscient, nous pouvons ensemble faire une grande différence
Et les espèces les plus sensibles ne vont pas disparaître
Nos générations futures devraient toujours être en mesure de voir Happy Feet
Des éléphants pleurent leurs morts. Des images saisissantes Une caméra a enregistré des images rares : des éléphants défilant devant le cadavre d’une femelle. Leur comportement n’est pas habituel, explique la zoologiste qui a filmé la scène, mais ne peut en donner d’explication précise.
La balade du chapeau chinois , pour les petits et les plus grands.
Je suppose que comme beaucoup d’enfants, tu aimes ramasser des coquillages, l’été sur les plages. Evidemment, selon l’endroit où tu te trouves, la récolte sera différente. Je suppose que tu connais celui qu’on surnomme « le chapeau chinois ». On l’appelle aussi « la patelle commune », « l’arapède » ou encore la « bernique », c’est un gastéropode marin ! Sais-tu que ce coquillage a un point commun avec le Petit Poucet : il s’installe sur un rocher, où il élit domicile mais lorsqu’il part en balade, il sème (non pas des petits cailloux) mais une trace visqueuse, qui lui permettra de rentrer au bercail sans encombre, exactement au même endroit que son point de départ sur le rocher.
Mais présentons un peu l’animal… qui a plus d’un tour dans son sac !
Comment se débrouille-t-il pour se nourrir ? Ce mollusque est herbivore et se nourrit des microscopiques algues qui recouvrent les rochers. Il broute de façon très efficace en laissant traîner une sorte de langue râpeuse (la radula) qui racle la surface rocheuse (un organe présent chez la quasi totalité des mollusques).
Mais comment racler avec une simple langue ? Elle est en fait constituée de minuscules dents (à base de chitine, comme ce qui compose la carapace des crustacés) qui laissent peu de choses sur leur passage ! Quand on observe au microscope, la dite radula, on comprend aisément son efficacité… Observation au microscope d’une radula couverte de minuscules dents. Mais ce n’est pas tout ! En effet, il s’avère que ces petites dents sont très riches en fer au niveau des arêtes ce qui augmente leur capacité à « absorber » un choc. Comment se déplace-t-il ? Alors évidemment, pour aller brouter les algues de la roche, il faut pouvoir se mouvoir. Cependant, une grande particularité du chapeau chinois est qu’il retourne toujours au bercail… Comment fait-il ? Et pourquoi ne pas élire domicile en différents endroits ? Pour retrouver son chemin, la patelle suit les traces de mucus qui ont été déposées lors de son déplacement. La fabrication de mucus demande cependant beaucoup d’effort à l’organisme. Tu te demandes sûrement pourquoi toute cette énergie dépensée simplement pour retrouver son chemin ?
Figure-toi que le bénéfice pour le gastéropode l’emporte sur le coût. Il s’avère que le mucus joue plusieurs rôles très utiles : – il aide au déplacement proprement dit, – il permet le retour à domicile, – il permet de trouver un partenaire, – il stimule la colonisation du rocher par les micro-algues, – il possède des propriétés adhésives comme une glu. Le rôle premier du mucus est de favoriser le déplacement. Tout simplement parce qu’il réduit le frottement entre l’animal et le sol rugueux. En ce qui concerne le retour à domicile, il est primordial. En effet, le bord de la coquille s’applique étroitement au rocher en épousant ses éventuelles irrégularités, car à marée basse, le mollusque survit en enfermant une petite quantité d’eau qui lui permettra de tenir (récupération de l’oxygène dissous) : il y a donc intérêt que l’association coquille-sol soit hermétique et étanche.
Bref, après une petit balade, il faut pouvoir s’enfermer de nouveau en toute sécurité et retrouver l’endroit exact où la coquille s’adapte parfaitement. Une fois en place, c’est encore le mucus qui agit pour adhérer efficacement au rocher (effet « colle ») : ceci vient renforcer l’adhérence due au phénomène physique lié à la création de vide.
