Non, l'Auvergne, n'est pas une région où il n'y a que des volcans ! Bien au contraire, il y a des milliers de choses à faire et à découvrir. Stop les clichés. En effet, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent (sans doute ceux qui n'y sont jamais allés), il y fait bon vivre et certains coins sont juste magiques ! Vous ne me croyez pas ? Alors ouvrez grand les yeux...
17 photos qui prouvent que l'Auvergne est le plus bel endroit du monde :
1. Lac Chambon @domaine-lac-chambon
2. Puy de Sancy @camptocamp
3. Gîte de la Fumade Vieille à Saint-Jacques-des-Blats @auvergne-tourisme
4. Gorges de la Monne @randoclic
5. Vallée des Saint à Boudes @barbara-photos
6. Lavaudieu @regionfrance
7. Monts du Cantal @journal.collegekarr
8. Château d'Anjony @fond-ecran-image
9. Massif du Cézallier @fotocommunity
10. Chapelle Saint Michel d'Aiguilhe au Puy en Velay @500px
11. Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne @auvergne-tourisme
12. Parc Naturel Régional de Livradois-Forez @500px
Le Kara Dag, ou Karadag (« montagne noire » en tatar) est un massif montagneux situé sur la côte sud-est de la Crimée, entre les localités de Koktebel et Kourortne. C'est un volcan éteint de type jurassique culminant à 575 mètres, autour duquel se situe aujourd'hui la réserve naturelle de Kara Dag. Le volcan était en activité il y a plusieurs milliers d'années, crachant de la lave et des débris dans la mer Noire, et permettant à une flore unique en Crimée de s'y développer.
.> UNE CONTESTATION DE HAUT VOL...... > > La diatribe du grand Charles. > La scène se passe au paradis..... Sur un petit nuage Yvonne tricote, assise > sur pliant .....Elle voit arriver le général, titubant, la mine défaite, > prêt à défaillir......Après quelques pas, il s’effondre à ses côtés dans un > fauteuil. > Yvonne > > Depuis que de Saint Pierre vous eûtes permission > > De retourner sur Terre ausculter la Nation > > Sur ce petit pliant j’attends votre venue... > > Mais je lis dans vos yeux une déconvenue > > !Parlez-moi sans tarder de celle qui toujours > > Fut jadis avec moi l’objet de vos amours... > > > > > > Le général > > > > > > Vous voulez dire France à qui j’ai voué ma vie? > > Ne cachons point son nom ! Je vous sais gré,Ma mie! > > Malgré les embarras, les peines, les tracas > > Qu’elle a pu vous donner et dont je fais grand cas ! > > Pendant aussi longtemps de l’avoir tolérée, > > > > > > Yvonne > > :Eh bien? > > > > Le général > > :Eh bien Madame, elle est défigurée ! > > > > > > Yvonne: > > > > > > Charles, je compatis, c’est une peine extrême > > De voir les traits meurtris d’une femme qu’on aime > > Elle a vieilli sans doute.. > > > > > > Le général > > Oh, ce n’est pas cela !I > > Il m’en faudrait bien plus pour être en cet état. > > Je ne m’attendais pas à la revoir pucelle!.... > > Mais on peut décliner… sans cesser d’être belle! > > Si le corps en hiver n’est plus à son printemps > > L’âme de l’être aimé sait résister au temps! > > > > > > > > Yvonne > > > > :C’est donc son âme ? > > > > > > Le général > > :Hélas ! Si je n’étais au ciel > > Près de vous, à l’abri des chocs existentiels > > Ce que j’ai vu m’aurait donné le coup de grâce! > > > > > > Yvonne > > > > :Mais qu’avez-vous donc vu ? Vos silences me glacent ! > > > > > > Le général > > > > France, mère des Arts, des Armes et des Lois... > > Ô Dieu, l’étrange peine ! Et quel affreux émoi! > > Quelle désillusion, quelle désespérance, > > De revoir sa maîtresse en telle déshérence! > > > > > > Yvonne > > > > > > Mais encore, précisez… je reste sur ma faim! > > Vous me turlupinez ! Qu’avez-vous vu enfin? > > > > > > Le général > > > > J’ai vu, j’ai vu, Oh ciel ! J’ai vu...Comment vous dire... > > Comment bien s’exprimer quand on a vu le pire! > > J’ai vu le Titanic s’abîmer dans les flots > > Et son grand timonier repeindre les hublots! > > J’ai vu un président, la cravate en goguette, > > L’air niais, regard flou et la mine défaite, > > Un casque sur le chef, juché sur un scooter! > > (On avait dû lui dire : il faut sortir couvert! > > Vous voyez le tableau ! Oh, madame, j’ai honte > > De certifier pour vrai tout ce que je raconte! > > C’est la chienlit, vous dis-je et pas qu’en les faubourgs > > Comme ce fut le cas quand nous jouissions du jour... > > Mais dans le Saint des Saints, au cœur de l’État même > > Où tout devrait baigner dans un accord extrême. > > J’ai vu des gouvernants qui ne gouvernent rien… > > Et un peuple hébété les traiter de vauriens! > > J’ai vu des ministrons se tirer dans les pattes > > Plus diviser entre eux que ne sont les Carpates! > > J’ai vu, comme jadis, tous ces «politichiens» > > Se disputer leur os, hargneux comme deschiens. > > J’ai vu dans la maison où j’ai régné dix ans > > Un orchestre amateur gratter ses instruments > > Dans la cacophonie ! Et dans ce grand bazar > > Le moindre palotin se prendre pour César; > > L’un fraîchement nommé, jouant les petits saints, > > S’exonérer d’impôts et trouver ça très bien! > > L’autre, obscur conseiller, quérir à son de trompe > > Un larbin stipendié pour lui cirer les pompes! > > Geste surréaliste au temps qui fut le mien! > > Mais j’allais oublier, et là, tenez-vous bien! > > Pour couronner le tout, j’ai vu, (serrez les cuisses!) > > Le gardien du budget planquer son fric en Suisse! > > > > > > Yvonne > > N’êtes-vous point sévère avec ces jeunes gens > > Tout fiers d’avoir acquis un certain entregent? > > Ces nouveaux Rastignac jadis vous faisaient rire > > Et ne vous mettaient pas dans une telle ire.... > > Nous connûmes souvent et du temps de nos rois > > Nombre de grands coquins qui s’exemptaient des lois. > > Et même pour certains sombraient dans la débauche.... > > > > Le général > > > > > > Mais aucun de ceux-là ne se disait de gauche! > > Alors que ces pignoufs, sinistres polissons, > > Se pavanent le jour en donnant des leçons! > > Je me suis renseigné sur l’histoire récente > > Pour comprendre un peu mieux ces façons indécentes, > > Et qu’ai-je appris Grand Dieu ?... Mille calamités > > Sur un gouvernement qui semble tout rater! > > Depuis plus de deux ans, on s’agite, on spécule! > > Ce qu’on avance un jour, ensuite on le recule, > > Dans un rythme effréné qui donne le tournis… > > Ça n’est plus du tango, c’est danse de Saint Guy! > > Le peuple abasourdi par ces folles pratiques > > Ne voit pour l’avenir que funestes musiques!!! > > Il s;agite à son tour pliant sous les Impôts, > > Résiste à tout diktat, discute à tout propos, > > Tire à hue et à dia et renverse la table! > > > > > > Yvonne > > > > > > Un peuple ingouverné devient ingouvernable! > > > > > > Le général > > > > > > Je confirme et j’illustre, écoutez bien ceci, > > C’est un tableau d’en bas que je vous fais ici; > > A-t’on pris décision dans les formeslégales > > Que l’on voit illico se former des cabales! > > L’un met un bonnet rouge et l’autre un bonnet vert > > En