De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
24/01/2016 - 07:30
Celine Dion - Dernier au revoir à René Angélil
24/01/2016 - 07:12
Joyeux Anniversaire

Whaouh, tu en as vu des choses depuis que tu es né… L’apparition
des premières radios, des cartes de crédit, des calculettes, de la TV,
des stylos à billes, des CD, du micro-onde, des piles, du Monopoly, du
vernis à ongles, des fusées, des ordinateurs, des TGV, de la crème solaire,
de la mobylette, des codes barres, des téléphones portables, d’internet…
Alors, comme on n’arrête pas le progrès, je te fais découvrir cette jolie
carte virtuelle, à la pointe de la technologie.

Joyeux anniversaire !
À Tous Ceux Nés Le 24Janvier 19..
23/01/2016 - 18:16
Les délices de la Roche aux fées ( série nostalgie )

Pour moi la Roche aux Fées rime avec souvenirs doux et sucrés. Quand j'étais petite, j'imaginais que c'étaient des fées qui créaient de délicieux desserts pour les enfants. Je croyais aussi dur comme fer que les crèmeset les mousses au chocolat étaient fabriquées comme dans les publicitésà la télévision : en donnant du chocolat aux vaches ! On est naïf quand on est petit et on croit tout ce qu'on nous raconte, des clients parfaits pour les publicitaires.

La marque

Elle a été créée en 1935 par Pierre et Marie Saulais. Son nom vient d'un site mégalithique du même nom (un
dolmen en forme de couloir) situé en Ille-et-Vilaine
près de Rennes dans la commune d'Essé.

La Roche aux Fées était la première marque sur le secteur des produits laitiers en France dans les années 60, elle avait une très forte
renommée.
Ci-contre 2 pots de yaourt des annees 70 en carton paraffiné (dont l'un était distribué par Vitho).

Elle fut cédée en 1965 par ses fondateurs à Unilever, la multinationale anglo-néerlandaise. Elle a fusionné avec Chambourcy ("oh oui !") en 1988 et a disparu des rayons frais des supermarchés en 1989.
Chambourcy a elle-même été avalée par le groupe Nestlé en 1996.

Lors de ce rachat, La Roche aux Fées et Chambourcy ne disparurent pas complètement. Elles restèrent inutilisées jusqu'en 1999, date à laquelle une société bordelaise (CBSA) racheta ces deux marques à Nestlé. Elles réapparurent dans les étalages (avec
les Marron'suis notamment). Cependant, Nestlé ayant imposé à CBSA des clauses de non-concurrence très strictes sur les deux marques, l'entreprise fit faillite en 2002.

J'ai appris dernièrement que la société Agrial voulait relancer La Roche aux fées en 2015, je ne sais pas si ça se fera, pas facile de s'imposer face à Danone et Yoplait, même si la marque jouit d'une grande renommée auprès des plus de 40 ans.

Les produits

J'aimais beaucoup les desserts de La Roche aux Fées. Déjà je trouvais que la marque avait un très joli nom et
aussi un mignon logo bleu avec les deux petites fées. Et
surtout j'adorais les spots à la télé, ils mêlaient magie et gourmandise.
J'aimais particulièrement la façon dont ils commençaient, comme dans un conte : "Au pays de la Roche aux fées..."

Voici ce que la Roche aux Fées produisait comme produits laitiers : crème fraîche, yaourts natures, yaourts aux fruits, yaourts aromatisés aux fruits pour enfants (Yoco), yaourts allégés (Fée ligne), fromages blancs (P'tit blanc et Velours), fromages blancs sur lit de fruits (Fée délice), crèmes desserts, flan vanille et chocolat (Créola), mousses au chocolat (Fée mousse), coupes de crème à glacer (Fée glacée), crèmes caramel (Orly), crèmes liégeoises (Fée liégeoise) et gâteaux de riz.
J'en oublie sans doute.



Pour info, lorsque la marque fusionna avec Chambourcy en 1988, les Yoco et les Créola furent conservés, on a donc pu trouver dans les rayons des Yoco et Créola de marque Chambourcy.
En haut les produits de la Roche aux Fées, en bas ceux de Chambourcy. 



Voici un grand assortiment de desserts sous forme de pubs. Régalez-vous !

Fées glacées

Les Fées glacées étaient des des coupes de crème à glacer parfumées au chocolat, à la fraise ou au café. On trouvait le même principe chez Danino de Danone à la même époque

Fée délice
Une très jolie pub magazine du début 70's également :


 
J'adore le joli conte sur la naissance du dessert, ça me rappelle avec émotion les belles histoires que me racontait ma grand-mère



Fées liégeoises

Ce sont des crèmes liégeoises au café, chocolat et marrons. Appelées Fées mousse en 1974, elles se sont appelées Fée liégoise par la suite. Voici une pub de 1980 :
Une pub magazine :


Yoco
Yoco, les yaourts aromatisés aux fruits, ils sont apparus en 1984. Auparavant ces yaourts pour enfants ne portaient pas de nom :


 
Créola
Crèmes gélifiées au lait entier au chocolat et à la vanille. Elles sont apparues dès 1972.

