Le photographe Michel Denis-Huot a réalisé ces photos étonnantes en octobre, à l'occasion d'un safari à Masai Mara au Kenya. 3 frères guépards se sont séparés de leur mère à 18 mois. Au matin, nous les avons vus et ils ne semblaient pas affamés. Ils marchaient vite, se bousculaient, chahutaient entre eux.
Puis ils sont arrivés dans la plaine où il y avait un troupeau d'impalas qui se sont enfuis, sauf un jeune qui n'était pas assez rapide. Les frères l'ont attrappé mais surprise...ils sont devenus amis !
Il dit que c'est un cas très rare! Les photos ci-dessous en témoignent!
La belle histoire du jour nous vient du Brésil. En 2011, Joao Pereira de Souza, un pêcheur septuagénaire, a découvert un Manchot de Magellan sur une plage d’une île au large de Rio de Janeiro. Recouvert de pétrole, l’animal était sur le point de mourir. Le pêcheur brésilien l’a sauvé en prenant soin de lui et en nettoyant son plumage.
Pendant près d’un an, le manchot est resté aux côtés de son sauveur. Puis, du jour au lendemain, il a disparu. Mais alors que Joao pensait ne plus jamais le revoir, quelques mois plus tard, le manchot est revenu sur la petite île où habite le pêcheur. Et quand il a reconnu son sauveur, il est retourné avec lui.
Depuis 2011, la même scène se répète chaque année. Le manchot baptisé Dindim passe environ huit mois par an avec le pêcheur. Le reste du temps, l’animal retourne sur les côtes d’Argentine et du Chili, où l’espèce se reproduit, à plus de 5.000 kilomètres de là. Interrogé par The Independent, le biologiste Joao Paulo Krajewski a expliqué : « Je n’ai jamais vu quelque chose de tel auparavant. Je pense que le manchot croit que Joao fait partie de sa famille. Quand il le voit, il remue la queue comme un chien et pousse des cris de joie ».
The Independent rappelle que le Manchot de Magellan vit en moyenne 25 ans et est réputé pour sa fidélité, restant avec le même partenaire jusqu’à la mort. Malheureusement, tous les spécimens n’ont pas la chance de croiser sur leur chemin un sauveur comme Joao. En effet, un nombre de plus en plus important de spécimens ne survit pas à leur migration annuelle au large du Brésil pour trouver de la nourriture. Entre 2010 et 2013, un institut a enregistré plus de 180 cas de manchots échoués sur les côtes brésiliennes. Quant à Joao et Dindim, ils semblent désormais être devenus inséparables. Ph. Université Rio de Janeiro
Depuis que les premiers ossements ont été découverts au 19e siècle, les dinosaures fascinent les hommes. Ces créatures aux dimensions exceptionnelles ont quelque chose de surnaturel qui intrigue, surtout qu’elles ont vécu avant que les premiers hommes n’apparaissent. Récemment, des scientifiques ont découvert des ossements gigantesques en Patagonie. Ils pourraient appartenir au plus grand dinosaure jamais découvert. SooCurious vous présente ce dinosaure.
Le titre de « plus grand dinosaure ayant vécu sur Terre » serait remis en jeu… Plusieurs spécimens ont été qualifiés ainsi au moment de leur découverte : le Supersaurus, le Sauroposéidon puis l’Argentinosaurus. Tous déjà immenses et très lourds, ils seraient en passe d’être dépassés par un autre spécimen, un titanosaure, de la même famille que l’Argentinosaurus. Nommé « titanosaure » en référence aux géants de la mythologie grecque, il aurait vécu il y a plus de 70 millions d’années. Ce dernier pourrait bien dépasser en taille le Sauroposéidon (estimé à 34 m) et l’Argentinosaurus en poids (estimé entre 60 et 100 tonnes). Les scientifiques s’appuient sur des preuves plutôt solides pour affirmer cela.
