De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
07/02/2018 - 13:12

                                  ELLE EST  NÉE  UN  7  FÉVRIER  ,JULIETTE GRÉCO.                


En 1939, elle est petit rat à l'Opéra de Paris. Sa mère l'entraîne dans la
résistance. Capturée, elle n'est pas déportée à cause de son jeune âge,
mais elle est emprisonnée à Fresnes, alors que sa mère et sa sœur aînée
Charlotte sont déportées à Ravensbrück d'où elles ne reviendront qu'en
1945, après la libération du camp par les Américains. Début 1942,
Juliette est libérée de Fresnes et, après avoir récupéré ses affaires au
siège de la Gestapo dans le 16e arrondissement de Paris, elle se
retrouve à 15 ans seule et sans ressources « sur l'avenue la plus belle
du monde, l'avenue Foch » avec un ticket de métro en poche1. Elle se
rend alors chez la seule personne de sa connaissance résidant dans la
capitale, Hélène Duc, qui fut son professeur de français à Bergerac et
une amie de sa mère. Elle sait qu'Hélène habite rue Servandoni, près de
l'église Saint-Sulpice. Hélène Duc la loge dans la pension où elle-même
demeure et la prend en charge.

Le quartier de Saint-Germain-des-Prés est à deux pas de là et, en 1945,
Juliette découvre le bouillonnement intellectuel de la rive gauche et la
vie politique à travers les Jeunesses communistes. Hélène Duc l'envoie
suivre les cours d'art dramatique dispensés par Solange Sicard Juliette
décroche quelques rôles au théâtre (Victor ou les Enfants au pouvoir en
novembre 1946) et travaille sur une émission de radio consacrée à la
poésie.

Juliette noue des relations amicales avec de jeunes artistes et intellectuels de
Saint-Germain-des-Prés, dont Anne-Marie Cazalis et Boris Vian. C'est
dans l'un des bistrots de la rue Dauphine, Le Tabou, qu'elle découvre
par hasard que celui-ci dispose d'une grande cave voûtée inutilisée que
le patron appelle « le tunnel ». Juliette et ses copains trouvent
l'endroit idéal pour y faire de la musique et danser tout en discutant
philosophie. Il suffit d'une semaine pour que les curieux viennent en
nombre pour observer cette nouvelle et bizarre faune baptisée «
existentialistes ». Juliette, devenue la célèbre muse de
Saint-Germain-des-Prés sans n'avoir rien accompli de probant, décide
alors de justifier sa célébrité en optant pour la chanson. Jean-Paul
Sartre lui confie une sorte de mélopée qu'il a écrite pour sa pièce de
théâtre Huis clos et lui conseille d'aller voir le compositeur Joseph
Kosma pour que celui-ci en réécrive la musique qu'il ne trouvait pas
réussie. C'est ainsi que Juliette interprète La Rue des Blancs-Manteaux,
œuvre née de la plume du chantre de l'existentialisme et d'un
compositeur rompu à l'art de mise en musique de la poésie (notamment
celle de Jacques Prévert)

En 1949, disposant d'un riche répertoire (de Jean-Paul Sartre à Boris
Vian...), Juliette Gréco participe à la réouverture du cabaret le Bœuf
sur le toit. Elle rencontre cette année-là Miles Davis dont elle tombe
amoureuse3. En 1951, elle reçoit le prix de la SACEM pour Je hais les
dimanches. En 1952, elle part en tournée au Brésil et aux États-Unis
dans la revue April in Paris.

En 1954, elle chante à l'Olympia. Elle rencontre son futur époux, le
comédien Philippe Lemaire, sur le tournage du film Quand tu liras cette
lettre de Jean-Pierre Melville. Ils divorcent en 1956 après la naissance
de leur fille Laurence-Marie.

Elle repart pour New York et ses interprétations des plus grands auteurs
français enthousiasment les Américains. Hollywood la courtise. Elle
rencontre le puissant producteur Darryl Zanuck sur le tournage du film
Le soleil se lève aussi d'Henry King (1957). Il devient son compagnon,
malgré les différences d'âge et de tempérament. Elle tourne dans
quelques-unes de ses productions jusqu'en 1961, notamment sous la
direction de John Huston dans Les Racines du ciel (1958) et de Richard
Fleischer dans Drame dans un miroir (1960), tous deux avec Orson Welles.

