Si vous souhaitez partir pour un voyage d'exception, ces 20 hôtels incroyables vous offriront un séjour vraiment pas comme les autres. Entre grand luxe et hébergement insolite, embarquez pour un voyage inoubliable !
Nous avons sélectionné pour vous les 20 hôtels les plus originaux de la planète. Du fond des mers aux neiges du Grand Nord, en passant par une ancienne église, des grottes, un avion réaménagé ou encore des bulles transparentes en France, il y en a vraiment pour tous les goûts, et vous n'êtes pas au bout de vos surprises ! On vous réserve une chambre ?
1. Conrad Maldives, Rangali Island
2. Ice Hotel, Jukkasjarvi, Suède
3. Fairy Chimney Hotel, Turquie
4. Montana Magica Lodge, Chili
5. Martin’s Patershof Church Hotel, Malines, Belgique
6. The Glass Floor Udang House, Bali, Indonésie
7. Giraffe Manor, Kenya
8. Äscher Cliff, Suisse
9. Plane Hotel, Costa Rica
10. Ancienne mine d'argent - Sala Silvermine, Suède
11. Harry Potter Hotel, Londres
12. Hotel Kakslauttanen, Finlande
13. Southern Ocean Lodge, Australie
14. Hôtel flottant Manta Resort, Zanzibar
15. Amsterdam Zaandam Inntel Hotel, Pays-Bas
16. Kolarbyn Ecolodge, Suède
17. Caravan Hotel, Huttenpalast, Berlin
18. Attrap’Rêves, Allauch, France
19. Free Spirit Spheres, Canada
20. Hang Nga Guesthouse, Vietnam
Voilà, ce petit tour du monde des hôtels les plus originaux se termine. Nous espérons que le voyage vous aura plu et, surtout, qu'il vous aura donné l'envie de découvrir de nouveaux horizons... En attendant, vous pouvez toujours faire un tour sur notre comparateur pour trouver une chambre d'hôtel au meilleur prix...
L'histoire Opinel Opinel vous raconte le fabuleux destin d'un petit couteau savoyard inventé par Joseph Opinel en 1890, devenu objet de notre quotidien, aujourd'hui élevé au rang d'icône du design mondial. Une saga familiale au coeur des Alpes, en Savoie.... Pour en savoir plus, nous vous invitons à visiter le Musée Opinel situé à Saint-Jean-de-Maurienne.
1800 Forgerons de père en filsVictor-Amédée Opinel, colporteur, apprend à forger des clous lors de ses tournées. Il installe son premier atelier de forge à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux, près de Saint-Jean-de-Maurienne. Son fils Daniel travaille ensuite à ses côtés et reprend l'atelier au décès de son père. Il deviendra un taillandier renommé très apprécié des paysans qui venaient de loin pour lui acheter serpes ou faucilles... *taillandier : fabricant d'outils qui ont un tranchant 1872 Naissance de Joseph OpinelJoseph Opinel est le fils aîné de Daniel Opinel. Il naît en 1872 à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux. Joseph a deux frères, Jean (1877-1943) et Albert (1885-1905), et trois soeurs, Marie (1875-1968), Alphonsine (1879-1959) et Sylvie (1881-1886). 1890 Atelier familialEn 1890 Joseph Opinel a 18 ans et travaille dans l'atelier de taillanderie familial. Il est passionné par les nouvelles machines et techniques, ainsi il monte lui même son appareil photo et devient rapidement le photographe des mariages et évènements de son pays. Sa passion des machines et des process de fabrication vont lui donner envie d'inventer un objet qu'il veut pouvoir fabriquer avec les techniques modernes. Contre l'avis de son père, qui aimait le travail artisanal et se méfiait des machines, il passe ainsi son temps libre à peaufiner la forme et la fabrication d'un petit couteau de poche : l'Opinel est né ! 1897 Série N°1 à N°12Joseph Opinel a l'idée de décliner son couteau en différents formats qui pourront convenir aux mains grandes ou petites et être dédiés à différents usages. Ainsi en 1897, il met au point 12 tailles numérotées de 1 à 12. Le plus petit couteau, le N°1, était doté d'un anneau pour pouvoir être accroché à la chaîne de montre de gousset. Sa fabrication et celle du N°11 ont été arrêtées vers 1935. Aujourd'hui le plus petit Opinel, le N°2, présente une lame de 3.5 cm, et le N°12, une lame de 12 cm. Dans les années 70, un couteau géant avait été fabriqué en petite quantité comme objet publicitaire pour les vitrines des commerçants.... qui ont très vite demandé à l'entreprise de les fabriquer en grande série pour les vendre aux particuliers ! Le géant N°13 est doté d'une lame de 22 cm et mesure 50 cm ouvert ! 1901 L'usine du pont de GevoudazLe succès commercial ne se dément pas, Joseph doit fabriquer plus de quantités.Il quitte la forge de son père et construit son usine au pont de Gevoudaz, près de l'atelier familial. Dans ce nouveau bâtiment, il souhaite rationnaliser la production et met au point des machines pour fabriquer les manches plus rapidement. Grâce à sa turbine hydraulique, il est le premier habitant de la commune à avoir l'électricité ! Après avoir installé un réseau dans son atelier et sa maison, il décide d'éclairer de quelques ampoules le sentier qu'il emprunte pour aller à l'usine. Une grand-mère du village, épatée par son installation, lui demandera comment il a pu "faire passer du pétrole dans les fils"... 1909 La Main CouronnéeEn 1565 le roi de France Charles IX ordonne que chaque maître coutelier appose un emblème sur ses fabrications pour en garantir l’origine et la qualité. En 1909, respectant cette tradition, Joseph Opinel choisit pour emblème La Main Couronnée. La main bénissante est celle de Saint Jean-Baptiste figurant sur les armoiries de Saint-Jean-de-Maurienne, la ville la plus proche d’Albiez-le-Vieux, berceau de la famille Opinel. Joseph Opinel ajoute une couronne pour rappeler que la Savoie était un duché. Depuis, toutes les lames des couteaux et outils Opinel sont poinçonnées de La Main Couronnée. 1911 L'exposition internationale alpine de TurinEn 1911 Joseph Opinel participe à Turin à l'Exposition Internationale Alpine. Pour l'occasion il fait fabriquer une magnifique vitrine avec un cadre en bois ouvragé dans laquelle il présente son fameux couteau de poche décliné en douze tailles mais également les couteaux de cuisine, de table, les rasoirs, les ciseaux, les sondes à fromage, les serpettes, les tire-bouchons qui sont venus étoffer rapidement la collection... Séduit, le jury lui remet la médaille d'or ! La vitrine de 1911 est exposée au sein de l'entreprise Opinel, le diplôme est conservé précieusement dans nos archives... 1915 Le grand déménagement !Joseph devine qu'il ne pourra jamais développer son entreprise si il reste dans son hameau perdu. En pleine guerre, il décide de sillonner la région pour trouver l'endroit idéal, et c'est dans les faubourgs de Chambéry, à Cognin, qu'il trouvera à acheter une ancienne tannerie avec sa chute d'eau sur le canal de l'Hyères. Les locaux sont vétustes mais à proximité de la gare de Chambéry, être au coeur d'un réseau ferré et routier important est un atout non négligeable. Le déménagement de Gevoudaz à Saint-Jean-de-Maurienne se fait à dos de mulets et de boeufs, puis par train jusqu'à Chambéry...Quelques mois sont nécessaires pour rénover les locaux et à partir de 1917, Joseph, épaulé par ses deux fils, Marcel et Léon, débute le développement industriel et commercial d'Opinel. 1926 L' incendieLes copeaux produits par le façonnage des manches ont toujours été brûlés pour chauffer les ateliers. Aujourd'hui encore pour chauffer l'usine, les copeaux sont brûlés dans une chaudière mixte qui permet d’économiser environ 200 000 litres de fuel par an. En janvier 1926 un poêle mal éteint provoque un incendie qui détruit l'ensemble du bâtiment. La famille Opinel fait face à cette catastrophe et décide de reconstruire au même endroit de nouveaux locaux modernes et adaptés à leur production. 1927 La nouvelle usineEn quelques mois une usine moderne est construite et inaugurée en 1927, le jour du baptême de Maurice, le premier enfant de Marcel. Aujourd'hui cette usine est fermée. En 2013, l'atelier viroles, le dernier atelier encore en activité a été déplacé sur le site de Chambéry. 1950 Maurice OpinelEn 1950, le fils de Marcel entre à son tour dans l'entreprise. Il a 23 ans et consacre ses premières années à seconder son oncle Léon qui était en charge du commercial et de l'administratif. Marcel, amoureux fou des machines à l'instar de son père, était en charge des ateliers et de la production. A cette époque l'entreprise comptait une cinquantaine de salariés. Aujourd'hui Maurice Opinel est le président de la société. 