Piratage des cartes de paiement sans contact : une solution trouvée?
Un étui permettant de protéger la carte bancaire équipée du paiement sans contact a été développé par les banques. Avec des arnaques déjà recensées depuis quelque temps, la carte bancaire équipée du paiement sans contact laisse perplexe de nombreux usagers. Mais une solution a été trouvée pour les personnes les plus inquiètes. Ce type de carte peut en effet facilement être piraté, avec par exemple une attaque par relais, qui permet de détourner la communicationentre une carte et un terminal pour que les données soient réceptionnées par un autre terminal. L’occasion donc pour un malfaiteur ,de récupérer toutes les données bancaires. A lire aussi :Paiement sans contact : quels sont les risques ? Un étui qui bloque les ondes Mais comment s’en protéger ? A en croire le site spécialisé 01net.com, les banques ont prévu depuis quelques mois des étuis anti-NFC, cette technologie qui permet d’établir une connexion entre deux appareils à une courte distance et utilisée sur ces cartes bancaires. "C'est efficace. Cela revient à loger la carte bancaire dans une cage Faraday qui bloque les ondes. En revanche, on n'est pas protégé au moment du paiement, car il faut alors sortir la carte de l'étui", explique Nicolas Kerschenbaum, expert en sécurité chez Lexsi, interrogé par 01net.com. Ne reste plus qu’à se renseigner auprès de votre établissement bancaire afin de savoir s’il a prévu ce type d’étui et s’il est possible d’en obtenir un.
PERSO J'AI DEMANDÉ À LA BANQUE,DÉS LE DÉBUT,DE SUPPRIMER CETTE "FACILITÉ".
L’«?Harmony of the Seas?», plus gros paquebot du monde, en voie d’achèvement à Saint-Nazaire
Emmanuel Guimard / Correspondant à Nantes |Le 20/02 à 14:04 L’«?Harmony of the Seas mesure?362 mètres de long et culmine à 72 mètres de hauteur. - Jean-Sébastien Evrard/AFP
Chez STX France, c’est le sprint final pour 3.000 salariés. L’«?Harmony of the Seas?», navire de tous les superlatifs, doit être livré le 12 mai à l’américain RCCL.C’est l’effervescence à bord de l’«?Harmony of the Seas?». Il ne reste plus que douze semaines pour achever le plus gros paquebot du monde, un colosse de 362 mètres de long avec ses 16 ponts passagers culminant à 72 mètres de hauteur, et ses 227.000 tonneaux de jauge brute, 71.000 de plus que le «?Queen Mary 2?». Basé à Barcelone, le paquebot embarquera 5.479 passagers et 2.394 membres d’équipage pour des croisières en Méditerranée et aux Antilles. Commandé le 27 décembre 2012 pour environ 1 milliard d’euros, L’Harmony sera remis le 12 mai à son armateur, le groupe américain Royal Carribbean Cruise Line (RCCL). « Près de 95 % du travail est fait »Pour l’heure, ils sont près de 3.000 à bord, décorateurs, menuisiers, électriciens… On entend toutes les langues sur cette Babel flottante. Certains salons arborent déjà leurs couleurs chatoyantes, moquettes épaisses, lumières, miroirs et dorures dans une ambiance très « Las Vegas ». Les affiches de comédies musicales sont posées à l’entrée d’un théâtre de 1.400 places. Les esplanades « Central Park » ou « Royal promenade », longue de 110 mètres, prennent forme. Déjà, la quasi-totalité des 2.747 cabines sont installées, et meublées. Dans d’autres endroits, on voit encore la tôle à nu, des fils et les canalisations. Le profane pourrait s’effrayer du travail qui reste à accomplir. « Près de 95 % du travail est fait », rassure Jean-Yves Péan, le chargé d’affaires de STX pour ce navire. Tendance au gigantisme« Il reste quelques centaines de milliers d’heures de travail sur 10 millions », mentionne Laurent Castaing, le directeur général de STX France, qui admet que la finition du géant fait transpirer ses équipes. Si l’«?Harmony?» est le troisième navire de la série Oasis, le navire est à bien des égards un prototype. « On a tout redessiné, explique Laurent Castaing. Nous avons amélioré de 20 % la performance énergétiqueavec de nombreux systèmes de récupération de l’énergie, ce qui complexifie la machine. Il a fallu corriger la carène, les hélices, poursuit le dirigeant. Il a fallu installer des systèmes de lavage des fumées, des scrubbers, dans les espaces existants. » Qui plus est, l’armateur n’a pas manqué d’idées pour modifier le navire au cours du chantier. Pas moins de 250 modifications ont été demandées dont l’Ultimate Abyss, un toboggan permettant de passer du sommet au pont 6, soit dix étages de glissade. Verra-t-on un jour des navires plus grands encore ? « On constate une tendance à l’augmentation de la taille et nous l’anticipons, note Laurent Castaing. On a déjà fait ici, à Saint-Nazaire, des navires de 500.000 tonnes, il s’agissait de pétroliers. On se repose aujourd’hui la question de savoircomment on les construisait. » A voir aussi > DIAPORAMA Le «?Harmony of the Seas?», nouveau géant de la croisière
Le four d’Odeillo est une référence mondiale dans le domaine de l’énergie solaire
La question des nouvelles énergies est au cœur des réflexions sur l’environnement et l’écologie depuis quelques années. De plus en plus, les gouvernements essaient de trouver des alternatives à l’énergie nucléaire, qui fournit beaucoup d’énergie tout en étant néfaste pour l’environnement. Il existe une source d’énergie colossale que certains scientifiques ont rapidement cherché à exploiter : le soleil. C’est le cas du four solaire d’Odeillo, basé en France. SooCurious vous présente ce lieu à la pointe de la recherche énergétique.
