Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
12/05/2018 - 14:05
Le bison .....

Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes :
le bison d'Europe et le bison d'Amérique du Nord.
 




12/05/2018 - 06:58


Réponses demain.
Ce commentaire a été modifié le 12/05/2018 à 06:58
11/05/2018 - 21:50
Clair de Lune .


 
TOILES DE LAURA IVERSON





















 
11/05/2018 - 07:57
Planète Bleue ...L'étonnante Intelligence Des Poissons

Jean Siag

La Presse

Dix-sept ans après la sortie de Planète bleue, la BBC a replongé ses caméras dans les eaux tropicales et glacées de nos océans pour nous présenter lasuite.
La série documentaire extraordinaire est narrée en français par nul autre que le journaliste et animateur de Découverte, Charles Tisseyre.
«Les faux épaulards  semblent chercher des dauphins et ils sont nombreux dans ces eaux côtières. Ils les ont repérés et ils sont nombreux dans ces eaux côtières. Ils les ont repérés [musique dramatique]. Filant à 10 noeuds, les faux épaulards les rattrapent vite.
Mais il se produit alors quelque chose de vraiment extraordinaire. Les dauphins  font volte-face, comme pour accueillir leurs poursuivants. Ils semblent changer leurs cris d'appel. Se pourrait-il qu'ils tentent de communiquer?
Aussi invraisemblable que cela puisse être, il semble que les membres de ces deux espèces distinctes soient de vieux amis...»
Pas de doute, nous sommes en présence de Charles Tisseyre, qui fait la narration de Planète bleue  de la BBC.
Probablement l'une des rares voix à être capables de créer un suspense en décrivant des comportements animaux.
La série tournée en ultra-HD est le résultat de 125 expéditions sous-marines menées dans tous les océans avec le soutien de plusieurs équipes de scientifiques.
Des carangues à grosse tête qui attrapent des oiseaux en plein vol aux calmars géants qui se retournent contre les membres de leur espèce quand ils ne trouvent pas de nourriture...

En passant par les poissons-clowns qui déplacent, dans une séquence incroyable, une demi-coque de noix de coco jusque dans une anémone pour que madame ponde ses oeufs, on nous livre ici les dessous de la vie marine.
Charles Tisseyre avoue avoir été soufflé par la qualité des images rapportées par les équipes de tournage, qui ont ratissé les océans et même filmé aucoeur de sources hydrothermales.
«C'est ce qui m'a le plus épaté dans cette série, nous dit l'animateur passionné. Les moyens de tournage et la technologie utilisée ont beaucoup progressé.
«On est maintenant capable de rester sous l'eau pendant trois heures [plutôt que 45 minutes] grâce à des appareils qui permettent de recycler l'air qu'on respire.
On ne fait pas de bulles, donc on ne dérange pas les animaux, ils s'habituent à notre présence et on arrive à obtenir une intimité jamais atteinte avec certaines espèces.»
Qu'est-ce qui a le plus surpris le journaliste scientifique dans ce document ? «Ce sont les comportements de certains animaux. Je pense à ce poisson, le médague défense, qui se sert de la paroi d'un corail pour ouvrir une palourde.
On croyait que cette intelligence-là était réservée aux chimpanzés! Les carangues, qui attrapent des oiseaux en plein vol, ont le cerveau suffisamment développé pour calculer, à partir de leur position sous les flots, le trajet d'un oiseau.

Ils sont capables de synchroniser leur nage avec le vol de l'oiseau et sauter très haut au moment précis pour l'attraper. C'est la première fois qu'on documente et qu'on filme ce type de comportement. C'est renversant !»
Outre ces scènes de vie extraordinaires captées dans les habitats de plusieurs espèces de poissons (notamment grâce à des drones), Planète bleue  aborde la question plus politique de la santé de nos océans.
Chaleur & Pollution.
Il est notamment question des coraux, menacés par la hausse rapide des températures de l'océan et par l'augmentation des débris de plastique.
«Il y a deux espèces qui vivent en osmose à l'intérieur de ces coraux, résume Charles Tisseyre. Des algues et de petits animaux, qui forment les polypes.
Quand la température augmente, ils abandonnent les coraux, qui blanchissent.
Ces écosystèmes abritent plusieurs espèces de la vie marine.

C'est un phénomène inquiétant parce qu'il est de plus en plus répandu.»
C'est un des autres éléments abordés par la série: les résidus de plastique qui polluent les océans et qui tuent des espèces de poissons (et des coraux!) ou encore des oiseaux qui les confondent avec de la nourriture.
«C'est atroce, raconte le journaliste de Découverte. Il y a à certains endroits dans les océans d'immenses concentrations de particules de plastique, qui forment des îles flottantes de centaines de mètres de profondeur et qui peuvent avoir la taille de l'État du Texas.

