(photo ci-dessus : Héloïse, 5 ans, en classe de maternelle à l’école d’Archettes - dans les Vosges - et sa mamie Évelyne Demangel).
Ce dimanche, c’était la fête des grands-mères : Avec un mois d’avance, Évelyne Demangel a sans doute reçu le plus beau des cadeaux. Sa petite-fille Héloïse, a volé à son secours en appelant à l’aide par téléphone.
" C’était un dimanche. Il était environ 15 h ... Je devais aller chez une voisine, âgée de 94 ans. J’ai pensé qu’elle devait faire la sieste. J’ai donc décidé d’aller me promener avec ma petite-fille au parcours de santé », se souvient Évelyne Demangel, le bras gauche tenu en écharpe. La dame de 80 ans, qui habite Archettes, avait la garde d’Héloïse. « Mon fils, Cyril, et ma belle-fille, Stéphanie, qui habitent à Mossoux (commune de La Baffe, Ndlr) étaient partis durant trois jours dans le sud-ouest. »
Héloïse et sa mamie n’avaient parcouru que 50 mètres lorsque la fillette a réclamé un bâton, histoire de marcher comme sa grand-mère. « J’ai voulu ramasser le bout de bois. J’ai appuyé ma canne contre un arbre. Le terrain était tellement glissant qu’elle est tombée dans le talus », explique l’octogénaire qui, en tentant de la récupérer a été déséquilibrée et a dégringolé, tête la première, pour s’arrêter entre 15et 20 mètres plus bas. « J’avais mal, je ne pouvais plus bouger et je saignais du nez », confie l’Archettoise. La petite Héloïse, pour qui lesoutils numériques n’ont rien de complexe, n’a pas perdu son sang-froid.
Elle est descendue auprès de sa grand-mère. « J’ai pris le portable dans la poche de mamie qui disait “ouille, ouille” et j’ai appelé maman et papa en appuyant sur la touche là », montre la fillette en désignant une photo sur l’écran du téléphone. Mais les parents sont àl’autre bout de la France. « J’ai immédiatement appelé la nounou d’Héloïse qui habite tout près et un autre voisin. Ils ont accouru auprès d’elles et ont appelé les secours », ajoute Stéphanie. « Si maman n’avait pas répondu, j’aurais fait le 18. Les pompiers sont venus à l’école pour nous faire des exercices », poursuit Héloïse au regard malicieux. Patrick Georges, le premier adjoint, venu rendre visite à la rescapée et sa secouriste en herbe acquiesce : « Les cours de secourisme, ça s’est toujours fait à l’école d’Archettes, même en classede maternelle. Les sapeurs-pompiers de notre caserne interviennent une ou deux fois par an. »
Évelyne Demangel en est quitte pour une épaule toute neuve. « Le 21 février, je suis sortie de l’hôpital de Remiremont avec une prothèse totale. » Le regard, empreint de tendresse et de reconnaissance, tourné vers sa petite-fille, elle lui passe la main dans les cheveux : « Si j’avais ététoute seule, personne ne m’aurait aperçue depuis le chemin. C’est certain. » Et Cyril, le papa ajoute : « Elle serait sans doute restée longtemps là avant qu’on ne la retrouve. Et dans quel état … ». BRAVO courageuse petite HELOISE !
Marie-Paule Deville-Chabrolle, née à Meknès au Maroc le 15 juillet 1952, est sculpteur et artiste-peintre. Elle intègre l'école des Beaux-Arts de Pau, passe deux ans à la Faculté des arts plastiques de Phnom-Penh au Cambodge. Très vite la présence de plus en plus régulière de ses bronzes dans les salles de ventes marque une étape importante de son parcours. Dès lors des collectionneurs privés se manifestent (Suisse, Allemagne, Angleterre, Portugal, É.-U.). Ses sculptures inspirées, élégantes, sensuelles, raffinées, et ses sanguines forment un tout, une démarche globale.
Les déchirures, les ocres et les ors du Maroc , l'évidente beauté des sculptures Khmer, tout a laissé son empreinte.
C'est Marie-Paule Deville-Chabrolle qu'ont choisie les maires deFrance pour sculpter le buste de la Marianne de l'an 2000, dont le modèle était Laetitia Casta, le moulage est conservé à l'atelier de moulage du Louvre (l'éditeur des Mariannes officielles de la République).
Marie-Paule Deville-Chabrolle est également une artiste de la cristallerie Daum.
Un trésor a été découvert lors des travaux de restauration d'un l'hôtel particulier du 18 siècle, rue Tchaïkovski, à Saint-Pétersbourg. La famille aristocratique Narychkine-Troubetskoï, propriétaire de l'hôtel, a quitté la Russie après la révolution Bolchevik, en novembre 1917. Le porte parole de la société Intarsi chargée de la restauration de ce manoir a annoncé la découverte du trésor le 19 mars. Ces objets étaient dissimulés dans une petite pièce secrète située sous un plancher entre le deuxième et le troisième étages du bâtiment. Les objets avaient été enveloppés dans du papier et des journaux datant de mars, juin, août et septembre 1917. Ce trésors se compose de services de table d'apparat , en argent massif, vermeil provenant des plus grands orfèvres de la moitié du XIX° et du début du XX°, comme Sassikov, Ovchenikov, Khlebnikov, les Frères Grachev et Fabergé (Сазиков, Овчинников, Хлебников, братья Грачевы, Фаберже) Soit près de 2 168 objets comprenant 4 services complets pour divers occasions ( service de table, à café, à déssert) fin XIX° et début XX°. Le tout se trouvait dans des sacs en tissu, emballé dans du papier et des journaux datés de mars juin aout et septembre 1917, imbibé de vinaigre permettant un état de conservation parfait , prêt à être dressé sur une table. Une autre partie de ce trésor se trouvait dans des écrins en bois à tiroirs pour les couverts, l'ensemble également imbibé de vinaigre. Sur beaucoup d'objets se trouvent les armes de la famille Narichkine,objets fabriqués par les meilleurs ateliers d'orfévreries et de bijoutiers russes du milieu du XIX On a trouvé des plats caractéristiques de Fabergé, salières, quelques bijoux pascals sur une chaine en sautoir et une montre. Le vaisselle de table est en argent et en vermeil, les couteaux sont français à manche de perles et porcelaine peinte dans les écrins à tiroirs. Se trouvent également des objets aux armes impériales, des décorations : St Vladimir avec épées, des médailles en souvenir du 300° anniversaire de la Maison des Romanov et une médaille du 100° anniversaire de la guerre de 1812 ainsi qu'une décoration de l'ordre de la Serbie et du Monténegro. Il n'est pas rare de découvrir à l'occasion de restauration ou de transformation des objets qui furent cachés dans les murs d'appartements au moment de la Révolution de 1917. Il y a une dizaines d'années, l'on a découvert une pièce murée dans laquelle le propriétaires avait installé, dans l'espoir de revenir: de la nourriture, du tabac, des allumettes des bougies des livres et un modeste mobilier. A la suite de cette découverte beaucoup de propriétaires de logement se