De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
24/02/2016 - 08:06
Aventurez-vous dans l’antre de la cathédrale de marbre.
Ce joyau de la nature chilienne à la beauté envoûtante   
 
L’homme ne se lassera jamais d’admirer la beauté de la Terre et de ses nombreux
paysages. Il est difficile de recenser le nombre de merveilles
naturelles présentes dans le monde. Le Chili en abrite quelques-unes,
dont l’incroyable cathédrale de marbre, cette formation sculptée par
l’érosion faisant partie du lac General Carrera (ou lac Buenos Aires)
situé entre le Chili et l’Argentine. SooCurious vous présente ce lieu
hors du commun. 

C’est à la frontière entre l’Argentine et le Chili (Patagonie du Sud) que se
trouve le lac General Carrera (ou lac Buenos Aires). Cette grande
étendue d’eau a une superficie de 1 850 km2 et est de type glaciaire.
Son altitude s’élève à 202 mètres et sa profondeur atteint jusqu’à 590
mètres. Ce lac est le plus grand du Chili et le quatrième plus grand
d’Argentine. De fait, sa superficie est comparable à celle du département de l’Essonne,
ce qui en fait le deuxième plus grand lac d’Amérique du Sud, après le
lac Titicaca au Pérou. Le lac est célèbre pour deux choses : c’est un
endroit prisé par les pêcheurs (les eaux sont très poissonneuses) et il
abrite la cathédrale de marbre, une formation géologique aussi belle
qu’étonnante.
 
Cette grotte taillée dans le marbre (calcaire métamorphisé) date du Paléozoïque et
attire chaque année de nombreux visiteurs. Il est fascinant de sillonner dans les multiples
grottes sculptées par le lac alentour. La lumière s’y engouffre et se reflète grâce à l’eau. Les
grottes appelées « Catedral de Marmol », « Capilla de Marmol » ou
« Caverna de Marmol » (tantôt cathédrale, chapelle ou caverne de marbre)
sont visitables à bord de petits bateaux.Il est assez fascinant de voir que cette formation naturelle ressemble par
sa forme ciselée à ce que les hommes ont pu construire. Ces colonnes de
marbre sont semblables à celles qu’utilisèrent les hommes pour
construire des édifices religieux. La cathédrale de marbre, cet îlot
rocheux, est une alternance de crêtes de calcaire et d’écailles de
marbre.


La cathédrale de marbre au Chili via Shutterstock
Le rocher du lac Carrera via Shutterstock
La cathédrale et ses voûtes de marbre via Shutterstock
La cathédrale vue de l’intérieur via Shutterstock
La grotte de l’intérieur via Shutterstock
La cathédrale rocheuse de l’intérieur via Shutterstock
Les motifs mystérieux dans le marbre via Shutterstock
La grotte et ses cavités intérieures via Shutterstock

La visite du lac et de la fameuse cathédrale de marbre vaut réellement le
détour. Le spectacle offert par ces multiples grottes laissant entrer la
lumière et entourées d’une eau turquoise est un ravissement constant.
Les touristes ne s’y trompent pas puisqu’ils viennent en masse à bord de
petits bateaux pour visiter ce site aussi majestueux qu’une chapelle sacrée. 

24/02/2016 - 08:01
Ces lettres bouleversantes témoignent de l’enfer
vécu par les Poilus durant l’abominable bataille de Verdun   

 
La Première Guerre mondiale (1914-1918) fut une guerre totale qui mobilisa
toutes les ressources du pays : économiques, matérielles et humaines.
La bataille de Verdun, qui opposait les troupes françaises et
allemandes, est l’une des plus longues et dévastatrices de la Grande
Guerre. Pendant 300 jours, 1,1 million de soldats français, les Poilus,
ont vécu l’enfer des tranchées. Les lettres des soldats nous font
plonger avec émotion dans la dure réalité de cette longue bataille sans
merci. 
Le 21 février 2016 marque les 100 ans du triste anniversaire de la bataille
de Verdun, donnant ainsi lieu à plusieurs commémorations émouvantes.
Pour l’historien Guy Pedroncini, « Verdun est le symbole et le sommet de
la Grande Guerre. C’est sans doute le seul nom qui survivra à l’oubli
des siècles ».
 