Les traces de mucus sont également des sillons privilégiés pour l’adhésion de micro-algues en suspension dans l’environnement proche. Ainsi, en se déplaçant, la patelle laisse traîner un piège pour mieux se nourrir au retour.
Bref, une langue râpeuse, un mucus ultra perfectionné, voilà encore une espèce parfaitement adaptée à son environnement … Mais s’il en était autrement, l’espèce aurait disparu et on n’en parlerait même pas.
Alors ? Je suis sûre que tu ne regarderas plus jamais les chapeaux chinois de la même façon !
Des policiers anglais trouvèrent, dans un abri de jardin, un chien apeuré qui avait été enfermé et abandonné. Il était sale, affamé, et avait clairement été maltraité.
Les policiers emmenèrent le chien, un lévrier femelle, dans un refuge près de là. Le personnel du refuge travailla à restaurer la santé et la confiance du chien. Cela prit plusieurs semaines, mais, finalement, le but fut atteint. Ils l'appelèrent Jasmine, et ils s'inquiétèrent alors de lui trouver une famille adoptive.
Mais Jasmine avait d'autres plans. Personne ne se souvient comment cela a commencé, mais elle se mit à accueillir tous les animaux qui arrivaient au refuge.
Peu importe si c'était un chiot, un renard, un lapin ou un autre animal perdu ou blessé, Jasmine allait vers la cage et, autant que possible, donnait un coup de langue de bienvenue.
Nous avions 2 chiots qui avaient été abandonnés près d'une ligne de chemin de fer. L'un était un croisement «Lakeland Terrier» et l'autre un croisement «Jack Russell Doberman». Ils étaient minuscules lorsqu'ils sont arrivés. Jasmine s'est approchée, a pris l'un par la peau du cou et l'a amené sur le canapé. Ensuite, elle est allée chercher l'autre, puis elle s'est installée avec eux, et les a «couvés».
Mais, elle est comme ça avec tous nos animaux, même les lapins. Elle enlève leur stress et les aide, non seulement à se sentir proches d'elle, mais aussi à s'adapter à leur nouvel environnement.
Elle a fait la même chose avec des bébés «Renard et Blaireau». Elle lèche les Lapins et les Cochons d'Inde, et laisse même les oiseaux se percher sur son nez.
Jasmine, timide et maltraitée, est devenue la mère du refuge,un rôle pour lequel elle était née. La liste des jeunes animaux orphelins et abandonnés, dont elle s'est occupée,inclut 5 Renardeaux, 4 petits Blaireaux, 15 Poussins, 8 Cochons d'Inde, 2 Chiots, 15 Lapins, ainsi qu'un Faon. Le minuscule Bramble, à 11 semaines, fut trouvé à moitié conscient dans un champ.
À son arrivée au refuge, Jasmine l'a couvé pour le tenir au chaud,et a joué le rôle de la mère.
Jasmine, le lévrier, couvre «Bramble le Faon» d'affection, et veille sur lui. Ils sont inséparables. Bramble marche entre ses pattes et ils n'arrêtent pas de s'embrasser.
Ils font le tour du refuge ensemble. C'est vraiment beau de les voir ensemble.
Jasmine continuera à s'occuper de Bramble jusqu'à ce qu'il soit assez âgé pour retourner vers la vie sauvage.
Lorsque cela arrivera, Jasmine ne sera pas seule.
Elle sera trop occupée à donner toute son affection et tout son amour à un autre orphelin ou victime de maltraitance.
De gauche à droite : Toby, croisement Lakeland, errant. Bramble, faon orphelin, Buster, croisement Jack Russell, un Lapin abandonné Sky, une Chouette de ferme blessée et Jasmine, avec son cœur de mère.
Assez rare, chez les animaux ça relèverait presque de l'impensable. C'est pourtant ce qui est arrivé à Pretoria, en Afrique du Sud, où une portée de petits chiots a vu apparaître deux frères jumeaux.
