De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
16/06/2015 - 14:07
Le Plus Beau De Tous Les Doubles Arcs-En-Ciel
Deux enfants à Colorado Springs, dans le Colorado, devant un double arc-en-ciel, le 3 juillet 2012. REUTERS/Adrees Latif
... est à découvrir à l'intérieur de cet article.
L’explication physique de la naissance d’un arc-en-ciel est assez simple, vraiment. La lumière du
soleil entre dans une gouttelette d’eau. Elle frappe l’arrière de la
goutte, est réfléchie puis ressort par l’avant.

La lumière dévie un tout petit peu en entrant et en sortant de la goutte
–les scientifiques s’amusent à appeler ça réfraction– et chaque couleur
dévie selon un angle différent.

Le changement d’orientation de la lumière est de 138° au total, un petit
peu moins pour la lumière rouge, un peu plus pour la bleue.

Donc, pour voir un arc-en-ciel, vous devez tourner le dos au soleil (à 180°),
puis regarder à un angle de 42° (180°–138°). Les gouttelettes situées
dans un arc suivant cet angle réfléchiront la lumière dans votre
direction, et vous verrez un arc-en-ciel aux couleurs un peu étalées car
elles dévient toutes à des angles différents.

Euh, attendez. J’ai dit «arc»? Parce que techniquement, toute goutte de
pluie à 42° du point antisolaire (hou, ça y est, je recommence à
jargonner) réfléchira la lumière vers vous.

Nous voyons des arcs-en-ciel dans le ciel parce qu’en général, nous sommes
près du sol. Quand nous regardons vers le haut, nous avons un champ de
vision très profond où de nombreuses gouttelettes peuvent associer leurs
lumières pour former un arc-en-ciel.

Lorsqu’on baisse les yeux, le sol est là, les gouttelettes sont moins nombreuses et nous ne voyons pas d’arc-en-ciel.
En général. Pas toujours. Par exemple, vous pouvez vous trouver dans un
avion quand il pleut. Si le soleil est au bon endroit, et que vous
regardez dans la direction opposée, vous pourriez très bien voir un
arc-en-ciel tracer un cercle complet… exactement comme ça:



Incroyable arc-en-ciel circulaire (plus un secondaire) vu d’avion | Source: oskarslidums sur Reddit
Mazette! Je savais que c’était scientifiquement possible, et j’avais entendu des
pilotes raconter qu’ils en avaient été témoins, mais je n’en avais
jamais vu en photo. C’est extraordinaire.

Encore une fois, chaque goutte d’eau flottant dans l’air à 42° de l’endroit du
ciel opposé au soleil peut réfléchir la lumière vers vous. Toutes ces
gouttes sont à la même distance de ce point, ce qui délimite le côté
d’un cercle.

Mieux encore, il y a même un arc secondaire, causé par la double réflexion de
la lumière à l’intérieur de chaque gouttelette. Ce phénomène inversant
les couleurs, l’arc secondaire va donc du rouge au bleu de l’intérieur
vers l’extérieur. On peut également voir la bande sombre d’Alexandre
entre les deux; les gouttes situées dans cette zone renvoient la lumière
loin de vous, elle a donc l’air plus sombre.

Quant à l’intérieur de l’arc-en-ciel primaire, il est plus lumineux parce que
les gouttelettes qui s’y trouvent réfléchissent la lumière dans votre
direction. Les couleurs réfractées par les gouttes s’y chevauchent et se
superposent pour former une lumière blanche: il n’y a donc pas de
couleur à l’intérieur du premier arc-en-ciel.

J’ai déjà raconté comment tout cela fonctionnait (avec des liens) dans un post précédent. Quelques recherches m'ont permis de dénicher une autre photo d'arc-en-ciel circulaire vu d'avion, mais il en manque un bout. On y voit de beaux arcs surnuméraires, en revanche.
Si on regarde bien, on voit que les ombres sur le sol à l’intérieur de
l’arc-en-ciel semblent toutes se diriger vers son centre. Ce n’est
qu’une perspective géométrique; puisque le centre de l’arc-en-ciel doit
être à 180° du soleil, les ombres doivent obligatoirement pointer dans
cette direction !