sont mis à fouiller: les murs, les plafond et les planchers à la recherche de trésors Pour Intarsi ce n'est pas la première fois que l'on fait des découvertes lors de restauration à Saint Petersbourg durant ces 20 dernieres années, souvent lors de restaurations l'on découvre des choses étonnantes. Quelques œuvres artistiques ont une certaine valeurs d'autres seulement culturelle. Le trésor Narichkine est une découverte comme jamais nous n'en avons eue, déclare M. Novikov porte parole de la société. L'on a découvert lors de la restauration de l'Arc de Triomphe une étonnante collection de 5000 fume cigarettes représentant une valeur culturelle. Lors de travaux aux Griffons au Pont de la Banque l'on a découvert 1860 pièces de monnaies anciennes, dans un hôtel particulier sur la Moïka 122 pièces de monnaies sous le plancher, et sous un couche de plâtre des fresques et des panneaux décoratifs de sgraffites( techniques de finitions décoratives). Certains particuliers inventeurs de trésor ne dirent mot Toutes les hypothèses sont envisagées pour le placement de ce trésor , soit au Palais Constantin ou directement au manoir Narichkine ou dans un musée comme l'Ermitage ou le musée de Pavlosk ou ailleurs, en attendant la fin des investigations du gouvernement, des experts, des fonctionnaires et bien sûr des propriétaires, s'il y en a ? Un des représentants de la famille Narichkine, Piotr Narichkine, âgé de 65 ans, vit en Afrique du Sud. Il n'exclut pas être un prétendant pour hériter du trésor familial à Saint Petersbourg. Mais il n'est pas le seul descendant de la famille Narichkine ! Le musée de l'Ermitage souhaite obtenir ce trésor ainsi que le musée de Pavlosk
Pourquoi dit-on «comme un coq en pâte» ? Être comme un coq en pâte c’est être choyé, vivre sans souci et placé dans un état de grand confort. Il existe deux explications à cette expression. Selon Selon la première, « être comme un coq en pâte » aurait pour origine une mixture utilisée lors des concours agricoles du 17ème siècle. Une pâte, une lotion particulière préparée par les fermiers étaient alors appliquée aux poules dans le but de les embellir ou du moins de faire briller leurs plumes. Selon une seconde théorie, il s’agit de comparer une situation à un coq dans une cage, engraissé par gavage à base de pâtée ou bien d’un coq enfermé dans un pâté. Ainsi dans le dictionnaire de l’Académie de 1835 on compare à ce coq dont la tête sort d’un pâté un homme glissé confortablement dans son lit et dont seule la tête et visible. C’est donc la position du coq entouré de pâte qui serait l’explication. Dans un cas comme dans l’autre la locution proverbiale a progressivement migré dans le langage populaire où elle s’est fixée jusqu’à aujourd’hui.
Pourquoi dit-on “avoir un Jules” ?
Le « Jules » de l’expression a réellement existé. Il s’agit d’une référence directe à une véritable personne qui vécut au 18ème siècle dans l’entourage de Marie-Antoinette. Contrairement à ce que laisse penser le prénom, Jules était une femme, proche de la reine et nommée Madame de Polignac. Femme de Jules de Polignac elle était parfois surnommée le « Jules de la reine ». Une intense amitié lia les deux femmes dès 1774. Avec sa confidente Marie Antoinette passait énormément de temps, y compris dans son château du Petit Trianon. Madame de Polignac devient duchesse en 1780. Vite jalousée on fit courir la rumeur que les deux amies étaient amantes, en prenant soin de surnommer la confidente «Jules» pour ne pas insinuer trop clairement que la reine était homosexuelle. Mais avec la Révolution la reine dut s’exiler. Elle quitta son amie avec tristesse. Madame de Polignac mourut cinquante jours seulement après la reine.
L'Etna, également appelé Ætna, Etnea, Monte di Catania ou encore Mons Gibel Utlamat, d'où Mongibello (doublet du latin mons et de l'arabe djebel qui veulent dire « montagne »), en sicilien ’a muntagna ou Mungibeddu, est un volcan d'Italie situé en Sicile, à proximité de la ville de Catane, la seconde ville la plus peuplée de Sicile. Culminant à 3 330 mètres d'altitude, il est le volcan le plus haut d'Europe et avec presque cent éruptions au cours du XXe siècle, l'un des plus actifs du monde. Sa forte activité éruptive, les coulées de lave très fluides et la proximité de zones densément peuplées ont décidé les volcanologues à l'inclure dans la liste des volcans de la Décennie.
L'Etna forme une montagne massive conique culminant à 3 330 mètres d'altitude et couvrant une superficie de 1 200 km2 ce qui en fait le volcan le plushaut d'Europe et la montagne la plus volumineuse d'Italie avec 350 km.
Durant le XXe siècle, son altitude a fréquemment varié d'environ cent mètres en fonction des coulées de lave et de boue. Il s'élevait à 3 274 mètres en 1900, 3 290 mètres en 1956 et 3 345 mètres en 1978. Ses pentes relativement raides sont interrompues par plusieurs bouches éruptives, notamment sur ses flancs sud et ouest, ainsi que par plusieurs caldeiras dont la plus grande est la vallée du Bœuf en forme de fer à cheval de cinq kilomètres de largeur pour dix kilomètres de longueur orientée vers l'est
TRÈS BEAUX PAYSAGES nneaux » : Le Val d’Escreins(Vars) Réserve de Nature depuis 1968, le Val d’Escreins est un véritable havre de paix préservé : une « terre du milieu » entre la vallée de Vars et le Queyras. Habité de légendes, de sommets aux noms mystiques (la main de Dieu, la Font Sancte), le Val d’Escreins arbore les ruines d’un village et un refuge accueillant pour tous les contemplatifs et les gourmands. Le plus grand lac naturel d’altitude d’Europe : Le Lac d’Allos (Val D'Allos)Ce joyau cristallin des Alpes du Sud est perché dans le Parc National du Mercantour à 2220m d’altitude. Paradis des truites et des ombles chevalier, il comblait aussi tout ceux qui aiment les déguster lorsque la pêche au filet était autorisée. Depuis 1979, le classement du territoire a permis l’expansion et l’apparition d’espèces prestigieuses. Le plus vertigineux : Les Gorges de la Bourne (Vercors)Situé dans le Parc Naturel Régional du Vercors, entre Pont-en-Royans et Villard-de-Lans, le site naturel des Gorges de la Bourne réserve, à tous ceux qui empruntent son impressionnante route à encorbellement, une succession de paysages sauvages. Le plus haut de tous : Le Mont-Blanc (Alpes du Nord)Avez-vous vraiment besoin d’un petit texte sur le Mont-Blanc ? Nous pensons que cette photo dit tout. Le plus « Hello Kitty » : Les Aiguilles d’Arves (Albiez-Montrond)Ces trois montagnes, dont une à tête de chat, s’élèvent fières, tranquilles et hautaines, comme le félin. Oserez-vous réveiller le chat qui dort ?