Situé dans le Sud de la France dans la commune de Font-Romeu-Odeillo-Via (Cerdagne), le four solaire d’Odeillo est l’un des symboles mondiaux de l’énergie solaire. Il est, avec le four solaire de Parkent (Ouzbékistan), l’un des deux plus grands de ce type. Il est haut de 54 m et large de 48. Le site comprend 63 héliostats (des miroirs réfléchissants). Le four a été implanté dans cette commune du Languedoc-Roussillon pour plusieurs raisons.
D’abord, la durée et la qualité de l’ensoleillement direct sont très bonnes (près de 2 750 heures d’ensoleillement par an). D’autre part, l’atmosphère y est très pure, étant donné que l’altitude est élevée et que la zone est très peu humide. On trouve d’ailleurs dans le même secteur, le four solaire de Mont-Louis et la centrale solaire THEMIS (à Targassonne). Ici, les travaux sont nombreux, mais ils tournent tous autour de l’utilisation de l’énergie solaire. Le fonctionnement en lui-même est d’ailleurs très intéressant.
Pour faire simple, le four solaire d’Odeillo utilise des miroirs orientables réfléchissants (héliostats) qui servent à concentrer les rayons du soleil. Ces rayons sont captés par une première série de miroirs en pente, puis envoyés vers une deuxième série de miroirs (« les concentrateurs ») disposés en parabole. Une fois que cette étape est passée, les rayons convergent vers une cible circulaire (d’à peine 40 cm de diamètre) placée au sommet d’une tour. Ce principe a de nombreux avantages. D’abord, il permet d’obtenir en quelques secondes des températures supérieures à 3 500 °C. De plus, l’énergie produite est entièrement gratuite et non polluante, ce qui est l’intérêt majeur de ce procédé. D’un point de vue plus scientifique, il permet d’obtenir des changements brusques de température, ce qui donne des indications sur les chocs thermiques. Par ailleurs, le procédé ne génère aucun élément contaminant (gaz de combustion, pollution, etc.) puisque seul l’objet à étudier est chauffé par des rayons. Si le procédé employé a de l’avenir, il n’est pas si récent que cela. Le four d’Odeillo est mis en service depuis 1970, mais le procédé est plus ancien. Une première expérience a été réalisée en 1946, par le chimiste français Félix Trombe. Entouré d’une équipe à Meudon, il a utilisé un miroir de DCA dans un environnement très pur afin de démontrer que la lumière solaire concentrée permet d’atteindre des températures très élevées en peu de temps. Au départ, l’idée était de faire fondre du minerai pour en extraire des matériaux très purs. Après cette expérience convaincante, le four solaire de Mont-Louis a été construit en 1949. Puis quelques années après, un four plus grand fut construit à Odeillo pendant six ans. Les chercheurs ont vite orienté leurs travaux vers la conversion de l’énergie solaire en électricité. Aujourd’hui, le site est davantage orienté vers la recherche concernant l’énergie et l’environnement. En plus du travail sur les matériaux, les chercheurs reprennent les recherches sur la production d’électricité et sur l’extraction d’hydrogène par voie solaire. Aujourd’hui plus que jamais, le four solaire d’Odeillo est un atout pour la France dans la recherche sur les énergies propres. En plus d’être inscrit au titre des monuments historiques depuis mai 2009, le site est labellisé « Patrimoine du 20e siècle ». Le public peut visiter depuis 1990 un centre d’information sur l’énergie solaire basé sur le site (« Héliodyssée »).
Cette étude est alarmante : 87 % des cosmétiques pour bébés contiennent des substances chimiques dangereuses Une maman qui nettoie son bébé via Shutterstock
La peau de bébé est très fine et de fait, particulièrement fragile. C’est pourquoi son soin nécessite une attention toute particulière qui doit privilégier les produits sans additif chimique. Et pourtant, il est de plus en plus difficile de trouver des produits sans parfum et autres composants agressifs pour la peau. Le groupe WECF (Women in Europe for a Common Future) a sonné l’alarme en étudiant la composition de 341 produits pour bébés qu’elle a passés au crible. L’ONG a étudié la composition de 341 produits – tels que les laits de toilette, les lotions, les shampoings, les produits de bain, les lingettes, les eaux nettoyantes ou encore les protections solaires – vendus en France dans les pharmacies, parapharmacies, supermarchés et magasins biologiques.
Elle s’est basée sur des études scientifiques et des évaluations des autorités sanitaires de l’Union européenne (le SCCS : Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs) et françaises (l’ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament). L’organisation a ainsi classé les ingrédients affichés sur les étiquettes en trois catégories : « risque élevé », « risque modéré » et « risque faible ou non identifié ».
Les produits cosmétiques pour bébé via Shutterstock Et le résultat de l’enquête est pour le moins préoccupant : 87 % des produits étudiés appartiennent à la catégorie « risque élevé », soit 299 produits sur 341. Dans les détails, l’étude révèle que19 produits, dont 7 lingettes, contiennent un allergène par contact (la méthylisothiazolinone ou MIT) ; qu’un conservateur soupçonné d’être toxique pour la reproduction, lephenoxyethanol, est utilisé dans 54 produits, dont 26 lingettes ; et enfin, le parfum, qui peut impliquer des risques d’allergie, a été utilisé sur 226 des produits. L’étude a révélé que 181 des produits analysés sont composés d’ingrédients à « risque modéré ». Parmi ces ingrédients, de l’EDTA, un acide potentiellement toxique, se trouve dans 87 produits dont 30 lingettes. Des composés de sulfate (Laureth sulfate de sodium), des agents moussants qui peuvent être irritants, sont présents dans 50 produits, pour la majorité des produits de bain ainsi que des shampoings.