Au fait, il peut y en avoir encore davantage; j’ai appris très récemment que l’arc-en-ciel tertiaire se voit dans la
direction du soleil, le quaternaire juste à l’extérieur (et il est très
pâle) tandis que le cinquième et le sixième sont respectivement à
l’extérieur et à l’intérieur de l’arc primaire. J’adorerais en voir !

Heureusement, à Boulder, dans le Colorado, nous ne sommes pas privés de jolis arcs-en-ciel. J’ai jeté un œil aux photos que j'ai prises du magnifique double arc-en-ciel que nous avons eu l'autre jour (quand j’ai eu la super chance de prendre un éclair qui le traversait en même
temps!) et j’ai joué avec les contrastes, la luminosité et la saturation
des couleurs.

Je n’ai pas vu les cinquième et sixième arcs, mais maintenant que je sais
qu’ils peuvent se trouver là, je n’aurai de cesse de les traquer. Et
puis, au moins, j’ai obtenu cette image sympa, bien qu’un tantinet
criarde.



Les couleurs saturées donnent un petit côté criard à cette photo, mais j’aime bien | Photo: Phil Plait
Et la prochaine fois que je serai dans un avion le nez collé au hublot antisolaire, je serai à l’affût d’autre chose que de la gloire …

Phil Plait

16/06/2015 - 11:35
DOCUMENTAIRES SUR LA VIE D'ALEXANDRE LE GRAND AVEC 2 VIDEOS FASCINANTES & HISTORIQUES

Alexandre Le Grand

Source:  Alexandre le Grand (Roi)
Naissance : 356 AV J.,- C.,
Babylone Irak

Alexandre le Grand Roi
Alexandre le Grand ou Alexandre III de Macédoine, né le 21 juillet 356 av. J.-C. à
Pella, mort le 11 juin 323 av. J.-C. à Babylone, est un roi de
Macédoine et l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité. Wikipédia

 

 

 Ajoutée le 7 mai 2015
Disparu à l'âge de 32 ans, Alexandre le Grand a connu un destin fulgurant.
Héros pour les Grecs et les Romains, prophète pour les Arabes et mythe
pour les Occidentaux, il a tant servi de référence que l'histoire s'est
effacée devant la légende. Mais que sait-on du monde dont il est issu et
de l'héritage qu'il a laissé ? Jusqu'en 1977, la connaissance de la
Macédoine antique était limitée. La découverte du tombeau de Philippe
II, le père d'Alexandre, a ouvert la voie à une épopée archéologique qui
se poursuit aujourd'hui. Les découvertes redonnent vie à un royaume
florissant et tourné vers les arts, dont est issu ce conquérant qui
rêvait d'une symbiose entre l'Est et l'Ouest.

Licence YouTube standard
16/06/2015 - 09:08
Le Pule

 Le Pule est le fromage le plus cher du monde et il vaut quelques 1000 euros le kilo.
Il s’agit d’un fromage qui n’est ni de vache, ni de brebis mais d’ânesse.
Il est produit dans une ferme de Serbie avec du lait d’ânesse des Balkans de la réserve Zasavica.
Ce lait, utilisé comme produit de beauté par Cléopatre, est rare et les productions sont donc très limitées




08/06/2015 - 15:31
Dans nos villages de campagne,il y à encore des ramoneurs

[table] RAMONEUR




SAVOYARD


[/table]
Au XIXe siècle, la tradition des petits
ramoneurs savoyards amenait certains enfants de Savoie à partir sur les routes
de France pour aller ramoner les cheminées dans les villes, afin de fuir la
pauvreté des familles nombreuses. Le petit ramoneur est devenu l'emblème joyeux et coquin des Pays de Savoie.
Le ramonage était mal payé, mais les parents des familles pauvres devaient accepter que
leurs enfants fassent ce travail. Départ le jour de la Saint-Gras et retour l'année
suivante, à la belle saison. Dès 6 ans, les enfants sillonnaient à pied les routes
de France, avec le maître ramoneur qui les a enrôlés...
Ils ramonaient avec un hérisson, mais ils pouvaient aussi grimper à l'intérieur du conduit de cheminée
pour la racler. En arrivant en haut, ils criaient « Haut en bas ! ». Une échelle de 2 mètres leur permettait d'accéder à l'ouverture en bas de la
cheminée. La suie, récupérée dans des sacs, était revendue à des usines.

