Un jour prochain, l’Amour régnera sur cette terre, l’Amour sera Roi dans les cœurs de tous ses habitants. La haine et la violence seront du passé, remplacées par la paix et la joie. Les hommes apprendront à récolter les fruits de leurs durs labeurs dans les champs, les femmes porteront de magnifiques créations dans leurs ventres, et la terre se réjouira, ainsi que les anciens, d’un tel bonheur. Le Mal et tous ces fruits impurs, seront détruits, ne seront plus trouvés parmi les hommes, le Ciel pourra enfin ouvrir ses portes pour inonder la terre de Sa Lumière et de Son Amour. Alors, dans ces jours-là, on essuiera les larmes des yeux de ceux qui ont eu le cœur brisé, les veuves pourront aimer de nouveau, les orphelins avoir des nouvelles familles. Les plaies et meurtrissures seront guéries, et toute la Création retrouvera sa paix et son harmonie du Jardin perdu et retrouvé. Chaque jour sera une occasion pour célébrer ce retour à la vie, pour apprendre à aimer de nouveau son voisin, travailler ensemble avec lui main dans la main. On ne dira plus : cette chose m’appartient, car nos futurs enfants auront appris la vraie valeur du partage et de donner aux autres. Tout cela semble bien beau et irréel, tout le contraire de ce qu’on peut voir dans le monde d’aujourd’hui, où la haine, la violence, et la guerre semblent dominer l’instinct égoïste des hommes. Mais la Bible parle, aussi loin que les prophètes, de ce nouvel Age de paix et de prospérité qui doit arriver dans un futur proche. Le Millénium sera une nouvelle chance pour l’homme de faire les bons choix, de profiter de la terre, et d’aimer et de rendre hommage à celui qui a créé toutes ces choses.
Souffle léger sous le soleil printanier Le vent agite les premières fleurs Aux tiges frêles et fragiles Près du merle siffleur Le soir d'été Sous la caresse fraîche Le vent léger Courbe les épis de blé Sous les rafales du vent d'automne Qui heurtent la porte Les arbres s'abandonnent En perdant leurs feuilles mortes L'hiver s'installe Avec le givre et le froid Le ciel aux couleurs de frimas La bise siffle dans la cheminée N'entends-tu pas le vent ? Celui qui parfois se déchaîne Mêlé à la pluie qui a transformé La rivière en torrent Emportant tout sur son passage Dans un vacarme assourdissant @Copyright Vizzavona2A
LE COEUR D'UNE MÈRE C'est comme une petite maison secrète Dans cette petite maison il y a place pour ses enfants La porte y est toujours grande ouverte Cette maison est pleine d'amour, de sagesse et de tendresse Cette maison est tranquille et accueillante Dans cette maison y règne de la chaleur Et cela durant toute sa vie elle protège ses petits et ses grands Le coeur d'une mère Il est grand, il est bonheur, il est générosité Le plus beau mot à dire durant toute une vie C'est ma mère elle est bonté C'est la personne la plus précieuse Merci maman pour tout, je t'aime @copyright Théma
Elle boutonne sa blouse comme chaque matin machinalement Le soleil se lève à peine, elle s’étire un court moment Après s’être l... aver les mains soigneusement La journée peut alors commencer, maintenant.
Elle frappe à la première porte et dit « bonjour » Une voix timide lui répondra peut être en retour Avec un sourire plein de tendresse et de bonté Elle fera son devoir avec compassion et humilité.
Nettoyer, sécher, masser les peaux fragilisées Par la maladie, le poids des années Habiller, soulager et même rassurer Les personnes qui ont besoin d’être aidés.
Elle frappe à la deuxième porte et recommence Un visage s’illumine rien que par sa présence Un baiser sur le front apaisera les craintes passagères Les douleurs à calmer, seront pour l’infirmière.
Frictionner, parfumer, coiffer les visages abîmés Que le temps, au fil des ans, a fini par rider Parler, redonner confiance et dignité Aux personnes que la vie a blessés.
Derrière chaque porte, il y a une personne à part entière Un être humain unique, avec ses joies et ses colères Qu’il osera exprimer si la complicité s’invite naturellement Avec l’habitude de la voir arriver régulièrement.
Frotter, pommader, déshabiller les corps malmenés Par les accidents, les pathologies, l’usure du passé Sourire, écouter, essayer de comprendre simplement Les personnes malades qui recherchent un encouragement.
Elle déboutonne sa blouse, comme chaque soir, machinalement Le soleil se couche à peine, elle baille un moment Apres un rapide « bonsoir » aux collègues fatiguées Elle va pouvoir, elle aussi rentrer se reposer.
Aider aux devoirs, coucher les enfants et les embrasser Finir la vaisselle, Faire un dernier tour de l’appartement et tout vérifier Elle finira aussi par aller se coucher.