D’après les paléontologues, comme l’Anglais Paul Barrett, il existerait beaucoup de spécimens différents dans cette espèce, qui n’est pas très bien connue. Seuls quelques-uns seraient aussi grands. Toutefois, d’énormes fossiles ont été découverts. C’est enPatagonie (Argentine) que beaucoup de fossiles seraient découverts. Les derniers ossements ont été trouvés par un fermier argentin dans le désert de La Flecha en 2014. Les ossements de la cuisse du spécimen sont à eux seuls plus grands qu’un homme. D’après les découvertes, le titanosaure pèserait dans les 70 tonnes et mesurerait environ 40 mètres. Malheureusement, les paléontologues n’ont pas trouvé de squelette entier, ce qui complique la reconstitution. Pour donner une estimation de l’envergure de ce spécimen, les chercheurs ont utilisé lesossements de trois autres titanosaures découverts. Ils ont alors reconstruit l’animal. A priori, ce dernier serait plus lourd de 10 % par rapport à l’Argentinosaure. Pour la taille, c’est un peu plus compliqué. Bien souvent, les chercheurs basent leurs estimations sur les ossements qu’ils possèdent. De ce fait, il arrive régulièrement que des espèces soient finalement plus petites que ce que l’on prédisait. Heureusement, les techniques de calcul de la taille grâce aux squelettes sont de plus en plus développées.
La méthode traditionnelle vise à mesurer les os des jambes. D’après Paul Barrett, il y a un lien entre la circonférence des os et le poids. Cependant, cette technique est limitée. La méthode la plus récente utilise la modélisation par ordinateur. Les chercheurs scannent chaque os afin de créer un modèle virtuel du dinosaure. S’il manque des parties du corps, les chercheurs se servent d’os de dinosaures parents. Ensuite, le modèle est rempli avec des organes, des muscles et recouvert de peau (tout est virtuel). Pour cette étape, ils s’inspirent de lézards, de crocodiles ou d’oiseaux. Après cela, ils peuvent estimer le poids du spécimen. Cette technique va être employée pour le dernier spécimen. Un des responsables des fouilles se passant en Patagonie, Diego Pol, affirme qu’ils possèdent 70% du squelette du titanosaure. De ce fait, les estimations sont plutôt précises. A priori, il pense que ce spécimen ne dépasserait pas l’Argentinosaure. Mais d’après ses calculs, les ossements appartiendraient à un jeune titanosaure, qui était encore en phase de croissance. Seul un squelette d’adulte pourrait confirmer s’il s’agit là du plus grand dinosaure de l’Histoire…
Une telle découverte est réellement excitante pour les paléontologues. D’après Paul Barrett, on atteindrait ici les limites de la taille d’une espèce pouvant vivre sur notre planète. On peut ainsi penser que d’autres espèces n’ont pas encore été découvertes. Les dinosaures n’ont en tout cas pas livré tous leurs secrets aux hommes.
Âmes sensibles: s’abstenir. Le secours d'une tortue ayant une paille dans le nez Cette tortue à la couleur olive vivant dans les eaux du Costa Rica a pris une paille au nez. Heureusement, une équipe sur place a accouru à son secours pour la libérer de cette paille. C'est une intervention choquante et difficile, mais qui pouvait porter préjudice à l'animal. À l'aide d'une pince, l'intervention a duré 8 bonnes minutes avant d'être extirpée. Aux ames sensibles : veuillez s'abstenir, car cette souffrance de la tortue ne peut être décrite. La paille qui était de 10 cm est enfin retirée. Ce qui doit ouvrir nos yeux sur les objets qu'on jette en mer. Cela peut être nocif pour les animaux marins.
COMPOSITIONS D'ANIMAUX EN CENTAINES DE POINTS L’artiste londonienne Ana ENSHINA.
Ces dessins spectaculaires intitulés Colorful dotted animals et effectués au stylo ou à la peinture sur papier procurent une impression de relief et dégagent une forte personnalité. L’alternance des couleurs et des techniques se traduit par un résultat agréable pouvant rappeler des vitraux.
Une Pieuvre «Fantôme» Découverte En Grande Profondeur... L'animal a été observé au cours d'une mission menée au nord-est de Necker Island. Photo AFPAgence France-Presse Washington
Une petite pieuvre translucide, surnommée Casper pour sa ressemblance avec le célèbre fantôme de dessin animé, a été découverte par hasard lors d'une plongée géologique exploratoire en grande profondeur au large de Hawaï, un record pour cette famille d'octopode, ont annoncé des scientifiques.