Les produits cosmétiques pour bébé via Shutterstock Des huiles minérales et des produits issus de la chimie du pétrole, qui pourraient être contaminés par des impuretés, ont été trouvés dans 30 produits (une majorité de lotions, d’huiles et de crèmes). Enfin, des nanoparticules, dont les effets n’ont pas été suffisamment évalués, ont été utilisés dans 14 produits de protection solaire. A l’issue de cette étude, le groupe WECF, qui constitue un réseau de 150 organisations environnementales et féminines dans 50pays, demande l’interdiction des trois ingrédients à risque élevé dans tous les cosmétiques destinés aux enfants de moins de trois ans.
De quoi rendre les parents encore plus précautionneux… On remercie la WECF qui a levé le voile sur les dangers des cosmétiques
Bangladesh: L'«homme-Arbre» Opéré Avec Succès Abul Bajandar avait été admis le mois dernier en vue de l'opération visant à couper les excroissances pesant au moins cinq kilogrammes qui lui couvraient les mains et les pieds. Photo Munir Uz Zaman, Archives AFPAgence France-Presse Dacca
Un Bangladais surnommé « l'homme-arbre » pour ses verrues impressionnantes aux allures d'écorce sur les mains et les pieds a été opéré samedi avec succès pour le débarrasser de certaines des excroissances, a annoncé l'hôpital.
Il a fallu trois heures et demie à une équipe de neuf médecins pour retirer les excroissances géantes de la main droite d'Abul Bajandar au Dhaka Medical College Hospital à Dacca, a déclaré à l'AFP le directeur de l'établissement, Samanta Lal Sen. Le père de famille de 26 ans avait été admis le mois dernier en vue de l'opération visant à couper les excroissances pesant au moins cinq kilogrammes qui lui couvraient les mains et les pieds. « L'opération a réussi. Nous avons enlevé les excroissances des cinq doigts de la main droite. Il est heureux et il riait », a ajouté le responsable. « Nous allons à présent observer son état pendant les trois prochains mois avant de décider s'il faut procéder à de nouvelles opérations. C'est un grand défi », a-t-il encore dit. Les grosses verrues, qu'Abul Bajandar a vu apparaître à l'adolescence mais qui ont commencé à s'étendre plus rapidement il y a quatre ans, ont été diagnostiquées comme un cas d'épidermodysplasie verruciforme, une maladie de peau génétique rarissime qui peut prendre la forme d'excroissances de peau. « On l'appelle communément la maladie de l'homme-arbre », avait expliqué à l'AFP Samanta Lal Sen. Le gouvernement du Bangladesh a pris en charge les coûts de l'opération et la première ministre, Sheikh Hasina, a été informée de son état après l'opération. L'épouse de « l'homme-arbre », Halima Khatun, qui l'a vu après l'opération a déclaré qu'il semblait « détendu et heureux ». Le directeur de l'hôpital a indiqué qu'il y avait trois cas connus dans le monde d'épidermodysplasie verruciforme, dont un seul au Bangladesh. Un villageois indonésien avec d'énormes verrues sur tout le corps avait subi une série d'opérations en 2008 pour en être débarrassé.
CERTAINEMENT QUE BEAUCOUPS CONNAISSENT CET ECRIVAIN ITALIEN DANS DES ECRITS ASSEZ PARTICULIERS ET SURTOUT D'AUTRES A TRAVERS LE CINEMA ET QUE DIRE DU FILM AU NOM DELA ROSE , GRAND MOMENT DU CINEMA REALISE PAR JEAN JACQUES ANNAUD,ET BIEN ENTENDU LE ROMAN : LE PENDULE DE FOUCAULT. EN VERITE JE VOUS L'AVOUE, JE N'EN CONNAIS PAS PLUS ON DISAIT DE LUI QU'IL ETAIT LE PLUS LETTRE DES REVEURS LE TEMPS DES REVES EST VENU POUR UMBERTO , ET LE REPOS POUR TOUJOURS ?CE QUI NE L'INTERDIRA PAS D'ECRIRE ENCORE SI CELA LE DEMANGE AMITIE A SA FAMILLE ET A L'ITALIE
Umberto Eco, né le 5 janvier 1932 à Alexandrie dans le Piémont (Italie) et mort le 19 février 2016, est un universitaire, érudit et romancier italien. Reconnu pour ses nombreux essais universitaires sur la sémiotique, l’esthétique médiévale, la communication de masse, la linguistique et la philosophie, il est surtout connu du grand public pour ses œuvres romanesques.
Titulaire de la chaire de sémiotique et directeur de l’École supérieure des sciences humaines à l’université de Bologne, il en est professeur émérite depuis 2008.
LE PENDULE DE FOUCAULT
DU PEINTRE DAVID LEFEBVRE
Diplômé en philosophie en 1954 à l'université de Turin (avec une thèse sur Thomas d'Aquin), il s'intéresse dans un premier temps à la scolastique médiévale (Sviluppo dell'estetica medievale, 1959), puis à l'art d'avant-garde (L'Œuvre ouverte, 1962) et à la culture populaire contemporaine (Apocalittici e integrati, 1964). Il rencontre un succès immédiat en Italie.
Devenu ensuite un pionnier des recherches en sémiotique (La Structure absente, 1968, Trattato di semiotica generale, 1975), il développe une théorie de la réception (Lector in fabula, Le rôle du Lecteur) qui le place parmi les penseurs européens les plus importants de la fin du XXe siècle. Son premier roman, Le Nom de la rose (1980) connaît un succès mondial avec 17 millions d'exemplaires vendus à ce jour[Quand ?] et des traductions en vingt-six langues, malgré un contenu dense et ardu. Umberto Eco met en application dans ce « policier médiéval » ses concepts sémiologiques et ses théories du langage, ceux-là mêmes qu'il enseigne à Turin. En 2002, le quotidien La Repubblica le vend comme supplément au journal (tirage spécial à cette occasion : 2 millions d'exemplaires). Son deuxième roman, Le Pendule de Foucault (1988) connaît également un énorme succès, quoique pour des raisons inverses : le public, guidé par Eco, part à la découverte de symboles énigmatiques ou prophétiques, à rebours de la dénonciation de l'ésotérisme qui est pourtant le propos de l'auteur, mais celui-ci démontre par la même occasion que le lecteur est libre de ses interprétations (théorie qu'Eco continue de développer dans ses œuvres théoriques sur la réception, Les Limites de l'interprétation en 1990). Le livre tourne d'ailleurs en ridicule l'interprétation à outrance des faits avérés ou légendaires de l'histoire, en tirant avec un égal succès des dimensions d'un simple kiosque à journaux le même genre d'informations de portée cosmique que certains se croient fondés à lire dans celles de la pyramide de Khéops.