Une pub magazine avec de nouveau un joli conte sur la Reine Créola et son pays lointain et si gourmand, "une histoire à manger à la petite cuillère" :



Les cadeaux de la Roche aux Fées

Il y avait aussi une raison particulière pour laquelle j'aimais particulièrement cette marque : elle offrait souvent de jolis petits
cadeaux.

Il y a eu notamment de nombreuses petites figurines en plastique. Elles sont apparus dans les années 70 : la ferme, le cirque, les clowns, les cowboys, les animaux de la prairie, Blanche-Neige, Bambi et Lucky Luke (les figurines étaient identiques à ceux de Bonux, Omo et Stenval).



Il y a également eu en 1972 des sujets en carton à découper dans les emballages, par exemple ici on peut voir les pubs magazines pour une série de 35 sujets sur le thème des chevaliers. On pouvait glisser le pot de yaourt dans la figurine découpée. Et on avait une paille sous la maison, on pouvait donner une lance à son chevalier !



Je n'ai pas connu ces sujets cartonnés, j'étais trop petite, je pense qu'elles datent du tout début des années 70. Moi j'ai surtout été marquée par les célèbres images "Magic" qui sont apparues sur les paquets à partir de 1975.

Une Citroën Méhari avait participé à la caravane publicitaire du Tour de France avec un pot de yaourt géant à l'arrière, c'était en 1979. Norev en a fabriqué une réplique miniature au 1/43ème. Je l'achèterai un jour,on peut la trouver sans trop de difficulté.

23/01/2016 - 17:46
4 idées pour manger léger après les fêtes ....
Alimentation Besoin d’une mise au vert après les repas festifs de Noël ? Manger léger ne veut pas dire se priver !


Après les excès de saumon fumé, de foie gras et de chocolat, le corps manifeste souvent le besoin de retrouver tranquillement le chemin de la modération, sans toutefois s’affamer. Inutile en effet de
penser « régime » : concilier équilibre et plaisir, c’est possible avec les produits laitiers.

1. Des salades composées pour tous les goûts.

Peu consommés pendant les repas de réveillon, les légumes et fruits frais reprennent une place centrale dans les repas, en particulier dans les salades composées. Gourmandes et polyvalentes, celles-ci permettent de varier les plaisirs grâce aux associations de saveurs (endive et bleu, poire et livarot, chou blanc et comté, brocolis et mimolette extra-vieille…). Pour des sauces très légères, le yaourt apporte de la fraîcheur et de l’onctuosité, simplement agrémenté de moutarde, de vinaigre, d’épices et d’herbes fraîches finement ciselées, voire d’une touche de miel pour contraster avec le goût des fromages affinés.

2. Des soupes de légumes à volonté.

Une grande marmite de soupe et c’est parti pour plusieurs dîners réconfortants et légers ! Courges, carottes, poireaux, champignons, choux, fenouil… : tous les légumes d’hiver ou presque peuvent être transformés en soupes ou veloutés. Un filet de crème fraîche (entière ou allégée), une ou deux portions de fromage fondu, une poignée fromage à pâte dure râpé ou même une noisette de beurre apportent leur touche gourmande sans menacer l’équilibre du repas.

3. Volailles et poissons ont tout bon.

Du côté des indispensables protéines, les viandes maigres comme les volailles ont la priorité, tout comme les poissons blancs. Attention aux cuissons : mieux vaut éviter les fritures et leur préférer la vapeur ou la cuisson à l’étouffée. Avec un peu de beurre ou de crème fraîche, quelques gouttes de jus de citron et des herbes aromatiques, ainsi qu’un accompagnement de féculents cuisinés simplement, pas de frustration à l’horizon ! Les restes de viande et de poisson cuits peuvent aussi être glissés dans les salades
composées.

4. Et un porridge pour le petit-déjeuner !

Pour commencer la journée avec un bol de gourmandise et d’énergie, les affamés du matin adorent le « bircher müsli » ou « porridge du lendemain », composé de flocons d’avoine trempés toute la nuit dans du lait et du yaourt, puis dégustés avec un peu de
sucre ou de miel et des fruits frais. Les petits appétits préfèrent un yaourt ou un pot de fromage blanc avec des fruits, ou encore des tartines de pain légèrement beurrées et accompagnées d’une boisson chaude.