prétendant agir au nom de l’Univers! > > Quelques illuminés ou quelques fous furieux > > Hurlent en vomissant des slogans injurieux, > > Pillent les magasins, éructent,gesticulent, > > Cassent trois abribus !... Et le pouvoir recule!!! > > > > > > Yvonne > > > > Mais que fait la Police et que font les Gendarmes? > > > > > > Le général > > > > > > Le moins possible hélas ! Ils ont du vague à l’arme! > > Car si par aventure on coffre un malfaisan > > C’est la Garde des Sceaux qui porte les croissants! > > Les socialos naïfs rêvent dans les nuages, > > Se bercent d’illusions dans leurs litsd’enfants sages! > > Confrontés au réel, ancrés dans le déni, > > Ils sont tout étonnés quand ils tombent du nid! > > Les jeunes snobinards, que bobos on appelle, > > Vitupèrent la droite en faisant pas mieux qu’elle! > > Les tribuns de la plèbe agitent leurs grelots, > > L’un veut saigner Neuilly pour nourrir le prolo, > > L’autre clame à grands cris qu’il faudrait tout secouer > > En virant les négros, les bicots, les niaquoués! > > Et les deux réunis proposent des programmes > > Qui traduisent à plat leur encéphalogramme. > > > > > > Yvonne > > Mais où sont les anciens ? Gaullistes et Cocos > > Qui, eux, savaient pousser de grands cocoricos > > > > > > Le général > > > > > > Leur QG moscovite ayant pété les câbles, > > Les Cocos d’autrefois sont quasi introuvables > > > > > > Yvonne > > Bonne nouvelle, au gué ! Tout espoir n’est pas mort! > > Souvenez-vous du temps où ils étaient si forts! > > Plus de Rouges enfin, en travers de la route! > > Mais la race est teigneuse... il en reste, sans doute > > > > > > Le général > > > > > > Oui, vous avez raison, ce sont de grands pervers.. > > Les derniers survivants se font repeindre en vert! > > Quant à nos vieux amis gaullistes de baptême > > On fleurit leur logis,avec des chrysanthèmes... > > C’est leurs petits-neveux qui piaillent à présent, > > Et se bouffent le nez pour occuper leur temps! > > L’un d’eux, plus remuant, habile en artifices > > Se débat aujourd’hui dans les Cours de Justice. > > Je crains pour mon malheur, avoir œuvré en vain, > > Mon costume est trop grand pour habiller ces nains! > > > > > > Yvonne > > > > Oubliez tout ceci, laissons la politique > > Qui vous fait enrager et tourner en bourrique. > > Parlons d’autres sujets plus gais et plus légers, > > Des lieux que j’ai connus... Paris a-t’il changé? > > > > > > Le général (redevenant plus calme) > > > > > > Heureusement, pas trop. On reconnait la ville, > > J’ai pu me promener jusqu’à St Louis en l’île. > > Pompidou, un peu snob, pour marquer son séjour, > > Fit une usine à gaz au quartier de Beaubourg. > > Giscard n’a rien cassé… c’est déjà quelque chose! > > Mitterrand l’a suivi tenant au poing sa rose ! > > Mais lui, plus mégalo, se croyant pharaon > > S’est plu à imiter le roi Toutankhamon. > > Il sema pyramide aux parterres du Louvre, > > C’est l’Égypte à présent qu’en ces lieux on découvre! > > Chirac, plus primitif, a voulu, quai Branly, > > Honorer les Dogons, les Peuls, les Chamboulis.... > > À leur art, dit premier, il a su rendre hommage, > > Le monument s’efface au milieu des feuillages... > > Je n’ai pas retrouvé les halles de Baltard, > > À leur place un chantier avait pris du retard. > > Et quant à l’Élysée où vous fûtes naguère, > > Ce n’est plus un palais… c’est une garçonnière! > > J’ai même cru comprendre, en lisant leurs canards, > > Que peu s’en est fallu qu’il fût un lupanar! > > > > > > Yvonne > > Un lupanar ! Grands Dieux, comment est-ce possible? > > Vous me faites plonger dans un monde indicible, > > Je ne puis y songer sans trembler de dégoût, > > Notre chambre à coucher annexe au «one two two! > > > > > > Le général (qui s’échauffera progressivement) > > Oui, les mœurs d’aujourd’hui connaissent quelque audace, > > La contrainte est bannie et la honte fugace! > > Ce qu’on cachait jadis, on l’étale à présent, > > L’inverti manifeste, et la lesbienne autant! > > On divorce partout : mariage... anachronique! > > Sauf pour certains homos qui, eux, le revendiquent ! > > La déviance est très mode et ne fait plus horreur, > > On l’exhibe à tout vent, mieux que Légion d’Honneur : > > Le travelo s’affiche, et le camé ne cesse > > De réclamer sa dose au frais de la princesse ! > > Le moindre hurluberlu fait son intéressant, > > Quitte à montrer son cul au regard des passants !..... > > À quand le zoophile, à quand le coprophage ? > > > > > > Yvonne > > Du calme, mon ami, modérez cet orage! > > > > > > Le général > > Mais, mon cœur, laissez-moi m’expliquer plus avant, > > Et vous aurez la clé de cet emportement. > > Si vous aviez pu voir, même de votre rive, > > Ce qu’il m’est advenu juste avant que j’arrive, > > Vous auriez, c’est bien sûr, eut le souffle coupé ! > > Je reprends mon discours, où je l’avais laissé : > > Ayant à satiété subi les psychodrames > > Des gauchos, des fachos et de tous ceux qui brament, > > Avant de repartir, j’ai voulu, bon époux, > > Me rendre chez Chaumet vous choisir un bijou > > Sur la place Vendôme. Au pied de la colonne, > > Que vis-je alors, Madame ? En cent, je vous le donne ! > > Le sommet, m’a-t-on dit, de l’art contemporain : > > Un enculoir géant en guise de sapin ! > > Il m’a fallu trouver le salut dans la fuite > > Pour ne pas m’exposer au viol d’un sodomite ! > > Afin qu’il me remonte aussitôt chez les miens, > > J’ai convoqué presto mon bon ange gardien ! > > Et c’est ainsi tremblant, et d’horreur et de rage, > > Que vous me revoyez en ces nobles parages. > > > > Yvonne > > > > Calmez-vous ! Les Français autrefois ont fait pis ! > > Et même en votre temps, vous fûtes déconfit > > Par leur acrimonie et par leur inconstance, > > N’ont-Ils pas, bien des fois, frôlé la décadence ? > > Je me souviens d’un jour où, par eux excédé, > > Vous les aviez traités, je crois, de bovidés.... > > > > > > Le général > > > > C’est possible, en effet, dans un accès de doute > > Où leur grande inertie entravait trop ma route..... > > Mais, Madame, aujourd’hui, ils ont fait bien plus fort ! > > Les Français sont des veaux, gouvernés par des porcs ! > > > > > > Yvonne > > > > Mais vous n’y pouvez rien ! Laissez à Dieu le père > > Le soin de réprimer tous ces coléoptères ! > > C’est ainsi et c’est tout ! Le Français, français né, > > Sera toujours paillard et indiscipliné, > > Toujours libidineux, frondeur si nécessaire, > > Arrogant, belliqueux et même téméraire, > > Et cela en dépit de centaines de lois, > > Car s’il n’est plus gaulliste… il demeure gaulois ! > > > > > > Le général : (se levant, plus détendu) > > Oui, vous avez raison, j’ai tort, je m’obnubile > > Et ne fais rien de mieux que m’échauffer la bile, > > Laissons aux successeurs ce monde convulsif... > > Et allons chez Malraux, prendre l’apéritif ! > > > > > > NDGC: qu’en termes choisis ces choses là sont dites.... > > De la poésie à l’état pur...