1955 Invention du ViroblocÀ l’origine quatre composants forment le couteau Opinel, la lame, la virole fixe, le rivet et le manche. La virole fixe est nécessaire pour pouvoir riveter solidement la lame au manche. En 1955, soucieux d’améliorer la sécurité d’utilisation du couteau, Marcel Opinel invente le système Virobloc®. Il ajoute une virole tournante qui en coulissant sur la virole fixe peut fermer la fente et ainsi bloquer la lame dépliée. L’idée est simple mais sa réalisation est complexe. Dans les années 90 le système Virobloc® est modifié pour permettre de bloquer la lame en position fermée. Réservé dans un premier temps à quelques références, il est généralisé sur tous les modèles en 2000. 1960 Décès de Joseph OpinelLe 29 janvier est une date maudite pour la famille Opinel. C'est ce jour-là en 1926 que l'incendie ravage la première usine de Cognin. Ce jour-là aussi qu'en 1960 Joseph Opinel décède à 88 ans après une vie consacrée à son entreprise. Et trente ans jour pour jour après son père, c'est le 29 janvier 1990 que décèdera Marcel Opinel. 1973 Le nouveau site de ChambéryLes trente glorieuses accélèrent la demande et au début des années 70, l’usine est à l’étroit dans la rue principale de la petite ville de Cognin, aux portes de Chambéry. Il est alors décidé de construire un nouveau site de production plus spacieux et moderne à quelques kilomètres, dans une zone industrielle chambérienne, au lieu-dit La Revériaz. Dans un premier temps dédié à l’activité bois et au montage-conditionnement, il est depuis 2003 le site principal et le siège de l’entreprise. 1985 L'Opinel, icône du designObjet populaire et du quotidien, l'Opinel est un objet dont l'esthétique et la fonctionnalité ont su convaincre des générations d'utilisateurs. Inchangé depuis plus d'un siècle, son design est l'un des plus aboutis de tous les temps. Et c'est à ce titre, qu'en 1985 l’Opinel est consacré au « Victoria and Albert Museum » parmi les cent objets les mieux dessinés du monde à côté de la Porsche 911 et de la montre Rolex. 1989 Opinel entre dans le dictionnaireOpinel fait partie du patrimoine culturel français, il est cité dans de multiples ouvrages. En 1989 il est référencé dans le dictionnaire Larousse, au même titre que les marques Bic, Frigidaire ou Solex, en tant que nom déposé et avec la définition actuelle suivante : Couteau fermant à manche en bois portant une saignée dans laquelle vient se loger la lame en position de fermeture. 1998 La saga familiale se poursuitEn 1998, Maurice Opinel confie la direction générale de l'entreprise à son fils aîné Denis, entré dans l'entreprise en 1973. 2003 Construction du nouveau siège socialPour faciliter les flux de production et la vie de l'entreprise, il est décidé de concentrer peu à peu toutes les activités sur un seul site. Ainsi en 2003 le siège social est déplacé de Cognin à la Revériaz. Un nouveau bâtiment est construit dans le prolongement des ateliers. Au 508 boulevard Henry Bordeaux à Chambéry, l'ensemble des bâtiments représente désormais une surface d'environ 5000 m2. 2006 Nouvelle consécration !Dans le « Phaidon Design Classics », magnique ouvrage composé de 3 volumes, le couteau de poche Opinel est consacré comme l’un des 999 designs les plus aboutis de tous les temps par un jury de designers internationaux. 2010 La cuisine à l'OpinelA l'occasion des 150 ans du rattachement de la Savoie à la France, Opinel publie le livre "La Cuisine à l'Opinel". C'est un véritable voyage gourmand au pays de l'Opinel : portraits et recettes de 25 chefs étoilés de Savoie, Haute-Savoie, Piémont et pays Niçois, accompagnés d'anecdotes passionnantes sur l'histoire de la gastronomie savoyarde écrites par Annie Victor, le tout illustré par les photographies d'Anthony Cottarel. Le livre reçoit le 1er prix au Gourmand World Cookbook Awards 2009, dans la catégorie Best Corporate Book France. (Livre paru aux Editions Lagon Rouge, stock épuisé). 2013 Le Musée Opinel En 1989, avec l’accord de la société Opinel, Jacques Opinel transforme en musée l'atelier de son grand-père Jean (frère de Joseph), lui aussi forgeron-taillandier. Situé à saint-Jean-de-Maurienne, le Musée Opinel devient l’un des tous premiers sites visités en Savoie. En 2013 la société Opinel, Jacques Opinel et son fils Maxime, ont procédé à l’agrandissement et à la rénovation de ce musée privé et gratuit retraçant l’histoire de l’Opinel®. Vous découvrirez les origines familiales et savoyardes de l’Opinel, l’évolution des techniques de fabrication, le développement industriel et commercial de la marque. La visite se conclue par un film réalisé au sein des ateliers et présentant le processus de fabrication actuel. + info 2014 Opinel, au fil de l'histoireUne saga familiale, un destin hors du commun, il a fallu attendre 2014 pour qu'Opinel se décide enfin à dévoiler son histoire dans un ouvrage de 160 pages écrit par l'auteur-journaliste Jean-François Mesplède, ancien directeur du Guide Michelin France. Préfacée par Paul Bocuse et Michel Desjoyeaux, l'histoire racontée grâce aux confidences de Maurice et Denis Opinel et aux témoignages de salariés de l'entreprise, est illustrée par de magnifiques documents d'archive et les photographies de Thierry Vallier. (Editions Page d'Ecriture, 25 €). Des couteaux aux fonctions multiples fabriqués en FranceLes couteaux spécialistes sont dédiés à des usages spécifiques tout en conservant l’ergonomie légendaire du traditionnel OPINEL: N°08 Outdoor, N°10 Tire-bouchon, N°09 Huîtres, N°09 Bricolage... Bricolage Ce couteau plein de ressources est équipé de deux mini-tournevis, plat et cruciforme, pour vous dépanner en toute circonstance. Il est doté d’une lame robuste est en acier inoxydable avec coupe-fil et dénudeur.
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Outdoor Le n°8 est un couteau multifonction parfaitement adapté a la pratique d'activités de plein air : alpinisme, trek, spéléo, nautisme… Très robuste, il peut couper des cordes et résiste aux conditions les plus extrêmes.
Comment fête-t-on Noël Orthodoxe-Rozdiestvo le 7 janvier.
Noël Orthodoxe, contrairement à Noël catholique est fêté le 7 janvier. Savez-vous pourquoi? Noël orthodoxe russe L’Europe vivait autre fois selon le calendrier julien. A la fin du 16ème et au début du 17ème siècle la plupart des pays ont adopté le calendrier grégorien et le 25 décembre a été reporté de 14 jours. En Russie le calendrier grégorien a été également accepté et les célébrations de Noël ont continué comme d’habitude le 25 décembre, mais qui, dans la nouvelle chronologie grégorien, tombe à 7 Janvier. Pour la même raison la Russie célèbre traditionnellement deux fois la nouvelle année: le principal » Jour de l’An » le 31 décembre (selon le calendrier grégorien) et le » Vieux Nouvel An » le 14 Janvier (selon le calendrier julien).
Noël catholique et orthodoxe est très similaire dans sa célébration. Dans les deux on retrouve une table de fête, des cadeaux, les feux d’artifice, sans oublier l’indispensable sapin de Noël – » Jolka » en russe. Mais une chose importante, du point de vue de profane, rend les deux fêtes différentes.
Le personnage principal de Noël catholique qui est le » Petit Jésus » (le Père Noël, Santa Klaus ou autre selon le pays) apporte les cadeaux la nuit de Noël – le 25 décembre. En Russie, ce n’est pas le Père Noël, mais » Ded Moroz » qui apporte les cadeaux. Il ne vient pas la nuit de Noël, mais la nuit du Nouvel An le 1er janvier. Il est accompagné de sa petite-fille « Sniegurochka « . Ils distribuent ensemble les cadeaux qui raviront les petits et les grands.
Voici quelques coutumes de Noël très populaires en Russie :
1. La divination de Noël. C’est surtout les filles qui sont friande de connaitre son avenir et les sujets les plus demandés sont la richesse et le mariage.
2. C’est surtout dans les villages russes qu’on continue la coutume de jetter aux poules le blé de Noël. On croyaient que plus les poules et les poulets en mangent, plus l’année prochaine sera riche.
3. Pour savoir si la fille allait se marier bientôt, les filles enroulaient autour des moutons leurs ceintures et le matin allaient vérifier à l’écurie dans quelle direction les moutons sont tournés : s’ils étaient en direction de la porte, c’était un signe d’un mariage proche.