En 1960, elle revient à la chanson qu'elle ne quittera plus, découvre et
fait découvrir de nouveaux talents : Jacques Brel, Serge Gainsbourg, Guy
Béart et Léo Ferré.

En 1965, elle effectue une tournée des Maisons des Jeunes de la Culture de la banlieue parisienne offrant
gratuitement à un public constitué de jeunes étudiants et d'ouvriers qui
la découvrent tous les auteurs et les compositeurs qu'elle se donne
comme mission de servir. Toujours en 1965, elle tient un rôle de premier
plan dans le feuilleton télévisé Belphégor ou le Fantôme du Louvre. La
même année, lors d'un dîner de têtes d'affiches organisé par un grand
magazine populaire, elle se retrouve assise aux côtés de Michel Piccoli
qui deviendra son mari en 1966. Ils se sépareront en 1977.

Du 16 septembre au 23 octobre 1966, le TNP accueille pour la première fois
dans sa grande salle (2 800 places) du Palais de Chaillot deux
chanteurs : Juliette Gréco et Georges Brassens

En 1968, elle inaugure la formule des concerts de 18 h 30 au Théâtre de la Ville à
Paris. Elle y interprète l'une de ses plus célèbres chansons,
Déshabillez-moi.

Elle enregistre en avril 1969 un titre de Didier Rimaud à la demande de son ami François Rauber, Faurait aller plus
loin, chanson intégrée à l'album Difficile amour de Bernard Geoffroy






07/02/2018 - 11:01

                                                 
SOUVENEZ  VOUS  ?

JO d'hiver : il y a 50 ans, moisson de médailles pour la France à Grenoble
jean-Claude Killy fait la une de "Sud Ouest", le 13 février 1968, pour sa deuxième médaille d'or.
deuxième ville française à accueillir les Olympiades d'hiver après Chamonix en
1924, et avant Albertville en 1992, Grenoble avait raflé l'organisation
des Xes olympiades d'hiver de 1968, face aux candidatures de Calgary,
Lahti, Sapporo, Oslo et Lake Placid
Je proclame l'ouverture des Xes Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble

Il y a 50 ans jour pour jour, le 6 février 1968, le général de Gaulle
ouvrait en grandes pompes les Jeux olympiques de Grenoble, dans l'Isère,
au cours d'une cérémonie gigantesque et époustouflante, commentée en
direct avec toute la solennité requise par Léon Zitrone.
Réalisée par le sculpteur César, la vasque olympique en acier recouvert
d'aluminium, est immense (4 mètres de diamètre et 1,30 mètre de haut),
tout comme l'escalier au sommet duquel elle trône : quatre-vingt-seize
marches que gravit avec la flamme olympique Alain Calmat, ancien
vice-champion olympique de patinage artistique, pour l'embraser. Malgré
tant de grandeur, une partie de la presse reste dubitative : "Grenoble,
les jeux débutent, mais seront-ils olympiques ?" s'interroge ainsi "Sud
Ouest", à la une de son édition du 6 février 1968.
La suite de l'histoire allait rassurer les journalistes, au risque de les
enthousiasmer. Jusqu'au 18 février 1968, les projecteurs du monde entier
seront braqués sur la France et l'Isère. Transformée en capitale
olympique après de grands travaux portés par l'élan économique des Jeux
pour lui permettre de mettre en avant la modernité de l'Hexagone, la
ville sera le théâtre de grandes premières et de multiples records.
Sportifs mais pas seulement.
Première retransmission télévisée mondiale en couleurs
A commencer par un record technologique : pour la première fois dans
l'histoire, retransmis en mondiovision, les Jeux sont diffusés à la
télévision en couleurs. La cérémonie d'ouverture se déroule devant 65
000 spectateurs et des centaines de millions de téléspectateurs. La
France se régalera avec 111 heures de retransmission en direct, dont 59
heures en couleurs, et vingt-sept heures de retransmission en direct
sont proposées aux États-Unis par l'intermédiaire du satellite Intelsat
Enfin et surtout, côté sportif (c'est quand même l'essentiel) si la Norvège
arrive en tête du classement des nations en remportant 14 médailles dont
6 en or, l'équipe de France obtient à domicile son meilleur résultat
dans l'histoire des Jeux d'hiver, avec neuf médailles. Une moisson
exceptionnelle, pour les filles, Annie Famose, Marielle Goitschel, et
Isabelle Mir, et pour les garçons, Patrick Pera (patinage artistique)
Guy Périllat, Georges Mauduit et Jean-Claude Killy, couronnée par
l'incroyable performance individuelle de ce dernier. A 24 ans, Killy
empoche trois médailles d'or en huit jours dans les trois disciplines
reines du ski alpin : la descente, le slalom et le slalom géant. Depuis,
c'est le seul skieur français a détenir un tel record.

