Notre couleur préférée peut donner des informations sur notre type de personnalité
Internet fourmille de tests de toutes sortes sur les sujets les plus variés. Des tests qui vous révèlent qui vous étiez par le passé, à quel artiste vous ressemblez, etc. Certains d'entre eux, conçus par des experts, sont moins absurdes que les autres. L'un de ces tests a d'ailleurs eu un certain succès car il se base sur la couleur. En gros, il vous révèle des choses sur vous d'après votre couleur préférée.
1. Le vert. Personnalité : avoir le vert comme couleur préférée montre que cette personne est toujours prête à aider un ami dans le besoin. Sa plus grande qualité estsa capacité à se mettre à la place des autres.
2. Le noir.
Personnalité : Celui qui préfère le noir est connu pour sa loyauté et son engagementdans toute relation. La discipline est également l'une de ses grandes qualités. En revanche, il prend souvent des décisions en se basant plus sur ses sentiments que sur la logique.
3. Le blanc. Personnalité : les amoureux de cette couleur sont des gens ouverts aux nouvelles expériences. C'est pourquoi ils sont toujours partants pour de nouvelles aventures et de nouvelles rencontres, aussi variées que possible. Mais ce caractère peut en fin de compte devenir un problème. L'idée est donc de modérer quelque peu ses attentes.
4. Le rouge.
Personnalité : si vous êtes attiré par cette couleur, cela signifie que vous aimez l'activité et que vous n'aimez pas faire les choses à moitié. Pour cette raison, les amoureux du rouge sont généralement des gens éclairés et extrêmement bien organisés. En conséquence, leur entourage les respecte et écoute toujours ce qu'ils ont à dire.
5. Le jaune. Personnalité : la préférence pour le jaune signifie que cette personne est optimiste et accepte les gens comme ils sont. Pour elle, le plus important est que son prochain se sente bien. Elle est également capable d'aider les autres sans jamais rien demander en retour.
6. Le rose.
Personnalité : Ceux qui préfèrent le rose cachent une grande force derrière leur apparence angélique.
7. L'or et le bronze. Personnalité : l'attraction pour l'or est caractéristique des gens qui ont de grands rêves et de grandes ambitions, et profitent de la vie au maximum. Mais àcause de cela, ils finissent toujours submergés par un agenda trop plein.
8. L'argent.
Personnalité : les amateurs de cette couleur cherchent toujours à mieux comprendre leurs sentiments les plus profonds.
9. Le bleu. Personnalité : ceux qui préfèrent le bleu sont souvent optimistes et ont une attitude positive concernant leur entourage. Mais cette caractéristique peut être dangereuse lorsqu'il s'agit de relation amoureuse. En effet, une vision constamment positive peut vous aveugler longtemps sur les défauts de l'autre.
1851-1910 Julien Dupré (1851-1910) est un peintre français réaliste qui se situe dans la filiation de l'école de Barbizon et plus particulièrement de Jean-François Millet (1814-1875) et de Jules Breton (1827-1906). Il se spécialise dans la peinture de la ruralité et en particulier dans la peinture animalière, dont il est l'un des meilleurs représentants de son époque.
Il naît à Paris en 1851 dans une famille aisée. Son père, Jean-Marie Dupré est bijoutier et joailler, rue du Paradis à Paris. Julien se dirige très jeune vers la peinture en étudiant dans les ateliers de Désiré François Laugée (1823-1896), peintre et poète, dont il épousera la fille aînée Marie. Introduit par son beau-père dans le milieu artistique, Dupré expose régulièrement au Salon de Paris de 1876 à 1910 et obtient de nombreuses récompenses. Il travaille à la fois dans son atelier parisien du Boulevard Flandrin, dans le 16e arrondissement, et en pleine campagne, conformément aux préceptes de l'Ecole de Barbizon. Julien Dupré et Marie Laugée (1851-1937) ont eu trois enfants, Thérèse, Jacques et Madeleine. Thérèse devint également peintre Eloigné de l'académisme par la thématique de son œuvre, Julien Dupré ne se laissera pas vraiment influencer par l'impressionnisme, la grande innovation artistique de l'époque. La critique le lui fera parfois remarquer. Ainsi, pour le salon de 1886, un critique observe : « M. Julien Dupré est un campagnard assez robuste. Il a une manière large et résolue qui refuse obstinément de sacrifier à la maladie nouvelle : il n'estompe ni les formes ni les tons dans la buée grise dont on nous vente les séductions. Il croit que la prairie est verte, et il a le courage de le dire. » Voilà en une phrase une franche approbation du naturalisme et une totale incompréhension de l'impressionnisme. Guy de Maupassant lui-même mettra en évidence, avec ironie, les nouveaux thèmes ruraux : « Chaque fois que je retourne au Salon, un étonnement me saisit devant les paysanneries. Et ils sont innombrables aujourd'hui, les paysans. Ils ont remplacé les Vénus et les Amours, que seul M. Bouguereau continue à préparer avec de la crème rose. » William Bouguereau (1825-1905) était l'un des plus célèbres peintres français du courant académique. Au-delà des critiques de l'époque, laudatives ou légèrement dépréciatives, il nous faut bien reconnaître aujourd'hui que les tableaux de Julien Dupré ont une puissance expressive peu commune. Ils constituent une observation minutieuse et juste de la paysannerie, qui représentait démographiquement l'essentiel de la société du 19e siècle. Le traitement de la lumière et de la couleur est à l'égal de celui de Millet, les mouvements des personnages sont remarquablement étudiés. Dupré ne s'est pas trompé en choisissant ses thèmes : il y excelle.
Aujourd'hui, je vous raconte une jolie histoire dans un contexte triste et sombre, celui de la guerre d'Espagne et de la Seconde Guerre mondiale. La jolie histoire, c'est celle d'Elisabeth Eidenbenz, une jeune femme qui va donner de son temps pour aider les jeunes mères des camps de réfugiés du Roussillon. Elisabeth Eidenbenz est née en 1913, en Suisse, elle devient institutrice et exerce dans son pays et au Danemark. Face à la monté du danger et de la précarité liés à la guerre civile auxquels sont confrontés les enfants en Espagne, Elisabeth décide de rejoindre l'Asociación de Ayuda a los Niños en Guerra (Association d'aide aux enfants en guerre). En 1937, la jeune femme arrive à Madrid, elle va venir en aide à de nombreuses familles, et surtout aux enfants. A la fin de son service, elle rentre en Suisse, mais ne va pas tarder à repartir En effet, en février 1939, c'est la retirada. En gros, c'est le retrait des troupes républicaines. 450 000 Espagnols fuient le nouveau régime de Franco qui est loin d'être super rigolo, fuient la guerre, la douleur et la mort. En France, il faut s'organiser. J'veux dire 450 000 personnes, c'est beaucoup. Et c'est compliqué. En mars 1939, il y a 264 000 réfugiés espagnols dans les Pyrénées-Orientales (Perpignan et alentours, pour ceux qui ne connaissent pas les départements)il , faut savoir qu'à l'époque, la population départementale s'élève à 240 000 personnes. Donc le nombre de personnes a doublé. Comment faire pour accueillir tout le monde dans des conditions décentes ? Les nourrir ? Les aider Argelès-sur-mer accueille plus de 40 000 personnes, il y en a 70 000 au Barcarès, 30 000 à Saint-Cyprien... Dans ces camps, la mortalité est très importante... 15 000 personnes décèdent entre janvier et juillet. Quand les enfants ne meurent pas de faim, ils meurent de dysenterie. Les nouveaux-nés ne tiennent que quelques jours. Les conditions d'hygiène sont déplorables. C'est bien simple, les réfugiés vivent sur le sable, ou la terre, dans le froid. Ils tombent malades, genre : diphtérie, typhoïde, rougeole, oreillons, coqueluche. Alors Elisabeth Eidenbenz quitte la Suisse et arrive dans le sud de la France. A Brouilla, puis à Elne. La maternité d'Elisabeth Eidenbenz Au camp de Brouilla, Elisabeth assiste à des accouchements à même le sol, sur le sable, dans des écuries, au milieu de personnes malades, aussi décide-t-elle de mettre en place une maternité de fortune. Mais elle va faire mieux que ça. A Elne, au milieu des vignes, il existe une belle bâtisse, un petit château appartenant à la famille Bardou (les propriétaires de l'entreprise de papier à rouler JO. Le toit tombe, la maison prend l'eau et il faut refaire toute l'électricité. Elisabeth ne se décourage pas, elle reçoit des dons de l'Europe entière et les locaux participent au travaux. Quelques jours après la fin des travaux, une première naissance. La petite Pépita voit le jour à la maternité d'Elne. Elisabeth et son équipe mettent tout en œuvre pour que tout se passe pour le mieux. Lorsque c'est possible, les femmes enceintes