Enfin, c’est le moment de mettre en œuvre la bonne résolution de la nouvelle année : une activité physique pour la forme et l’énergie
23/01/2016 - 15:03
*** La nécropole nationale et l'ossuaire de Douaumont ***

Le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont regroupe les dépouilles
de soldats morts pour la France lors des combats qui se déroulèrent dans
la région de Verdun de 1914 à 1918, et principalement ceux de la
bataille de Verdun. Créé en 1923, le cimetière est aménagé jusqu'en
1936. Une fois l'emplacement déterminé, dès 1923, le Service des
Sépultures de guerre, avec le concours du génie de Metz, entreprit le
nivellement d'une parcelle de terrain de plusieurs hectares où
d'importants travaux de déblaiement avaient été réalisés pour récupérer
le matériel abandonné, ainsi que de dangereuses munitions.


Le terrain aplani, on procéda à la réalisation des allées et des tombes.
Dès août 1925, les corps provenant de petits cimetières autour de Verdun
furent transférés dans la partie droite. En novembre, la nécropole
reçut les corps exhumés du cimetière de Fleury, désaffecté. En octobre
1926, elle recueillit ceux du cimetière de la Fontaine de Tavannes. Les
années suivantes, on y inhuma les corps que l'on continuait à découvrir
dans la «zone rouge» -jusqu'à 500 par mois- dont plus de la moitié
identifiés. La nécropole reçut aussi les corps du cimetière du bois Contant.

Conformément à la loi du 29 décembre 1915, instituant la sépulture perpétuelle au
profit des militaires morts pour la France, le cimetière rassemble plus
de 16 000 corps en tombes individuelles et un carré musulman comprenant
592 tombes. Sur les 1781 sépultures musulmanes réparties dans seize des
nécropoles où elles sont disposées en carrés ou en rangées, les plus
grands carrés sont celui de Douaumont avec 592 tombes, celui de Bras
avec 254 tombes et celui de Dugny où se trouvent 201 tombes. Chaque
sépulture est garnie d'une stèle dite musulmane où est gravée en arabe
l'inscription « ci-gît », suivie du nom du défunt. Il existe
également un carré spécial de soldats inconnus dont les corps ont été
relevés récemment. Pour la Seconde Guerre mondiale, six soldats français
sont inhumés.


La bataille de Verdun
Situé à quarante kilomètres de la frontière allemande fixée en 1871, le
village de Fleury-devant-Douaumont recense, en 1913, 422 habitants. En
septembre 1914, au terme de la première bataille de la Marne, la ligne
de front atteint les environs de Fleury et se fige au nord de ce
village. Se trouvant sur la ligne de communication entre Verdun et
Douaumont, au cœur d'un important dispositif fortifié, celui-ci est, en
1915, naturellement intégré dans la région fortifiée de Verdun, soit à
la convergence entre les deux armées en présence.

Le 21 février 1916, l'opération Gericht conçue par le général Falkenhayn
est lancée contre les positions françaises. De février à décembre 1916,
Français et Allemands vont s'affronter au cours de l'une des plus
terribles batailles de l'histoire de la Grande Guerre. Dès les premiers
jours de l'offensive, subissant d'importants bombardements,  le village
est immédiatement évacué. Le 25 février, après la chute du fort de
Douaumont, Fleury est particulièrement exposé à la pression ennemie.
Située entre les ouvrages de Froideterre et de Souville cette position
est alors au cœur de la défense de Verdun.

En mai 1916, le village est en ruines. Après la perte du fort de Vaux, le 7
juin, Fleury devient une des clés de la bataille pour atteindre Verdun.
Des combats acharnés notamment à la grenade s'y déroulent au cours
desquels la situation est des plus préoccupantes pour les Français.
Entre juin et août, le village change seize fois de mains. Dans cette
zone si âprement disputée où les unités engagées atteignent vite la
limite de leurs forces, les Français des 128e et 130e divisions
d'infanterie rivalisent d'audace contre la garde bavaroise et les unités
d'élite de l'Alpenkorps. Multipliant les coups de butoirs, les
Allemands ne sont plus qu'à quatre kilomètres de Verdun. Le 11 juillet
1916, les Allemands s’emparent de la poudrière de Fleury, abri à
munitions creusé sous le roc à 10 m sous terre.

Toutefois, l'élan allemand s'enraye car les soldats français ont reçu l'ordre de
tenir partout et de contre-attaquer toujours avec les moyens
disponibles. Au prix de pertes humaines importantes, les Français
s'accrochent à leurs positions et parviennent à se dégager de la
pression ennemie. Finalement, les ruines du village sont définitivement
reprises le 18 août par les Marsouins du régiment d’infanterie coloniale
du Maroc et servent de départ aux offensives de l'automne dont
l'objectif est de reprendre les forts de  Douaumont et de Vaux.