La boutique californienne Animal Crew propose à ses clients des illustrations d’animaux quelque peu inhabituelles. Ceux-ci sont en effet mis en scène tels des humains, dans des tenues originales. Ici, un hippopotame en costume, fumant sa pipe. Là, un cerf portant une chemise pleine de motifs colorés.
LA BONTE EXISTE ENCORE POUR AIDER LES ANIMAUX La bonté a une qualité unique : elle peut surmonter tous les obstacles. Un pont pour animaux dans le parc national de Banff, au Canada.
Des mangeoires pour colibris, en Géorgie, aux États-Unis.
Un tunnel pour tortues sous un chemin de fer, à Honshu, au Japon.
Des maisonnettes pour oiseaux, dans les parcs de Londres.
Un distributeur automatique qui donne de la nourriture aux animaux errants, en Chine.
Un aéroport pour oiseaux, à Vilnius, en Lituanie.
Un pont pour faciliter la migration des crabes, sur l’ile Christmas, en Australie.
Un passage pour hérissons, en Lituanie.
Une piscine pour éléphants dans le parc Fuji, au Japon.
Une voie réservée aux canards, en Angleterre.
Des « stationnements » pour chiens, dans un IKEA, en Allemagne.
Votre chien comprend ce que vous lui dites. Cette étude le démontre !
Les résultats de cette étude menée par l'Université Eötvös Loránd de Budapest a surpris les scientifiques. Explications et vidéo. Par : Denis Gentile -
Toutes les personnes qui ont un chien se sont déjà posé cette question : « Est-ce qu’il comprend ce que je dis ? » La réponse de cette étude de l’Université Eötvös Loránd de Budapest (Hongrie) publiée sur la revue Science est étonnante. Cette étude démontre que le mode de fonctionnement du cerveau des chiens est similaire à celui des humains. Nos compagnons à quatre pattes ne réagissent pas seulement aux intonations de notre voix, mais ils comprennent la signification de certains de nos mots. Ils ont la capacité de reconnaître jusqu’à mille mots ! Comme les humains, les chiens utilisent l’hémisphère gauche du cerveau pour interpréter les mots et l’hémisphère droit pour analyser l’intonation
« L’utilisation des mots est sûrement une invention humaine, mais ce que l’on constate est que les mécanismes neuronaux pour les traiter ne sont pas seulement humains. »
De nouvelles études vont être réalisées avec d’autres animaux domestiques, mais aussi des loups. Cela devrait permettre aux scientifiques de comprendre si la relation du chien avec l’homme a pu influencer sa capacité à comprendre ce que nous disons.
Demandez aux personnes qui vivent avec un chien depuis un certain temps... Les maîtres ont la conviction que les chiens les comprennent. Les chercheurs viennent d’en apporter la preuve scientifique. Photo Gracieuseté de : Wittybear / Shutterstock
Selon les scientifiques de l'Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales de la première moitié de l'année 2016 a été la plus chaude demi-année de la planète sur le disque
Penguins sont touchés par le réchauffement climatique, car il change leur environnement naturel
Un côté de la glace a fondu fournit Gentoo, Adélie et jugulaire pingouins avec plus d'espace de reproduction
Ces espèces ne soulèvent pas leurs poussins sur la glace de mer. Au lieu de cela, ils construisent un nid de cailloux sur les zones clairsemées de la côte de l'Antarctique qui sont libres de glace et de neige
Ils utilisent des cailloux pour construire leur nid
Les deux parents travaillent pour construire un nid circulaire de pierres, de l'herbe, de la mousse et des plumes
Mais seulement l'espèce Gentoo de pingouin est en mesure de prospérer dans ces conditions
C'est parce que manchots papous ont un régime alimentaire beaucoup plus souple que les deux autres espèces
Ils ne sont pas aussi dépendants des minuscules, des crustacés transparents que les deux
autres espèces, qui se trouvent également compter sur les
poissons qui mangent le krill
Et ils augmentent en nombre
Mais pour Adelie et jugulaires, le réchauffement des océans et la fontedes glaces de mer sont liés à la baisse de leur importante krill approvisionnement alimentaire en Antarctique
Krill dans cette région ont diminué de près de 80% depuis les années 1970 (Actionbioscience)
Les manchots Adélie diminuent rapidement. Ils sont les plus sensibles au changement climatique
Dans un article publié le 29 Juin dans la revue Rapports scientifiques, les chercheurs prévoient qu'environ 30 pour cent des colonies actuelles Adélie peuvent être en baisse en 2060
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à piéger la chaleur en grande partie responsable de la majeure partie du réchauffement moyen au cours des dernières décennies
Les actions individuelles des gens ordinaires sont toujours cruciales pour réduire les émissions de carbone.