sont accueillies quatre semaines avant le terme pour pouvoir être à l'abri, au calme, loin des infections et du chaos qui règnent dans les camps. Et puis surtout, les femmes peuvent manger. Une bonne alimentation donnera du bon lait, et ce sera une bouche de moins à nourrir En plus, Elisabeth ne veut pas faire de la maternité un lieu austère, où les femmes ne sont que de passage, le temps d'accoucher. Elle ne lésine pas sur les moyens. Ateliers de chant, de lecture, de danse, travaux collectifs en plein air. Tout est mis en place pour que les femmes et les enfants ayant besoin de soins se retrouvent dans les meilleures conditions possibles. Les femmes se sentent bien, elles renomment les salles du petit château avec des noms espagnols pour se remémorer leur pays, la chambre des nouveaux-nés, c'est Madrid, les plus grands, Bercelona, Bilbao, ou encore Marruecos. De nombreux enfants se retrouvent à la maternité d'Elne dans des états critiques. Ils ont des escarres à force de passer des journées entières sur le sable ou à même le sol. Pas un matelas, pas une couverture... Ils sont très affaiblis et affamés. La maternité fonctionne grâce aux dons. Les sage-femmes, infirmières et Elisabeth ne sont pas rémunérées. Le personnel est nourri, logé, blanchi mais, il ne touche aucun argent. La plupart des dons sont alimentaires ou matériels, du lait, de la farine, des draps, des pansements, de la laine, des vêtements, mais aussi des trotteurs, des biberons, des couffins, des lits. Avec le début de la Seconde Guerre mondiale, l'Europe entière se retrouve dans le besoin , alors les gens vont de moins en moins donner et la maternité se retrouve rapidement en difficulté, elle ne pourra plus tenir longtemps sans les dons. Elisabeth Eidenbenz décide alors d'associer la maternité à la Croix-Rouge suisse. Mais en ce nouveau contexte de guerre, la politique de la maternité doit changer... La maternité doit être neutre et ne doit pas accueillir de réfugiés politiques, c'est à dire les Juifs, les Tsiganes et autres populations cruellement en danger à cette époque. Elisabeth signe, elle sait qu'elle contournera les règles. Elle va continuer à soigner toutes les femmes et tous les enfants qui ont besoin d'aide. 200 enfants juifs naissent dans la maternité. Officiellement... Les femmes juives allemandes réfugiées falsifient souvent leur identité, prennent des noms espagnols. La maternité ferme les yeux, il faut soigner tout le monde. Aussi de nombreux nouveaux-nés se retrouvent à porter des prénoms espagnols alors que les parents sont allemands. Pour l'illusion. Tout le monde vit avec la peur que la Gestapo fasse un contrôle. Finalement, les Allemands ferment la maternité en 1944. Elisabeth Eidenbenz rentre en Suisse, puis part en Autriche. Elle a reçu en 2002 la médaille des « Justes parmi les nations », et elle est décédée en 2011. Elisabeth Eidenbenz a sauvé 600 enfants. ******************* Voici quelques photos, gaies, parce que c'est une belle histoire. Peut-être vos parents, grands-parents sont sur ces photos, jetez un oeil !
LES PLUS BEAUX THÉATRES DE PARIS : Les plus beaux théâtres de Paris ... Paris et le théâtre, c’est une vraie histoire d’amour sans fin. Pour preuve, on ne dénombre pas moins de 137 théâtres dans la capitale ! Partons à la découverte de ces édifices historiques qui font la part belle au sixième art.
Le théâtre Mogador :
Construit en 1913, le théâtre Mogador a ouvert ses portes en 1919 tout proche des grands magasins du boulevard Haussmann. Cet énorme édifice est sublimé à l’intérieur par les magnifiques trois étages qui sont répartis au sein de la grande salle de la manière suivante : l’orchestre, la corbeille et le balcon. Imaginée sur le modèle du Palace, un Music-hall londonien, cette jolie salle à l’italienne peut contenir jusqu’à 1600 personnes. Ce n’est qu’à partir des années 1930 que la salle est consacrée aux opérettes et aux revues mais surtout aux comédies musicales à grand succès. Ce style deviendra d’ailleurs sa marque de fabrique. Théâtre Mogador – 25 rue Mogador, Paris IXème Métro : Ligne 12, Trinité d’Estienne d’Orves
Le théâtre Edouard VII :
C’est grâce au roi anglais Edouard VII, grand admirateur de Paris et de ses divertissements, que ce théâtre voit le jour. Soucieux d’apporter sa contribution à la vie parisienne, il décide d’offrir une salle de spectacle à la ville lumière. Elle est inaugurée avec une séance de cinéma en 1913. Puis elle fait la part belle au théâtre en s’appliquant, notamment, à faire découvrir des pièces anglo-saxonnes. Pourtant, c’est à Sacha Guitry que l’on doit son réel succès, avec la pièce « Je t’aime » par exemple. Pendant 10 ans, il va programmer ses plus grandes compositions ici et considérer cette salle comme sa deuxième maison. Le théâtre Edouard VII – 10 Edouard VII Square, Paris IXème Métro : Ligne 3, 7, 8 Opéra
Le Théâtre du Châtelet :
Le théâtre du Châtelet est inauguré en grande pompe le 19 août 1862 en présence de l’impératrice Eugénie. Cette salle à l’italienne compte cinq étages. À l’époque, il s’agit de la plus grande salle parisienne avec pas moins de 3000 places pour une scène de 24 mètres sur 35. Impressionnant ! De plus, l’œuvre possède des qualités acoustiques hors du commun. Au XXème siècle, la programmation s’ouvre à l’opérette, au ballet, à des concerts de musique classique et aussi de musique populaire. Bien qu’il fût centré un temps sur la danse puis sur l’opérette, les orchestres et les représentations musicales ont maintenant une place prépondérante au sein de l’édifice. Le Théâtre du Châtelet – 1 place du Châtelet Paris Ier Metro : Ligne 1,4,7,11,14 Châtelet
Le Théâtre du Palais-Royal :
Cette salle de spectacle parisienne donne sur les jardins du Palais-Royal, il s’agit certainement de l’une des plus vieilles salles de Paris. En effet, afin de lutter contre le monopole de L’hôtel de Bourgogne, en 1637, le cardinal Richelieu décide de faire élever un théâtre sur une des ailes du bâtiment du Palais Royal. Et le moins que l’on puisse dire c’est que ses premiers occupants sont prestigieux : la compagnie du Théâtre-Italien et Molière. Lully, après avoir collaboré avec Molière, récupère les lieux et en fait l’Académie Royale de musique. Il ne redeviendra un théâtre qu’en 1830. Le Théâtre Palais-Royal – 38 rue de Montpensier Paris Ier Métro : Ligne 1, 7 Palais Royal Musée du Louvre
Le Théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet :
Inauguré en 1864, le théâtre prend le nom de d’Athénée-Musical en hommage au lieu de rencontre des poètes dans la Grèce antique. Nous nous trouvons ici en face de l’une des plus belles salles à l’italienne de Paris. Comme bien d’autres, elle a également été consacrée à l’opérette à ses débuts. Aujourd’hui, la programmation est beaucoup plus diversifiée allant des concerts de musique classique aux grands textes théâtraux et lyriques. Le Théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet – 7 rue Boudreau Paris Métro : Ligne 3,7, 8 Opéra
La Comédie Française :
Cette institution culturelle française est fondée en 1680, avec comme devise : « Simul et Singulis » traduit littéralement par « être ensemble et être soi-même ». La Comédie Française est surement, l’un des (pour ne pas dire « le ») théâtres les plus connus de France. Il s’agit d’ailleurs du seul en France à bénéficier d’une troupe de comédiens permanents. Il faut dire que cette troupe est d’ordre royale, en effet, après la mort de Molière, trois troupes rivales que sont celle du Marais, celle de l’Hôtel de Bourgogne et celle du Palais Royale fusionnent sur ordre du roi afin de rendre les représentations des comédiens encore plus parfaites qu’elles ne l’étaient.
Voici la photographie d’une île de l’archipel Lofoten en Norvège. Le soleil qui se couche derrière les montages laisse place à de magnifiques couleurs et un décor onirique.
Ce splendide cliché a été pris dans l’archipel Lofoten, qui est situé au nord du cercle polaire, entre le Vestfjord et la mer de Norvège.
Les reliefs de ces îles sont escarpés et tombent directement dans la mer alors que les habitations et les routes sont quant à elles situées sur une étroite bande côtière.
L’archipel tire son nom de sa forme qui pourrait être comparé à un pied de lynx, ainsi : “lo” signifie “lynx” et “fotr” signifie “pied”. Les premières traces de civilisation recensées jusque là remontent il y a 6000 ans …
On suppose que les hommes y vivaient de la chasse ainsi que de la pêche. Mais c’est au cours de XIIème siècle que ces îles connurent un véritable essor avec le commerce de la morue séchée.
Cette photographie est magnifique, mêmes si les couleurs paraissent presque surréalistes.