Du village et des fermes alentours, il ne reste rien. En 1918, le village
de Fleury-devant-Douaumont est l'un des 12 villages du département,
érigé au rang de « village meusien mort pour la France ». Citées à
l'ordre de l'armée en septembre 1920, les ruines du village de Fleury
sont inscrites dans la "zone rouge" et deviennent au fil du temps un
haut-lieu du souvenir de la bataille de Verdun.

 
L’ossuaire


 
Inauguré le 23 juin 1929 en présence de Gaston Doumergue, Président de la
République, le cimetière national est lié à la construction de
l'ossuaire de Douaumont car il n’a jamais existé ici de cimetière du
front au cours de la Première Guerre mondiale. Dominant cette nécropole,
cet imposant monument est érigé à l’initiative de Mgr Ginisty, évêque
de Verdun. Dès 1919, il est  souvent impossible d'attribuer une
identité, voire une nationalité, à des centaines de milliers d'ossements
retrouvés épars dans les secteurs de la région de Verdun. Mgr Ginistry,
président du comité de l'Ossuaire. Ce dernier parcourut la France et le
monde entier en donnant des conférences pour collecter les dons
nécessaires à l'élévation du monument final.

 
La première pierre de l'édifice est posée le 20 août 1920 par le maréchal
Pétain, président d'honneur du Comité de l'Ossuaire. Le transfert des
ossements de l'Ossuaire provisoire à l'Ossuaire définitif a lieu en
septembre 1927. Il est inauguré le 7 août 1932 en présence du président
de la République, Albert Lebrun, de dignitaires français et étrangers et
d'une foule immense d'anciens combattants, de pèlerins, de familles des
morts et des disparus.

 
S'imposant par la noblesse et la sobriété de ses lignes, l'Ossuaire est l'œuvre de
Léon Azéma, Max Edrei et Jacques Hardy. Le corps principal du monument
est constitué d'un cloître long de 137 mètres où se succèdent, dans des
alvéoles, les 46 tombeaux (un pour chaque secteur principal du champ de
bataille, d'Avocourt aux Eparges) abritant les restes mortels de 130 000
soldats allemands ou français. Dans l'axe, au-dessus du porche
principal, se dresse une "Tour des morts" aménagée en phare dont le
faisceau lumineux balaie l'ancien champ de bataille. Haute de 46 mètres,
elle offre à son sommet une vue panoramique et reçoit une cloche de
deux tonnes, le bourdon de la Victoire qui résonne à chaque cérémonie.

Aujourd'hui, ce monument est intégré au paysage meusien. Il évoque, pour certains,
un glaive enfoncé en terre jusqu'à sa garde, dont seule émerge la
poignée servant de lanterne. Pour d'autres, la tour représente un obus,
symbole de l'industrialisation de cette bataille majeure de la Première
Guerre mondiale. Quant au cloître, il peut évoquer l'héroïque défense du
soldat de Verdun, ou incarne encore les ouvrages de la place fortifiée
de Verdun, rempart contre lesquelles se sont vainement abattues les
vagues ennemies.

 
A proximité de la nécropole se dressent deux autres monuments
confessionnaux. L'un, érigé en 1938, est dédié à la mémoire des soldats
juifs morts pour la France en 14-18. Inauguré en 2006, l'autre, situé
sur la commune de Douaumont, honore le souvenir des soldats musulmans
disparus au cours de ce conflit.

Au pied de l'escalier d'honneur, est inhumée depuis 1948, la dépouille du
général François Anselin, mort pour la France le 24 octobre 1916.
Affecté à sa demande au commandement de la 214e brigade, il est atteint
mortellement par un éclat d'obus, alors qu'il conduisait au ravin de la
Poudrière les opérations visant la reconquête du fort de Douaumont.

Face au cimetière, une plaque rappelle la poignée de main historique entre
le Président François Mitterrand et le Chancelier Helmut Kohl scellant
la réconciliation franco-allemande en 1984.

 
L'ensemble constitué par la nécropole nationale de Fleury-devant-Douaumont et la
tranchée des baïonnettes est inscrit comme haut lieu de la mémoire
nationale, au titre du sacrifice des soldats français de la Grande
Guerre à Verdun (1914-1918)



Monument de la tranchée des baïonnettes.



Croix de la tranchée.


Fusil émergeant du sol.

23/01/2016 - 14:55
La Tempête «Snowzilla» Ensevelit Washington
«Les chutes de neige pourraient dépasser les 60 cm dans certaines régions, y
compris Baltimore et Washington», a averti le dernier bulletin des
services météorologiques.

Photo Pablo Martinez Monsivais, AP Élodie MAZEIN Agence France-Presse WASHINGTON

En quelques heures, la tempête Jonas - déjà surnommée «Snowzilla»
- a recouvert d'un épais manteau de neige l'est des États-Unis, privant
d'électricité des dizaines de milliers d'habitants et forçant les
autorités à mobiliser pour déneiger et réparer les dégâts.

