Vous êtes à la recherche d'un hébergement insolite pour votre prochain voyage ? Découvrez donc The Boot, une incroyable maison en forme de botte située en Nouvelle -Zélande . Un logement pareil, c'est le pied !
Équidistant de la ville de Nelson et des parcs nationaux de Kahurangi et de Abel Tasman, à la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, se tient un lieu de villégiature original, sobrement baptisé "The Boot", autrement dit, La Botte.
Un pied-à-terre agréable en Nouvelle-Zélande L'hôtel , conçu très précisément pour adopter la forme d'une botte géante, trône au milieu d'une zone de végétation, comme une chaussure que Gulliver aurait oublié de ranger dans son placard. Plutôt qu'un hôtel, il s'agit en fait d'une chambre d'hôtes (à partir de 178 euros la nuit).
Ce logement se trouve à seulement 35 minutes de voiture de l'aéroport de la ville de Nelson. On peut également l'atteindre depuis la partie Nord de l'île, en prenant le ferry qui vous dépose au port de Nelson. La proximité des parcs nationaux et de certaines des plages paradisiaques de la Nouvelle Zélande en font un parfait... pied-à-terre.
Chacun y trouve chaussure à son pied Depuis que Steve Richards et sa compagne Judy ont créé cette chambre d'hôtes en forme de botte en 2001, chacun y trouve son compte. Les visiteurs apprécient l'originalité des différentes chambres et des parties communes aux parois incurvées, néanmoins parfaitement équipées d'un mobilier conçu sur mesure.
Les représentants de la région qui parlaient d'excentricité vantent désormais l'originalité du bâtiment devenu un atout touristique supplémentaire. Les deux designers sont devenus de véritables célébrités locales, après avoir entièrement pensé et créé cette structure originale en partant de rien.
Ne vous offusquez donc pas si, étudiant l'opportunité d'un séjour en Nouvelle Zélande avec votre voyagiste, ce dernier vous propose La Botte. En tout cas, l'Océanie ne manque pas d'hébergements insolites !
SI VOUS ÊTES PROPRIÉTAIRE DE VOTRE MAISON,VOICI UNE BONNE NOUVELLE !................
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le CONTOUR DE NOUVELLES TAXES SUR " RÉSIDENCES PRINCIPALES " SE PRÉCISE : > > > ET Pourrait donc être mis en place sur 2016 !!! > > > > > > Ça y est Hollande (grâce à Jean-Marc Ayrault ex 1er ministre) a décidé d'explorer la possibilité d'instaurer les nouvelles taxes sur LA résidence principale des Français, lorsque le propriétaire a remboursé son emprunt et qu'il occupe son propre logement. > > > > > > HOLLANDE souhaite soumettre les "revenus fictifs"(>> absence de loyer pour les millions de propriétaires "actifs ou retraités" ayant remboursé leurs emprunts)à l'impôt sur le revenu. > > > > > > En effet, occuper un logement dont on est propriétaire ( = SA résidence principale) rapporte pour chaque ménage un revenu fictif(le loyer que l'on ne paye pas)!!! > > > > > > Et de même que les intérêts des placements, ces loyers fictifs devraient être imposés sur le revenu, après déductions des intérêts d'emprunt, selon Hollande en 2015. > > > > > > Cette nouvelle taxe sur les propriétaires après le remboursement de leur emprunt rapporterait > > > 5,5 milliards d'euros par an ! > > > > > > Les propriétaires vont donc bientôt devoir verser un loyer à l'État après le remboursement de leurs emprunts ? > > > > > > Du concret, EXEMPLE : > > > SI LA VALEUR LOCATIVE DE MA MAISON EST ESTIMÉE à 1.000 EUR > > > VALEUR INSCRITE SUR VOTRE TAXE D'HABITATION. > > > Votre LOYER FICTIF = 1.000 EUR X 12 = 12.000 Euros > > > > > > TAXATION SUPPLÉMENTAIRE : 12.000 X 30,5 % (soit : 15 % IRPP + 15,5 prélèvements sociaux revenus fictifs du patrimoine) : 3.630 euros divisé par 12 = > > > 302,50 EUR d'impôts mensuels COMPLÉMENTAIRES ! > > > > > > La France avance à grands pas, car SESCAS SOCIAUX, qui constituent le fonds de commerce des socialistes, ne payent pas le loyer du logement qu'ils occupent et qui plus est qui ne leur appartient pas, et celui qui est propriétaire devra payer pour ce qui lui appartient. > > > > > > FAITES CIRCULER CETTE INFORMATION CAR CE N'EST MALHEUREUSEMENT PAS UN HOAX. LE FIGARO : > > > > > > http://immobilier.lefigaro.fr/article/les-proprietaires-occupants-pourraient-payer-une-taxe_ea04f0be-1b7f-11e3-b9e3-4cc5ae861f70/ > > > > > > L’EXPRESS : > > > > > > http://votreargent.lexpress.fr/impots/fiscalite-les-proprietaires-occupant-leur-residence-principale-bientot-taxes_1580082.html > > > > > > La TRIBUNE : > > > http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130918trib000785790/imposition-des-loyers-fictifs-mais-ou-va-t-on-.html > > > > > > Le POINT : > > > > > > http://www.lepoint.fr/economie/proprietaires-pourquoi-il-faut-vous-faire-payer-un-loyer-11-09-2013-1723331_28.php > > >
Situé en Espagne, non loin de Malaga, le Caminito del Rey est souvent présenté comme le sentier de randonnée le plus dangereux du monde. Oserez-vous parcourir ses 3 kilomètres si impressionnants ?
El Caminito del Rey ("chemin du roi" en traduction littérale) avait fermé depuis 2000 après plusieurs accidents et en raison d'éboulements. Cette via ferrata aux portes de Malaga, où coule la rivière Guadalhorce à 700 mètres plus bas par endroits, a été restaurée et accueille de nouveau les marcheurs depuis le 28 mars 2015.
3 kilomètres en 90 minutes Accessible par les réservoirs Guadalhorce (au Nord) et par le village d'El Chorro (au Sud), du même nom que les gorges surplombées par les aventuriers, un niveau confirmé en alpinisme et escalade s'impose. Il serait inconscient de croire qu'être un peu sportif et ne pas avoir le vertige suffisent à tenter l'aventure d'El Caminito del Rey.
Pour preuve, la moyenne de l'excursion qui court sur 3 km se réalise en 90 minutes. Un parcours qui n'excède jamais plus d'un mètre de large. Parfois, c'est un jeu d'équilibriste qui attend les randonneurs de l'extrême.
Un mousqueton nécessaire par moments La nouvelle voie construite au-dessus de l'originale est plus sécurisée, mais les amateurs de sensations fortes ne seront pas déçus pour autant. Loin de là. Plusieurs passages nécessitent l'usage du mousqueton, à même la roche sur plusieurs mètres pour rejoindre l'autre planche. Soyez rassuré, depuis la restauration du chemin, des plaques de béton armé maintenues par des rails sont incrustées dans la falaise.
Cette via ferrata est considérée comme la plus dangereuse du monde. Mais mettez-vous à la place des ingénieurs qui l'ont érigée lors de la construction de deux barrages hydroélectriques. C'était entre 1901 et 1905...
Tabac et alcool, un cocktail redoutable pour la bouche En France, deux cancers oro-pharyngés sur trois sont dus à l'association des deux toxiques, alcool et tabac.