4. Et enfin pour connaitre le visage de son future fiancé, la fille mettait la nuit du Nouvel An une bague de fiancaille dans un verre d’eau. Elle croyait pouvoir apercevoir le visage de celui qui lui est destiné dans la lumière vacillante des chandelles. Dans toute la Russie on met une bougie allumé dans la fenêtre le soir de Noël pour que le Jésus sache qu’il est attendu dans cette maison.
La gastronomie pendant la période des fêtes en Russie:
Noël débute en Russie le 28 novembre par un jeûne, le premier dimanche de ce carême, les Russes consomment du poisson, ils entament ainsi les quarante jours maigres. Ce jeûne se termine le jour de Noël,en principe le 6 janvier, quand les enfants aperçoivent : « la première étoile dans le ciel, le repas de Noël commence, on sert alors « les douze plats végétariens« . »
Le réveillon commence en général par l’office religieux, les fidèles se rendent dans les églises. Ils attendent l’apparition de la première étoile, en référence à l’étoile de Bethléem et des Rois Mages, avant de festoyer. Ils mangent à cette occasion des petites galettes de pain azyme, et s’échangent leurs vœux de bonheur.
Sur la table de Noël, on trouve des pâtés farcis de riz, de champignons et d’oignons et des spécialités marinées dans le vinaigre. Le plat principal est une oie farcie de pommes. On boit de la vodka et du thé avec l’eau chauffée dans le samovar. Le repas s’achève par deux desserts : la koutia (mélange de blé et de fruits) et l’uzvar (compote de fruits secs).
A la fin du repas, les Russes laissent sur la table une assiette de polach (pain tressé) entre deux chandelles allumées en mémoire des défunts de la famille. Les fêtes de Noël se terminent le 19 janvier par un baptême d’eau, les prêtres font un trou en forme de croix dans la glace d’un lac ou d’une rivière, puis célèbrent l’office, certains peuvent renouveler leur baptême en se baignant, dans l’eau glacée.
La Capitale des Lumières A ne parler que de Paris, on en oublierait que la Capitale du feu était Lyon. Lugdunum de son nom Gallo-Romain. Une ville au cœur de laquelle, une fois enraciné, il est dur de partir. Bref, Lyon une de ces destinations où il fait bon vivre et où un séjour s'impose à n'importe quel moment de l'année.
La Presqu'île de Lyon De Perrache à la Place des Terreaux, s'étendent les petites rues pavées et les statues qui forment le cœur de la ville. Mais si nous devions résumer cela en trois points précis, nous devrions parler de la Place Bellecour, en passant par la Place des Jacobins et sa fontaine.
Et ce, sans parler de l'incontournable basilique Notre-Dame de Fourvière qui surplombe la ville et offre une vue imprenable !
Fontaine des Jacobins
La Basilique
Et si un petit creux s'installe ? Lyon est considérée par beaucoup comme la capitale de la gastronomie. La ville compte des dizaines de bouchons (noms de restaurants typiquement lyonnais) qui offrent une large gamme de produits et plats locaux. La ville est aussi fière de son grand chef cuisinier : Paul Bocuse. Désigné comme cuisinier du siècle par plusieurs guides, il a notamment inspiré le chef Gusto dans le film Disney Ratatouille.
Des envies de shopping ? En plus de ses boutiques de charme et de luxe dans son centre, Lyon possède plusieurs centres commerciaux, dont le fameux centre de la Part-Dieu et ses 260 boutiques qui attirent bon nombre de Lyonnais et Lyonnaises.
Le Parc à la Tête d'Or A Paris, il y a la Goutte d'Or et à Lyon, la Tête d'Or, qui elle, vaut beaucoup plus le détour. Le parc et ses 117 hectares accueillent chaque année 3 millions de visiteurs. Le jardin botanique, les roseraies extérieures et le parc zoologique sauront ravir tout le monde et faire du lieu une étape incontournable à votre séjour. Rien de mieux qu'y organiser un pique-nique entre amis ou en famille.
Place à la culture - Le musée des Confluences de Lyon Entre le vieux Lyon, ses traboules et son centre gallo-romain, la ville est un musée à elle toute seule. Elle peut aussi se vanter de son nouveau Musée des Confluences qui ressemble à un vaisseau spatial et a accueilli la grande exposition "Star Wars Identités".
Le nouveau stade - Pour les plus sportifs Au premier match de janvier, les joueurs de Lyon et les supporters pourront profiter du nouveau stade des Lumières. Un stade pour les collectionner tous, les accueillir tous.
La fête des Lumières Parler de Lyon sans mentionner la Fête des Lumières, c'est comme visiter Paris sans aller voir la Tour Eiffel, c'est comme commander une glace sans cornet. Chaque année, des millions de touristes écument les rues de Lyon pour les magnifiques œuvres d'artistes venus du monde entier. La tradition veut que chaque 8 décembre, toutes les fenêtres de Lyon s'illuminent de lumignons colorés. En ces périodes fraîches, c'est l'opportunité d'admirer le ballet de couleurs qui ornent et réchauffent les murs de la ville.
Le soir, la ville se réveille Et comme chaque séjour ne peut se faire sans une petite sortie, si Lyon bouge le jour, elle est aussi mouvementée la nuit. Véritable melting-pot d'étudiants, la ville regorge de bars branchés où la musique et les plus festifs s'imposent et prouvent une fois de plus que Lyon est aussi jeune et dynamique.
Les Lyonnais savent accueillir dans les meilleures conditions et sont fiers de faire visiter leur ville Lumière.
Mondialement connu comme l'un des spécialiste des sports aériens de l'extrême, l'acrobate-poète s'est tué accidentellement à l'âge de 32 ans en préparant un spectacle d'acrobaties aériennes, ce mardi, dans la Drôme.
Il repoussait les limites du vide. Sur une sangle en tissu tendue entre deux falaises à plus de 4000 mètres (highline, version aérienne de la slackline), en parachute après s'être fait catapulter dans les airs (base jump), en sautant depuis un pic rocheux dans une combinaison en forme d'ailes (wingsuit), Tancrède Melet aura essayé tous les domaines du sport aérien extrême. Il s'est tué accidentellement, à 32 ans, ce mardi 5 janvier, dans la Drôme. Il se trouvait au sol pour maintenir une montgolfière afin de répéter une acrobatie quand l'aérostat l'a embarqué, provoquant sa chute sur plus de 20 mètres, rapporte le Dauphiné Libéré. Ce funambule des temps modernes était reconnu mondialement dans le milieu des sports extrêmes. Alpiniste de haut niveau, il était le leader de la compagnie de voltige Flying Frenchies, un collectif d'athlètes et d'artistes réunis autour d'une même passion pour les sports d'aventure et les grands espaces. Leurs exploits filmés, à la fois performances sportives et aventures bohèmes et comiques, rassemblent des millions d'internautes. Après une brève carrière en tant qu'ingénieur, Tancrède Melet, né en Meurthe-et-Moselle, avait démissionné pour se lancer dans sa passion dont il vivait en réalisant des spectacles vivants ou en tournant des publicités, comme celle-ci pour un site de rencontres sur Internet.
Tancrède Melet était surtout connu pour ses prouesses sportives. Il s'est offert le premier saut en wingsuit (combinaison en formes d'ailes) depuis l'Aiguille de la République, qui culmine à 3305 m d'altitude, dans le massif du Mont-Blanc.
En décembre 2013, il avait réalisé un exploit en Savoie sur une sangle en tissu tendue entre deux cabines de téléphériques à 380 mètres d'altitude.
La drogue est un fléau universel. Cause de nombreux conflits et de misère, sa consommation mais surtout son trafic représentent un combat de tous les jours pour les autorités. SooCurious vous présente quelques chiffres pour vous éclairer sur ce sujet parfois controversé. Il y a 27 millions de toxicomanes dans le monde Une main entourée de plusieurs substances illicites via Shutterstock
La toxicomanie se définit comme une dépendance physique à une substance, une maladie qui peut s’avérer particulièrement destructrice. Dans le monde, 27 millions de personnes sont touchées, c’est plus que la population d’un pays comme l’Australie.
230 millions de personnes ont consommé une drogue illicite en 2010 Une femme en boîte de nuit via Shutterstock
D’après un rapport officiel des Nations Unies, 230 millions de personnes, soit 5 % de la population adulte mondiale, ont consommé au moins une fois une drogue illicite au cours de l’année 2010.
La toxicomanie peut entraîner la mort, comme le montre le rapport des Nations Unies. En 2010, on a recensé entre 99 000 et 253 000 décès à cause des drogues illicites.
D’après des estimations, le marché de la cocaïne représente plus de 88 milliards de dollars. Il s’agit en effet du stimulant le plus consommé à travers le monde.