Ce mélange entre ciel, mer et montagne nous fait rêver et nous procure une grande envie de voyage ! Au nord du cercle polaire, l’archipel norvégien offre un refuge grandiose !
Le site, ancré sur plusieurs péninsules, est surplombé par de hautes montagnes abruptes.
Une harmonie parfaite entre mer et montagne. Un endroit exceptionnel pour observer un coucher de soleil.
Château de la Roche-Courbon est situé dans la commune de Saint-Porchaireen Charente maritime. Bonjour à tous,voici quelques photos de notre visite de dimanche (28 janv.2018). Le site web du Château : http://www.larochecourbon.fr Particularité, c'est un château habité dont les jardins établis sur les marécages sont sur pilotis.
Même en janvier, avec une nature en sommeil, la visite vaut le détour. D'ailleurs c'est la magie des châteaux, qu'importe la saison, ils sont toujours enchanteurs. C'est une visite à faire, il y a un parking pour les camping-cars à l'entrée du Chateau. Plein de pelouses, c'est superbe. Et pour les services, il y a l'aire de St Porchère à quelques kilomètres, avec tous les service, café, restau, boulangeries (x2), Magasin d'alimentation et carburant...Vous pouvez visiter le parc pour 7 ou 8€ selon la saison mais aussi aller faire une longue balade vers les grottes creusées naturellement dans la falaise (10m) des anciennes berges. Habitées il y a déjà plus de 50.000 ans par l'homme de Neandertal.
Bonjour et merci pour toutes ces belles photos et un merci particulier à Mayyan1, qui m'a fait revivre, 60 ans en arrière avec ces vieux bus parisiens , je les ai utilisés!!!!! de temps en temps souvenir de jeunesse, ça fait du bien ! merci encore
CE BUS - Là PARLE D'UN TEMPS QUE LES MOINS DE 50 ANS NE PEUVENT PAS CONNAÎTRE. Publié par Tina Aujourd'hui, On verbalise, on appelle la DASS, on met en quarantaine, on désinfecte,on renvoie le receveur,...,et on en tient une couche de plus en plus épaisse!!!
Pourtant, on ne présente plus le fameux Renault TN, "MONUMENT INDUSTRIEL". Sa longue carrière (1931-1971) a fait de cet imposant véhicule (9,50 mètres), reconnaissable entre tous avec sa face avant dite « nez de cochon », ses énormes roues, sa livrée vert et crème, mais aussi sa fameuse plate-forme arrière, incarne l’autobus parisien. Je l'ai utilisé quelquefois en 1962/65, (RENAULT TN disparus définitivement en 1971).Il n'y en avait déjà plus beaucoup, entre porte d'Orléans et Montrouge, c'était le bonheur ! Il y avait un Machiniste (chauffeur) avec des biceps d’athlète pour manipuler l’énorme volant et tous ces leviers sans assistance mécanique. Mais le ''TOP'' c'était l'arrière avec sa plateforme en plein air, à la fois l’entrée, la sortie et le balcon du bus parisien. Grâce à elle, les plus hardis descendaient et montaient en marche . Lorsque le temps est clément, il n’y a pas de lieu d’observation de Paris plus agréable. Sur cette terrasse, réservée aux seules lignes parcourant la capitale intra-muros, le Receveur règne en maître. Sur sa poitrine flotte la «moulinette», la petite machine qui oblitère (à l’époque, on ne parlait pas de composter) les tickets des voyageurs en émettant un petit bruit sec. Lorsque tout le monde est monté, il actionne avec autorité la chaînette qui déclenche le signal du départ, une clochette a à l’intention du Machiniste. Relégué à l’extérieur, sous la «casquette» formée par l’avancée du toit, il transpire l’été et grelotte l’hiver. Elles en ont vu les plateformes remplies comme un œuf, avec des amoureux...
Des engueulades...
Mais la meilleure annecdote, devait arriver en mars 1962, ou un producteur de lait Breton de Kerbanel en ROSTRENEN , tomba en panne avec sa bétaillère porte Maillot, sur la route le menant au concours d'élevage agricole bovin ( CGA) de la ''semaine de l'agriculture à Paris'', ex Salon de l'agriculture créé en 1964, avec Marguerite à l'intérieur, magnifique pie noir de la lande, amoureusement étrillée.
Aucun Transporteur n'étant disponible, il rejoignit la Porte de Versailles en bus à plateforme Renault TN... Le chargement de Marguerite au bas des Champs-Élysées (on aperçoit l'Obélisque de la Concorde au loin)... Une petite poussette au c.. et roule Marguerite... pas du tout impressionnée...c'est pas maintenant qu'on ferait çà... J'ai fait cet article avec des éléments qui m'ont été adressés par des amis(e), depuis des "lustres".
Ce fut un beau mariage ... Que du bonheur Ce couple a organisé le meilleur des mariages, avec des chiots abandonnés à la place de bouquets ... Pour le plus beau jour de leur vie, Sarah et Matt Crain ont décidé de partager un peu de leur bonheur avec des chiots récemment laissés pour compte dans la rue. Ainsi, les demoiselles d'honneur et les témoins ont laissé tomber les bouquets de fleurs au profit de huit adorables boules de poils. Il faut dire que Sarah et Matt sont adorent les animaux. Mieux encore, Sarah elle-même est volontaire pour l'association Pitties.Love.Peace basée à Elizabethtown, en Pennsylvannie. Comme beaucoup d'autres, cette association se consacre à recueillir et placer dans des familles d'accueil des chiens (notamment des pittbulls) abandonnés. Le couple participe donc activement à ce projet et possède déjà trois chiens prédécemment recueillis par l'association, et sert également de famille d'accueil pour certains animaux en attente d'adoption. En véritables amoureux des animaux, Sarah et Matt ont décidé de troquer les bouquets de fleurs pour huit jeunes chiots ! Ceux-ci ont récemment été recueillis par l'association où se porte volontaire la jeune mariée. Pour Sarah, le message à faire passer est clair : "N'achetez pas vos chiens. Les chiots que vous voyez dans nos photographies sont aussi bien que ceux que vous pouvez trouver dans n'importe quelle animalerie". En parlant d'eux, les chiots sur les photos font partie d'une portée secourue de la rue alors qu'ils étaient âgés de moins d'une semaine. Ils ont désormais huit semaines et sont très bien portants, adorables et curieux comme il faut. Ils sont actuellement tous en famille d'accueil et n'attendent que d'être adoptés.
La jeune mariée a quant à elle choisi de "promouvoir" un autre chiot, un bâtard pitbull âgé de neuf semaines qui a été retrouvé dans les rues de Brooklyn à New York, et baptisé "Biggie Smalls". "La présence des chiots a fait que les photos étaient encore plus naturelles, joyeuses et insouciantes..." Sarah en a profité pour rappeler : "N'achetez pas vos chiens. Les chiots que vous voyez dans nos photographies sont aussi bien que ceux que vous pouvez trouver dans n'importe quelle animalerie"
New York...Parmi Les Plus Beaux Endroits À Voir & À Visiter... Les attractions touristiques incontournables de New York que vous devrez absolument visiter lors de votre séjour dans la Grosse Pomme... Sélection Du Reader's Digest... L’Empire State Building...L’une Des Meilleures Attractions Touristiques De New York...
L’Empire State Building est le plus haut et le plus célèbre gratte-ciel de New York, faisant de ce dernier l’une des plus importantes attractions touristiques. Depuis sa construction en 1931, plus de 120 millions de visiteurs, y compris le groupe de rock Kiss et la reine Elizabeth II, ont embrassé la ville du regard du haut de son observatoire. Dessiné par le cabinet d’architectes Shreve, Lamb et Harmon dans les prospères années 1920, ce classique d’art déco, dont la construction a été achevée au cours de la dépression de 1929, fut en grande partie vacant pendant plusieurs années, donnant lieu à son sobriquet d’« Empty State Building ». Il a été mis en scène dans de nombreux films. Quand King Kong est revenu en 1983 pour célébrer le 50e anniversaire du film classique, les admirateurs du monde entier ont pu célébrer la fameuse escalade grâce à un gigantesque gorille gonflable placé sur l’immeuble. La 5e Avenue, une attraction touristique à ne pas manquer à New York... La 5e Avenue, dans le quartier Midtown, est la plus connue de New York, oùon trouve 3 des plus célèbres bâtiments de la ville. Dans les années 1800, l’attraction touristique new-yorkaise était bordée de maisons appartenant à des familles influentes, mais dans les années 1900, quand les détaillants se déplacèrent vers le nord, la haute société a migré vers les quartiers résidentiels. Toutefois, on peut encore y voir un des hôtels particuliers de l’époque, l’édifice Cartier, qu’on dit avoir été acquis en 1917 par le banquier Morton F. Plant en échange d’un collier de perles. Bien que des entreprises commerciales partagent désormais l’avenue, elle demeure un paradis pour les produits de luxe. La 5e Avenue est à son meilleur le dimanche de Pâques, alors que le trafic est interdit et que la rue est bondée de New-Yorkais portant des chapeaux recherchés. Le Rockefeller Center, Une Attraction Touristique Incontournable...La grosse Pomme. La ville Qui Ne Dort Jamais. Gotham. New York City
Une ville dans la ville et un site historique national : c’est le plus grand complexe privé au monde. Entamé dans les années 1930, ce fut le premier projet commercial à intégrer des jardins, des restaurants et des boutiques jusqu’à des tours à bureaux.Attraction touristique par excellence, le Rockefeller Center est la plaque tournante du quartier Midtown de New York, grouillant d’activités jour et nuit. Le nombre de bâtiments est passé à 19, bien que les nouveaux bâtiments ne correspondent pas à l’élégance art déco des 14 structures originales. Plus de 100 œuvres d’art se trouvent dans le complexe, y compris une grande fresque dans chaque bâtiment. Ce complexe, toujours en expansion, contient l’une des collections d’art public les plus remarquables en Amérique. La Statue De La Liberté, L’iconique attraction Touristique...La figure emblématique du port de New York, dont le nom officiel est « La Liberté éclairant le monde », est une promesse de liberté pour des millions de personnes depuis son inauguration en 1886 par le président Grover Cleveland.