Le skieur de Val d'Isère commence sa moisson par l'épreuve de descente,
le 9 février 1968. Il devance son compatriote Guy Périllat de huit
petits centièmes


Le 12 février 1968, après une première manche parfaite, Killy s'impose
encore une fois en slalom géant, avec deux secondes d'avance.
Pour réussir le grand chelem, reste le slalom. Cette dernière course se
déroule le 17 février 1968 à Chamrousse, dans le brouillard. Karl
Schranz s'impose devant Jean Claude Killy, mais l'Autrichien est
disqualifié quelques heures après pour avoir manqué une porte

Jean-Claude Killy, au centre, médaille d'or du slalom, entouré des Autrichiens
Herbert Huber (à gauche) et Alfred Matt (à droite), le 17 février 1968.
CRÉDIT PHOTO : AFP – STAFF
Ce slalom restera dans l'histoire comme l'une des plus grosses polémiques de l'histoire du ski aux JO. Mais
Jean-Claude Killy, la star française des Jeux de Grenoble, est entré
définitivement entré dans la légende... En couleurs

l'Elysée à déjeuner, le 19 décembre 1968, avec les médaillés d'été de Mexico. Entre temps, mai 1968 aura fait sa révolution...
Les médaillés olympiques français de Grenoble et Mexico au Palais de
l'Elysée, à Paris, le 19 décembre 1968. De gauche à droite, Jean Claude
Killy, Annie Famose, Marielle Goitschel, Roger Bambuck et Isabelle Mir


 
07/02/2018 - 10:32
Sites BBizarres & Mystérieux Cachés Dans Notre Monde...


 
10  Artefacts fascinants aux origines mystérieuses...
10 Anciennes Civilisations que l'Histoire a Oublié... 10 Terrifiantes planètes que vous ne voudriez pas visiter... Les 7 Merveilles Naturelles du Monde - (UNESCO)
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07/02/2018 - 10:00
Coucou Marie-Jeanne
Très contente de vous voir revenue parmi nous...La santé est bonne alors? c'est le principal.
Merci pour ces beaux lilas fleuris avant l'heure! ça fait penser au printemps,et par les temps qui courent ça fait du bien au moral!!!merci
Merci encore à Mayyan! on apprend beaucoup de choses très intéressantes avec vous deux, c'est vraiment sympa!!! A+
07/02/2018 - 09:36

LE SECRET DE NAISSANCE DU LILAS BLANC


On assure que le hasard seul a présidé à sa naissance, vers 1850. A cette
époque, au lieu dit Vaugirard, couvert alors de jardins et de marais,
vivait un brave horticulteur peu instruit, mais observateur perspicace.
Modifiant un massif de lilas, il abandonna dans leur motte de terre
quelques pieds arrachés...

Comme le froid menaçait et que le temps lui manquait pour replanter ses
arbustes, il les transporta, pour les mettre à l'abri, dans une sorte de
souterrain, autrefois entrée d'une des carrières qui abondaient sous
cette partie du sol parisien. Les lilas y avaient été complètement
oubliés quand, aux premiers jours du printemps, pénétrant par hasard
dans l'ancienne carrière, il aperçut ses arbustes couverts de
ravissantes inflorescences blanches au lieu des thyrses d'une coloration
intense qu'ils avaient donné jusqu'alors.

Ce spectacle plongea notre jardinier dans une profonde méditation d'où
sortit le projet de réaliser industriellement ce que le hasard lui avait
révélé. De là à l'exécution il n'y eut qu'un pas. L'hiver suivant, le
souterrain, bien clos, bien disposé, fut rempli d'arbustes qui donnèrent
au cœur de l'hiver des rameaux fleuris dont l'intelligent jardinier
tira un prix énorme. Une telle aubaine ne manqua point d'éveiller
l'attention des voisins, qui eurent bientôt surpris le secret du
procédé. En peu de temps, toutes les anciennes carrières de la région
devinrent des fabriques de lilas blanc. Voilà pourquoi, durant de
longues années, cette culture fut centralisée à Vaugirard.