«Dans l'idéal, il faut réduire sinon supprimer sa consommation d'alcool et arrêter de fumer, car même les petits fumeurs augmentent leur risque de cancer de la bouche, du larynx et du pharynx», explique au Figaro le Dr Loredana Radoï, chirurgien-dentiste et chercheur à l'Inserm (université Paris Descartes). Avec le groupe d'étude Icare, elle a publié récemment dans BioMedcentral Cancer une analyse des parts de risques attribuables à ces deux facteurs, et d'autres, impliqués dans la genèse de ces cancers de la sphère ORL. Le cancer de la bouche n'est pas la plus fréquente des tumeurs, mais il n'en est pas moins redoutable, au 7e rang des décès par cancer chez les hommes et au 12e rang chez les femmes. Le taux de survie à dix ans est bas chez l'homme (25%), un peu plus élevé pour les femmes (40%). Dans son dernier bilan, l'Institut national du cancer estime que les cancers de la bouche, des lèvres et du pharynx (la portion de la gorge qui se trouve au-dessus de la pomme d'Adam) sont responsables de plus de 3000 décès par an: en 2012, 2465 hommes et 727 femmes. «La survenue de ces cancers est tardive chez les hommes comme chez les femmes: près de 9 nouveaux cas sur dix sont diagnostiqués chez les 50 ans et plus», précise l'Inca. Cependant, les évolutions de ces dernières années varient de façon inverse selon le sexe. L'incidence (survenue de nouveaux cas) est ainsi en forte diminution chez les hommes depuis 1980, alors qu'elle est en augmentation chez les femmes. Augmentation chez la femme Pour l'Inca, les évolutions favorables chez l'homme, tant d'incidence que de mortalité, «sont en grande partie expliquées par la baisse de la consommation d'alcool observée en France depuis le début des années 1960», même si celle-ci reste l'une des plus élevées au monde. À l'inverse, «chez la femme l'augmentation de l'incidence est liée à l'augmentation de la consommation de tabac, plus récente que chez l'homme», ajoute l'Inca. Dans l'étude du groupe Icare, la part attribuable du risque de cancer de la cavité orale à la consommation isolée d'alcool n'est que de 0,3 %. «L'alcool, seul, n'est qu'un facteur de risque assez faible. Pour des petits consommateurs on peut même considérer qu'il est nul», concède le Dr Radoï. L'effet est plus net pour le tabac, qui, à lui seul, pèse pour 13 % du risque. «Contrairement à l'alcool, la quantité ne joue pas, le risque augmente même pour un petit fumeur mais la durée du tabagisme le majore», ajoute-t-elle. C'est surtout l'association des deux toxiques qui devient franchement explosive puisque «fumer et boire a un effet multiplicatif» et représente 70 % de la part attribuable du risque. Un peu plus chez les hommes (74 %), moins chez les femmes (45 %). «Il faudra explorer d'autres facteurs de risque chez les femmes : hormones, infections à papillomavirus, expositions professionnelles», esquisse le Dr Radoï. La pire configuration reste de consommer alcool et tabac au même moment car «l'alcool provoque une vasodilatation des muqueuses et un effet irritatif local qui facilite la pénétration des toxiques contenus dans la fumée», explique le Dr Radoï. Plus surprenant, le groupe Icare montre un effet protecteur de l'obésité, qui pourrait passer, explique la chercheuse «par une dilution des cancérogènes, liposolubles, dans la graisse». Pour une fois que l'obésité apporte un bénéfice !
Un Puissant Séisme Secoue La Frontière Indo-Birmane Photo Archives Reuters Wasbir Hussain Associated Press Gauhati Un tremblement de terre de magnitude 6,7 a frappé une région éloignée du nord-est de l'Inde avant l'aube, lundi, faisant au moins quatre morts et 100 blessés, en plus de causer des dommages à plusieurs bâtiments. Les victimes ont été atteintes par des chutes de débris à Imphal, capitale de l'État de Manipur, et dans les environs. Le séisme a laissé des traces dans un marché très fréquenté d'Imphal. De grandes fissures se sont formées dans plusieurs murs et une partie de l'édifice du marché s'est effondré, a affirmé la police. Un édifice de six étages récemment construit s'est aussi effondré dans cette ville, selon la police. Le département météorologique de l'Inde a indiqué que l'épicentre du séisme était situé dans la région de Tamenglong, dans l'État de Manipur, près de la frontière avec le Myanmar. Le séisme s'est produit à une profondeur de 17 kilomètres, selon le département météorologique indien. L'institut américain de géologie (USGS) parle de son côté d'une profondeur de 55 kilomètres. L'épicentre du tremblement de terre se trouvait à 35 kilomètres au nord-ouest d'Imphal. À Gauhati, capitale de l'État voisin d'Assam, des résidants pris de panique se sont précipités à l'extérieur après avoir ressenti au moins deux puissantes secousses en 60 secondes. À Imphal, des résidants ont indiqué que des meubles s'étaient renversés et que des objets étaient tombés des étagères. La région compte de nombreuses petites maisons, mais très peu d'édifices en hauteur. Le séisme a aussi été ressenti à Calcutta, capitale de l'État du Bengale-Occidental.
Le retable de Vyssi Brod l'ascension de la Vierge vers 1350 tempera sur panneau.
Le « Retable de Vyssi Brod » montre une véritable synthèse entre le tempérament local, le rythme linéaire à la française et la perception spatiale italienne.
La bibliothèque « Les moines ont fondé la bibliothèque lorsqu’ils ont apporté les premiers livres du couvent de Hilering. Dans la bibliothèque, il y a 70 000 volumes dont 1 800 manuscrits. 203 manuscrits sont écrits sur le parchemin, le reste est sur le papyrus. Il y a également 600 incunables, c’est-à-dire premières impressions. Il s’agit des livres très précieux. Et puis aussi des livres plus récents, du XVIIe au XXe siècles. »
MICHEL GALABRU,CE GRAND DU RIRE VIENT DE NOUS QUITTER ENCORE UN MICHEL QUI NOUS QUITTE CE GRAND DU RIRE cher michel je suis le modeste michel d'un site weeb ,mais si tu savais comme j'ai pu rire les 2 fois ou je t'ai rencontré au théatre, j'en rie encore ,car étant au premier rang pour cause de place prises avant par les autres spectateurs,tu m'avais interpellé en me disant : tiens vous, je suis sur que vous pensez comme moi. et comme a chaque fois tu faisais ce que tu as toujours si bien réussi : le pitre ... tu sais c'est comme dans le cirque,sans les clowns ,une salle serait triste,mais toi tu savais le moment ou il fallait monter au créneau pour révéiller une salle peut être endormie,et bien sur obligé de jouer le jeu. depuis la série des gendarmes a saint tropez ville sinistrée aujourd'hui au galabru dans toutes sa diversité,tu es devenu au fil du temps ce monument du rire,de la pitrerie,de l'humour potache ou l'humour finement distillé sur les planches de toutes ces salles ou tu t'es produit. galabru de la ton nom pas commun respirant le sud de la france et même si le sud au départ fut celui du maroc l'accent certes tu en a abusé a un moment,mais comment te le reprocher quand d'avance on reçoit sur un plateau de télévision l'un des rois du rire ,de l'humour ,peut être avec les bourvil,fernandel,de funès et toi ... bref les grands . salut a toi michel ,et surtout tous mes souhaits a ton arrivé au panthéon des humoristes. t'inquiète pas ,on t'aime tous et nous verrons encore longtemps et écouterons encore aussi ta gouaille merci michel pour tous ces moments délicieux,tu vas nous manquer terriblement tous mes sentiments a ta famille et tes proches de france et du monde.
Un petite pitre qui aime aussi jouer un peu au thêatre. cosmos
L'acteur Michel Galabru est décédé, ce lundi 4 janvier, dans son sommeil. Il avait 93 ans. Début novembre, il avait dû renoncer à se produire sur scène, en raison d’une grande fatigue. Michel Galabru est décédé ce lundi, dans son sommeil, à l’âge de 93 ans, indique sa famille. Né le 27 octobre 1922 à Safi, au Maroc, il a passé une partie de son enfance à Bousquet-d’Orb, dans l’Hérault. En 1950, il est engagé à la Comédie française, qui lui confie des rôles classiques. Un an plus tard, il tourne dans son premier long-métrage, Ma femme, ma vache et moi de Jean Devaivre. Au cours de sa prolifique carrière, il a tourné dans plus de 250 films et téléfilms, essentiellement des comédies. Inoubliable adjudant-chef Gerber dans la saga du « Gendarme de Saint-Tropez », il fut aussi notamment le papy de Papy fait de la résistance ou le beau père conservateur de La Cage aux folles. Il s’était illustré plus récemment dans Bienvenue chez les Ch’tis avec sa réplique d’anthologie « C’est le Nord ! ». « La vie commence à ne plus m’intéresser » C’est pour un rôle dramatique, dans Le Juge et l’assassin de Bertrand Tavernier, qu’il a reçu, en 1977, le César du meilleur acteur. Au théâtre, il a été récompensé d’un Molière en 2008 pour sa prestation dans Les Chaussettes-Opus 124 et s’est produit aussi bien dans des boulevards que dans des pièces du répertoire (Molière, Giono, Pagnol…).
En 1984, il a racheté le Conservatoire Maubel, dans le 18e arrondissement de Paris, renommé plus tard le Théâtre Montmartre-Galabru, c’est là qu’il a joué, jusqu’en octobre, Le Cancre qu’il a lui-même écrit - le spectacle est autobiographique - et mis en scène. Fin novembre, dans Libération, il déclarait : « La vie commence à ne plus m’intéresser, j’ai d’ailleurs songé quelques fois à me supprimer, n’y renonçant que faute de courage. Un peu comme pour le reste, moi qui ne suis qu’un lamentable velléitaire, capable de rester des heures à rêvasser ou méditer, assis sans rien faire, repoussant toujours les choses à faire au dernier moment. » Michel Galabru avait récemment perdu deux êtres chers. Après le décès de son frère Marc, en octobre 2014, il avait dû affronter en août la disparition de sa femme Claude, qui souffrait de la maladie de Parkinson. « Pour moi, c’est à peine vivable », avait-il confié à RTL. Il n'aura pas survecu à son épouse plus de six mois.
