Tout savoir sur l'histoire de la galette des rois.
coutume Autrefois, les chrétiens servaient la fameuse « galette des rois » le jour de l’Épiphanie (6 janvier) pour commémorer l’adoration des rois-mages, et honorer Jésus comme l’enfant-dieu. Pour tout savoir sur l'histoire de la fête des rois... L'histoire de la fête des rois Cette pratique serait une adaptation d’une vieille coutume romaine qui avait lieu lors des Saturnales, grande fête en l’honneur du dieu Saturne qui durait sept jours et où « tout était permis ». Dans cet élan ludique, les romains utilisaient alors des fèves comme bulletin de vote pour élire le roi du festin !!! De nos jours, tous les dimanche midi du mois de janvier, sont l’occasion pour nous de déguster en famille (ou entre amis) une bonne galette des rois aux amandes…
Le rituel Selon le « rituel » le plus jeune doit se placer sous la table, pour commencer la distribution des parts. On lui demande alors « Pour qui celle là ? ». Lui, répond, et ainsi de suite… La tradition veut, que celui qui trouve la fève, doit désigner un roi (ou une reine) et l’embrasser. Et ce sera lui (ou elle), le dimanche suivant, qui sera chargé de cuisiner (ou acheter) la prochaine galette des rois. La fève est, pour certains, un véritable objet de collection (cette pratique s’appelle la favophilie). Aujourd’hui, on trouve plus généralement dans les galettes, surtout des fèves en porcelaine. Mais attention, cela n’a pas toujours été le cas ! Au tout début, nos ancêtres marmitons cachaient réellement de vraies fèves de haricot…
Puis, par la suite, on utilisa des pièces d’argent ou d’or (je vois que ça vous intéresse davantage mais attention, ça brûle…), avant de passer à la porcelaine à la fin du 19ème siècle, ou au plastique… On trouve aussi une autre forme de galette dans le Sud de la France (brioche aux fruits confits) et des traditions similaires ailleurs dans le monde (King’s cake américain, Tortell del Reis catalan…).
Il y a encore une vingtaine d’années, on trouvait encore des galettes feuilletées dans les pâtisseries, mais désormais c’est la galette fourrée à la frangipane qui a la vedette depuis fin novembre (!!!) jusqu’à fin janvier. Il faut dire que c’est certainement l’un des gâteaux les plus rentables qui soient pour un pâtissier… et les moins compliqués à faire !
Dans le reste du monde Le gâteau des Rois est passé, avec les émigrants français, dans le Nouveau Monde, et il est de coutume de le consommer à La Nouvelle-Orléans lors du Mardi Gras : il consiste en une espèce de brioche au glaçage aux couleurs violette, verte et or, traditionnelles du carnaval quelquefois fourrée de fromage à la crème et de pralines. On trouve des coutumes similaires selon les pays et les régions, qui utilisent d’autres recettes de pâtisserie : - Tortell catalan. - En Belgique, la pratique est très répandue (elle porte le nom de driekoningentaart en Belgique néerlandophone) ; - le pithiviers dans le Loiret ; - le gâteau des Rois, le pastis, le royaume ou la brioche dans le Sud de la France ; - la galette comtoise (galette sèche à base de pâte à chou recouverte de sucre et de beurre, aromatisée à la fleur d’oranger) ; - la nourolle en Normandie - le tortell en Catalogne ; - le roscón en Espagne ; - le king cake au Sud des États-Unis ; - le bolo rei au Portugal ; - la rosca au Mexique ; - la vassilopita en Grèce.
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18 tanks abandonnés que la nature paisible s’est appropriés La nature reprend toujours ses droits et c’est encore mieux lorsqu’elle surplombe la guerre. Ces 18 tanks perdus dans la nature aux quatre coins du monde nous rappellent à juste titre que la guerre aussi terrible soit-elle a une fin. Découvrez ces magnifiques photos pleines d’espoir.
Porto Rico
Antarctique
Russie
Allemagne de l’Est
Afghanistan
Etats-Unis
L’île Chikotan
Ukraine
Royaume-Uni
Pays-Bas
Iles Mariannes
Voici d’autres tanks laissés à l’abandon, dans des destinations toutefois non précisées : Ces tanks abandonnés en pleine nature sont impressionnants. Une pollution quelque peu symbolique. A la rédaction, on a adoré ces photographies pleines de sens. Pensez-vous qu’un jour tous les tanks du monde pourront cesser de fonctionner pour laisser place à la paix ou croyez-vous que ce n’est pas près d’arriver ?
Grâce à une bûche non récupérée, une boulangère du Nord sauve la vie d'un client Pour moi c'est une belle chose et on voit que certaines personnes encore sont vigilentes aux autres. Bravo à cette dame Roxanne
APRÈS UN BON RÉVEILLON FRANÇAIS,METTONS NOUS A LA DIÈTE,OU POUR CEUX QUI ONT ENCORE FAIM,VOILA UNE AUTRE CUISINE: BON APPÉTIT LES AMIS
Crédits photo (creative commons) : erix! Vous qui vous êtes déjà retrouvé perplexe devant une assiette de brocolis, ce top risque de vous faire relativiser. Le hamburger n'est pas une institution dans tous les pays. Parfois, c'est le chien, ou le crocodile. Ou autre chose. Après les plats français un peu répugnants, voici les internationaux : La soupe de chien en Corée : ce plat, appelé boshintang (soupe de santé), est très apprécié des Nord-Coréens. Dégustée clandestinement en Corée du Sud, la soupe de chien est devenue un repas de luxe en Corée du Nord. En même temps, tout repas est un luxe en Corée du Nord. Crédits photo (creative commons) : Beeniru Le serpent à Le Mât, Vietnam : le serpent est un reptile très apprécié des Vietnamiens. Il est cuisiné à toutes les sauces. Vous pourrez tester le cobra au bain-marie, des potages de queues et de peaux aux herbes, des nems au serpent, de la soupe au jus de serpent… Si vous en commandez un, on le tuera devant vous( pour vous montrer qu'il est frais), voilà ce que ça peut donner (attention il y a un serpent qui meurt dedans la vidéo, on vous aura prévenus) :
La chauve-souris en Indonésie : la viande de chauve-souris est servie en sauce et fait partie des spécialités indonésiennes. Il est tout de même bon de savoir que les chauves-souris peuvent être porteuses de la rage, du virus Ebola et que leurs fientes peuvent provoquer l'histoplasmose… Donc : bien les cuire, et ne pas manger les fientes. Crédits photo (creative commons) : emuntu La soupe de tortue à Shanghai, Chine : un des plats les plus originaux du pays reste la soupe de tortue. On peut également trouver de la soupe de carapace molle. Mais on perd le croustillant. Crédits photo (creative commons) : Ernesto Andrade La marmotte en Mongolie Appelé boodog, la marmotte est une viande que les nomades ont pour coutume de déguster en hiver ou pour les longs trajets. Une marmotte et ça repart.Crédits photo (creative commons) : Bogomolov.PL La baleine au Japon La viande de baleine est un met très utilisé dans la cuisine japonaise malgré les différentes interdictions internationales. Des barbares ces Japonais. Manger de la baleine... alors que tout peuple civilisé sait que la baleine sert uniquement à faire des crèmes cosmétiques à se tartiner sur la gueule.Crédits photo (creative commons) : http://www.flickr.com/photos/62752875@N00/365718572/ La cervelle d’écureuil aux États-Unis Cette spécialité surtout répandue dans le sud des États-Unis nous rappelle que ce beau pays s'est construit grâce