Du 21 février 1916 au 18 décembre 1916, la commune française de Verdun a été
le théâtre des batailles les plus inhumaines auxquelles l’homme se soit
livré, 80 % des pertes humaines étant causées par l’artillerie.

Les chiffres sont massifs : pendant ces 10 mois, plus de 2,3millions de
soldats occupent les tranchées et s’affrontent sans répit, laissant
derrière eux 300 000 morts. Dès le premier jour, 1 million d’obus
s’écrasent sur le sol. S’ensuivront une cinquantaine de millions d’obus
qui dévasteront des champs et des villages entiers. Les soldats
découvrent l’enfer.Voici quelques-unes des touchantes lettres qui ont été rédigées au coeur de l’horreur.
 
Charles Guinant, 18 mars 1916, Verdun :
« Ma chérie,
Je t’écris pour te dire que je ne reviendrai pas de la guerre. S’il te
plaît, ne pleure pas, sois forte. Le dernier assaut m’a coûté mon pied
gauche et ma blessure s’est infectée. Les médecins disent qu’il ne me
reste que quelques jours à vivre. Quand cette lettre te parviendra, je
serai peut-être déjà mort. Je vais te raconter comment j’ai été blessé.
Il y a trois jours, nos généraux nous ont ordonné d’attaquer.
Ce fut une boucherie absolument inutile.
Au début, nous étions vingt mille. Après avoir passé les barbelés, nous
n’étions plus que quinze mille environ. C’est à ce moment-là que je fus
touché. Un obus tomba pas très loin de moi et un morceau m’arracha le
pied gauche. Je perdis connaissance et je ne me réveillai qu’un jour
plus tard, dans une tente d’infirmerie. Plus tard, j’appris que parmi
les vingt mille soldats qui étaient partis à l’assaut, seuls cinq mille
avaient pu survivre grâce à un repli demandé par le Général Pétain.
Dans ta dernière lettre, tu m’as dit que tu étais enceinte depuis ma
permission d’il y a deux mois. Quand notre enfant naîtra, tu lui diras
que son père est mort en héros pour la France. Et surtout, fais en sorte
à ce qu’il n’aille jamais dans l’armée pour qu’il ne meure pas bêtement
comme moi.
Je t’aime, j’espère qu’on se reverra dans un autre monde, je te remercie
pour tous les merveilleux moments que tu m’as fait passer, je t’aimerai toujours.
Adieu »
 
Charles Guinant, 18 octobre 1917, Verdun :
 
« Ma très chère Louise,
 
J’ai quitté les tranchées hier au soir vers 23h, maintenant je suis au chaud
et au sec à l’hôpital, j’ai à peu près ce qu’il faut pour manger.
Hier, vers 19h, on a reçu l’ordre de lancer une offensive sur la tranchée
ennemie à un peu plus d’un kilomètre. Pour arriver là-bas, c’est le
parcours du combattant, il faut éviter les obus, les balles allemandes
et les barbelés. Lorsqu’on avance, il n’y a plus de peur, plus d’amour,
plus de sens, plus rien. On doit courir, tirer et avancer. Les cadavres
tombent, criant de douleur. C’est tellement difficile de penser à tout
que l’on peut laisser passer quelque chose, c’est ce qui m’est arrivé.
A cent mètres environ de la tranchée Boche, un obus éclata à une dizaine
de mètres de moi et un éclat vint s’ancrer dans ma cuisse gauche, je
poussai un grand cri de douleur et tombai sur le sol. Plus tard, les
médecins et infirmiers vinrent me chercher pour m’emmener à l’hôpital,
aménagé dans une ancienne église bombardée. L’hôpital est surchargé, il y
a vingt blessés pour un médecin. On m’a allongé sur un lit, et depuis
j’attends les soins.
Embrasse tendrement les gosses et je t’embrasse.
 
