De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/01/2016 - 19:09
En savoir plus sur nos expressions françaises 1 à 12 , la suite demain
13 à 23 ( une idée de Marie-Jeanne )



À demain pour la suite.

18/01/2016 - 18:52
                   photographies alarmantes qui illustrent la dégradation de notre belle planète


Les effets du réchauffement climatique et des activités polluantes de
l’Homme sont de plus en plus inquiétants. Pourtant, malgré ces dommages
environnementaux irrémédiables, beaucoup de gens refusent d’ouvrir les
yeux. Le site « Population Speak Out » a donc décidé de montrer la dure
réalité qui se cache derrière ces tragédies écologiques. Ainsi, ils ont
regroupé des photographies incroyables et bouleversantes dans un livre
disponible gratuitement sur Internet et qui va sans aucun doute vous
faire réfléchir sur le sort de la Terre.

99 % de la forêt nationale Willamette en Oregon est déboisée

 
Un paysage plein de détritus au Bangladesh

 
La plus grande pelle du monde qui extrait du charbon de la mine Tagebau Hambach en Allemagne

 
Nos déchets électroniques finissent généralement dans des pays du Tiers
Monde. Ici, des ordinateurs qui viennent polluer à Accra au Ghana


 
La zone de Tar-Rich au Canada, détruite par l’exploitation minière et par les déchets toxiques

 
Une énorme fonte d’iceberg près d’une île du Svalbard en Norvège

 
La forêt indonésienne transformée en plantation de palmiers

 
Le fleuve Jaune en Mongolie est tellement pollué qu’il est impossible de respirer à côté

 
Un incendie sur une plateforme pétrolière dans le golfe du Mexique qui a eu lieu en avril 2010

 
Une partie de la forêt amazonienne brûlée pour être exploitée

 
Les Maldives inondés à cause du réchauffement climatique et des actions humaines. Ils seront submergés d’ici 50 ans.

 
La plus grande mine de diamant au monde a formé un immense trou en Russie

 
Un albatros tué par l’ingestion massive de plastiques dans les îles Midway

 
Les champs de pétrole de Kern River, en Californie, exploités depuis 1899

 
Un paysage recouvert de serres à Almeria en Espagne

 
Une vague pleine de détritus sur l’île la plus peuplée du monde, Java en Indonésie

 
Il y a 20 millions d’habitants dans la ville de Mexico

 
Grâce à ces photos, on prend pleinement conscience des effets dévastateurs
causés par notre mode de vie sur l’ensemble du monde. A la rédaction,
ces clichés nous ont bouleversés. On espère que le livre « Surdéveloppement, surpopulation, excès », illustrant l’état catastrophique de notre Terre, en fera réfléchir
plus d’un. Avez-vous conscience de l’impact des actions humaines sur
l’environnement ?
18/01/2016 - 18:21
Les chapelets de choco BN des années 70 ( série nostalgie)

Quand j'étais petite on appelait les biscuits BN des Chocos et ils étaient vendus en chapelets. Il y avait pas mal d'autres produits vendus sous cette forme dans les années 70-80, je repense notamment aux  jolis chapelets de bonbons acidulés qui étaient suspendus sur des tourniquets en boulangerie, ou les chapelets multicolores de berlingots de shampooing Dop.
 
J'aimais beaucoup ces ribambelles de Chocos, c'était vraiment pratique comme emballage même si ce n'était pas vraiment facile à ranger (ça se cassait un peu la figure dans les placards) et même si c'était parfois compliqué de les séparer. Il arrivait qu'on déchire de travers et qu'on ouvre malencontreusement deux paquets à la fois au lieu d'un seul, ce qui fait qu'on était obligé d'en manger deux... rhalala, vraiment pas d'bol !

Je me souviens de l'application qu'il fallait pour déchirer bien droit entre deux biscuits emballés (en sortant le bout de la langue, ça aide !). Avec le recul, je me dis qu'on aurait très bien pu découper proprement avec des ciseaux. Mais c'est comme avec
les berlingots de lait sucré Nestlé, c'était plus rapide de faire avec les mains et les dents !
 
