Quand S' il gèle à Noël, les aires sont chargées de grains. Quand Noël vient en clarté, vends tes bœufs et ta charrette pour acheter du blé.
Noël à la vie (en chemin), Pâques à l'acie (près du feu). Rivas (gâteaux de Noël) au pignon, Pâques (les œufs de Pâques) au côpon (tison). Noël au jeu, Pâques au feu. Noël a son pignon, Pâques a son tison. Qui à Noël se chauffe au soleil, à Pâques brûle la bûche de Noël. Quand tu prends à Noël le soleil, à Pâques tu te rôtis l'orteil. Qui à Noël cherche l'ombrier, à Pâques cherche le foyer. Qui prend le soleil à Noël, à Pâques se gèle. À Noël les limas (chaleur), à Pâques les grouas (glace). Soleil à Noël, neige à Pâques. Si pour la Noël à ton souper le bout de la chandelle n'a pas courbé, Il y aura maigre récolte en blé. Claire nuit de Noël, claires javelles.
" Noël, au Balcon ... Pâques, au Tison ! " * L'année n'est jamais si longue que la veille de Noël ne soit trop courte. Citation de Noël : Dictionnaire des proverbes danois (1757) * Quand Noël a son pignon, Pâques a son tison. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Les jours entre Noël et les Rois, indiquent le temps des douze mois. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Les jours de Noël humide, donnent greniers et tonneaux vides. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Un mois avant, un mois après Noël, le froid est bon et naturel. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Fête Noël avec tes vieux, et Pâques où tu veux. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Noël, c'est un sapin illuminé dans les chaumières ... Qui réchauffe le cœur des enfants en plein hiver. Citation de Maxalexis : Joyeux Noël à tous les enfants (2014) * Noël, c'est le printemps de l'esprit ; c'est tout promesse. Citation de Alain : Les saisons de l'esprit (1935) * Noël, c'est la veille, c'est l'attente. Citation de Georges Dor : Après l'enfance (1975) * Givre à Noël, cent écus dans votre escarcelle. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Quand les hirondelles voient la Saint-Michel ... L'hiver ne vient qu'à Noël ! Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Noël un samedi, An où tout le monde mendie. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Qui se chauffe au soleil, Noël, en ton saint jour ... Devra brûler du bois quand Pâques aura son tour. Citation de Noël : Quelques six mille proverbes (1856) * Qui demande l'hiver avant Noël, en demande deux. Citation de Noël : Quelques six mille proverbes (1856) * On chante tant Noël qu'il vient. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Depuis Pâques au leu, depuis Noël au feu. Citation de Noël : Calendrier des bons Laboureurs - 1618. * Entre la Toussaint et Noël, ne peut trop pleuvoir ni venter. Citation de Gabriel Meurier : Trésor des sentences (1568) * Après grant joie vient grant ire (colère), et après Noël vente bise. Citation de Noël : Le roman du renard - XIIIème siècle. * Le Noël est plus beau aux champs qu'à la ville. Citation de Noël : Adages français - XVIème siècle. * Tant crie-t-on Noël qu'il vient. Citation de François Villon : La ballade des proverbes (1458) * Au vingt de Noël, les jours rallongent d'un pas d'hirondelle. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Noël humide, greniers et tonneaux vides. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Claire nuit de Noël, claire javelle. Citation de Noël : Les dictons et adages français. * Lune de Noël gouverne le temps jusqu'à la Saint-Jean. Citation de Noël : Les dictons et adages français.
J'ai rêvé que le monde devenait heureux, neige magique d'hiver sur monde merveilleux. Mélange de couleurs irisées et de saveurs étranges comme un goût de champagne dans des flûtes archanges.
J'ai rêvé que le sapin s'emmitouflait de lumières clignotées et petits lutins au bout de ficelles dorées, et faisait de l'oeil à cette étoile gardienne de la crèche pour éclairer la nuit de Jésus, Marie et joseph.
Attente indéfinissable de joujoux-cadeaux pour enfant sages, Le nez dans leur oreiller et la tête dans les nuages. Et le réveil adorable de bambins encore endormis qui se ruent sur les cadeaux pour matinée sans soucis.
J'ai rêvé que le père Noël dans mes souliers m'apportait la paix pour l'éternité, que tous les enfants riaient aux éclats jouaient main dans la main et se blottissaient dans nos bras.