Soldat Charles Guinant, brigadier, 58e régiment.
 
P.S. : J’ai reçu ton colis ce matin, cela m’a fait plaisir, surtout le pâté
et la viande. Si tu peux m’en refaire, j’y goûterai avec plaisir. »
 
 
René Pigeard, datée du 27 août 1916, mais probablement écrite le 27 avril* :

« Cher papa,
Dans la lettre que j’ai écrite à maman, je lui disais tout notre bonheur à
nous retrouver « nous-mêmes » après s’être vus, si peu de chose… à la
merci d’un morceau de métal !… Pense donc que se retrouver ainsi à la
vie c’est presque de la folie : être des heures sans entendre un
sifflement d’obus au-dessus de sa tête… Pouvoir s’étendre tout son long,
sur de la paille même… Avoir de l’eau propre à boire après s’être vus,
comme des fauves, une dizaine autour d’un trou d’obus à nous disputer un
quart d’eau croupie, vaseuse et sale, pouvoir manger quelque chose de
chaud à sa suffi­sance, quelque chose où il n’y a pas de terre dedans,
quand encore nous avions quelque chose à manger…
Pou­voir se débarbouiller, pouvoir se déchausser, pouvoir dire bonjour à ceux qui
restent… Comprends-tu, tout ce bon­heur d’un coup, c’est trop. J’ai été
une journée complète­ment abruti. Naturellement toute relève se fait de
nuit, alors comprends aussi cette impression d’avoir quitté un ancien
petit bois où il ne reste pas un arbre vivant, pas un arbre qui ait
encore trois branches, et le matin suivant après deux ou trois heures de
repos tout enfiévré voir soudain une rangée de marronniers tout verts,
pleins de vie, pleins de sève, voir enfin quelque chose qui crée au lieu
de voir quelque chose qui détruit !
Pense que de chaque côté des lignes, sur une largeur de un kilomètre,
il ne reste pas un brin de verdure ; mais une terre grise de poudre, sans cesse retournée
par les obus : des blocs de pierre cassés, émiettés, des troncs déchiquetés, des
débris de maçonnerie qui laissent supposer qu’il y a eu là une
construction, qu’il y a eu des « hommes »… Je croyais avoir tout vu à
Neuville. Eh bien non, c’était une illusion. Là-bas, c’était encore de
la guerre : on entendait des coups de fusil, des mitrailleuses, mais ici
rien que des obus, des obus, rien que cela. Fuis des tranchées que l’on
se bouleverse mutuellement, des lambeaux de chair qui volent en l’air,
du sang qui éclabousse… Tu vas croire que j’exagère, non. C’est encore
en dessous de la vérité. On se demande comment il se peut que l’on
laisse se produire de pareilles choses. Je ne devrais peut-être pas
décrire ces atrocités, mais il faut qu’on sache, on ignore la vérité
trop brutale. Et dire qu’il y a vingt siècles que Jésus-Christ prêchait
sur la bonté des hommes ! Qu’il y a des gens qui implorent la bonté
divine ! Mais qu’ils se rendent compte de sa puissance et qu’ils la
comparent à la puissance d’un 380 boche ou d’un 270 français …
Pauvres que nous som­mes ! P.P.N.
Nous tenons cependant, c’est admirable. Mais ce qui dépasse l’imagination,
c’est que les Boches attaquent encore. Il faut avouer que jamais on aura vu
une pareille obstination dans le sacrifice inutile : quand par hasard ils gagnent un bout de
terrain ils savent ce que ça leur coûte et encore ne le conservent-ils pas souvent.
J’espère aller bientôt vous revoir et on boira encore un beau coup de pinard à la santé
de ton poilu qui t’embrasse bien fort. »
*En effet, ce courrier fut certainement écrit le 27 avril 1916 au moment où la compagnie de René Pigeard retrouvait l’arrière après
plusieurs jours de terribles bombardements près des retranchements R1,
R2 (fort de Vaux, près de Verdun). Le 27 avril, la 10e Compagnie se trouve probablement à Belleray au sud de Verdun.