280 000 hectares de forêts rasées entre 2001 et 2013 en Colombie entre 2001 et 2013 Des feuilles de coca via Shutterstock
La feuille de coca, nécessaire à la production de cocaïne, n’est cultivée que dans trois pays : la Colombie, la Bolivie et le Pérou. Rien qu’en Colombie, 280 hectares de forêts ont été rasées en 2001 et 2013 afin de la cultiver, ce qui équivaut à la taille d’un pays comme le Luxembourg.
Entre 60 000 et 100 000 morts entre 2006 et 2012 au Mexique La police mexicaine via Shutterstock
Au Mexique, où la drogue est acheminée des pays producteurs aux gros consommateurs comme les Etats-Unis ou le Canada, une guerre sans merci oppose les narcotrafiquants aux forces de l’ordre. Un conflit qui a tué entre 60 000 et 120 000 personnes entre 2006 et 2012.
1 430 000 000 de rails de cocaïne sont sniffés chaque année Chaque année, on estime que 1 430 000 000 de rails de cocaïne sont sniffés dans le monde. Les pays les plus consommateurs de cette substance sont l’Ecosse, l’Espagne et les Etats-Unis.
Un gramme de cocaïne compte en moyenne 75 euros Des sacs de cocaïne via Shutterstock
La cocaïne est l’une des drogues les plus chères : 1 gramme coûte environ 75 euros, soit 75 000 euros le kilo.
Le marché des opiacés représente 65 milliards de dollars Une seringue via Shutterstock
Les opiacés sont des substances dérivées de l’opium, produit à partir du pavot. Elles comprennent l’héroïne, la morphine ou encore la codéine. Le marché des opiacés représente 65 milliards de dollars.
7 000 tonnes d’opium ont été produites en 2011 Un champ de pavot via Shutterstock
Le principal pays producteur d’opium est l’Afghanistan avec 90 % de la production, contre 10 % en Birmanie. En 2011, pas moins de 7 000 tonnes d’opium ont été produites.
Une personne sur cinq en traitement pour toxicomanie est une femme Une thérapie de groupe via Shutterstock
A travers le monde, un seul usager de drogues sur cinq en traitement est une femme, alors qu’elles représentent un tiers des toxicomanes. Cela s’explique notamment par le type de drogues consommées : les hommes ont plus tendance à prendre des amphétamines ou de la cocaïne, alors que les femmes sont plus enclines à consommer des opiacés délivrés par ordonnance (tout aussi dangereux pour la santé), ou même des tranquillisants.
144 tonnes de drogues de type amphétamine ont été saisies en 2011 et 2012 En 2011 et en 2012, 144 tonnes de drogues de synthèse de type amphétamine ont été saisies dans le monde. Un chiffre qui a doublé par rapport à 2009, et qui reste aujourd’hui à un niveau élevé.
Considéré comme une drogue douce, le cannabis est produit dans de nombreux pays de par le monde, il existe même des pays où sa consommation est légale, comme aux Pays-Bas par exemple. Un gramme de cannabis coûte environ 6,5 euros.
D’après l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), 48 % des Français de 17 ans ont expérimenté le cannabis, 9 % d’entre eux sont des fumeurs réguliers.
On recense 1,3 milliard de fumeurs dans le monde. Chaque année, ce ne sont pas moins de 6 millions de personnes qui perdent la vie à cause de la cigarette.
Au XXe siècle, 100 millions de décès ont été causés par le tabac Au cours du XXe siècle, 100 millions de personnes sont mortes à cause de leur dépendance au tabac, une dépendance qui peut entraîner un nombre conséquent de maladies, comme le cancer du poumon ou de la gorge.
Au XXIe siècle, 1 milliard de personnes mourront à cause du tabac Un tas de cigarettes via Shutterstock
1 milliard de personnes vont mourir à cause de leur addiction au tabac au cours du XXIe siècle si la tendance au tabagisme reste telle quelle.
Sur 10 bébés qui naissent aujourd’hui, 3 vont devenir fumeurs Un homme fume via Shutterstock
D’après les statistiques, sur 10 bébés qui naissent aujourd’hui, 3 vont devenir fumeurs et 2 fumeront toute leur vie. Pire encore, l’un d’entre eux mourra à cause de la cigarette.
En 2012, 3,3 millions de personnes sont mortes à cause de l’alcool dans le monde Un homme alcoolique via Shutterstock
Bien qu’il s’agisse, comme le tabac, d’une substance légale dans de nombreux pays, l’alcool est particulièrement meurtrier. En 2012, 3,3 millions de personnes sont mortes à cause de l’alcoolisme, soit 5,9 % des décès recensés.
200 maladies sont liées à la consommation d’alcool Un homme vomit via Shutterstock
L’alcoolisme en soi ne tue pas, c’est surtout les maladies qu’il engendre qui sont meurtrières. Ainsi, environ 200 maladies sont liées à la consommation d’alcool, parmi lesquelles de nombreuses pathologies du foie et des cancers. Ces chiffres inquiétants prouvent à quel point les autorités se doivent d’agir pour contrer les problèmes liés à la drogue. Des mesures sont prises, mais force est de constater qu’elles ne sont pas vraiment efficaces.
Les Champs-Elyséesseront piétons une fois par mois !
Un Paris qui s'améliore de jour en jour A croire que la journée sans voiture a plus qu'inspiré la Mairie de Paris pour renouveler l'expérience. Cette fois-ci à plus petite échelle, la mesure ne s'appliquera qu'aux Champs-Elysées. C'est ce qu'a annoncé Anne Hidalgo, la maire de Paris , aujourd'hui, lors de la présentation de ses vœux aux élus de l'Hôtel de Ville, comme écrit dans Le Parisien.
Le projet, tout à fait envisageable selon l'adjoint de Europe Ecologie Les Verts, pourra bien voir le jour dès le printemps prochain.
Une deuxième édition de la journée sans voiture s'appliquera, cette fois-ci, sûrement "à tout Paris". Des parisiens de plus en plus vertsD'après un bref aperçu du bilan 2014, Paris connaîtrait une baisse de la circulation automobile de 4% et une augmentation de l'usage du vélo de 8%.
Rappelons que d'ici la fin de l'été 2016, la mairie de Paris aura mis en place la piétonnisation des berges de Seine sur la rive droite entre le pont des Tuileries et le pont Henri-IV. Plan de la piétonnisation Rendez-vous l'été prochain sur les berges
L'ordinateur en lui-même n'abime pas les yeux, pas plus que la lecture d'un livre. C'est la durée pendant laquelle nous fixons un écran ou lisons un livre qui peut provoquer de la fatigue oculaire. Comme tout muscle, ceux permettant l'accommodation de l'œil se fatiguent au bout d'un moment. De plus nous clignons moins des yeux dans ces situations, ce qui entraine une sécheresse oculaire source de picotement et larmoiement .
Laurence Boccolini : elle se confie sur son mari Mickaëlet leur fille Willow.
Laurence Boccolini et son mari Mickaël le jour de leur mariage. Malgré les coups durs, l'animatrice Laurence Boccolini est désormais une femme heureuse avec son Mari Mickaël et leur fille Willow, maintenant âgée de 17 mois.
Récemment Laurence Boccolini se confiait sur les nombreuses insultes qu'elle a reçu dans sa carrière d'animatrice, notamment concernant son poids. Depuis des années, la super star de Money DROP a souffert de ne pas pouvoir avoir d'enfant avec son époux, Mickaël. Un temps aujourd'hui révolu puisque Laurent Boccolini est maman depuis 17 mois de la petite Willow.
Si la jeune maman respire le bonheur , elle reste néanmoins très discrète sur sa vie privée. ?"Si on critique mon mari, ça me touche aussi. C'est pour ça que je donne très peu d'interviews. Je ne cache rien de ma vie privée mais je n'ai juste pas envie de montrer", qu'elle était totalement fusionnelle avec sa fille.
A la maison, Monsieur est bordélique, Madame est maniaque.L'animatrice s'est tout de même livrée pour la première fois sur son quotidien avec son mari, et visiblement elle est plutôt du genre maniaque à la maison, n'en déplaise à son mari. "Il est bordélique, je suis maniaque. Je ne peux pas travailler si mes stylos ne sont pas bien rangés. Je n'aime pas le bazar, je passe un chiffon partout et je suis la reine des lingettes", précise-t-elle.
20 hôtels à visiter avant de mourir Ces hôtels sont les plus insolites du monde
Si vous souhaitez partir pour un voyage d'exception, ces 20 hôtels incroyables vous offriront un séjour vraiment
pas comme les autres. Entre grand luxe et hébergement insolite, embarquez pour un voyage inoubliable !
Nous avons sélectionné pour vous les 20 hôtels les plus originaux de la
planète. Du fond des mers aux neiges du Grand Nord, en passant par une
ancienne église, des grottes, un avion réaménagé ou encore des bulles
transparentes en France, il y en a vraiment pour tous les goûts, et vous
n'êtes pas au bout de vos surprises ! On vous réserve une chambre ?