Le plus poétique : Le Puy Mary (Massif Central)« …. Si les hommes ne dansaient pas sur les volcans, je me demande où et quand ils danseraient ; l’important est de bien savoir qu’on a le volcan sous les pieds afin de goûter son vrai plaisir d’homme libre » (Jacques Perret – de Bâtons dans les roues). Le plus « on a marché sur la Lune » : Le Désert de Platé (Flaine)Son altitude et sa formation géologique particulière en font un site unique en Europe. Pour cette raison, il fera l’objet d’un classement géologique en 1998. Vaste plateau calcaire façonné par les glaciers et sculpté par les eaux de fonte, les randonneurs qui s’y aventurent ont l’impression de marcher sur un glacier pétrifié. Le plus joyeux : le Lac Achard (Chamrousse)Marcel Achard, un écrivain français auteur de comédies légères, avait l’habitude de dire que si l’on raconte son bonheur, on le diminue. Une phrase parfaite pour ce lac, Achard donc, parfaitement accessible en famille, dans la joie et la bonne humeur, au dessus de Chamrousse. Le plus épique : La Brèche de Roland (Pyrénées)Selon la légende, la Brèche fut ouverte par Roland, le neveu de Charlemagne, alors qu’il tentait de détruire son épée Durandal en la frappant contre la roche à l’issue de la bataille de Roncevaux. Voyant qu'elle ne cassait pas, il l'aurait envoyée de toutes ses forces dans la vallée et elle se serait fichée dans une falaise à Rocamadour dans le Lot (
Le Graffalgar : un hôtel à Strasbourg unique en son genre
Le Graffalgar est un hôtel novateur au design urbain et moderne. Chaque chambre y est unique et personnalisée par des artistes ayant reçu carte blanche pour exprimer leur créativité. Véritable carrefour, il permet la croisée des voyageurs, artistes et curieux.
Le Graffalgar est également un lieu d'expression et d’échanges grâce au développement d'animations, de Workshops, d'outils pour une découverte alternative deStrasbourg et l’accueil d'activités associatives ou professionnelles.
Hôtel, lieu de spectacle, galerie d’art,restaurant " la Graffateria ", le Graffalgar veut développer une dynamique basée sur l’échange entre les usagers de l’hôtel et les Strasbourgeois-e-s.
Petite histoire de la Gaîté-Lyrique. Ouvert depuis mars 2011, la Gaîté Lyrique est dédiée aux musiques actuelles et aux arts numériques. Pourtant ce lieu qui ne date pas d’aujourd’hui estchargé d’histoire. Le premier théâtre à avoir porté le nom de « Gaîté » se situe non loin de l’actuelle place de la République et s’appelle à l’époque Théâtre de la Gaîté et Grands Danseurs. Ce n’est qu’en 1792 qu’il prend le nom de théâtre de la Gaîté. Nom qu’il quitte 3 ans plus tard pour celui de « théâtre d’Émulation ». Cependant, le nom « théâtre de la Gaité », déjà ancré dans l’esprit des Parisiens,lui est restitué 4 ans après. Son style est alors uniquement consacré à la dramaturgie. L’endroit subit différentes transformations au cours deson histoire. En 1808, la salle principale est agrandie à 1800 places. Une belle pièce pour l’époque. Malheureusement, près de 30 ans plus tard, un incendie la ravage. Elle doit alors être reconstruite. L’ancien théâtre de la Gaîté, quelques jours avant son expropriation.
En 1862, alors qu’elle est fréquentée par la haute société, la bâtisse doit être détruite pour la construction de l’actuelle place de la République. À cette époque, pendant les grands travaux d’Haussmann, les expropriations sont monnaie courante. L’édifice est reconstruit presque à l’identique dans le 3ème arrondissement, rue Papin. Sans tergiverser, la direction artistique est tout de suite affirmée. L’endroit est voué à l’opéra lyrique et dès 1873, il devient le temple de l’opérette sous la direction de Jacques Offenbach. Malheureusement, les envolées lyriques se sont tues peu à peu, jusqu’à la fermeture du lieu pour cause de déficit en 1963. De plus en plus délabré, d’importants travaux sont nécessaires pour sa remise en état. Un investissement que la ville de Paris se refuse malheureusement à prendre en charge. Il reste, donc, à l’abandon et n’est ouvert que brièvement à partir de 1967 pour de courtes représentations. Le théâtre de la Gaîté ne retrouve un locataire qu’en 1974. C’est l’école de cirque Carré Silvia-Montfort qui s’y installe pour 4 ans. Cependant, la troupe ne peut pas jouir de tout l’espace. La grande scène lui est notamment interdite. En effet, l’édifice complètement détérioré, tombe en ruines. Maire de Paris, en 1977, Jacques Chirac essaye de débloquer des fonds pour sa rénovation. Des subventions qu’il n’obtiendra jamais… Le dôme principal menace alors de s’effondrer, complètement laissé à l’abandon. La bâtisse va quand même résister au temps et finit par être classée à l’inventaire des monuments historiques en 1984. Cinq ans plus tard, le théâtre se voit enfin accordé des travaux de réhabilitation. C’est un parc d’attraction nommé « Planète magique » qui y élit domicile. La seule période de son histoire où le théâtre n’est plus un théâtre. Le parc fait faillite en 1991 et, pour la énième fois, l’édifice se retrouve fermé. Ce n’est qu’en 2011, après 10 ans de tractations et 4 ans de travaux que l’endroit est transformé en centre culturel sous l’impulsion de BertrandDelanoë, maire de Paris jusqu’en 2014. Il est donc maintenant consacré aux arts numériques et aux musiques actuelles. Bon nombre d’ateliers sont proposés et l’endroit organise souvent des concerts et autres événements.
Le Paris de Jim Morrison. Poursuivi par la justice américaine pour exhibition (il aurait montré son sexe à un concert à Miami), Jim Morrison fuit les Etats-Unis pour la France en 1971. Le poète torturé marche sur les traces de ses idoles Baudelaire et Rimbaud. Cette vie parisienne, faite d’anonymat et d’écriture, le séduit. Découvrons ses lieux d’inspiration.
17 Rue Beautrellis, là où Jim Morrison est retrouvé mort. C’est l’appartement officiel du couple Morrison. Il se trouve au 3ème étage àdroite de l’entrée. La propriétaire n’est autre que le mannequin Elisabeth Larivière. Le couple lui sous-loue cet appartement du Marais. Jim y passe beaucoup de temps à écrire, plaçant cet endroit au centre de.son Paris. C’est d’ailleurs dans cette baignoire que le poète est retrouvé sans vie par sa compagne Pamela. Le corps ne subira pas d’autopsie et les autorités concluront à un décès dû à une insuffisance cardiaque et à une consommation d’alcool excessive.
Hôtel George V. C’est ici que séjourne Jim Morrison lors de son premier voyage à Paris, cettefois-ci sans la charmante compagnie de Pamela. Un an plus tard, il y revient le temps d’un bref passage alors qu’il s’installe dans la capitale. Juste le temps de récupérer sa compagne, venue à Paris avant lui et qui l’attendait dans cet hôtel. Cependant il n’aime pas ce palace qu’il qualifie de « maison close à carpette rouge ».
Places des Vosges. Bien connu des Parisiens, la place des Vosges est incontestablement l’endroit favori de Jim pour se cacher du monde. À seulement deux minutes de son appartement, dans l’anonymat presque total (chose impossible pour lui aux Etats-Unis), il se rend souvent dans ce parc afin d’y méditer ou se livrer à l’écriture. Il a d’ailleursécrit nombre de ces poésies ici comme « La nuit Américaine » ou « Wilderness ».
Vin des Pyrénées. Le caviste préféré du chanteur se situe au 25 rue Beautreillis, juste à côté de son appartement. Le célèbre membre des Doors avait l’habitude d’y acheter son vin. Et comme tout vrai habitué, monsieur a ses habitudes ! Ainsi, il choisissait toujours unvin blanc, de Bordeaux de préférence. Un connaisseur…
Restaurant Beautreillis. C’est le restaurant le plus fréquenté par le poète durant son passage à Paris. Cet endroit, qui a été témoin de nombreuses disputes du couple, se trouve juste en face de leur immeuble. En 1990, deux fans rachètent l’endroit. Une déco spéciale Jim Morrison y est installé… Au point que même les carreaux de la salle de bain où Jim est retrouvé mort sont récupérés et installés au mur ! Cependant, en 1996, le restaurant change de propriétaire. La déco est complètement refaite et les traces du chanteur sont effacés. Aujourd’hui le restaurant se nomme : « Le dindon en laisse » et n’a plus rien du lieu qui rendait hommage à Jim après samort.