à la détermination de pionniers qui un jour se sont dit : "Oh, un écureuil... Si on lui pétait le crâne pour manger ce qu'il y a dedans?"source photo : xfinity La dégustation d’insectes à Khao San Road, Bangkok, Thaïlande Les insectes sont paraît-il excellents pour la santé. Par contre, choisissez des bestioles dodues si vous êtes une famille de quatre. "Y'a plus de blanc?... Je vais prendre une cuisse, alors…", "Il faut le finir ce gigot de mouche, c'est pas bon réchauffé!"Crédits photo (creative commons) : ahmedrabea Le crocodile au Kenya Un des reptiles les plus dangereux, mais aussi un met très savoureux pour les Kenyans. Son goût s’apparenterait à celui du poisson, sa chair serait plutôt caoutchouteuse. Ça a l'air meilleur qu'un bâtonnet de Colin, c'est déjà ça. Par contre le Colin et le Surimi ne sont pas encore dans la liste des espèces en disparition, donc quitte à bouffer du pas bon, préférez le pas bon qui existe en grand nombre. Et bim, le coup de gueule écolo qui va bien. On est comme ça chez Topito, on a un cœur gros comme la planète.Les brochettes du marché de Dong Hua Men (Chine) Comme dit précédemment en Chine , on met la plupart des insectes en brochettes. Mais on le fait aussi avec d'autres trucs : les hippocampes par exemple. En fait si c'est vivant on empale. Une abeille : bim on empale, un poisson : bim on empale, etc. Si vous visitez la Chine et que vous voyez un mec qui vous suit de près avec une très grosse pique, fuyez, loin, très loin. Crédits photo (creative commons) : William Poissons-pénis coréen On le vend frétillant dans de grands viviers au sein des marchés aux Poissons. Et on s'arrêtera là parce que les images parlent d'elles-mêmes.Panope du Pacifique Au Japon on adore ça cru , en sashimi ... C'est le plus gros bivalve fouisseur du monde ... tout de suite ça impose le respect. Et on sait bien ce que vous vous dites : ça ressemble à un appareil reproducteur masculin (une bite donc pour ceux qui ne suivraient pas) d'éléphant.Crédits photo (creative commons) : William Le Haggis Du bon plat Briton comme on en fait plus. Pour faire court : c'est de la panse de brebis farcie. Et si ça vous donne envie, on vous conseille de consulter d'urgence.Crédits photo (creative commons) : Tess Watson L'œuf de Cent ans L'odeur d'œuf pourri vous répugne ? Dommage il parait que c'est délicieux. L'œuf de poule est conservé dans de l'argile pendant plusieurs mois . Le résultat est ... atypique : le jaune devient vert et visqueux tandis que le blanc devient noir. En Chine, on retrouve l'œuf de cent ans cru ou dans des préparations comme le Congee ( porridge d'œuf en dés avec du poulet et du riz).Crédits photo (creative commons) : irrational_cat L'utérus de truie Vous pensiez avoir atteint la limite avec les poissons-pénis ? Perdu ! On en mange en Chine et aux Philippines. Le plus souvent on déguste son utérus farci de porc émincé , de légumes et de diverses épices, sinon c'est un peu fade m'voyez...Source : unbilletpourlevasion, "Ça se mange ?" de Neil Setchfield
Crédits photo (creative commons) : Bogomolov.PL La baleine au Japon La viande de baleine est un met très utilisé dans la cuisine japonaise malgré les différentes interdictions internationales. Des barbares ces Japonais. Manger de la baleine... alors que tout peuple civilisé sait que la baleine sert uniquement à faire des crèmes cosmétiques à se tartiner sur la gueule.Crédits photo (creative commons) : http://www.flickr.com/photos/62752875@N00/365718572/ La cervelle d’écureuil aux États-Unis Cette spécialité surtout répandue dans le sud des États-Unis nous rappelle que ce beau pays s'est construit grâce à la détermination de pionniers qui un jour se sont dit : "Oh, un écureuil... Si on lui pétait le crâne pour manger ce qu'il y a dedans?"source photo : xfinity La dégustation d’insectes à Khao San Road, Bangkok, Thaïlande Les insectes sont paraît-il excellents pour la santé. Par contre, choisissez des bestioles dodues si vous êtes une famille de quatre. "Y'a plus de blanc?... Je vais prendre une cuisse, alors…", "Il faut le finir ce gigot de mouche, c'est pas bon réchauffé!"Crédits photo (creative commons) : ahmedrabea Le crocodile au Kenya Un des reptiles les plus dangereux, mais aussi un met très savoureux pour les Kenyans. Son goût s’apparenterait à celui du poisson, sa chair serait plutôt caoutchouteuse. Ça a l'air meilleur qu'un bâtonnet de Colin, c'est déjà ça. Par contre le Colin et le Surimi ne sont pas encore dans la liste des espèces en disparition, donc quitte à bouffer du pas bon, préférez le pas bon qui existe en grand nombre. Et bim, le coup de gueule écolo qui va bien. On est comme ça chez Topito, on a un cœur gros comme la planète.Les brochettes du marché de Dong Hua Men (Chine) Comme dit précédemment en Chine , on met la plupart des insectes en brochettes. Mais on le fait aussi avec d'autres trucs : les hippocampes par exemple. En fait si c'est vivant on empale. Une abeille : bim on empale, un poisson : bim on empale, etc. Si vous visitez la Chine et que vous voyez un mec qui vous suit de près avec une très grosse pique, fuyez, loin, très loin. Crédits photo (creative commons) : William Poissons-pénis coréen On le vend frétillant dans de grands viviers au sein des marchés aux Poissons. Et on s'arrêtera là parce que les images parlent d'elles-mêmes.Panope du Pacifique Au Japon on adore ça cru , en sashimi ... C'est le plus gros bivalve fouisseur du monde ... tout de suite ça impose le respect. Et on sait bien ce que vous vous dites : ça ressemble à un appareil reproducteur masculin (une bite donc pour ceux qui ne suivraient pas) d'éléphant.Crédits photo (creative commons) : William Le Haggis Du bon plat Briton comme on en fait plus. Pour faire court : c'est de la panse de brebis farcie. Et si ça vous donne envie, on vous conseille de consulter d'urgence.Crédits photo (creative commons) : Tess Watson L'œuf de Cent ans L'odeur d'œuf pourri vous répugne ? Dommage il parait que c'est délicieux. L'œuf de poule est conservé dans de l'argile pendant plusieurs mois . Le résultat est ... atypique : le jaune devient vert et visqueux tandis que le blanc devient noir. En Chine, on retrouve l'œuf de cent ans cru ou dans des préparations comme le Congee ( porridge d'œuf en dés avec du poulet et du riz).Crédits photo (creative commons) : irrational_cat L'utérus de truie Vous pensiez avoir atteint la limite avec les poissons-pénis ? Perdu ! On en mange en Chine et aux Philippines. Le plus souvent on déguste son utérus farci de porc émincé , de légumes et de diverses épices, sinon c'est un peu fade m'voyez...Source : unbilletpourlevasion, "Ça se mange ?" de Neil Setchfield
PEINTURES comme dans un conte : la petite fille et le chien
Peintre jeong woojae
Comme dans la série de Kevin Peterson, représentant des petites filles marchant aux côtés d’ours polaires. À travers ses peintures à l’huile, le peintre coréen nous raconte l’histoire d’une jeune fille évoluant dans les rues de Séoul en compagnie de son chien géant. Par les mises en scène et les décors qu’il choisit de représenter.
Dossier : Être Heureux : Y a-t-il Un Mode D'emploi ? Vive Les Petits Bonheurs Du Quotidien !
« Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux(ses) ? » Sûrement pas que le monde tourne plus rond, que la crise cesse, ou que la béatitude nous tombe sur la tête. Le bonheur, c’est tout de suite, c’est fugitif et ça s’attrape au vol. Même, et peut-être surtout en temps de crise, les « petits bonheurs » se ramassent à la pelle. Question de regard, de disponibilité, d’attention. A la maison, au bureau, entre copines, en famille, même dans la rue ou dans le métro, on peut saisir et savourer l’instant où rien ne pèse, la petite lueur qui fait sourire, le geste qui met du baume au cœur. Au lieu de se contenter (ou se désoler) de l’aspect morose de la situation. Non, le bonheur n’est pas un état permanent. Oui, savoir le trouver dans les petits riens du quotidien, ça se cultive. Des convaincues nous ont livré les mille et un détails de la vie qui les rendent heureuses et que personne ne pourra leur enlever. Florilège antidéprime. Au boulot « Comme c’est là que je passe le plus de temps, même quand je croule sous la tâche, je m’offre des petits réconforts, explique Virginie, 42 ans : un bouquet de fleurs sur mon bureau, un peu de musique entre deux rendez-vous, un café avec mon associé… Et je mesure ma chance de l’avoir ! » « Moi j’ai un truc quand je suis submergée : ne faire qu’une chose à la fois, remarque Julie, 32 ans. Je coupe le téléphone quand je lis mes mails, j’éteins l’ordi si je suis en rendez-vous. Je liste les tâches, je les abats l’une après l’autre. C’est efficace et très jouissif. » « Mon petit bonheur, c’est quand j’arrête un peu de me mettre la pression, préfère Romane, 37 ans. C’est bon aussi de mesurer le chemin parcouru, de se dire qu’on a progressé. » « J’aime les fous rires avec les collègues, les pauses café où on médit un peu, confie Axelle, 38 ans. Je cache aussi dans mon bureau une énorme boîte de bonbons bien régressifs, alors que j’interdis à mes enfants d’avoir les mêmes. Je savoure cet espace de liberté où je ne suis plus la mère de personne. » En Famille« Dès que je suis avec ma fille, je mets tout de côté, explique Pierre, 41 ans. J’essaie de n’être qu’avec elle, entièrement disponible. J’adore la voir rigoler, faire des progrès… Je profite à fond de ces moments privilégiés, même si, une fois qu’elle est couchée, je me remets souvent sur mes dossiers. » « Mon grand bonheur, déclare Nora, 27 ans, c’est quand mon fils m’attrape tout d’un coup pour me faire un bisou, quand il me dit : “Je t’aime.” » « Un dimanche sur deux, on a institué l’après-midi “sans écrans”, raconte Sylvie, 45 ans. Plus de disputes autour de l’ordinateur, plus de négociations sur le temps de jeux vidéo… On fait une sortie, une balade tous ensemble, c’est un vrai bonheur. » « Regarder mes enfants dormir, si paisibles. A chaque fois cela m’émerveille, note Estelle, 33 ans. Surtout quand ils m’ont fait vivre une soirée d’enfer. » « Mon grand bonheur : en Normandie, en famille, résume Christine, 62 ans, s’offrir un bon plateau de fruits de mer, se dire qu’on est bien ensemble, qu’on a eu raison d’acheter cette maison. « Moi c’est le ski avec mon fils, enchaîne Brigitte, 53 ans. C’est moi qui l’ai initié, il y a bientôt vingt ans. Aujourd’hui c’est lui qui m’attend. » Seule À La Maison« Mon appartement c’est mon cocon, mon refuge, un lieu où je me “répare”, résume Camille, 36 ans. Le mieux c’est dans ma salle de bains : je prends des douches très chaudes, très longues, je me fais des masques… J’aime ces tête-à-tête hors du temps avec moi-même.
« Je viens de m’acheter un nouveau vernis à ongles, raconte en riant Johanna, 28 ans. Depuis, je me regarde les pieds tous les matins : j’ai l’impression d’avoir des bonbons au bout des orteils. » « Une fois les enfants couchés, ma bulle de liberté c’est le Web, enchaîne Axelle. Je vais sur des blogs de femmes qui me ressemblent un peu. Je flâne sur des sites de fringues. Je me fais plaisir. » Julie se délecte rien que d’en parler : « Me réveiller en pleine nuit et me dire qu’il me reste encore plusieurs heures à dormir, savoir qu’un bon roman m’attend sur ma table de nuit, un peu comme un ami très patient. » « Moi, c’est l’odeur du linge que je viens d’étendre, ajoute Barbara, 47 ans. Une tasse de thé au gingembre. Me glisser dans des draps propres… » « Mon truc, c’est danser seule dans ma chambre, confie Ludivine, 23 ans. N’importe comment, la musique à fond. » « Une bonne comédie romantique. C’est le petit bonheur que je savoure, quand mon chéri me manque, avoue Jeanne, 25 ans. De toute façon, je n’aurais pas partagé ce plaisir avec lui. » Dans La Rue, Dans La Nature…« Apercevoir la pleine lune entre deux immeubles, passer devant la tour Eiffel juste au moment où elle scintille, être touchée par un musicien dans le métro… Un “petit bonheur”, c’est un instant volé, résume Camille : on réalise que ça ne va pas de soi, que c’est magique. On a envie de dire merci. » Romane ajoute : « Lorsque les arbres bourgeonnent, chaque année au printemps. La nature a quelque chose de consolant, de régénérant. J’aime ce côté cyclique, cette idée que dans la vie tout peut changer, renaître… » « Me faire draguer dans la rue, ça c’est un vrai bonheur, lance Johanna, surtout quand je ne me sens pas au top. » « Moi j’adore prendre le train, déclare en riant Brigitte. C’est un moment de lâcher prise, l’un des rares endroits où on est totalement pris en charge. Même si j’ai un rendez-vous important, je n’y pense pas, je regarde défiler le paysage. Je savoure le fait que pendant deux heures personne ne va rien me demander… à part peut-être mon ticket. » « Moi, c’est claquer la porte de ma voiture, mettre la musique que j’aime, me sentir libre et savourer cette bulle de tranquillité dans mes journées bien occupées », continue Isabelle, 45 ans. Et pour Julie : « Les églises inconnues où j’entre parfois quelques minutes : je respire l’odeur de la pierre, j’écoute les pas qui résonnent, je regarde les lueurs qui traversent les vitraux… Je me sens tout simplement heureuse d’être là. » En Couple « Ce qui compte, c’est de ne pas se laisser happer par la routine, résume Axelle. Se créer des moments, s’organiser des plaisirs : un déjeuner en semaine, un week-end en amoureux… » « Moi j’adore le quotidien, rétorque Virginie. Notre clope sur le balcon pendant que le soleil se couche, les courses au marché. Et puis tous les petits gestes : une tête sur une épaule, une caresse, le café qu’il m’apporte au lit si j’ai du mal à me réveiller… » Brigitte acquiesce : « Moi c’est lorsqu’on s’endort l’un contre l’autre, avec toujours à peu près les mêmes gestes de tendresse, les mêmes mots… » « Nous on s’envoie des textos coquins depuis le bureau, confie Johanna. Une façon de s’échapper des grilles et d’anticiper le plaisir des retrouvailles. » « Tous les soirs, on dîne tous les deux, après les enfants, explique Estelle. C’est là qu’on peut se parler tranquillement. Le matin, on se croise à peine. » Avec Les Autres« Aujourd’hui, ce qui me rend heureuse, c’est de faire plaisir, de me sentir reliée aux autres, déclare Christine. Echanger quelques mots avec le garçon de café, le contrôleur du train, la voisine… » « Moi, c’est le premier apéro en terrasse entre copains, après l’hiver?», continue Ludivine. « Le sourire du petit garçon que je parraine depuis quelques années, enchaîne Brigitte. Cet hiver, je l’ai emmené au ski, il a eu son flocon, je crois que j’étais encore plus heureuse que lui. » « Se faire un hammam entre copines, adore Julie. Se prêter des bouquins et en parler, planifier le voyage qu’on va faire ensemble cet été au Vietnam… » Dans Mes Loisirs« Je vais souvent courir seule, le matin, avec mon IPod, explique Axelle. Mais aussi, parfois, le dimanche à 19 heures, quand il y a tout à faire : donner le bain aux enfants, les faire dîner… C’est bon de planter un peu la routine familiale et de rentrer quand tout est fait ! » « Moi, c’est mon heure de piano hebdomadaire, un des seuls moments où je me pose, lance Virginie. J’essaie de m’y tenir, même si ça me demande organisation et persévérance. » « Mon bonheur c’est le jardinage, poursuit Elisabeth, 57 ans. Un moment où je me vide la tête, où je suis entièrement tournée vers ce que je fais. J’aime tailler les rosiers, enlever les mauvaises herbes pour laisser les fleurs s’épanouir, je trouve qu’il y a du sens là-dedans. » « Moi je nage, explique Johanna. Je fais la planche… C’est fou comme dans l’eau le corps est heureux, et tout l’esprit s’apaise. » « Apprendre des trucs nouveaux, ajoute Christine. Surtout des trucs manuels. Ça me