1. Conrad Maldives, Rangali Island
2. Ice Hotel, Jukkasjarvi, Suède
3. Fairy Chimney Hotel, Turquie
4. Montana Magica Lodge, Chili
5. Martin’s Patershof Church Hotel, Malines, Belgique
6. The Glass Floor Udang House, Bali, Indonésie
7. Giraffe Manor, Kenya
8. Äscher Cliff, Suisse
9. Plane Hotel, Costa Rica
10. Ancienne mine d'argent - Sala Silvermine, Suède
11. Harry Potter Hotel, Londres
12. Hotel Kakslauttanen, Finlande
13. Southern Ocean Lodge, Australie
14. Hôtel flottant Manta Resort, Zanzibar
15. Amsterdam Zaandam Inntel Hotel, Pays-Bas
16. Kolarbyn Ecolodge, Suède
17. Caravan Hotel, Huttenpalast, Berlin
18. Attrap’Rêves, Allauch, France
19. Free Spirit Spheres, Canada
20. Hang Nga Guesthouse, Vietnam
Voilà, ce petit tour du monde des hôtels les plus originaux se termine. Nous
espérons que le voyage vous aura plu et, surtout, qu'il vous aura donné
l'envie de découvrir de nouveaux horizons... En attendant, vous pouvez
toujours faire un tour sur notre comparateur pour trouver une chambre d'hôtel au meilleur prix...
L'histoire Opinel Opinel vous raconte le fabuleux destin d'un petit couteau savoyard
inventé par Joseph Opinel en 1890, devenu objet de notre quotidien,
aujourd'hui élevé au rang d'icône du design mondial.
Une saga familiale au coeur des Alpes, en Savoie.... Pour en savoir plus, nous vous invitons à visiter le Musée Opinel situé à Saint-Jean-de-Maurienne.
1800 Forgerons de père en filsVictor-Amédée Opinel, colporteur, apprend à forger des clous lors de ses tournées. Il installe son premier atelier de forge à Gevoudaz,
hameau d'Albiez-le-Vieux, près de Saint-Jean-de-Maurienne. Son fils
Daniel travaille ensuite à ses côtés et reprend l'atelier au décès de
son père. Il deviendra un taillandier renommé très apprécié des paysans
qui venaient de loin pour lui acheter serpes ou faucilles...
*taillandier : fabricant d'outils qui ont un tranchant
1872 Naissance de Joseph OpinelJoseph Opinel est le fils aîné de Daniel Opinel. Il naît en 1872 à Gevoudaz, hameau d'Albiez-le-Vieux. Joseph a deux frères, Jean
(1877-1943) et Albert (1885-1905), et trois soeurs, Marie (1875-1968),
Alphonsine (1879-1959) et Sylvie (1881-1886).
1890 Atelier familialEn 1890 Joseph Opinel a 18 ans et travaille dans l'atelier de taillanderie familial. Il est passionné par les nouvelles machines et
techniques, ainsi il monte lui même son appareil photo et devient
rapidement le photographe des mariages et évènements de son pays. Sa
passion des machines et des process de fabrication vont lui donner envie
d'inventer un objet qu'il veut pouvoir fabriquer avec les techniques
modernes. Contre l'avis de son père, qui aimait le travail artisanal et
se méfiait des machines, il passe ainsi son temps libre à peaufiner la
forme et la fabrication d'un petit couteau de poche : l'Opinel est né !
1897 Série N°1 à N°12Joseph Opinel a l'idée de décliner son couteau en différents formats qui pourront convenir aux mains grandes ou petites et être dédiés à
différents usages. Ainsi en 1897, il met au point 12 tailles numérotées
de 1 à 12. Le plus petit couteau, le N°1, était doté d'un anneau pour
pouvoir être accroché à la chaîne de montre de gousset. Sa fabrication
et celle du N°11 ont été arrêtées vers 1935. Aujourd'hui le plus petit
Opinel, le N°2, présente une lame de 3.5 cm, et le N°12, une lame de 12
cm. Dans les années 70, un couteau géant avait été fabriqué en petite
quantité comme objet publicitaire pour les vitrines des commerçants....
qui ont très vite demandé à l'entreprise de les fabriquer en grande
série pour les vendre aux particuliers ! Le géant N°13 est doté d'une
lame de 22 cm et mesure 50 cm ouvert !
1901 L'usine du pont de GevoudazLe succès commercial ne se dément pas, Joseph doit fabriquer plus de quantités.Il quitte la forge de son père et construit son usine au pont
de Gevoudaz, près de l'atelier familial. Dans ce nouveau bâtiment, il
souhaite rationnaliser la production et met au point des machines pour
fabriquer les manches plus rapidement. Grâce à sa turbine hydraulique,
il est le premier habitant de la commune à avoir l'électricité ! Après
avoir installé un réseau dans son atelier et sa maison, il décide
d'éclairer de quelques ampoules le sentier qu'il emprunte pour aller à
l'usine. Une grand-mère du village, épatée par son installation, lui
demandera comment il a pu "faire passer du pétrole dans les fils"...
1909 La Main CouronnéeEn 1565 le roi de France Charles IX ordonne que chaque maître coutelier appose un emblème sur ses fabrications pour en garantir
l’origine et la qualité. En 1909, respectant cette tradition, Joseph
Opinel choisit pour emblème La Main Couronnée. La main bénissante est
celle de Saint Jean-Baptiste figurant sur les armoiries de
Saint-Jean-de-Maurienne, la ville la plus proche d’Albiez-le-Vieux,
berceau de la famille Opinel. Joseph Opinel ajoute une couronne pour
rappeler que la Savoie était un duché. Depuis, toutes les lames des
couteaux et outils Opinel sont poinçonnées de La Main Couronnée.
1911 L'exposition internationale alpine de TurinEn 1911 Joseph Opinel participe à Turin à l'Exposition Internationale Alpine. Pour l'occasion il fait fabriquer une magnifique vitrine avec
un cadre en bois ouvragé dans laquelle il présente son fameux couteau de
poche décliné en douze tailles mais également les couteaux de cuisine,
de table, les rasoirs, les ciseaux, les sondes à fromage, les serpettes,
les tire-bouchons qui sont venus étoffer rapidement la collection...
Séduit, le jury lui remet la médaille d'or !
La vitrine de 1911 est exposée au sein de l'entreprise Opinel, le diplôme est conservé précieusement dans nos archives...
1915 Le grand déménagement !Joseph devine qu'il ne pourra jamais développer son entreprise si il reste dans son hameau perdu. En pleine guerre, il décide de sillonner la
région pour trouver l'endroit idéal, et c'est dans les faubourgs de
Chambéry, à Cognin, qu'il trouvera à acheter une ancienne tannerie avec
sa chute d'eau sur le canal de l'Hyères. Les locaux sont vétustes mais à
proximité de la gare de Chambéry, être au coeur d'un réseau ferré et
routier important est un atout non négligeable. Le déménagement de
Gevoudaz à Saint-Jean-de-Maurienne se fait à dos de mulets et de boeufs,
puis par train jusqu'à Chambéry...Quelques mois sont nécessaires pour
rénover les locaux et à partir de 1917, Joseph, épaulé par ses deux
fils, Marcel et Léon, débute le développement industriel et commercial
d'Opinel.
1926 L' incendieLes copeaux produits par le façonnage des manches ont toujours été brûlés pour chauffer les ateliers. Aujourd'hui encore pour chauffer
l'usine, les copeaux sont brûlés dans une chaudière mixte qui permet
d’économiser environ 200 000 litres de fuel par an. En janvier 1926 un
poêle mal éteint provoque un incendie qui détruit l'ensemble du
bâtiment. La famille Opinel fait face à cette catastrophe et décide de
reconstruire au même endroit de nouveaux locaux modernes et adaptés à
leur production.
1927 La nouvelle usineEn quelques mois une usine moderne est construite et inaugurée en 1927, le jour du baptême de Maurice, le premier enfant de Marcel.
Aujourd'hui cette usine est fermée. En 2013, l'atelier viroles, le
dernier atelier encore en activité a été déplacé sur le site de
Chambéry.
1950 Maurice OpinelEn 1950, le fils de Marcel entre à son tour dans l'entreprise. Il a 23 ans et consacre ses premières années à seconder son oncle Léon qui
était en charge du commercial et de l'administratif. Marcel, amoureux
fou des machines à l'instar de son père, était en charge des ateliers et
de la production. A cette époque l'entreprise comptait une cinquantaine
de salariés. Aujourd'hui Maurice Opinel est le président de la
société.