«Ce plastique provient de nos bouteilles et de nos sacs. En se décomposant,ces petites particules sont absorbées par les plus petits êtres vivantsde l'océan et ça remonte la chaîne alimentaire jusqu'à nous !»
Le ton de la série documentaire est tout de même à l'avenant et, dans l'ensemble, assez positif. Est-ce que la BBC pèche par excès d'optimisme, malgré la gravité de la situation des océans?
«Il y a des critiques en Angleterre qui ont dit que ce documentaire aurait dû porter sur l'humain qui détruit la planète, admet Charles Tisseyre.
Si on fait un documentaire uniquement sur les horreurs provoquées par l'activité humaine sur nos écosystèmes, combien de gens iront le voir avidement ?

Comme ils l'ont fait avec Planète bleue, qui a été vu par 14 millions de téléspectateurs.
Je pense que si on montre toutes les beautés qui existent encore dans les écosystèmes de notre planète...
Mais qu'en même temps on explique que ces écosystèmes sont menacés ou en danger, le message passera mieux et va rejoindre un grand public.»


                                                            
Ce commentaire a été modifié le 11/05/2018 à 07:58
11/05/2018 - 07:06
 Ce husky était si mal nourri quand il a été trouvé qu’il ressemblait à un squelette,
mais 10 mois plus tard, il est méconnaissable
.
 
Quiconque a déjà visité la magnifique île de Bali sait que, aussi étonnant soit-il, ils ont un grave problème de chiens errants, alors il n’est pas rare de voir des chiens dans la rue tout en se promenant dans les villes et les villages. Tandis que le gouvernement tente de contrôler les choses et prévenir les épidémies de rage, les refuges et les citoyens prennent les choses en main pour donner la meilleure vie possible aux pauvres chiens errants. Un bel exemple de ceci est l’histoire d’un husky qui a été trouvé dans la rue, endolori et extrêmement mal nourri, par un bon samaritain de 26 ans nommé RicoSoegiarto.
Quand Rico a trouvé le chiot pour la première fois dans les rues de Denpasar,elle avait des plaques chauves et était si mince qu’on pouvait voir sesos à travers sa peau malade. Il ne lui restait plus beaucoup de temps àvivre. Malgré son état, ses magnifiques yeux bleus brillaient encore etRico savait qu’il pouvait lui donner une seconde chance.
Après quelques visites chez le vétérinaire, plusieurs heures de toilettage et des tonnes de bonne nourriture, le chiot était enfin en bonne santé.
Rico a décidé de partager des photos de la transformation de son nouveau compagnon bien-aimé, et le résultat est stupéfiant !

Le husky est aujourd’hui beaucoup plus fort avec un pelage épais et lustré et les mêmes yeux bleus, et il ne peut pas se passer de son sauveur.
« Elle adore se faire flatter et mange beaucoup de biscuits ! » a déclaré Rico. « Elle est tellement sociable qu’elle m’inquiète parfois. Il y a beaucoup de voleurs à Bali. » Elle habite désormais en toute sécurité avec Rico et ses 4 autres chiens. Alors, quel nom a-t-il décidéde donner à son chiot miracle qui a survécu à une telle épreuve ?
« Elle s’appelle Hope. »

Voici Hope, un husky qui a été abandonné et négligé dans les rues de Denpasar, à Bali.  

Quand un bon samaritain de 26 ans nommé Rico Soegiarto a trouvé le chiot en
revenant du travail un soir, elle avait plusieurs plaques chauves.
 

Et elle était si mince qu’il était possible de voir ses os à travers sa peau malade.  

Il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre.  

Malgré son état pitoyable, ses magnifiques yeux bleus brillaient encore.  

Rico savait qu’il pouvait donner une seconde chance au chiot négligé.  

 

Après quelques visites chez le vétérinaire, plusieurs heures de toilettage et
des tonnes de bonne nourriture, le chiot était enfin en bonne santé.
 

 

Rico a partagé les résultats de la transformation de son nouvel animal de compagnie bien-aimé.  

Elle est maintenant forte et en bonne santé avec un pelage épais et lustré et les mêmes yeux bleus éclatants.  