rend très heureuse. Récemment, j’ai trouvé dans une brocante un vieux porte-serviette en bois, très beau, que j’ai restauré. Une première pour moi ! Et depuis peu je me suis mise à la cuisine… » Cinq clés pour s’ouvrir aux petits bonheurs. Avec Thierry Janssen, psychothérapeute*Goûter l’instant «Nous baignons dans une culture consumériste qui nous promet toujours mieux. Pour être heureux, c’est important d’apprendre à savourer le plaisir qui s’offre à nous sans penser à ce qu’on pourrait vivre autrement ou ailleurs. » Ralentir « Pour savourer une satisfaction, il faut éviter de se gaver, prendre le temps de vivre les choses. Par exemple, si j’achète un DVD de ma série préférée, je ne vais pas regarder tous les épisodes le même soir ; ce qui me permet, en plus, le lendemain au bureau, de savourer à l’avance ce petit bonheur à venir…» Se concentrer sur une seule chose à la fois « Dans les salles de sport, il y a parfois des gens qui pédalent sur un vélo tout en lisant un roman et en écoutant leur IPod. C’est dommage : ils ne peuvent profiter pleinement de ce que chacune de ces expériences pourrait leur apporter. Dans notre travail ou dans nos loisirs, c’est en arrêtant de nous disperser, en nous concentrant totalement sur une seule activité que nous pouvons ressentir ce qu’on appelle une “expérience optimale de flux”, un “flux” qui nous emporte, qui nous fait perdre la notion du temps, oublier nos soucis…» Cultiver le lien avec les autres « Participer au bien-être d’un groupe, avoir l’impression d’être utile sont des sources de satisfaction profonde. Cela nous permet de nous sentir aimés, reconnus, et d’exprimer le meilleur de nous-mêmes.» S’autoriser à ne pas être toujours heureux « Il faut arrêter de se soumettre à la dictature du sourire permanent ! C’est normal d’avoir des moments de vague à l’âme, des changements d’humeur, ça faitpartie de nous. C’est mieux de les accepter sans culpabiliser, en se disant simplement qu’aujourd’hui ça ne fonctionne pas. Etre vrai avec soi-même, c’est aussi une source de contentement, de bien-être.» (*) Auteur de « Le défi positif, Une autre manière de parler du bonheur et de la bonne santé » (éd. Les liens qui libèrent). Les Bonnes AdressesDes Reportages Optimistes Le 1er juin, le fondateur de l’ONG Reporters d’Espoirs lancera le site Sparknews, qui rassemblera des reportages « positifs », précédemment diffusés sur de grandes chaînes de télé du monde entier. L’occasion de s’informer autrement, en découvrant des initiatives solidaires, généreuses, porteuses de solutions. www.sparknews.com, www.reportersdespoirs.org. Un Forum Du Bien-Être Pour « apprendre» à être heureux grâce à des conférences et ateliers réunissant spécialistes, entrepreneurs, témoins en tout genre… www.happylab.fr. Un Site Pour Sourire Pour partager ses moments de joie, découvrir ceux des autres (déjà plus de 50000 témoignages recueillis dans le monde) et participer à une sorte de «marathon du bonheur» qui aide à voir la vie autrement. www.happython.com Et Un Livre À Picorer Ecrit par le jeune romancier Arthur Dreyfus, «Le livre qui rend heureux» (éd. Flammarion) s’est déjà écoulé à près de 20000 exemplaires. Mêlant aphorismes, jeux d’écriture, textes de chansons et réflexions philosophiques... Invitation aux bonheurs.
Situé sur le bord de la Vienne, le château fut lui aussi propriété des Frottier. Il fut construit au XVIème siècle, vraisemblablement par Briand. Le plan et les détails indiquent que ce château était le cousin de celui de Chamousseau. Plus heureux que ce dernier, il a moins souffert de l'abandon et conserve aujourd'hui son corps de logis et ses trois tours rondes.
Construit en haut d'une falaise de 38 mètres, il domine la vallée de la Vienne. Les archives citent ce lieu dès 1337. Fougeret fut, jusqu'à la Révolution, un lieu de Haute-Justice. Sous le Second Empire, une campagne de restauration lui donne son aspect actuel. Il garde cependant des éléments médiévaux. Son intérieur est très sophistiqué. Il répond aux styles néo-gothique et éclectique propres au XIXe siècle, notamment avec ses escaliers « à la Chambord », ses fresques et ses cheminées.
Le château a été classé Monument historique en 2010. Il possède un parc de 10 hectares qui borde la Vienne et abrite des essences rares. L'édifice fait l'objet d'importants travaux de rénovation depuis mars 2009 par ses nouveaux propriétaires, après avoir été laissé à l'abandon pendant près d'un demi-siècle. Le château est présenté pour avoir des activités paranormales ;
Le Paranormal.
Château médiéval dressant sa superbe silhouette au sud-est de Poitiers, Fougeret est inscrit aux monuments historiques depuis juin 2010. Son histoire, qui remonte au début de la guerre de cent ans, est particulièrement mouvementée. Entre les morts brutales, les bals costumés de la bourgeoisie fascisante de l'entre-deux-guerres et les nombreux revers de fortune des propriétaires, il y a de quoi écrire un roman sur sept siècles.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, il a été acquis par une famille de commerçants rochelais, les Perrineau. A la mort du père en 2007, les enfants décidèrent de vendre. Depuis, ce sont François-Joseph et Véronique Geffroy, amoureux des vieilles pierres, qui se sont lancés dans l'aventure de sa restauration. Lui est agriculteur,elle prof d'histoire.
Ce sont également eux qui se sont émus des bruitsétranges et des sensations d'oppression qui se manifestaient dans certaines pièces. Plusieurs médiums sont intervenus pour entrer en contact avec les fantômes du château à la demande des propriétaires. Fougeret, c'est le top du top du paranormal. Même en Écosse, on ne fait pas mieux.
Une voyante dit avoir longuement discuté avec Alice, une jeune fille morte à 22 ans et qui vivait là dans les années 20. C'est dans la chambre d'Alice que l'entretien de neuf minutes a eu lieu. Elle est déjà intervenue trois fois à Fougeret. A chacune de ses visites, elle dit avoir « établi le contact ».
Sur le magnétophone, des bruits étranges, un coup de feu, sur la caméra ou dans l'appareil photo, des flous mystérieux, comme un visage dans la vitre d'une fenêtre. Les propriétaires de Fougeret vivent avec leurs fantômes. Ils souhaitent faire des chambres d'hôtes, organisent des expositions, des soirées culturels.
coutume
Autrefois, les chrétiens servaient la fameuse « galette des rois » le jour de l’Épiphanie (6 janvier) pour commémorer l’adoration des rois-mages, et honorer Jésus comme l’enfant-dieu. Pour tout savoir sur l'histoire de la fête des rois...
L'histoire de la fête des rois
Cette pratique serait une adaptation d’une vieille coutume romaine qui avait lieu lors des Saturnales, grande fête en l’honneur du dieu Saturne qui durait sept jours et où « tout était permis ». Dans cet élan ludique, les romains utilisaient alors des fèves comme bulletin de vote pour élire le roi du festin !!!
De nos jours, tous les dimanche midi du mois de janvier, sont l’occasion pour nous de déguster en famille (ou entre amis) une bonne galette des rois aux amandes…
Le rituel
Selon le « rituel » le plus jeune doit se placer sous la table, pour commencer la distribution des parts.
On lui demande alors « Pour qui celle là ? ». Lui, répond, et ainsi de suite… La tradition veut, que celui qui trouve la fève, doit désigner un roi (ou une reine) et l’embrasser. Et ce sera lui (ou elle), le dimanche suivant, qui sera chargé de cuisiner (ou acheter) la prochaine galette des rois.
La fève est, pour certains, un véritable objet de collection (cette pratique s’appelle la favophilie). Aujourd’hui, on trouve plus
généralement dans les galettes, surtout des fèves en porcelaine. Mais attention, cela n’a pas toujours été le cas ! Au tout début, nos
ancêtres marmitons cachaient réellement de vraies fèves de haricot…
Puis, par la suite, on utilisa des pièces d’argent ou d’or (je vois que ça vous intéresse davantage mais attention, ça brûle…), avant de passer à la porcelaine à la fin du 19ème siècle, ou au plastique…
On trouve aussi une autre forme de galette dans le Sud de la France (brioche aux fruits confits) et des traditions similaires ailleurs dans le monde (King’s cake américain, Tortell del Reis catalan…).
Il y a encore une vingtaine d’années, on trouvait encore des galettes feuilletées dans les pâtisseries, mais désormais c’est la galette
fourrée à la frangipane qui a la vedette depuis fin novembre (!!!) jusqu’à fin janvier. Il faut dire que c’est certainement l’un des
gâteaux les plus rentables qui soient pour un pâtissier… et les moins compliqués à faire !