La statue, un cadeau amical de la France à l’occasion du 100e anniversaire des États-Unis en 1876, a été conçue par le sculpteur français Frédéric-Auguste Bartholdi, qui a consacré 21 ans à ce projet. Des collectes de fonds roulant au ralenti, des deux côtés de l’Atlantique, ont retardé de 10 ans son dévoilement. Mais il n’y eut aucun problème quant au financement de sa restauration, d’une valeur de 100 millions de dollars, lors de son 100e anniversaire. À l’issue des rénovations, le 3 juillet 1986 fut l’occasion d’un des plus grands feux d’artifice jamais vus aux États-Unis. Le Musée De L’immigration D’Ellis Island...
Ellis Island est le symbole de l’histoire des immigrants en Amérique. De 1892 à 1954, ce fut le point de chute de plus de 12 millions de personnes qui fuyaient la persécution religieuse, la pauvreté, ou des troubles dans leur pays d’origine. Leurs descendants, plus de 100 millions de personnes, comptent pour près de 40 % de la population actuelle. Les dossiers d’immigration des passagers de première et de deuxième classe étaient traités à bord du navire. Par contre, les pauvres voyageant dans l’entrepont étaient débarqués sur l’île surpeuplée pour subir des examens médicaux et juridiques. C’était une perspective effrayante, après un voyage épuisant vers un pays où peu de nouveaux arrivants étaient en mesure de parler la langue. Il pouvait y arriver jusqu’à 5000 immigrants par jour. Non seulement le musée relate-t-il leur expérience sur l’île, mais il brosse également le portrait de l’immigration globale en Amérique... Times Square & Le Quartier Des Théâtres...
Reconnu comme le « carrefour du monde », Times Square est l’intersection la plus célèbre de New York et le symbole du quartier des théâtres animés environnants, incluant Broadway. Il s’appelait Longacre Square jusqu’en 1904, alors que le New York Times yconstruisit une tour de 25 étages. Son inauguration fut marquée par desfeux d’artifice, un jour du Nouvel An, et la tradition continue aujourd’hui. De nos jours, une boule de cristal géante, qui descend du bâtiment à minuit pour marquer la nouvelle année, est acclamée par des millions de personnes assemblées sur la place. La réputation de Times Square a été entachée lorsque la 42e rue adjacente est devenue minable dans les années 1970. Les années 1990 ont vu fermer les peep-shows et les salles de cinéma classées X. Ainsi, grâce à des efforts concertés, tant du public que du privé, la rue et le quartier ont été transformés. Central Park...Un Site Incontournable De New York City...La « cour arrière » de New York, un espace vert de 843 acres (3.4 km2), procure la sérénité et des loisirs à plus de deux millions de visiteurs chaque année.
Conçu par Frederick Law Olmstead et Calvert Vaux en 1858, l’aménagement du Central Park a duré 16 ans et a nécessité la plantation de 500 000 arbres et arbustes... Le transport de vastes quantités de terre et de pierres pour créer des collines, des lacs et des prairies, et la construction de plus de 30 ponts et arches.
Le Metropolitan Museum Of Art, L’un Des Meilleurs Sites Touristiques De New York...
L’un des grands musées d’art au monde, le Metropolitan « le Met », est une véritable collection de musées, couvrant 5000 ans de culture de toutes les parties du globe. Chacune de ses galeries spécialisées renferme quantité de trésors. Il fut fondé en 1870 par un groupe qui voulait créer de grandes institutions artistiques en Amérique et qui a commencé avec 3 collections privées européennes regroupant 174 tableaux. Le nombre actuel totalise plus de deux millions d’œuvres. Le bâtiment néo-gothique original dessiné en 1880 par Calvert Vaux et Jacob Wrey Mould a été agrandi plusieurs fois. Les ajouts récents comprennent des jardins avec vue surplombant Central Park. Le musée Guggenheim...Un Musée New-Yorkais À Couper Le Souffle... L’une des grandes réalisations architecturales du 20e siècle, la spirale à elle seule, conçue en 1959 par Frank Lloyd Wright, fait de ce musée un incontournable. Le cœur de la collection d’art abstrait de Solomon Guggenheim a été enrichi par des dons provenant de plusieurs collections importantes.
Le musée possède une multitude d’œuvres de Brancusi, Calder, Klee, Chagall, Miro, Léger, Mondrian, Picasso, Oldenburg et Rauschenberg. Seule une petite partie, renouvelée périodiquement, est en montre, puisque la galerie principale est utilisée pour des expositions temporaires. Des œuvres de la collection Thannhauser, qui comprend des chefs-d’œuvre de Cézanne, Gauguin, Van Gogh et Picasso, sont généralement à l’affiche. Le Guggenheim possède la plus grande collection d’œuvres de Kandinsky aux États-Unis. La Galerie Kandinsky présente une sélection d’œuvres en rotation.
L’American Museum Of Natural History...L’un Des Plus Beaux Musées De New York... Peu d’enfants de la ville ont grandi sans visiter les dinosaures, les dioramas grandeur nature de la vie animale et autres merveilles de la nature dans ce populaire musée fréquenté par plus de 5 millions de personnes chaque année. Depuis sa fondation en 1869, l’American Museum of Natural History s’est agrandi jusqu’à compter 46 salles d’expositions permanentes.... Le musée couvre 4 pâtés de maisons, réparties en 25 bâtiments raccordés entre eux. Le musée possède 32 millions de spécimens et d’objets culturels, plusieurs étant uniques au monde.
Les espaces d’exposition les plus récents, tels que le Hall of Biodiversity, les Fossil Halls, et le Rose Center, présentent aux visiteurs des recherches constamment mises à jour par le biais d’installations multimédias. Le Museum Of Modern Art (MOMA), Une Institution New-Yorkaise Incontournable... Les amateurs d’art contemporain seront ravis au Museum of Modern Art de New York. Le musée conserve l’une des plus importantes collections d’art moderne et contemporain du monde et est la troisième institution muséale la plus visitée aux États-Unis. Il est possible d’y admirer des toiles diverses, des sculptures, mais aussi des photos, des vidéos et des oeuvres de design. On peut aussi visionner des films d’art moderne. La collection, toujours grandissante, compte à ce jour plus de 200 000 oeuvres de partout à travers le monde et qui datent d’aussi loin que 150 ans.
Le musée, inauguré en 1929, se trouve dans le quartier Midtown, au sud de Central Park à Manhattan. Le musée a doublé sa superficie d’exposition en 2004, laissant place à encore plus d’artistes et d’oeuvres à découvrir. Pour une visite en ordre chronologique des époques artistiques, commencez par les étages supérieurs et descendez. Pensez aussi à vous procurer un billet coupe-file pour éviter les longues heures d’attentes à l’entrée. Le Quartier Des Finances & Le Mémorial Du 11 Septembre... New York est évidemment célèbre pour son « financial district », lieu où la bourse s’emballe et les affaires s’animent. Le quartier est en effet le coeur de la ville, là où les habits et tailleurs des gens d’affaires côtoient les touristes curieux. Les films d’Hollywood ont rendu la célèbre rue « Wall Street » mythique avec ses trottoirs qui grouillent de monde et les voitures de luxe qui klaxonnent.
Le Mémorial du 11 septembre, à « Ground Zero », est certainement le site le plus visité du quartier des finances. Là où se trouvaient avant les célèbres tours jumelles se trouve maintenant un site honorifique pour les victimes des attaques du 11 septembre 2001. On peut y saisir toute l’ampleur de la tragédie et rendre hommage aux victimes des attentats... Dont les noms sont inscrit sur les murs en bronze de deux immenses bassins creusés en souvenir des tours effondrées.
Notre couleur préférée peut donner des informations sur notre type de personnalité
Internet fourmille de tests de toutes sortes sur les sujets les plus variés.