Elle adore clairement Rico. « Elle adore se faire flatter et mange beaucoup de biscuits ! »  

Hope fait maintenant partie d’une famille heureuse avec Rico, sa petite amie et 4 autres chiens.  


 
landais40
10/05/2018 - 17:35
Insolite
Thaumiers : une buse s'en prend à nouveau aux cyclistes jeudi 10 mai 2018 à 14:28
Par Michel Benoît, France Bleu Berry et France Bleu
Un cycliste a té attaqué par une buse à Thaumiers, près de Dun-sur-Auron au sud-est de Bourges ce mercredi.
Cette zone semble à éviter puisque pareille mésaventure était déjà
survenue dans le même secteur, au printemps 2015.
Buse variable
-
Pixabay
Thaumiers, France
jeudi 10 mai 2018 à 14:28
Par Michel Benoît, France Bleu Berry et France Bleu
Un cycliste a té attaqué par une buse à Thaumiers, près de Dun-sur-Auron au sud-est de Bourges ce mercredi.
Cette zone semble à éviter puisque pareille mésaventure était déjà
survenue dans le même secteur, au printemps 2015.
Buse variable
-
Pixabay
Thaumiers, France


 
Le casque de ce cycliste garde des traces de l'attaque par cette buse. © Radio France - Michel Benoit
10/05/2018 - 14:29
Le lutin aux sourcils blancs

C’est la plus petite des chouettes d’Europe : voici la Chevêchette d’Europe .


En France elle niche dans les Alpes, le Jura et les Vosges généralement au-dessus de 1000 m d’altitude, mais en 2002 elle a été découverte à basse altitude, 250 m dans les Vosges du Nord, en région de Bitche (Muller 2003). Un peu plus tard, en 2004, elle a été « redécouverte » dans les Hautes Vosges (M. Munier, V. Drillon ) où aucune donnée n’étaitconnue depuis environ 20 ans.

Des contacts depuis 2005 confirment ce retour. C’est une espèce manifestement rare, mais aussi très discrète et fort peu connue avec une répartition et des effectifs fluctuants en fonction sans doute de la disponibilité en proies…

Elle affectionne les vieux boisements de conifères mêlés de feuillus, entrecoupés de clairières, particulièrement en altitude (au-dessus de 1 000 mètres) et dans des endroits reculés, souvent difficiles d’accès.
Elle y trouve, entre autres, des cavités de pics dans lesquelles elle stocke sa nourriture et se reproduit.
 
  Habitat

Dans le Jura, elle se cantonne dans les forêts d’altitude, en général des pessières traitées en futaie jardinée, donc dans des peuplements bien structurés avec des vieux arbres, des arbres plus jeunes et des trouées de régénération. L’épicéa et le sapin sont dominants, les feuillus n’étant présents qu’en faible proportion.
 
Dans les Hautes-Alpes, les milieux fréquentés sont des forêts subalpines relativement ouvertes (couvert hétérogène, avec une mosaïque de zones boisées denses, de clairières et de secteurs arbustifs), principalement des cembraies et des mélézins, parfois des sapinières-pessières (altitudes extrêmes : 1 500 – 2 300 mètres, altitude moyenne des observations : 1 875 mètres).
 
Dans les Vosges du Nord, les 20 territoires occupés par l’espèce au printemps ou en automne 2007 ont comme caractéristiques communes d’être situés dans des zones froides et humides en cuvette, fond de vallon ou zone tourbeuse, occupées par une forêt âgée et bien structurée avec des chênes (pour les cavités de pics) et des épicéas (pour le couvert).
 
adulte

Pygmée parmi les chouettes, la Chevêchette témoigne pourtant d'une férocité peu commune, s'attaquant sans hésitation à des oiseaux plus gros qu'elle. Lorsqu'une proie passe à sa portée, la boule de plumes immobile à la pointe des sapins se transforme en obus meurtrier, fonçanten ondulant dans le sous-bois.
C'est le plus diurne de nos rapaces nocturnes, se montrant volontiers en plein jour, alors houspillé sans relâche par les passereaux dont il est la terreur nocturne.

La Chevêchette d’Europe se nourrit de micromammifères (mulots et campagnols) et de petits passereaux (mésanges, rouges-gorges, roitelets, troglodytes, etc.). Elle pratique surtout la chasse à l’affût mais sa petite taille lui permet également de dénicher les mésanges et autres espèces qui nichent dans les cavités de pics.