Manger moins de viande rouge, le recyclage, l'achat de produits locaux
Par exemple, en prenant des décisions sur le climat-conscient, nous pouvons ensemble faire une grande différence
Et les espèces les plus sensibles ne vont pas disparaître
Nos générations futures devraient toujours être en mesure de voir Happy Feet
Des images saisissantes
Une caméra a enregistré des images rares : des éléphants défilant devant le
cadavre d’une femelle. Leur comportement n’est pas habituel, explique la
zoologiste qui a filmé la scène, mais ne peut en donner d’explication précise.
Des éléphants viennent sentir et toucher le corps d'une matriarche,
morte, de cause naturelle, quelques semaines plus tôt. © National Geographic
Je suppose que comme beaucoup d’enfants, tu aimes ramasser des coquillages, l’été sur les plages. Evidemment,
selon l’endroit où tu te trouves, la récolte sera différente. Je suppose que tu connais celui qu’on surnomme « le chapeau chinois ». On
l’appelle aussi « la patelle commune », « l’arapède » ou encore la « bernique », c’est un gastéropode marin !
Sais-tu que ce coquillage a un point commun avec le Petit Poucet : il s’installe sur un rocher, où il élit domicile mais lorsqu’il part en
balade, il sème (non pas des petits cailloux) mais une trace visqueuse, qui lui permettra de rentrer au bercail sans encombre, exactement au même endroit que son point de départ sur le rocher.
Mais présentons un peu l’animal… qui a plus d’un tour dans son sac !
Comment se débrouille-t-il pour se nourrir ?
Ce mollusque est herbivore et se nourrit des microscopiques algues qui recouvrent les rochers. Il broute de façon très efficace en laissant traîner une sorte de langue râpeuse (la radula) qui racle la surface rocheuse (un organe présent chez la quasi totalité des mollusques).
Mais comment racler avec une simple langue ?
Elle est en fait constituée de minuscules dents (à base de chitine, comme ce qui compose la carapace des crustacés) qui laissent
peu de choses sur leur passage ! Quand on observe au microscope, la dite radula, on comprend aisément son efficacité…
Mais ce n’est pas tout !
En effet, il s’avère que ces petites dents sont très riches en fer au niveau des arêtes ce qui augmente leur capacité à « absorber » un choc.
Comment se déplace-t-il ?
Alors évidemment, pour aller brouter les algues de la roche, il faut pouvoir se mouvoir. Cependant, une grande particularité du chapeau chinois est qu’il retourne toujours au bercail…
Comment fait-il ? Et pourquoi ne pas élire domicile en différents endroits ?
Pour retrouver son chemin, la patelle suit les traces de mucus qui ont été déposées lors de son déplacement.
La fabrication de mucus demande cependant beaucoup d’effort à l’organisme. Tu te demandes sûrement pourquoi toute cette énergie
dépensée simplement pour retrouver son chemin ?