Le maître ramoneur imposait 14 heures de travail par jour toute la semaine. S'ils voulaient aller à la
messe le dimanche, ils devaient en acheter ce droit à leur patron. Les maîtres ramoneurs
étaient, la plupart du temps, d'anciens ramoneurs trop grands pour grimper dans les
cheminées et se trouvaient responsables d'une équipe de 3 à 6 enfants, appelés
« Farias ». Tous travaillaient pour un patron.



L'argent
récolté, était récupéré intégralement par le maître ramoneur. Et souvent, il
battait les enfants pour prendre aussi leurs pourboires. Il était chargé de fournir des
vêtements neufs, de leur donner un logement, une paire de chaussures et le matériel de
travail. Quand ils rentraient, en mai, le maître reversait aux familles une somme
d'argent, équivalente au prix d'un veau.
Malheureusement, il arrivait que les petits ramoneurs meurent de froid ou la tête fracassée lors d'une chute.
Fréquemment, ils contractaient des maladies respiratoires et devenaient allergiques ou aveugles à cause de la suie.
Pour finir, les lois françaises de 1874 et de 1892, relatives à l'emploi des enfants, découragèrent
les maîtres ramoneurs à employer tous ces pauvres enfants en bas âge et les obligèrent à changer leurs méthodes de travail.
Petite devinette :Quelle est la différence entre une pie et un ramoneur
La

pie est blanche avec la queue noire,mais le ramoneur est noire avec !.................une petite échelle sur le dos

?(vous aviez pensé à autre chose ?,,,,)
06/06/2015 - 17:10

Bataille & Débarquement En Normandie...


Bataille De Normandie La bataille de Normandie est l'une des grandes batailles de la Seconde Guerre mondiale sur le théâtre militaire européen. Elle se déroule entre juin et août 1944 en Normandie, et permet aux Alliés d’ouvrir un nouveau front en Europe de l'Ouest, face aux troupes du Troisième Reich. Elle débute le 6 juin 1944 — appelé Jour J — par le débarquement (codé opération Neptune) et le parachutage des premières troupes alliées sur et aux abords des plages de l'ouest du Calvados et de l'est du Cotentin pour finir entre le 19 août 1944 (fermeture de la Poche de Falaise) et le 29 août (fin des opérations de traversée de la Seine par l'armée allemande), simultanément avec la Libération de Paris le 25 août. Son effet est renforcé par l’opération Bagration lancée le 22 juin par Staline et par le débarquement de Provence le 15 août. Certains historiens considèrent que la bataille de Normandie s'achève le 12 septembre avec la libération du Havre.
Plus de 70 ans après, cette bataille reste la plus grande opération logistique de dé arquement, trois millions de soldats principalement américains, britanniques, canadiens, australiens, néo-zélandais mais aussi d'autres forces alliées (Forces françaises libres, Armée polonaise de l'Ouest, belges,   tchécoslovaques, néerlandaises et norvégiennes) traversant la Manche pour débarquer en Normandie dont plus de 150 000 le jour J.

Débarquement

Article détaillé : Débarquement de Normandie.
Le débarquement allié, connu sous le nom de Jour J (en anglais : D-Day), représente les premières heures de cette opération. Initialement fixé au 5 juin, le débarquement sera reporté au 6 juin en raison de mauvaises conditions météorologiques3.
Le 6 juin 1944, 1 213 bateaux de guerre (cuirassés, destroyers…), 736 navires de soutien, 864 cargos et 4 126 engins et péniches débarquent 20 000 véhicules et 156 000 hommes sur les plages de Normandie. Les opérations de débarquement, elles, se poursuivront pendant encore plusieurs semaines. Les plages choisies, protégées par les fortifications du mur de l'Atlantique, sont regroupées en 5 zones entre Saint-Martin-de-Varreville, dans le Cotentin, à l'ouest et Ouistreham sur l'embouchure de l'Orne à l'est :
La pointe du Hoc (située un peu à l'ouest d'Omaha) est considérée comme une 6e zone de débarquement, prise par les Rangers américains.
Forces en présence : forces alliées (Américains, Britanniques, Canadiens, Français libres, Polonais, Belges, Tchécoslovaques, Néerlandais, Norvégiens, etc.) contre troupes du Troisième Reich (Allemands, mais aussi des supplétifs issus de troupes principalement russes vaincues à l'Est et qui défendaient le mur de l'Atlantique).
5 000 bateaux, dont 4 000 barges de débarquement7 et 130 navires de guerre, sont impliqués. 12 000 avions sont engagés afin d'assurer le soutien du débarquement, dont un millier d'avions transportant les parachutistes. 5 000 tonnes de bombes sont larguées sur les côtes normandes.