Mais Paris étouffait dans sa ceinture trop étroite ; il lui fallait de
l'espace. Les constructions envahirent la zone suburbaine ; les terrains
de Vaugirard furent des premiers absorbés, les carrières se vidèrent ;
la gracieuse industrie dut émigrer et chercher ailleurs des
installations favorables. En se déplaçant, les « forceurs » de lilas
appelèrent la science à leur aide, la science qui avait péremptoirement
démontré les effets de l'absence ou de l'abondance de la lumière sur la
végétation.

Ce fut à ce moment que se créèrent les établissements qui s'adonnaient en
1900 à la production industrielle du lilas blanc. Quand nous disons
lilas blanc, c'est une façon de parler ; il conviendrait mieux de dire
lilas non coloré, car – cela surprendrait plus d'un lecteur – le lilas
le plus blanc, celui dont les inflorescences sont les plus délicates,
est obtenu par le traitement des variétés précisément les plus
vigoureuses et les plus riches en couleur. Ce sont les lilas dits « de
Marly » et « de Charles X », dont nous admirons en pleine terre les
éclatantes grappes, qui fournissent les éléments de cette gracieuse
industrie
 
07/02/2018 - 09:05
Balade Dans L'Île De La Réunion.

Voie lactée au dessus de l' Île de la Réunion.

      L’île de la Reunion
.
La Réunion est une île française du sud-ouest de l’océan Indien située dans l’archipel des Mascareignes à environ 700 kilomètres à l’est de Madagascar et à 170 kilomètres au sud-ouest de l’île Maurice, terre la plus proche.
Bénéficiant d’un climat tropical et située sur la route des cyclones, elle présenteun relief escarpé travaillé par une érosion très marquée. Elle culmine à3 071 mètres d’altitude au sommet du piton des Neiges et abrite par ailleurs l’un des volcans les plus actifs du monde : le piton de la Fournaise. Ce dernier augmente régulièrement la superficie totale de ce territoire
d’environ 200 kilomètres de circonférence et qui jouit sur ses 2 512 kilomètres carrés actuels d’un endémisme exceptionnel.
Vraisemblablement repérée par les Arabes dès le Moyen Âge, La Réunion n’a été habitée qu’à compter du milieu du XVIIe siècle, soit environ 150 ans après son apparition sur les portulans des navigateurs portugais. Jusqu’alors
connue sous le nom de Mascareigne, elle devient sous celui de Bourbon une escale de la Compagnie française des Indes orientales sur la route des Indes puis, à partir des années 1710, une véritable colonie pratiquant la culture du café.


Source :  La Réunion est une île du sud-ouest de l'océan Indien, devenue un département et une région d'outre-mer français. Wikipédia
Devenue une société de plantation, elle passe ensuite sous le contrôle direct du roi de France dans les années 1760 avant d’être réaffectée à l’industrie de la canne à sucre au terme des Guerres napoléoniennes.
Elle est définitivement rebaptisée de son nom actuel et l’esclavage y est aboli en 18481. Malgré l’engagisme, qui se pratique jusque dans les années 1930, il s’ensuit une crise économique rampante à laquelle un terme ne sera mis que suite à sa transformation en département français en 1946.
La Réunion est depuis lors un département d’outre-mer désigné par le numéro 974 et elle bénéficie de ce fait d’un développement rapide auquel participe son statut plus récent de région ultrapériphérique de l’Union européenne. Néanmoins, et en dépit de son appartenance à la zone euro, son tissu productif reste structurellement fragile et fortement dépendant de la France métropolitaine. On y relève un taux de chômage
particulièrement élevé (de l’ordre de 25%) résultat de la croissance encore soutenue de la population, qui est officiellement au 1er janvier 2010 de 833 000 habitants. Les Réunionnais se concentrent sur les côtes, où l’espace et le logement viennent à manquer et où se trouve Saint-Denis, le chef-lieu.