Des tests qui vous révèlent qui vous étiez par le passé, à quel artiste vous ressemblez, etc.
Certains d'entre eux, conçus par des experts, sont moins absurdes que les autres.
L'un de ces tests a d'ailleurs eu un certain succès car il se base sur la couleur. En gros, il vous révèle des choses sur vous d'après votre couleur préférée.
1. Le vert.
Personnalité : avoir le vert comme couleur préférée montre que cette personne est toujours prête à aider un ami dans le besoin.
Sa plus grande qualité estsa capacité à se mettre à la place des autres.
2. Le noir.
Personnalité : Celui qui préfère le noir est connu pour sa loyauté et son engagementdans toute relation.
La discipline est également l'une de ses grandes qualités. En revanche, il prend souvent des décisions en se basant plus sur ses sentiments que sur la logique.
3. Le blanc.
Personnalité : les amoureux de cette couleur sont des gens ouverts aux nouvelles expériences.
C'est pourquoi ils sont toujours partants pour de nouvelles aventures et de nouvelles rencontres, aussi variées que possible.
Mais ce caractère peut en fin de compte devenir un problème. L'idée est donc de modérer quelque peu ses attentes.
4. Le rouge.
Personnalité : si vous êtes attiré par cette couleur, cela signifie que vous aimez l'activité et que vous n'aimez pas faire les choses à moitié. Pour cette raison, les amoureux du rouge sont généralement des gens éclairés et extrêmement bien organisés.
En conséquence, leur entourage les respecte et écoute toujours ce qu'ils ont à dire.
5. Le jaune.
Personnalité : la préférence pour le jaune signifie que cette personne est optimiste et accepte les gens comme ils sont.
Pour elle, le plus important est que son prochain se sente bien. Elle est également capable d'aider les autres sans jamais rien demander en retour.
6. Le rose.
Personnalité : Ceux qui préfèrent le rose cachent une grande force derrière leur apparence angélique.
7. L'or et le bronze.
Personnalité : l'attraction pour l'or est caractéristique des gens qui ont de grands rêves et de grandes ambitions, et profitent de la vie au maximum. Mais àcause de cela, ils finissent toujours submergés par un agenda trop plein.
8. L'argent.
Personnalité : les amateurs de cette couleur cherchent toujours à mieux comprendre leurs sentiments les plus profonds.
9. Le bleu.
Personnalité : ceux qui préfèrent le bleu sont souvent optimistes et ont une attitude positive concernant leur entourage.
Mais cette caractéristique peut être dangereuse lorsqu'il s'agit de relation amoureuse. En effet, une vision constamment positive peut vous aveugler longtemps sur les défauts de l'autre.
JULIEN DUPRÉ
1851-1910
Julien Dupré (1851-1910) est un peintre français réaliste qui se situe dans la
filiation de l'école de Barbizon et plus particulièrement de
Jean-François Millet (1814-1875) et de Jules Breton (1827-1906). Il se
spécialise dans la peinture de la ruralité et en particulier dans la
peinture animalière, dont il est l'un des meilleurs représentants de son
époque.
Il naît à Paris en 1851 dans une famille aisée. Son père, Jean-Marie Dupré
est bijoutier et joailler, rue du Paradis à Paris. Julien se dirige
très jeune vers la peinture en étudiant dans les ateliers de Désiré
François Laugée (1823-1896), peintre et poète, dont il épousera la fille
aînée Marie. Introduit par son beau-père dans le milieu artistique,
Dupré expose régulièrement au Salon de Paris de 1876 à 1910 et obtient
de nombreuses récompenses. Il travaille à la fois dans son atelier
parisien du Boulevard Flandrin, dans le 16e arrondissement, et en pleine
campagne, conformément aux préceptes de l'Ecole de Barbizon.
Julien Dupré et Marie Laugée (1851-1937) ont eu trois enfants, Thérèse, Jacques et Madeleine. Thérèse devint également peintre
Eloigné de l'académisme par la thématique de son œuvre, Julien Dupré ne se
laissera pas vraiment influencer par l'impressionnisme, la grande
innovation artistique de l'époque. La critique le lui fera parfois
remarquer. Ainsi, pour le salon de 1886, un critique observe : « M.
Julien Dupré est un campagnard assez robuste. Il a une manière large et
résolue qui refuse obstinément de sacrifier à la maladie nouvelle : il
n'estompe ni les formes ni les tons dans la buée grise dont on nous
vente les séductions. Il croit que la prairie est verte, et il a le
courage de le dire. » Voilà en une phrase une franche approbation du
naturalisme et une totale incompréhension de l'impressionnisme.
Guy de Maupassant lui-même mettra en évidence, avec ironie, les nouveaux
thèmes ruraux : « Chaque fois que je retourne au Salon, un étonnement me
saisit devant les paysanneries. Et ils sont innombrables aujourd'hui,
les paysans. Ils ont remplacé les Vénus et les Amours, que seul M.
Bouguereau continue à préparer avec de la crème rose. » William
Bouguereau (1825-1905) était l'un des plus célèbres peintres français du
courant académique.
Au-delà des critiques de l'époque, laudatives ou légèrement dépréciatives, il nous faut bien reconnaître aujourd'hui que
les tableaux de Julien Dupré ont une puissance expressive peu commune.
Ils constituent une observation minutieuse et juste de la paysannerie,
qui représentait démographiquement l'essentiel de la société du 19e
siècle. Le traitement de la lumière et de la couleur est à l'égal de
celui de Millet, les mouvements des personnages sont remarquablement
étudiés. Dupré ne s'est pas trompé en choisissant ses thèmes : il y
excelle.
Aujourd'hui, je vous raconte une jolie
histoire dans un contexte triste et sombre, celui de la guerre d'Espagne
et de la Seconde Guerre mondiale. La jolie histoire, c'est celle
d'Elisabeth Eidenbenz, une jeune femme qui va donner de son temps pour
aider les jeunes mères des camps de réfugiés du Roussillon.
Elisabeth Eidenbenz est née en 1913, en Suisse, elle devient institutrice et
exerce dans son pays et au Danemark. Face à la monté du danger et de la
précarité liés à la guerre civile auxquels sont confrontés les enfants
en Espagne, Elisabeth décide de rejoindre l'Asociación de Ayuda a los
Niños en Guerra (Association d'aide aux enfants en guerre). En 1937, la
jeune femme arrive à Madrid, elle va venir en aide à de nombreuses
familles, et surtout aux enfants. A la fin de son service, elle rentre
en Suisse, mais ne va pas tarder à repartir
En effet, en février 1939, c'est la retirada. En gros, c'est le retrait des troupes
républicaines. 450 000 Espagnols fuient le nouveau régime de Franco qui
est loin d'être super rigolo, fuient la guerre, la douleur et la mort.
En France, il faut s'organiser. J'veux dire 450 000 personnes, c'est
beaucoup. Et c'est compliqué. En mars 1939, il y a 264 000 réfugiés
espagnols dans les Pyrénées-Orientales (Perpignan et alentours, pour
ceux qui ne connaissent pas les départements)il , faut savoir qu'à
l'époque, la population départementale s'élève à 240 000 personnes. Donc
le nombre de personnes a doublé. Comment faire pour accueillir tout le
monde dans des conditions décentes ? Les nourrir ? Les aider
Argelès-sur-mer accueille plus de 40 000 personnes, il y en a 70 000 au Barcarès, 30
000 à Saint-Cyprien... Dans ces camps, la mortalité est très
importante... 15 000 personnes décèdent entre janvier et juillet. Quand
les enfants ne meurent pas de faim, ils meurent de dysenterie. Les
nouveaux-nés ne tiennent que quelques jours. Les conditions d'hygiène
sont déplorables. C'est bien simple, les réfugiés vivent sur le sable,
ou la terre, dans le froid. Ils tombent malades, genre : diphtérie,
typhoïde, rougeole, oreillons, coqueluche.
Alors Elisabeth Eidenbenz quitte la Suisse et arrive dans le sud de la France. A Brouilla, puis à Elne.
La maternité d'Elisabeth Eidenbenz
Au camp de Brouilla, Elisabeth assiste à des accouchements à même le sol,
sur le sable, dans des écuries, au milieu de personnes malades, aussi
décide-t-elle de mettre en place une maternité de fortune. Mais elle va
faire mieux que ça. A Elne, au milieu des vignes, il existe une belle
bâtisse, un petit château appartenant à la famille Bardou (les
propriétaires de l'entreprise de papier à rouler JO
maison prend l'eau et il faut refaire toute l'électricité. Elisabeth ne
se décourage pas, elle reçoit des dons de l'Europe entière et les
locaux participent au travaux.