"Dans Molière comme dans une série TV, il pouvait nous faire mourir de rire mais aujourd'hui Michel Galabru a trouvé que la comédie avait assez duré". Gilles Jacob, l'ancien président du festival de Cannes, a rendu hommage au talent comique du comédien décédé lundi 4 janvier dans son sommeil. Il avait 93 ans et une carrière longue comme le bras (250 films à son actif). Parmi ses rôles mémorables, le public retiendra la série des Gendarmes où il incarne l'adjudant chef Gerber obnubilé par la chasse aux nudistes (à Saint-Tropez) ou expert en entrecôte bien assaisonnée (Le gendarme à New York). Dans un autre registre, il avait également reçu le César du meilleur acteur en 1977 pour Le Juge et l'assassin en 1977. Stéphane Bern J'apprends avec tristesse et émotion la disparition de Michel Galabru, monstre sacré du théâtre, comédien généreux et irrésistible.
N. Kosciusko-Morizet Modestie, talent et travail... de la comédie française aux immenses succès au cinéma, nous avons tous grandi, ri et pleuré avec lui.
Elie semoun Un hommage à Michel GALABRU et une pensée émue à sa famille .
PEAUX DE LAPIN,:JADIS UN MARCHÉ FLORISSANT Au XXe siècle, un produit qui n’était récolté que par le chineur et ne se jetait pas était les peaux de lapin, qui possédaient de la valeur, les restaurateurs, les cuisinières et les petites ménagères les mettant soigneusement de côté pour les vendre directement au chiffonnier chineur. Mais si le ramassage des peaux de lapin existait alors déjà, celles-ci étant employées pour en faire des fourrures, ce commerce ne devint vraiment important que le jour où la peau de lapin servit à fabriquer les chapeaux de feutre. C’est sous le règne de Charles VI qu’apparaissent les premiers chapeaux de feutre. On commença par les fabriquer avec des peaux d’agneaux, puis on employa les peaux de castor. Les chapeliers purent passer de la peau d’agneau à la peau de castor sans grande difficulté, mais pour faire un pas en avant dans la voie du progrès et pour passer du castor au lapin ils durent lutter pendant longtemps et livrer de nombreuses batailles. C’est, qu’en effet, au XVIIe siècle les corporations d’arts et métiers avaient chacune des privilèges dont elles étaient jalouses et des règlements qui, sous prétexte de favoriser l’industrie et le commerce, pouvaient les ruiner, l’histoire des chapeaux et les nombreux procès soutenus par la corporation des chapeliers nous en fournissant des exemples bien frappants. Marchand de peaux de lapinLe castor coûtant fort cher, les chapeliers eurent l’idée de fabriquer des chapeaux dans lesquels il entrait une partie de castor et une partie d’étoffe à poil. Ces nouveaux chapeaux auxquels on donna le nom de demi-castors, avaient l’avantage de coûter moins cher ; aussi eurent-ils un très grand succès dans le public. Malheureusement, ils faisaient concurrence à la peau de castor, qui était un produit des colonies et, de plus, le mélange des diverses étoffes était considéré par la corporation comme une falsification ; aussi les demi-castors furent proscrits en 1664, et on imposa pour peine aux fabricants, une amende de 200 livres et la confiscation de la marchandise. « Les demi-castors n’en furent pas moins goûtés, explique Levasseur dans son Histoire des classes ouvrières en France, et les marchands continuèrent à en vendre. La loi s’irrita et institua des peines monstrueusement disproportionnées au délit : ce fut d’abord la privation de la maîtrise, puis la privation de la maîtrise avec une amende de 2000 livres, et la prison en cas de récidive ; enfin, une amende de 2000 livres, dont la moitié était donnée au dénonciateur. On aurait puni moins sévèrement un grand crime. Et pourtant la loi échoua. Elle eut beau marquer d’un sceau particulier les anciens demi-castors et fixer des délais pour l’emploi des étoffes de ce genre, fabriquées avant les ordonnances, on continua toujours à en faire de nouvelles et, au XVIIIe siècle, l’Etat fut obligé de tolérer la vente des demi-castors. » En 1760, un chapelier de Paris, nommé Leprevost, a l’idée de fabriquer des chapeaux mêlés de soie et beaucoup plus brillants que les chapeaux de laine pure. C’était un progrès sans doute ; mais comme de tels progrès n’étaient pas tolérés à cette époque, le malheureux Leprevost, malgré les avantages que lui donnait sa charge de chapelier du roi, ne put lutter contre ses confrères qui, au nom des statuts de la corporation, font irruption dans sa boutique et, dans une seule visite, saisissent 49 chapeaux comme pièces à conviction et en foulent aux pieds 3171. Au siècle suivant, la peau de lapin détrôna la peau de castor et donna lieu à une grande industrie qui, malgré la concurrence étrangère, était encore, au milieu du XXe siècle, une industrie prospère. Au XIXe siècle, le fabricant de chapeaux ramassait lui-même, ou faisait ramasser dans sa localité, les quantités de peaux de lapin qu’il pouvait trouver, et les transformait en chapeaux à l’aide de machines primitives. Ce n’est que le jour où la couperie de poils, se détachant de la fabrication des chapeaux, devint une industrie distincte et indépendante, que le ramassage des peaux s’organisa véritablement. Dès les premières années de ce siècle, les Allemands et les Anglais, nos devanciers, établissaient des couperies de poils. La France, gênée par son système de protection et de prohibition, s’était privée elle-même des bénéfices que ces nations réalisaient avec cette industrie. Ce n’est que vers la fin de 1847 que furent enlevés les droits de prohibition d’abord, et de protection ensuite ; c’est de cette époque que date l’optimisation du ramassage qui, par la suite, se développa à pas de géants. Paris, qui était le centre des couperies de poils, envoyait des agents dans toutes les directions pour engager les brocanteurs, les chiffonniers, les ramasseurs de vieux verres et autres industriels à récolter les peaux de lapin et de lièvre qu’on laissait perdre pour la plupart. Les auxiliaires les plus énergiques de ce commerce nouveau se recrutaient parmi les Auvergnats qui dominèrent dès lors dans le commerce des peaux. Grâce à cette organisation, le ramassage des peaux de lapin s’établit bientôt dans la France entière. En 1847, les couperies de poils de Paris travaillaient deux millions et demi de peaux. Les couperies de province consommaient une quantité à peu près égale. Qui aurait, pu croire qu’au début du XXe siècle on ramassait environ 80 millions de peaux en France ? Atelier de fouleA la même époque, toutes les autres nations avaient progressé dans les mêmes proportions. L’Angleterre qui, en 1847, ne faisait récolter par ses Irlandais que 10 à 12 millions de peaux, en ramassait alors 25 à 30 millions. La Belgique en récoltait 12 à 15 millions. 2 à 3 millions de peaux de lièvres étaient ramassées en Russie, Suède et Norvège. 4 millions de peaux étaient récoltées en Allemagne, et 12 millions de peaux de garennes en Autriche. L’Espagne et le Portugal produisaient également quelques peaux ; mais elles étaient de qualité inférieure et étaient consommées par la chapellerie de ces deux pays. Ces chiffres prouvent que la France occupait voici un siècle la première place dans le commerce des peaux de lapin, non seulement par le nombre des peaux qu’elle produisait, mais encore par leur qualité. Il n’existe aucun lapin qui soit comparable au lapin français, que les pays étrangers avaient tenté d’acclimater sans succès chez eux. Aussi les industriels belges et anglais étaient-ils obligés de s’approvisionner chez nous de peaux de lapin. Au début du XXe siècle, ces peaux, ramassées dans les villes et les villages par les chineurs, vont se concentrer dans la boutique des chiffonniers spécialistes qui les expédient par grandes quantités au coupeur de poil. Le coupeur de poil fait subir à la peaux diverses préparations. Tout d’abord il procède à l’étendage. La peau est retournée, le cuir en dessus et le poil en dedans ; on l’entre après l’avoir légèrement humectée dans la partie conique de la machine à étirer, qui est composée de deux parties. On fait avancer une des parties au moyen du volant et de la crémaillère. La peau est déplissée et étendue. A ce moment un ouvrier spécial, appelé fendeur, donne un coup de couteau dans la partie du ventre, afin de l’ouvrir. C’est ce qui s’appelle faire l’éventrage. Après l’éventrage vient l’éjarrage. Cette opération consiste à enlever le jarre, c’est-à-dire la pointe grossière, le duvet ou poil fin servant seul au fabriquant de chapeaux. Ce travail est fait par des femmes. On procède ensuite au secrétage. On brosse la peau au moyen d’une brosse en chiendent trempée dans de l’eau forte dans laquelle on a fait dissoudre du mercure. Enfin la peau est accrochée dans une étuve et chauffée assez fortement, de façon à pouvoir sécher en peu de temps. Lorsque