Figure-toi que le bénéfice pour le gastéropode l’emporte sur le coût. Il s’avère que le mucus joue plusieurs rôles très utiles :
– il aide au déplacement proprement dit,
– il permet le retour à domicile,
– il permet de trouver un partenaire,
– il stimule la colonisation du rocher par les micro-algues,
– il possède des propriétés adhésives comme une glu.
Le rôle premier du mucus est de favoriser le déplacement. Tout simplement parce qu’il réduit le frottement entre l’animal et le sol rugueux.
En ce qui concerne le retour à domicile, il est primordial. En effet, le bord de la coquille s’applique étroitement au rocher en
épousant ses éventuelles irrégularités, car à marée basse, le mollusque survit en enfermant une petite quantité d’eau qui lui permettra de tenir (récupération de l’oxygène dissous) : il y a donc intérêt que l’association coquille-sol soit hermétique et étanche.
Bref, après une petit balade, il faut pouvoir s’enfermer de nouveau en toute sécurité et retrouver l’endroit exact où la coquille s’adapte
parfaitement.
Une fois en place, c’est encore le mucus qui agit pour adhérer efficacement au rocher (effet « colle ») : ceci vient renforcer
l’adhérence due au phénomène physique lié à la création de vide.
Les traces de mucus sont également des sillons privilégiés pour l’adhésion de micro-algues en suspension dans l’environnement proche. Ainsi, en se déplaçant, la patelle laisse traîner un piège pour mieux se nourrir au retour.
Bref, une langue râpeuse, un mucus ultra perfectionné, voilà encore une espèce parfaitement adaptée à son environnement … Mais
s’il en était autrement, l’espèce aurait disparu et on n’en parlerait même pas.
Alors ? Je suis sûre que tu ne regarderas plus jamais les chapeaux chinois de la même façon !
Des policiers anglais trouvèrent, dans un abri de jardin,
un chien apeuré qui avait été enfermé et abandonné.
Il était sale, affamé, et avait clairement été maltraité.
Les policiers emmenèrent le chien, un lévrier femelle, dans un refuge près de là.
Le personnel du refuge travailla à restaurer la santé et la confiance du chien.
Cela prit plusieurs semaines, mais, finalement, le but fut atteint.
Ils l'appelèrent Jasmine, et ils s'inquiétèrent alors de lui trouver une famille adoptive.
Mais Jasmine avait d'autres plans.
Personne ne se souvient comment cela a commencé,
mais elle se mit à accueillir tous les animaux qui arrivaient au refuge.
Peu importe si c'était un chiot, un renard, un lapin ou un autre animal perdu ou blessé,
Jasmine allait vers la cage et, autant que possible, donnait un coup de langue de bienvenue.
Nous avions 2 chiots qui avaient été abandonnés près d'une ligne de chemin de fer.
L'un était un croisement «Lakeland Terrier» et l'autre un croisement «Jack
Russell Doberman». Ils étaient minuscules lorsqu'ils sont arrivés.
Jasmine s'est approchée, a pris l'un par la peau du cou et l'a amené sur le canapé.
Ensuite, elle est allée chercher l'autre, puis elle s'est installée avec eux, et les a «couvés».
Mais, elle est comme ça avec tous nos animaux, même les lapins.
Elle enlève leur stress et les aide, non seulement à se sentir proches d'elle,
mais aussi à s'adapter à leur nouvel environnement.
Elle a fait la même chose avec des bébés «Renard et Blaireau».
Elle lèche les Lapins et les Cochons d'Inde,
et laisse même les oiseaux se percher sur son nez.
Jasmine, timide et maltraitée, est devenue la mère du refuge,un rôle pour lequel elle était née.
La liste des jeunes animaux orphelins et abandonnés, dont elle s'est occupée,inclut 5 Renardeaux,
4 petits Blaireaux, 15 Poussins, 8 Cochons d'Inde, 2 Chiots, 15 Lapins, ainsi qu'un Faon.