Quelques jours après la fin des travaux, une première naissance. La petite Pépita voit le jour à la maternité
pour le mieux. Lorsque c'est possible, les femmes enceintes sont
accueillies quatre semaines avant le terme pour pouvoir être à l'abri,
au calme, loin des infections et du chaos qui règnent dans les camps. Et
puis surtout, les femmes peuvent manger. Une bonne alimentation donnera
du bon lait, et ce sera une bouche de moins à nourrir
En plus, Elisabeth ne veut pas faire de la maternité un lieu austère, où les
femmes ne sont que de passage, le temps d'accoucher. Elle ne lésine pas
sur les moyens. Ateliers de chant, de lecture, de danse, travaux
collectifs en plein air. Tout est mis en place pour que les femmes et
les enfants ayant besoin de soins se retrouvent dans les meilleures
conditions possibles. Les femmes se sentent bien, elles renomment les
salles du petit château avec des noms espagnols pour se remémorer leur
pays, la chambre des nouveaux-nés, c'est Madrid, les plus grands,
Bercelona, Bilbao, ou encore Marruecos.
De nombreux enfants se retrouvent à la maternité d'Elne dans des états
critiques. Ils ont des escarres à force de passer des journées entières
sur le sable ou à même le sol. Pas un matelas, pas une couverture... Ils
sont très affaiblis et affamés. La maternité fonctionne grâce aux dons.
Les sage-femmes, infirmières et Elisabeth ne sont pas rémunérées. Le
personnel est nourri, logé, blanchi mais, il ne touche aucun argent. La
plupart des dons sont alimentaires ou matériels, du lait, de la farine,
des draps, des pansements, de la laine, des vêtements, mais aussi des
trotteurs, des biberons, des couffins, des lits. Avec le début de la
Seconde Guerre mondiale, l'Europe entière se retrouve dans le besoin ,
alors les gens vont de moins en moins donner et la maternité se retrouve
rapidement en difficulté, elle ne pourra plus tenir longtemps sans les
dons.
Elisabeth Eidenbenz décide alors d'associer la maternité à la Croix-Rouge suisse. Mais en ce nouveau contexte de guerre, la politique
de la maternité doit changer... La maternité doit être neutre et ne doit
pas accueillir de réfugiés politiques, c'est à dire les Juifs, les
Tsiganes et autres populations cruellement en danger à cette époque.
Elisabeth signe, elle sait qu'elle contournera les règles. Elle va
continuer à soigner toutes les femmes et tous les enfants qui ont besoin
d'aide. 200 enfants juifs naissent dans la maternité. Officiellement...
Les femmes juives allemandes réfugiées falsifient souvent leur
identité, prennent des noms espagnols. La maternité ferme les yeux, il
faut soigner tout le monde. Aussi de nombreux nouveaux-nés se retrouvent
à porter des prénoms espagnols alors que les parents sont allemands.
Pour l'illusion. Tout le monde vit avec la peur que la Gestapo fasse un
contrôle. Finalement, les Allemands ferment la maternité en 1944.
Elisabeth Eidenbenz rentre en Suisse, puis part en Autriche. Elle a reçu en 2002
la médaille des « Justes parmi les nations », et elle est décédée en
2011. Elisabeth Eidenbenz a sauvé 600 enfants.
*******************
Voici quelques photos, gaies, parce que c'est une belle histoire. Peut-être
vos parents, grands-parents sont sur ces photos, jetez un oeil !
:
Les plus beaux théâtres de Paris ...
Paris et le théâtre, c’est une vraie histoire d’amour sans fin. Pour preuve,
on ne dénombre pas moins de 137 théâtres dans la capitale ! Partons à la
découverte de ces édifices historiques qui font la part belle
au sixième art.
Le théâtre Mogador :
Construit en 1913, le théâtre Mogador a ouvert ses
portes en 1919 tout proche des grands magasins du boulevard Haussmann.
Cet énorme édifice est sublimé à l’intérieur par les magnifiques trois
étages qui sont répartis au sein de la grande salle de la manière
suivante : l’orchestre, la corbeille et le balcon. Imaginée sur le
modèle du Palace, un Music-hall londonien, cette jolie salle à
l’italienne peut contenir jusqu’à 1600 personnes. Ce n’est qu’à partir
des années 1930 que la salle est consacrée aux opérettes et
aux revues mais surtout aux comédies musicales à grand succès. Ce style
deviendra d’ailleurs sa marque de fabrique.
Théâtre Mogador – 25 rue Mogador, Paris IXème
Métro : Ligne 12, Trinité d’Estienne d’Orves
Le théâtre Edouard VII :
C’est grâce au roi anglais Edouard VII, grand
admirateur de Paris et de ses divertissements, que ce théâtre voit le
jour. Soucieux d’apporter sa contribution à la vie parisienne, il
décide d’offrir une salle de spectacle à la ville lumière. Elle est
inaugurée avec une séance de cinéma en 1913. Puis elle fait la part
belle au théâtre en s’appliquant, notamment, à faire découvrir des
pièces anglo-saxonnes. Pourtant, c’est à Sacha Guitry que l’on doit son
réel succès, avec la pièce « Je t’aime » par exemple. Pendant 10 ans, il
va programmer ses plus grandes compositions ici et considérer cette
salle comme sa deuxième maison.
Le théâtre Edouard VII – 10 Edouard VII Square, Paris IXème
Métro : Ligne 3, 7, 8 Opéra
Le Théâtre du Châtelet :
Le théâtre du Châtelet est inauguré en
grande pompe le 19 août 1862 en présence de l’impératrice Eugénie. Cette
salle à l’italienne compte cinq étages. À l’époque, il s’agit de
la plus grande salle parisienne avec pas moins de 3000 places pour une
scène de 24 mètres sur 35. Impressionnant ! De plus, l’œuvre possède
des qualités acoustiques hors du commun. Au XXème siècle, la
programmation s’ouvre à l’opérette, au ballet, à des concerts de musique
classique et aussi de musique populaire. Bien qu’il fût centré un temps
sur la danse puis sur l’opérette, les orchestres et les représentations
musicales ont maintenant une place prépondérante au sein de l’édifice.
Le Théâtre du Châtelet – 1 place du Châtelet Paris Ier
Metro : Ligne 1,4,7,11,14 Châtelet
Le Théâtre du Palais-Royal :
Cette salle de spectacle parisienne donne sur
les jardins du Palais-Royal, il s’agit certainement de l’une des plus
vieilles salles de Paris. En effet, afin de lutter contre le monopole de
L’hôtel de Bourgogne, en 1637, le cardinal Richelieu décide de faire
élever un théâtre sur une des ailes du bâtiment du Palais Royal. Et le
moins que l’on puisse dire c’est que ses premiers occupants
sont prestigieux : la compagnie du Théâtre-Italien et Molière. Lully,
après avoir collaboré avec Molière, récupère les lieux et en fait
l’Académie Royale de musique. Il ne redeviendra un théâtre qu’en 1830.
Le Théâtre Palais-Royal – 38 rue de Montpensier Paris Ier
Métro : Ligne 1, 7 Palais Royal Musée du Louvre
Le Théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet :
Inauguré en 1864, le théâtre prend le nom de d’Athénée-Musical en
hommage au lieu de rencontre des poètes dans la Grèce antique. Nous
nous trouvons ici en face de l’une des plus belles salles à l’italienne
de Paris. Comme bien d’autres, elle a également été consacrée
à l’opérette à ses débuts. Aujourd’hui, la programmation est beaucoup
plus diversifiée allant des concerts de musique classique aux grands
textes théâtraux et lyriques.
Le Théâtre de l’Athénée-Louis-Jouvet – 7 rue Boudreau Paris
Métro : Ligne 3,7, 8 Opéra
La Comédie Française :
Cette institution culturelle française est
fondée en 1680, avec comme devise : « Simul et Singulis » traduit
littéralement par « être ensemble et être soi-même ». La Comédie
Française est surement, l’un des (pour ne pas dire « le ») théâtres
les plus connus de France. Il s’agit d’ailleurs du seul en France à
bénéficier d’une troupe de comédiens permanents. Il faut dire que cette
troupe est d’ordre royale, en effet, après la mort de Molière, trois
troupes rivales que sont celle du Marais, celle de l’Hôtel de
Bourgogne et celle du Palais Royale fusionnent sur ordre du roi afin de
rendre les représentations des comédiens encore plus parfaites qu’elles
ne l’étaient.
Norvège ... Coucher de soleil sur l'archipel de Lofoten !
Voici la photographie d’une île de l’archipel Lofoten en Norvège. Le soleil qui se couche derrière les montages laisse place à de magnifiques couleurs et un décor onirique.
Ce splendide cliché a été pris
dans l’archipel Lofoten, qui est situé au nord du cercle polaire, entre
le Vestfjord et la mer de Norvège.
Les reliefs de ces îles sont
escarpés et tombent directement dans la mer alors que les habitations et
les routes sont quant à elles situées sur une étroite bande côtière.