Saviez-vous que le Brésil est le plus grand État d'Amérique du Sud.
Il couvre près de la moitié de la superficie du continent sud-américain.
Sa capitale est Brasilia, mais les villes les plus importantes sont Rio de Janeiro et Sao Paulo.
Voici une colossale merveille naturelle que l'on retrouve au Brésil les chutes d'Iguaçu
Deux plages les plus célèbres au Brésil ont été immortalisées dans des chansons. Des deux, Copacabana est la plus grande et la plus animée, Ipanema étant un peu plus chic et relaxe. Une vidéo de la plage de Copacabana et ses grosses vagues qui ravissent les amateurs de surf!
Amateurs de dauphins en voici un à découvrir ! Le dauphin rose de l'Amazone! Au Brésil on retrouve une espèce de mammifère, le boto ou dauphin rose de l'Amazone. C'est un dauphin vivant exclusivement en rivière, donc un dauphin d'eau douce. Très curieux, il ne craint par ailleurs pas la présence de l'Homme. Cette vidéo nous les fait découvrir!
Cette année encore, la disparition de nombreux artistes nous attriste Rendons-leur un dernier hommage Au nom de la fête de la musique,
B.B. King, né dans le Mississippi, était une légende du blues. Il a contribué à populariser le genre en dehors du milieu rural américain. Récompensé de multiples Grammy Awards, il a plus de 50 albums à son actif et plusieurs standards comme Three O’Clock Blues, Rock Me Baby ou encore The Thrill Is Gone. Selon son avocat, le grand musicien est décédé le 14 mai à Las Vegas, à l’âge de 89 ans. En dépit de son diabète, B.B. King se produisait sur scène il y a quelques mois encore.
Ben E. King est décédé le jeudi 30 avril 2015, à l’âge de 76 ans, dans le New Jersey, de causes naturelles. Ancien membre du groupe The Drifters, il fut le premier interprète et co-compositeur de la chanson Stand By Me, standard de la musique soul américaine. Après ce tube sorti en 1961, le chanteur natif de Henderson en Caroline du Nord enregistra d’autres jolis morceaux, mais sans atteindre de succès comparable. De son vrai nom Benjamin Earl Nelson, Ben E. King avait fait ses débuts à l’église, dans une formation de gospel.
Errol Brown était le chanteur du groupe Hot Chocolate. Il avait connu le succès dans les années 70 et 80, notamment grâce à la chanson You Sexy Thing. A la suite de cette aventure collective, l’artiste né en Jamaïque s’est lancé dans une carrière solo en 1985, avec plus ou moins de réussite. Décoré de l’Ordre de l’Empire britannique en 2003, Errol Brown est finalement mort mercredi 6 mai 2015 aux Bahamas, d’un cancer du foie. Il avait 71 ans.
Percy Sledge s’était rendu célèbre avec son titre When a Man Loves a Woman. Il s’est éteint le 14 avril 2015 à l’âge de 73 ans, à son domicile de Baton Rouge, en Louisiane. Selon un communiqué de son agent Steve Green, son décès serait du à un cancer du foie. Le crooner américain avait débuté sa carrière dans les années 1960. S’il n’en reste aujourd’hui qu’une poignée de morceaux, la Rythm and Blues Foundation lui a décerné un prix pour l’ensemble de son oeuvre.
Lesley Gore était connue pour son tube It’s My Party, produit par Quincy Jones et sorti en 1963. Un titre qui avait été repris en 2010 par Amy Winehouse. Féministe engagée, elle avait également enregistré l’hymne You Don’t Own Me, utilisé plus tard comme B.O. du film Le Club des ex (1996). Également actrice dans la série TV des années 60 Batman, Lesley avait sorti un ultime album en 2015, Ever Since. L’Américaine s’est éteinte le 16 février 2015 à New York des suites d’un cancer du poumon. Elle avait 68 ans et a été accompagnée jusqu’au bout par sa compagne, la joaillière Lois Sasson.
Richard Anthony ou l’interprète inoubliable du tube J’entends siffler le train. Avec ce titre sorti en 1962, le chanteur né au Caire est immédiatement devenu une vedette et, dans la foulée, une figure de proue du mouvement yéyé. De sa carrière longue mais faite de hauts et de bas, on retient aussi le morceau Itsy bitsy petit bikini, ainsi que sa reprise de Let’s Twist Again. La tournée Age tendre lui avait permis de remonter sur scène avec succès dans les années 2000. Ricardo Btesh (alias Richard Anthony) est décédé le 20 avril 2015, à 77 ans. Il était atteint d’un cancer.
Demis Roussos, vedette grecque de la chanson, était très connu en France depuis les années 1970. En véritable ambassadeur du folklore hellénique, il a su développer son répertoire dans l’Hexagone en maniant la langue de Molière. Resteront notamment We Shall Dance, Mourir auprès de mon amour, Loin des yeux loin du cœur, Le Grec, ou encore On écrit sur les murs. Le chanteur est mort le 25 janvier 2015, à Athènes. Il avait 68 ans. La nouvelle a été relayée sur Twitter par son ami, l’animateur Nikos Aliagas.
et c'est tout en douceur Que je vous souhaite un bel été en couleurs Observer, Ecouter le chant des oiseaux, du ruisseau Et vous sentirez le vent du bonheur... et son murmure Au fond du coeur....
Fête Des Pères : Les Origines De Cette Journée Qui Célèbre Les Papas.
Même si les catholiques célébraient ce jour spécial déjà au Moyen Age, c'est aux Etats-Unis que la fête des pères a été instaurée durablement au début du XXe siècle. Bonne fête les papounets ! La fête des pères a été instaurée durablement au début du XXe siècle. Crédit Reuters
Cravate, pot à crayons en boite à camembert, dessin, eau de Cologne, petit déjeuner apporté au lit... Ce dimanche, les papas sont à l'honneur ! Le saviez-vous ? La fête des pères n'est pas si récente que ça : les pays majoritairement catholiques ont commencé à célébrer les papas dès le Moyen Age. Chaque année, "les patriarches étaient célébrés le 19 mars [...] car il s'agit de la date de la Saint Joseph, le père de Jésus", explique le site Gentside. Il faut attendre le début du XXe siècle pour que la fête des pères devienne non religieuse. A la suite du sermon du jour de la fête des mères, une jeune américaine du nom de Sonora Smart Dodd proposa de célébrer aussi les papas. Elevée par un père veuf, Sonora souhaitait montrer sa reconnaissance envers lui. Elle choisit le 19 juin, date de l'anniversaire de son cher papa. La première fête des pères telle que nous la connaissons aujourd'hui fut donc organisée le 19 juin 1912. Plus tard, en 1966, le président Johnson proclama que le "Father’s Day" se tiendrait chaque 3e dimanche de juin. En France, la fête des pères a été instaurée en 1952 - soit deux ans après l’officialisation de la fête des mères, explique le site Réponse à tout. Et la personne à l'origine de cette journée n'est pas une jeune fille pleine de gratitude élevée par un papa célibataire... mais un fabricant de briquets ! À l'époque, la marque Flaminaire considérait qu'il s'agissait d'une bonne occasion pour offrir un briquet à un homme. Comme quoi, bien avant Halloween, il existait déjà des fêtes purement commerciales !!!