Bilan Au soir du 6 juin, environ 156 000 hommes avaient pris pied sur le sol normand maha Beach 17 000 parachutés, 56 000 débarqués sur Utah Beach et  et 83 000 débarqués sur le secteur anglo-canadien11. Les pertes alliées s'élevaient à 10 300 hommes dont le tiers de tués.
Pertes Matérielles :
2 navires de guerre ;131 LCT (Landing Craft Tank) ;117 LCA (Landing Craft Assault) ;43 LCI (Landing Craft Infantry) ;27 avions perdus et 63 endommagés. Les plans alliés d'invasion comprennent la prise de Caen et Bayeux dès le premier jour, toutes les plages devant être reliées, sauf Utah, et une ligne de front avancée à 10-15 kilomètres à l'intérieur des terres. Dans les faits, aucun de ces buts n'est atteint. Cependant, les pertes, 4 000 morts et 6 000 blessés, soit moins de trois pour cent des forces impliquées, ne sont pas aussi importantes que prévu et les têtes de pont sont parvenues à repousser les contre-attaques allemandes avec l'appui de l'artillerie navale.
Les priorités des jours qui suivent le débarquement furent de relier les têtes de pont, de prendre Caen et de capturer Cherbourg pour disposer d'un grand port.

Les têtes de pont anglo-américaines d'Omaha Beach et Sword Beach se rejoignent à Bayeux. La 12e division blindée SS (HitlerJugend, Jeunesses hitlériennes) attaque les Canadiens les 7, 8
et 9 juin en causant de lourdes pertes, mais ne parvient pas à percer.
Ce laps de temps est parsemé de crimes de guerre (massacre de prisonniers). Pendant ce temps, les plages sont reliées entre elles - Omaha le 10 juin et Utah le 13 grâce à la prise de Carentan par la 101e division aéroportée après d'âpres combats contre les Fallschirmjäger. Les Alliés renforcent leur front plus rapidement que les Allemands.
Alors que les Alliés débarquent toutes leurs ressources, la supériorité aérienne alliée et les dommages causés au réseau ferroviaire rendent les mouvements de troupes allemandes lents et dangereux.

L'étendue de la défaite allemande est, humainement et matériellement, considérable.
En Normandie, il n'y a ni reddition, ni capitulation : une quarantaine de divisions ont été engagées ;

Le coût de la bataille est du même ordre que celui des poches immenses du front de l'est : 450 000 hommes dont 200 000 tués, et en matériel : 1 500 chars, 2 000 canons et 20 000 véhicules détruits. Les pertes en généraux sont très fortes, bien que certains officiers aient réussi à se dégager de la poche avec quelques centaines d'hommes ;

Source :  Le cimetière américain de Colleville-sur-Mer est un cimetière
militaire américain, situé juste au-dessus de la plage dite d’Omaha
Beach, dans la commune de Colleville-sur-Mer dans le Calvados ... Wikipédia

Aussi, on dénombre côté allemand près de 20 commandants d'armées tués ou
prisonniers, 3 commandants blessés (dont le général Rommel) et plus de
35 divisions hors-d'état.


Source :  Omaha Beach, Normandie le 5 Juin 2015
« Pour beaucoup de Français, aujourd'hui, les morts de la Libération ont péri
dans les maquis, dans les prisons allemandes, dans les camps, dans les
rang de la 2e D.B. ou dans ceux de l'armée de De Lattre. Les Français,
ceux de Normandie surtout, longtemps sous le feu, lorsqu'ils n'étaient
pas pris entre deux feux, n'occupent qu'une modeste place dans
l'histoire de la Seconde Guerre mondiale.