J'ai rêvé que les guerres n'existaient pas que la terre ne se détruisait pas que l'ozone ne nous étouffait pas que la vie durait éternellement ici-bas ...
j'ai rêvé tout ça simplement, qu'un homme m'aimait amoureusement comme le souffle du vent sur la flamme vacillante des sentiers éclairés de nuit amante.
J'ai rêvé que les étoiles devenaient diamants pour parer le ciel commeune princesse des quatre saisons et faire de nos nuits un monde kaléidoscope fait de bals virtuels d'âmes pas mortes ...
J'ai rêvé que le Père Noël existait vraiment et qu'il faisait de nos rêves d'adultes d'enfants un bouquet de réalitéodorante et plein de fantaisie et de musique dansante.
Histoire du Père Noël : le Père Noël vit en Laponie Il y a bien longtemps, le Père Noël s’installait en Laponie. Il rêvait de calme et de verdure. Et surtout, il rêvait d’un lieu agréable pour ses nombreux rennes. La Laponie semblait être le lieu rêvé. Après discussion avec Mère Noël, le Père Noël s’est écrié : "C’est décidé, nous allons nous installer ici." Et c’est dans cette nature bienveillante que le Père Noël a élu domicile avec ses lutins et ses rennes. La Laponie du Père Noël se trouve très loin de chez nous, là-haut au Nord, dans des contrées toutes enneigées l’hiver. Ce que le Père Noël aime en Laponie, ce sont ces belles étendues à perte de vue. Pas de voitures, pas de bus, juste des sapins de Noël, des rennes et quelques renards blancs…
Le petit Jonathan, huit ans, arriva avec les bergersà la crèche de Bethléem. Il regarda l’Enfant et l’Enfant le regarda. Les larmes lui vinrent alors aux yeux. – Pourquoi pleures-tu ?, demanda Jésus. – Parce que je ne t’ai rien apporté. – Tu peux quand même m’offrir quelque chose,répondit Jésus. Alors Jonathan devint rouge de joie et dit : – Je veux bien t’offrir ce que j’ai de plus beau. – Je voudrais trois choses de toi, dit Jésus. Jonathan proposa tout de suite : – Ma Game-Boy, mon train électriqueet mon plus beau livre,celui avec plein d’images dedans. – Non, dit Jésus, je n’ai pas besoin de tout ça. Ce n’est pas pour ça que je suis venu sur la terre. Je voudrais tout autre chose de toi. – Quoi donc ? demanda Jonathan. Il avait très envie de savoir. – Offre-moi donc le dernier devoir que tu as fait à l’école,dit Jésus tout doucement pour que personne d’autre n’entende. Jonathan sursauta, il s’approcha tout près,tout près de la crèche et chuchota à son tour : – Mais écoute, Jésus, le maître,il a écrit dessus : insuffisant. – C’est bien pour ça que je le veux ! – Ben pourquoi ? demanda Jonathan. – Donne-moi toujours ce qui est classéinsuffisant dans ta vie. Tu me le promets ? – Ben, j’veux bien, répondit Jonathan. – Et je veux encore un deuxième cadeau, dit Jésus.Donne-moi ton bol du petit-déjeuner. – Mais je l’ai cassé ce matin ! – Apporte-moi ce que tu as casséet ce qui est cassé dans ta vie,je le réparerai. Tu me donneras ça aussi ? – Oui, je veux bien. Si tu veux ça,je te le donne aussi. – Et maintenant, mon troisième voeu, dit Jésus. Voilà, apporte-moi la réponse que tu as faite à ta mèrequand elle t’a demandé comment ton bol s’était cassé. Là, Jonathan a posé sa tête sur le bord de la crècheet il s’est mis à pleurer, mais à pleurer tout fort comme un petit garçonqui a un très gros chagrin. –J’ai, j’ai, j’ai… Il avait du mal à parler. – J’ai dit que le bol était tombé par terre et que c’étaitla faute de ma petite soeur, mais en vrai, c’est moi qui l’ai poussé de la table parce quej’étais très en colère. – Apporte-moi tous tes mensonges, tes jalousies,ta fierté, tout ce que tu penses avoir fait de méchant, dit Jésus. Et si tu viens avec tout ça vers moi,je te prendrai dans mes bras, je te consolerai et je t’aiderai. Je veux te libérer. Je t’accueille dans ta faiblesse, tes limites, ta fragilité. Tu veux bien accepter mon cadeau ? Et Jonathan écouta et s’émerveilla. Il s’agenouilla, son coeur jubilait.