Un peu d'histoire

La Biscuiterie nantaise (fondée en 1896 à Nantes) lance en 1922 le fameux Casse-Croûte BN, un biscuit simple et économique qui devient l’emblème de la marque.
Le Choco-BN quant à lui est né en 1933 sur une idée toute simple : tartiner un Casse-Croûte d’une couche de chocolat puis poser un autre biscuit dessus comme un sandwich. Il fut appelé Choco Cas’Croûte.

Resté en suspend pendant la guerre (où on préférait des biscuits plus économiques et plus nutritifs), il connut son heure de gloire à partir de 1952 en étant rebaptisé Choco BN : "le goûter complet, le goûter tout prêt".





A partir de 1964, les goûters se diversifient avec de nouveaux parfums.
Le BN fourré à la confiture de fraise est le premier à faire son apparition, suivi de l’abricot en 1966, de la cerise et du cassis en
1968 puis de la framboise en 1969. Quant au fourrage vanille, on en trouve la trace en 1972.

C'est aussi dans les années 60 que la marque innove en terme de packaging. Les chapelets de 6 biscuits en portion unique apparaissent en 1963. D'abord dans les épiceries sur des présentoirs spéciaux (comme on peut le voir à droite) puis en grande surface dans les années 70.

Sur la belle publicité colorée de 1972 ci-dessous, les chapelets sont appelés "accordéons".


C'est en 1965 qu'est apparu le paquet vertical familial de 16 chocos dont on a tous connu le packaging. Je me souviens parfaitement bien des portraits des enfants, on a le temps de bien les observer en dégustant ses biscuits ! Qu'ont-ils pu devenir ? 



Les "16 Choco BN" sont devenus "16 Goûters BN" en 1977, "16 BN" en 1978, "BN 16 Goûters fourrés" en 1986 (aujourd'hui c'est juste "BN" avec toujours 16 biscuits dans le paquet).

Le cultissime slogan et sa ritournelle "il est 4h, à la bonne heure, sortez des placards les quatre-heures… ", écrit par Richard Gotainer,
débarque en 1978 dans la pub télé "L’horloge" (pour info BN était présent à la télé depuis 1972).

Les ventes de biscuits doublent entre 1968 et 1980, les Goûters Fourrés BN occupent plus de 50% du marché national.

En 1984, la biscuiterie offrait des albums pour y coller des images Lucky Luke qu'on trouvait sur les paquets de BN et de casse-croûte :

 
Cette même année le paquet évolue, on ne voit plus de photos d'enfants dégustant les biscuits mais un dessin. 

En 1986, de nouveaux goûts apparaissent encore : chocolat au lait, chocolat-noix de coco et chocolat-noisette.



Ici deux pubs de 1984 :



En 1992, suite à son déclin face à la concurrence, la marque réussit à donner une seconde jeunesse à son biscuit emblématique en lui créant deux yeux et un sourire. Le biscuit abandonne également sa forme carrée pour avoir des sortes d'oreilles aux 4 coins.
Les mini BN quant à eux apparaissent en 1993 pour répondre à la mode du

snacking et cibler les jeunes adultes, mais finalement ce sont les jeunes enfants qui en sont les plus gros consommateurs.
 Malgré toutes ces nouveautés, BN n'est plus le premier sur le marché, la marque se trouve confrontée à la concurrence des Prince de LU et aux marques des distributeurs.
 
Il parait qu'avec ce nouveau look de smiley, les enfants ne séparent plus les deux biscuits pour manger le chocolat mais qu'ils croquent les coins/oreilles en premier. 

Au fait, il parait que cette technique qui consiste à séparer les deux biscuits pour lècher le chocolat, comme on l'a tous fait quand on était petits, s'appelle le "twist", on en apprend tous les jours !
18/01/2016 - 14:02
Faire passer le hoquet rapidement : la méthode qui marche.
Avoir le hoquet, cela arrive à tout le monde. Et quand il s’agit de le faire passer, chaque personne dans l’entourage croit connaître le petit truc immédiat qui marche à tous les coups. Et qui, bien sûr, ne fonctionne pas. Vous voulez épater vos amis, faire passer votre hoquet en un éclair ? Voici une technique vraiment efficace.

Servez-vous un verre d’eau et mettez un couvert en métal dedans, en contact avec l’eau. N’importe quel couvert convient : un couteau, une fourchette, une petite cuillère, etc.