1955 Invention du ViroblocÀ l’origine quatre composants forment le couteau Opinel, la lame, la virole fixe, le rivet et le manche. La virole fixe est nécessaire pour
pouvoir riveter solidement la lame au manche.
En 1955, soucieux d’améliorer la sécurité d’utilisation du couteau,
Marcel Opinel invente le système Virobloc®. Il ajoute une virole
tournante qui en coulissant sur la virole fixe peut fermer la fente et
ainsi bloquer la lame dépliée. L’idée est simple mais sa réalisation est
complexe.
Dans les années 90 le système Virobloc® est modifié pour permettre de
bloquer la lame en position fermée. Réservé dans un premier temps à
quelques références, il est généralisé sur tous les modèles en 2000.
1960 Décès de Joseph OpinelLe 29 janvier est une date maudite pour la famille Opinel. C'est ce jour-là en 1926 que l'incendie ravage la première usine de Cognin. Ce
jour-là aussi qu'en 1960 Joseph Opinel décède à 88 ans après une vie
consacrée à son entreprise. Et trente ans jour pour jour après son
père, c'est le 29 janvier 1990 que décèdera Marcel Opinel.
1973 Le nouveau site de ChambéryLes trente glorieuses accélèrent la demande et au début des années 70, l’usine est à l’étroit dans la rue principale de la petite ville de
Cognin, aux portes de Chambéry. Il est alors décidé de construire un
nouveau site de production plus spacieux et moderne à quelques
kilomètres, dans une zone industrielle chambérienne, au lieu-dit La
Revériaz. Dans un premier temps dédié à l’activité bois et au
montage-conditionnement, il est depuis 2003 le site principal et le
siège de l’entreprise.
1985 L'Opinel, icône du designObjet populaire et du quotidien, l'Opinel est un objet dont l'esthétique et la fonctionnalité ont su convaincre des générations
d'utilisateurs. Inchangé depuis plus d'un siècle, son design est l'un
des plus aboutis de tous les temps. Et c'est à ce titre, qu'en 1985
l’Opinel est consacré au « Victoria and Albert Museum » parmi les cent
objets les mieux dessinés du monde à côté de la Porsche 911 et de la
montre Rolex.
1989 Opinel entre dans le dictionnaireOpinel fait partie du patrimoine culturel français, il est cité dans de multiples ouvrages. En 1989 il est référencé dans le dictionnaire
Larousse, au même titre que les marques Bic, Frigidaire ou Solex, en
tant que nom déposé et avec la définition actuelle suivante : Couteau fermant à manche en bois portant une saignée dans laquelle vient se loger la lame en position de fermeture.
1998 La saga familiale se poursuitEn 1998, Maurice Opinel confie la direction générale de l'entreprise à son fils aîné Denis, entré dans l'entreprise en 1973.
2003 Construction du nouveau siège socialPour faciliter les flux de production et la vie de l'entreprise, il est décidé de concentrer peu à peu toutes les activités sur un seul
site. Ainsi en 2003 le siège social est déplacé de Cognin à la Revériaz.
Un nouveau bâtiment est construit dans le prolongement des ateliers. Au
508 boulevard Henry Bordeaux à Chambéry, l'ensemble des bâtiments
représente désormais une surface d'environ 5000 m2.
2006 Nouvelle consécration !Dans le « Phaidon Design Classics », magnique ouvrage composé de 3 volumes, le couteau de poche Opinel est consacré comme l’un des 999
designs les plus aboutis de tous les temps par un jury de designers
internationaux.
2010 La cuisine à l'OpinelA l'occasion des 150 ans du rattachement de la Savoie à la France, Opinel publie le livre "La Cuisine à l'Opinel". C'est un véritable
voyage gourmand au pays de l'Opinel : portraits et recettes de 25 chefs
étoilés de Savoie, Haute-Savoie, Piémont et pays Niçois, accompagnés
d'anecdotes passionnantes sur l'histoire de la gastronomie savoyarde
écrites par Annie Victor, le tout illustré par les photographies
d'Anthony Cottarel. Le livre reçoit le 1er prix au Gourmand World Cookbook Awards 2009, dans la catégorie Best Corporate Book France. (Livre paru aux Editions Lagon Rouge, stock épuisé).
2013 Le Musée Opinel En 1989, avec l’accord de la société Opinel, Jacques Opinel transforme en musée l'atelier de son grand-père Jean (frère de Joseph),
lui aussi forgeron-taillandier. Situé à saint-Jean-de-Maurienne, le
Musée Opinel devient l’un des tous premiers sites visités en Savoie. En
2013 la société Opinel, Jacques Opinel et son fils Maxime, ont procédé
à l’agrandissement et à la rénovation de ce musée privé et gratuit
retraçant l’histoire de l’Opinel®. Vous découvrirez les origines familiales et savoyardes de l’Opinel, l’évolution des
techniques de fabrication, le développement industriel et commercial de
la marque. La visite se conclue par un film réalisé au sein des ateliers
et présentant le processus de fabrication actuel. + info
2014 Opinel, au fil de l'histoireUne saga familiale, un destin hors du commun, il a fallu attendre 2014 pour qu'Opinel se décide enfin à dévoiler son histoire dans un
ouvrage de 160 pages écrit par l'auteur-journaliste Jean-François
Mesplède, ancien directeur du Guide Michelin France. Préfacée par Paul
Bocuse et Michel Desjoyeaux, l'histoire racontée grâce aux confidences
de Maurice et Denis Opinel et aux témoignages de salariés de
l'entreprise, est illustrée par de magnifiques documents d'archive et
les photographies de Thierry Vallier. (Editions Page d'Ecriture, 25 €).
Des couteaux aux fonctions multiples fabriqués en FranceLes couteaux spécialistes sont dédiés à des usages spécifiques tout en conservant l’ergonomie légendaire du traditionnel OPINEL: N°08 Outdoor, N°10 Tire-bouchon, N°09 Huîtres, N°09 Bricolage...
Bricolage Ce couteau plein de ressources est équipé de deux mini-tournevis, plat et cruciforme, pour vous dépanner en toute circonstance. Il est
doté d’une lame robuste est en acier inoxydable avec coupe-fil et
dénudeur.
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La marque Couteaux et outils de poche Cuisine et table
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Outdoor Le n°8 est un couteau multifonction parfaitement adapté a la pratique d'activités de plein air : alpinisme, trek, spéléo, nautisme…
Très robuste, il peut couper des cordes et résiste aux conditions les
plus extrêmes.
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Gastronomie Le N°10 Tire-Bouchon et N°09 Couteau à Huîtres et Coquillages sont les outils indispensables pour vos apéros ou vos repas de fête.
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Comment fête-t-on Noël Orthodoxe-Rozdiestvo le 7 janvier.
Noël Orthodoxe, contrairement à Noël catholique est fêté le 7 janvier. Savez-vous pourquoi?
Noël orthodoxe russe
L’Europe vivait autre fois selon le calendrier julien. A la fin du 16ème et au début du 17ème siècle la plupart des pays ont adopté le
calendrier grégorien et le 25 décembre a été reporté de 14 jours. En Russie le calendrier grégorien a été également accepté et les
célébrations de Noël ont continué comme d’habitude le 25 décembre, mais qui, dans la nouvelle chronologie grégorien, tombe à 7 Janvier.
Pour la même raison la Russie célèbre traditionnellement deux fois la nouvelle année: le principal » Jour de l’An » le 31 décembre (selon le calendrier grégorien) et le » Vieux Nouvel An » le 14 Janvier (selon le calendrier julien).
Noël catholique et orthodoxe est très similaire dans sa célébration. Dans les deux on retrouve une table de fête, des cadeaux, les feux
d’artifice, sans oublier l’indispensable sapin de Noël – » Jolka » en russe.
Mais une chose importante, du point de vue de profane, rend les deux fêtes différentes.
Le personnage principal de Noël catholique qui est le » Petit Jésus » (le Père Noël, Santa Klaus ou autre selon le pays) apporte les
cadeaux la nuit de Noël – le 25 décembre.
En Russie, ce n’est pas le Père Noël, mais » Ded Moroz » qui apporte les cadeaux. Il ne vient pas la nuit de Noël, mais la nuit du
Nouvel An le 1er janvier. Il est accompagné de sa petite-fille « Sniegurochka « . Ils distribuent ensemble les cadeaux qui raviront les
petits et les grands.
Voici quelques coutumes de Noël très populaires en Russie :
1. La divination de Noël. C’est surtout les filles qui sont friande de connaitre son avenir et les sujets les plus demandés sont la richesse et le mariage.
2. C’est surtout dans les villages russes qu’on continue la coutume de jetter aux poules le blé de Noël. On croyaient que plus les poules et les poulets en mangent, plus l’année prochaine sera riche.