L’archipel tire son nom de sa
forme qui pourrait être comparé à un pied de lynx, ainsi : “lo” signifie
“lynx” et “fotr” signifie “pied”. Les premières traces de civilisation
recensées jusque là remontent il y a 6000 ans …
On suppose que les hommes y vivaient de
la chasse ainsi que de la pêche. Mais c’est au cours de XIIème siècle
que ces îles connurent un véritable essor avec le commerce de la morue
séchée.
Cette photographie est magnifique, mêmes si les
couleurs paraissent presque surréalistes.
Ce mélange entre ciel, mer et montagne nous fait rêver et nous procure une grande envie de voyage ! Au nord du cercle polaire, l’archipel norvégien offre un refuge grandiose !
Le site, ancré sur plusieurs péninsules, est
surplombé par de hautes montagnes abruptes.
Une harmonie parfaite entre mer et montagne. Un
endroit exceptionnel pour observer un coucher de soleil.
Château de la Roche-Courbon est situé dans la commune de Saint-Porchaire en Charente maritime.
Bonjour à tous,voici quelques photos de notre visite de dimanche (28 janv.2018).
Le site web du Château : http://www.larochecourbon.fr
Particularité, c'est un château habité dont les jardins établis sur les marécages sont sur pilotis.
Même en janvier, avec une nature en sommeil, la visite vaut le détour. D'ailleurs c'est la magie des châteaux, qu'importe la saison, ils sont toujours enchanteurs.
C'est une visite à faire, il y a un parking pour les camping-cars à l'entrée du Chateau. Plein de pelouses, c'est superbe.
Et pour les services, il y a l'aire de St Porchère à quelques kilomètres, avec tous les service, café, restau, boulangeries (x2),
Magasin d'alimentation et carburant...Vous pouvez visiter le parc pour 7 ou 8€ selon la saison mais aussi aller faire une longue balade vers les grottes creusées naturellement dans la falaise (10m) des anciennes berges. Habitées il y a déjà plus de 50.000 ans par l'homme de Neandertal.
Plus d'infos ici :Clic........ http://larochecourbon.fr/fr/prehistoire-charente-maritime
Bonne visite en Saintonge,
Publié par
Tina
Aujourd'hui, On verbalise, on appelle la DASS, on met en quarantaine, on désinfecte,on renvoie le receveur,...,et on en tient une couche de plus en plus épaisse!!!
Pourtant, on ne présente plus le fameux Renault TN, "MONUMENT INDUSTRIEL".
Sa longue carrière (1931-1971) a fait de cet imposant véhicule (9,50 mètres), reconnaissable entre tous avec sa face avant dite « nez de cochon », ses énormes roues, sa livrée vert et crème, mais aussi sa fameuse plate-forme arrière, incarne l’autobus parisien.
Je l'ai utilisé quelquefois en 1962/65, (RENAULT TN disparus définitivement en 1971).Il n'y en avait déjà plus beaucoup, entre porte d'Orléans et Montrouge, c'était le bonheur !
Il y avait un Machiniste (chauffeur) avec des biceps d’athlète pour manipuler l’énorme volant et tous ces leviers sans assistance mécanique.
Mais le ''TOP'' c'était l'arrière avec sa plateforme en plein air, à la fois l’entrée, la sortie et le balcon du bus parisien.
Grâce à elle, les plus hardis descendaient et montaient en marche .
Lorsque le temps est clément, il n’y a pas de lieu d’observation de Paris plus agréable.
Sur cette terrasse, réservée aux seules lignes parcourant la capitale intra-muros, le Receveur règne en maître.
Sur sa poitrine flotte la «moulinette», la petite machine qui oblitère (à l’époque, on ne parlait pas de composter) les tickets des voyageurs en émettant un petit bruit sec.
Lorsque tout le monde est monté, il actionne avec autorité la chaînette qui déclenche le signal du départ, une clochette a à l’intention du Machiniste.
Relégué à l’extérieur, sous la «casquette» formée par l’avancée du toit, il transpire l’été et grelotte l’hiver.
Elles en ont vu les plateformes remplies comme un œuf, avec des amoureux...
Des engueulades...
tomba en panne avec sa bétaillère porte Maillot, sur la route le menant au concours d'élevage agricole bovin ( CGA) de la ''semaine de l'agriculture à Paris'', ex Salon de l'agriculture créé en 1964, avec Marguerite à l'intérieur, magnifique pie noir de la lande, amoureusement étrillée.
Aucun Transporteur n'étant disponible, il rejoignit la Porte de Versailles en bus à plateforme Renault TN... Le chargement de Marguerite au bas des Champs-Élysées (on aperçoit l'Obélisque de la Concorde au loin)...
Une petite poussette au c.. et roule Marguerite... pas du tout impressionnée...c'est pas maintenant qu'on ferait çà...
J'ai fait cet article avec des éléments qui m'ont été adressés par des amis(e), depuis des "lustres".
Ce couple a organisé le meilleur des mariages, avec des chiots abandonnés à la place de bouquets ...
Pour le plus beau jour de leur vie, Sarah et Matt Crain ont décidé de
partager un peu de leur bonheur avec des chiots récemment laissés pour
compte dans la rue. Ainsi, les demoiselles d'honneur et les témoins ont
laissé tomber les bouquets de fleurs au profit de huit adorables boules
de poils.
Il faut dire que Sarah et Matt sont adorent les animaux. Mieux encore, Sarah elle-même est volontaire pour l'association Pitties.Love.Peace basée à Elizabethtown, en Pennsylvannie. Comme beaucoup d'autres, cette
association se consacre à recueillir et placer dans des familles
d'accueil des chiens (notamment des pittbulls) abandonnés. Le couple
participe donc activement à ce projet et possède déjà trois chiens
prédécemment recueillis par l'association, et sert également de famille
d'accueil pour certains animaux en attente d'adoption.
En véritables amoureux des animaux, Sarah et Matt ont décidé de troquer les bouquets de fleurs pour huit jeunes chiots !
Ceux-ci ont récemment été recueillis par l'association où se porte volontaire la jeune mariée.
Pour Sarah, le message à faire passer est clair : "N'achetez pas vos chiens.
Les chiots que vous voyez dans nos photographies sont aussi bien que
ceux que vous pouvez trouver dans n'importe quelle animalerie". En
parlant d'eux, les chiots sur les photos font partie d'une portée
secourue de la rue alors qu'ils étaient âgés de moins d'une semaine. Ils
ont désormais huit semaines et sont très bien portants, adorables et
curieux comme il faut. Ils sont actuellement tous en famille d'accueil
et n'attendent que d'être adoptés.
La jeune mariée a quant à elle choisi de "promouvoir" un autre chiot, un
bâtard pitbull âgé de neuf semaines qui a été retrouvé dans les rues de
Brooklyn à New York, et baptisé "Biggie Smalls".
"La présence des chiots a fait que les photos étaient encore plus naturelles, joyeuses et insouciantes..."
Sarah en a profité pour rappeler : "N'achetez pas vos chiens. Les chiots que
vous voyez dans nos photographies sont aussi bien que ceux que vous
pouvez trouver dans n'importe quelle animalerie"
Les attractions touristiques incontournables de New York que vous devrez absolument visiter lors de votre séjour dans la Grosse Pomme...
Sélection Du Reader's Digest...
L’Empire State Building...L’une Des Meilleures Attractions Touristiques De New York...
L’Empire State Building est le plus haut et le plus célèbre gratte-ciel de New York, faisant de ce dernier l’une des plus importantes attractions touristiques.
Depuis sa construction en 1931, plus de 120 millions de visiteurs, y compris le groupe de rock Kiss et la reine Elizabeth II, ont embrassé la ville du regard du haut de son observatoire.
Dessiné par le cabinet d’architectes Shreve, Lamb et Harmon dans les prospères années 1920, ce classique d’art déco, dont la construction a été achevée au cours de la dépression de 1929, fut en grande partie vacant pendant plusieurs années, donnant lieu à son sobriquet d’« Empty State Building ».
Il a été mis en scène dans de nombreux films. Quand King Kong est revenu en 1983 pour célébrer le 50e anniversaire du film classique, les admirateurs du monde entier ont pu célébrer la fameuse escalade grâce à un gigantesque gorille gonflable placé sur l’immeuble.
La 5e Avenue, une attraction touristique à ne pas manquer à New York...
La 5e Avenue, dans le quartier Midtown, est la plus connue de New York, oùon trouve 3 des plus célèbres bâtiments de la ville. Dans les années 1800, l’attraction touristique new-yorkaise était bordée de maisons appartenant à des familles
influentes, mais dans les années 1900, quand les détaillants se déplacèrent vers le nord, la haute société a migré vers les quartiers résidentiels.
Toutefois, on peut encore y voir un des hôtels particuliers de l’époque, l’édifice Cartier, qu’on dit avoir été acquis en 1917 par le banquier Morton F. Plant en échange d’un collier de perles.
Bien que des entreprises commerciales partagent désormais l’avenue, elle demeure un paradis pour les produits de luxe.
La 5e Avenue est à son meilleur le dimanche de Pâques, alors que le trafic est interdit et que la rue est bondée de New-Yorkais portant des chapeaux recherchés.