Elle doit se poursuivre tout au long du week-end.
«Je veux être très claire avec tout le monde. Nous percevons cela comme une
tempête majeure et potentiellement meurtrière», a déclaré vendredi aux
journaliste la maire de la capitale fédérale, Muriel Bowser.

Une déclaration venue en écho à celles-là veille du directeur du National
Weather Service, Louis Uccellini, qui a évoqué une «tempête
potentiellement paralysante» ayant «le potentiel de devenir extrêmement
dangereuse».

Près de 50 millions de personnes devraient être affectées par la tempête,
surnommée «Snowzilla» par le quotidien Washington Post, en référence au
destructeur lézard géant du cinéma japonais, «Godzilla».

Personne n'a été pris par surprise. Cela fait plusieurs jours que les sites
météo prédisent l'arrivée de cette tempête record, que tous les médias
couvrent abondamment.

«Une zone de basses pressions centrée sur le sud-est des États-Unis va
continuer à créer une tempête hivernale majeure qui va affecter une
large partie de la côte Est (...) à partir de vendredi et tout au long
du week-end», avertit le dernier bulletin des services météorologiques.
Ceux-ci ont émis des alertes au blizzard pour plusieurs États.

«Les chutes de neige pourraient dépasser les 60 cm dans certaines régions, y
compris à  Baltimore et Washington», ont-ils précisé.

La veille, ils avaient également mis en garde contre du verglas, des vents
forts (jusqu'à 90 km/h) et des inondations côtières. Une quinzaine
d'États devraient être affectés, depuis la façade Atlantique (entre New
York et la Caroline du Sud) jusqu'à l'Arkansas, dans le sud.

En Virginie, le gouverneur Terry McAuliffe a mobilisé plusieurs centaines
de membres de la garde nationale - des militaires de l'État fédéré -
pour les secours. Il a également une réserve de 650 000 tonnes de sel
pour dégager les routes et huit millions de litres de sel liquide,
a-t-il précisé sur CNN.

Les vents violents se révèlent particulièrement dévastateurs dans un pays
où le réseau électrique est rarement enterré. Il n'est pas rare que des
centaines de milliers de personnes se retrouvent privées d'électricité
pendant plusieurs jours, y compris dans les banlieues huppées de
Washington.

Les premières coupures ont commencé en Caroline du Nord où plus de 100 000
personnes sont concernées, selon les services d'urgences de cet État. En
Virginie, moins de 2000 personnes étaient privées d'électricité selon
le gouverneur, mais il a mobilisé 60 équipes d'électriciens d'autres
État pour aider aux réparations.

La capitale américaine pourrait subir ses plus fortes chutes de neige en
près d'un siècle et devrait être totalement paralysée car, fait rare, le
gestionnaire de ses transports en commun WMATA a décidé de suspendre
les bus à partir de 17 h, mais également de fermer le métro dès 23 h
pour tout le week-end.

Ce métro est le deuxième plus fréquenté du pays, après New York, avec
environ 700 000 passagers transportés chaque jour en temps normal. Il
n'a jamais été fermé aussi longtemps en plus de 40 ans d'existence,
selon le Washington Post.

«Extrêmement dangereuse»
Des milliers de vols ont également été annulés, selon le site spécialisé
flightaware.com. Le trafic ferroviaire est également réduit à la portion
congrue.

Remontant sur la côte Est vers le nord, la tempête devrait frapper New York
samedi et le maire Bill de Blasio a indiqué jeudi que la ville pourrait
recevoir entre 20 et 30 cm de neige.

Si les prévisions se concrétisent, la tempête Jonas se placerait en
deuxième position des plus grosses quantités de neige déversées en deux
jours sur Washington, le record ayant été établi en 1922 avec 66 cm
tombés en 48 heures.

Washington et les États voisins de Virginie et du Maryland ont été placés en état d'urgence.
Le match de hockey sur glace (LNH) entre Washington et Anaheim prévu
vendredi en fin d'après-midi a été reporté et une autre rencontre
programmée dimanche midi contre Pittsburgh est en sursis. La NBA a aussi
pris les devants et a reporté les matches de basket prévus samedi à
Washington et à Philadelphie.

Les habitants de la capitale, où les écoles publiques étaient fermées
vendredi, ont fait le plein de victuailles essentielles pour tenir tout
le week-end, formant de longues files d'attente dans les supermarchés.

Au programme de leur week-end: rester au chaud, regarder la télévision, se
reposer et, s'il y a des coupures d'électricité, lire.