Vous aimez les jardins et potagers aux looks éclatés et recyclés ?
Vous aimerez l’idée de réutiliser de vieux pneus pour y accueillir la culture de fleurs, de tomates, de poivrons et des pommes de terres (sans compter que vous serez surpris par la technique proposée). Comment procéder pour planter son jardin dans des pneus recyclés
Presque aussi facilement que ça se dit ! Vous aurez besoin d’un couteau, de pneus de formats varies, de terre, de savon et d’eau, d’une éponge pour nettoyer, du paillis et des plants ou semences souhaités.
Étape 1 Nettoyer le pneu avec de l’eau et du savon. Utiliser une éponge pour faciliter le travail. Bien rincer.
Étape 2 Peindre le pneu avec une peinture au latex ou à la bombe au choix si vous souhaitez changer la couleur afin de s’agrémenter à l’aménagement de votre jardin ou de votre terrasse. Vous pouvez aussi couper le pneu de façon à créer un plus petit rebord (aussi petit qu’un pouce), une question esthétique…
Une autre méthode est de découper un rebord dentelé dans le pneu et, une fois l’opération complétée, user de la graisse de coude pour renverser le pneu de son côté intérieur à l’extérieur! L’effet est très joli, surtout peint! Tel un soleil dans son jardin !
Étape 3 Étaler le paillis à l’endroit où vous souhaitez installer votre jardin en pneu. Remplir le pneu de terre, semer ou transplanter vos plants selon les instructions de jardinage propre à la plante choisie.
Procéder aux trois premières étapes. Lorsque des feuilles commencent à faire surface, empiler un second pneu, remplir de terre et de semences à nouveau. Répéter l’opération aussi souvent que souhaité… la serre à pomme de terre peut prendre 4 à 6 étages de pneus de hauteur… ça vous fera plus de 100 kg de patates pour l’année ! Et pour toutou un havre de paix !
Pour faire des jardinières à fleurs en pneus
Une autre idée d’aménagement est de simplement déposer le pneu décorer en position debout, le faire tenir sur une base ou à l’aide de paillis, de roches ou de bois et de créer une jardinière fleurie dans le rond du pneu. Cette version peut même se suspendre à un arbre ou une clôture.
Des idées brico pour éviter que nos vieux pneus s’empilent dans des sites d’enfouissement… joindre l’utile à l’écolo ! Amicalement bonne Fin De Semaine
Ce que vos ongles révèle de votre personnalité Ce n’est pas la première fois que nous vous expliquons à quel point vos caractéristiques physiques sont révélatrices de votre caractère. Vos yeux, vos cheveux, vos mains, vos pieds….tous ces éléments en disent longs sur vous. Aujourd’hui nous allons nous intéresser à vos ongles et plus particulièrement à leur forme ! Car si vous ne l’aviez pas encore remarqué, tout le monde n’ pas les ongles de la même forme ni de la même taille… Dites nous quelle est la forme de vos ongles et est-ce que cela correspond aux traits de caractère décrits ci-dessous ? 1- L’ongle en forme d’épée : Si vos ongles sont en forme d’épée vous êtes du genre fonceur ! Vous n’hésitez pas à vous surpasser pour atteindre vos objectifs. Rien ne vous fait peur ou ne vous impressionne, vous aimez avoir les choses en main et partir à l’aventure. Vous pouvez parfois avoir des petits soucis en société car vous n’êtes pas forcément très sociable surtout lorsqu’il s’agit de travailler en équipe. 2-L’ongle en amande: Vous êtes profondément gentil, droit, honnête et fidèle ! Vous aimez les choses simples, les petits bonheurs de tous les jours ! Vous êtes quelqu’un de fiable à qui on peut se confier et sur qui on peut compter. Vous pouvez parfois vous montrer impulsif et colérique si les choses ne se passent pas comme vous voulez. 3- L’ongle triangulaire : Plutôt rare, ce type d’ongle révèle une personnalité charismatique qui fascine. Vous êtes intelligent, ambitieux et aimez voir les regards sur vous et captiver un auditoire. Vous pouvez être prétentieux voire arrogant jusqu’à vous penser au dessus des gens. Cela est plus souvent une carapace car une fois apprivoisé, vous vous avérez être une personne très sympathique. 4- L’ongle carré : Courageux, travailleur et déterminé, vous êtes une personne droite, carré qui sait gérer, organiser et diriger. Vous êtes un peu trop bosseur et vous avez parfois du mal à vous détendre ce qui peut vous rendre peu sympathique avec votre entourage. 5- L’ongle large : Vous êtes quelqu’un de très sociable qui aime rencontrer du monde et faire la fête. Vous aimez être entouré e vous imprégnez des univers que vous côtoyez. Vous êtes sensible et avait un grand sens du détail, vous avez une âme d’artiste. 6- L’ongle long : Vous êtes intuitif et de bon conseil, vous avez le don pour conseiller. Réservé et discret vous pouvez paraître froid au premier abord mais cette réserve fait aussi votre charme. Vous aimez la tranquillité et les petits comités. Vous êtes très doux avec un grand esprit de famille. 7- L’ongle en forme d’oeuf : Ce sont les ongles des épicuriens, des procrastinateurs et des fêtards. Vous aimez profiter de la vie, être entouré et ne pas penser à l’avenir. Ce mode de vie vous va bien mais n’est pas possible pour tous. Vous êtes parfois trop insouciant et on vous dit souvent que vous êtes immature même si vous êtes profondément gentil.
Photos de fenêtres du monde entier par Andre Goncalves Andre Goncalves est un photographe versé dans les fenêtres du monde entier. Il écume le globe prenant des clichés des huisseries originales et colorées qu’il rencontre. Si certaines portes semblent mener dans un autre monde, certaines fenêtres semblent également dégager un peu de magie Voici des photos de fenêtres du monde entier par Andre Goncalves Venise Ericeira Burano Evora Alpes Guimarães Lisbonne Porto Sesimbra Trento
L'AUVERGNE....
Non, l'Auvergne, n'est pas une région où il n'y a que des volcans ! Bien au contraire, il y a
des milliers de choses à faire et à découvrir.
Stop les clichés.
En effet, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent (sans doute ceux
qui n'y sont jamais allés), il y fait bon vivre et certains coins sont juste magiques !
Vous ne me croyez pas ? Alors ouvrez grand les yeux...