«Tandis que le (véhicule télécommandé Deep Discoverer) ROV traversait une zone rocheuse plate saupoudrée de sédiments à 4290 mètres (de profondeur), il a rencontré un remarquable petit octopode posé sur une roche plate», a indiqué le docteur Michael Vecchione, l'un des responsables de l'Agence américaine océanique et atmosphérique (NOAA). «L'apparence de cet animal différait de tout ce qu'il y avait dans les annales jamais publiées jusqu'à présent et c'est l'observation la plus profonde jamais effectuée pour cette espèce de céphalopode», a-t-il ajouté. L'animal a été observé au cours d'une mission menée au nord-est de Necker Island (Mokumanamana, archipel de Hawaï) par le navire Okeanos Explorer, financé par des fonds fédéraux pour sillonner la planète depuis 2008 et explorer la géologie et la vie marine. Il se caractérise par une simple rangée de ventouses sur chaque tentacule, au lieu de deux généralement, et il est «particulièrement extraordinaire parce qu'il ne possède pas de cellules pigmentaires, appelées chromatophores, typiques des céphalopodes, et ne paraît pas très musclé», a poursuivi la NOAA. «Ce qui lui donne une apparence fantomatique», a relevé l'Agence, en faisant référence au surnom de Casper déjà donné sur les médias sociaux. «C'est presque certainement une espèce jamais identifiée et qui pourrait ne pas appartenir à une famille connue».
Ces animaux robotisés plus vrais que nature piègent les braconniers Depuis la Préhistoire, les hommes chassent les animaux pour se nourrir. Au fil du temps, la motivation des chasseurs a évolué, mais le désir de chasser demeure. Si la chasse est légale, elle est soumise à une réglementation stricte sur les zones de chasse, les périodes et les animaux. Pour parer au problème des chasseurs hors-la-loi, une association américaine a décidé d’utiliser des animaux robotisés comme appâts. SooCurious vous explique ce fonctionnement ingénieux.
Réussir à prendre sur le fait des braconniers et des chasseurs hors-la-loi n’est pas évident. Bien souvent, les autorités ont un temps de retard ou n’arrivent pas à les confondre. L’État du Maryland (États-Unis), entre autres, est souvent le théâtre de chasses intensives. L’association responsable de la mise en vigueur des lois sur la vie sauvage américaine (American Wildlife Law Enforcement) a décidé d’utiliser un système ingénieux pour arrêter les braconniers qui ne respectent pas les règles. Ils utilisent des animaux robotisés plus vrais que nature pour piéger les braconniers.
Si ces animaux ont l’air aussi « naturels », c’est qu’ils l’ont été à une époque. Ces cerfs, ces ours ou ces renards ont été empaillés et sont produits par l’entreprise « Custom Robotic Wildlife » basée au Wisconsin (États-Unis). Les robots-animaux sont vendus à des États ou à des associations. La demande est d’ailleurs énorme alors que les prix sont conséquents (un cerf robotisé vaut 2 000 $ par exemple). L’association « American Wildlife Law Enforcement » a donc fait l’achat de nombreux modèles afin de piéger les braconniers. Et les résultats sont plus que probants. Le principe est simple : l’animal est assemblé par un officier et installé dans une zone prisée par les chasseurs hors-la-loi. Pour le bouger, la personne est munie d’une télécommande qui agit sur la tête, les pattes et le reste du corps. Un moteur est de fait installé à l’intérieur de l’animal. Ensuite, il n’y a plus qu’à attendre que des braconniers arrivent. Les animaux sont tellement réalistes que les chasseurs sont très souvent piégés. Récemment, deux chasseurs du Maryland ont abattu un cerf… qu’ils pensaient vrai. Les deux hors-la-loi ont donc été interdis de chasse pour avoir chassé sur une zone interdite et en dehors du calendrier.