Le Rockefeller Center, Une Attraction Touristique Incontournable...La grosse Pomme. La ville Qui Ne Dort Jamais. Gotham. New York City
Une ville dans la ville et un site historique national : c’est le plus grand complexe privé au monde. Entamé dans les années 1930, ce fut le premier projet commercial à intégrer des jardins, des restaurants et des boutiques jusqu’à des tours à bureaux.Attraction touristique par excellence, le Rockefeller Center est la plaque tournante du quartier Midtown de New York, grouillant d’activités jour et nuit.
Le nombre de bâtiments est passé à 19, bien que les nouveaux bâtiments ne correspondent pas à l’élégance art déco des 14 structures originales.
Plus de 100 œuvres d’art se trouvent dans le complexe, y compris une grande fresque dans chaque bâtiment.
Ce complexe, toujours en expansion, contient l’une des collections d’art public les plus remarquables en Amérique.
La Statue De La Liberté, L’iconique attraction Touristique... La figure emblématique du port de New York, dont le nom officiel est « La Liberté éclairant le monde », est une promesse de liberté pour des millions de personnes depuis son inauguration en 1886 par le président Grover Cleveland.
La statue, un cadeau amical de la France à l’occasion du 100e anniversaire des États-Unis en 1876, a été conçue par le sculpteur français Frédéric-Auguste Bartholdi, qui a consacré 21 ans à ce projet.
Des collectes de fonds roulant au ralenti, des deux côtés de l’Atlantique, ont retardé de 10 ans son dévoilement.
Mais il n’y eut aucun problème quant au financement de sa restauration, d’une valeur de 100 millions de dollars, lors de son 100e anniversaire.
À l’issue des rénovations, le 3 juillet 1986 fut l’occasion d’un des plus grands feux d’artifice jamais vus aux États-Unis.
Le Musée De L’immigration D’Ellis Island...
Ellis Island est le symbole de l’histoire des immigrants en Amérique. De 1892 à 1954, ce fut le point de chute de plus de 12 millions de personnes qui fuyaient la persécution religieuse, la pauvreté, ou des troubles dans leur pays d’origine.
Leurs descendants, plus de 100 millions de personnes, comptent pour près de 40 % de la population actuelle. Les dossiers d’immigration des passagers de première et de deuxième classe étaient traités à bord du navire.
Par contre, les pauvres voyageant dans l’entrepont étaient débarqués sur l’île surpeuplée pour subir des examens médicaux et juridiques.
C’était une perspective effrayante, après un voyage épuisant vers un pays où peu de nouveaux arrivants étaient en mesure de parler la langue. Il pouvait y arriver jusqu’à 5000 immigrants par jour.
Non seulement le musée relate-t-il leur expérience sur l’île, mais il brosse également le portrait de l’immigration globale en Amérique...
Times Square & Le Quartier Des Théâtres...
Reconnu comme le « carrefour du monde », Times Square est l’intersection la plus célèbre de New York et le symbole du quartier des théâtres animés environnants, incluant Broadway.
Il s’appelait Longacre Square jusqu’en 1904, alors que le New York Times yconstruisit une tour de 25 étages. Son inauguration fut marquée par desfeux d’artifice, un jour du Nouvel An, et la tradition continue aujourd’hui.
De nos jours, une boule de cristal géante, qui descend du bâtiment à minuit pour marquer la nouvelle année, est acclamée par des millions de personnes assemblées sur la place.
La réputation de Times Square a été entachée lorsque la 42e rue adjacente est devenue minable dans les années 1970. Les années 1990 ont vu fermer les peep-shows et les salles de cinéma classées X.
Ainsi, grâce à des efforts concertés, tant du public que du privé, la rue et le quartier ont été transformés.
Central Park...Un Site Incontournable De New York City... La « cour arrière » de New York, un espace vert de 843 acres (3.4 km2), procure la sérénité et des loisirs à plus de deux millions de visiteurs chaque année.
Conçu par Frederick Law Olmstead et Calvert Vaux en 1858, l’aménagement du Central Park a duré 16 ans et a nécessité la plantation de 500 000 arbres et arbustes...
Le transport de vastes quantités de terre et de pierres pour créer des collines, des lacs et des prairies, et la construction de plus de 30 ponts et arches.
Le Metropolitan Museum Of Art, L’un Des Meilleurs Sites Touristiques De New York...
L’un des grands musées d’art au monde, le Metropolitan « le Met », est une véritable collection de musées, couvrant 5000 ans de culture de toutes les parties du globe. Chacune de ses galeries spécialisées renferme quantité de trésors.
Il fut fondé en 1870 par un groupe qui voulait créer de grandes institutions artistiques en Amérique et qui a commencé avec 3 collections privées européennes regroupant 174 tableaux.
Le nombre actuel totalise plus de deux millions d’œuvres.
Le bâtiment néo-gothique original dessiné en 1880 par Calvert Vaux et Jacob Wrey Mould a été agrandi plusieurs fois.
Les ajouts récents comprennent des jardins avec vue surplombant Central Park.
Le musée Guggenheim...Un Musée New-Yorkais À Couper Le Souffle...
L’une des grandes réalisations architecturales du 20e siècle, la spirale à elle seule, conçue en 1959 par Frank Lloyd Wright, fait de ce musée un incontournable.
Le cœur de la collection d’art abstrait de Solomon Guggenheim a été enrichi par des dons provenant de plusieurs collections importantes.
Le musée possède une multitude d’œuvres de Brancusi, Calder, Klee, Chagall, Miro, Léger, Mondrian, Picasso, Oldenburg et Rauschenberg.
Seule une petite partie, renouvelée périodiquement, est en montre, puisque la galerie principale est utilisée pour des expositions temporaires.
Des œuvres de la collection Thannhauser, qui comprend des chefs-d’œuvre de Cézanne, Gauguin, Van Gogh et Picasso, sont généralement à l’affiche.
Le Guggenheim possède la plus grande collection d’œuvres de Kandinsky aux États-Unis.
La Galerie Kandinsky présente une sélection d’œuvres en rotation.
L’American Museum Of Natural History...L’un Des Plus Beaux Musées De New York...
Peu d’enfants de la ville ont grandi sans visiter les dinosaures, les dioramas grandeur nature de la vie animale et autres merveilles de la nature dans ce populaire musée fréquenté par plus de 5 millions de personnes chaque année.
Depuis sa fondation en 1869, l’American Museum of Natural History s’est agrandi jusqu’à compter 46 salles d’expositions permanentes....
Le musée couvre 4 pâtés de maisons, réparties en 25 bâtiments raccordés entre eux.
Le musée possède 32 millions de spécimens et d’objets culturels, plusieurs étant uniques au monde.
Les espaces d’exposition les plus récents, tels que le Hall of Biodiversity, les Fossil Halls, et le Rose Center, présentent aux visiteurs des recherches constamment mises à jour par le biais d’installations multimédias.
Le Museum Of Modern Art (MOMA),
Une Institution New-Yorkaise Incontournable...
Les amateurs d’art contemporain seront ravis au Museum of Modern Art de New York. Le musée conserve l’une des plus importantes collections d’art moderne et contemporain du monde et est la troisième institution muséale la plus visitée aux États-Unis.
Il est possible d’y admirer des toiles diverses, des sculptures, mais aussi des photos, des vidéos et des oeuvres de design. On peut aussi visionner des films d’art moderne.
La collection, toujours grandissante, compte à ce jour plus de 200 000 oeuvres de partout à travers le monde et qui datent d’aussi loin que 150 ans.
Le musée, inauguré en 1929, se trouve dans le quartier Midtown, au sud de Central Park à Manhattan. Le musée a doublé sa superficie d’exposition en 2004, laissant place à encore plus d’artistes et d’oeuvres à découvrir.
Pour une visite en ordre chronologique des époques artistiques, commencez par les étages supérieurs et descendez. Pensez aussi à vous procurer un billet coupe-file pour éviter les longues heures d’attentes à l’entrée.
Le Quartier Des Finances & Le Mémorial Du 11 Septembre...
New York est évidemment célèbre pour son « financial district », lieu où la bourse s’emballe et les affaires s’animent.
Le quartier est en effet le coeur de la ville, là où les habits et tailleurs des gens d’affaires côtoient les touristes curieux.
Les films d’Hollywood ont rendu la célèbre rue « Wall Street » mythique avec ses trottoirs qui grouillent de monde et les voitures de luxe qui klaxonnent.
Le Mémorial du 11 septembre, à « Ground Zero », est certainement le site le plus visité du quartier des finances.
Là où se trouvaient avant les célèbres tours jumelles se trouve maintenant un site honorifique pour les victimes des attaques du 11 septembre 2001.
On peut y saisir toute l’ampleur de la tragédie et rendre hommage aux victimes des attentats...
Dont les noms sont inscrit sur les murs en bronze de deux immenses bassins creusés en souvenir des tours effondrées.