Buvez ensuite le verre d’eau normalement, en maintenant le couvert dedans. L'important est que la partie métal du couvert soit et reste en contact avec l'eau.

Inutile d’arrêter de respirer ou de boire le verre « à l’envers » en vous penchant en avant ! Buvez simplement le verre d’eau en entier, à votre rythme.

Et c’est tout ! Normalement, votre hoquet disparaît instantanément. Dans les secondes et minutes qui suivent, il pourra vous
sembler que vous allez à nouveau hoqueter. Mais en fait non : le hoquet est bel et bien parti !

Remarques de l’auteur
? Personnellement, j’utilise cette méthode depuis des années (voire des dizaines) : pour moi, ça marche à tous les coups ! C’est vraiment infaillible.

? Pour toutes les personnes à qui j’ai fait tester cette astuce, même
constat : ça a toujours fonctionné, rendant d’ailleurs les « cobayes » assez incrédules (et aussi ravis que leur hoquet soit passé).

? Je n’ai trouvé aucune explication scientifique ou médicale au fait que cette technique fonctionne (en fait, je n’ai jamais cherché). Il doit bien y en avoir une, mais laquelle ? Mystère...

? Pour un hoquet à fréquence importante, persistant (plus de quelques minutes) ou répétitif, il est sage et prudent de consulter un médecin.
18/01/2016 - 12:36
LE LAC SORVAGSATN UN LAC SPECIAL ..... REGARDEZ VOUS MEME

 
Entre l'Islande et la Norvège, existe un lac appelé Sørvágsvatn, ce lac se trouve exactement
dans les îles Féroé, sur l'archipel de Varga.
Par une illusion optique, en effet, on dirait, que Sørvágsvatn est à 100 mètres, au-dessus de l'Océan Atlantique.


Clic ici......................http://dai.ly/x3m0apn
18/01/2016 - 09:15

BELLES PHOTOS

par GABOR DVORNIK
                  photographe hongrois





















 
18/01/2016 - 09:12

 
   Les cinq grands regrets
des personnes en fin de vie
         (Bronnie Ware)

J’ai travaillé pendant de nombreuses
années dans les soins palliatifs.
Je m’occupais des personnes qui
retournaient chez elles pour y mourir.
Nous avons partagé des moments absolument
inoubliables. Suivant les cas, je les ai
accompagnées pendant les trois à douze
dernières semaines de leur vie.

Les gens progressent énormément lorsqu’ils
savent qu’ils vont mourir. J’ai appris à
ne jamais sous-estimer l’aptitude de
quiconque à grandir. Certains changements
sont spectaculaires. Comme on peut s’y
attendre, chaque patient passe par toutes
sortes d’émotions : le refus d’admettre
la réalité, la peur, le remord, et à
nouveau le refus de la réalité, avant de
finir par accepter la situation. Mais je
dois dire que chacun a retrouvé la paix
avant de mourir. Chacun sans exception.

Lorsque j’ai interrogé mes patients
sur leurs éventuels regrets ou ce
qu’ils feraient différemment si
c’était à refaire, certains thèmes
récurrents ont fait surface. Voici
les cinq regrets les plus souvent
exprimés :

1. Je regrette de ne pas avoir
eu le courage de suivre ce que
me dictait mon cœur, au lieu de
conformer ma vie à ce que les
autres attendaient de moi.

C’est de loin le regret qui revient le
plus souvent. Quand les gens se rendent
compte qu’ils n’en n’ont plus pour très
longtemps à vivre et qu’ils revoient
leur vie avec lucidité, il leur est
facile de constater que nombre de
leurs rêves ne se sont pas réalisés.
La plupart n’avaient même pas concrétisé
la moitié de leurs rêves, et voilà qu’en
face de la mort il leur apparaissait
clairement que c’était une conséquence
directe des choix qu’ils avaient faits.

Il est très important de chercher à
honorer au moins quelques-uns de vos rêves
au cours de votre vie. Une fois que vous
perdez la santé, c’est trop tard. La santé
procure une forme de liberté que très peu
de gens apprécient avant d’en être privés.