La démographie locale se caractérise par la jeunesse des habitants et leurs origines variées, à la fois européennes, ouest-africaines, est-africaines, malgaches, indiennes, annamites, malaises et chinoises. La cohabitation dans un espace restreint a donné lieu à des mélanges inédits, leurs langues formant le créole réunionnais, leurs religions se rencontrant autour d’un syncrétisme original, leurs gastronomies nourrissant ensemble la cuisine réunionnaise et leurs musiques fusionnant pour donner le séga et le maloya. Ce métissage original est considéré comme un atout essentiel pour le premier secteur économique de l’île : l’industrie touristique locale, à qui elle doit son surnom d’Île intense.


La Réunion, L’ Île tout bleu, tout rouge, tout vert, le contraste...
Imaginez une montagne rebelle, surgie des entrailles de la Terre, il y a cinq millions d’années, et modelée, durant des millénaires, par une terrible force volcanique. D’éruptions de lave en effondrements de terrains, le temps a façonné un relief sauvage et torturé, une œuvre de la nature unique et spectaculaire, la Réunion est la destination des amoureux de la
nature et des randonneurs, conquis par sa pureté et son authenticité.

On peut se laisser charmer par ses lagons, ses superbes falaises abruptes et ses côtes sauvages battues par les eaux bleues outremer de l’Océan Indien mais ses plages de sable ou de galets, rafraîchies par de vivifiants embruns, n’invitent que timidement à la baignade. Et même si le tombant, proche, abrite bien des merveilles, les vrais trésors de l’Ile sont ailleurs, enfouis au cœur des terres.

Saint-Denis est une commune française située au nord du département et de la région de La Réunion, dont la population s'élevait à 145 238 habitants au dernier recensement de 2012. Wikipédia
Les panoramas sont grandioses et leur diversité n’a d’égale que celle de la flore et des micros-climats. La végétation tropicale et ensoleillée desBas devient ainsi forêts humides et fraîches à l’approche des Hauts noyés dans le brouillard, pâturages verdoyants sur les Hauts Plateaux, champs de cannes à sucre sur le littoral du Sud et de l’Est, paysages
lunaires à l’approche du Volcan de la Fournaise ou terre de désolation sur le passage des coulées de lave… Ainsi va la Réunion, excessive en tous points, terre de feu et de contrastes.


Population et Culture.

Les offices de tourisme au nord de l’île Antenne de Saint-Denis - Maison Carrère -
14, rue de Paris 97400 Saint-Denis
Tél. : 0262 41 83 00

La Réunion compte aujourd’hui plus de 730 000 habitants mais les statisticiens en annoncent 1 000 000 pour 2010 en raison de sa forte croissance démographique. Il s’agit d’une population plutôt jeune et très métissée avec des origines africaines, asiatiques et européennes.
Les plus nombreux sont les“Créoles”(descendants des colons)qui vivent en bonne harmonie avec les “Cafres n“(Africains) , les “Malabars” ( Indiens musulmans ), les” Z’oreils”(Métropolitains), les Chinois, les Malgaches, les Mahorais et les Comoriens. Tous ont apporté, avec eux, leurs traditions, leurs coutumes et leurs religions, participant à la création d’une exceptionnelle richesse culturelle.

Car cette diversité ethnique est, contre toute attente, légitimée par le sentiment d’appartenir au peuple réunionnais et si la langue officielle demeure le français, le créole est parlé de la plupart. Leur quotidien est aussi très empreint de religion, le catholicisme étant suivi par l’hindouisme, le bouddhisme et l’islam. Au cours de l’année, se succèdent ainsi de nombreuses fêtes religieuses ouvertes à tous quel quesoit ses convictions. De nombreuses manifestations sont également l’occasion de joyeux rassemblements : bals populaires, combats de coqs, pique-niques, fêtes régionales. Toutes les occasions sont bonnes pour faire la fête, écouter du séga, danser le maloya, jouer au football, auxcartes ou aux dominos.

Faune et flore.

Source :  ESPECE INDIGENE ILE DE LA REUNION, espèce endémique de la Réunion, faune réunion.

Lors de vos promenades et randonnées dans l’Ile, vous découvrirez une flore très variée. Tropicale et ensoleillée sur la Côte Ouest (cocotiers, bananiers, filaos, vacoas…), la végétation devient sauvage sur la Côte Est, forêts en allant vers les Hauts (cryptomérias, bois de couleurs, tamarins…) ou pâturages sur les Hauts Plateaux (fougères arborescentes, lande…). Champs de canne à sucre à perte de vue, arbres fruitiers (manguiers, papayers, goyaviers…) ou fleuris (bougainvilliers,
frangipaniers, flamboyants…) et fleurs de toute beauté (hibiscus, orchidées, alamandas, anthuriums…) forment, sous le soleil, un tableau odorant et coloré.