 
Eugène Bouin, mai 1916, Verdun :
« Ma chère femme,
Tu ne peux pas imaginer le paysage qui nous environne, plus aucune
végétation, ni même une ruine ; ici et là, un moignon de tronc d’arbre
se dresse tragiquement sur le sol criblé par des milliers et des
milliers de trous d’obus qui se touchent. Plus de tranchées ni de boyaux
pour se repérer […]. Entre nous et les Allemands, pas de réseaux de
barbelés, tout est pulvérisé au fur et à mesure de la canonnade. Mais
plus active que le bombardement, pire que le manque de ravitaillement,
c’est l’odeur qui traîne, lourde et pestilentielle, qui te serre les
tripes, te soulève le cœur, t’empêche de manger et même de boire. Nous
vivons sur un immense charnier où seuls d’immondes mouches gorgées de
sang et de gros rats luisants de graisse ont l’air de se complaire :
tout est empuanti par les cadavres en décomposition, les déchets humains
de toutes sortes, les poussières des explosifs et les nappes de gaz. »
 
Pierre, 22 septembre 1916, Verdun :
« Ma chère Édith,
La vie ici est très dure. Dans les tranchées, l’odeur de la mort règne.
Les rats nous envahissent, les parasites nous rongent la peau ; nous
vivons dans la boue, elle nous envahit, nous ralentit et arrache nos
grolles. Le froid se rajoute à ces supplices. Ce vent glacial qui nous
gèle les os, il nous poursuit chaque jour. La nuit, il nous est
impossible de dormir. Être prêt, à chaque instant, prêt à attaquer, prêt
à tuer. Tuer, ceci est le maître-mot de notre histoire. Ils nous
répètent qu’il faut tuer pour survivre, je dirais plutôt vivre pour
tuer. C’est comme cela que je vis chaque minute de cet enfer. Sans
hygiène. Sans repos. Sans joie. Sans vie.
Cela n’est rien comparé au trou morbide où ils nous envoient. Sur le champ
de bataille, on ne trouve que des cadavres, des pauvres soldats
pourrissant sur la terre imprégnée de sang. Les obus, les mines,
détruisent tout sur leur passage. Arbres, maisons, et le peu de
végétation qu’il reste. Tout est en ruine. L’odeur des charniers, le
bruit des canons, les cris des soldats… L’atmosphère qui règne sur ce
champ de carnage terroriserait un gosse pour toute sa vie. Elle nous
terrorise déjà.
Lundi, je suis monté au front. Ils m’ont touché à la jambe. Je t’écris cette lettre alors que je
devrais être aux côtés des autres, à me battre pour ma patrie. Notre
patrie, elle ne nous aide pas vraiment. Ils nous envoient massacrer des
hommes, alors qu’eux, ils restent assis dans leurs bureaux ; mais en
réalité, je suis sur qu’ils sont morts de peur.
Ah ! Ce que j’aimerais recevoir une lettre. Cette lettre, celle qu’on
attend tous, pouvoir revenir en perme. Ce que j’aimerais te revoir, ma
chère épouse ! Retrouver un peu de confort, passer du temps avec notre
petit garçon… Est-ce que tout le monde va bien ? Ne pensez pas à toutes
ces horreurs. Je ne veux pas que vous subissiez cela par ma faute.
Prends bien soin de toi, de notre fils, et de mes parents. Et, même si
je ne reviens pas, je veillerai toujours sur toi. Je pense à vous tous
les jours, et la seule force qui me permet encore de survivre, c’est de
savoir que j’ai une famille qui m’attend, à la maison.
J’espère être à vos côtés très prochainement, à bientôt ma belle Édith, je t’aime.Pierre »
 