17 photos qui prouvent que l'Auvergne est le plus bel endroit du monde :
1. Lac Chambon
@domaine-lac-chambon
2. Puy de Sancy
@camptocamp
3. Gîte de la Fumade Vieille à Saint-Jacques-des-Blats
@auvergne-tourisme
4. Gorges de la Monne
@randoclic
5. Vallée des Saint à Boudes
@barbara-photos
6. Lavaudieu
@regionfrance
7. Monts du Cantal
@journal.collegekarr
8. Château d'Anjony
@fond-ecran-image
9. Massif du Cézallier
@fotocommunity
10. Chapelle Saint Michel d'Aiguilhe au Puy en Velay
@500px
11. Parc Naturel Régional des Volcans d'Auvergne
@auvergne-tourisme
12. Parc Naturel Régional de Livradois-Forez
@500px
13. Eglise de Saint-Nectaire
@imagesdubeaudumonde
14. Foire aux bestiaux à Besse
@grandangle
15. Saint-Nectaire
@500px
16. Grottes du Cornadore
@grottes-du-cornadore
17. Château de Murol
@jeremy ducrot
Aller hop, on saute dans la voiture et go !
Le Kara Dag, ou Karadag (« montagne noire » en tatar) est un massif
montagneux situé sur la côte sud-est de la Crimée, entre les localités
de Koktebel et Kourortne.
C'est un volcan éteint de type jurassique culminant à 575 mètres, autour
duquel se situe aujourd'hui la réserve naturelle de Kara Dag.
Le volcan était en activité il y a plusieurs milliers d'années, crachant
de la lave et des débris dans la mer Noire, et permettant à une flore
unique en Crimée de s'y développer.
.> UNE CONTESTATION DE HAUT VOL......
>
> La diatribe du grand Charles.
> La scène se passe au paradis..... Sur un petit nuage Yvonne tricote, assise
> sur pliant .....Elle voit arriver le général, titubant, la mine défaite,
> prêt à défaillir......Après quelques pas, il s’effondre à ses côtés dans un
> fauteuil.
> Yvonne
> > Depuis que de Saint Pierre vous eûtes permission
> > De retourner sur Terre ausculter la Nation
> > Sur ce petit pliant j’attends votre venue...
> > Mais je lis dans vos yeux une déconvenue
> > !Parlez-moi sans tarder de celle qui toujours
> > Fut jadis avec moi l’objet de vos amours...
> >
> >
> > Le général
> >
> >
> > Vous voulez dire France à qui j’ai voué ma vie?
> > Ne cachons point son nom ! Je vous sais gré,Ma mie!
> > Malgré les embarras, les peines, les tracas
> > Qu’elle a pu vous donner et dont je fais grand cas !
> > Pendant aussi longtemps de l’avoir tolérée,
> >
> >
> > Yvonne
> > :Eh bien?
> >
> > Le général
> > :Eh bien Madame, elle est défigurée !
> >
> >
> > Yvonne:
> >
> >
> > Charles, je compatis, c’est une peine extrême
> > De voir les traits meurtris d’une femme qu’on aime
> > Elle a vieilli sans doute..
> >
> >
> > Le général
> > Oh, ce n’est pas cela !I
> > Il m’en faudrait bien plus pour être en cet état.
> > Je ne m’attendais pas à la revoir pucelle!....
> > Mais on peut décliner… sans cesser d’être belle!
> > Si le corps en hiver n’est plus à son printemps
> > L’âme de l’être aimé sait résister au temps!
> >
> >
> >
> > Yvonne
> >
> > :C’est donc son âme ?
> >
> >
> > Le général
> > :Hélas ! Si je n’étais au ciel
> > Près de vous, à l’abri des chocs existentiels
> > Ce que j’ai vu m’aurait donné le coup de grâce!
> >
> >
> > Yvonne
> >
> > :Mais qu’avez-vous donc vu ? Vos silences me glacent !
> >
> >
> > Le général
> >
> > France, mère des Arts, des Armes et des Lois...
> > Ô Dieu, l’étrange peine ! Et quel affreux émoi!
> > Quelle désillusion, quelle désespérance,
> > De revoir sa maîtresse en telle déshérence!
> >
> >
> > Yvonne
> >
> >
> > Mais encore, précisez… je reste sur ma faim!
> > Vous me turlupinez ! Qu’avez-vous vu enfin?
> >
> >
> > Le général
> >
> > J’ai vu, j’ai vu, Oh ciel ! J’ai vu...Comment vous dire...
> > Comment bien s’exprimer quand on a vu le pire!
> > J’ai vu le Titanic s’abîmer dans les flots
> > Et son grand timonier repeindre les hublots!
> > J’ai vu un président, la cravate en goguette,
> > L’air niais, regard flou et la mine défaite,
> > Un casque sur le chef, juché sur un scooter!
> > (On avait dû lui dire : il faut sortir couvert!
> > Vous voyez le tableau ! Oh, madame, j’ai honte
> > De certifier pour vrai tout ce que je raconte!
> > C’est la chienlit, vous dis-je et pas qu’en les faubourgs
> > Comme ce fut le cas quand nous jouissions du jour...
> > Mais dans le Saint des Saints, au cœur de l’État même
> > Où tout devrait baigner dans un accord extrême.
> > J’ai vu des gouvernants qui ne gouvernent rien…
> > Et un peuple hébété les traiter de vauriens!
> > J’ai vu des ministrons se tirer dans les pattes
> > Plus diviser entre eux que ne sont les Carpates!
> > J’ai vu, comme jadis, tous ces «politichiens»
> > Se disputer leur os, hargneux comme deschiens.
> > J’ai vu dans la maison où j’ai régné dix ans
> > Un orchestre amateur gratter ses instruments
> > Dans la cacophonie ! Et dans ce grand bazar
> > Le moindre palotin se prendre pour César;
> > L’un fraîchement nommé, jouant les petits saints,
> > S’exonérer d’impôts et trouver ça très bien!
> > L’autre, obscur conseiller, quérir à son de trompe
> > Un larbin stipendié pour lui cirer les pompes!
> > Geste surréaliste au temps qui fut le mien!
> > Mais j’allais oublier, et là, tenez-vous bien!
> > Pour couronner le tout, j’ai vu, (serrez les cuisses!)
> > Le gardien du budget planquer son fric en Suisse!
> >
> >
> > Yvonne
> > N’êtes-vous point sévère avec ces jeunes gens
> > Tout fiers d’avoir acquis un certain entregent?
> > Ces nouveaux Rastignac jadis vous faisaient rire
> > Et ne vous mettaient pas dans une telle ire....
> > Nous connûmes souvent et du temps de nos rois
> > Nombre de grands coquins qui s’exemptaient des lois.
> > Et même pour certains sombraient dans la débauche....
> >
> > Le général
> >
> >
> > Mais aucun de ceux-là ne se disait de gauche!
> > Alors que ces pignoufs, sinistres polissons,
> > Se pavanent le jour en donnant des leçons!
> > Je me suis renseigné sur l’histoire récente
> > Pour comprendre un peu mieux ces façons indécentes,
> > Et qu’ai-je appris Grand Dieu ?... Mille calamités
> > Sur un gouvernement qui semble tout rater!
> > Depuis plus de deux ans, on s’agite, on spécule!
> > Ce qu’on avance un jour, ensuite on le recule,
> > Dans un rythme effréné qui donne le tournis…
> > Ça n’est plus du tango, c’est danse de Saint Guy!
> > Le peuple abasourdi par ces folles pratiques
> > Ne voit pour l’avenir que funestes musiques!!!