la peau a subi toutes ces préparations on l’engage dans la machine à couper, la tête en avant et le cuir en dessous. Le poil glisse sur une plaque en fer-blanc et se maintient comme s’il adhérait encore au cuir, lequel est coupé en fils très fins qu’on nomme vermicelles. Ces fils servent à faire de la colle de peau. Une machine à couper doit couper mille peaux par jour, soit (défalcation faite des dimanches et fêtes), 300 000 peaux par an. Il existait voici un siècle à Paris 35 couperies occupant environ 60 machines. Chaque machine employait environ 5 ouvriers et 13 ouvrières. Le coupeur gagnait en moyenne 8 francs par jour. Ponçage des chapeaux de feutreLe poil de lapin une fois coupé est passé dans la machine à souffler. Le travail du soufflage est une opération spéciale. Les fabricants de chapeaux le font en majeure partie chez eux, à l’aide d’un matériel particulier et assez compliqué, qui exige, pour produire un travail parfait, une série de machines différentes. Le soufflage a pour but : d’épurer le poil duvet de toutes les ordures qui auraient pu échapper dans les manipulations décrites plus haut ; d’en extraire le jarre de fond que l’éjarreuse ou l’ébarbeuse n’ont pu retirer ; de produire un mélange aussi uniforme que possible avec un assemblage de milliers de peaux. Ce procédé extrait du poil de 10 à 20 pour 100 et souvent plus, de déchets, qui se vendent comme simple engrais. Les chapeaux de feutre se fabriquent alors spécialement à Paris, Aix, Lyon, Bordeaux, Tarascon, Rouen, Chazelles, Fontenay-le-Comte. Les poils de diverse nature, après avoir été soufflés, sont arçonnés. Poiré explique dans La France industrielle que « l’arçonnage est une opération qui tire son nom de l’outil dont on se sert. L’arçon est un arc de 2m50 environ, suspendu à une petite distance d’une table sur laquelle on met les poils. L’ouvrier, en faisant vibrer la corde au milieu de ces poils, les agite et les projette à une certaine hauteur ; ils retombent peu à peu, s’enchevêtrent et forment une masse que l’on divise en plusieurs lots ou capades, pour la transformer, par l’opération du bastissage, en un tissu ayant la forme d’une cloche. « Pour cela, on place une première capade sur une toile mouillée, appelée feutrière ; au-dessus, on applique une feuille de papier mouillée, puis la seconde capade, et l’on remplit la feutrière ; en la pressant avec les mains, en la pliant et la repliant en tous sens, on commence le feutrage et l’on obtient deux laines de poils feutrés qui ont déjà une certaine consistance. On les réunit par leurs bords et on les remet en feutrière pour opérer la soudure par un nouveau feutrage. II faut avoir soin de séparer les deux lames par une feuille de papier pour les empêcher de se réunir sur toute leur surface. « Le tissu qui constitue la cloche n’ayant pas encore assez de consistance, on le porte au foulage. La foule se compose d’une chaudière remplie d’eau acidulée par l’acide sulfurique. Sur les bords sont disposés des plans inclinés ou bancs. L’ouvrier trempe son feutre dans l’eau de la chaudière, puis il le place sur son banc, où il s’égoutte, le presse avec un rouleau de bois, l’arrose d’eau froide et, pendant quatre heures, continue à le fouler en tous sens, d’abord avec les mains nues, puis avec les mains garnies de semelle de cuir. » Le feutre une fois foulé est placé sur une forme dont on le force à prendre les contours, puis séché et poli la pierre ponce et à la peau de chamois. Ainsi le lapin faisait vivre toute une armée de chiffonniers, de fendeurs, d’éjarreurs, de secréteurs, de tourneurs, de coupeurs, d’arracheuses, de monteuses, d’éplucheuses, de chiqueteuses, de teinturiers, d’apprêteurs, de couturiers, de lustreurs, sans compter le fabricant de machine, le producteur de colle forte et le commerçant, qui, avec ce petit animal, ont su réaliser des fortunes considérables, tout en répandant autour d’eux le travail et le bien-être qui en est la conséquence.
10 voyages à faire et endroits à visiter avant de mourir.
D'un tour en gondole au saut à l'élastique, voilà les clichés de voyages à faire et à voir - ainsi que quelques alternatives étonnantes
Du safari à la baignade avec des requins, de Venise aux Chutes du Niagara, nous vous présentons 10 des plus célèbres monuments, attractions et activités que vous devriez faire (ou pas) avant de mourir, ainsi que quelques variantes étonnantes .Il y aurait bien plus que 10 endroits à visiter et choses à faire sur notre liste, mais comme un top 10 est déjà un cliché, nous nous sommes arrêtés à 10. Vous devez sûrement avoir vos propres préférés ...
ci-dessous. 1. Saut à l'élastique, Nouvelle Zélande Queenstown, en Nouvelle Zélande est l'un des épicentres mondiaux des sports extrêmes. Chaque randonneur digne de ce nom a fait du saut à l’élastique en Nouvelle-Zélande, mais le saut à l’élastique n’est pas la seule option extrême ici : que diriez-vous d’une descente de rapides en bateau à grande vitesse ? Ou tomber en arrière sur une chaise ... d’une falaise ?
2. Lune de miel, Maldives Kate et William ont récemment fait une seconde lune de miel dans un très luxueux hôtel cinq étoiles sur l’atoll de Noonu aux Maldives. Quoi, que cinq étoiles ? On s'est fait la même remarque. Les Maldives battent les Îles Turques-et-Caïques dans la catégorie destination de lune de miel la plus populaire, voire la plus kitsch, au monde. Vous avez raison, on est juste jaloux.
3. Nager avec des requins Ca a l'air assez sympa. Ces requins de récif des Caraïbes sont assez mignons par rapport aux grands requins blancs qui sont une attraction très courue en Afrique du Sud . Si plonger dans une cage au milieu de tueurs vous effraie, essayez de nager avec des lamantins, ces drôles de sirènes attachantes, en Floride.
4. Tour en gondole, Venise C'est une carte postale classique : une gondole sur un canal de Venise, le pont du Rialto en arrière-fond, un couple qui s'enlace et un fier gondolier qui fait avancer son embarcation en chantant le fameux "O Sole Mio". Prenez tout simplement le Vaporetto !
5. Patin à glace, New York Outre la demande en mariage dans une calèche, Central Park à New York offre une autre possibilité de moment si-mignon-si-adorable pour se tenir la main : le patin à glace. Si vous n'êtes pas doué(e), vous aurez au moins quelqu'un pour vous tenir la main. L'été, la fameuse patinoire se transforme en piscine.
6. Chutes du Niagara Faites un tour en bateau pour voir de plus près la gigantesque attraction naturelle d'Ontario, les Chutes du Niagara. Attention, vous risquez de vous mouiller, et ne serez certainement pas tout seul. Si vous aimez admirer une cascade en paix, que diriez-vous des Big Goat Lake Falls en Alaska - que vous ne pouvez voir que d’un avion ou d'un hélicoptère ?
7. Tour des montagnes, Ecosse Le "Munro-bagging" signifie le fait d'escalader le plus possible de montagnes écossaises de plus de 3000 pieds (915 m). Il y en a 282, alors vous pouvez commencer tout de suite. Challenge plus rarement entrepris : le "Marilyn-bagging". Une Marilyn est une colline d'au moins 150 mètres de hauteur. Il y en a 1217 en Ecosse, alors vous pouvez commencer tout de suite...
8. Safari, Afrique Sortez les téléobjectifs, le lion vient dans votre direction. Si le cliché de la balade en jeep avec d'autres touristes mitraillant les lions dans le Masai Mara n'est pas votre tasse de thé, il existe beaucoup d'autres moyens plus pacifiques et plus écologiques de faire un safari en Afrique. Ou vous pourriez faire un safari beaucoup moins loin et voir des animaux aussi impressionnants que des girafes et des éléphants. Comme les îles Shetland, et leurs macareux, leurs loutres et leurs orques.
9. Hôtel sept étoiles, Dubaï Vous voulez faire mieux que Kate et William, c'est ça ? Échangez vos cinq étoiles, non pas pour six, mais pour SEPT étoiles dans l’emblématique et extravagant hôtel Burj Al Arab à Dubaï . Vous allez peut-être devoir d’abord devenir riche ou une célébrité, voire les deux. Ou oubliez le tape-à- et cherchez le « vrai » Dubaï ... en allant manger un cari.
10. Les aurores boréalesSi elles sont très impressionnantes, les aurores boréales ne sont pas les seuls phénomènes naturels qui valent le coup de voyager. Que diriez-vous de trombes marines dans les Keys de Floride, ou de foudre volcanique ?
Voici la botte secrète de la Nouvelle Zélande !
Vous êtes à la recherche d'un hébergement insolite pour votre prochain voyage ? Découvrez donc The Boot, une incroyable maison en forme de botte située en Nouvelle -Zélande . Un logement pareil, c'est le pied !
Équidistant de la ville de Nelson et des parcs nationaux de Kahurangi et de Abel Tasman, à la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, se tient un lieu de villégiature original, sobrement baptisé "The Boot", autrement dit, La Botte.