Café de Flore. Considéré comme l’endroit préféré de Pamela Courson, le couple se rend donc régulièrement au « Flore ». C’est dans ce café qu’a été réalisé la dernière interview de Jim Morrison. Il appréciait aussi l’endroit car Sartre, une de ses sources d’inspirations, était l’un des habitués du lieu.
L’ancien Bar Alexandre. Le Bar Alexandre était un des lieux préférés du poète pour se restaurer et se saouler. Et les murs de ce troquet en auraient des choses à raconter… Le lieux est notamment devenu mythique grâce à un banc situé juste en face du bar. Jim Morrison, titubant, aime particulièrement s’y allonger à la sortie du Bar. Grâce aux énormes pourboires qu’il laisse, le poète est un peu chez lui ici. Il y boit bon nombre de verres et y fait quelques scandales sur fond d’alcool. Aujourd’hui remplacé par une grande boutique Louis Vuitton, même le banc à disparu… Certains fans du chanteur auraient décider de s’en emparer comme « souvenir » après la disparation de leur icône.
Le Mazet. Petit bout d’Angleterre en plein Paris, ce pub Anglo-Saxons du VIe lui permetde parler anglais et de boire comme à son habitude une bouteille de bordeaux blanc. Jim ne ressemble plus au « sex symbol » de la pochette de son album. Sans internet et sans la médiatisation dont font l’objet les artistes aujourd’hui, la plupart ignore qu’il a pris du poids et a laissé pousser une longue barbe de plusieurs mois. La légende raconte qu’un soir, il aurait quand même été reconnu par un fan américain derrière son croque-monsieur et sa bouteille.
Rock’N’roll Circus. Ça serait le dernier endroit où Jim a été vu en vie… Situé rue de Seine, c’est à l’intérieur de ce véritable temple de la nuit, où se croise les célébrités de l’époque allant de Polnareff à Johnny Hallyday, que le poète se saoule et fait la rencontre d’autre artistes contestataires comme lui. Les dealers sont également très présents dans ce lieu, sentant l’appât du gain. Le chanteur aurait fréquenté le club la nuit desa mort, dans le but, notamment, de fournir sa compagne en héroïne. C’est dans les toilettes de ce club qu’on retrouva le corps du célèbre chanteur inanimé, sûrement dû à une dose d’héroïne qu’il avait sniffé età laquelle il n’était pas habitué. Craignant le scandale, les dealers et le patron de la boite organisent son retour chez lui. Ils le mettrontalors dans un bain glacé. Le lendemain matin, Jim Morrison sera déclaré mort…
Sa tombe. Au cimetière du Père Lachaise, la tombe de Jim Morrison serait la plus visitée. Véritable lieu de pèlerinage pour ses fans, elle est fleurie toute l’année. Autrefois, un buste à son effigie trônait sur sa tombe, mais ce dernier a été volé parun admirateur. Certains viennent s’y recueillir, d’autres fumer des joints ou boire des bières. On peut même y croiser certains poètes amateurs espérant suivre les traces de leur idole. Plus de 40 ans après sa disparition, Jim Douglas Morrison, chanteur des Doors, poète et membre du triste « club des 27″, suscite toujours autant l’admiration.
Le Périple de Jérôme Pitorin Lac de Côme, lac Majeur, lac de Garde, lac d’Iséo…Ce sont des endroits où règnent le luxe, le calme et une idée de la volupté. Connus pour leur romantisme, les lacs italiens sont à la hauteur de leur réputation. Y vivre reste un privilège mais il ne faut pas faire partie d’une élite argentée pour en profiter. Le lac de Côme reste sans doute le plus réputé pour être prisé des acteurs hollywoodiens, à l’instar de George Clooney. Le lac Majeur doit son nomau fait qu’il est considéré comme l’un des plus étendus des lacs préalpins. Nombreux sont les artistes italiens et internationaux qui y ont séjourné. Au lac de Garde, l’ambiance est plus familiale. Moins huppé que les deux précédents, le lac bénéficie d’un climat favorable qui laisse pousser une très belle végétation. Citons la spécialité locale : les produits à base de citrons. Enfin, le lac d’Iseo, situé entre le lac de Côme et le lac de Garde, Contient les plus grande île lacustre d’Italie, Monte Isola. Source : La Lac De Garde...
Le romantisme n’empêche pas l’aventure et les joies du plein air : partie de pêche sur le Lac de Garde, vitesse et passion à bord des plus belles voitures de collection et rencontres en toute simplicité. Une certaine idée de la classe à l’italienne, what else ? Monnaie : Euro Langue(s) : La langue officielle est l’italien. Superficie : lac de Côme (146 km2), lac Majeur (212,5 km2), lac de Garde (370 km2), lac d’Iseo (65 km2). Formalités de départ : Les ressortissants français, mineurs inclus, doivent être en possession d’une carte nationale d’identité ou d’un passeport pour serendre en Italie. Climat : Le climat dans la région de Milan est un climat de type continental. Les hivers sont généralement froids et humides, les étés plutôt chauds et également humides. Les brumes sont particulièrement fréquentes pendant l'hiver et l'automne. Cela est dû à l'absence de ventilation caractéristique de la région. Transport : Le mieux pour se déplacer entre les lacs est sans doute le bateau ! Elémentaire quand on parle de lacs, non ? Un très ancien service régulier de ferry dessert les trois grands lacs (Majeur, Côme et Garde), il a aujourd'hui une visée plus touristique. Evidemment, ceux qui possèdent une voiture seront plus libres pour aller de lac en lac. Les trains permettent aussi de rejoindre Milan aux principales villes de la région des lacs comme Vérone et Brescia. Le meilleur moyen de transportpour explorer l'arrière-pays reste le bus. Certaines lignes sont très bien desservies mais parfois les trajets peuvent être rallongés en raison de correspondances ou d'une moindre régularité dans le passage des bus. Nourriture : Région des lacs oblige, vous y mangerez beaucoup de poissons. On y trouve aussi des risottos, comme le risotto au safran de couleur jaune...un régal ! En antipasto, vous pourrez goûter des fines tranches de veau sur lesquelles on trouve une sauce aux câpres et au thon. Autre incontournable : L'osso bucco ou les escalopes de veau préparées à la milanaise qui accompagnent au choix un risotto ou une polenta. La région est également très riche en charcuteries et autres viandes séchées. Côté légumes, on trouve des asperges, des oignons ou des haricots. N'oubliez pas de goûter aux nombreux plats de pates. Les fromages ont également la part belle. Hébergement : dans cette région d'Italie, les hébergements ne manquent pas. En revanche, les prix peuvent énormément variés d'une saison à l'autre. Vous trouverez beaucoup d'alberghi (hôtels) et de pensioni (pensions de famille). Ces deux types d'établissements se soumettent en général au classement par étoile qui donne rapidement une idée du confort. On peut également louer des chambres chez l'habitant sous la forme de B&B ou d'affittacamere. On constate un énorme engouement pour ce système souvent au détriment des hôtels traditionnels. De nombreuses formules d'agritourisme se développent également.
(photo ci-dessus : Héloïse, 5 ans, en classe de maternelle à l’école d’Archettes - dans les Vosges - et sa mamie Évelyne Demangel).
