La mer s'étend devant moi à perte de vue... Je laisse mon regard se porter aussi loin que je peux sur cet infini... Tout près de moi, je distingue très bien les "caps", hautes falaises escarpées de couleur rouge que le soleil matinal irradie les rendant encore plus brillants.
Et cette mer, d'un bleu si profond,
contre ces rochers rouges... Quelle splendeur! Mariage de la mer en mouvement et des rochers immobiles... le bleu et le rouge... l'un contre l'autre, l'un sur l'autre... caresses de l'un pour l'autre...
Je me remplis les yeux
de ce spectacle naturel et sans cesse renouvelé...
Aucun son si ce n'est le chant des oiseaux et le bruissement des feuilles agitées par un vent léger... Je ne peux me lasser de tant de beauté! Aucun artifice... Rien que du vrai... du pur.. du naturel...
Les mots deviennent inutiles... pour décrire un aussi magnifique paysage
J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables, mais j'ai déçu des gens aussi.
J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger J'ai ri quand il ne fallait pas Je me suis fait des amis éternels J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer
J'ai crié et sauté de tant de joies, j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos J'ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d'un sourire
J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et... ...J'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)... Mais j'ai survécu !
Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas ... Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant, parce que le monde appartient à celui qui ose
ET LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
Tu n'es pas seul dans la vie Courage Les jours qui passent te semblent noirs Courage La vie ne tient qu'à un fil Courage Tu as tellement espéré, tendre la main pour avoir de l'aide Courage Oui quelqu'un pourrait certainement t'apporter de l'aide Courage Va au loin chercher de l'aide Courage Mais sais- tu que toi seule est en mesure de faire et de trouver ce qui est fait pour toi! Courage Ne laisse pas les autres se battre pour toi Et trouve la force de le faire toi-même Courage Vivre ne veut pas dire se laisser vivre. Courage Rien n'est plus beau que ses propres victoires Courage Prends ton courage à deux mains et fonce dans la vie @copyright Théma
Il s’est enfui le temps béni de mon enfance, Le temps si précieux où j’étais écolier, Celui que mon esprit en parfaite ignorance Sur ce qui m’attendait ne pouvait s’éveiller
Que sont donc devenus mes copains de l’école Qui jouaient avec moi, dehors, sous le préau ? Et lorsque l’un de nous attrapait la rougeole L’infection s’étendait dès lors sur le troupeau.
Nous avions du respect envers profs et maîtresses Car l’on nous enseignait des leçons de morale, Diantre !... que j’en ai eu des tapes sur les fesses Lorsque j’y dérogeais provoquant un scandale.
Nous devions obéir, être toujours polis A l’égard d’étrangers, ainsi que nos parents, Puis juste avant l’instant de regagner nos lits Nos leçons remplaçaient les divertissements.
Bien des ans sont passés, cependant ma mémoire Garde le souvenir intact de ce temps ; L’on m’a instruit en tout, en géo, en histoire, En maths et en français, cela fait si longtemps !...
Les époques ont changé, l’enseignement aussi, La morale est perdue comme la politesse ; S’il est dur de tenir les jeunes d’aujourd’hui C’est que la société a usé de faiblesse.
Une petite fille marchait tous les jours pour aller et revenir de l'école. Quoique, ce matin là, la température posait question et que des nuages se formaient, elle se rendit à pied à son école élémentaire.
Durant l'après-midi, les vents s'élevèrent et les éclairs apparurent.
La Maman de la petite craignait que sa fillette prenne peur en revenant à la maison et que la tempête électrique puisse lui faire du tort. Inquiète, la Maman, s'empressa de prendre la route, en voiture, vers l'école. En route elle vit apparaître sa petite, qui à chaque éclair, s'arrêtait, regardait en haut et souriait.
Quelques éclairs se succédèrent rapidement et chaque fois l'enfant regardait vers l'éclair et souriait. Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa fenêtre et lui demanda ;Mais que fais-tu là?
L'enfant de répondre: J'essaye d'être belle, car Dieu n'arrête pas de prendre ma photo!
mer...
La mer s'étend devant
moi
à perte de vue...
Je laisse mon regard
se porter
aussi loin que je peux
sur cet infini...
Tout près de moi, je
distingue très bien
les "caps",
hautes falaises escarpées de
couleur rouge
que le soleil matinal
irradie
les rendant encore
plus brillants.
Et cette mer,
d'un bleu si profond,
contre ces rochers
rouges...
Quelle splendeur!