Un pied-à-terre agréable en Nouvelle-Zélande
L'hôtel , conçu très précisément pour adopter la forme d'une botte géante, trône au milieu d'une zone de végétation, comme une chaussure que Gulliver aurait oublié de ranger dans son placard. Plutôt qu'un hôtel, il s'agit en fait d'une chambre d'hôtes (à partir de 178 euros la nuit).
Ce logement se trouve à seulement 35 minutes de voiture de l'aéroport de la ville de Nelson. On peut également l'atteindre depuis la partie Nord de l'île, en prenant le ferry qui vous dépose au port de Nelson. La proximité des parcs nationaux et de certaines des plages paradisiaques de la Nouvelle Zélande en font un parfait... pied-à-terre.
Chacun y trouve chaussure à son pied
Depuis que Steve Richards et sa compagne Judy ont créé cette chambre d'hôtes en forme de botte en 2001, chacun y trouve son compte. Les visiteurs apprécient l'originalité des différentes chambres et des parties communes aux parois incurvées, néanmoins parfaitement équipées d'un mobilier conçu sur mesure.
Les représentants de la région qui parlaient d'excentricité vantent désormais l'originalité du bâtiment devenu un atout touristique supplémentaire. Les deux designers sont devenus de véritables célébrités locales, après avoir entièrement pensé et créé cette structure originale en partant de rien.
Ne vous offusquez donc pas si, étudiant l'opportunité d'un séjour en Nouvelle Zélande avec votre voyagiste, ce dernier vous propose La Botte. En tout cas, l'Océanie ne manque pas d'hébergements insolites !
[td]
le CONTOUR DE NOUVELLES TAXES SUR " RÉSIDENCES PRINCIPALES " SE PRÉCISE :
> > >
ET Pourrait donc être mis en place sur 2016 !!!
> > >
> > > Ça y est Hollande (grâce à Jean-Marc Ayrault ex 1er ministre) a décidé d'explorer la possibilité d'instaurer les nouvelles taxes sur
LA résidence principale des Français, lorsque le propriétaire a
remboursé son emprunt et qu'il occupe son propre logement.
> > >
> > > HOLLANDE souhaite soumettre les "revenus fictifs" (>> absence de loyer pour les millions de propriétaires "actifs ou retraités" ayant remboursé leurs emprunts) à l'impôt sur le revenu.
> > >
> > > En effet, occuper un logement dont on est propriétaire ( = SA résidence principale) rapporte pour chaque ménage un revenu fictif (le loyer que l'on ne paye pas)!!!
> > >
> > > Et de même que les intérêts des placements, ces loyers fictifs devraient
être imposés sur le revenu, après déductions des intérêts d'emprunt, selon Hollande en 2015.
> > >
> > > Cette nouvelle taxe sur les propriétaires après le remboursement de leur emprunt rapporterait
> > > 5,5 milliards d'euros par an !
> > >
> > > Les propriétaires vont donc bientôt devoir verser un loyer à l'État après le remboursement de leurs emprunts ?
> > >
> > > Du concret, EXEMPLE :
> > > SI LA VALEUR LOCATIVE DE MA MAISON EST ESTIMÉE à 1.000 EUR
> > > VALEUR INSCRITE SUR VOTRE TAXE D'HABITATION.
> > > Votre LOYER FICTIF = 1.000 EUR X 12 = 12.000 Euros
> > >
> > > TAXATION SUPPLÉMENTAIRE : 12.000 X 30,5 % (soit : 15 % IRPP + 15,5 prélèvements sociaux revenus fictifs du patrimoine) : 3.630 euros divisé par 12 =
> > > 302,50 EUR d'impôts mensuels COMPLÉMENTAIRES !
> > >
> > > La France avance à grands pas, car SESCAS SOCIAUX, qui constituent le fonds de commerce des socialistes, ne payent pas le
loyer du logement qu'ils occupent et qui plus est qui ne leur appartient
pas, et celui qui est propriétaire devra payer pour ce qui lui
appartient.
> > >
> > > FAITES CIRCULER CETTE INFORMATION CAR CE N'EST MALHEUREUSEMENT PAS UN HOAX.
LE FIGARO :
> > >
> > > http://immobilier.lefigaro.fr/article/les-proprietaires-occupants-pourraient-payer-une-taxe_ea04f0be-1b7f-11e3-b9e3-4cc5ae861f70/
> > >
> > > L’EXPRESS :
> > >
> > > http://votreargent.lexpress.fr/impots/fiscalite-les-proprietaires-occupant-leur-residence-principale-bientot-taxes_1580082.html
> > >
> > > La TRIBUNE :
> > > http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130918trib000785790/imposition-des-loyers-fictifs-mais-ou-va-t-on-.html
> > >
> > > Le POINT :
> > >
> > > http://www.lepoint.fr/economie/proprietaires-pourquoi-il-faut-vous-faire-payer-un-loyer-11-09-2013-1723331_28.php
> > >
Voici le sentier de randonnée le plus dangereux au monde Oserez-vous arpenter les hauteurs andalouses du Caminito del Rey ?
Situé en Espagne, non loin de Malaga, le Caminito del Rey est souvent présenté comme le
sentier de randonnée le plus dangereux du monde. Oserez-vous parcourir
ses 3 kilomètres si impressionnants ?
El Caminito del Rey ("chemin du roi" en traduction littérale) avait fermé depuis 2000
après plusieurs accidents et en raison d'éboulements. Cette via ferrata
aux portes de Malaga, où coule la rivière Guadalhorce à 700 mètres plus
bas par endroits, a été restaurée et accueille de nouveau les marcheurs
depuis le 28 mars 2015.
3 kilomètres en 90 minutes
Accessible par les réservoirs Guadalhorce (au Nord) et par le village d'El Chorro
(au Sud), du même nom que les gorges surplombées par les aventuriers, un
niveau confirmé en alpinisme et escalade s'impose. Il serait
inconscient de croire qu'être un peu sportif et ne pas avoir le vertige
suffisent à tenter l'aventure d'El Caminito del Rey.
Pour preuve, la moyenne de l'excursion qui court sur 3 km se réalise en 90
minutes. Un parcours qui n'excède jamais plus d'un mètre de large.
Parfois, c'est un jeu d'équilibriste qui attend les randonneurs de
l'extrême.
Un mousqueton nécessaire par moments
La nouvelle voie construite au-dessus de l'originale est plus sécurisée,
mais les amateurs de sensations fortes ne seront pas déçus pour autant.
Loin de là. Plusieurs passages nécessitent l'usage du mousqueton, à même
la roche sur plusieurs mètres pour rejoindre l'autre planche. Soyez
rassuré, depuis la restauration du chemin, des plaques de béton armé
maintenues par des rails sont incrustées dans la falaise.
Cette via ferrata est considérée comme la plus dangereuse du monde. Mais
mettez-vous à la place des ingénieurs qui l'ont érigée lors de la
construction de deux barrages hydroélectriques. C'était entre 1901 et
1905...
© Creative Commons - Gabirulo
En France, deux cancers oro-pharyngés sur trois sont dus à l'association des deux toxiques, alcool et tabac.
«Dans l'idéal, il faut réduire sinon supprimer sa consommation d'alcool et arrêter de fumer, car même les petits
fumeurs augmentent leur risque de cancer de la bouche, du larynx et du
pharynx», explique au Figaro le Dr Loredana Radoï, chirurgien-dentiste et chercheur à l'Inserm (université Paris
Descartes). Avec le groupe d'étude Icare, elle a publié récemment dans BioMedcentral Cancer une analyse des
parts de risques attribuables à ces deux facteurs, et d'autres, impliqués dans la genèse de ces cancers de la sphère ORL.
Le cancer de la bouche n'est pas la plus fréquente des tumeurs, mais il n'en est pas moins
redoutable, au 7e rang des décès par cancer chez les hommes et au 12e rang chez les femmes.
Le taux de survie à dix ans est bas chez l'homme (25%), un peu plus élevé pour les femmes (40%).
Dans son dernier bilan, l'Institut national du cancer estime que les cancers de la bouche, des lèvres et du pharynx
(la portion de la gorge qui se trouve au-dessus de la pomme d'Adam) sont responsables de plus de
3000 décès par an: en 2012, 2465 hommes et 727 femmes.
«La survenue de ces cancers est tardive chez les hommes comme chez les femmes: près
de 9 nouveaux cas sur dix sont diagnostiqués chez les 50 ans et plus»,
précise l'Inca. Cependant, les évolutions de ces dernières années
varient de façon inverse selon le sexe. L'incidence (survenue de
nouveaux cas) est ainsi en forte diminution chez les hommes depuis 1980,
alors qu'elle est en augmentation chez les femmes.