Umberto Eco donne ensuite plusieurs conférences sur ses théories de la narration en littérature, Six promenades dans les bois du roman et d'ailleurs (1996), sur la traduction, Experiences in translation (2000), et sur la littérature, De la littérature (2003).
Tout au long de sa carrière, il écrit régulièrement dans des quotidiens et des hebdomadaires des chroniques sur des sujets de l'heure, avec un souci de « débusquer du sens là où on serait porté à ne voir que des faits ».
Plusieurs recueils, dont seulement certains ont été traduits, regroupent les textes les plus amusants, Pastiches et Postiches (1988) (Diario minimo, 1963) et Comment voyager avec un saumon (1998) (Il secondo diario minimo, 1992). Certains autres recueils regroupent des textes plus polémiques, Croire en quoi (1998), Cinq questions de morale (2000), Islam et occident (2002).
Parmi ses activités les moins connues, Umberto Eco est membre du Forum international de l'Unesco (1992), de l'Académie universelle des cultures de Paris (1992), de l'Académie américaine des arts et des lettres (1998) et a été nommé au conseil de la bibliothèque d'Alexandrie (2003). Il a assuré en 1992-1993 un cours à la chaire européenne du Collège de France sur le thème « La quête d'une langue parfaite dans l'histoire de la culture européenne ».
Fin octobre 2009, Umberto Eco propose l'ouvrage Vertige de la liste qui est traduit par Myriem Bouzaher. Il est récompensé la même année de la médaille d'or du Círculo de Bellas Artes.
En 2010, il était alors titulaire de près de quarante doctorats honoris causa, dont, en France, de l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris3 (1986), l'université Stendhal-Grenoble3 (1997), l'Université de Franche-Comté (2004), et l'Université Panthéon-Assas (2010).
Il est élu membre associé de l’Académie royale de Belgique (Classe des Lettres et des Sciences morales et politiques) le 7 mars 2011.
En 2015, il est couronné du Prix Alphonse-Allais pour l'ensemble de son œuvre.
Umberto Eco est mort le vendredi 19 février 2016 à l'âge de 84 ans. Son décès a déclenché une quantité d'hommage de la part, notamment, de ses lecteurs. Sur Twitter, ils ont salué la mémoire de l'auteur du "Nom de la rose" en se remémorant quelques une de ses citations les plus emblématiques, traduites dans toutes les langues.
***************************************************************************************************************************** LE NOM DE LA ROSE ABBAYE
Suite au décès de Humberto Eco qui a écrit Le Nom de la Rose voici l'Abbaye Sacra di San Michele où fut tourné le film A environ 30 kilomètres de Turin, l'abbaye Sacra di San Michele(Saint Michel) fût batie sur un pic rocheux de près de 1000m d'altitude.
Edifiée à partir du XIe siècle , le site était déja dédié au culte de Saint Michel depuis le Ve siècle. Ce monastère bénédictin fut très puissant pendant plusieurs siècles, il fut le siège de nombreuses communautés dispersées jusqu'en France et en Espagne. Après des pillages il fut abandonné en 1662. Du sommet de la colline la vaste vue porte sur la plaine du Pô et la vallée de la Doire.
Truc De Grands-Mères... Comment Faire baisser La Fièvre... Comment Faire Baisser La Fièvre ? La fièvre est le signe que votre organisme se défend naturellement contre des microbes ou des virus ; il ne faut donc pas paniquer lorsque la température corporelle augmente, car ce symptôme est tout ce qu’il y a de plus normal. On préconisera de ne pas s’inquiéter dès lors que la température se situe à moins de 38,3°C. Mais si vous vous sentez mal, il existe différents moyens simples pour aider à faire baisser votre fièvre. Ce sont des remèdes dits « de grands-mères » qui pourtant trouvent toujours leur efficacité à ce jour. Une Bonne Hydratation... La fièvre fait beaucoup transpirer, c’est pour cette raison qu’il est essentiel de beaucoup s’hydrater au moment où la température corporelle augmente. L’idéal est de boire une grande quantité de boissons chaudes, comme des infusions, du thé ou même des soupes. Si vous optez pour ces dernières, songez à mettre un peu d’ail dans la préparation, car cet ingrédient est très efficace pour éliminer les toxines. Les Infusions De Tilleul... Dans le même registre, on suggèrera de boire des infusions de tilleul, ce qui favorisera la transpiration naturelle du corps et aidera à faire tomber la fièvre. Par ailleurs, les fleurs de tilleul sont très efficaces pour diminuer les sécrétions nasales. Le Cataplasme D’eau Froide Une façon efficace de refroidir la température du corps, grâce à de l’eau froide et quelques linges en lin. Plongez-les dans l’eau, puis essorez-les et placez-les autour de vos mollets, que vous recouvrirez d’une serviette sèche par-dessus. Restez au repos durant une dizaine de minutes, le temps de laisser l’eau froide agir sur votre corps. Les Chaussettes Humides... Une idée efficace qui permet de détourner le sang vers le bas du corps, et ainsi augmenter votre circulation sanguine en période de fièvre. Faites un bain de pied dans de l’eau chaude, puis enfilez une paire de chaussettes préalablement trempées dans de l’eau froide. L’effet de cette dernière sera efficace pour faire baisser la fièvre.
une solution trouvée?