Ce système réjouit les associations de défense et de protection des animaux sauvages. Selon eux, les chasseurs tuent au moins autant de façon légale qu’illégale. Cette technique permet d’en contrôler certains. Les modèles d’animaux les plus réalistes ont été visés plus de cent fois par les braconniers. Si le moteur peut être atteint, ce n’est pas problématique puisque la réparation est aisée. En outre, les robots sont très résistants et particulièrement solides. Bien que de nombreux animaux soient fabriqués (ours, renards, coyotes, faisans), le cerf reste le modèle le plus demandé.
L’utilisation de ces animaux robotisés apporte aux autorités américaines une aide précieuse dans la traque des braconniers. Un telle technique permet d’espérer que la chasse illégale diminue. D’autres pays auraient d’ailleurs tout intérêt à s’inspirer de ce processus.
Cousines des coraux et des méduses, les anémones de mer appartiennent à l’ordre des cnidaires. Fascinantes petites créatures, elles possèdent des caractéristiques génétiques à la fois animales et végétales. La grande majorité des espèces d’anémones de mer vivent dans les eaux chaudes des récifs coralliens tropicaux. Leurs tentacules sont urticants, mais certains organismes savent s’en protéger, comme les poissons-clowns et les bernard-l’hermite qui aiment y élire domicile.
Deux nageoires en forme d’oreilles et des tentacules qui ressemblent à des pattes d’éléphants... Il n’en fallait pas plus pour que les Grimpoteuthis soient rebaptisés « pieuvres dumbo ». Ces organismes, qui vivent bien cachés dans les abysses, figurent parmi les octopodes les plus rares de la planète.
Ce cténophore du genre Aulacoctena, rencontré dans les profondeurs de l’océan Arctique, a la taille et la forme d’une orange et possède deux larges tentacules blancs. Les cténophores, organismes gélatineux iridescents, se meuvent grâce à des rangées de peignes constitués de cils qui propulsent l’animal. On sait peu de choses sur ces créatures car leurs corps, extrêmement fragiles, sont difficiles à étudier.
Avec sa forme rectangulaire et ses deux excroissances au niveau du front qui ressemblent à des cornes, ce poisson osseux a une allure bien singulière. Les Ostraciidae, ou poissons-coffres, peuplent les océans Indien et Pacifique. Spécificité de cette espèce : un mécanisme chimique de défense qui consiste à libérer par la peau une toxine qui affecte les organismes alentour.
Cette méduse de l’ordre des Narcomedusae possède quatre tentacules et douze estomacs. Pour se nourrir, l’animal étend devant lui ses tentacules recouvertes de cellules urticantes afin de paralyser les proies qui se prennent dans ces filets gélatineux.
Les chimères sont des poissons cartilagineux, proches des requins, qui peuplent les abysses. Les lignes latérales qui parcourent le corps de cette chimère de l’ordre Chimaera correspondent à des mécanorécepteurs qui détectent les ondes de pression. Comme des oreilles, donc.
Le photographe Michel Denis-Huot
a réalisé ces photos étonnantes en octobre,
à l'occasion d'un safari à Masai Mara au Kenya.
3 frères guépards se sont séparés de leur mère à 18 mois.
Au matin, nous les avons vus et ils ne semblaient pas affamés.
Ils marchaient vite, se bousculaient, chahutaient entre eux.
Puis ils sont arrivés dans la plaine
où il y avait un troupeau d'impalas qui se sont enfuis,
sauf un jeune qui n'était pas assez rapide.
Les frères l'ont attrappé mais surprise...ils sont devenus
amis !
Il dit que c'est un cas très rare!
Les photos ci-dessous en témoignent!
Les animaux nous surprendront toujours!
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La belle histoire du jour nous vient du Brésil. En 2011, Joao Pereira de
Souza, un pêcheur septuagénaire, a découvert un Manchot de Magellan sur
une plage d’une île au large de Rio de Janeiro. Recouvert de pétrole,
l’animal était sur le point de mourir. Le pêcheur brésilien l’a sauvé en
prenant soin de lui et en nettoyant son plumage.