23/01/2016 - 14:31
Fromages   SAVOYARD

Les pâtes persillées

Le bleu de Termignon :
  
Fromage à croûte naturelle, au lait cru de vache et fabriqué en Savoie. Il est fabriqué uniquement en alpage à partir d’un caillé aigre mêlé à un caillé du jour. Il n’existe que peu de producteurs fabriquant ce fromage pourtant très prisé à tel point que les fromages sont souvent vendus avant d’être fabriqués. C’est un cylindre de 30 à 35 cm de diamètre et de 15 à 20 cm de haut, pesant 8 à 10 kg.

Comme pour d’autres fromages savoyards, la reconnaissance du bleu de Termignon est due à un italien. Dès 1816, il est connu dans la vallée de Suse, en Italie ; on le nommait alors “mauriennais” ou persillé du Mont-Cenis ou encore bleu de Bessans. Les gastronomes français ne semblent s’y intéresser qu’à partir de 1933. Aujourd’hui encore, l’essentiel de la production est écoulée dans la vallée de Suse et en Haute Mauricienne. On l’utilise en plateau, dans des salades ou en préparations culinaires. Affinage : 4 à 5 mois. 50 % MG.


Le Thollon :


Au lait cru et partiellement écrémé de vache.  il se présente en petite meule cylindrique de 40 à 50 cm de diamètre, 8 à 12 cm de haut pesant de 5 à 12 kg. Sa croûte morgée est légèrement poisseuse, elle va de l’orange au brun en fin d’affinage. Elle est ferme avec
des petites ouvertures. On y trouve 30% de matière grasse sur sec.
Le Thollon est un des derniers représentants des fromages maigres de fabrication savoyarde. Traditionnellement lié à la fabrication du beurre, il n’était pas commercialisé, on le destinait à la consommation quotidienne familiale. On peut encore en acheter dans les environs de Thollon.


Le Persillé de Haute Tarentaise :

Il est fait à partir de lait de chèvre parfois mêlé avec du lait de vache ou de brebis. Il est fabriqué d’avril à novembre et tend à se raréfier au profit des fromages au lait de vache. De forme cylindrique, il pèse de 1 à 1,5 kg. Sa croûte varie du gris à l’ocre brun suivant l’affinage. De même le bleuissement n’apparaît qu’après un affinage de 4 ou 5 mois. Autrefois appelé Persillé de Tignes, il est aujourd’hui fabriqué à Sainte-Foy Tarentaise.


les pâtes pressées cuites ou mi-cuites

Le fromage d'Abondance :

est un fromage fabriqué exclusivement avec du lait cru. Il est affiné 3 mois minimum en cave fraîche et humide. D'une quarantaine de
centimètres de diamètre, d'environ 7,5 cm de hauteur, il pèse entre 7 et 12 kilos en fin d'affinage

 
Le Beaufort :

ce fromage est typiquement Savoyard, fabriqué avec des laits d’alpages, riches des arômes d’une flore
variée.
Il faut un peu plus de 10 kilos de lait pour fabriquer un kilo de beaufort. La meule mesure de 35 à 75 cm. Le poids
moyen est d'environ 40 kg. Le temps d'affinage doit être de 5 mois minimum en cave fraîche. On peut acheter du Beaufort qualifié "d'été" ou de "chalet d'alpage" en fonction de la saison de production.

 
L'emmental :

L'Emmental fait partie de la famille des gruyères. Ce type de fromage est connu depuis les Romains. Sa production a toujours joué un rôle important en Savoie. Dès le XIIIe siècle, il existait déjà des "fruitières" où l'on apportait le lait pour fabriquer une meule de vacherin.
Fromage au lait cru entier de vache, il se présente sous forme d’une meule cylindrique de 75 cm de diamètre, 16 à 25 cm de haut pesant de 70 à 80 kg. L'affinage dure 10 semaines. La croûte est jaune pâle et lisse, la pâte est ivoire, ferme et souple, ses trous (les yeux) sont environ de la taille d’une noix. Son goût est franc et fruité. Il contient 45% de matière grasse.

On le consomme sur plateau et dans beaucoup de préparations culinaires (gratins, pâte, fondue...).
L’Emmental se distingue par ses larges ouvertures que l’on appelle “les yeux”.
Au début de l’affinage la meule se sature progressivement en gaz carbonique
comme tous les fromages, mais sa croûte sèche et empêche le gaz de s’évaporer.
Dans la deuxième étape d’affinage, en cave chaude (21/23°C), les bulles de gaz s’ouvrent et forment des yeux lisses et ronds. L’affineur “sonne” alors la meule pour “entendre” la présence des yeux, puis il prélève un cylindre de fromage et contrôle la présence des yeux, 2 à 3 par “sonde” et la meule est placée au froid pour arrêter la productio
n de gaz.
 