Pierre, 26 novembre 1916, Verdun :
« Ma bien-aimée,
Je n’ai pas eu beaucoup d’occasion pour vous écrire depuis mon retour sur
le front mais si je vous écris en ce jour c’est pour vous expliquer la
dureté et la violence de cette guerre. La bataille de Verdun est la pire
que j’ai connue, non seulement physiquement car nous sommes restés huit
jours sans dormir mais aussi mentalement : la puanteur des cadavres est
devenue insupportable et je ne souhaite à personne de voir ce que j’ai
pu voir ; nos amis, nos pères, nos frères, ils sont morts sous nos yeux
et il n’y a pas de mot pour décrire cela. Les maisons, les écoles, les
églises, il ne reste plus rien, tout a été ravagé, saccagé par les
marmites, les arbres aussi sont maintenant inexistants. Il n’y a en fait
plus aucune vie à cet endroit car tuer des êtres humains ce n’est pas
une vie…
S’ajoutent à cela, la boue, le froid, la pluie et malheureusement nos compagnons
allongés sur le sol…
Il devient impossible de marcher dans notre nouvelle et peut-être
dernière « demeure »… Il faut lutter pour survivre, prier pour que les
rats ne mangent pas le peu de pain que l’on peut avoir, que les poux
n’envahissent pas notre corps ou encore que la boue ne s’incruste pas
dans le petit bol de soupe que l’on a. Le plus dur à supporter je pense
est le froid ; le manque de chaleur est irremplaçable, les couvertures
que l’on peut nous donner sont grignotées par les rats. L’hygiène est
aussi déplorable, si vous saviez ce que je donnerais pour prendre une
douche ! Il faut aussi que l’on porte des masques à gaz, j’ai entendu
dire que les civils aussi en portaient ? Cela est préférable, nous
lançons désormais du gaz sur l’ennemi, plus efficace d’après là-haut…
Je dois vous avouer que je n’ai plus beaucoup d’espoir en ce qui concerne
la liberté, je n’ai même plus du tout d’espoir. Je souffre… Comment
vais-je survivre ? Je n’y arriverai pas. Votre présence me manque
énormément. Mon sang coule encore et encore… Pourquoi en suis-je arrivé
là ? Embrassez bien mes parents pour moi et les vôtres aussi, dites-leur
bien que je suis sincèrement désolé de ne pas être revenu. Embrassez
aussi ma petite Juliette et dites à Jean que son père était un héros. Et
vous, ma douce, je suis malheureux de vous faire mes adieux sur un bout
de papier, restez forte, ne m’oubliez pas. Votre amour qui pense à vous
et qui vous aime de tout son cœur.
Pierre »
Ces témoignages sont bouleversants… Particulièrement quand on sait que
cette bataille n’a abouti à rien de véritablement concluant pour les
deux partis : aucun territoire n’a été conquis. Pourtant, la bataille de
Verdun, et plus largement la Première Guerre mondiale, a causé des
dégâts d’une ampleur accablante, à la fois humains et matériels. Elle a
laissé derrière elle d’importants traumatismes qui ont hanté la génération de 14-18. 


24/02/2016 - 07:51
ETRE FOUILLE A L'AEROPORT ALORS ON AIME OU ON AIME PAS

On passe le moindre de vos bagages au peigne fin, vous passez au détecteur
de métaux… puis vient le moment de la fouille corporelle.Des hommes et
des femmes – bizarrement, qui sont rarement jeunes et beaux – vous
palpent, vous pincent, vous caressent afin de sentir d’éventuels objets
cachés.
Leurs mains se baladent dans des recoins, ce qui ne vous met pas forcément très à l’aise.