Pendant près d’un an, le manchot est resté aux côtés de son sauveur. Puis, du
jour au lendemain, il a disparu. Mais alors que Joao pensait ne plus
jamais le revoir, quelques mois plus tard, le manchot est revenu sur la
petite île où habite le pêcheur. Et quand il a reconnu son sauveur, il
est retourné avec lui.
Depuis 2011, la même scène se répète chaque année. Le manchot baptisé Dindim
passe environ huit mois par an avec le pêcheur. Le reste du temps,
l’animal retourne sur les côtes d’Argentine et du Chili, où l’espèce se
reproduit, à plus de 5.000 kilomètres de là. Interrogé par The Independent,
le biologiste Joao Paulo Krajewski a expliqué :
« Je n’ai jamais vu quelque chose de tel auparavant. Je pense que le
manchot croit que Joao fait partie de sa famille. Quand il le voit, il
remue la queue comme un chien et pousse des cris de joie ».
The Independent rappelle que le Manchot de Magellan vit en moyenne 25 ans
et est réputé pour sa fidélité, restant avec le même partenaire jusqu’à
la mort. Malheureusement, tous les spécimens n’ont pas la chance de
croiser sur leur chemin un sauveur comme Joao. En effet, un nombre de
plus en plus important de spécimens ne survit pas à leur migration
annuelle au large du Brésil pour trouver de la nourriture. Entre 2010 et
2013, un institut a enregistré plus de 180 cas de manchots échoués sur
les côtes brésiliennes. Quant à Joao et Dindim, ils semblent désormais
être devenus inséparables.
Ph. Université Rio de Janeiro
Un squelette de la tête du titanosaure via Shutterstock
Depuis que les premiers ossements ont été découverts au 19e siècle, les
dinosaures fascinent les hommes. Ces créatures aux dimensions
exceptionnelles ont quelque chose de surnaturel qui intrigue, surtout
qu’elles ont vécu avant que les premiers hommes n’apparaissent.
Récemment, des scientifiques ont découvert des ossements gigantesques en
Patagonie. Ils pourraient appartenir au plus grand dinosaure jamais
découvert. SooCurious vous présente ce dinosaure.
Le titre de « plus grand dinosaure ayant vécu sur Terre » serait remis en
jeu… Plusieurs spécimens ont été qualifiés ainsi au moment de leur
découverte : le Supersaurus, le Sauroposéidon puis l’Argentinosaurus.
Tous déjà immenses et très lourds, ils seraient en passe d’être
dépassés par un autre spécimen, un titanosaure, de la même famille que
l’Argentinosaurus. Nommé « titanosaure » en référence aux géants de la
mythologie grecque, il aurait vécu il y a plus de 70 millions d’années.
Ce dernier pourrait bien dépasser en taille le Sauroposéidon (estimé à
34 m) et l’Argentinosaurus en poids (estimé entre 60 et 100 tonnes). Les
scientifiques s’appuient sur des preuves plutôt solides pour affirmer cela.
D’après les paléontologues, comme l’Anglais Paul Barrett, il existerait
beaucoup de spécimens différents dans cette espèce, qui n’est pas très
bien connue. Seuls quelques-uns seraient aussi grands. Toutefois,
d’énormes fossiles ont été découverts. C’est enPatagonie (Argentine) que beaucoup
de fossiles seraient découverts. Les derniers ossements
ont été trouvés par un fermier argentin dans le désert de La Flecha en
2014. Les ossements de la cuisse du spécimen sont à eux seuls plus
grands qu’un homme. D’après les découvertes, le titanosaure pèserait
dans les 70 tonnes et mesurerait environ 40 mètres. Malheureusement, les
paléontologues n’ont pas trouvé de squelette entier, ce qui complique
la reconstitution.
Pour donner une estimation de l’envergure de ce spécimen, les chercheurs ont
utilisé lesossements de trois autres titanosaures découverts. Ils ont alors
reconstruit l’animal. A priori, ce dernier serait plus lourd de 10 % par
rapport à l’Argentinosaure. Pour la taille, c’est un peu plus
compliqué. Bien souvent, les chercheurs basent leurs estimations sur les
ossements qu’ils possèdent. De ce fait, il arrive régulièrement que des
espèces soient finalement plus petites que ce que l’on prédisait.