Le minuscule Bramble, à 11 semaines, fut trouvé à moitié conscient dans un champ.
À son arrivée au refuge, Jasmine l'a couvé pour le tenir au chaud,et a joué le rôle de la mère.
Jasmine, le lévrier, couvre «Bramble le Faon» d'affection, et veille sur lui.
Ils sont inséparables.
Bramble marche entre ses pattes et ils n'arrêtent pas de s'embrasser.
Ils font le tour du refuge ensemble.
C'est vraiment beau de les voir ensemble.
Jasmine continuera à s'occuper de Bramble
jusqu'à ce qu'il soit assez âgé pour retourner vers la vie sauvage.
Lorsque cela arrivera, Jasmine ne sera pas seule.
Elle sera trop occupée à donner toute son affection et tout son amour
à un autre orphelin ou victime de maltraitance.
De gauche à droite : Toby, croisement Lakeland, errant.
Bramble, faon orphelin, Buster, croisement Jack Russell,
un Lapin abandonné Sky, une Chouette de ferme blessée et
Jasmine, avec son cœur de mère.
Assez rare, chez les animaux ça relèverait presque de l'impensable.
C'est pourtant ce qui est arrivé à Pretoria, en Afrique du Sud, où une
portée de petits chiots a vu apparaître deux frères jumeaux.
La boutique californienne Animal Crew propose à ses clients des illustrations d’animaux quelque peu inhabituelles.
Ceux-ci sont en effet mis en scène tels des humains, dans des tenues originales. Ici, un hippopotame en costume, fumant sa pipe. Là, un cerf portant une chemise pleine de motifs colorés.
La bonté a une qualité unique : elle peut surmonter tous les obstacles.
Un pont pour animaux dans le parc national de Banff, au Canada.
Des mangeoires pour colibris, en Géorgie, aux États-Unis.
Un tunnel pour tortues sous un chemin de fer, à Honshu, au Japon.
Des maisonnettes pour oiseaux, dans les parcs de Londres.
Un distributeur automatique qui donne de la nourriture aux animaux errants, en Chine.
Un aéroport pour oiseaux, à Vilnius, en Lituanie.
Un pont pour faciliter la migration des crabes, sur l’ile Christmas, en Australie.
Un passage pour hérissons, en Lituanie.
Une piscine pour éléphants dans le parc Fuji, au Japon.
Une voie réservée aux canards, en Angleterre.
Des « stationnements » pour chiens, dans un IKEA, en Allemagne.
Cette étude le démontre !
Les résultats de cette étude menée par l'Université Eötvös Loránd de
Budapest a surpris les scientifiques. Explications et vidéo.
Par : Denis Gentile -
Toutes les personnes qui ont un chien se sont déjà posé cette question :
« Est-ce qu’il comprend ce que je dis ? » La réponse de cette étude de
l’Université Eötvös Loránd de Budapest (Hongrie) publiée sur la revue Science est étonnante.
Cette étude démontre que le mode de fonctionnement du cerveau des chiens est
similaire à celui des humains. Nos compagnons à quatre pattes ne
réagissent pas seulement aux intonations de notre voix, mais ils
comprennent la signification de certains de nos mots. Ils ont la
capacité de reconnaître jusqu’à mille mots !
Comme les humains, les chiens utilisent l’hémisphère gauche du cerveau pour
interpréter les mots et l’hémisphère droit pour analyser l’intonation
De nouvelles études vont être réalisées avec d’autres animaux domestiques,
mais aussi des loups. Cela devrait permettre aux scientifiques de
comprendre si la relation du chien avec l’homme a pu influencer sa
capacité à comprendre ce que nous disons.
Demandez aux personnes qui vivent avec un chien depuis un certain temps...
Les maîtres ont la conviction que les chiens les comprennent.
Les chercheurs viennent d’en apporter la preuve scientifique.
Photo Gracieuseté de : Wittybear / Shutterstock