1. Allez, baissez-moi ça !

2. Une individu d’apparence suspecte qui doit être minutieusement inspectée...

3. On plaint l'agent... Euh, la fille ! Pardon...

4. On se demande bien ce qu'il peut chercher avec insistance, là

5. Il y a de quoi être surpris !

6. « Excusez-moi monsieur, contrôle du paquet, veuillez me présenter… »

7. Apparemment il a trouvé quelque chose de coincé ici...

8. Même l'acteur américain Verne Troyer se fait fouiller comme monsieur-tout-le-monde !

9. Massage ventral

10. « Je vais déboutonner votre chemisier madame… » - « Il y avait bien
longtemps qu’on ne m’avait accordé cet honneur tiens, faites donc ! »


11. Monsieur n’a pas l’air très rassuré…

12. Madame n’a pas l’air très à l’aise…

13. « Déshabillez-vous lentement, très lentement… s’il vous plait. »

14. Y’a plus de respect pour les anciens…

15. « C’est la taille parfaite pour que je m’entraîne, merci madame ! »

16. « Une seconde monsieur, je vois quelque chose qui dépasse… »

17. Le « sous-pesage », une pratique importante dans ce milieu professionnel

18. Un agent de sureté qui semble aimer les muscles, même à travers le tissu d’un sweat

19. Un petit coup d’œil par la braguette

20. Traitement de faveur pour ce mannequin

21. Au moins, mieux vaut en rire !

Et vous, avez-vous vous aussi vécu des situations embarrassantes à l'aéroport ?
24/02/2016 - 07:35
Les petites histoires de l'Histoire
 
Que vous soyez sportif, passionné de sport, fan de tennis ou non, il est un
nom impossible à ignorer. Au début de l'été, il devient le lieu où se
déchaînent les passions : il s'agit de Roland Garros.

 

 
Au fil du temps, ce stade est devenu une véritable entreprise. Même si
l'activité visible au niveau mondial ne s'étale que sur 15 jours, cette
société réalise néanmoins un chiffre d'affaire annuel d'environ 140
millions d'euros, dont 6 millions sont redistribués aux joueurs sous
forme de prix.
Durant le tournoi international, chaque jour sont vendus plus de 10.000
sandwichs et sont servis près de 20.000 repas au public. Les droits de
retransmission, qui s'élèvent à près de 50 millions d'euros, constituent
la plus importante part des recettes. Ils sont versés par 90 chaînes de
télévision qui diffusent dans plus de 200 pays.

 
Le tournoi de Roland Garros est suivi par 3 milliards de téléspectateurs.
C'est l'épreuve de tennis la plus regardée au monde.
Mais qui était donc Roland Garros ? Pourquoi ce stade porte-t-il son nom ?
C'est en 1927, aux Etats-Unis que la légende du tennis parisien a débuté.
Cette année-là, les 4 vedettes du tennis français, surnommées par le
public les quatre mousquetaires, gagnent la coupe Davis contre les Américains.
Ce match se déroule sur les courts du Germantown Club de
Philadelphie. Immédiatement les américains signalent vouloir prendre
leur revanche.
Pour que celle-ci puisse avoir lieu, en 1928, il va falloir trouver rapidement une
solution car il est impossible d'accueillir les tournois internationaux
dans les infrastructures actuelles et exigües du Racing Club et du du
stade français de la Faisanderie.
 

 
A l'initiative de quelques grands personnages, tels Emile Lesieur,
président du Stade français, Pierre Gilou, président du Racing Club et
Albert Canet, dirigeant du troisième grand club de la capitale, le
Tennis Club de Paris fait construire un stade digne de ce nom.
La Ville de Paris apporte un important soutien financier et le stade
français cède un terrain de trois hectares situé près de la porte
d'Auteuil. Le Racing Club, en la personne d'Emile Lesieur, n'a qu'une
exigence : le nouveau stade portera le nom d'un de ses membres les plus
illustres, disparu peu de temps avant la fin de la guerre : Eugène
Adrien Roland Georges Garros.
Celui-ci est né en 1888 à Saint Denis, à l'île de la Réunion. Il voyage beaucoup
aux côtés de son père, avocat. A 18 ans, il entame ses études de HEC à
Paris. Pourtant, il n'épouse pas la profession d'homme d'affaires.
 