> > Il s;agite à son tour pliant sous les Impôts,
> > Résiste à tout diktat, discute à tout propos,
> > Tire à hue et à dia et renverse la table!
> >
> >
> > Yvonne
> >
> >
> > Un peuple ingouverné devient ingouvernable!
> >
> >
> > Le général
> >
> >
> > Je confirme et j’illustre, écoutez bien ceci,
> > C’est un tableau d’en bas que je vous fais ici;
> > A-t’on pris décision dans les formeslégales
> > Que l’on voit illico se former des cabales!
> > L’un met un bonnet rouge et l’autre un bonnet vert
> > En prétendant agir au nom de l’Univers!
> > Quelques illuminés ou quelques fous furieux
> > Hurlent en vomissant des slogans injurieux,
> > Pillent les magasins, éructent,gesticulent,
> > Cassent trois abribus !... Et le pouvoir recule!!!
> >
> >
> > Yvonne
> >
> > Mais que fait la Police et que font les Gendarmes?
> >
> >
> > Le général
> >
> >
> > Le moins possible hélas ! Ils ont du vague à l’arme!
> > Car si par aventure on coffre un malfaisan
> > C’est la Garde des Sceaux qui porte les croissants!
> > Les socialos naïfs rêvent dans les nuages,
> > Se bercent d’illusions dans leurs litsd’enfants sages!
> > Confrontés au réel, ancrés dans le déni,
> > Ils sont tout étonnés quand ils tombent du nid!
> > Les jeunes snobinards, que bobos on appelle,
> > Vitupèrent la droite en faisant pas mieux qu’elle!
> > Les tribuns de la plèbe agitent leurs grelots,
> > L’un veut saigner Neuilly pour nourrir le prolo,
> > L’autre clame à grands cris qu’il faudrait tout secouer
> > En virant les négros, les bicots, les niaquoués!
> > Et les deux réunis proposent des programmes
> > Qui traduisent à plat leur encéphalogramme.
> >
> >
> > Yvonne
> > Mais où sont les anciens ? Gaullistes et Cocos
> > Qui, eux, savaient pousser de grands cocoricos
> >
> >
> > Le général
> >
> >
> > Leur QG moscovite ayant pété les câbles,
> > Les Cocos d’autrefois sont quasi introuvables
> >
> >
> > Yvonne
> > Bonne nouvelle, au gué ! Tout espoir n’est pas mort!
> > Souvenez-vous du temps où ils étaient si forts!
> > Plus de Rouges enfin, en travers de la route!
> > Mais la race est teigneuse... il en reste, sans doute
> >
> >
> > Le général
> >
> >
> > Oui, vous avez raison, ce sont de grands pervers..
> > Les derniers survivants se font repeindre en vert!
> > Quant à nos vieux amis gaullistes de baptême
> > On fleurit leur logis,avec des chrysanthèmes...
> > C’est leurs petits-neveux qui piaillent à présent,
> > Et se bouffent le nez pour occuper leur temps!
> > L’un d’eux, plus remuant, habile en artifices
> > Se débat aujourd’hui dans les Cours de Justice.
> > Je crains pour mon malheur, avoir œuvré en vain,
> > Mon costume est trop grand pour habiller ces nains!
> >
> >
> > Yvonne
> >
> > Oubliez tout ceci, laissons la politique
> > Qui vous fait enrager et tourner en bourrique.
> > Parlons d’autres sujets plus gais et plus légers,
> > Des lieux que j’ai connus... Paris a-t’il changé?
> >
> >
> > Le général (redevenant plus calme)
> >
> >
> > Heureusement, pas trop. On reconnait la ville,
> > J’ai pu me promener jusqu’à St Louis en l’île.
> > Pompidou, un peu snob, pour marquer son séjour,
> > Fit une usine à gaz au quartier de Beaubourg.
> > Giscard n’a rien cassé… c’est déjà quelque chose!
> > Mitterrand l’a suivi tenant au poing sa rose !
> > Mais lui, plus mégalo, se croyant pharaon
> > S’est plu à imiter le roi Toutankhamon.
> > Il sema pyramide aux parterres du Louvre,
> > C’est l’Égypte à présent qu’en ces lieux on découvre!
> > Chirac, plus primitif, a voulu, quai Branly,
> > Honorer les Dogons, les Peuls, les Chamboulis....
> > À leur art, dit premier, il a su rendre hommage,
> > Le monument s’efface au milieu des feuillages...
> > Je n’ai pas retrouvé les halles de Baltard,
> > À leur place un chantier avait pris du retard.
> > Et quant à l’Élysée où vous fûtes naguère,
> > Ce n’est plus un palais… c’est une garçonnière!
> > J’ai même cru comprendre, en lisant leurs canards,
> > Que peu s’en est fallu qu’il fût un lupanar!
> >
> >
> > Yvonne
> > Un lupanar ! Grands Dieux, comment est-ce possible?
> > Vous me faites plonger dans un monde indicible,
> > Je ne puis y songer sans trembler de dégoût,
> > Notre chambre à coucher annexe au «one two two!
> >
> >
> > Le général (qui s’échauffera progressivement)
> > Oui, les mœurs d’aujourd’hui connaissent quelque audace,
> > La contrainte est bannie et la honte fugace!
> > Ce qu’on cachait jadis, on l’étale à présent,
> > L’inverti manifeste, et la lesbienne autant!
> > On divorce partout : mariage... anachronique!
> > Sauf pour certains homos qui, eux, le revendiquent !
> > La déviance est très mode et ne fait plus horreur,
> > On l’exhibe à tout vent, mieux que Légion d’Honneur :
> > Le travelo s’affiche, et le camé ne cesse
> > De réclamer sa dose au frais de la princesse !
> > Le moindre hurluberlu fait son intéressant,
> > Quitte à montrer son cul au regard des passants !.....
> > À quand le zoophile, à quand le coprophage ?
> >
> >
> > Yvonne
> > Du calme, mon ami, modérez cet orage!
> >
> >
> > Le général
> > Mais, mon cœur, laissez-moi m’expliquer plus avant,
> > Et vous aurez la clé de cet emportement.
> > Si vous aviez pu voir, même de votre rive,
> > Ce qu’il m’est advenu juste avant que j’arrive,
> > Vous auriez, c’est bien sûr, eut le souffle coupé !
> > Je reprends mon discours, où je l’avais laissé :
> > Ayant à satiété subi les psychodrames
> > Des gauchos, des fachos et de tous ceux qui brament,
> > Avant de repartir, j’ai voulu, bon époux,
> > Me rendre chez Chaumet vous choisir un bijou
> > Sur la place Vendôme. Au pied de la colonne,
> > Que vis-je alors, Madame ? En cent, je vous le donne !
> > Le sommet, m’a-t-on dit, de l’art contemporain :
> > Un enculoir géant en guise de sapin !
> > Il m’a fallu trouver le salut dans la fuite
> > Pour ne pas m’exposer au viol d’un sodomite !
> > Afin qu’il me remonte aussitôt chez les miens,
> > J’ai convoqué presto mon bon ange gardien !
> > Et c’est ainsi tremblant, et d’horreur et de rage,
> > Que vous me revoyez en ces nobles parages.
> >
> > Yvonne
> >
> > Calmez-vous ! Les Français autrefois ont fait pis !
> > Et même en votre temps, vous fûtes déconfit
> > Par leur acrimonie et par leur inconstance,
> > N’ont-Ils pas, bien des fois, frôlé la décadence ?