Elle est AIDE-SOIGANTE, métier mal reconnu, et pourtant Combien ses gestes quotidiens sont importants, Car tous les trésors du monde n’ont pas la valeur Des sourires qu’elle offre avec son cœur
Désireux d’accomplir la meilleure des actions À l’aurore de la nouvelle année ces oisillons Ont dans leur bec des astres aux scintillants rayons Qui durant tout son règne sûrement l’éclaireront Ces bienfaiteurs et sympathiques petits oiseaux À leur façon se comportent comme des héros En apportant de la lumière pour cet an nouveau Eux qui dans la grisaille tremblent sur leur rameau Hé oui ces juvéniles volatiles plutôt téméraires Ont décidé d’illuminer cette petite dernière Celle qui vient d’arriver sur notre vieille terre Et son premier de l’an se fêtera à leur manière C’est ainsi que chacun de ces aimables oiselets A prélevé dans le ciel une comète toute argentée Qu’il dépose ça et là juste pour que soit enluminé Ce renouveau afin qu’il soit bienheureux et en gaité Or ces jeunots ailés qui n’en font qu’à leur tête Ne se sont pas informés sur ces lumineuses planètes Qui celles-ci malgré leur bienfaisante magie secrète Ne pourront aider qu’une renaissance parfaite Néanmoins ces bougres d’êtres au beau plumage Malgré leur douce candeur ont le goût du partage Alors émues les étoiles de leurs pouvoirs en font usage Et promettent que 2018 jusqu’à la fin de son voyage Aura le plus merveilleux et chaleureux des éclairages
Le Millénium à venir
Un jour prochain, l’Amour régnera
sur cette terre, l’Amour sera Roi
dans les cœurs de tous ses habitants.
La haine et la violence seront du
passé, remplacées par la paix et la joie.
Les hommes apprendront à récolter
les fruits de leurs durs labeurs dans
les champs, les femmes porteront
de magnifiques créations dans leurs
ventres, et la terre se réjouira, ainsi
que les anciens, d’un tel bonheur.
Le Mal et tous ces fruits impurs,
seront détruits, ne seront plus trouvés
parmi les hommes, le Ciel pourra enfin
ouvrir ses portes pour inonder la terre
de Sa Lumière et de Son Amour.
Alors, dans ces jours-là, on essuiera
les larmes des yeux de ceux qui ont
eu le cœur brisé, les veuves pourront
aimer de nouveau, les orphelins avoir
des nouvelles familles. Les plaies et
meurtrissures seront guéries, et toute
la Création retrouvera sa paix et son
harmonie du Jardin perdu et retrouvé.
Chaque jour sera une occasion pour
célébrer ce retour à la vie, pour
apprendre à aimer de nouveau son
voisin, travailler ensemble avec lui
main dans la main. On ne dira plus :
cette chose m’appartient, car nos
futurs enfants auront appris la vraie
valeur du partage et de donner aux
autres.
Tout cela semble bien beau et irréel,
tout le contraire de ce qu’on peut voir
dans le monde d’aujourd’hui, où la
haine, la violence, et la guerre
semblent dominer l’instinct égoïste
des hommes. Mais la Bible parle,
aussi loin que les prophètes, de ce
nouvel Age de paix et de prospérité
qui doit arriver dans un futur proche.
Le Millénium sera une nouvelle
chance pour l’homme de faire les
bons choix, de profiter de la terre,
et d’aimer et de rendre hommage
à celui qui a créé toutes ces choses.
Patrick Etienne
N'est pas amie.
On devrait la fuir !
Sauves-toi
De cette immonde personne
Qui ose
Te balancer des choses
Qui te rendent coupable.
De ton douloureux passé,
La folie lui appartient.
Et toi,
Tu nous viens
De la terre de raison.
La méchanceté
N'est pas amie.
On devrait la fuir !
Éloignes-toi
De cette p 'ôvre conne,
Qui telle une rose épineuse
Pique ton cœur,
Au plus profond.
De ton douloureux passé
Elle se permet de te juger,
Alors qu 'elle ne connait
Pas vraiment la raison
De ton âme en crevaison.
La méchanceté
N'est pas amie.
On devrait la fuir !
Coures vite
Et au loin devant
Ne te retourne pas.
Fuis l 'homme
Et tout ses travers.
La douleur ancestrale
Par le temps
S'effacera.
Le mal subit,
Jamais tu n 'oublieras.
La méchanceté
N'est pas amie.
On devrait la fuir !
Alors coures, fuis, éloignes-toi
Et ne te retourne pas.
La cruauté de ses mots
Ré-ouvre les sombres entrailles
De ton cœur.
La méchanceté
N'a pas d'amis.
Elle n 'a que
Des maux et des mots
À nous crier et à nous dire.
La cruauté n 'est pas
Et n 'a encore moins d'amis.
Paul Andrews
Souffle léger sous le soleil printanier
Le vent agite les premières fleurs
Aux tiges frêles et fragiles
Près du merle siffleur
Le soir d'été
Sous la caresse fraîche
Le vent léger
Courbe les épis de blé
Sous les rafales du vent d'automne
Qui heurtent la porte
Les arbres s'abandonnent
En perdant leurs feuilles mortes
L'hiver s'installe
Avec le givre et le froid
Le ciel aux couleurs de frimas
La bise siffle dans la cheminée
N'entends-tu pas le vent ?