 
Les pâtes pressées non cuites

La tomme de Savoie :

Ancrée dans l'histoire du Duché de Savoie, la Tomme de Savoie est le plus ancien de ses fromages. A partir de quelques litres de lait, chaque ferme fabriquait "sa tomme" pour les besoins de la famille
Diamètre de 18 cm environ, 5 à 8 cm d'épaisseur, Poids de 1,2 à 2 Kg
 
Tome des Bauges :

c’est la seule tomme qui ne s’écrit pas avec deux « m », Son nom provient du patois savoyard Toma (fromage fabriqué en alpage). Sa pâte est ivoire à jaune, présentant quelques petits trous. La Tome des Bauges possèdent une croûte tourmentée gris foncé, sur laquelle vous trouverez une plaque de caséine, garantie de son authenticité : rouge pour les tomes laitières, verte pour les tomes fermières.
Il est affiné pendant au moins 5 semaines. De forme cylindrique de 18 à 20 cm de diamètre et de 3 à 5 cm de hauteur, pesant entre 1,1 et 1,4 kg. Son taux de matière grasse est de 45%.

 
Le vacherin d'Abondance ou des Bauges :

un fromage savoyard très coulant et très doux. Fromage à écorce naturelle, il est moulé dans une écorce d’épicéa et fabriqué durant l’hiver dans les fermes de la Vallée d’Abondance.
C’est un cylindre de 12 à 15 cm de diamètre, de 3 à 4 cm de haut pesant 500 à 600 g. En fin d’affinage, sa croûte blanche devient beige à jaune pâle. Sa pâte est crémeuse et devient coulante après un affinage prolongé.

Son goût particulier lui vient de sa ceinture d’épicéa. Une ceinture historique : dès la fin du XVe siècle, les vacherins, fromages gras et savoureux, font leur apparition en Savoie. Exclusivement fabriqués avec du lait de vache et plus gras que les tommes, les vacherins avaient l’inconvénient de ne pas pouvoir être transportés du fait de leur consistance. Cela ne les empêcha pas de se faire
connaître hors des frontières de la Savoie présentés dans un cerclage de bois qui rendait les manipulations plus faciles
.
 
Le reblochon :

fromage de « contrebande »
la « rebloche » est née au 14 e siècle du droit des propriétaires à percevoir des loyers proportionnels à la
quantité de lait récolté.
Son origine est due à la dissimulation par les fermiers d'une partie de leur production de lait afin de
diminuer les loyers afférents qu'ils payaient aux propriétaires des alpages.
Pour échapper à de trop lourdes charges, les fermiers pratiquaient astucieusement une traite incomplète lors des contrôles sur les lieux du propriétaire. Le propriétaire parti, ils entamaient une seconde traite dont le « cru » était beaucoup plus riche et gras.


Faute de moyens de conservation et afin de dissimuler cette production « illicite », cette seconde traite était aussitôt employée à faire un fromage pour la consommation personnelle du fermier et de sa famille. Il fut naturellement baptisé Reblochon en illustration de cette pratique car « blocher » signifie « pincer le pis de la vache » en patois savoyard et donc « re-blocher » traire une seconde fois. Mais en raison du caractère frauduleux de cette pratique, le mot Reblochon n'apparaît dans les contrats de vente qu'en 1699.

Le Reblochon se présente en cylindre plat de 14 cm de diamètre et de 3 à 4,5 cm d'épaisseur pour un poids légal minimum de 450 g (généralement entre 450 g et 550 g).

 
Le grataron d'Arêches :

Fromage à pâte molle, légèrement pressée et non cuite, à croûte lavée, au lait cru de chèvre et fabriqué en Savoie. Cette tomme de 10 cm de diamètre, et 4 cm d’épaisseur, pèse environ 400 g. Affinage : 1 à 2 mois. Saveur relevée. 45 % de MG
 
Le Tamié :


Fromage au lait de vache. On rencontre ce fromage de fabrication monastique sous deux formats : un petit modèle pesant 600 g, de 13,5 cm de haut et en grand modèle de 1,4 kg, 18 cm de diamètre et 5 cm de haut. Sa croûte safran se couvre
d’une fleur blanche en fin d’affinage et sa pâte est légèrement crémeuse.

Fabriqué depuis 1861 par les moines de l’abbaye de Notre Dame de Tamié, le fromage est la principale ressource de la communauté. La production n’a pas seulement un but commercial, certains moines trouvent dans la fabrication fromagère une occasion de prolonger la méditation ; d’autres parlent d’un moyen de tester les novices avant qu’ils ne prononcent leurs voeux temporaires et
solennels

 
Les chèvres
 
Le chevrotin des Aravis et des Bauges :


Le Chevrotin est un fromage à pâte pressée non cuite, à croûte lavée, recouverte après affinage en tout ou partie d’une fine
mousse blanche. Cette technique de fabrication est unique pour un fromage de chèvre. Le lait utilisé, par les fermiers qui produisent ce fromage, dans la fabrication du Chevrotin provient de troupeaux constitués au minimum de 80% de chèvres de race alpine, nourries d'herbe pâturée et de foin.