Dans le reste du monde
Le gâteau des Rois est passé, avec les émigrants français, dans le Nouveau Monde, et il est de coutume de le consommer à La
Nouvelle-Orléans lors du Mardi Gras : il consiste en une espèce de brioche au glaçage aux couleurs violette, verte et or, traditionnelles du carnaval quelquefois fourrée de fromage à la crème et de pralines.
On trouve des coutumes similaires selon les pays et les régions, qui utilisent d’autres recettes de pâtisserie :
- Tortell catalan.
- En Belgique, la pratique est très répandue (elle porte le nom de driekoningentaart en Belgique néerlandophone) ;
- le pithiviers dans le Loiret ;
- le gâteau des Rois, le pastis, le royaume ou la brioche dans le Sud de la France ;
- la galette comtoise (galette sèche à base de pâte à chou recouverte de sucre et de beurre, aromatisée à la fleur d’oranger) ;
- la nourolle en Normandie
- le tortell en Catalogne ;
- le roscón en Espagne ;
- le king cake au Sud des États-Unis ;
- le bolo rei au Portugal ;
- la rosca au Mexique ;
- la vassilopita en Grèce.
>
> Usage du VICKS lors d'une grosse toux.
>
> Lors d'une grosse toux... Les propriétés du Vicks Vaporub....... très
intéressant à connaître !
>
>
>
À essayer, car cela fonctionne définitivement ....à
100% !
>
> Lors d'une lecture sur les Huiles Essentielles, un
article nous disait comment le pied peut absorber
les huiles. Mais je n'ai jamais entendu parler de
ça...et ne riez pas,
> ça marche 100% du temps, même si les
scientifiques qui l'ont découvert n'y comprennent
rien.
>
>
Pour arrêter la toux de nuit d'un enfant (ou d'un adulte, comme nous l'avons
constaté personnellement), mettez généreusement du
Vicks Vapo-Rub sous les pieds,
> au moment du coucher, et ensuite couvrez-les de
petits bas. Même la toux la plus persistante et la
plus creuse s'arrêtera dans les cinq prochaines
minutes et l'effet
> durera pendant plusieurs heures.
>
>
Ça fonctionne à 100% et c'est plus efficace chez les enfants que tous
médicaments ou prescriptions pour la toux.
De plus, c'est extrêmement calmant et réconfortant et ils
dormiront profondément.
>
>
Ma femme a essayé ce traitement quand elle a eu une toux persistante il y
a quelques semaines et ça a marché. Elle a dit
qu'elle avait l'impression d'être enveloppée
> dans une chaude couverture.
>
>
La toux s'arrêta quelques minutes plus tard et, croyez-moi, il s'agissait
d'une toux très dérangeante et incontrôlable à
toutes les secondes. Elle a pu dormir sans tousser
pendant des heures toutes les nuits où elle a
utilisé ce produit.
>
>
Si vous avez des petits-enfants, passez le mot. Si vous avez la toux
nocturne, essayez ce que je viens de vous apprendre.
Vous serez grandement surpris des résultats......
>
>
NE DÉTRUISEZ PAS CE MESSAGE. ESSAYEZ-LE LA PROCHAINE FOIS QUE VOUS AUREZ
UN MAUVAIS RHUME, C'EST VRAI !
>
>
15 La Bicyclette du London Eye
Quand l'Arc de Triomphe devient un Lego géant
Quand La Joconde trône sur la pyramide du Louvre
L'horloge de Big Ben
Skieur sur le Pont Samuel Beckett
Bruce Lee à Montmartre
Élémentaire, mon cher Watson !
Joyeux Noël depuis Covent Garden
La petite sirène de Copenhague prend un selfie
La toile d'araignée géante du Musée de la Marine
L'Œil de Sauron trône sur la St George Wharf Tower
Spiderman à la Gare de King's Cross
Célébration de l'amour à Piccadilly Circus
Sur la plaque, Wolinski gravé avec un Y à la fin. Oups...
La nature reprend toujours ses droits et c’est encore mieux lorsqu’elle
surplombe la guerre. Ces 18 tanks perdus dans la nature aux quatre coins
du monde nous rappellent à juste titre que la guerre aussi terrible
soit-elle a une fin. Découvrez ces magnifiques photos pleines d’espoir.
Porto Rico
Antarctique
Russie
Allemagne de l’Est
Afghanistan
Etats-Unis
L’île Chikotan
Ukraine
Royaume-Uni
Pays-Bas
Iles Mariannes
Voici d’autres tanks laissés à l’abandon, dans des destinations toutefois non précisées :
Ces tanks abandonnés en pleine nature sont impressionnants. Une pollution
quelque peu symbolique. A la rédaction, on a adoré ces photographies
pleines de sens. Pensez-vous qu’un jour tous les tanks du monde pourront
cesser de fonctionner pour laisser place à la paix ou croyez-vous que
ce n’est pas près d’arriver ?
Pour moi c'est une belle chose et on voit que certaines personnes encore sont vigilentes aux autres.
Bravo à cette dame
Roxanne
Cette boulangère a sauvé la vie de l'un de ses clients, qui
n'était pas venu récupérer sa buche de Noël.
Dans le Nord mardi, une boulangère a sauvé la vie de l'un de ses clients. Inquiète de voir que
celui-ci n'était pas venu chercher sa bûche de Noël, elle a prévenu les
secours et les a convaincus d'intervenir.
L'homme a été retrouvé chez lui, vivant mais incapable de bouger.
En cette période de fêtes quelque peu maussade, en raison des récentes attaques terroristes, cette
histoire redonne le sourire. Incapable de se relever depuis cinq jours
après une chute, un habitant de Lillers, dans le Pas-de-Calais, a été
secouru mardi grâce à la persévérance de sa boulangère.
Celle-ci, inquiète de ne pas l'avoir vu venir chercher sa bûche de Noël, a insisté auprès des
policiers pour qu'ils interviennent, comme le rapporte France Info ce
jeudi.
Marie, la boulangère, constate après les fêtes de Noël que tous ses clients étaient venus récupérer leur gâteau... sauf un.
"On a essayé de joindre le client, il n'a pas répondu
. Le vendredi 25, jour de Noël, nous étions fermés.
J'ai essayé de nouveau le samedi, rien.
Pareil le lundi. Pas de réponse" explique-t-elle à France Info
. Inquiète, elle appelle la police, qui la rassure en lui disant que son client a certainement dû s'absenter pour les fêtes.
"Moi, j'aurai fait ma bonne action"
Mais, en discutant avec sa collègue buraliste, la boulangère apprend que son client n'est pas non
plus venu récupérer son journal, et ce, depuis plusieurs jours.
Elle rappelle le commissariat: "Si vous retrouvez ce monsieur décédé dans une semaine, un mois ou deux,
moi j'aurai fait ma bonne action!"leur lance-t-elle.
Les secours se décident alors à intervenir.
Ils trouvent le fameux client gisant au sol, vivant mais incapable de se relever depuis "au moins cinq
jours", selon la boulangère. Il serait tombé du lit. L'homme a finalement été hospitalisé, mais est sain et sauf.
D'après France 3, le client est "de forte corpulence" et vit "isolé", ce qui expliquerait en partie
pourquoi il est resté bloqué et pourquoi personne n'a rien remarqué avant.
Depuis, la boulangère est perçue comme une héroïne dans son quartier. Comme quoi, les petites
attentions du quotidien peuvent sauver des vies.
APRÈS UN BON RÉVEILLON FRANÇAIS,METTONS NOUS A LA DIÈTE,OU POUR CEUX QUI ONT ENCORE FAIM,VOILA UNE AUTRE CUISINE: BON APPÉTIT LES AMIS
Vous qui vous êtes déjà retrouvé perplexe devant une assiette de brocolis, ce top risque de vous faire relativiser. Le hamburger n'est
pas une institution dans tous les pays. Parfois, c'est le chien, ou le
crocodile. Ou autre chose. Après les plats français un peu répugnants, voici les internationaux :
La soupe de chien en Corée : ce plat, appelé boshintang (soupe de santé), est très apprécié des Nord-Coréens.
Dégustée clandestinement en Corée du Sud, la soupe de chien est devenue
un repas de luxe en Corée du Nord. En même temps, tout repas est un luxe
en Corée du Nord.