Leurs souffrances et les horreurs des camps, ont été effacées par les joies
de la Libération. Et l'image de la grasse, de la riante Normandie, l'a
toujours emporté sur la réalité de la Normandie assassinée. »

Le général Dietrich von Choltitz, commandant du 84e corps allemand en Normandie, qualifia la bataille d'« immense bain de sang19 ».
Le souvenir de la bataille est partout présent en Normandie, notamment avec de nombreux et vastes cimetières militaires, monuments, stèles ou autres panneaux d'information disséminés sur les
nombreux lieux de bataille, de nombreux musées, de toutes tailles dont le grand mémorial de Caen, des rues qui portent le nom des acteurs alliés ou des régiments ayant participé à la libération de la région.

On retrouve sur la côte la trace des combats avec des blockhaus marqués par les obus mais qui défient le temps qui passe. Il est aussi encore possible de voir quelques caissons de béton Phoenix qui ont
composé les digues du port artificiel au large d'Arromanches.


Source :  L’un des douze points forts du mur de l’Atlantique en Normandie est situé
dans le Calvados, entre les plages d'Utah et d'Omaha. Dans la petite commune de Longues-sur-Mer.

Si le cinquantième anniversaire de la bataille de Normandie (1994) avait été l'occasion de rappeler la dureté des combats et les pertes militaires des deux côtés, le soixantième anniversaire (2004) a aussi permis d'évoquer la souffrance des populations civiles, passée sous silence ces dernières décennies, et de donner une image moins héroïque des armées alliées. Ainsi, des études récentes d'historiens ont
montré que certains soldats américains se livrèrent à des exactions.

Comme dans toute armée en campagne, il y eut des pillages et des viols, qui sont cependant le fait d'individus isolés, et qui n'ont été ni organisés, ni encouragés par le commandement, lequel a d'ailleurs jugé sévèrement ceux portés à sa connaissance (plusieurs condamnations à mort de soldats prononcées par les tribunaux militaires alliés).
La longue et éprouvante bataille dans le bocage provoqua également des troubles de stress post-traumatique et refus de combattre chez des conscrits américains dont c'était, pour la majorité d'entre eux, le baptême du feu. Cela ne doit pas occulter la réalité des dizaines de milliers de morts de soldats alliés venus libérer une Europe bien éloignée de chez eux.
Aux pertes durant les combats, il faut encore ajouter les 1 800 prisonniers de guerre allemands qui ont péri lors des opérations de déminage des plages. Les Alliés ne pouvaient se permettre d'utiliser leurs propres soldats à ces tâches

Seconde Guerre mondiale
Histoire des États-Unis
Événements militaires principaux de la Seconde Guerre mondiale
Libération de la France (Seconde Guerre mondiale)
Ajoutée Le 18 Avril 2015
Le jour J, qui marque le premier jour de la bataille de Normandie, est un
débarquement prévu le 5 juin 1944 sur des plages normandes, mais
finalement repoussé au mardi 6 juin en raison des conditions
météorologiques. En effet, le Belge Odon Godart et son centre de
recherches météorologiques dut trouver la date la plus propice à une
telle opération, et en faire part à Dwight David Eisenhower.

Cette opération militaire, baptisée Overlord, fut la plus grande de
l’Histoire, tant par ses complications que par l’importance des moyens
mis en œuvre. L’idée d’une opération militaire apparut dès 1942 mais le
début de l’organisation ne commença qu’en janvier 1944. C’est le général
Dwight David Eisenhower qui fut chargé de la mise en place de
l’opération.