Sa pâte est ivoire à jaune pâle, avec quelques petites ouvertures régulières et bien réparties.
Il est affiné pendant au moins 3 semaines. De forme cylindrique de 9 à 12 cm de diamètre et de 3 à 4,5 cm de hauteur, d’un poids de 250 à 350 grammes, il contient au minimum 45 grammes de matière grasse pour 100 g de fromage.

 
le Tarentais :

Fromage fermier de
chèvre, fabriqué en haute Tarentaise

le Sérac :

il est fabriqué avec le petit lait qui reste après avoir fait le fromage. Du lait entier ou maigre, de la crème, peuvent être ajoutés. Le petit lait est chauffé, puis on y met un ferment acide.
Le sérac est puisé à l'aide d'une poche trouée et mis en forme dans une fessel où il finit de s'égoutter. Une poignée de sel, d'herbes ou d'épices lui donnera plus de goût. Après 24 h, il est démoulé et mis à sécher à la cave ou fumé.
C'est un fromage frais, de couleur blanche, à texture fine.
23/01/2016 - 14:06
AUTOUR DU LAC D'IJSEEL LA VILLE DE
VOLENDAM EN HOLLANDE


UN PAYS QUE J'AIME BIEN

Tout autour du lac de l'IJssel, se trouvent de magnifiques villages anciens
et petites villes de Hollande. Ils forment ensemble l'une des régions
les plus jolies et les plus authentiques de Hollande. Goûtez à
l'ambiance des villages de pêcheurs traditionnels de Monnickendam,
Marken et Volendam, de la ville du fromage d'Edam, des cités du VOC au
passé riche comme Hoorn et Enkhuizen, de la ville hanséatique frisonne
comme Stavoren, les anciennes îles d'Urk et Schokland et la magnifique
ville fortifiée de Naarden.
 
 Volendam


 



 

 

 


 

 



 




23/01/2016 - 14:00
BONZAIS FLOTTANTS....
par HOSHINCHU

un petit aimant à chaque base
permet au bonzaï de flotter...
ingénieux non ?

 


 



 

CLIC ICI.......
http://kck.st/1nbgBAC
23/01/2016 - 12:47
                                   Le monde insaisissable de l’infiniment petit comme vous ne l’avez jamais vu


Il existe un monde que les humains ne peuvent pas voir à l’œil nu. Ce
monde insaisissable de l’infiniment petit recèle de nombreuses
curiosités toutes plus belles et fascinantes les unes que les autres.
Découvrez dès maintenant ce monde microscopique à travers ces clichés
aussi étranges qu’intéressants.
1. Des œufs de papillons sur un framboisier

 
2. Une micro-fissure dans de l’acier

 
3. De la poussière domestique

 
4. Un fil et une aiguille

 
5. La bactérie E.Coli sur une laitue

 
6. A gauche : un poil de barbe coupé au rasoir manuel ; à droite : un poil de barbe coupé au rasoir électrique

 
7. Une aile de papillon

 
8. La tête d’un embryon de poisson-zèbre, grossi 500 fois

 
9. Une peau de banane

 
10. Une peau de requin à gauche et une patte de mouche à droite

 
 
11. Un alliage à haute teneur en chrome, à base de nickel

 
12. Une mite grossie 850 fois

 
13. Un pétale de Tradescantia Virginiana

 
14. Une feuille de céleri grossie 85 fois

 
15. Du chloroplaste vert dans une cellule végétale

 
16. De la Marijuana 

 
17. Une feuille d’ananas

 
19. Des spores sphériques produit par le champignon Emericella nidulans
avec une fine couche de protéine hydrophobique qui permet à l’eau de
couler sur les spores

 
20. Une bactérie vivant sur la diatomée d’un amphipode

 
21. Une tomate séchée au soleil, grossie 250 fois

 
22. Une patte de gecko

 
23. Un fruit de la passion, grossi 32 fois

 
24. Un ver marin, grossi 58 fois

 
25. Une pousse de choux de Bruxelles, grossi 110 fois

 
26. De l’acier

 
27. Le bourgeon de petit clypéastre, grossi 4348 fois 


 
28. Un abdomen de moustique

 
29. Réaction entre du fayalite et du CO2 donnant de la sidérite qui permet de capturer le CO2 sous forme solide et stable

 
30. Des tubules dentinaires dans un morceau de dentine humaine qui a été déminéralisée

 
31. La tête de larve d’une mouche bleue 

Ces clichés sont vraiment impressionnants et ce monde microscopique à l’air
fantastique. On a bien rigolé en regardant la tête de certaines
« créatures ». On a adoré la larve de mouche bleue et le ver marin. Quel
cliché trouvez-vous le plus impressionnant ?