3. Pour savoir si la fille allait se marier bientôt, les filles enroulaient autour des moutons leurs ceintures et le matin allaient
vérifier à l’écurie dans quelle direction les moutons sont tournés
: s’ils étaient en direction de la porte, c’était un signe d’un mariage proche.
4. Et enfin pour connaitre le visage de son future fiancé, la fille mettait la nuit du Nouvel An une bague de fiancaille dans un verre
d’eau. Elle croyait pouvoir apercevoir le visage de celui qui lui est destiné dans la lumière vacillante des chandelles.
Dans toute la Russie on met une bougie allumé dans la fenêtre le soir de Noël pour que le Jésus sache qu’il est attendu dans cette maison.
La gastronomie pendant la période des fêtes en Russie:
Noël débute en Russie le 28 novembre par un jeûne, le premier dimanche de ce carême, les Russes consomment du poisson, ils entament ainsi les quarante jours maigres. Ce jeûne se termine le jour de Noël,en principe le 6 janvier, quand les enfants aperçoivent : « la première étoile dans le ciel, le repas de Noël commence, on sert alors « les douze plats végétariens« . »
Le réveillon commence en général par l’office religieux, les fidèles se rendent dans les églises. Ils attendent l’apparition de la première
étoile, en référence à l’étoile de Bethléem et des Rois Mages, avant de festoyer. Ils mangent à cette occasion des petites galettes de pain azyme, et s’échangent leurs vœux de bonheur.
Sur la table de Noël, on trouve des pâtés farcis de riz, de champignons et d’oignons et des spécialités marinées dans le vinaigre.
Le plat principal est une oie farcie de pommes. On boit de la vodka et du thé avec l’eau chauffée dans le samovar. Le repas s’achève par deux desserts : la koutia (mélange de blé et de fruits) et l’uzvar (compote de fruits secs).
A la fin du repas, les Russes laissent sur la table une assiette de polach (pain tressé) entre deux chandelles allumées en mémoire des
défunts de la famille.
Les fêtes de Noël se terminent le 19 janvier par un baptême d’eau, les prêtres font un trou en forme de croix dans la glace d’un lac ou
d’une rivière, puis célèbrent l’office, certains peuvent renouveler leur baptême en se baignant, dans l’eau glacée.
La Capitale des Lumières
A ne parler que de Paris, on en oublierait que la Capitale du feu était Lyon. Lugdunum de son nom Gallo-Romain. Une ville au cœur de laquelle, une fois enraciné, il est dur de partir.
Bref, Lyon une de ces destinations où il fait bon vivre et où un séjour s'impose à n'importe quel moment de l'année.
La Presqu'île de Lyon
De Perrache à la Place des Terreaux, s'étendent les petites rues pavées et les statues qui forment le cœur de la ville. Mais si nous
devions résumer cela en trois points précis, nous devrions parler de la Place Bellecour, en passant par la Place des Jacobins et sa fontaine.
Et ce, sans parler de l'incontournable basilique Notre-Dame de Fourvière qui surplombe la ville et offre une vue imprenable !
Fontaine des Jacobins
La Basilique
Et si un petit creux s'installe ?
Lyon est considérée par beaucoup comme la capitale de la gastronomie. La ville compte des dizaines de bouchons (noms de restaurants typiquement lyonnais) qui offrent une large gamme de produits et plats
locaux. La ville est aussi fière de son grand chef cuisinier : Paul Bocuse. Désigné comme cuisinier du siècle par plusieurs guides, il a notamment inspiré le chef Gusto dans le film Disney Ratatouille.
Des envies de shopping ?
En plus de ses boutiques de charme et de luxe dans son centre, Lyon possède plusieurs centres commerciaux, dont le fameux centre de la Part-Dieu et ses 260 boutiques qui attirent bon nombre de Lyonnais et Lyonnaises.
Le Parc à la Tête d'Or
A Paris, il y a la Goutte d'Or et à Lyon, la Tête d'Or, qui elle, vaut beaucoup plus le détour.
Le parc et ses 117 hectares accueillent chaque année 3 millions de visiteurs. Le jardin botanique, les roseraies extérieures et le parc zoologique sauront ravir tout le monde et faire du lieu une étape incontournable à votre séjour. Rien de mieux qu'y organiser un pique-nique entre amis ou en famille.
Place à la culture - Le musée des Confluences de Lyon
Entre le vieux Lyon, ses traboules et son centre gallo-romain, la ville est un musée à elle toute seule. Elle peut aussi se vanter de son
nouveau Musée des Confluences qui ressemble à un vaisseau spatial et a accueilli la grande exposition "Star Wars Identités".
Le nouveau stade - Pour les plus sportifs
Au premier match de janvier, les joueurs de Lyon et les supporters pourront profiter du nouveau stade des Lumières. Un stade pour les collectionner tous, les accueillir tous.
La fête des Lumières
Parler de Lyon sans mentionner la Fête des Lumières, c'est comme visiter Paris sans aller voir la Tour Eiffel, c'est comme commander une glace sans cornet.
Chaque année, des millions de touristes écument les rues de Lyon pour les magnifiques œuvres d'artistes venus du monde entier. La tradition veut que chaque 8 décembre, toutes les fenêtres de Lyon s'illuminent de lumignons colorés.
En ces périodes fraîches, c'est l'opportunité d'admirer le ballet de couleurs qui ornent et réchauffent les murs de la ville.
Le soir, la ville se réveille
Et comme chaque séjour ne peut se faire sans une petite sortie, si Lyon bouge le jour, elle est aussi mouvementée la nuit. Véritable melting-pot d'étudiants, la ville regorge de bars branchés où la musique et les plus festifs s'imposent et prouvent une fois de plus que Lyon est aussi jeune et dynamique.
Les Lyonnais savent accueillir dans les meilleures conditions et sont fiers de faire visiter leur ville Lumière.
Par BENOIT JOURDAIN
Mondialement connu comme l'un des spécialiste des sports aériens de l'extrême,
l'acrobate-poète s'est tué accidentellement à l'âge de 32 ans en
préparant un spectacle d'acrobaties aériennes, ce mardi, dans la Drôme.
Il repoussait les limites du vide. Sur une sangle en tissu tendue entre deux falaises à plus de 4000 mètres (highline, version aérienne de la slackline), en parachute après s'être fait catapulter dans les airs (base jump), en sautant depuis un pic rocheux dans une combinaison en forme d'ailes (wingsuit), Tancrède Melet aura essayé tous les domaines du sport aérien extrême. Il s'est tué accidentellement, à 32 ans, ce mardi 5 janvier, dans la Drôme. Il se trouvait au sol pour maintenir une
montgolfière afin de répéter une acrobatie quand l'aérostat l'a embarqué, provoquant sa chute sur plus de 20 mètres, rapporte le Dauphiné Libéré.
Ce funambule des temps modernes était reconnu mondialement dans le milieu
des sports extrêmes. Alpiniste de haut niveau, il était le leader de la
compagnie de voltige Flying Frenchies, un collectif d'athlètes et d'artistes réunis autour d'une même passion
pour les sports d'aventure et les grands espaces. Leurs exploits filmés,
à la fois performances sportives et aventures bohèmes et comiques,
rassemblent des millions d'internautes.
Après une brève carrière en tant qu'ingénieur, Tancrède Melet, né en Meurthe-et-Moselle, avait
démissionné pour se lancer dans sa passion dont il vivait en réalisant
des spectacles vivants ou en tournant des publicités, comme celle-ci
pour un site de rencontres sur Internet.
Tancrède Melet était surtout connu pour ses prouesses sportives. Il s'est offert
le premier saut en wingsuit (combinaison en formes d'ailes) depuis
l'Aiguille de la République, qui culmine à 3305 m d'altitude, dans le
massif du Mont-Blanc.
En décembre 2013, il avait réalisé un exploit en Savoie sur une sangle en
tissu tendue entre deux cabines de téléphériques à 380 mètres
d'altitude.
Tancrède Melet, une vie sur le fil
Clic ici........http://dai.ly/x3bifwn
La drogue est un fléau universel. Cause de nombreux conflits et de misère,
sa consommation mais surtout son trafic représentent un combat de tous
les jours pour les autorités. SooCurious vous présente quelques chiffres
pour vous éclairer sur ce sujet parfois controversé.
Il y a 27 millions de toxicomanes dans le monde
La toxicomanie se définit comme une dépendance physique à une substance,
une maladie qui peut s’avérer particulièrement destructrice. Dans le
monde, 27 millions de personnes sont touchées, c’est plus que la
population d’un pays comme l’Australie.
230 millions de personnes ont consommé une drogue illicite en 2010
D’après un rapport officiel des Nations Unies, 230 millions de personnes, soit 5
% de la population adulte mondiale, ont consommé au moins une fois une
drogue illicite au cours de l’année 2010.