Nourissage de jeunes chevêchette d'Europe par la femelle adulte

C'est une espèce démonstrative : si elle est excitée, elle relèvera sa queue en l'agitant d'un côté à l'autre. Si elle est en colère, les plumes du corps et de la tête se soulèvent, et quand elle est effrayée, elle s'immobilise, figée contre un mur ou une paroi.  Elle est active à l'aube et au crépuscule, et pendant la journée.
Sa vue est mauvaise dans l'obscurité complète. Elle constitue des réserves de nourriture qu'elle cache dans des cavités naturelles pour les périodes trop enneigées pour chasser…
Ce commentaire a été modifié le 10/05/2018 à 14:31
10/05/2018 - 07:09
Et si on était...des iseaux!




On devrait vivre comme les oiseaux.

S’en aller souvent dans des pays chauds.

Quitter nos montagnes, notre sous-bois.

Quand durant l’hiver il fait froid.



Au printemps, on se ferait un autre nid.

On recommencerait une nouvelle vie.

Et tout l’été on s’en irait chasser.

Du blé, des fleurs, tout ce qu’on voudrait manger.



Puis l’automne, on partirait en voyage.

On passerait nos hivers sur les plages.

Ou dans l’ombre des palmiers.

Avec des snowbirds a la peau bronzée.




La plupart des oiseaux aiment la mer.

C’est un peu leur résidence secondaire.

Chez nous ils ne paient jamais d’impôts.

Et ils écoutent très rarement la météo.

Alors, quand ils partent en vacances.

Ils se fouent vraiment des prix de l’essence.

Ils n’ont pas besoin de passeport.





Oui, on devrait tous, être des oiseaux.

Parler deux langues bien comme il faut.

Nous laisser souvent bercer par le vent.

A chaque automne et au printemps.

Pour retrouver nos forêts ensoleillées.

Et nos lacs qui ne seraient pas contaminés.



Texte: Claude Marcel Breault
Mots-clés: Si On était

09/05/2018 - 21:21
Nos amis les animaux ......











09/05/2018 - 07:01
Si ces 20 photos de samoyèdes ne vous font pas sourire, rien n’y parviendra.
 
Avec leur fourrure duveteuse, pelucheuse et blanche comme la neige, les samoyèdes sont une excellente race de chiens pour la famille ! Ils ont un tempérament alerte et ludique, ils sont rarement agressifs et sont siamicaux qu’ils ont mérité le surnom de « chien souriant ».
 
Leur pelage dense à double couche nécessite un toilettage fréquent et il protège les samoyèdes du froid glacial de la Sibérie d’où ils sont originaires. Ils ont d’abord été utilisés par les éleveurs de rennes chez les peuples samoyèdes nomades, ainsi que comme chiens de traîneau lors de leurs déplacements. Il est toujours possible de voir cet instinct chez les chiots aujourd’hui – ils ont évolué aux côtés des humains et adorent tirer leurs maîtres lors d’une promenade !
 
Tout le monde aime ces chiens actifs et intelligents, mais ils ont besoin d’un propriétaire responsable et dévoué. Ils exigent beaucoup d’exercice,surtout dans leur environnement naturel d’hiver froid et rigoureux,et ils peuvent devenir destructeurs si vous n’avez pas envie de sortir avec eux jouer dans la neige. Mais leur compagnie amusante vaut bien l’effort supplémentaire, et ils garderont votre famille activeet en forme.
 
Ipnoze a dressé pour vous une liste de samoyèdes brillants, énergiques et maladroits.
 
 
1. De réels complices.  

 
2. Lors de la toilette, il ressemble à un ours polaire.  

 
3. Mon samoyède dans son habitat naturel.  

 
4. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais quand je me suis arrêté à
côté de ces trois chiens au beau milieu d’une tempête de neige.
 

 
5. Zelda a eu peur sur le chemin du retour.  


6. Yoli a eu une rencontre malheureuse avec un porc-épic. Le porc-épic a gagné.  

 
7. Notre samoyède après une course colorée.  

 
8. L’un n’est pas comme les autres.  

 
9. Je suis un citoyen qui paie de l’impôt et qui prend le transport public.  

 
10. « Venez ici les enfants, j’ai une histoire à vous raconter. »  

 
11. Comment faire manger des légumes à votre chien.  

 
12. Quand les museaux se rencontrent.  

 
13. Une robe étoilée.  

 
14. Quand tu te rends compte que ton chien est aussi maladroit que toi.  

 
15. Comment on se couche.  

 
16. Nuage majestueux.  

 
17. Bambi le samoyède vous dit allô.  

 
18. Le paradis des chiens.  

 
19. Ce chien qui s’est couché dans la craie s’est transformé en oeuvre d’art.  

 
20. Mon Samoyède ressemble plus à un ours polaire que le tien.