Heureusement, les techniques de calcul de la taille grâce aux squelettes
sont de plus en plus développées.
La méthode traditionnelle vise à mesurer les os des jambes. D’après Paul
Barrett, il y a un lien entre la circonférence des os et le poids.
Cependant, cette technique est limitée. La méthode la plus récente
utilise la modélisation par ordinateur. Les chercheurs scannent chaque
os afin de créer un modèle virtuel du dinosaure. S’il manque des parties
du corps, les chercheurs se servent d’os de dinosaures parents.
Ensuite, le modèle est rempli avec des organes, des muscles et recouvert
de peau (tout est virtuel). Pour cette étape, ils s’inspirent de
lézards, de crocodiles ou d’oiseaux. Après cela, ils peuvent estimer le
poids du spécimen. Cette technique va être employée pour le dernier
spécimen.
Un des responsables des fouilles se passant en Patagonie, Diego Pol,
affirme qu’ils possèdent 70% du squelette du titanosaure. De ce fait,
les estimations sont plutôt précises. A priori, il pense que ce spécimen
ne dépasserait pas l’Argentinosaure. Mais d’après ses calculs, les ossements
appartiendraient à un jeune titanosaure, qui était encore en phase de
croissance. Seul un squelette d’adulte pourrait confirmer s’il s’agit là
du plus grand dinosaure de l’Histoire…
Une telle découverte est réellement excitante pour les paléontologues.
D’après Paul Barrett, on atteindrait ici les limites de la taille d’une
espèce pouvant vivre sur notre planète. On peut ainsi penser que
d’autres espèces n’ont pas encore été découvertes. Les dinosaures n’ont
en tout cas pas livré tous leurs secrets aux hommes.
Le secours d'une tortue ayant une paille dans le nez
Cette tortue à la couleur olive vivant dans les eaux du Costa Rica a pris une paille au nez. Heureusement,
une équipe sur place a accouru à son secours pour la libérer de cette paille. C'est une intervention choquante
et difficile, mais qui pouvait porter préjudice à l'animal. À l'aide d'une pince, l'intervention a duré 8 bonnes minutes
avant d'être extirpée. Aux ames sensibles : veuillez s'abstenir, car cette souffrance de la tortue ne peut être décrite.
La paille qui était de 10 cm est enfin retirée. Ce qui doit ouvrir nos yeux sur les objets qu'on jette en mer.
Cela peut être nocif pour les animaux marins.
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L’artiste londonienne Ana ENSHINA.
Ces dessins spectaculaires intitulés Colorful dotted animals et effectués au stylo ou à la peinture sur papier
procurent une impression de relief et dégagent une forte personnalité. L’alternance
des couleurs et des techniques se traduit par un résultat agréable pouvant rappeler des vitraux.
L'animal a été observé au cours d'une mission menée au nord-est de Necker Island.
Photo AFPAgence France-Presse Washington
Une petite pieuvre translucide, surnommée Casper pour sa ressemblance avec
le célèbre fantôme de dessin animé, a été découverte par hasard lors
d'une plongée géologique exploratoire en grande profondeur au large de
Hawaï, un record pour cette famille d'octopode, ont annoncé des
scientifiques.
«Tandis que le (véhicule télécommandé Deep Discoverer) ROV traversait une zone
rocheuse plate saupoudrée de sédiments à 4290 mètres (de profondeur), il
a rencontré un remarquable petit octopode posé sur une roche plate», a
indiqué le docteur Michael Vecchione, l'un des responsables de l'Agence
américaine océanique et atmosphérique (NOAA).
«L'apparence de cet animal différait de tout ce qu'il y avait dans les annales
jamais publiées jusqu'à présent et c'est l'observation la plus profonde
jamais effectuée pour cette espèce de céphalopode», a-t-il ajouté.
L'animal a été observé au cours d'une mission menée au nord-est de Necker Island
(Mokumanamana, archipel de Hawaï) par le navire Okeanos Explorer,
financé par des fonds fédéraux pour sillonner la planète depuis 2008 et
explorer la géologie et la vie marine.