Augmentation chez la femme Pour l'Inca, les évolutions favorables chez l'homme, tant d'incidence que de
mortalité, «sont en grande partie expliquées par la baisse de la
consommation d'alcool observée en France depuis le début des années
1960», même si celle-ci reste l'une des plus élevées au monde. À
l'inverse, «chez la femme l'augmentation de l'incidence est liée à
l'augmentation de la consommation de tabac, plus récente que chez
l'homme», ajoute l'Inca.
Dans l'étude du groupe Icare, la part attribuable du risque de cancer de la cavité orale à la consommation
isolée d'alcool n'est que de 0,3 %. «L'alcool, seul, n'est qu'un facteur
de risque assez faible. Pour des petits consommateurs on peut même
considérer qu'il est nul», concède le Dr Radoï. L'effet est plus net pour le tabac, qui, à lui seul, pèse pour 13 % du risque. «Contrairement à l'alcool, la quantité ne joue pas, le risque augmente
même pour un petit fumeur mais la durée du tabagisme le majore»,
ajoute-t-elle.
C'est surtout l'association des deux toxiques qui devient franchement explosive puisque «fumer et boire a un effet
multiplicatif» et représente 70 % de la part attribuable du risque. Un
peu plus chez les hommes (74 %), moins chez les femmes (45 %). «Il
faudra explorer d'autres facteurs de risque chez les femmes : hormones,
infections à papillomavirus, expositions professionnelles», esquisse le
Dr Radoï.
La pire configuration reste de consommer alcool et tabac au même moment car «l'alcool provoque une vasodilatation des
muqueuses et un effet irritatif local qui facilite la pénétration des
toxiques contenus dans la fumée», explique le Dr Radoï.
Plus surprenant, le groupe Icare montre un effet protecteur de l'obésité, qui
pourrait passer, explique la chercheuse «par une dilution des
cancérogènes, liposolubles, dans la graisse». Pour une fois que
l'obésité apporte un bénéfice !
Photo Archives Reuters
Wasbir Hussain Associated Press Gauhati
Un tremblement de terre de magnitude 6,7 a frappé une région éloignée du
nord-est de l'Inde avant l'aube, lundi, faisant au moins quatre morts et
100 blessés, en plus de causer des dommages à plusieurs bâtiments.
Les victimes ont été atteintes par des chutes de débris à Imphal, capitale de l'État de Manipur, et dans les environs.
Le séisme a laissé des traces dans un marché très fréquenté d'Imphal. De
grandes fissures se sont formées dans plusieurs murs et une partie de
l'édifice du marché s'est effondré, a affirmé la police.
Un édifice de six étages récemment construit s'est aussi effondré dans cette ville, selon la police.
Le département météorologique de l'Inde a indiqué que l'épicentre du
séisme était situé dans la région de Tamenglong, dans l'État de Manipur,
près de la frontière avec le Myanmar.
Le séisme s'est produit à une profondeur de 17 kilomètres, selon le
département météorologique indien. L'institut américain de géologie
(USGS) parle de son côté d'une profondeur de 55 kilomètres.
L'épicentre du tremblement de terre se trouvait à 35 kilomètres au nord-ouest d'Imphal.
À Gauhati, capitale de l'État voisin d'Assam, des résidants pris de
panique se sont précipités à l'extérieur après avoir ressenti au moins
deux puissantes secousses en 60 secondes.
À Imphal, des résidants ont indiqué que des meubles s'étaient renversés et que des objets étaient tombés des étagères.
La région compte de nombreuses petites maisons, mais très peu d'édifices en hauteur.
Le séisme a aussi été ressenti à Calcutta, capitale de l'État du Bengale-Occidental.
par BOVEY LEE
Vyšší Brod (en allemand : Hohenfurth) est une commune rurale du district de ?eský Krumlov,
dans la région de Bohême-du-Sud, en République tchèque. Sa population s'élevait à 2 520 habitants en 2015
Le retable de Vyssi Brod l'ascension de la Vierge vers 1350 tempera sur panneau.
Le « Retable de Vyssi Brod » montre une véritable synthèse entre le
tempérament local, le rythme linéaire à la française et la perception
spatiale italienne.
La bibliothèque « Les moines ont fondé la bibliothèque lorsqu’ils ont apporté les premiers
livres du couvent de Hilering. Dans la bibliothèque, il y a 70 000
volumes dont 1 800 manuscrits. 203 manuscrits sont écrits sur le
parchemin, le reste est sur le papyrus. Il y a également 600 incunables,
c’est-à-dire premières impressions. Il s’agit des livres très précieux.
Et puis aussi des livres plus récents, du XVIIe au XXe siècles. »
ENCORE UN MICHEL QUI NOUS QUITTE
CE GRAND DU RIRE
cher michel
je suis le modeste michel d'un site weeb ,mais si tu savais comme j'ai pu rire les 2 fois ou je t'ai rencontré au théatre,
j'en rie encore ,car étant au premier rang pour cause de place prises avant
par les autres spectateurs,tu m'avais interpellé en me disant : tiens
vous, je suis sur que vous pensez comme moi. et comme a chaque fois tu
faisais ce que tu as toujours si bien réussi : le pitre ...
tu sais c'est comme dans le cirque,sans les clowns ,une salle serait
triste,mais toi tu savais le moment ou il fallait monter au créneau pour
révéiller une salle peut être endormie,et bien sur obligé de jouer le
jeu.
depuis la série des gendarmes a saint tropez ville sinistrée aujourd'hui au
galabru dans toutes sa diversité,tu es devenu au fil du temps ce
monument du rire,de la pitrerie,de l'humour potache ou l'humour finement
distillé sur les planches de toutes ces salles ou tu t'es produit.
galabru de la ton nom pas commun respirant le sud de la france et même si le
sud au départ fut celui du maroc l'accent certes tu en a abusé a un
moment,mais comment te le reprocher quand d'avance on reçoit sur un
plateau de télévision l'un des rois du rire ,de l'humour ,peut être avec
les bourvil,fernandel,de funès et toi ... bref les grands .
salut a toi michel ,et surtout tous mes souhaits a ton arrivé au panthéon des humoristes.
t'inquiète pas ,on t'aime tous et nous verrons encore longtemps et écouterons encore aussi ta gouaille
merci michel pour tous ces moments délicieux,tu vas nous manquer terriblement
tous mes sentiments a ta famille et tes proches de france et du monde.
Un petite pitre qui aime aussi jouer un peu au thêatre.
cosmos
L'acteur Michel Galabru est décédé, ce lundi 4 janvier, dans son sommeil. Il avait 93 ans. Début novembre, il avait dû renoncer à se produire sur scène, en raison d’une grande fatigue. Michel Galabru est décédé ce lundi, dans son sommeil, à l’âge de 93 ans, indique sa famille.
Né le 27 octobre 1922 à Safi, au Maroc, il a passé une partie de son
enfance à Bousquet-d’Orb, dans l’Hérault. En 1950, il est engagé à la
Comédie française, qui lui confie des rôles classiques. Un an plus tard,
il tourne dans son premier long-métrage, Ma femme, ma vache et moi de Jean Devaivre.
Au cours de sa prolifique carrière, il a tourné dans plus de 250 films et
téléfilms, essentiellement des comédies. Inoubliable adjudant-chef
Gerber dans la saga du « Gendarme de Saint-Tropez », il fut aussi
notamment le papy de Papy fait de la résistance ou le beau père conservateur de La Cage aux folles.
Il s’était illustré plus récemment dans Bienvenue chez les Ch’tis avec sa réplique d’anthologie « C’est le Nord ! ».
« La vie commence à ne plus m’intéresser » C’est pour un rôle dramatique, dans Le Juge et l’assassin de Bertrand Tavernier,
qu’il a reçu, en 1977, le César du meilleur acteur. Au théâtre, il a été récompensé d’un Molière en 2008 pour sa
prestation dans Les Chaussettes-Opus 124 et s’est produit aussi bien dans des boulevards que dans des pièces du répertoire (Molière, Giono, Pagnol…).
En 1984, il a racheté le Conservatoire Maubel, dans le 18e arrondissement de Paris, renommé plus tard le Théâtre Montmartre-Galabru, c’est là qu’il a joué, jusqu’en octobre, Le Cancre qu’il a lui-même écrit - le spectacle est autobiographique - et mis en scène.
Fin novembre, dans Libération, il déclarait : « La vie commence à ne plus m’intéresser, j’ai d’ailleurs songé quelques
fois à me supprimer, n’y renonçant que faute de courage. Un peu comme
pour le reste, moi qui ne suis qu’un lamentable velléitaire, capable de
rester des heures à rêvasser ou méditer, assis sans rien faire,
repoussant toujours les choses à faire au dernier moment. »
Michel Galabru avait récemment perdu deux êtres chers. Après le décès de son
frère Marc, en octobre 2014, il avait dû affronter en août la
disparition de sa femme Claude, qui souffrait de la maladie de
Parkinson. « Pour moi, c’est à peine vivable », avait-il confié à RTL.