Le serpent à Le Mât, Vietnam : le serpent est un reptile très apprécié des Vietnamiens. Il est cuisiné à toutes
les sauces. Vous pourrez tester le cobra au bain-marie, des potages de
queues et de peaux aux herbes, des nems au serpent, de la soupe au jus
de serpent…
Si vous en commandez un, on le tuera devant vous( pour vous montrer qu'il est frais), voilà ce que ça peut donner (attention il y a un
serpent qui meurt dedans la vidéo, on vous aura prévenus) :
La chauve-souris en Indonésie : la viande de chauve-souris est servie en sauce et fait partie des spécialités
indonésiennes. Il est tout de même bon de savoir que les chauves-souris
peuvent être porteuses de la rage, du virus Ebola et que leurs fientes
peuvent provoquer l'histoplasmose… Donc : bien les cuire, et ne pas
manger les fientes.
La soupe de tortue à Shanghai, Chine : un des plats les plus originaux du pays reste la soupe de tortue. On peut
également trouver de la soupe de carapace molle. Mais on perd le
croustillant.
La marmotte en Mongolie
Appelé boodog, la marmotte est une viande que les nomades ont pour
coutume de déguster en hiver ou pour les longs trajets. Une marmotte et
ça repart.
La baleine au Japon
La viande de baleine est un met très utilisé dans la cuisine japonaise
malgré les différentes interdictions internationales. Des barbares ces
Japonais. Manger de la baleine... alors que tout peuple civilisé sait
que la baleine sert uniquement à faire des crèmes cosmétiques à se
tartiner sur la gueule.
La cervelle d’écureuil aux États-Unis
Cette spécialité surtout répandue dans le sud des États-Unis nous
rappelle que ce beau pays s'est construit grâce à la détermination de
pionniers qui un jour se sont dit : "Oh, un écureuil... Si on lui pétait le crâne pour manger ce qu'il y a dedans?"
La dégustation d’insectes à Khao San Road, Bangkok, Thaïlande
Les insectes sont paraît-il excellents pour la santé. Par contre,
choisissez des bestioles dodues si vous êtes une famille de quatre. "Y'a plus de blanc?... Je vais prendre une cuisse, alors…", "Il faut le finir ce gigot de mouche, c'est pas bon réchauffé!"
Le crocodile au Kenya
Un des reptiles les plus dangereux, mais aussi un met très savoureux
pour les Kenyans. Son goût s’apparenterait à celui du poisson, sa chair
serait plutôt caoutchouteuse. Ça a l'air meilleur qu'un bâtonnet de
Colin, c'est déjà ça. Par contre le Colin et le Surimi ne sont pas
encore dans la liste des espèces en disparition, donc quitte à bouffer
du pas bon, préférez le pas bon qui existe en grand nombre. Et bim, le
coup de gueule écolo qui va bien. On est comme ça chez Topito, on a un
cœur gros comme la planète.Les brochettes du marché de Dong Hua Men (Chine)
Comme dit précédemment en Chine , on met la plupart des insectes en
brochettes. Mais on le fait aussi avec d'autres trucs : les hippocampes
par exemple. En fait si c'est vivant on empale. Une abeille : bim on
empale, un poisson : bim on empale, etc. Si vous visitez la Chine et que
vous voyez un mec qui vous suit de près avec une très grosse pique,
fuyez, loin, très loin.
Poissons-pénis coréen
On le vend frétillant dans de grands viviers au sein des marchés aux
Poissons. Et on s'arrêtera là parce que les images parlent
d'elles-mêmes.Panope du Pacifique
Au Japon on adore ça cru , en sashimi ... C'est le plus gros bivalve
fouisseur du monde ... tout de suite ça impose le respect. Et on sait
bien ce que vous vous dites : ça ressemble à un appareil reproducteur
masculin (une bite donc pour ceux qui ne suivraient pas) d'éléphant.
Le Haggis
Du bon plat Briton comme on en fait plus. Pour faire court : c'est de la
panse de brebis farcie. Et si ça vous donne envie, on vous conseille de
consulter d'urgence.
L'œuf de Cent ans
L'odeur d'œuf pourri vous répugne ? Dommage il parait que c'est
délicieux. L'œuf de poule est conservé dans de l'argile pendant
plusieurs mois . Le résultat est ... atypique : le jaune devient vert et
visqueux tandis que le blanc devient noir. En Chine, on retrouve l'œuf
de cent ans cru ou dans des préparations comme le Congee ( porridge
d'œuf en dés avec du poulet et du riz).
L'utérus de truie
Vous pensiez avoir atteint la limite avec les poissons-pénis ? Perdu !
On en mange en Chine et aux Philippines. Le plus souvent on déguste son
utérus farci de porc émincé , de légumes et de diverses épices, sinon
c'est un peu fade m'voyez...Source : unbilletpourlevasion, "Ça se mange ?" de Neil Setchfield
Crédits photo (creative commons) : Bogomolov.PL
La baleine au Japon
La viande de baleine est un met très utilisé dans la cuisine japonaise
malgré les différentes interdictions internationales. Des barbares ces
Japonais. Manger de la baleine... alors que tout peuple civilisé sait
que la baleine sert uniquement à faire des crèmes cosmétiques à se
tartiner sur la gueule.
La cervelle d’écureuil aux États-Unis
Cette spécialité surtout répandue dans le sud des États-Unis nous
rappelle que ce beau pays s'est construit grâce à la détermination de
pionniers qui un jour se sont dit : "Oh, un écureuil... Si on lui pétait le crâne pour manger ce qu'il y a dedans?"
La dégustation d’insectes à Khao San Road, Bangkok, Thaïlande
Les insectes sont paraît-il excellents pour la santé. Par contre,
choisissez des bestioles dodues si vous êtes une famille de quatre. "Y'a plus de blanc?... Je vais prendre une cuisse, alors…", "Il faut le finir ce gigot de mouche, c'est pas bon réchauffé!"
Le crocodile au Kenya
Un des reptiles les plus dangereux, mais aussi un met très savoureux
pour les Kenyans. Son goût s’apparenterait à celui du poisson, sa chair
serait plutôt caoutchouteuse. Ça a l'air meilleur qu'un bâtonnet de
Colin, c'est déjà ça. Par contre le Colin et le Surimi ne sont pas
encore dans la liste des espèces en disparition, donc quitte à bouffer
du pas bon, préférez le pas bon qui existe en grand nombre. Et bim, le
coup de gueule écolo qui va bien. On est comme ça chez Topito, on a un
cœur gros comme la planète.Les brochettes du marché de Dong Hua Men (Chine)
Comme dit précédemment en Chine , on met la plupart des insectes en
brochettes. Mais on le fait aussi avec d'autres trucs : les hippocampes
par exemple. En fait si c'est vivant on empale. Une abeille : bim on
empale, un poisson : bim on empale, etc. Si vous visitez la Chine et que
vous voyez un mec qui vous suit de près avec une très grosse pique,
fuyez, loin, très loin.
Poissons-pénis coréen
On le vend frétillant dans de grands viviers au sein des marchés aux
Poissons. Et on s'arrêtera là parce que les images parlent
d'elles-mêmes.Panope du Pacifique
Au Japon on adore ça cru , en sashimi ... C'est le plus gros bivalve
fouisseur du monde ... tout de suite ça impose le respect. Et on sait
bien ce que vous vous dites : ça ressemble à un appareil reproducteur
masculin (une bite donc pour ceux qui ne suivraient pas) d'éléphant.
Le Haggis
Du bon plat Briton comme on en fait plus. Pour faire court : c'est de la
panse de brebis farcie. Et si ça vous donne envie, on vous conseille de
consulter d'urgence.
L'œuf de Cent ans
L'odeur d'œuf pourri vous répugne ? Dommage il parait que c'est
délicieux. L'œuf de poule est conservé dans de l'argile pendant
plusieurs mois . Le résultat est ... atypique : le jaune devient vert et
visqueux tandis que le blanc devient noir. En Chine, on retrouve l'œuf
de cent ans cru ou dans des préparations comme le Congee ( porridge
d'œuf en dés avec du poulet et du riz).
L'utérus de truie
Vous pensiez avoir atteint la limite avec les poissons-pénis ? Perdu !
On en mange en Chine et aux Philippines. Le plus souvent on déguste son
utérus farci de porc émincé , de légumes et de diverses épices, sinon
c'est un peu fade m'voyez...Source : unbilletpourlevasion, "Ça se mange ?" de Neil Setchfield
PEINTURES comme dans un conte : la petite fille et le chien
Peintre jeong woojae
Comme dans la série de Kevin Peterson, représentant des petites filles marchant aux côtés d’ours polaires.