Il se caractérise par une simple rangée de ventouses sur chaque tentacule,
au lieu de deux généralement, et il est «particulièrement
extraordinaire parce qu'il ne possède pas de cellules pigmentaires,
appelées chromatophores, typiques des céphalopodes, et ne paraît pas
très musclé», a poursuivi la NOAA.
«Ce qui lui donne une apparence fantomatique», a relevé l'Agence, en
faisant référence au surnom de Casper déjà donné sur les médias sociaux.
«C'est presque certainement une espèce jamais identifiée et qui
pourrait ne pas appartenir à une famille connue».
Ces animaux robotisés plus vrais que nature piègent les braconniers
Depuis la Préhistoire, les hommes chassent les animaux pour se nourrir. Au fil
du temps, la motivation des chasseurs a évolué, mais le désir de
chasser demeure. Si la chasse est légale, elle est soumise à une
réglementation stricte sur les zones de chasse, les périodes et les
animaux. Pour parer au problème des chasseurs hors-la-loi, une
association américaine a décidé d’utiliser des animaux robotisés comme
appâts. SooCurious vous explique ce fonctionnement ingénieux.
Réussir à prendre sur le fait des braconniers et des chasseurs hors-la-loi
n’est pas évident. Bien souvent, les autorités ont un temps de retard ou
n’arrivent pas à les confondre. L’État du Maryland (États-Unis), entre
autres, est souvent le théâtre de chasses intensives. L’association
responsable de la mise en vigueur des lois sur la vie sauvage américaine
(American Wildlife Law Enforcement) a décidé d’utiliser un système ingénieux pour arrêter les braconniers
qui ne respectent pas les règles. Ils utilisent des animaux robotisés
plus vrais que nature pour piéger les braconniers.
Si ces animaux ont l’air aussi « naturels », c’est qu’ils l’ont été à une
époque. Ces cerfs, ces ours ou ces renards ont été empaillés et sont
produits par l’entreprise « Custom Robotic Wildlife » basée au Wisconsin (États-Unis). Les robots-animaux sont vendus à des
États ou à des associations. La demande est d’ailleurs énorme alors que
les prix sont conséquents (un cerf robotisé vaut 2 000 $ par exemple).
L’association « American Wildlife Law Enforcement » a donc fait l’achat
de nombreux modèles afin de piéger les braconniers. Et les résultats
sont plus que probants.
Le principe est simple : l’animal est assemblé par un officier et installé dans une zone
prisée par les chasseurs hors-la-loi. Pour le bouger, la personne est
munie d’une télécommande qui agit sur la tête, les pattes et le reste du
corps. Un moteur est de fait installé à l’intérieur de l’animal.
Ensuite, il n’y a plus qu’à attendre que des braconniers arrivent. Les
animaux sont tellement réalistes que les chasseurs sont très souvent
piégés. Récemment, deux chasseurs du Maryland ont abattu un cerf… qu’ils
pensaient vrai. Les deux hors-la-loi ont donc été interdis de chasse
pour avoir chassé sur une zone interdite et en dehors du calendrier.
Ce système réjouit les associations de défense et de protection des
animaux sauvages. Selon eux, les chasseurs tuent au moins autant de
façon légale qu’illégale. Cette technique permet d’en contrôler
certains. Les modèles d’animaux les plus réalistes ont été visés plus de
cent fois par les braconniers. Si le moteur peut être atteint, ce n’est
pas problématique puisque la réparation est aisée. En outre, les robots
sont très résistants et particulièrement solides. Bien que de nombreux
animaux soient fabriqués (ours, renards, coyotes, faisans), le cerf
reste le modèle le plus demandé.
L’utilisation de ces animaux robotisés apporte aux autorités américaines une aide
précieuse dans la traque des braconniers. Un telle technique permet
d’espérer que la chasse illégale diminue. D’autres pays auraient
d’ailleurs tout intérêt à s’inspirer de ce processus.
Mystérieuses créatures des profondeurs de l'océan.