Il n'aura pas survecu à son épouse plus de six mois.
"Dans Molière comme dans une série TV, il pouvait nous faire mourir de rire
mais aujourd'hui Michel Galabru a trouvé que la comédie avait assez
duré". Gilles Jacob, l'ancien président du festival de Cannes, a rendu
hommage au talent comique du comédien décédé lundi 4 janvier dans son sommeil. Il avait 93 ans et une carrière longue comme le bras (250 films à son actif). Parmi ses rôles mémorables, le public retiendra la série des Gendarmes où il incarne l'adjudant chef Gerber obnubilé par la chasse aux nudistes (à Saint-Tropez) ou expert en entrecôte bien assaisonnée (Le gendarme à New York). Dans un autre registre, il avait également reçu le César du meilleur acteur en 1977 pour Le Juge et l'assassin en 1977.
Stéphane Bern
J'apprends avec tristesse et émotion la disparition de Michel Galabru, monstre
sacré du théâtre, comédien généreux et irrésistible.
N. Kosciusko-Morizet
Modestie, talent et travail... de la comédie française aux immenses succès au cinéma, nous avons tous grandi, ri et pleuré avec lui.
Elie semoun
Un hommage à Michel GALABRU et une pensée émue à sa famille .
Au XXe siècle, un produit qui n’était récolté que par le chineur et ne se jetait pas était les peaux de lapin, qui possédaient de la valeur, les restaurateurs, les cuisinières et les petites ménagères les mettant
soigneusement de côté pour les vendre directement au chiffonnier
chineur. Mais si le ramassage des peaux de lapin existait alors déjà,
celles-ci étant employées pour en faire des fourrures, ce commerce ne
devint vraiment important que le jour où la peau de lapin servit à fabriquer les chapeaux de feutre.
C’est sous le règne de Charles VI qu’apparaissent les premiers chapeaux de feutre. On commença par les
fabriquer avec des peaux d’agneaux, puis on employa les peaux de castor.
Les chapeliers purent passer de la peau d’agneau à la peau de castor
sans grande difficulté, mais pour faire un pas en avant dans la voie du
progrès et pour passer du castor au lapin ils durent lutter pendant
longtemps et livrer de nombreuses batailles.
C’est, qu’en effet, au XVIIe siècle les corporations d’arts et métiers avaient chacune des privilèges dont elles étaient
jalouses et des règlements qui, sous prétexte de favoriser l’industrie
et le commerce, pouvaient les ruiner, l’histoire des chapeaux et les
nombreux procès soutenus par la corporation des chapeliers nous en
fournissant des exemples bien frappants.
Marchand de peaux de lapinLe castor coûtant fort cher, les chapeliers eurent l’idée de fabriquer des
chapeaux dans lesquels il entrait une partie de castor et une partie
d’étoffe à poil. Ces nouveaux chapeaux auxquels on donna le nom de demi-castors, avaient l’avantage de coûter moins cher ; aussi eurent-ils un très
grand succès dans le public. Malheureusement, ils faisaient concurrence à
la peau de castor, qui était un produit des colonies et, de plus, le
mélange des diverses étoffes était considéré par la corporation comme
une falsification ; aussi les demi-castors furent proscrits en 1664, et
on imposa pour peine aux fabricants, une amende de 200 livres et la
confiscation de la marchandise.
« Les demi-castors n’en furent pas moins goûtés, explique Levasseur dans son Histoire des classes ouvrières en France, et les marchands
continuèrent à en vendre. La loi s’irrita et institua des peines
monstrueusement disproportionnées au délit : ce fut d’abord la privation
de la maîtrise, puis la privation de la maîtrise avec une amende de
2000 livres, et la prison en cas de récidive ; enfin, une amende de 2000
livres, dont la moitié était donnée au dénonciateur. On aurait puni
moins sévèrement un grand crime. Et pourtant la loi échoua. Elle eut
beau marquer d’un sceau particulier les anciens demi-castors et fixer
des délais pour l’emploi des étoffes de ce genre, fabriquées avant les
ordonnances, on continua toujours à en faire de nouvelles et, au XVIIIe siècle, l’Etat fut obligé de tolérer la vente des demi-castors. »
En 1760, un chapelier de Paris, nommé Leprevost, a l’idée de fabriquer des chapeaux mêlés de soie et beaucoup plus brillants que les
chapeaux de laine pure. C’était un progrès sans doute ; mais comme de
tels progrès n’étaient pas tolérés à cette époque, le malheureux
Leprevost, malgré les avantages que lui donnait sa charge de chapelier
du roi, ne put lutter contre ses confrères qui, au nom des statuts de la
corporation, font irruption dans sa boutique et, dans une seule visite,
saisissent 49 chapeaux comme pièces à conviction et en foulent aux
pieds 3171.
Au siècle suivant, la peau de lapin détrôna la peau de castor et donna lieu à une grande industrie qui, malgré la concurrence étrangère,
était encore, au milieu du XXe siècle, une industrie prospère. Au XIXe siècle, le fabricant de chapeaux ramassait lui-même, ou faisait
ramasser dans sa localité, les quantités de peaux de lapin qu’il pouvait
trouver, et les transformait en chapeaux à l’aide de machines
primitives. Ce n’est que le jour où la couperie de poils, se détachant de la fabrication des chapeaux, devint une industrie distincte
et indépendante, que le ramassage des peaux s’organisa véritablement.
Dès les premières années de ce siècle, les Allemands et les Anglais, nos devanciers, établissaient des couperies de poils. La France, gênée
par son système de protection et de prohibition, s’était privée
elle-même des bénéfices que ces nations réalisaient avec cette
industrie. Ce n’est que vers la fin de 1847 que furent enlevés les
droits de prohibition d’abord, et de protection ensuite ; c’est de cette
époque que date l’optimisation du ramassage qui, par la suite, se
développa à pas de géants. Paris, qui était le centre des couperies de
poils, envoyait des agents dans toutes les directions pour engager les
brocanteurs, les chiffonniers, les ramasseurs de vieux verres et autres
industriels à récolter les peaux de lapin et de lièvre qu’on laissait
perdre pour la plupart.
Les auxiliaires les plus énergiques de ce commerce nouveau se recrutaient parmi les Auvergnats qui dominèrent dès lors dans le
commerce des peaux. Grâce à cette organisation, le ramassage des peaux
de lapin s’établit bientôt dans la France entière. En 1847, les
couperies de poils de Paris travaillaient deux millions et demi de
peaux. Les couperies de province consommaient une quantité à peu près
égale. Qui aurait, pu croire qu’au début du XXe siècle on ramassait environ 80 millions de peaux en France ?
Atelier de fouleA la même époque, toutes les autres nations avaient progressé dans les mêmes proportions. L’Angleterre qui, en 1847, ne faisait récolter
par ses Irlandais que 10 à 12 millions de peaux, en ramassait alors 25 à
30 millions. La Belgique en récoltait 12 à 15 millions. 2 à 3 millions
de peaux de lièvres étaient ramassées en Russie, Suède et Norvège.
4 millions de peaux étaient récoltées en Allemagne, et 12 millions de
peaux de garennes en Autriche. L’Espagne et le Portugal produisaient
également quelques peaux ; mais elles étaient de qualité inférieure et
étaient consommées par la chapellerie de ces deux pays.
Ces chiffres prouvent que la France occupait voici un siècle la première place dans le commerce des peaux de lapin, non seulement par le
nombre des peaux qu’elle produisait, mais encore par leur qualité. Il
n’existe aucun lapin qui soit comparable au lapin français, que les pays
étrangers avaient tenté d’acclimater sans succès chez eux. Aussi les
industriels belges et anglais étaient-ils obligés de s’approvisionner
chez nous de peaux de lapin.
Au début du XXe siècle, ces peaux, ramassées dans les villes et les villages par les chineurs, vont se concentrer dans la
boutique des chiffonniers spécialistes qui les expédient par grandes
quantités au coupeur de poil. Le coupeur de poil fait subir à la peaux
diverses préparations. Tout d’abord il procède à l’étendage. La peau est retournée, le cuir en dessus et le poil en dedans ; on l’entre
après l’avoir légèrement humectée dans la partie conique de la machine à
étirer, qui est composée de deux parties. On fait avancer une des
parties au moyen du volant et de la crémaillère. La peau est déplissée
et étendue. A ce moment un ouvrier spécial, appelé fendeur, donne un coup de couteau dans la partie du ventre, afin de l’ouvrir. C’est ce qui s’appelle faire l’éventrage.
Après l’éventrage vient l’éjarrage. Cette opération consiste à enlever le jarre, c’est-à-dire la pointe grossière, le duvet ou poil fin servant seul au
fabriquant de chapeaux. Ce travail est fait par des femmes. On procède
ensuite au secrétage. On brosse la peau au moyen d’une brosse en chiendent trempée dans de l’eau forte dans laquelle on a fait dissoudre
du mercure. Enfin la peau est accrochée dans une étuve et chauffée assez
fortement, de façon à pouvoir sécher en peu de temps.