Un étui permettant de protéger la carte bancaire équipée du paiement sans
contact a été développé par les banques.
Avec des arnaques déjà recensées depuis quelque temps, la carte bancaire
équipée du paiement sans contact laisse perplexe de nombreux usagers.
Mais une solution a été trouvée pour les personnes les plus inquiètes.
Ce type de carte peut en effet facilement être piraté, avec par exemple une attaque par relais,
qui permet de détourner la communicationentre une carte et un terminal pour que les données soient
réceptionnées par un autre terminal.
L’occasion donc pour un malfaiteur ,de récupérer toutes les données bancaires.
A lire aussi : Paiement sans contact : quels sont les risques ?
Un étui qui bloque les ondes
Mais comment s’en protéger ? A en croire le site spécialisé 01net.com, les banques ont prévu depuis quelques mois des étuis anti-NFC, cette technologie qui permet d’établir une connexion entre deux appareils à une courte distance et utilisée sur ces
cartes bancaires.
"C'est efficace. Cela revient à loger la carte bancaire dans une cage Faraday qui bloque les ondes. En revanche, on
n'est pas protégé au moment du paiement, car il faut alors sortir la carte de l'étui", explique Nicolas Kerschenbaum, expert en sécurité chez Lexsi, interrogé par 01net.com.
Ne reste plus qu’à se renseigner auprès de votre établissement bancaire afin de savoir s’il a prévu ce type d’étui et s’il est possible
d’en obtenir un.
PERSO J'AI DEMANDÉ À LA BANQUE,DÉS LE DÉBUT,DE SUPPRIMER CETTE "FACILITÉ".
Emmanuel Guimard / Correspondant à Nantes |Le 20/02 à 14:04
L’«?Harmony of the Seas mesure?362 mètres de long et culmine à 72 mètres de hauteur.
- Jean-Sébastien Evrard/AFP
Chez STX France, c’est le sprint final pour 3.000 salariés. L’«?Harmony of the
Seas?», navire de tous les superlatifs, doit être livré le 12 mai à
l’américain RCCL.C’est l’effervescence à bord de l’«?Harmony of the Seas?».
Il ne reste plus que douze semaines pour achever le plus
gros paquebot du monde, un colosse de 362 mètres de long avec ses 16
ponts passagers culminant à 72 mètres de hauteur, et ses 227.000
tonneaux de jauge brute, 71.000 de plus que le «?Queen Mary 2?». Basé à
Barcelone, le paquebot embarquera 5.479 passagers et 2.394 membres
d’équipage pour des croisières en Méditerranée et aux Antilles. Commandé
le 27 décembre 2012 pour environ 1 milliard d’euros, L’Harmony sera
remis le 12 mai à son armateur, le groupe américain Royal Carribbean
Cruise Line (RCCL).
« Près de 95 % du travail est fait »Pour l’heure, ils sont près de 3.000 à bord, décorateurs,
menuisiers, électriciens… On entend toutes les langues sur cette Babel flottante.
Certains salons arborent déjà leurs couleurs chatoyantes, moquettes
épaisses, lumières, miroirs et dorures dans une ambiance très « Las
Vegas ». Les affiches de comédies musicales sont posées à l’entrée d’un
théâtre de 1.400 places. Les esplanades « Central Park » ou « Royal
promenade », longue de 110 mètres, prennent forme. Déjà, la
quasi-totalité des 2.747 cabines sont installées, et meublées. Dans
d’autres endroits, on voit encore la tôle à nu, des fils et les
canalisations. Le profane pourrait s’effrayer du travail qui reste à accomplir.
« Près de 95 % du travail est fait », rassure Jean-Yves Péan, le chargé d’affaires de STX pour ce navire.
Tendance au gigantisme« Il reste quelques centaines de milliers d’heures de travail sur 10 millions »,
mentionne Laurent Castaing, le directeur général de STX France, qui admet que la finition du géant
fait transpirer ses équipes. Si l’«?Harmony?» est le troisième navire de la série Oasis, le navire est à
bien des égards un prototype. « On a tout redessiné, explique Laurent Castaing. Nous avons amélioré de 20 %
la performance énergétiqueavec de nombreux systèmes de récupération de l’énergie, ce qui
complexifie la machine. Il a fallu corriger la carène, les hélices, poursuit le dirigeant. Il a fallu installer des systèmes
de lavage des fumées, des scrubbers, dans les espaces existants. » Qui plus est, l’armateur n’a pas manqué d’idées
pour modifier le navire au cours du chantier. Pas moins de 250 modifications ont été demandées dont
l’Ultimate Abyss, un toboggan permettant de passer du sommet au pont 6, soit dix étages de glissade.
Verra-t-on un jour des navires plus grands encore ? « On constate une tendance à l’augmentation de la taille et nous
l’anticipons, note Laurent Castaing. On a déjà fait ici, à Saint-Nazaire, des navires de 500.000 tonnes, il s’agissait de pétroliers.
On se repose aujourd’hui la question de savoircomment on les construisait. »
A voir aussi
> DIAPORAMA Le «?Harmony of the Seas?», nouveau géant de la croisière
Le four d’Odeillo est une référence mondiale dans le domaine de l’énergie solaire
l’environnement et l’écologie depuis quelques années. De plus en plus,
les gouvernements essaient de trouver des alternatives à l’énergie
nucléaire, qui fournit beaucoup d’énergie tout en étant néfaste pour
l’environnement. Il existe une source d’énergie colossale que certains
scientifiques ont rapidement cherché à exploiter : le soleil. C’est le
cas du four solaire d’Odeillo, basé en France. SooCurious vous présente
ce lieu à la pointe de la recherche énergétique.