Le 4 juin, les gigantesques convois, qui ont déjà appareillé des ports
anglais, doivent faire demi-tour sur une mer de plus en plus démontée.
Vers 22 heures, après avoir pris connaissance du communiqué
météorologique, le chef allié Dwight David Eisenhower annonce
l’irrévocable décision que le débarquement aura lieu le 6 juin :

« Je n’aime pas cela, déclare-t-il, mais il me semble que nous n’avons
pas le choix… Je suis absolument persuadé que nous devons donner
l’ordre… »


Le 6 juin 1944, le célèbre Jour J, l'assaut des forces alliées sur les
côtes de Normandie est le déclenchement de la plus formidable opération
militaire de l'histoire. De la réussite de cette opération, baptisée
Overlord dépendait l'issue du combat engagé contre Hitler et le IIIè
Reich. Le débarquement en Normandie des forces alliées le 6 Juin 1944 a
été, au plan militaire, logistique, technologique, humain et politique,
l'un des plus remarquables évènements du 20ème siècle. Le général
Eisenhower et son état-major avaient tout prévu, programmé, calculé pour
que le facteur chance joue en leur faveur. Mais dans une opération
d'une telle envergure, des impondérables surviennent toujours...

Secret des préparatifs, désinformation des services de renseignements
allemands, audace dans la décision de déclencher l'attaque malgré une
météo pour le moins incertaine...; chaque évènement, chaque instant de
ce jour J, des mois qui l'ont précédé et des jours qui l'ont suivi, sont
présentés dans cette vidéo avec des images d'archives fortes et des
explications claires.


La nuit du 5 au 6 juin, l'armada, la plus formidable jamais rassemblée,
s'approche des côtes françaises : 2 727 bateaux de types les plus variés
chargent ou remorquent plus de 2 500 engins de débarquement escortés
par 590 navires de guerre, dont 23 croiseurs et 5 cuirassés.


À 3 h 14 le 6 juin, des bombardiers larguent leurs cargaisons sur les
plages choisies. À 3 h 30, 15 500 unités aéroportées américaines et 7 900 unités aéroportées britanniques sont larguées à proximité des plages.
Ces unités ont pour mission de tenir et capturer des têtes de pont en
libérant les accès des plages, et permettant ainsi aux troupes
fraîchement débarquées de pénétrer à l'intérieur des terres.

Les erreurs de largages alliées engendrent une totale désorganisation du
côté allemand empêchant une contre-attaque. De nombreux parachutistes se
noient dans les zones volontairement inondées par les Allemands, en
partie à cause du poids de leur équipement.


36 parachutistes des Forces françaises libres du Special Air Service
furent aussi parachutés en Bretagne vers minuit dans la nuit du 5 au 6
juin ; 18 dans le Morbihan (opération Dingson) et 18 dans les
Côtes-d'Armor (opération Samwest).

L'un d'eux, le caporal Émile Bouétard, un Breton, fut tué au combat entre
minuit et une heure le 6 juin à Plumelec, Morbihan. Il fut probablement
le premier mort du débarquement, d'autres sources mentionnant toutefois
plutôt un mort de l'opération Tonga, le lieutenant britannique Den
Brotheridge.


Les Alliés sont de diverses nationalités : des Britanniques et Canadiens
(83 115), des Américains (73 000) mais aussi des Français, Polonais,
Belges, Tchécoslovaques, Néerlandais, Norvégiens, etc., soit environ
plus de 200 000 combattants en tout.


Des différentes plages où ont débarqué les Alliés, c'est Omaha Beach,
surnommée « Bloody Omaha » (« Omaha la sanglante »), qui connut le plus
de pertes humaines.


On compte au total 1 500 000 hommes qui ont débarqué sur les plages de Normandie à la fin du mois de juillet 1944.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_J


Franck FERRAND reçoit :
- Christophe PRIME, historien au Mémorial de Caen, chargé des collections

- Yves LECOUTURIER, historien spécialiste de la Seconde Guerre mondiale.


Catégorie  Licence YouTube standard



06/06/2015 - 16:46
 
Ce week-end : 
Journée nationale du vélo...

Beaucoup de manifestations sont organisées dans toute la France
Mais d'où nous vient cette belle invention ?

 

 La draisienne

Le 12 juillet 1817, un allemand de 32 ans,
le baron Drais assis à califourchon sur une poutre en bois reliant deux roues
parcourt avec sa machine 14,4 km en une heure par action de ses pieds sur le sol.
 
Cette machine appelée communément en France,
draisienne est brevetée en 1818 sous le nom de "vélocipède"
puisque son but est "de faire marcher une personne avec une grande vitesse"
(véloce = rapide, pède = pied).
 