> > Je me souviens d’un jour où, par eux excédé,
> > Vous les aviez traités, je crois, de bovidés....
> >
> >
> > Le général
> >
> > C’est possible, en effet, dans un accès de doute
> > Où leur grande inertie entravait trop ma route.....
> > Mais, Madame, aujourd’hui, ils ont fait bien plus fort !
> > Les Français sont des veaux, gouvernés par des porcs !
> >
> >
> > Yvonne
> >
> > Mais vous n’y pouvez rien ! Laissez à Dieu le père
> > Le soin de réprimer tous ces coléoptères !
> > C’est ainsi et c’est tout ! Le Français, français né,
> > Sera toujours paillard et indiscipliné,
> > Toujours libidineux, frondeur si nécessaire,
> > Arrogant, belliqueux et même téméraire,
> > Et cela en dépit de centaines de lois,
> > Car s’il n’est plus gaulliste… il demeure gaulois !
> >
> >
> > Le général : (se levant, plus détendu)
> > Oui, vous avez raison, j’ai tort, je m’obnubile
> > Et ne fais rien de mieux que m’échauffer la bile,
> > Laissons aux successeurs ce monde convulsif...
> > Et allons chez Malraux, prendre l’apéritif !
> >
> >
> > NDGC: qu’en termes choisis ces choses là sont dites....
> > De la poésie à l’état pur...
Saviez-vous que le Brésil
est le plus grand État d'Amérique du Sud.
Il couvre près de la moitié
de la superficie du continent sud-américain.
Sa capitale est Brasilia,
mais les villes les plus importantes sont Rio de Janeiro et Sao Paulo.
Voici une colossale merveille naturelle que l'on retrouve au Brésil
les chutes d'Iguaçu
Deux plages les plus célèbres au Brésil
ont été immortalisées dans des chansons.
Des deux, Copacabana est la plus grande et la plus animée,
Ipanema étant un peu plus chic et relaxe.
Une vidéo de la plage de Copacabana
et ses grosses vagues qui ravissent les amateurs de surf!
Amateurs de dauphins en voici un à découvrir !
Le dauphin rose de l'Amazone!
Au Brésil on retrouve une espèce de mammifère,
le boto ou dauphin rose de l'Amazone.
C'est un dauphin vivant exclusivement en rivière, donc un dauphin d'eau douce.
Très curieux, il ne craint par ailleurs pas la présence de l'Homme.
Cette vidéo nous les fait découvrir!
Cette année encore, la disparition de nombreux artistes
nous attriste
Rendons-leur un dernier hommage
Au nom de la fête de la musique,
B.B. King, né dans le Mississippi, était une légende du blues. Il a contribué à
populariser le genre en dehors du milieu rural américain. Récompensé de
multiples Grammy Awards, il a plus de 50 albums à son actif et plusieurs
standards comme Three O’Clock Blues, Rock Me Baby ou encore The Thrill Is Gone.
Selon son avocat, le grand musicien est décédé le 14 mai à Las Vegas, à l’âge
de 89 ans. En dépit de son diabète, B.B. King se produisait sur scène
il y a quelques mois encore.
Ben E. King est décédé le jeudi 30 avril 2015, à l’âge de 76 ans, dans le New Jersey,
de causes naturelles. Ancien membre du groupe The Drifters, il fut le
premier interprète et co-compositeur de la chanson Stand By Me, standard de la musique soul américaine. Après ce tube sorti en 1961, le
chanteur natif de Henderson en Caroline du Nord enregistra d’autres
jolis morceaux, mais sans atteindre de succès comparable. De son vrai
nom Benjamin Earl Nelson, Ben E. King avait fait ses débuts à l’église,
dans une formation de gospel.
Errol Brown était le chanteur du groupe Hot Chocolate. Il avait connu le succès dans les années 70 et 80, notamment grâce à la chanson You Sexy Thing. A la suite de cette aventure collective, l’artiste né en Jamaïque s’est
lancé dans une carrière solo en 1985, avec plus ou moins de réussite.
Décoré de l’Ordre de l’Empire britannique en 2003, Errol Brown est finalement
mort mercredi 6 mai 2015 aux Bahamas, d’un cancer du foie. Il avait 71 ans.
Percy Sledge s’était rendu célèbre avec son titre When a Man Loves a Woman. Il s’est éteint le 14 avril 2015 à l’âge de 73 ans, à son domicile de
Baton Rouge, en Louisiane. Selon un communiqué de son agent Steve Green,
son décès serait du à un cancer du foie.
Le crooner américain avait débuté sa carrière dans les années 1960. S’il
n’en reste aujourd’hui qu’une poignée de morceaux, la Rythm and Blues
Foundation lui a décerné un prix pour l’ensemble de son oeuvre.
Lesley Gore était connue pour son tube It’s My Party, produit par Quincy Jones et sorti en 1963. Un titre qui avait été repris en 2010 par Amy Winehouse. Féministe engagée, elle avait également enregistré l’hymne You Don’t Own Me, utilisé plus tard comme B.O. du film Le Club des ex (1996). Également actrice dans la série TV des années 60 Batman, Lesley avait sorti un ultime album en 2015, Ever Since.
L’Américaine s’est éteinte le 16 février 2015 à New York des suites d’un cancer du
poumon. Elle avait 68 ans et a été accompagnée jusqu’au bout par sa
compagne, la joaillière Lois Sasson.
Richard Anthony ou l’interprète inoubliable du tube J’entends siffler le train. Avec ce titre sorti en 1962, le chanteur né au Caire est immédiatement
devenu une vedette et, dans la foulée, une figure de proue du mouvement
yéyé. De sa carrière longue mais faite de hauts et de bas, on retient
aussi le morceau Itsy bitsy petit bikini, ainsi que sa reprise de Let’s Twist Again. La tournée Age tendre lui avait permis de remonter sur scène avec succès dans les années 2000.
Ricardo Btesh (alias Richard Anthony) est décédé le 20 avril 2015, à 77 ans. Il était atteint d’un cancer.
années 1970. En véritable ambassadeur du folklore hellénique, il a su
développer son répertoire dans l’Hexagone en maniant la langue de
Molière. Resteront notamment We Shall Dance, Mourir auprès de mon amour, Loin des yeux loin du cœur, Le Grec, ou encore On écrit sur les murs.
Le chanteur est mort le 25 janvier 2015, à Athènes. Il avait 68 ans. La
nouvelle a été relayée sur Twitter par son ami, l’animateur Nikos Aliagas.
et c'est tout en douceur
Que je vous souhaite un bel été en couleurs
Observer, Ecouter le chant des oiseaux, du ruisseau
Et vous sentirez le vent du bonheur...
et son murmure Au fond du coeur....
Même si les catholiques célébraient ce jour spécial déjà au Moyen Age, c'est
aux Etats-Unis que la fête des pères a été instaurée durablement au
début du XXe siècle.
Bonne fête les papounets !
La fête des pères a été instaurée durablement au début du XXe siècle. Crédit Reuters
Cravate, pot à crayons en boite à camembert, dessin, eau de Cologne, petit
déjeuner apporté au lit... Ce dimanche, les papas sont à l'honneur ! Le
saviez-vous ? La fête des pères n'est pas si récente que ça : les pays
majoritairement catholiques ont commencé à célébrer les papas dès le
Moyen Age.