A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents ... On croit qu'ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyage. Au fur et à mesure que le temps passe,d'autres personnes montent dans le train. Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants, mêmel'amour de notre vie.
Beaucoup démissionneront (même l'amour de notre vie) et laisseront un vide plus ou moins grand.
D'autres seront si discrets qu'on ne réalisera pas qu'ilsont quitté leurs sièges.
Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d'attentes,de bonjours, d'au- revoir et d'adieux. Le succès est d'avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu'on donne le meilleur de nous-mêmes.
On ne sait pas à quelle station nous descendrons. donc vivons heureux, aimons et pardonnons. Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train,nous ne devrons laisser que des beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage.
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique. Aussi, merci d'être un des passagers de mon train. Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d'avoir fait un bout de chemin avec toi. (Georges Moyses)
Oui, un chat, un simple chat, sans aucune particularité à première vue. Ce chat vivait dans une maison, une maison banale, comme il y en a tant dans les villages alentours. Ses maîtres étaient des gens simples, sans histoire, une famille comme il y en a tant, prise dans le train-train quotidien. Noël approchait. Il faisait froid dehors et tellement bon dans la maison. Mais il fallait bien que les enfants aillent à l'école et les parents au travail. Seul le chat restait à la maison. Ne vous êtes-vous jamais demandé ce que font les chats lorsque leurs maîtres ne sont pas là ? Un jeune chat fait forcément des bêtises. Mais un chat adulte, un bon gros matou, que fait-il tout seul dans une maison ? Croyez-vous qu'il ne fasse que dormir et manger ? Non, bien sûr ! Les humains osent préjuger des capacités de leurs animaux domestiques, quel dommage ! Le chat, seul dans la maison, semblait attendre quelque chose. Il furetait autour du sapin décoré, mais il n'était pas à la recherche d'un moineau. Le soir, dès que la famille rentrait, il reprenait sa place, sur le canapé, en véritable pacha qui ne laisse rien deviner de sa nature profonde. Enfin, le jour que tous les enfants attendaient arriva : le 24 décembre. Une certaine frénésie envahit l'atmosphère de la maison, d'habitude si tranquille. Mais le chat ne se laissa pas troubler, il regardait les agitations de ses maîtres de haut, trônant toujours sur le canapé. Le soir, il fut difficile de coucher les enfants surexcités. Le chat demeura impassible. Il savait. Alors que toute la maisonnée était endormie, seul veillait le chat. Il voyait tout, il savait tout depuis son poste de vigie. Minuit sonna. Silence. Le chat, toujours attentif, ne perdit pas une miette de la magie de Noël. Le temps passait, le chat n'avait pas bougé d'une moustache. Au petit matin, les enfants se levèrent et coururent au salon. Les cadeaux étaient là ! Le chat aussi, toujours au même endroit. Il assista au rituel, l'air impassible. Et pourtant, lui, il savait.
Les meilleurs proverbes sur Noël ...
Quand S' il gèle à Noël, les aires sont chargées de grains.
Quand Noël vient en clarté, vends tes bœufs et ta charrette pour acheter du blé.
Noël à la vie (en chemin), Pâques à l'acie (près du feu).
Rivas (gâteaux de Noël) au pignon, Pâques (les œufs de Pâques) au côpon (tison).
Noël au jeu, Pâques au feu.
Noël a son pignon, Pâques a son tison.
Qui à Noël se chauffe au soleil, à Pâques brûle la bûche de Noël.
Quand tu prends à Noël le soleil, à Pâques tu te rôtis l'orteil.
Qui à Noël cherche l'ombrier, à Pâques cherche le foyer.
Qui prend le soleil à Noël, à Pâques se gèle.
À Noël les limas (chaleur), à Pâques les grouas (glace).
Soleil à Noël, neige à Pâques.
Si pour la Noël à ton souper le bout de la chandelle n'a pas courbé, Il y aura maigre récolte en blé.
Claire nuit de Noël, claires javelles.
" Noël, au Balcon ... Pâques, au Tison ! "
* L'année n'est jamais si longue que la veille de Noël ne soit trop courte.