 
Passionné de mécanique, il devient un ingénieur de génie. Sportif accompli, ce
touche à tout s'essaie également au tennis mais il s'avère être un
piètre joueur. Sa discipline de prédilection demeure le vélo. Sacré
champion de France en 1906, il participera l'année suivante au Tour de
France où il terminera à la 15ème place. Membre du Racing Club de
France, c'est lui qui parraine l'admission du joueur de rugby Emile
Lesieur, avec qui il noue une grande amitié.
Etant doué pour tou, dès 1908, il suit des cours de pilotage. A la fin de ses
études en 1910, il est normal qu'il fasse son entrée chez l'avionneur
Morane-Saulnier en temps que commercial.
Rapidement, Roland Garros change de fonction au sein de l'entreprise, afin d'assouvir sa passion. Il devient pilote d'essai.
 

 
C'est cette même année que Louis Blériot réalise l'exploit de traverser la
Manche. De nature toute aussi orgueilleuse, Garros veut également
accéder à son heure de gloire. Il décide de relever un défit plus
important : la première traversée de la Méditerranée. Cet exploit ssera
accompli de jusesse en 1913 car il atterrit à Bizerte, en Tunisie, avec
seulement 10 litre d'essence dans son réservoir. Au total, il sera
crédité de trois records du monde d'altitude. Il accomplira également la
première liaison La Havane - Mexico.
Quand en 1914 la guerre éclate, l'avion va trouver sa place dans les
escadrilles de chasse. Roland Garros, comme d'autres pilotes, rejoint
cette nouvelle unité.
Durant son parcours militaire, il abattra 4 avions allemands.
 

 
Néanmoins, sa renommée viendra de son invention de génie : la mitrailleuse capable
de tirer à travers l'hélice. Au début, cette invention assura à la
France la suprématie dans les airs.
Malheureusement, en 1915, au cours d'une mission en Belgique, l'appareil de Roland
Garros est atteint par la DCA allemande. Contraint de se poser, il est
capturé avant d'avoir pu détruire son avion en y mettant le feu.
Les Allemands confient l'appareil à l'ingénieur Anthony Fokker, qui
s'inspirera du système de tir et le perfectionnera. L'aviation allemande
sera alors maîtresse des airs durant deux ans, jusqu'à ce que, à leur
tour, les Alliés s'emparent d'un avion ennemi et équipent leurs propres
appareils de cette nouvelle mitrailleuse.
 

 
Quant au pilote Roland Garros, après deux années passées en captivité, il
s'évadera et rejoindra la France. Georges Clémenceau lui-même aura beau
tenter de la garder come conseiller auprès de l'Etat Major, en vain.
Garros s'obstinera à retourner au combat afin de régler ses comptes avec
l'ennemi. Ce choix lui coûtera la vie.
Le 5 octobre 1918, soit quelques semaines avant l'armistice, son avion est
abattu au cours d'une mission dans les Ardennes. Il est enterré à
Vouziers.
L'histoire raconte que le jeune pilote allemand ne se remettra jamais d'avoir abattu, sans le
savoir, ce héros de l'aviation militaire française, pilote de légende.
Lors de la construction du stade baptisé Roland Garros, le souvenir de la
Grande Guerre était encore dans tous les espris des Français. La demande
d'Emile Lesieur, d'honorer son ami en donnant son nom à ce stade, a été
acceptée sans condition.

 


23/02/2016 - 15:35
       POP UP DE GIVERNY

 Un ou une pop-up (de l'anglais pop-up window ou pop-up tout court), parfois appelée fenêtre intruse ou fenêtre surgissante, est une fenêtre secondaire qui s'affiche,sans avoir été sollicitée par l'utilisateur (fenêtre intruse), devant la fenêtre de navigation principale lorsqu'on navigue sur Internet.

 

 

 

 

 

 

 

 
 
23/02/2016 - 15:25
Pourquoi le ciel est-il bleu ?    