Environ 190 000 personnes sont mortes à cause des drogues illicites en 2010
La toxicomanie peut entraîner la mort, comme le montre le rapport des
Nations Unies. En 2010, on a recensé entre 99 000 et 253 000 décès à
cause des drogues illicites.
Le marché de la cocaïne représente plus de 88 milliards de dollars
D’après des estimations, le marché de la cocaïne représente plus de 88
milliards de dollars. Il s’agit en effet du stimulant le plus consommé à
travers le monde.
280 000 hectares de forêts rasées entre 2001 et 2013 en Colombie entre 2001 et 2013
La feuille de coca, nécessaire à la production de cocaïne, n’est cultivée
que dans trois pays : la Colombie, la Bolivie et le Pérou. Rien qu’en
Colombie, 280 hectares de forêts ont été rasées en 2001 et 2013 afin de
la cultiver, ce qui équivaut à la taille d’un pays comme le Luxembourg.
Entre 60 000 et 100 000 morts entre 2006 et 2012 au Mexique
Au Mexique, où la drogue est acheminée des pays producteurs aux gros
consommateurs comme les Etats-Unis ou le Canada, une guerre sans merci
oppose les narcotrafiquants aux forces de l’ordre. Un conflit qui a tué
entre 60 000 et 120 000 personnes entre 2006 et 2012.
1 430 000 000 de rails de cocaïne sont sniffés chaque année
Chaque année, on estime que 1 430 000 000 de rails de cocaïne sont sniffés
dans le monde. Les pays les plus consommateurs de cette substance sont
l’Ecosse, l’Espagne et les Etats-Unis.
Un gramme de cocaïne compte en moyenne 75 euros
La cocaïne est l’une des drogues les plus chères : 1 gramme coûte environ 75 euros, soit 75 000 euros le kilo.
Le marché des opiacés représente 65 milliards de dollars
Les opiacés sont des substances dérivées de l’opium, produit à partir du
pavot. Elles comprennent l’héroïne, la morphine ou encore la codéine. Le
marché des opiacés représente 65 milliards de dollars.
7 000 tonnes d’opium ont été produites en 2011
Le principal pays producteur d’opium est l’Afghanistan avec 90 % de la
production, contre 10 % en Birmanie. En 2011, pas moins de 7 000 tonnes
d’opium ont été produites.
Une personne sur cinq en traitement pour toxicomanie est une femme
A travers le monde, un seul usager de drogues sur cinq en traitement est
une femme, alors qu’elles représentent un tiers des toxicomanes. Cela
s’explique notamment par le type de drogues consommées : les hommes ont
plus tendance à prendre des amphétamines ou de la cocaïne, alors que les
femmes sont plus enclines à consommer des opiacés délivrés par
ordonnance (tout aussi dangereux pour la santé), ou même des
tranquillisants.
144 tonnes de drogues de type amphétamine ont été saisies en 2011 et 2012
En 2011 et en 2012, 144 tonnes de drogues de synthèse de type amphétamine
ont été saisies dans le monde. Un chiffre qui a doublé par rapport à
2009, et qui reste aujourd’hui à un niveau élevé.
Un gramme de cannabis coûte environ 6,5 euros
Considéré comme une drogue douce, le cannabis est produit dans de nombreux pays
de par le monde, il existe même des pays où sa consommation est légale,
comme aux Pays-Bas par exemple. Un gramme de cannabis coûte environ 6,5
euros.
En France, 48 % des Français de 17 ans ont expérimenté le cannabis
D’après l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), 48 %
des Français de 17 ans ont expérimenté le cannabis, 9 % d’entre eux sont
des fumeurs réguliers.
6 millions de personnes meurent à cause du tabac chaque année
On recense 1,3 milliard de fumeurs dans le monde. Chaque année, ce ne sont
pas moins de 6 millions de personnes qui perdent la vie à cause de la
cigarette.
Au XXe siècle, 100 millions de décès ont été causés par le tabac
Au cours du XXe siècle, 100 millions de personnes sont mortes à cause de
leur dépendance au tabac, une dépendance qui peut entraîner un nombre
conséquent de maladies, comme le cancer du poumon ou de la gorge.
Au XXIe siècle, 1 milliard de personnes mourront à cause du tabac
1 milliard de personnes vont mourir à cause de leur addiction au tabac au
cours du XXIe siècle si la tendance au tabagisme reste telle quelle.
Sur 10 bébés qui naissent aujourd’hui, 3 vont devenir fumeurs
Un homme fume via Shutterstock
D’après les statistiques, sur 10 bébés qui naissent aujourd’hui, 3 vont devenir
fumeurs et 2 fumeront toute leur vie. Pire encore, l’un d’entre eux
mourra à cause de la cigarette.
En 2012, 3,3 millions de personnes sont mortes à cause de l’alcool dans le monde
Bien qu’il s’agisse, comme le tabac, d’une substance légale dans de nombreux
pays, l’alcool est particulièrement meurtrier. En 2012, 3,3 millions de
personnes sont mortes à cause de l’alcoolisme, soit 5,9 % des décès
recensés.
200 maladies sont liées à la consommation d’alcool
L’alcoolisme en soi ne tue pas, c’est surtout les maladies qu’il engendre qui sont
meurtrières. Ainsi, environ 200 maladies sont liées à la consommation
d’alcool, parmi lesquelles de nombreuses pathologies du foie et des
cancers.
Ces chiffres inquiétants prouvent à quel point les autorités se doivent d’agir pour contrer les
problèmes liés à la drogue. Des mesures sont prises, mais force est de
constater qu’elles ne sont pas vraiment efficaces.
Un Paris qui s'améliore de jour en jour A croire que la journée sans voiture a plus qu'inspiré la Mairie de Paris pour renouveler l'expérience.
Cette fois-ci à plus petite échelle, la mesure ne s'appliquera qu'aux Champs-Elysées. C'est ce qu'a annoncé Anne Hidalgo, la maire de Paris , aujourd'hui, lors de la présentation de ses vœux aux élus de l'Hôtel de Ville, comme écrit dans Le Parisien.
Le projet, tout à fait envisageable selon l'adjoint de Europe Ecologie Les Verts, pourra bien voir le jour dès le printemps prochain.
Une deuxième édition de la journée sans voiture s'appliquera, cette fois-ci, sûrement "à tout Paris".
Des parisiens de plus en plus vertsD'après un bref aperçu du bilan 2014, Paris connaîtrait une baisse de la
circulation automobile de 4% et une augmentation de l'usage du vélo de 8%.
Rappelons que d'ici la fin de l'été 2016, la mairie de Paris aura mis en place la piétonnisation des berges de Seine sur la rive droite entre le pont des Tuileries et le pont Henri-IV.
Plan de la piétonnisation
Rendez-vous l'été prochain sur les berges
tu vas t'abimer les yeux ».
Cette petite phrase répétée souvent par les parents est-elle vraie ?
© getty image
L'ordinateur en lui-même n'abime pas les yeux, pas plus que la lecture d'un livre.
C'est la durée pendant laquelle nous fixons un écran ou lisons un livre
qui peut provoquer de la fatigue oculaire. Comme tout muscle, ceux permettant l'accommodation de l'œil se
fatiguent au bout d'un moment. De plus nous clignons moins des yeux dans
ces situations, ce qui entraine une sécheresse oculaire source de
picotement et larmoiement .
Laurence Boccolini et son mari Mickaël le jour de leur mariage.
Malgré les coups durs, l'animatrice Laurence Boccolini est désormais une femme heureuse avec son Mari Mickaël et leur fille Willow, maintenant âgée de 17 mois.
Récemment Laurence Boccolini se confiait sur les nombreuses insultes qu'elle a reçu dans sa carrière d'animatrice, notamment concernant son poids. Depuis des années, la super star de Money DROP a souffert de ne pas pouvoir avoir d'enfant avec son époux, Mickaël. Un temps aujourd'hui révolu puisque Laurent Boccolini est maman depuis 17 mois de la petite Willow.
Si la jeune maman respire le bonheur , elle reste néanmoins très discrète sur sa vie privée. ?"Si on critique mon mari, ça me touche aussi. C'est pour ça que je donne très peu d'interviews. Je ne cache rien de ma vie privée mais je n'ai juste pas envie de montrer", qu'elle était totalement fusionnelle avec sa fille.
A la maison, Monsieur est bordélique, Madame est maniaque.L'animatrice s'est tout de même livrée pour la première fois sur son quotidien avec son mari, et visiblement elle est plutôt du genre maniaque à la maison, n'en déplaise à son mari. "Il est bordélique, je
suis maniaque. Je ne peux pas travailler si mes stylos ne sont pas bien rangés. Je n'aime pas le bazar, je passe un chiffon partout et je suis la reine des lingettes", précise-t-elle.