Citation de Noël : Dictionnaire des proverbes danois (1757)
* Quand Noël a son pignon, Pâques a son tison.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Les jours entre Noël et les Rois, indiquent le temps des douze mois.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Les jours de Noël humide, donnent greniers et tonneaux vides.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Un mois avant, un mois après Noël, le froid est bon et naturel.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Fête Noël avec tes vieux, et Pâques où tu veux.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Noël, c'est un sapin illuminé dans les chaumières ...
Qui réchauffe le cœur des enfants en plein hiver.
Citation de Maxalexis : Joyeux Noël à tous les enfants (2014)
* Noël, c'est le printemps de l'esprit ; c'est tout promesse.
Citation de Alain : Les saisons de l'esprit (1935)
* Noël, c'est la veille, c'est l'attente.
Citation de Georges Dor : Après l'enfance (1975)
* Givre à Noël, cent écus dans votre escarcelle.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Quand les hirondelles voient la Saint-Michel ...
L'hiver ne vient qu'à Noël !
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Noël un samedi, An où tout le monde mendie.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Qui se chauffe au soleil, Noël, en ton saint jour ...
Devra brûler du bois quand Pâques aura son tour.
Citation de Noël : Quelques six mille proverbes (1856)
* Qui demande l'hiver avant Noël, en demande deux.
Citation de Noël : Quelques six mille proverbes (1856)
* On chante tant Noël qu'il vient.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Depuis Pâques au leu, depuis Noël au feu.
Citation de Noël : Calendrier des bons Laboureurs - 1618.
* Entre la Toussaint et Noël, ne peut trop pleuvoir ni venter.
Citation de Gabriel Meurier : Trésor des sentences (1568)
* Après grant joie vient grant ire (colère), et après Noël vente bise.
Citation de Noël : Le roman du renard - XIIIème siècle.
* Le Noël est plus beau aux champs qu'à la ville.
Citation de Noël : Adages français - XVIème siècle.
* Tant crie-t-on Noël qu'il vient.
Citation de François Villon : La ballade des proverbes (1458)
* Au vingt de Noël, les jours rallongent d'un pas d'hirondelle.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Noël humide, greniers et tonneaux vides.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Claire nuit de Noël, claire javelle.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
* Lune de Noël gouverne le temps jusqu'à la Saint-Jean.
Citation de Noël : Les dictons et adages français.
Que fait donc Monsieur hiver!
Regarde le calendrier
C'est aujourd'hui l'hiver
Dis-moi où la neige est passée
Et que fait le vent d'hiver ?
Paul et Charles depuis longtemps
Guettent les premiers flocons.
Mais les corneilles croassent gaiement
Sur le toit de notre maison.
Notre merle picore avec entrain
Un ver qu'il a trouvé dans l'herbe
Il a chanté tôt ce matin
Le ciel d'hiver était superbe!
Mais que fais-tu Monsieur l'hiver
Dans ta maison de neige
Nous, nous aimerions bien faire
De gros bonshommes de neige !
neige magique d'hiver sur monde merveilleux.
Mélange de couleurs irisées et de saveurs étranges
comme un goût de champagne dans des flûtes archanges.
J'ai rêvé que le sapin s'emmitouflait de lumières clignotées
et petits lutins au bout de ficelles dorées,
et faisait de l'oeil à cette étoile gardienne de la crèche
pour éclairer la nuit de Jésus, Marie et joseph.
Attente indéfinissable de joujoux-cadeaux pour enfant sages,
Le nez dans leur oreiller et la tête dans les nuages.
Et le réveil adorable de bambins encore endormis
qui se ruent sur les cadeaux pour matinée sans soucis.
J'ai rêvé que le père Noël dans mes souliers
m'apportait la paix pour l'éternité,
que tous les enfants riaient aux éclats
jouaient main dans la main et se blottissaient dans nos bras.
J'ai rêvé que les guerres n'existaient pas
que la terre ne se détruisait pas
que l'ozone ne nous étouffait pas
que la vie durait éternellement ici-bas ...
j'ai rêvé tout ça simplement,
qu'un homme m'aimait amoureusement
comme le souffle du vent sur la flamme vacillante
des sentiers éclairés de nuit amante.
J'ai rêvé que les étoiles devenaient diamants
pour parer le ciel commeune princesse des quatre saisons
et faire de nos nuits un monde kaléidoscope
fait de bals virtuels d'âmes pas mortes ...
J'ai rêvé que le Père Noël existait vraiment
et qu'il faisait de nos rêves d'adultes d'enfants
un bouquet de réalitéodorante
et plein de fantaisie et de musique dansante.