Ce dimanche, c’était la fête des grands-mères : Avec un mois d’avance, Évelyne Demangel a sans doute reçu le plus beau des cadeaux. Sa petite-fille Héloïse, a volé à son secours en appelant à l’aide par téléphone.
" C’était un dimanche. Il était environ 15 h ... Je devais aller chez une voisine, âgée de 94 ans.
J’ai pensé qu’elle devait faire la sieste. J’ai donc décidé d’aller me promener avec ma petite-fille au parcours de santé », se souvient Évelyne Demangel, le bras gauche tenu en écharpe. La dame de 80 ans, qui habite Archettes, avait la garde d’Héloïse. « Mon fils, Cyril, et ma belle-fille, Stéphanie, qui habitent à Mossoux (commune de La Baffe, Ndlr) étaient partis durant trois jours dans le sud-ouest. »
Héloïse et sa mamie n’avaient parcouru que 50 mètres lorsque la fillette a réclamé un bâton, histoire de marcher comme sa grand-mère. « J’ai voulu ramasser le bout de bois. J’ai appuyé ma canne contre un arbre. Le terrain était tellement glissant qu’elle est tombée dans le talus », explique l’octogénaire qui, en tentant de la récupérer a été déséquilibrée et a dégringolé, tête la première, pour s’arrêter entre 15et 20 mètres plus bas. « J’avais mal, je ne pouvais plus bouger et je saignais du nez », confie l’Archettoise. La petite Héloïse, pour qui lesoutils numériques n’ont rien de complexe, n’a pas perdu son sang-froid.
Elle est descendue auprès de sa grand-mère. « J’ai pris le portable dans la poche de mamie qui disait “ouille, ouille” et j’ai appelé maman et papa en appuyant sur la touche là », montre la fillette en désignant une photo sur l’écran du téléphone. Mais les parents sont àl’autre bout de la France. « J’ai immédiatement appelé la nounou d’Héloïse qui habite tout près et un autre voisin. Ils ont accouru auprès d’elles et ont appelé les secours », ajoute Stéphanie. « Si maman n’avait pas répondu, j’aurais fait le 18. Les pompiers sont venus à l’école pour nous faire des exercices », poursuit Héloïse au regard malicieux.
Patrick Georges, le premier adjoint, venu rendre visite à la rescapée et sa secouriste en herbe acquiesce : « Les cours de secourisme, ça s’est toujours fait à l’école d’Archettes, même en classede maternelle. Les sapeurs-pompiers de notre caserne interviennent une ou deux fois par an. »
Évelyne Demangel en est quitte pour une épaule toute neuve. « Le 21 février, je suis sortie de l’hôpital de Remiremont avec une prothèse totale. » Le regard, empreint de tendresse et de reconnaissance, tourné vers sa petite-fille, elle lui passe la main dans les cheveux : « Si j’avais ététoute seule, personne ne m’aurait aperçue depuis le chemin. C’est certain. » Et Cyril, le papa ajoute : « Elle serait sans doute restée longtemps là avant qu’on ne la retrouve. Et dans quel état … ».
BRAVO courageuse petite HELOISE !
Marie-Paule Deville-Chabrolle, née à Meknès au Maroc le 15 juillet 1952, est sculpteur et artiste-peintre.
Elle intègre l'école des Beaux-Arts de Pau, passe deux ans à la Faculté des arts plastiques de Phnom-Penh au Cambodge.
Très vite la présence de plus en plus régulière de ses bronzes dans les salles de ventes marque une étape importante de son parcours.
Dès lors des collectionneurs privés se manifestent (Suisse, Allemagne, Angleterre, Portugal, É.-U.).
Ses sculptures inspirées, élégantes, sensuelles, raffinées, et ses sanguines forment un tout, une démarche globale.
Les déchirures, les ocres et les ors du Maroc , l'évidente beauté des sculptures Khmer, tout a laissé son empreinte.
C'est Marie-Paule Deville-Chabrolle qu'ont choisie les maires deFrance pour sculpter le buste de la Marianne de l'an 2000, dont le modèle était Laetitia Casta, le moulage est conservé à l'atelier de moulage du Louvre (l'éditeur des Mariannes officielles de la République).
Marie-Paule Deville-Chabrolle est également une artiste de la cristallerie Daum.
TRESOR DECOUVERT à SAINT PETERSBOURG
Un trésor a été découvert lors des travaux de restauration d'un l'hôtel
particulier du 18 siècle, rue Tchaïkovski, à Saint-Pétersbourg. La
famille aristocratique Narychkine-Troubetskoï, propriétaire de l'hôtel, a
quitté la Russie après la révolution Bolchevik, en novembre 1917.
Le porte parole de la société Intarsi chargée de la restauration de ce manoir a annoncé la découverte du trésor le 19 mars.
Ces objets étaient dissimulés dans une petite pièce secrète située sous un
plancher entre le deuxième et le troisième étages du bâtiment. Les
objets avaient été enveloppés dans du papier et des journaux datant de
mars, juin, août et septembre 1917.
Ce trésors se compose de services de table d'apparat , en argent massif, vermeil provenant des plus
grands orfèvres de la moitié du XIX° et du début du XX°, comme Sassikov,
Ovchenikov, Khlebnikov, les Frères Grachev et Fabergé (Сазиков,
Овчинников, Хлебников, братья Грачевы, Фаберже)
Soit près de 2 168 objets comprenant 4 services complets pour divers
occasions ( service de table, à café, à déssert) fin XIX° et début XX°.
Le tout se trouvait dans des sacs en tissu, emballé dans du papier et
des journaux datés de mars juin aout et septembre 1917, imbibé de
vinaigre permettant un état de conservation parfait , prêt à être dressé
sur une table.
Une autre partie de ce trésor se trouvait dans des écrins en bois à tiroirs
pour les couverts, l'ensemble également imbibé de vinaigre. Sur
beaucoup d'objets se trouvent les armes de la famille Narichkine,objets
fabriqués par les meilleurs ateliers d'orfévreries et de bijoutiers
russes du milieu du XIX
On a trouvé des plats caractéristiques de Fabergé, salières, quelques bijoux pascals sur une chaine en sautoir et une montre.
Le vaisselle de table est en argent et en vermeil, les couteaux sont
français à manche de perles et porcelaine peinte dans les écrins à
tiroirs. Se trouvent également des objets aux armes impériales, des
décorations : St Vladimir avec épées, des médailles en souvenir du 300°
anniversaire de la Maison des Romanov et une médaille du 100°
anniversaire de la guerre de 1812 ainsi qu'une décoration de l'ordre de
la Serbie et du Monténegro.
Il n'est pas rare de découvrir à l'occasion de restauration ou de transformation des objets qui furent
cachés dans les murs d'appartements au moment de la Révolution de 1917.