Situé dans le Sud de la France dans la commune de Font-Romeu-Odeillo-Via
(Cerdagne), le four solaire d’Odeillo est l’un des symboles mondiaux de
l’énergie solaire. Il est, avec le four solaire de Parkent
(Ouzbékistan), l’un des deux plus grands de ce type. Il est haut de 54 m
et large de 48. Le site comprend 63 héliostats (des miroirs
réfléchissants). Le four a été implanté dans cette commune du
Languedoc-Roussillon pour plusieurs raisons.
(près de 2 750 heures d’ensoleillement par an). D’autre part,
l’atmosphère y est très pure, étant donné que l’altitude est élevée et
que la zone est très peu humide. On trouve d’ailleurs dans le même
secteur, le four solaire de Mont-Louis et la centrale solaire THEMIS (à
Targassonne). Ici, les travaux sont nombreux, mais ils tournent tous
autour de l’utilisation de l’énergie solaire. Le fonctionnement en
lui-même est d’ailleurs très intéressant.
Pour faire simple, le four solaire d’Odeillo utilise des miroirs orientables réfléchissants (héliostats) qui servent à concentrer les rayons du soleil. Ces rayons sont captés
par une première série de miroirs en pente, puis envoyés vers une
deuxième série de miroirs (« les concentrateurs ») disposés en parabole.
Une fois que cette étape est passée, les rayons convergent vers une
cible circulaire (d’à peine 40 cm de diamètre) placée au sommet d’une tour.
quelques secondes des températures supérieures à 3 500 °C. De plus,
l’énergie produite est entièrement gratuite et non polluante, ce qui est
l’intérêt majeur de ce procédé. D’un point de vue plus scientifique, il
permet d’obtenir des changements brusques de température, ce qui donne
des indications sur les chocs thermiques. Par ailleurs, le procédé ne
génère aucun élément contaminant (gaz de combustion, pollution, etc.)
puisque seul l’objet à étudier est chauffé par des rayons. Si le procédé
employé a de l’avenir, il n’est pas si récent que cela.
Le four d’Odeillo est mis en service depuis 1970, mais le procédé est plus
ancien. Une première expérience a été réalisée en 1946, par le chimiste
français Félix Trombe. Entouré d’une équipe à Meudon, il a utilisé un
miroir de DCA dans un environnement très pur afin de démontrer que la
lumière solaire concentrée permet d’atteindre des températures très
élevées en peu de temps. Au départ, l’idée était de faire fondre du
minerai pour en extraire des matériaux très purs.
construit en 1949. Puis quelques années après, un four plus grand fut
construit à Odeillo pendant six ans. Les chercheurs ont vite orienté
leurs travaux vers la conversion de l’énergie solaire en électricité.
Aujourd’hui, le site est davantage orienté vers la recherche concernant
l’énergie et l’environnement. En plus du travail sur les matériaux, les
chercheurs reprennent les recherches sur la production d’électricité et
sur l’extraction d’hydrogène par voie solaire.
dans la recherche sur les énergies propres. En plus d’être inscrit au
titre des monuments historiques depuis mai 2009, le site est labellisé « Patrimoine du 20e siècle ».
Le public peut visiter depuis 1990 un centre d’information sur l’énergie solaire basé sur le site (« Héliodyssée »).
La peau de bébé est très fine et de fait, particulièrement fragile. C’est
pourquoi son soin nécessite une attention toute particulière qui doit
privilégier les produits sans additif chimique. Et pourtant, il est de
plus en plus difficile de trouver des produits sans parfum et autres
composants agressifs pour la peau. Le groupe WECF (Women in Europe for a
Common Future) a sonné l’alarme en étudiant la composition de 341
produits pour bébés qu’elle a passés au crible.
L’ONG a étudié la composition de 341 produits – tels que les laits de
toilette, les lotions, les shampoings, les produits de bain, les
lingettes, les eaux nettoyantes ou encore les protections solaires –
vendus en France dans les pharmacies, parapharmacies, supermarchés et
magasins biologiques.
Elle s’est basée sur des études scientifiques et des évaluations des autorités sanitaires de l’Union européenne (le SCCS : Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs) et françaises (l’ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament).
L’organisation a ainsi classé les ingrédients affichés sur les étiquettes en trois
catégories : « risque élevé », « risque modéré » et « risque faible ou non identifié ».
Les produits cosmétiques pour bébé via Shutterstock
Et le résultat de l’enquête est pour le moins préoccupant : 87 % des
produits étudiés appartiennent à la catégorie « risque élevé », soit 299
produits sur 341. Dans les détails, l’étude révèle que19 produits, dont
7 lingettes, contiennent un allergène par contact (la méthylisothiazolinone ou MIT) ; qu’un conservateur soupçonné d’être toxique pour la reproduction, lephenoxyethanol, est utilisé dans 54 produits, dont 26 lingettes ; et enfin, le parfum, qui
peut impliquer des risques d’allergie, a été utilisé sur 226 des
produits.
L’étude a révélé que 181 des produits analysés sont composés d’ingrédients à « risque modéré ». Parmi ces ingrédients, de l’EDTA, un acide potentiellement toxique, se trouve dans 87 produits dont 30 lingettes. Des composés de sulfate (Laureth sulfate de sodium), des agents moussants qui peuvent être irritants, sont présents dans 50
produits, pour la majorité des produits de bain ainsi que des shampoings.
Les produits cosmétiques pour bébé via Shutterstock
Des huiles minérales et des produits issus de la chimie du pétrole, qui
pourraient être contaminés par des impuretés, ont été trouvés dans 30
produits (une majorité de lotions, d’huiles et de crèmes). Enfin, des nanoparticules, dont les effets n’ont pas été suffisamment évalués, ont été utilisés dans 14 produits de protection solaire.
A l’issue de cette étude, le groupe WECF, qui constitue un réseau de 150 organisations environnementales et
féminines dans 50pays, demande l’interdiction des trois ingrédients à
risque élevé dans tous les cosmétiques destinés aux enfants de moins de trois ans.