Son succès fut éphémère.
Le vélocipède
ne retrouva les faveurs du public
que le jour où les inventeurs comme Michaux le dotèrent de pédales.
 
 
 Le grand bi

On cherche alors à rendre le vélocipède plus rapide.
Certains grands-bis eurent des roues d'un diamètre de près de 1,50 m.
Ils étaient donc rapides, mais pas particulièrement sûrs.
Le cycliste se trouvait très haut perché tout en avançant à grande vitesse.
                                                                          
 
 
 
                                     
A la belle époque cette "machine" plus évoluée est réservée à la bourgeoisie...
 
Mais se démocratise rapidement...

 Certaines de ces anciens " deux roues sont aujourd'hui dans des musées...
ou détournées en bicyclettes fleuries...
 
 

                                                                     Et décorent les extérieurs de façades non sans un certain charme !
*******************************
Et c'est bien connu en France tout fini par des chansons.





06/06/2015 - 16:28
*** LE CROQUE-MITAINE ***
Le croque-mitaine est un personnage maléfique dont on parle aux enfants
pour leur faire peur et ainsi les rendre plus sages. Il sert souvent à
marquer les interdits vis-à-vis de moments ou de lieux considérés comme
dangereux, en particulier par rapport à la nuit, traditionnellement
dévolue aux démons et aux mauvais esprits.


 
Un croque-mitaine peut se dissimuler aux abords d'un cours d'eau ou d'un
étang, afin de noyer les imprudents. Dans les régions où l'hiver peut
être rigoureux, un croque-mitaine mange le nez et les doigts de l'enfant
(les parties du corps les plus exposées aux gelures). La crainte
provoquée par la menace de tels personnages crée une peur qui n'a plus
besoin d'être motivée.

Les croque-mitaines existent dans l'imaginaire de tous les pays. Leurs noms sont extrêmement
variables et, sauf quelques particularités qui permettent de les
identifier, leur aspect est assez mal défini, ce qui, dans une
transmission orale, permet à chacun de s'imaginer un être d'autant plus
effrayant : homme, femme, animal (le loup joue parfois le rôle de
croque-mitaine), ou même créature fantasmatique comme la came-cruse en
Gascogne qui est une « jambe nue avec un œil au genou ».

 
Le croque-mitaine, supposé réel pour être efficace, entre peu dans les
contes de la tradition orale, qui sont en principe acceptés comme des
fictions par les auditeurs, ni les légendes, considérées comme vraies
mais constituées d'un récit plus ou moins précis. Le croque-mitaine se
situe à la lisière, les uns (les parents) ne croyant pas à sa réalité,
les autres (les enfants) étant persuadés de son existence.

Selon certains, le croque-mitaine serait à l'origine une sorte de
lycanthrope. Il est censé se dissimuler de préférence dans les lieux
sombres et fermés comme sous un lit, dans un placard ou encore dans une
cave.



05/06/2015 - 17:33
Joyau niché en plein cœur de l’Amazonie, la ville de Manaus saura vous surprendre par son charme singulier!
Manaus est une petite ville nichée au coeur de l’Amazonie. Ce petit coin de
paradis recèle des joyaux naturels et des richesses culturelles
saisissantes. Un florilège de merveilles qui donnent un charme unique
aux lieux et ne manqueront pas d’en charmer certains. Entre forêt
verdoyante, animaux sauvages et vie urbaine, explorez les moindres
recoins de cette ville d’Amérique du Sud.


 























05/06/2015 - 17:28
Laura Coombs Hills 1859 - 1952  























 

02/06/2015 - 15:49
Entre deux mondes, les plus belles photographies   signées Matthew Smith  

Observez la mer ou l'océan, et vous ressentirez un sentiment de calme, de paix
et de tranquilité. Mais ce calme n'existe qu'en surface.

Le photographe australien Matty Smith nous livre une étonnante série de clichés entre deux mondes. Arbres, mouettes et couchers de soleil s'opposent ainsi aux méduses, coraux et bancs de poissons.
Deux mondes éloignés, différents, incompatibles, mais finalement si proches :