2. Je regrette d’avoir accordé
autant d’importance à mon travail.

Voilà quelque chose que m’ont dit tous
les patients masculins dont j’ai eu à
m’occuper. Ils avaient à peine vu grandir
leurs enfants et ils regrettaient de ne
pas avoir passé davantage de temps avec
leur compagne.  

Les femmes ont exprimé le même regret.
Mais, étant donné que la plupart
appartenaient à l’ancienne génération,
nombre d’entre elles n’avaient jamais
eu à travailler pour subvenir aux besoins
de leur foyer. Tous les hommes que j’ai
soignés regrettaient profondément d’avoir
été les esclaves du « métro-boulot-dodo ».  

Si vous simplifiez votre style de vie,
si vous vous appliquez à faire les bons
choix, vous vous rendrez sans doute compte
que vous n’avez pas besoin de gagner autant.
En vous réservant plus d’espace pour vivre,
vous serez plus heureux, plus disponible
par rapport à toutes les opportunités qui
pourront s’offrir à vous et qui
correspondront davantage à votre nouveau
mode de vie.

3. Je regrette de ne pas avoir eu
le courage d’exprimer ce que je
ressentais au fond de moi-même.

Beaucoup de mes patients avaient refoulé
leurs émotions afin d’éviter les conflits.
Au point que nombre d’entre eux étaient
tombés malades sous l’effet de l’amertume
et du ressentiment.

En conséquence, ils s’étaient contentés
d’une existence médiocre et n’étaient
jamais devenus ce qu’ils auraient pu
devenir.

Il ne nous est pas donné de contrôler
les réactions des autres. Cependant,
même si initialement les gens
réagissent mal lorsqu’on essaye de
changer les choses en parlant avec
franchise, au bout du compte, cela
permet d’avoir une relation beaucoup
plus saine. Ou pour le moins, cela
nous libère d’une relation invivable.
D’un côté comme de l’autre, on a tout
à gagner.

4. Je regrette de ne pas être resté
en contact avec mes amis.

Bien souvent, c’était seulement durant
les dernières semaines de leur vie que
les gens mesuraient quelle chance ils
avaient d’avoir de vieux amis, mais il
n’était pas toujours possible retrouver
leurs traces.

Beaucoup s’étaient à tel point laissés
prendre par la vie qu’ils avaient, au
fil des ans, négligé de précieuses
amitiés. Ils regrettaient amèrement
de n’avoir pas accordé à leurs
relations d’amitié le temps et
l’attention qu’elles méritaient. Tout
le monde aimerait avoir ses amis près
de soi à l’heure de la mort.

C’est le lot de tous ceux qui mènent
une vie active : ils risquent fort de
négliger leurs amitiés. Mais en face
de la mort, les soucis de la vie
s’estompent. Les gens veulent mettre
de l’ordre dans leurs finances, autant
que possible. Mais ce n’est pas tant
l’argent ou le statut social qui
revêtent de l’importance à leurs yeux :
ils veulent mettre leurs affaires en
ordre par égard pour leurs proches.
 
Hélas, bien souvent, ils sont trop
malades, trop fatigués pour mener à
bien cette tâche. À la fin, tout ce
qui compte, c’est l’amour et les
relations. C’est tout ce qui reste
dans les dernières semaines :
l’amour et les relations.

5. Je regrette de ne pas avoir
osé être plus heureux.

Voilà quelque chose qui revient
étonnamment souvent.

Pour beaucoup, il a fallu attendre la
fin de leur vie pour comprendre que
le bonheur est un choix.

Ils étaient restés prisonniers de
certaines mentalités, de vieilles
habitudes de penser. Le soi-disant
« confort » de la familiarité avait
fini par envahir leurs émotions ainsi
que leur vie matérielle et physique.
La peur du changement les avait
incités à se mentir à eux-mêmes
et aux autres, en prétendant être
satisfaits de leur vie. Alors qu’au
plus profond d’eux-mêmes, ils
aspiraient à rire de bon cœur et à
retrouver un brin de folie.

Quand vous êtes à l’article de la
mort, vous êtes à mille lieux de vous
inquiéter de ce que les autres pensent
de vous. Oh qu’il est beau de pouvoir
se détendre et sourire à nouveau,
pendant qu’on est encore en vie !

La vie est un choix.