Il y a une dizaines d'années, l'on a découvert une pièce murée dans
laquelle le propriétaires avait installé, dans l'espoir de revenir: de
la nourriture, du tabac, des allumettes des bougies des livres et un
modeste mobilier. A la suite de cette découverte beaucoup de
propriétaires de logement se sont mis à fouiller: les murs, les plafond
et les planchers à la recherche de trésors
Pour Intarsi ce n'est pas la première fois que l'on fait des découvertes lors de restauration à
Saint Petersbourg durant ces 20 dernieres années, souvent lors de
restaurations l'on découvre des choses étonnantes. Quelques œuvres
artistiques ont une certaine valeurs d'autres seulement culturelle. Le
trésor Narichkine est une découverte comme jamais nous n'en avons eue,
déclare M. Novikov porte parole de la société. L'on a découvert lors de
la restauration de l'Arc de Triomphe une étonnante collection de 5000
fume cigarettes représentant une valeur culturelle. Lors de travaux aux
Griffons au Pont de la Banque l'on a découvert 1860 pièces de monnaies
anciennes, dans un hôtel particulier sur la Moïka 122 pièces de monnaies
sous le plancher, et sous un couche de plâtre des fresques et des
panneaux décoratifs de sgraffites( techniques de finitions décoratives).
Certains particuliers inventeurs de trésor ne dirent mot
Toutes les hypothèses sont envisagées pour le placement de ce trésor , soit au
Palais Constantin ou directement au manoir Narichkine ou dans un musée
comme l'Ermitage ou le musée de Pavlosk ou ailleurs, en attendant la fin
des investigations du gouvernement, des experts, des fonctionnaires et
bien sûr des propriétaires, s'il y en a ?
Un des représentants de la famille Narichkine, Piotr Narichkine, âgé de 65 ans, vit en Afrique du
Sud. Il n'exclut pas être un prétendant pour hériter du trésor familial à
Saint Petersbourg. Mais il n'est pas le seul descendant de la famille
Narichkine !
Le musée de l'Ermitage souhaite obtenir ce trésor ainsi que le musée de Pavlosk
Pourquoi dit-on «comme un coq en pâte» ?
Être comme un coq en pâte c’est être choyé, vivre sans souci et placé
dans un état de grand confort. Il existe deux explications à cette
expression.
Selon Selon la première, « être comme un coq en pâte » aurait pour origine
une mixture utilisée lors des concours agricoles du 17ème siècle. Une
pâte, une lotion particulière préparée par les fermiers étaient alors
appliquée aux poules dans le but de les embellir ou du moins de faire
briller leurs plumes.
Selon une seconde théorie, il s’agit de comparer une situation à un coq dans
une cage, engraissé par gavage à base de pâtée ou bien d’un coq enfermé
dans un pâté. Ainsi dans le dictionnaire de l’Académie de 1835 on
compare à ce coq dont la tête sort d’un pâté un homme glissé
confortablement dans son lit et dont seule la tête et visible. C’est
donc la position du coq entouré de pâte qui serait l’explication.
Dans un cas comme dans l’autre la locution proverbiale a
progressivement migré dans le langage populaire où elle s’est fixée
jusqu’à aujourd’hui.
Pourquoi dit-on “avoir un Jules” ?
Le « Jules » de l’expression a réellement existé. Il s’agit d’une
référence directe à une véritable personne qui vécut au 18ème siècle
dans l’entourage de Marie-Antoinette. Contrairement à ce que laisse
penser le prénom, Jules était une femme, proche de la reine et nommée
Madame de Polignac. Femme de Jules de Polignac elle était parfois
surnommée le « Jules de la reine ». Une intense amitié lia les deux
femmes dès 1774. Avec sa confidente Marie Antoinette passait énormément
de temps, y compris dans son château du Petit Trianon.
Madame de Polignac devient duchesse en 1780. Vite jalousée on fit
courir la rumeur que les deux amies étaient amantes, en prenant soin de
surnommer la confidente «Jules» pour ne pas insinuer trop clairement que
la reine était homosexuelle.
Mais avec la Révolution la reine dut s’exiler. Elle quitta son amie
avec tristesse. Madame de Polignac mourut cinquante jours seulement
après la reine.
L'Etna, également appelé Ætna, Etnea, Monte di Catania ou encore Mons Gibel Utlamat, d'où Mongibello (doublet du latin mons et de l'arabe djebel qui veulent dire « montagne »), en sicilien ’a muntagna ou Mungibeddu, est un volcan d'Italie situé en Sicile, à proximité de la ville de Catane, la seconde ville la plus peuplée de Sicile.
Culminant à 3 330 mètres d'altitude, il est le volcan le plus haut d'Europe et avec presque cent éruptions au cours du XXe siècle, l'un des plus actifs du monde.
Sa forte activité éruptive, les coulées de lave très fluides et la proximité de zones densément peuplées ont décidé les volcanologues à l'inclure dans la liste des volcans de la Décennie.
L'Etna forme une montagne massive conique culminant à 3 330 mètres d'altitude et couvrant une superficie de 1 200 km2 ce qui en fait le volcan le plushaut d'Europe et la montagne la plus volumineuse d'Italie avec 350 km.
Durant le XXe siècle, son altitude a fréquemment varié d'environ cent mètres en fonction des coulées de lave et de boue. Il s'élevait à 3 274 mètres en 1900, 3 290 mètres en 1956 et 3 345 mètres en 1978.
Ses pentes relativement raides sont interrompues par plusieurs bouches éruptives, notamment sur ses flancs sud et ouest, ainsi que par plusieurs caldeiras dont la plus grande est la vallée du Bœuf en forme de fer à cheval de cinq kilomètres de largeur pour dix kilomètres de longueur orientée vers l'est
et le Queyras. Habité de légendes, de sommets aux noms mystiques (la
main de Dieu, la Font Sancte), le Val d’Escreins arbore les ruines d’un
village et un refuge accueillant pour tous les contemplatifs et les
gourmands.
Le plus grand lac naturel d’altitude d’Europe : Le Lac d’Allos (Val D'Allos)Ce joyau cristallin des Alpes du Sud est perché dans le Parc National du Mercantour à 2220m d’altitude. Paradis des truites et des ombles
chevalier, il comblait aussi tout ceux qui aiment les déguster lorsque
la pêche au filet était autorisée. Depuis 1979, le classement du
territoire a permis l’expansion et l’apparition d’espèces prestigieuses.
Le plus vertigineux : Les Gorges de la Bourne (Vercors)Situé dans le Parc Naturel Régional du Vercors, entre Pont-en-Royans et Villard-de-Lans, le site naturel des Gorges de la Bourne réserve, à
tous ceux qui empruntent son impressionnante route à encorbellement, une
succession de paysages sauvages.
Le plus haut de tous : Le Mont-Blanc (Alpes du Nord)Avez-vous vraiment besoin d’un petit texte sur le Mont-Blanc ? Nous pensons que cette photo dit tout.
Le plus « Hello Kitty » : Les Aiguilles d’Arves (Albiez-Montrond)Ces trois montagnes, dont une à tête de chat, s’élèvent fières, tranquilles et hautaines, comme le félin. Oserez-vous réveiller le chat
qui dort ?
Le plus poétique : Le Puy Mary (Massif Central)« …. Si les hommes ne dansaient pas sur les volcans, je me demande où et quand ils danseraient ; l’important est de bien savoir qu’on a le
volcan sous les pieds afin de goûter son vrai plaisir d’homme libre »
(Jacques Perret – de Bâtons dans les roues).
Le plus « on a marché sur la Lune » : Le Désert de Platé (Flaine)Son altitude et sa formation géologique particulière en font un site unique en Europe. Pour cette raison, il fera l’objet d’un classement
géologique en 1998. Vaste plateau calcaire façonné par les glaciers et
sculpté par les eaux de fonte, les randonneurs qui s’y aventurent ont
l’impression de marcher sur un glacier pétrifié.