Il y a bien longtemps, le Père Noël s’installait en Laponie. Il rêvait de calme et de verdure.
Et surtout, il rêvait d’un lieu agréable pour ses nombreux rennes. La Laponie semblait être le lieu rêvé.
Après discussion avec Mère Noël, le Père Noël s’est écrié : "C’est décidé, nous allons nous installer ici." Et c’est dans cette nature
bienveillante que le Père Noël a élu domicile avec ses lutins et ses rennes.
La Laponie du Père Noël se trouve très loin de chez nous, là-haut au Nord, dans des contrées toutes enneigées l’hiver. Ce que le Père Noël aime en Laponie, ce sont ces belles étendues à perte de vue. Pas de voitures, pas de bus, juste des sapins de Noël, des rennes et quelques renards blancs…
PETIT GARÇON ...
Dans son manteau rouge et blanc
Sur son traîneau porté par le vent
Il descendra par la cheminée
Petit garçon, il est l' heure d' aller se coucher
Tes yeux se voilent
Écoutes les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les cloches tintinnabuler ?!!
Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l' heure d' aller se coucher
Tes yeux se voilent
Écoutes les étoiles
Tout est calme, reposé
Entends-tu les cloches tintinnabuler ?!!
Et demain matin petit garçon
Tu trouveras dans tes chaussons
Tous les jouets dont tu as rêvé
Petit garçon il est l' heure d' aller se coucher ...
Il regarda l’Enfant et l’Enfant le regarda.
Les larmes lui vinrent alors aux yeux.
– Pourquoi pleures-tu ?, demanda Jésus.
– Parce que je ne t’ai rien apporté.
– Tu peux quand même m’offrir quelque chose, répondit Jésus.
Alors Jonathan devint rouge de joie et dit :
– Je veux bien t’offrir ce que j’ai de plus beau.
– Je voudrais trois choses de toi, dit Jésus.
Jonathan proposa tout de suite :
– Ma Game-Boy, mon train électrique et mon plus beau livre, celui avec plein d’images dedans.
– Non, dit Jésus, je n’ai pas besoin de tout ça.
Ce n’est pas pour ça que je suis venu sur la terre.
Je voudrais tout autre chose de toi.
– Quoi donc ? demanda Jonathan.
Il avait très envie de savoir.
– Offre-moi donc le dernier devoir que tu as fait à l’école,dit Jésus tout doucement pour que
personne d’autre n’entende.
Jonathan sursauta, il s’approcha tout près,tout près de la crèche et chuchota à son tour :
– Mais écoute, Jésus, le maître, il a écrit dessus : insuffisant.
– C’est bien pour ça que je le veux ! –
Ben pourquoi ? demanda Jonathan.
– Donne-moi toujours ce qui est classé insuffisant dans ta vie.
Tu me le promets ?
– Ben, j’veux bien, répondit Jonathan.
– Et je veux encore un deuxième cadeau, dit Jésus.Donne-moi ton bol du petit-déjeuner.
– Mais je l’ai cassé ce matin !
– Apporte-moi ce que tu as cassé et ce qui est cassé dans ta vie, je le réparerai.
Tu me donneras ça aussi ?
– Oui, je veux bien. Si tu veux ça,je te le donne aussi.
– Et maintenant, mon troisième voeu, dit Jésus.
Voilà, apporte-moi la réponse que tu as faite à ta mèrequand elle t’a demandé comment ton bol s’était cassé.
Là, Jonathan a posé sa tête sur le bord de la crèche et il s’est mis à pleurer, mais à pleurer tout fort
comme un petit garçon qui a un très gros chagrin.
–J’ai, j’ai, j’ai… Il avait du mal à parler.
– J’ai dit que le bol était tombé par terre et que c’était la faute de ma petite soeur, mais en vrai,
c’est moi qui l’ai poussé de la table parce que j’étais très en colère.
– Apporte-moi tous tes mensonges, tes jalousies, ta fierté, tout ce que tu penses avoir fait de méchant, dit Jésus.
Et si tu viens avec tout ça vers moi,je te prendrai dans mes bras, je te consolerai et je t’aiderai.
Je veux te libérer.
Je t’accueille dans ta faiblesse, tes limites, ta fragilité.
Tu veux bien accepter mon cadeau ?
Et Jonathan écouta et s’émerveilla.
Il s’agenouilla, son coeur jubilait.