C’est VOTRE vie à vous.

Choisissez en pleine connaissance
de cause, choisissez avec sagesse
et honnêteté.

Choisissez d’être heureux.
18/01/2016 - 09:10
                                 A seulement 11 ans, ce jeune garçon réalise de magnifiques dessins avec une précision époustouflante


Dušan est un enfant de 11 ans que l’on peut d’ores et déjà qualifier de
prodige du dessin. Ce garçon réalise de superbes créations qui
fourmillent de détails dans lesquelles l’anatomie de la faune et celle
de la flore sont respectées à la perfection. DGS vous fait découvrir les
oeuvres fabuleuses de ce jeune maître.
Dušan Krtolica est un artiste serbe de seulement 11 ans. Il dessine depuis ses 2 ans
et ne s’est jamais arrêté depuis. Il se passionne pour les animaux et
les plantes, notamment les espèces disparues telles que les dinosaures.
Il adore tout simplement les dessiner, avec le plus de détails possible,
ce qu’il parvient à faire avec maestria.
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Dušan veut plus tard faire une carrière de zoologiste. Il déclare : « Quand
je serai grand, j’aurai étudié les animaux et publié un livre sur eux,
mais je vais tous les dessiner. » Il a encore de nombreuses années avant
de changer d’avis, mais espérons qu’ils reste dans cette voie pour
laquelle il semble incroyablement doué.






















Nous avons été très impressionnés par Dušan et ses réalisations. Ce garçon possède vraiment un don pour le dessin !
Nous lui souhaitons de continuer à vivre sa passion et nous avons hâte
de voir ses prochaines oeuvres. A la rédaction, nous étions nombreux à
dessiner au même âge, mais nos animaux étaient loin de rivaliser avec
ceux de Dušan . Pensez-vous que cet enfant puisse devenir artiste renommé à l’avenir ?


17/01/2016 - 14:48
                                             Le cimetière des chiens


Laissez-moi vous conduire aujourd’hui dans un lieu fort insolite : le cimetière des chiens d’Asnières.
Un cimetière qui porte en réalité assez mal son nom puisqu’il accueille de nombreux chats ainsi que des lapins, des oiseaux, des
chevaux, des souris, des tortues, des hamsters, une gazelle, un lion et
un singe. C’est dire que je pourrais moi-même y être enterré.
Heureusement l’heure n’a pas encore sonné, je saute de branches en
branches comme au premier jour.
Le cimetière des chiens est fondé en 1899 par l’auteur Georges Harmois et la journaliste féministe Marguerite Durand, créatrice du
journal La Fronde. La mairie d’Asnières acquerra le site en 1987 pour assurer sa survie suite à la fermeture décidée par ses gestionnaires.
On y trouve actuellement 869 concessions, dont certaines abritent des animaux célèbres comme Rintintin et Prince of Wales, ou des animaux
d’illustres propriétaires tels que Camille Saint-Saëns, Courteline
et Alexandre Dumas.
Cela ne l’empêchera pas de faire l’objet, pendant les premières décennies du XXème siècle, de virulentes diatribes provenant notamment
du monde catholique. Le journal La Croix dénoncera une « sottise dépravée », une « grotesque déviation des sentiments ». Léon
Bloy évoquera quant à lui « les puantes âmes » des maîtres et des
maîtresses.
D’autres critiques dénoncent l’aspect mercantile de l’affaire ou mettent l’accent sur l’iniquité de traitement entre ces animaux morts
et les pauvres gens qui sont eux ensevelis dans la fosse commune.
On est frappés sur place par la grande similarité entre les sépultures humaines communes à nos cimetières et ces tombes animales qui
en constituent les avatars miniatures, exception faite toutefois des
symboles religieux qui y sont proscrits. Certains animaux portent
d’ailleurs des prénoms habituellement réservés aux humains (Louis,
Clément…) illustrant le changement de statut qui s’est opéré depuis un
siècle en faisant passer l’animal de domestique à familier puis
de familier à « familial » en quelque sorte. La lecture des épitaphes
montre que la frontière entre l’humain et l’animal s’efface largement :
le chien, le chat, deviennent le bébé, l’enfant, la femme ou le mari
parfaits, un objet affectif de substitution qui comble le vide
en représentant dans le même temps un idéal de constance, d’amour et
d’honnêteté. Le compagnon à quatre pattes est celui qui ne trahit pas,
qui n’abandonne pas, qui reste fidèle, contrairement aux humains (aux
hommes sans doute). Cette manière de se représenter l’animal et de vivre
avec lui revêt une force très particulière : le cimetière des chiens
enferme bien plus de personnes recueillies que dans tout autre
cimetière. Le culte dévolu à l’animal manquant ne connaît pas de limite,
quelques tombes sont imposantes, beaucoup regorgent de décorations,
d’inscriptions, de fleurs, d’objets et de photos. La semaine passée j’ai
discuté pendant une demi-heure avec une gentille vieille dame qui
embrassait une tombe. Mais au delà du culte rendu, le cimetière comble à
son tour la solitude de personnes souvent âgées (mais pas toujours). Il
devient un socle de sociabilité, de repères et de compréhension
partagée. L’entrée étant payante pour les visiteurs, le cimetière n’en
reçoit que très peu. Les maîtres et maîtresses esseulés se retrouvent
entre eux dans un espace qui est le leur et dans lequel on entre sur la
pointe des pieds.