Si la météo ne permet pas toujours de le constater, c’est un fait : le
ciel est bleu. Du moins c’est ce que n’importe qui répondra si vous lui
posez la question. Oui mais pourquoi ? Pourquoi le ciel est-il bleu ? 
Il suffit de lever le nez au ciel pour le constater. A moins que les
nuages ne s’en mêlent ou que la nuit soit proche, le ciel va apparaitre
bleu. Une couleur qui n’étonne plus personne et pourtant, on s’est tous
un jour posé la question : mais pourquoi le ciel est bleu ?
Difficile d’accepter la vérité mais il va falloir le faire : le ciel n’est pas
réellement bleu. En réalité, il est noir comme le vide galactique qui
entoure notre planète. D’ailleurs, si on le percevait normalement, il
serait possible d’apercevoir les étoiles en pleine journée. Mais les
choses se passent différemment grâce à des facteurs bien précis.

Du bleu liée aux rayons du soleil

Tout commence au niveau du Soleil et de la lumière qu’il émet en continu.
Cette lumière est blanche, ce qui signifie qu’elle est composée d’une
infinité de teintes. Une fois émise par le Soleil, la lumière et donc
toutes les couleurs vont voyager dans l’environnement.
Pour cela, elles se déplacent sous la forme d’ondes mais toutes n’ont pas la
même longueur, c’est pourquoi on parle de longueur d’onde. Une fois
dans l’environnement, les ondes vont voyager en ligne droite jusqu’à
rencontrer un obstacle, dans le cas présent, la Terre et plus
précisément l’atmosphère.

Une atmosphère qui va diffuser la lumière

L’atmosphère est l’enveloppe gazeuse qui entoure la Terre. Elle est composée de
molécules d’air, mais aussi de particules d’eau et de poussières qui
vont venir interagir avec les différentes longueurs d’onde. Sauf que
toutes ne réagissent pas de la même manière.
Certaines longueurs d’onde vont être très diffusées et d’autres moins par les
molécules. Les plus diffusées sont les plus courtes, autrement dit les
violets et surtout les bleus. De fait, elles représenteront les couleurs
dominantes alors que les autres vont s’effacer.

Un œil humain qui préfère le bleu  

Oui mais le violet alors ? Un dernier facteur entre en jeu : l’œil humain.
En effet, notre organe joue un rôle crucial dans la perception des
couleurs. Or, il est beaucoup plus sensible aux teintes vertes et bleues
qu’aux violettes. En regardant le ciel, il va donc privilégier le bleu.
C’est pour cela que l’on voit le ciel bleu.


CLIC ICI.......
http://dai.ly/xxavae
23/02/2016 - 15:18
VILLAGE DE PECHEURS ABANDONNE TOUT PRES DE BUDAPEST
du photographe slovaque Viktor Egyed
 
  Le village lui a fait une forte impression, il est ensuite revenu
muni de son appareil photo pour en capturer l’atmosphère paisible et
inquiétante. Le brouillard, les couleurs et les arbres laissent planer
une sensation de vide, d’angoisse et de beauté à la fois. Les petites
maisonnettes placées sur des îlots au milieu de l’eau semblent sortis
d’un conte de fée d’un autre temps.
(Magnifique)











23/02/2016 - 15:15
LE QUOTIDIEN D'UN GARAGE
Le photographe français Laurent Nivalle spécialisé dans la customisation et la réparation de motos. Situé à Paris .




















23/02/2016 - 15:12
UNE HAIE DE 47 METRE 70 DE LONG EN FORME DE DRAGON
 
John Booker, habitant de Norfolk en Angleterre. Tout commença avec un rêve
que l’homme fit, avec un dragon géant sur sa pelouse, il commença donc
son labeur, qui dura 13 ans ! Le véritable chef d’oeuvre fait 45.7 mètres de long, et est orné de jolies fleurs au printemps.







23/02/2016 - 15:09
DANS LES RUE DE ANN ARBOR..

Ann Arbor est une ville du Midwest des États-Unis située dans l’État du Michigan
                           par David ZINN  
L'artiste travaille avec de la craie ou de charbon de bois pour créer des œuvres spécifiques au site.