Le plus joyeux : le Lac Achard (Chamrousse)Marcel Achard, un écrivain français auteur de comédies légères, avait l’habitude de dire que si l’on raconte son bonheur, on le diminue. Une
phrase parfaite pour ce lac, Achard donc, parfaitement accessible en
famille, dans la joie et la bonne humeur, au dessus de Chamrousse.
Le plus épique : La Brèche de Roland (Pyrénées)Selon la légende, la Brèche fut ouverte par Roland, le neveu de Charlemagne, alors qu’il tentait de détruire son épée Durandal en la
frappant contre la roche à l’issue de la bataille de Roncevaux. Voyant
qu'elle ne cassait pas, il l'aurait envoyée de toutes ses forces dans la
vallée et elle se serait fichée dans une falaise à Rocamadour dans
le Lot (
Le Graffalgar est un hôtel novateur au design urbain et moderne.
Chaque chambre y est unique et personnalisée par des artistes ayant reçu carte blanche pour exprimer leur créativité. Véritable carrefour, il permet la croisée des voyageurs, artistes et curieux.
Le Graffalgar est également un lieu d'expression et d’échanges grâce au développement d'animations, de Workshops, d'outils pour une découverte alternative deStrasbourg et l’accueil d'activités associatives ou professionnelles.
Hôtel, lieu de spectacle, galerie d’art,restaurant " la Graffateria ", le Graffalgar veut développer une dynamique basée sur l’échange entre les usagers de l’hôtel et les Strasbourgeois-e-s.
Ouvert depuis mars 2011, la Gaîté Lyrique est dédiée aux musiques actuelles et aux arts numériques. Pourtant ce lieu qui ne date pas d’aujourd’hui estchargé d’histoire.
Le premier théâtre à avoir porté le nom de « Gaîté » se situe non loin de l’actuelle place de la République et s’appelle à l’époque Théâtre de la Gaîté et Grands Danseurs. Ce n’est qu’en 1792 qu’il prend le nom de théâtre de la Gaîté. Nom qu’il
quitte 3 ans plus tard pour celui de « théâtre d’Émulation ». Cependant, le nom « théâtre de la Gaité », déjà ancré dans l’esprit des Parisiens,lui est restitué 4 ans après. Son style est alors uniquement consacré à la dramaturgie. L’endroit subit différentes transformations au cours deson histoire. En 1808, la salle principale est agrandie à 1800 places.
Une belle pièce pour l’époque. Malheureusement, près de 30 ans plus tard, un incendie la ravage. Elle doit alors être reconstruite.
L’ancien théâtre de la Gaîté, quelques jours avant son expropriation.
En 1862, alors qu’elle est fréquentée par la haute société, la bâtisse doit être détruite pour la construction de l’actuelle place de la République. À cette époque, pendant les grands travaux d’Haussmann, les expropriations sont monnaie courante. L’édifice est reconstruit presque à l’identique dans le 3ème arrondissement, rue Papin.
Sans tergiverser, la direction artistique est tout de suite affirmée. L’endroit est voué à l’opéra lyrique et dès 1873, il devient le temple de l’opérette sous la direction de Jacques Offenbach. Malheureusement, les envolées lyriques se sont tues peu à
peu, jusqu’à la fermeture du lieu pour cause de déficit en 1963.
De plus en plus délabré, d’importants travaux sont nécessaires pour sa remise en état. Un investissement que la ville de Paris se refuse malheureusement à prendre en charge. Il reste, donc, à l’abandon et n’est ouvert que brièvement à partir de 1967 pour de courtes représentations. Le théâtre de la Gaîté ne retrouve un locataire qu’en 1974. C’est l’école de cirque Carré Silvia-Montfort qui s’y installe pour 4 ans. Cependant, la troupe ne peut pas jouir de tout l’espace. La grande scène lui est notamment interdite. En effet, l’édifice complètement détérioré, tombe en ruines. Maire de Paris, en 1977, Jacques Chirac essaye de débloquer des fonds pour sa rénovation. Des subventions qu’il n’obtiendra jamais…
Le dôme principal menace alors de s’effondrer, complètement laissé à l’abandon. La bâtisse va quand même résister au temps et finit par être classée à l’inventaire des monuments historiques en 1984. Cinq ans plus tard, le théâtre se voit enfin accordé des travaux de réhabilitation. C’est un parc d’attraction nommé « Planète magique » qui y élit domicile. La seule période de son histoire où le théâtre n’est plus un théâtre. Le parc fait faillite en 1991 et, pour la énième fois, l’édifice se retrouve fermé.
Ce n’est qu’en 2011, après 10 ans de tractations et 4 ans de travaux que l’endroit est transformé en centre culturel sous l’impulsion de BertrandDelanoë, maire de Paris jusqu’en 2014. Il est donc maintenant consacré aux arts numériques et aux musiques actuelles. Bon nombre d’ateliers sont proposés et l’endroit organise souvent des concerts et autres événements.
Poursuivi par la justice américaine pour exhibition (il aurait montré son sexe à un concert à Miami), Jim Morrison fuit les Etats-Unis pour la France en 1971. Le poète torturé marche sur les traces de ses idoles Baudelaire et Rimbaud. Cette vie parisienne, faite d’anonymat et d’écriture, le séduit. Découvrons ses lieux d’inspiration.
17 Rue Beautrellis, là où Jim Morrison est retrouvé mort.
C’est l’appartement officiel du couple Morrison. Il se trouve au 3ème étage àdroite de l’entrée. La propriétaire n’est autre que le mannequin Elisabeth Larivière. Le couple lui sous-loue cet appartement du Marais.
Jim y passe beaucoup de temps à écrire, plaçant cet endroit au centre de.son Paris. C’est d’ailleurs dans cette baignoire que le poète est retrouvé sans vie par sa compagne Pamela. Le corps ne subira pas d’autopsie et les autorités concluront à un décès dû à une insuffisance cardiaque et à une consommation d’alcool excessive.
Hôtel George V.
C’est ici que séjourne Jim Morrison lors de son premier voyage à Paris, cettefois-ci sans la charmante compagnie de Pamela. Un an plus tard, il y revient le temps d’un bref passage alors qu’il s’installe dans la capitale. Juste le temps de récupérer sa compagne, venue à Paris avant lui et qui l’attendait dans cet hôtel. Cependant il n’aime pas ce palace
qu’il qualifie de « maison close à carpette rouge ».
Places des Vosges.
Bien connu des Parisiens, la place des Vosges est incontestablement l’endroit favori de Jim pour se cacher du monde. À
seulement deux minutes de son appartement, dans l’anonymat presque total (chose impossible pour lui aux Etats-Unis), il se rend souvent dans ce parc afin d’y méditer ou se livrer à l’écriture. Il a d’ailleursécrit nombre de ces poésies ici comme
« La nuit Américaine » ou « Wilderness ».
Vin des Pyrénées.
Le caviste préféré du chanteur se situe au 25 rue Beautreillis, juste à côté de son appartement. Le célèbre membre des Doors avait l’habitude d’y acheter son vin. Et comme tout vrai habitué, monsieur a ses habitudes ! Ainsi, il choisissait toujours unvin blanc, de Bordeaux de préférence. Un connaisseur…
Restaurant Beautreillis.
C’est le restaurant le plus fréquenté par le poète durant son passage à Paris. Cet endroit, qui a été témoin de nombreuses disputes du couple, se trouve juste en face de leur immeuble. En 1990, deux fans rachètent l’endroit. Une déco spéciale Jim Morrison y est installé… Au point que même les carreaux de la salle de bain où Jim est retrouvé mort sont récupérés et installés au mur ! Cependant, en 1996, le restaurant change de propriétaire. La déco est complètement refaite et les traces du
chanteur sont effacés. Aujourd’hui le restaurant se nomme : « Le dindon en laisse » et n’a plus rien du lieu qui rendait hommage à Jim après samort.