À travers ses peintures à l’huile, le peintre coréen nous raconte
l’histoire d’une jeune fille évoluant dans les rues de Séoul en
compagnie de son chien géant. Par les mises en scène et les décors qu’il
choisit de représenter.
Vive Les Petits Bonheurs Du Quotidien !
« Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux(ses) ? » Sûrement pas que le monde
tourne plus rond, que la crise cesse, ou que la béatitude nous tombe sur
la tête. Le bonheur, c’est tout de suite, c’est fugitif et ça s’attrape
au vol.
Même, et peut-être surtout en temps de crise, les « petits bonheurs » se
ramassent à la pelle. Question de regard, de disponibilité, d’attention.
A la maison, au bureau, entre copines, en famille, même dans la rue ou
dans le métro, on peut saisir et savourer l’instant où rien ne pèse, la
petite lueur qui fait sourire, le geste qui met du baume au cœur.
Au lieu de se contenter (ou se désoler) de l’aspect morose de la
situation. Non, le bonheur n’est pas un état permanent. Oui, savoir le
trouver dans les petits riens du quotidien, ça se cultive. Des
convaincues nous ont livré les mille et un détails de la vie qui les
rendent heureuses et que personne ne pourra leur enlever. Florilège
antidéprime.
Au boulot
« Comme c’est là que je passe le plus de temps, même quand je croule sous
la tâche, je m’offre des petits réconforts, explique Virginie, 42 ans :
un bouquet de fleurs sur mon bureau, un peu de musique entre deux
rendez-vous, un café avec mon associé… Et je mesure ma chance de l’avoir
! »
« Moi j’ai un truc quand je suis submergée : ne faire qu’une chose à la
fois, remarque Julie, 32 ans. Je coupe le téléphone quand je lis mes
mails, j’éteins l’ordi si je suis en rendez-vous. Je liste les tâches,
je les abats l’une après l’autre. C’est efficace et très jouissif. »
« Mon petit bonheur, c’est quand j’arrête un peu de me mettre la
pression, préfère Romane, 37 ans. C’est bon aussi de mesurer le chemin
parcouru, de se dire qu’on a progressé. »
« J’aime les fous rires avec les collègues, les pauses café où on médit
un peu, confie Axelle, 38 ans. Je cache aussi dans mon bureau une énorme
boîte de bonbons bien régressifs, alors que j’interdis à mes enfants
d’avoir les mêmes. Je savoure cet espace de liberté où je ne suis plus
la mère de personne. »
En Famille « Dès que je suis avec ma fille, je mets tout de côté, explique Pierre,
41 ans. J’essaie de n’être qu’avec elle, entièrement disponible. J’adore
la voir rigoler, faire des progrès… Je profite à fond de ces moments
privilégiés, même si, une fois qu’elle est couchée, je me remets souvent
sur mes dossiers. »
« Mon grand bonheur, déclare Nora, 27 ans, c’est quand mon fils m’attrape
tout d’un coup pour me faire un bisou, quand il me dit : “Je t’aime.” »
« Un dimanche sur deux, on a institué l’après-midi “sans écrans”, raconte
Sylvie, 45 ans. Plus de disputes autour de l’ordinateur, plus de
négociations sur le temps de jeux vidéo… On fait une sortie, une balade
tous ensemble, c’est un vrai bonheur. »
« Regarder mes enfants dormir, si paisibles. A chaque fois cela
m’émerveille, note Estelle, 33 ans. Surtout quand ils m’ont fait vivre
une soirée d’enfer. »
« Mon grand bonheur : en Normandie, en famille, résume Christine, 62 ans,
s’offrir un bon plateau de fruits de mer, se dire qu’on est bien
ensemble, qu’on a eu raison d’acheter cette maison.
« Moi c’est le ski avec mon fils, enchaîne Brigitte, 53 ans. C’est moi
qui l’ai initié, il y a bientôt vingt ans. Aujourd’hui c’est lui qui
m’attend. »
Seule À La Maison « Mon appartement c’est mon cocon, mon refuge, un lieu où je me “répare”,
résume Camille, 36 ans. Le mieux c’est dans ma salle de bains : je
prends des douches très chaudes, très longues, je me fais des masques…
J’aime ces tête-à-tête hors du temps avec moi-même.
« Je viens de m’acheter un nouveau vernis à ongles, raconte en riant Johanna, 28 ans. Depuis, je me regarde les pieds tous
les matins : j’ai l’impression d’avoir des bonbons au bout des orteils. »
« Une fois les enfants couchés, ma bulle de liberté c’est le Web,
enchaîne Axelle. Je vais sur des blogs de femmes qui me ressemblent un
peu. Je flâne sur des sites de fringues. Je me fais plaisir. »
Julie se délecte rien que d’en parler : « Me réveiller en pleine nuit et me
dire qu’il me reste encore plusieurs heures à dormir, savoir qu’un bon
roman m’attend sur ma table de nuit, un peu comme un ami très patient. »
« Moi, c’est l’odeur du linge que je viens d’étendre, ajoute Barbara,
47 ans. Une tasse de thé au gingembre. Me glisser dans des draps
propres… »
« Mon truc, c’est danser seule dans ma chambre, confie Ludivine, 23 ans. N’importe comment, la musique à fond. »
« Une bonne comédie romantique. C’est le petit bonheur que je savoure,
quand mon chéri me manque, avoue Jeanne, 25 ans. De toute façon, je
n’aurais pas partagé ce plaisir avec lui. »
Dans La Rue, Dans La Nature… « Apercevoir la pleine lune entre deux immeubles, passer devant la tour
Eiffel juste au moment où elle scintille, être touchée par un musicien
dans le métro… Un “petit bonheur”, c’est un instant volé, résume Camille
: on réalise que ça ne va pas de soi, que c’est magique. On a envie de
dire merci. »
Romane ajoute : « Lorsque les arbres bourgeonnent, chaque année au printemps.
La nature a quelque chose de consolant, de régénérant. J’aime ce côté
cyclique, cette idée que dans la vie tout peut changer, renaître… »
« Me faire draguer dans la rue, ça c’est un vrai bonheur, lance Johanna, surtout quand je ne me sens pas au top. »
« Moi j’adore prendre le train, déclare en riant Brigitte. C’est un
moment de lâcher prise, l’un des rares endroits où on est totalement
pris en charge. Même si j’ai un rendez-vous important, je n’y pense pas,
je regarde défiler le paysage. Je savoure le fait que pendant deux
heures personne ne va rien me demander… à part peut-être mon ticket. »
« Moi, c’est claquer la porte de ma voiture, mettre la musique que
j’aime, me sentir libre et savourer cette bulle de tranquillité dans mes
journées bien occupées », continue Isabelle, 45 ans.
Et pour Julie : « Les églises inconnues où j’entre parfois quelques
minutes : je respire l’odeur de la pierre, j’écoute les pas qui
résonnent, je regarde les lueurs qui traversent les vitraux… Je me sens
tout simplement heureuse d’être là. »
En Couple
« Ce qui compte, c’est de ne pas se laisser happer par la routine, résume Axelle. Se créer des moments, s’organiser des plaisirs : un déjeuner en semaine, un week-end en amoureux… »
« Moi j’adore le quotidien, rétorque Virginie. Notre clope sur le balcon
pendant que le soleil se couche, les courses au marché. Et puis tous les
petits gestes : une tête sur une épaule, une caresse, le café qu’il
m’apporte au lit si j’ai du mal à me réveiller… »
Brigitte acquiesce : « Moi c’est lorsqu’on s’endort l’un contre l’autre, avec
toujours à peu près les mêmes gestes de tendresse, les mêmes mots… »
« Nous on s’envoie des textos coquins depuis le bureau, confie Johanna. Une façon de s’échapper des grilles et d’anticiper le plaisir des retrouvailles. »
« Tous les soirs, on dîne tous les deux, après les enfants, explique
Estelle. C’est là qu’on peut se parler tranquillement. Le matin, on se
croise à peine. »
Avec Les Autres « Aujourd’hui, ce qui me rend heureuse, c’est de faire plaisir, de me
sentir reliée aux autres, déclare Christine. Echanger quelques mots avec
le garçon de café, le contrôleur du train, la voisine… »
« Moi, c’est le premier apéro en terrasse entre copains, après l’hiver?», continue Ludivine.