Mariage de la mer en
mouvement
et des rochers
immobiles...
le bleu et le rouge...
l'un contre l'autre,
l'un sur l'autre...
caresses de l'un pour
l'autre...
Je me remplis les yeux
de ce spectacle
naturel
et sans cesse
renouvelé...
Aucun son si ce n'est
le chant des oiseaux
et le bruissement des
feuilles
agitées par un vent
léger...
Je ne peux me lasser
de tant de beauté!
Aucun artifice...
Rien que du vrai...
du pur..
du naturel...
Les mots deviennent
inutiles...
pour décrire un aussi
magnifique paysage
Texte ©Josette (L'Émerveille)
J'ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J'ai agi par impulsion, j'ai été déçu par des gens que j'en croyais incapables,
mais j'ai déçu des gens aussi.
J'ai tenu quelqu'un dans mes bras pour le protéger
J'ai ri quand il ne fallait pas
Je me suis fait des amis éternels
J'ai aimé et l'ai été en retour, mais j'ai aussi été repoussé
J'ai été aimé et je n'ai pas su aimer
J'ai crié et sauté de tant de joies,
j'ai vécu d'amour et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !
J'ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos
J'ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d'un sourire
J'ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et...
...J'ai eu peur de perdre quelqu'un de très spécial (que j'ai fini par perdre)...
Mais j'ai survécu !
Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas ...
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!
Ce qui est vraiment bon, c'est de se battre avec persuasion,
embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui ose
ET LA VIE C'EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
Texte De Charlie Chaplin
BON COURAGE
Tu n'es pas seul dans la vie
Courage
Les jours qui passent te semblent noirs
Courage
La vie ne tient qu'à un fil
Courage
Tu as tellement espéré, tendre la main pour avoir de l'aide
Courage
Oui quelqu'un pourrait certainement t'apporter de l'aide
Courage
Va au loin chercher de l'aide
Courage
Mais sais- tu que toi seule est en mesure de faire et de trouver ce qui est fait pour toi!
Courage
Ne laisse pas les autres se battre pour toi
Et trouve la force de le faire toi-même
Courage
Vivre ne veut pas dire se laisser vivre.
Courage
Rien n'est plus beau que ses propres victoires
Courage
Prends ton courage à deux mains et fonce dans la vie
@copyright Théma
Il s’est enfui le temps béni de mon enfance,
Le temps si précieux où j’étais écolier,
Celui que mon esprit en parfaite ignorance
Sur ce qui m’attendait ne pouvait s’éveiller
Que sont donc devenus mes copains de l’école
Qui jouaient avec moi, dehors, sous le préau ?
Et lorsque l’un de nous attrapait la rougeole
L’infection s’étendait dès lors sur le troupeau.
Nous avions du respect envers profs et maîtresses
Car l’on nous enseignait des leçons de morale,
Diantre !... que j’en ai eu des tapes sur les fesses
Lorsque j’y dérogeais provoquant un scandale.
Nous devions obéir, être toujours polis
A l’égard d’étrangers, ainsi que nos parents,
Puis juste avant l’instant de regagner nos lits
Nos leçons remplaçaient les divertissements.
Bien des ans sont passés, cependant ma mémoire
Garde le souvenir intact de ce temps ;
L’on m’a instruit en tout, en géo, en histoire,
En maths et en français, cela fait si longtemps !...
Les époques ont changé, l’enseignement aussi,
La morale est perdue comme la politesse ;
S’il est dur de tenir les jeunes d’aujourd’hui
C’est que la société a usé de faiblesse.
Cendrieux, le 31 janvier 2015
Une petite fille marchait tous les jours pour aller et revenir de l'école.
Quoique, ce matin là, la température posait question
et que des nuages se formaient,
elle se rendit à pied à son école élémentaire.
Durant l'après-midi, les vents s'élevèrent et les éclairs
apparurent.
La Maman de la petite craignait que sa fillette prenne peur en revenant à
la maison et que la tempête électrique puisse lui faire du tort.
Inquiète, la Maman, s'empressa de prendre la route, en voiture, vers l'école.
En route elle vit apparaître sa petite, qui à chaque éclair,
s'arrêtait, regardait en haut et souriait.
Quelques éclairs se succédèrent rapidement et chaque
fois l'enfant regardait vers l'éclair et souriait.
Sa mère parvint à ses côtés, baissa sa fenêtre
et lui demanda ;Mais que fais-tu là?
L'enfant de répondre:
de prendre ma photo!