Lorsque la peau a subi toutes ces préparations on l’engage dans la machine à couper, la tête en avant et le cuir en dessous. Le poil glisse
sur une plaque en fer-blanc et se maintient comme s’il adhérait encore
au cuir, lequel est coupé en fils très fins qu’on nomme vermicelles. Ces
fils servent à faire de la colle de peau. Une machine à couper doit
couper mille peaux par jour, soit (défalcation faite des dimanches et
fêtes), 300 000 peaux par an. Il existait voici un siècle à Paris
35 couperies occupant environ 60 machines. Chaque machine employait
environ 5 ouvriers et 13 ouvrières. Le coupeur gagnait en moyenne 8
francs par jour.
Ponçage des chapeaux de feutreLe poil de lapin une fois coupé est passé dans la machine à souffler. Le travail du soufflage est une opération spéciale. Les fabricants de chapeaux le font en
majeure partie chez eux, à l’aide d’un matériel particulier et assez
compliqué, qui exige, pour produire un travail parfait, une série de
machines différentes. Le soufflage a pour but : d’épurer le poil duvet de toutes les ordures qui auraient pu échapper dans les manipulations
décrites plus haut ; d’en extraire le jarre de fond que l’éjarreuse ou l’ébarbeuse n’ont pu retirer ; de produire un mélange aussi uniforme que possible
avec un assemblage de milliers de peaux. Ce procédé extrait du poil de
10 à 20 pour 100 et souvent plus, de déchets, qui se vendent comme
simple engrais. Les chapeaux de feutre se fabriquent alors spécialement à
Paris, Aix, Lyon, Bordeaux, Tarascon, Rouen, Chazelles,
Fontenay-le-Comte.
Les poils de diverse nature, après avoir été soufflés, sont arçonnés. Poiré explique dans La France industrielle que « l’arçonnage est une
opération qui tire son nom de l’outil dont on se sert. L’arçon est un
arc de 2m50 environ, suspendu à une petite distance d’une table sur
laquelle on met les poils. L’ouvrier, en faisant vibrer la corde au
milieu de ces poils, les agite et les projette à une certaine hauteur ;
ils retombent peu à peu, s’enchevêtrent et forment une masse que l’on
divise en plusieurs lots ou capades, pour la transformer, par l’opération du bastissage, en un tissu ayant la forme d’une cloche.
« Pour cela, on place une première capade sur une toile mouillée, appelée feutrière ; au-dessus, on applique une feuille de papier
mouillée, puis la seconde capade, et l’on remplit la feutrière ; en la
pressant avec les mains, en la pliant et la repliant en tous sens, on
commence le feutrage et l’on obtient deux laines de poils feutrés qui
ont déjà une certaine consistance. On les réunit par leurs bords et on
les remet en feutrière pour opérer la soudure par un nouveau feutrage.
II faut avoir soin de séparer les deux lames par une feuille de papier
pour les empêcher de se réunir
sur toute leur surface.
« Le tissu qui constitue la cloche n’ayant pas encore assez de consistance, on le porte au foulage. La foule se compose d’une chaudière remplie d’eau acidulée par l’acide sulfurique. Sur les bords sont disposés des plans inclinés ou bancs. L’ouvrier trempe son feutre dans l’eau de la chaudière, puis il le
place sur son banc, où il s’égoutte, le presse avec un rouleau de bois,
l’arrose d’eau froide et, pendant quatre heures, continue à le fouler en
tous sens, d’abord avec les mains nues, puis avec les mains garnies de
semelle de cuir. » Le feutre une fois foulé est placé sur une forme dont
on le force à prendre les contours, puis séché et poli la pierre ponce
et à la peau de chamois.
Ainsi le lapin faisait vivre toute une armée de chiffonniers, de fendeurs, d’éjarreurs, de secréteurs, de tourneurs, de coupeurs,
d’arracheuses, de monteuses, d’éplucheuses, de chiqueteuses, de
teinturiers, d’apprêteurs, de couturiers, de lustreurs, sans compter le
fabricant de machine, le producteur de colle forte et le commerçant,
qui, avec ce petit animal, ont su réaliser des fortunes considérables,
tout en répandant autour d’eux le travail et le bien-être qui en est la
conséquence.
D'un tour en gondole au saut à l'élastique, voilà les clichés de voyages à faire et à voir - ainsi que quelques alternatives étonnantes
Du safari à la baignade avec des requins, de Venise aux Chutes du Niagara, nous vous présentons 10 des plus célèbres monuments, attractions et activités que vous devriez faire (ou pas) avant de mourir, ainsi que quelques variantes étonnantes .Il y aurait bien plus que 10 endroits à visiter et choses à faire sur notre liste, mais comme un top 10 est déjà un cliché, nous
nous sommes arrêtés à 10. Vous devez sûrement avoir vos propres préférés ...
ci-dessous.
1. Saut à l'élastique, Nouvelle Zélande Queenstown, en Nouvelle Zélande est l'un des épicentres mondiaux des sports extrêmes. Chaque randonneur digne de ce nom a fait du saut à l’élastique en Nouvelle-Zélande, mais le saut à l’élastique n’est pas la seule option extrême ici : que diriez-vous d’une descente de rapides en bateau à grande vitesse ? Ou tomber en arrière sur une chaise ... d’une falaise ?
2. Lune de miel, Maldives
Kate et William ont récemment fait une seconde lune de miel dans un très luxueux hôtel cinq étoiles sur l’atoll de Noonu aux Maldives. Quoi, que cinq étoiles ? On s'est fait la même remarque. Les Maldives battent les Îles Turques-et-Caïques dans la catégorie destination de lune de miel la plus populaire, voire la plus kitsch, au monde. Vous avez raison, on est juste jaloux.
3. Nager avec des requins
Ca a l'air assez sympa. Ces requins de récif des Caraïbes sont assez mignons par rapport aux grands requins blancs qui sont une attraction très courue en Afrique du Sud . Si plonger dans une cage au milieu de tueurs vous effraie, essayez de nager avec des lamantins, ces drôles de sirènes attachantes, en Floride.
4. Tour en gondole, Venise
C'est une carte postale classique : une gondole sur un canal de Venise, le pont du Rialto en arrière-fond, un couple qui s'enlace et un fier gondolier qui fait avancer son embarcation en chantant le fameux "O Sole Mio". Prenez tout simplement le Vaporetto !
5. Patin à glace, New York
Outre la demande en mariage dans une calèche, Central Park à New York offre une autre possibilité de moment si-mignon-si-adorable pour se tenir la main : le patin à glace. Si vous n'êtes pas doué(e), vous aurez au moins quelqu'un pour vous tenir la main. L'été, la fameuse patinoire se transforme en piscine.
6. Chutes du Niagara
Faites un tour en bateau pour voir de plus près la gigantesque attraction naturelle d'Ontario, les Chutes du Niagara. Attention, vous risquez de vous mouiller, et ne serez certainement pas tout seul. Si vous aimez admirer une cascade en paix, que diriez-vous des Big Goat Lake Falls en Alaska - que vous ne pouvez voir que d’un avion ou d'un hélicoptère ?
7. Tour des montagnes, Ecosse
Le "Munro-bagging" signifie le fait d'escalader le plus possible de montagnes écossaises de plus de 3000 pieds (915 m). Il y en a 282, alors vous pouvez commencer tout de suite. Challenge plus rarement entrepris : le "Marilyn-bagging". Une Marilyn est une colline d'au moins 150 mètres de hauteur. Il y en a 1217 en Ecosse, alors vous pouvez commencer tout de suite...
8. Safari, Afrique
Sortez les téléobjectifs, le lion vient dans votre direction. Si le cliché de la balade en jeep avec d'autres touristes mitraillant les lions dans le Masai Mara n'est pas votre tasse de thé, il existe beaucoup d'autres moyens plus pacifiques et plus écologiques de faire un safari en Afrique. Ou vous pourriez faire un safari beaucoup moins loin et voir des animaux aussi impressionnants que des girafes et des éléphants. Comme les îles Shetland, et leurs macareux, leurs loutres et leurs orques.
9. Hôtel sept étoiles, Dubaï
Vous voulez faire mieux que Kate et William, c'est ça ? Échangez vos cinq étoiles, non pas pour six, mais pour SEPT étoiles dans l’emblématique et extravagant hôtel Burj Al Arab à Dubaï . Vous allez peut-être devoir d’abord devenir riche ou une célébrité, voire les deux. Ou oubliez le tape-à- et cherchez le « vrai » Dubaï ... en allant manger un cari.
10. Les aurores boréalesSi elles sont très impressionnantes, les aurores boréales ne sont pas les seuls phénomènes naturels qui valent le coup de voyager. Que diriez-vous de trombes marines dans les Keys de Floride, ou de foudre volcanique ?