« Le sourire du petit garçon que je parraine depuis quelques années,
enchaîne Brigitte. Cet hiver, je l’ai emmené au ski, il a eu son flocon,
je crois que j’étais encore plus heureuse que lui. »
« Se faire un hammam entre copines, adore Julie. Se prêter des bouquins
et en parler, planifier le voyage qu’on va faire ensemble cet été au
Vietnam… »
Dans Mes Loisirs « Je vais souvent courir seule, le matin, avec mon IPod, explique Axelle.
Mais aussi, parfois, le dimanche à 19 heures, quand il y a tout à faire
: donner le bain aux enfants, les faire dîner… C’est bon de planter un
peu la routine familiale et de rentrer quand tout est fait ! »
« Moi, c’est mon heure de piano hebdomadaire, un des seuls moments où je
me pose, lance Virginie. J’essaie de m’y tenir, même si ça me demande
organisation et persévérance. »
« Mon bonheur c’est le jardinage, poursuit Elisabeth, 57 ans. Un moment
où je me vide la tête, où je suis entièrement tournée vers ce que je
fais. J’aime tailler les rosiers, enlever les mauvaises herbes pour
laisser les fleurs s’épanouir, je trouve qu’il y a du sens là-dedans. »
« Moi je nage, explique Johanna. Je fais la planche… C’est fou comme dans
l’eau le corps est heureux, et tout l’esprit s’apaise. »
« Apprendre des trucs nouveaux, ajoute Christine. Surtout des trucs
manuels. Ça me rend très heureuse. Récemment, j’ai trouvé dans une
brocante un vieux porte-serviette en bois, très beau, que j’ai restauré.
Une première pour moi ! Et depuis peu je me suis mise à la cuisine… »
Cinq clés pour s’ouvrir aux petits bonheurs. Avec Thierry Janssen, psychothérapeute* Goûter l’instant «Nous baignons dans une culture consumériste qui nous promet
toujours mieux. Pour être heureux, c’est important d’apprendre à
savourer le plaisir qui s’offre à nous sans penser à ce qu’on pourrait
vivre autrement ou ailleurs. »
Ralentir « Pour savourer une satisfaction, il faut éviter de se gaver, prendre
le temps de vivre les choses. Par exemple, si j’achète un DVD de ma
série préférée, je ne vais pas regarder tous les épisodes le même soir ;
ce qui me permet, en plus, le lendemain au bureau, de savourer à
l’avance ce petit bonheur à venir…»
Se concentrer sur une seule chose à la fois « Dans les salles de sport, il
y a parfois des gens qui pédalent sur un vélo tout en lisant un roman
et en écoutant leur IPod.
C’est dommage : ils ne peuvent profiter pleinement de ce que chacune de ces
expériences pourrait leur apporter. Dans notre travail ou dans nos
loisirs, c’est en arrêtant de nous disperser, en nous concentrant
totalement sur une seule activité que nous pouvons ressentir ce qu’on
appelle une “expérience optimale de flux”, un “flux” qui nous emporte,
qui nous fait perdre la notion du temps, oublier nos soucis…»
Cultiver le lien avec les autres « Participer au bien-être d’un groupe, avoir
l’impression d’être utile sont des sources de satisfaction profonde.
Cela nous permet de nous sentir aimés, reconnus, et d’exprimer le
meilleur de nous-mêmes.»
S’autoriser à ne pas être toujours heureux « Il faut arrêter de se soumettre à la
dictature du sourire permanent ! C’est normal d’avoir des moments de
vague à l’âme, des changements d’humeur, ça faitpartie de nous.
C’est mieux de les accepter sans culpabiliser, en se disant simplement
qu’aujourd’hui ça ne fonctionne pas. Etre vrai avec soi-même, c’est
aussi une source de contentement, de bien-être.»
(*) Auteur de « Le défi positif, Une autre manière de parler du bonheur et de la bonne santé » (éd. Les liens qui libèrent).
Les Bonnes Adresses Des Reportages Optimistes
Le 1er juin, le fondateur de l’ONG Reporters d’Espoirs lancera le site Sparknews,
qui rassemblera des reportages « positifs », précédemment diffusés sur
de grandes chaînes de télé du monde entier. L’occasion de s’informer
autrement, en découvrant des initiatives solidaires, généreuses,
porteuses de solutions. www.sparknews.com, www.reportersdespoirs.org.
Un Forum Du Bien-Être
Pour « apprendre» à être heureux grâce à des conférences et ateliers
réunissant spécialistes, entrepreneurs, témoins en tout genre… www.happylab.fr.
Un Site Pour Sourire
Pour partager ses moments de joie, découvrir ceux des autres (déjà plus de
50000 témoignages recueillis dans le monde) et participer à une sorte de
«marathon du bonheur» qui aide à voir la vie autrement.
www.happython.com
Et Un Livre À Picorer
Ecrit par le jeune romancier Arthur Dreyfus, «Le livre qui rend heureux» (éd.
Flammarion) s’est déjà écoulé à près de 20000 exemplaires.
Mêlant aphorismes, jeux d’écriture, textes de chansons et réflexions philosophiques... Invitation aux bonheurs.
Par Ségolène Barbé
Revue Marie-Claire
Situé sur le bord de la Vienne, le château fut lui aussi propriété des Frottier. Il fut construit au XVIème siècle, vraisemblablement par
Briand. Le plan et les détails indiquent que ce château était le cousin de celui de Chamousseau. Plus heureux que ce dernier, il a moins souffert de l'abandon et conserve aujourd'hui son corps de logis et ses trois tours rondes.
Construit en haut d'une falaise de 38 mètres, il domine la vallée de la Vienne.
Les archives citent ce lieu dès 1337. Fougeret fut, jusqu'à la Révolution, un lieu de Haute-Justice. Sous le Second Empire, une
campagne de restauration lui donne son aspect actuel. Il garde cependant des éléments médiévaux. Son intérieur est très sophistiqué. Il répond aux styles néo-gothique et éclectique propres au XIXe siècle, notamment avec ses escaliers « à la Chambord », ses fresques et ses cheminées.
Le château a été classé Monument historique en 2010. Il possède un parc de 10 hectares qui borde la Vienne et abrite des essences rares. L'édifice fait l'objet d'importants travaux de rénovation depuis mars 2009 par ses nouveaux propriétaires, après avoir été laissé à l'abandon pendant près d'un demi-siècle. Le château est présenté pour avoir des activités paranormales ;
Le Paranormal.
Château médiéval dressant sa superbe silhouette au sud-est de Poitiers, Fougeret est inscrit aux monuments historiques depuis juin 2010. Son histoire, qui remonte au début de la guerre de cent ans, est particulièrement mouvementée. Entre les morts brutales, les bals costumés de la bourgeoisie fascisante de l'entre-deux-guerres et les nombreux revers de fortune des propriétaires, il y a de quoi écrire un roman sur sept siècles.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, il a été acquis par une famille de commerçants rochelais, les Perrineau. A la mort du père en 2007, les enfants décidèrent de vendre. Depuis, ce sont François-Joseph et Véronique Geffroy, amoureux des vieilles pierres, qui
se sont lancés dans l'aventure de sa restauration. Lui est agriculteur,elle prof d'histoire.
Ce sont également eux qui se sont émus des bruitsétranges et des sensations d'oppression qui se manifestaient dans certaines pièces. Plusieurs médiums sont intervenus pour entrer en contact avec les fantômes du château à la demande des propriétaires.
Fougeret, c'est le top du top du paranormal. Même en Écosse, on ne fait pas mieux.
Une voyante dit avoir longuement discuté avec Alice, une jeune fille morte à 22 ans et qui vivait là dans les années 20. C'est dans la chambre d'Alice que l'entretien de neuf minutes a eu lieu. Elle est déjà intervenue trois fois à Fougeret. A chacune de ses visites, elle dit avoir « établi le contact ».
Sur le magnétophone, des bruits étranges, un coup de feu, sur la caméra ou dans l'appareil photo, des flous mystérieux, comme un visage dans la vitre d'une fenêtre. Les propriétaires de Fougeret vivent avec leurs fantômes. Ils souhaitent faire des chambres d'hôtes, organisent des expositions, des soirées culturels.
Localisation.
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Quelques photographies anciennes .....