Anémone de mer dans le golfe du MexiquePhoto 1/8© NOAA Ocean Explorer : Expedition to the Deep Slope 2007
Cousines des coraux et des méduses, les anémones de mer appartiennent à l’ordre
des cnidaires. Fascinantes petites créatures, elles possèdent des
caractéristiques génétiques à la fois animales et végétales. La grande
majorité des espèces d’anémones de mer vivent dans les eaux chaudes des
récifs coralliens tropicaux. Leurs tentacules sont urticants, mais
certains organismes savent s’en protéger, comme les poissons-clowns et
les bernard-l’hermite qui aiment y élire domicile.
Méduse rouge de l’ArctiquePhoto 2/8© Kevin Raskoff, California State University, Monterey Bay / NOAA Ocean Explorer : The Hidden Ocean, Arctic 2005
Crossota norvegica est une petite méduse à la couleur rouge sang, repérée dans les eaux
glaciales de l’océan Arctique. Cette créature des ténèbres est
bathypélagique. Cela signifie qu’elle vit à plus de 1 000 mètres de
profondeur, souvent près des fonds marins.
Pieuvre dumbo dans le golfe du MexiquePhoto 3/8© NOAA Ocean Explorer : Gulf of Mexico 2014 expedition
Deux nageoires en forme d’oreilles et des tentacules qui ressemblent à des
pattes d’éléphants... Il n’en fallait pas plus pour que les Grimpoteuthis soient rebaptisés « pieuvres dumbo ».
Ces organismes, qui vivent bien cachés dans les abysses, figurent parmi les octopodes les plus rares de la planète.
Cténophore de l'ArctiquePhoto 4/8© Kevin Raskoff, California State University, Monterey Bay / NOAA Ocean Explorer :
The Hidden Ocean, Arctic 2005
Ce cténophore du genre Aulacoctena, rencontré dans les profondeurs de l’océan Arctique, a la taille et la
forme d’une orange et possède deux larges tentacules blancs. Les
cténophores, organismes gélatineux iridescents, se meuvent grâce à des
rangées de peignes constitués de cils qui propulsent l’animal. On sait
peu de choses sur ces créatures car leurs corps, extrêmement fragiles,
sont difficiles à étudier.
Poisson-coffre de la mer de CélèbesPhoto 5/8© NOAA Okeanos Explorer : Inner Space of the Celebes Sea 2007 Exploration
Avec sa forme rectangulaire et ses deux excroissances au niveau du front qui
ressemblent à des cornes, ce poisson osseux a une allure bien
singulière. Les Ostraciidae, ou poissons-coffres, peuplent les océans
Indien et Pacifique. Spécificité de cette espèce : un mécanisme chimique
de défense qui consiste à libérer par la peau une toxine qui affecte
les organismes alentour.
Ange de mer de l’ArctiquePhoto 6/8© Russ Hopcroft, University of Alaska, Fairbanks / NOAA Ocean Explorer :
The Hidden Ocean, Arctic 2005
Clione limacina est un drôle de petit mollusque translucide qui évolue dans les eaux de
l’Arctique et de l’Antarctique, à moins de 250 mètres de profondeur. Il
doit son surnom d’ange de mer à ses deux nageoires latérales en forme d’ailes.
Méduse Narcomedusae de l’océan ArctiquePhoto 7/8© Kevin Raskoff, California State University, Monterey Bay / NOAA Ocean Explorer : The Hidden Ocean, Arctic 2005
Cette méduse de l’ordre des Narcomedusae possède quatre tentacules et douze estomacs.
Pour se nourrir, l’animal étend devant lui ses tentacules recouvertes de cellules urticantes afin de
paralyser les proies qui se prennent dans ces filets gélatineux.
Chimère d'IndonésiePhoto 8/8© NOAA Okeanos Explorer Program, INDEX-SATAL 2010
Les chimères sont des poissons cartilagineux, proches des requins, qui
peuplent les abysses. Les lignes latérales qui parcourent le corps de
cette chimère de l’ordre Chimaera correspondent à des mécanorécepteurs qui détectent les ondes de pression.
Comme des oreilles, donc.