De quoi rendre les parents encore plus précautionneux… On remercie la WECF qui a levé le voile sur les dangers des cosmétiques
Abul Bajandar avait été admis le mois dernier en vue de l'opération visant à
couper les excroissances pesant au moins cinq kilogrammes qui lui
couvraient les mains et les pieds.
Photo Munir Uz Zaman, Archives AFP Agence France-Presse Dacca
Un Bangladais surnommé « l'homme-arbre » pour ses verrues impressionnantes
aux allures d'écorce sur les mains et les pieds a été opéré samedi avec
succès pour le débarrasser de certaines des excroissances, a annoncé
l'hôpital.
Il a fallu trois heures et demie à une équipe de neuf médecins pour
retirer les excroissances géantes de la main droite d'Abul Bajandar au
Dhaka Medical College Hospital à Dacca, a déclaré à l'AFP le directeur
de l'établissement, Samanta Lal Sen.
Le père de famille de 26 ans avait été admis le mois dernier en vue de
l'opération visant à couper les excroissances pesant au moins cinq
kilogrammes qui lui couvraient les mains et les pieds.
« L'opération a réussi. Nous avons enlevé les excroissances des cinq doigts de la
main droite. Il est heureux et il riait », a ajouté le responsable.
« Nous allons à présent observer son état pendant les trois prochains mois
avant de décider s'il faut procéder à de nouvelles opérations. C'est un
grand défi », a-t-il encore dit.
Les grosses verrues, qu'Abul Bajandar a vu apparaître à l'adolescence mais
qui ont commencé à s'étendre plus rapidement il y a quatre ans, ont été
diagnostiquées comme un cas d'épidermodysplasie verruciforme, une
maladie de peau génétique rarissime qui peut prendre la forme
d'excroissances de peau.
« On l'appelle communément la maladie de l'homme-arbre », avait expliqué à l'AFP Samanta Lal Sen.
Le gouvernement du Bangladesh a pris en charge les coûts de l'opération et
la première ministre, Sheikh Hasina, a été informée de son état après
l'opération.
L'épouse de « l'homme-arbre », Halima Khatun, qui l'a vu après l'opération a déclaré qu'il semblait « détendu et heureux ».
Le directeur de l'hôpital a indiqué qu'il y avait trois cas connus dans le
monde d'épidermodysplasie verruciforme, dont un seul au Bangladesh.
Un villageois indonésien avec d'énormes verrues sur tout le corps avait
subi une série d'opérations en 2008 pour en être débarrassé.
CERTAINEMENT QUE BEAUCOUPS CONNAISSENT CET ECRIVAIN ITALIEN DANS DES ECRITS ASSEZ
PARTICULIERS ET SURTOUT D'AUTRES A TRAVERS LE CINEMA ET QUE DIRE DU
FILM AU NOM DELA ROSE , GRAND MOMENT DU CINEMA REALISE PAR JEAN JACQUES
ANNAUD,ET BIEN ENTENDU LE ROMAN : LE PENDULE DE FOUCAULT.
EN VERITE JE VOUS L'AVOUE, JE N'EN CONNAIS PAS PLUS
ON DISAIT DE LUI QU'IL ETAIT LE PLUS LETTRE DES REVEURS
LE TEMPS DES REVES EST VENU POUR UMBERTO , ET LE REPOS POUR TOUJOURS ?CE
QUI NE L'INTERDIRA PAS D'ECRIRE ENCORE SI CELA LE DEMANGE
AMITIE A SA FAMILLE ET A L'ITALIE
Umberto Eco, né le 5 janvier 1932 à Alexandrie dans le Piémont (Italie) et mort
le 19 février 2016, est un universitaire, érudit et romancier italien.
Reconnu pour ses nombreux essais universitaires sur la sémiotique,
l’esthétique médiévale, la communication de masse, la linguistique et la
philosophie, il est surtout connu du grand public pour ses œuvres
romanesques.
Titulaire de la chaire de sémiotique et directeur de l’École supérieure des sciences
humaines à l’université de Bologne, il en est professeur émérite depuis
2008.
LE PENDULE DE FOUCAULT
DU PEINTRE DAVID LEFEBVRE
Diplômé en philosophie en 1954 à l'université de Turin (avec une thèse sur
Thomas d'Aquin), il s'intéresse dans un premier temps à la scolastique
médiévale (Sviluppo dell'estetica medievale, 1959), puis à l'art
d'avant-garde (L'Œuvre ouverte, 1962) et à la culture populaire
contemporaine (Apocalittici e integrati, 1964). Il rencontre un succès
immédiat en Italie.
Devenu ensuite un pionnier des recherches en sémiotique (La Structure absente,
1968, Trattato di semiotica generale, 1975), il développe une théorie
de la réception (Lector in fabula, Le rôle du Lecteur) qui le place
parmi les penseurs européens les plus importants de la fin du XXe
siècle.
Son premier roman, Le Nom de la rose (1980) connaît un succès mondial avec 17 millions
d'exemplaires vendus à ce jour[Quand ?] et des traductions en vingt-six
langues, malgré un contenu dense et ardu. Umberto Eco met en application
dans ce « policier médiéval » ses concepts sémiologiques et ses
théories du langage, ceux-là mêmes qu'il enseigne à Turin. En 2002, le
quotidien La Repubblica le vend comme supplément au journal (tirage
spécial à cette occasion : 2 millions d'exemplaires).
Son deuxième roman, Le Pendule de Foucault (1988) connaît également un
énorme succès, quoique pour des raisons inverses : le public, guidé par
Eco, part à la découverte de symboles énigmatiques ou prophétiques, à
rebours de la dénonciation de l'ésotérisme qui est pourtant le propos de
l'auteur, mais celui-ci démontre par la même occasion que le lecteur
est libre de ses interprétations (théorie qu'Eco continue de développer
dans ses œuvres théoriques sur la réception, Les Limites de
l'interprétation en 1990). Le livre tourne d'ailleurs en ridicule
l'interprétation à outrance des faits avérés ou légendaires de
l'histoire, en tirant avec un égal succès des dimensions d'un simple
kiosque à journaux le même genre d'informations de portée cosmique que
certains se croient fondés à lire dans celles de la pyramide de Khéops.