Le monument érigé à la mémoire des chiens policiers victimes du devoir :

Le monument, proche de l’entrée, à la gloire du chien Barry qui aurait sauvé 40 personnes :

L’allée extérieure du cimetière :

L’entrée du cimetière sera gratuite lors des journées du patrimoine des 20 et 21 septembre. Au grand dam du gardien qui m’a avoué préférer
sa quiétude habituelle à ces journées d’affluence. Comme je le comprends
!
17/01/2016 - 13:05
                                     
Conserver des fleurs coupées plus longtemps dans un vaseMots clés :
Vous avez acheté un joli bouquet de fleurs, ou quelqu'un vous l'a offert, et vous aimeriez que ce bouquet embellisse votre intérieur le plus longtemps possible ? Voici quelques gestes simples et faciles à mémoriser, qui vous éviteront que des fleurs coupées placées dans un vase flétrissent trop vite.


Une fleur coupée meurt assez rapidement, mais il existe des petites astuces pour prolonger (un peu) la durée de vie et le charme d'un bouquet.

Au déballage, avant de mettre le bouquet dans le vase, coupez les tiges sur environ 1 à 2 centimètres, non pas en coupe droite mais en biseau
(de biais). Enlevez également les feuilles, dans le bas des tiges, qui
risqueraient d'être immergées.

Nettoyez votre vase, éventuellement avec un peu d'eau de Javel, puis rincez-le. Remplissez le vase seulement à moitié d'eau, car si votre bouquet est trop immergé, les fleurs s'ouvriront plus rapidement.

Une fois le bouquet positionné, placez le vase à un endroit lumineux, près d'une fenêtre, mais évitez l'exposition directe au soleil. À
éviter également : les courants d'air et les sources de chaleur trop
proches (radiateur ou autre).

Pour l'entretien du bouquet, changez l'eau du vase tous les deux jours. À cette occasion, rincez soigneusement le vase, et coupez à nouveau les
tiges des fleurs sur un ou deux centimètres, en biseau comme la
première fois.

Pour conserver encore un peu plus longtemps votre bouquet de fleurs coupées, sachez qu'il existe des produits spéciaux – liquides ou à diluer – que l'on trouve en jardinerie, chez certains fleuristes ou même souvent en hypermarché.

À défaut, si vous préférez jouer l'économie, vous pouvez essayer ce petit truc de grand-mère, qui consiste à ajouter quelques gouttes d'eau de Javel à l'eau du vase.

Les produits nutritifs pour fleurs coupées ne se contentent pas de nourrir les fleurs. Ils permettent également d'assainir et de
purifier l'eau du vase, qui restera claire plus longtemps. Bien utile
pour les vases transparents ! Ces produits présentent aussi l'intérêt de
retarder l'apparition de mauvaises odeurs.

Votre fleuriste propose peut-être, gratuitement, des petits sachets conservateurs pour fleurs coupées ? Lorsque vous achetez un bouquet, s'il ne vous en propose pas
spontanément, n'hésitez pas à le lui demander. On ne sait jamais...