Chaque année, "les patriarches étaient célébrés le 19 mars [...] car il s'agit
de la date de la Saint Joseph, le père de Jésus", explique le site Gentside.
Il faut attendre le début du XXe siècle pour que la fête des pères
devienne non religieuse. A la suite du sermon du jour de la fête des
mères, une jeune américaine du nom de Sonora Smart Dodd proposa de
célébrer aussi les papas. Elevée par un père veuf, Sonora souhaitait
montrer sa reconnaissance envers lui. Elle choisit le 19 juin, date de
l'anniversaire de son cher papa.
La première fête des pères telle que nous la connaissons aujourd'hui fut
donc organisée le 19 juin 1912. Plus tard, en 1966, le président Johnson
proclama que le "Father’s Day" se tiendrait chaque 3e dimanche de juin.
En France, la fête des pères a été instaurée en 1952 - soit deux ans après l’officialisation
de la fête des mères, explique le site Réponse à tout. Et la personne à l'origine de cette journée
n'est pas une jeune fille pleine de gratitude élevée par un papa célibataire... mais un fabricant
de briquets !
À l'époque, la marque Flaminaire considérait qu'il s'agissait d'une bonne
occasion pour offrir un briquet à un homme. Comme quoi, bien avant
Halloween, il existait déjà des fêtes purement commerciales !!!
Vous aimez les jardins et potagers aux looks éclatés et recyclés ?
Vous aimerez l’idée de réutiliser de vieux pneus pour y accueillir la culture de fleurs, de tomates,
de poivrons et des pommes de terres (sans compter que vous serez surpris par la technique proposée).
Comment procéder pour planter son jardin dans des pneus recyclés
Presque aussi facilement que ça se dit ! Vous aurez besoin d’un couteau, de
pneus de formats varies, de terre, de savon et d’eau, d’une éponge pour
nettoyer, du paillis et des plants ou semences souhaités.
Étape 1
Nettoyer le pneu avec de l’eau et du savon. Utiliser une éponge pour faciliter le travail. Bien rincer.
Étape 2
Peindre le pneu avec une peinture au latex ou à la bombe au choix si vous
souhaitez changer la couleur afin de s’agrémenter à l’aménagement de
votre jardin ou de votre terrasse. Vous pouvez aussi couper le pneu de
façon à créer un plus petit rebord (aussi petit qu’un pouce), une
question esthétique…
Une autre méthode est de découper un rebord dentelé dans le pneu et, une
fois l’opération complétée, user de la graisse de coude pour renverser
le pneu de son côté intérieur à l’extérieur! L’effet est très joli,
surtout peint! Tel un soleil dans son jardin !
Étape 3
Étaler le paillis à l’endroit où vous souhaitez installer votre jardin en
pneu. Remplir le pneu de terre, semer ou transplanter vos plants selon
les instructions de jardinage propre à la plante choisie.
Procéder aux trois premières étapes. Lorsque des feuilles commencent à faire
surface, empiler un second pneu, remplir de terre et de semences à
nouveau. Répéter l’opération aussi souvent que souhaité… la serre à
pomme de terre peut prendre 4 à 6 étages de pneus de hauteur… ça vous
fera plus de 100 kg de patates pour l’année ! Et pour toutou un havre
de paix !
Pour faire des jardinières à fleurs en pneus
Une autre idée d’aménagement est de simplement déposer le pneu décorer en
position debout, le faire tenir sur une base ou à l’aide de paillis, de
roches ou de bois et de créer une jardinière fleurie dans le rond du
pneu. Cette version peut même se suspendre à un arbre ou une clôture.
Des idées brico pour éviter que nos vieux pneus s’empilent dans des sites d’enfouissement… joindre l’utile à l’écolo !
Amicalement bonne Fin De Semaine
Ce n’est pas la première fois que nous vous expliquons à quel point vos
caractéristiques physiques sont révélatrices de votre caractère. Vos
yeux, vos cheveux, vos mains, vos pieds….tous ces éléments en disent
longs sur vous. Aujourd’hui nous allons nous intéresser à vos ongles et
plus particulièrement à leur forme !
Car si vous ne l’aviez pas encore remarqué, tout le monde n’ pas les ongles
de la même forme ni de la même taille… Dites nous quelle est la forme
de vos ongles et est-ce que cela correspond aux traits de caractère
décrits ci-dessous ?
1- L’ongle en forme d’épée :
Si vos ongles sont en forme d’épée vous êtes du genre fonceur ! Vous
n’hésitez pas à vous surpasser pour atteindre vos objectifs. Rien ne
vous fait peur ou ne vous impressionne, vous aimez avoir les choses en
main et partir à l’aventure. Vous pouvez parfois avoir des petits soucis
en société car vous n’êtes pas forcément très sociable surtout
lorsqu’il s’agit de travailler en équipe.
2-L’ongle en amande:
Vous êtes profondément gentil, droit, honnête et fidèle ! Vous aimez les
choses simples, les petits bonheurs de tous les jours ! Vous êtes
quelqu’un de fiable à qui on peut se confier et sur qui on peut compter.
Vous pouvez parfois vous montrer impulsif et colérique si les choses ne
se passent pas comme vous voulez.
3- L’ongle triangulaire :
Plutôt rare, ce type d’ongle révèle une personnalité charismatique qui
fascine. Vous êtes intelligent, ambitieux et aimez voir les regards sur
vous et captiver un auditoire. Vous pouvez être prétentieux voire
arrogant jusqu’à vous penser au dessus des gens. Cela est plus souvent
une carapace car une fois apprivoisé, vous vous avérez être une personne
très sympathique.
4- L’ongle carré :
Courageux, travailleur et déterminé, vous êtes une personne droite, carré qui sait
gérer, organiser et diriger. Vous êtes un peu trop bosseur et vous avez
parfois du mal à vous détendre ce qui peut vous rendre peu sympathique
avec votre entourage.
5- L’ongle large :
Vous êtes quelqu’un de très sociable qui aime rencontrer du monde et faire
la fête. Vous aimez être entouré e vous imprégnez des univers que vous
côtoyez. Vous êtes sensible et avait un grand sens du détail, vous avez
une âme d’artiste.
6- L’ongle long :
Vous êtes intuitif et de bon conseil, vous avez le don pour conseiller.
Réservé et discret vous pouvez paraître froid au premier abord mais
cette réserve fait aussi votre charme. Vous aimez la tranquillité et les
petits comités. Vous êtes très doux avec un grand esprit de famille.
7- L’ongle en forme d’oeuf :
Ce sont les ongles des épicuriens, des procrastinateurs et des fêtards.
Vous aimez profiter de la vie, être entouré et ne pas penser à l’avenir.
Ce mode de vie vous va bien mais n’est pas possible pour tous. Vous
êtes parfois trop insouciant et on vous dit souvent que vous êtes
immature même si vous êtes profondément gentil.
Andre Goncalves est un photographe versé dans les fenêtres du monde entier.
Il écume le globe prenant des clichés des huisseries originales et colorées qu’il rencontre.
Si certaines portes semblent mener dans un autre monde, certaines fenêtres semblent également dégager un peu de magie
Voici des photos de fenêtres du monde entier par Andre Goncalves
Venise
Ericeira
Burano
Evora
Alpes
Guimarães
Lisbonne
Porto
Sesimbra
Trento