A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents ...
On croit qu'ils voyageront toujours avec nous.
Pourtant, à une station, nos parents descendront du train,nous laissant seuls continuer le voyage.
Au fur et à mesure que le temps passe,d'autres personnes montent dans le train.
Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants, même l'amour de notre vie.
Beaucoup démissionneront (même l'amour de notre vie) et laisseront un vide plus ou moins grand.
D'autres seront si discrets qu'on ne réalisera pas qu'ilsont quitté leurs sièges.
Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d'attentes,de bonjours, d'au- revoir et d'adieux.
Le succès est d'avoir de bonnes relations avec tous les passagers pourvu qu'on donne le meilleur de nous-mêmes.
On ne sait pas à quelle station nous descendrons. donc vivons heureux, aimons et pardonnons.
Il est important de le faire car lorsque nous descendrons du train,nous ne devrons laisser que des beaux souvenirs à ceux qui continueront leur voyage.
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
Aussi, merci d'être un des passagers de mon train.
Et si je dois descendre à la prochaine station, je suis content d'avoir fait un bout de chemin avec toi.
(Georges Moyses)
A Noël chaque année
Dans la salle à manger
Je décore un sapin
A l'aide de deux lutins.
Le premier est tout rouge
Et vit tout près d'un bouge,
Le second est tout vert
Il marche de travers.
On r'connaît le premier
A son petit bonnet;
Le second est mignon
Avec son p'tit bedon.
Il suffit que j'appelle:
Les farfadets rappliquent;
C'est l'rencart annuel
Des deux petits loustics
J'imagine glissant
Tous deux sur le verglas
Mes elfes amusants
A frimousse de rat...
Cette année, quelle affaire,
J'aperçois sur patins
Le rouge diablotin,
Mais ne vois pas le vert !
Or, c'est ce p'tit coquin
Qui amène l'épicéa!
Mais où est-il donc pas-
Sé ce sacré lutin ?
" Petit troll rouge, dis-moi,
Où donc est ton copain ?
Que va-t'on dire chez moi,
S'il n'y a pas d'sapin ? "
Le lutin guilleret
En ricanant répond:
" Dépeupler les forêts
C'est pas vraiment très bon...
Suis venu seul t'aider,
Et mon petit complice
Te prie de décorer
Un conifère factice ! ".
Oui, un chat, un simple chat, sans aucune particularité à première vue. Ce chat vivait dans une maison, une maison banale, comme il y en a tant dans les villages alentours. Ses maîtres étaient des gens simples, sans histoire, une famille comme il y en a tant, prise dans le train-train quotidien.
Noël approchait. Il faisait froid dehors et tellement bon dans la maison. Mais il fallait bien que les enfants aillent à l'école et les parents au travail. Seul le chat restait à la maison. Ne vous êtes-vous jamais demandé ce que font les chats lorsque leurs maîtres ne sont pas là ? Un jeune chat fait forcément des bêtises. Mais un chat adulte, un bon gros matou, que fait-il tout seul dans une maison ? Croyez-vous qu'il ne fasse que dormir et manger ? Non, bien sûr !
Les humains osent préjuger des capacités de leurs animaux domestiques, quel dommage !
Le chat, seul dans la maison, semblait attendre quelque chose. Il furetait autour du sapin décoré, mais il n'était pas à la recherche d'un moineau. Le soir, dès que la famille rentrait, il reprenait sa place, sur le canapé, en véritable pacha qui ne laisse rien deviner de sa nature profonde.
Enfin, le jour que tous les enfants attendaient arriva : le 24 décembre. Une certaine frénésie envahit l'atmosphère de la maison, d'habitude si tranquille. Mais le chat ne se laissa pas troubler, il regardait les agitations de ses maîtres de haut, trônant toujours sur le canapé. Le soir, il fut difficile de coucher les enfants surexcités.
Le chat demeura impassible. Il savait. Alors que toute la maisonnée était endormie, seul veillait le chat. Il voyait tout, il savait tout depuis
son poste de vigie. Minuit sonna. Silence.
Le chat, toujours attentif, ne perdit pas une miette de la magie de Noël. Le temps passait, le chat n'avait pas bougé d'une moustache. Au petit matin, les enfants se levèrent et coururent au salon. Les cadeaux étaient là ! Le chat aussi, toujours au même endroit.
Il assista au rituel, l'air impassible. Et pourtant, lui, il savait.