Umberto Eco donne ensuite plusieurs conférences sur ses théories de la
narration en littérature, Six promenades dans les bois du roman et
d'ailleurs (1996), sur la traduction, Experiences in translation (2000),
et sur la littérature, De la littérature (2003).
Tout au long de sa carrière, il écrit régulièrement dans des quotidiens et
des hebdomadaires des chroniques sur des sujets de l'heure, avec un
souci de « débusquer du sens là où on serait porté à ne voir que des
faits ».
Plusieurs recueils, dont seulement certains ont été traduits, regroupent les
textes les plus amusants, Pastiches et Postiches (1988) (Diario minimo,
1963) et Comment voyager avec un saumon (1998) (Il secondo diario
minimo, 1992). Certains autres recueils regroupent des textes plus
polémiques, Croire en quoi (1998), Cinq questions de morale (2000),
Islam et occident (2002).
Parmi ses activités les moins connues, Umberto Eco est membre du Forum
international de l'Unesco (1992), de l'Académie universelle des cultures
de Paris (1992), de l'Académie américaine des arts et des lettres
(1998) et a été nommé au conseil de la bibliothèque d'Alexandrie (2003).
Il a assuré en 1992-1993 un cours à la chaire européenne du Collège de
France sur le thème « La quête d'une langue parfaite dans l'histoire de
la culture européenne ».
Fin octobre 2009, Umberto Eco propose l'ouvrage Vertige de la liste qui est
traduit par Myriem Bouzaher. Il est récompensé la même année de la
médaille d'or du Círculo de Bellas Artes.
En 2010, il était alors titulaire de près de quarante doctorats honoris
causa, dont, en France, de l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris3
(1986), l'université Stendhal-Grenoble3 (1997), l'Université de
Franche-Comté (2004), et l'Université Panthéon-Assas (2010).
Il est élu membre associé de l’Académie royale de Belgique (Classe des
Lettres et des Sciences morales et politiques) le 7 mars 2011.
En 2015, il est couronné du Prix Alphonse-Allais pour l'ensemble de son œuvre.
Umberto Eco est mort le vendredi 19 février 2016 à l'âge de 84 ans. Son décès a
déclenché une quantité d'hommage de la part, notamment, de ses
lecteurs. Sur Twitter, ils ont salué la mémoire de l'auteur du "Nom de
la rose" en se remémorant quelques une de ses citations les plus
emblématiques, traduites dans toutes les langues.
*****************************************************************************************************************************
LE NOM DE LA ROSE ABBAYE
Suite au décès de Humberto Eco qui a écrit Le Nom de la Rose voici l'Abbaye Sacra di San Michele où fut tourné le film
A environ 30 kilomètres de Turin, l'abbaye Sacra di San Michele(Saint Michel) fût batie sur un pic rocheux de près de 1000m d'altitude.
Edifiée à partir du XIe siècle , le site était déja dédié au culte de Saint Michel depuis le Ve siècle.
Ce monastère bénédictin fut très puissant pendant plusieurs siècles, il fut le siège de nombreuses communautés dispersées jusqu'en France et en Espagne.
Après des pillages il fut abandonné en 1662.
Du sommet de la colline la vaste vue porte sur la plaine du Pô et la vallée de la Doire.
ARTISTE KAI ET SUNNY
IMAGE COMPLETEMENT INCROYABLE
realise le 16 octobre 1846 apr villiam t.g.morton à l'hopital de boston,en utilisant de l'ether
Comment Faire baisser La Fièvre...
Comment Faire Baisser La Fièvre ?
La fièvre est le signe que votre organisme se défend naturellement contre
des microbes ou des virus ; il ne faut donc pas paniquer lorsque la
température corporelle augmente, car ce symptôme est tout ce qu’il y a
de plus normal.
On préconisera de ne pas s’inquiéter dès lors que la température se situe à
moins de 38,3°C. Mais si vous vous sentez mal, il existe différents
moyens simples pour aider à faire baisser votre fièvre. Ce sont des
remèdes dits « de grands-mères » qui pourtant trouvent toujours leur
efficacité à ce jour.
Une Bonne Hydratation...
La fièvre fait beaucoup transpirer, c’est pour cette raison qu’il est
essentiel de beaucoup s’hydrater au moment où la température corporelle
augmente. L’idéal est de boire une grande quantité de boissons chaudes,
comme des infusions, du thé ou même des soupes. Si vous optez pour ces
dernières, songez à mettre un peu d’ail dans la préparation, car cet
ingrédient est très efficace pour éliminer les toxines.
Les Infusions De Tilleul...
Dans le même registre, on suggèrera de boire des infusions de tilleul,
ce qui favorisera la transpiration naturelle du corps et aidera à faire
tomber la fièvre. Par ailleurs, les fleurs de tilleul sont très
efficaces pour diminuer les sécrétions nasales.
Le Cataplasme D’eau Froide
Une façon efficace de refroidir la température du corps, grâce à de l’eau
froide et quelques linges en lin. Plongez-les dans l’eau, puis
essorez-les et placez-les autour de vos mollets, que vous recouvrirez
d’une serviette sèche par-dessus. Restez au repos durant une dizaine de
minutes, le temps de laisser l’eau froide agir sur votre corps.
Les Chaussettes Humides...
Une idée efficace qui permet de détourner le sang vers le bas du corps, et
ainsi augmenter votre circulation sanguine en période de fièvre. Faites
un bain de pied dans de l’eau chaude, puis enfilez une paire de
chaussettes préalablement trempées dans de l’eau froide. L’effet de
cette dernière sera efficace pour faire baisser la fièvre.