Celui qui parfois se déchaîne
Mêlé à la pluie qui a transformé
La rivière en torrent
Emportant tout sur son passage
Dans un vacarme assourdissant
@Copyright Vizzavona2A
LE COEUR D'UNE MÈRE
C'est comme une petite maison secrète
Dans cette petite maison il y a place pour ses enfants
La porte y est toujours grande ouverte
Cette maison est pleine d'amour, de sagesse et de tendresse
Cette maison est tranquille et accueillante
Dans cette maison y règne de la chaleur
Et cela durant toute sa vie elle protège ses petits et ses grands
Le coeur d'une mère
Il est grand, il est bonheur, il est générosité
Le plus beau mot à dire durant toute une vie
C'est ma mère elle est bonté
C'est la personne la plus précieuse
Merci maman pour tout, je t'aime
@copyright Théma
Hommage aux aides soignantes
Elle boutonne sa blouse comme chaque matin machinalement
Le soleil se lève à peine, elle s’étire un court moment
Après s’être l... aver les mains soigneusement
La journée peut alors commencer, maintenant.
Elle frappe à la première porte et dit « bonjour »
Une voix timide lui répondra peut être en retour
Avec un sourire plein de tendresse et de bonté
Elle fera son devoir avec compassion et humilité.
Nettoyer, sécher, masser les peaux fragilisées
Par la maladie, le poids des années
Habiller, soulager et même rassurer
Les personnes qui ont besoin d’être aidés.
Elle frappe à la deuxième porte et recommence
Un visage s’illumine rien que par sa présence
Un baiser sur le front apaisera les craintes passagères
Les douleurs à calmer, seront pour l’infirmière.
Frictionner, parfumer, coiffer les visages abîmés
Que le temps, au fil des ans, a fini par rider
Parler, redonner confiance et dignité
Aux personnes que la vie a blessés.
Derrière chaque porte, il y a une personne à part entière
Un être humain unique, avec ses joies et ses colères
Qu’il osera exprimer si la complicité s’invite naturellement
Avec l’habitude de la voir arriver régulièrement.
Frotter, pommader, déshabiller les corps malmenés
Par les accidents, les pathologies, l’usure du passé
Sourire, écouter, essayer de comprendre simplement
Les personnes malades qui recherchent un encouragement.
Elle déboutonne sa blouse, comme chaque soir, machinalement
Le soleil se couche à peine, elle baille un moment
Apres un rapide « bonsoir » aux collègues fatiguées
Elle va pouvoir, elle aussi rentrer se reposer.
Aider aux devoirs, coucher les enfants et les embrasser
Finir la vaisselle,
Faire un dernier tour de l’appartement et tout vérifier
Elle finira aussi par aller se coucher.
Elle est AIDE-SOIGANTE, métier mal reconnu, et pourtant
Combien ses gestes quotidiens sont importants,
Car tous les trésors du monde n’ont pas la valeur
Des sourires qu’elle offre avec son cœur
Janvier prend la neige pour châle ;
Février fait glisser nos pas ;
Mars de ses doigts de soleil pâle,
Jette des grêlons aux lilas.
Avril s'accroche aux branches vertes ;
Mai travaille aux chapeaux fleuris ;
Juin fait pencher la rose ouverte
près du beau foin qui craque et rit.
Juillet met les oeufs dans leurs coques
Août sur les épis mûrs s'endort ;
Septembre aux grands soirs équivoques,
Glisse partout ses feuilles d'or.
Octobre a toutes les colères,
Novembre a toutes les chansons
Des ruisseaux débordant d'eau claire,
Et Décembre a tous les frissons.
Rosemonde Gérard
À l’aurore de la nouvelle année ces oisillons
Ont dans leur bec des astres aux scintillants rayons
Qui durant tout son règne sûrement l’éclaireront
Ces bienfaiteurs et sympathiques petits oiseaux
À leur façon se comportent comme des héros
En apportant de la lumière pour cet an nouveau
Eux qui dans la grisaille tremblent sur leur rameau
Hé oui ces juvéniles volatiles plutôt téméraires
Ont décidé d’illuminer cette petite dernière
Celle qui vient d’arriver sur notre vieille terre
Et son premier de l’an se fêtera à leur manière
C’est ainsi que chacun de ces aimables oiselets
A prélevé dans le ciel une comète toute argentée
Qu’il dépose ça et là juste pour que soit enluminé
Ce renouveau afin qu’il soit bienheureux et en gaité
Or ces jeunots ailés qui n’en font qu’à leur tête
Ne se sont pas informés sur ces lumineuses planètes
Qui celles-ci malgré leur bienfaisante magie secrète
Ne pourront aider qu’une renaissance parfaite
Néanmoins ces bougres d’êtres au beau plumage
Malgré leur douce candeur ont le goût du partage
Alors émues les étoiles de leurs pouvoirs en font usage
Et promettent que 2018 jusqu’à la fin de son voyage
Aura le plus merveilleux et chaleureux des éclairages