Café de Flore.
Considéré comme l’endroit préféré de Pamela Courson, le couple se rend donc régulièrement au « Flore ». C’est dans ce café qu’a été réalisé la dernière interview de Jim Morrison.
Il appréciait aussi l’endroit car Sartre, une de ses sources d’inspirations, était l’un des habitués du lieu.
L’ancien Bar Alexandre.
Le Bar Alexandre était un des lieux préférés du poète pour se restaurer et se saouler. Et les murs de ce troquet en auraient des choses à raconter… Le lieux est notamment devenu mythique grâce à un banc situé juste en face du bar. Jim Morrison, titubant, aime particulièrement s’y allonger à la sortie du Bar. Grâce aux énormes pourboires qu’il laisse, le poète est un peu chez lui ici. Il y boit bon nombre de verres et y fait quelques scandales sur fond d’alcool. Aujourd’hui remplacé par une
grande boutique Louis Vuitton, même le banc à disparu… Certains fans du chanteur auraient décider de s’en emparer comme « souvenir » après la disparation de leur icône.
Le Mazet.
Petit bout d’Angleterre en plein Paris, ce pub Anglo-Saxons du VIe lui permetde parler anglais et de boire comme à son habitude une bouteille de bordeaux blanc. Jim ne ressemble plus au « sex symbol » de la pochette de son album. Sans internet et sans la médiatisation dont font l’objet les artistes aujourd’hui, la plupart ignore qu’il a pris du poids et a laissé pousser une longue barbe de plusieurs mois. La légende raconte qu’un soir, il aurait quand même été reconnu par un fan américain derrière son croque-monsieur et sa bouteille.
Rock’N’roll Circus.
Ça serait le dernier endroit où Jim a été vu en vie… Situé rue de Seine, c’est à l’intérieur de ce véritable temple de la nuit, où se croise les célébrités de l’époque allant de Polnareff à Johnny Hallyday, que le poète se saoule et fait la rencontre d’autre artistes contestataires comme lui. Les dealers sont également très présents dans ce lieu, sentant l’appât du gain. Le chanteur aurait fréquenté le club la nuit desa mort, dans le but, notamment, de fournir sa compagne en héroïne.
C’est dans les toilettes de ce club qu’on retrouva le corps du célèbre chanteur inanimé, sûrement dû à une dose d’héroïne
qu’il avait sniffé età laquelle il n’était pas habitué. Craignant le scandale, les dealers et le patron de la boite organisent son retour chez lui. Ils le mettrontalors dans un bain glacé. Le lendemain matin, Jim Morrison sera déclaré mort…
Sa tombe.
Au cimetière du Père Lachaise, la tombe de Jim Morrison serait la plus visitée. Véritable lieu de pèlerinage pour ses fans, elle est fleurie toute l’année. Autrefois, un buste à son effigie trônait sur sa tombe, mais ce dernier a été volé parun admirateur. Certains viennent s’y recueillir, d’autres fumer des joints ou boire des bières. On peut même y croiser certains poètes
amateurs espérant suivre les traces de leur idole. Plus de 40 ans après sa disparition, Jim Douglas Morrison, chanteur des Doors, poète et membre du triste « club des 27″, suscite toujours autant l’admiration.
Le Charme Des Lacs Italiens...
Le Périple de Jérôme Pitorin
Lac de Côme, lac Majeur, lac de Garde, lac d’Iséo…Ce sont des endroits où règnent le luxe, le calme et une idée de la volupté.
Connus pour leur romantisme, les lacs italiens sont à la hauteur de leur réputation.
Y vivre reste un privilège mais il ne faut pas faire partie d’une élite argentée pour en profiter.
Le lac de Côme reste sans doute le plus réputé pour être prisé des acteurs hollywoodiens, à l’instar de George Clooney. Le lac Majeur doit son nomau fait qu’il est considéré comme l’un des plus étendus des lacs préalpins. Nombreux sont les artistes italiens et internationaux qui y ont séjourné.
Au lac de Garde, l’ambiance est plus familiale. Moins huppé que les deux précédents, le lac bénéficie d’un climat favorable qui laisse pousser une très belle végétation. Citons la spécialité locale : les produits à base de citrons. Enfin, le lac d’Iseo, situé entre le lac de Côme et le lac de Garde, Contient les plus grande île lacustre d’Italie, Monte Isola.
Source : La Lac De Garde...
Le romantisme n’empêche pas l’aventure et les joies du plein air : partie de pêche sur le Lac de Garde, vitesse et passion à bord des plus belles voitures de collection et rencontres en toute simplicité. Une certaine idée de la classe à l’italienne, what else ?
Monnaie : Euro
Langue(s) : La langue officielle est l’italien.
Superficie : lac de Côme (146 km2), lac Majeur (212,5 km2), lac de Garde (370 km2), lac d’Iseo (65 km2).
Formalités de départ : Les ressortissants français, mineurs inclus, doivent être en possession d’une carte nationale d’identité ou d’un passeport pour serendre en Italie.
Climat : Le climat dans la région de Milan est un climat de type continental.
Les hivers sont généralement froids et humides, les étés plutôt chauds et également humides.
Les brumes sont particulièrement fréquentes pendant l'hiver et l'automne.
Cela est dû à l'absence de ventilation caractéristique de la région.
Transport : Le mieux pour se déplacer entre les lacs est sans doute le bateau ! Elémentaire quand on parle de lacs, non ?
Un très ancien service régulier de ferry dessert les trois grands lacs (Majeur, Côme et Garde), il a aujourd'hui une visée plus touristique.
Evidemment, ceux qui possèdent une voiture seront plus libres pour aller de lac en lac.
Les trains permettent aussi de rejoindre Milan aux principales villes de la région des lacs comme Vérone et Brescia. Le meilleur moyen de transportpour explorer l'arrière-pays reste le bus.
Certaines lignes sont très bien desservies mais parfois les trajets peuvent être rallongés en raison de correspondances ou d'une moindre régularité dans le passage des bus.
Nourriture : Région des lacs oblige, vous y mangerez beaucoup de poissons. On y trouve aussi des risottos, comme le risotto au safran de couleur jaune...un régal !
En antipasto, vous pourrez goûter des fines tranches de veau sur lesquelles on trouve une sauce aux câpres et au thon. Autre incontournable : L'osso bucco ou les escalopes de veau préparées à la milanaise qui accompagnent au choix un risotto ou une polenta.
La région est également très riche en charcuteries et autres viandes séchées. Côté légumes, on trouve des asperges, des oignons ou des haricots.
N'oubliez pas de goûter aux nombreux plats de pates. Les fromages ont également la part belle.
Hébergement : dans cette région d'Italie, les hébergements ne manquent pas. En revanche, les prix peuvent énormément variés d'une saison à l'autre.
Vous trouverez beaucoup d'alberghi (hôtels) et de pensioni (pensions de famille).
Ces deux types d'établissements se soumettent en général au classement par étoile qui donne rapidement une idée du confort. On peut également louer des chambres chez l'habitant sous la forme de B&B ou d'affittacamere.
On constate un énorme engouement pour ce système souvent au détriment des hôtels traditionnels. De nombreuses formules d'agritourisme se développent également.