Source  :  L'île de La Réunion présente une flore particulièrement variée.
Plus de 1 000espèces de plantes se sont progressivement installées, au gré des courants marins, des cyclones et des migrations. Avec plus de 100 micro-climats, des sols d'âges différents La Réunion présente des conditions d'installation particulières à l'implantation d'une flore regroupée dans 116 habitats et dans quatre types de milieux naturels.
Découvrez les espèces endémiques et indigènes, les fleurs et les fruits tropicaux, les lianes, les cactus, les palmiers...

Les Réunionnais ont un amour particulier pour les fleurs, tous les jardins sont abondamment fleuris. Cette passion florale a permis à l’Ile de devenir un important exportateur de fleurs exotiques vers la France Métropolitaine.
En levant les yeux, vous apercevrez de superbes oiseaux virevoltant au dessus de vos têtes : oiseaux de mer flirtant avec les courants le long des falaises (pailles-en-queue, sternes fuligineuses…) ou des remparts rocheux des cirques (papangues, condés…), leur ballet aérien est toujours un spectacle fascinant.
Au détour d’un buisson, vous tomberez peut-être nez à nez avec le cerf de java ou le tangue (sorte de hérisson). Enfin, en chaussant masque et tuba, vous pourrez aller vous perdre au milieu de multicolores petits poissons coralliens (perroquets, clowns…). Faîtes appel à des professionnels, ne vous baignez que dans les zones autorisées et soyez prudents. Le “tombant” n’est jamais loin et avec lui, les forts courants et les poissons des profondeurs abyssales (requins bleus et blancs, espadons, barracudas…). Du fait des grandes profondeurs, la Réunion est aussi le paradis pour la pêche au gros ou la chasse sous-marine (espadon, thon, requin…feront le bonheur des amateurs de pêche sportive).
Les Cirques......
Salazie : Très vert, car très arrosé, le Cirque de Salazie est un décor de paradis perdu, ensoleillé et fleuri où, de larges rideaux de verdure, dévalent de cristallines cascades. On y accède par Saint-André, en longeant la Rivière du Mât. Sur la route qui grimpe, on admire la Cascade du Bras de la Caverne et les profondes Gorges du Mat, traverséessur un drôle de pont de fer. Une fois dans le cirque, le panorama est fabuleux.
A la sortie du village, laissant les jolies cases créoles au toit rouge, aux franges sculptées et aux varangues fleuries, vous apercevrez les splendides et vertigineuses Cascades du Voile de la Mariée qui dévalent des hauteurs.
Une fois passée Mares à Poules d’Eau (beau point de vue sur le Piton d’Enchaing), vous parviendrez à Hell Bourg, station thermale jusqu’en 1948. Les anciens Thermes se visitent ainsi que l’Ecomusée et la Villa Folio (du 19°siècle), une de ces belles maisons d’antan, symboles d’un passé prospère. On y pêche la truite, y pratique le canyoning . 
Hell-Bourg est le point de départ de bien des randonnées, chacune proposant ses variantes, parmi lesquelles : le Gîte de Belouve (10km), la Source Manouilh (7km), Grand Sable (18km – départ d’Ilet à Vidot), le Piton d’Enchaing à 1352m d’altitude (10km-départ d’Ilet à Vidot). Vous profiterez également de très beaux points de vue depuis le Kiosque du Grand Bord (sur la route de Grand Net), du Piton Marmite ou du Col des Bœufs (crête entre Salazie et Mafate)…

Les Plaines.....

Source  :  Paysage De La  Reunion,  Plaine Des Palmistes
 
La Plaine des Cafres est la première à vous accueillir. Culminant à 1600m au niveau du Col de Bellevue qui la sépare de la Plaine des Palmistes, ce haut plateau est couvert de pâturages et de landes tapis dans le brouillard. Au milieu des bruyères, broutent de paisibles troupeaux de vaches, de moutons, mais aussi des chevaux.
L’air est froid, la température chutant régulièrement jusqu’à 0°. Le paysage se dévoile, superbe, avec en contrebas, le petit Ilet de Grand Bassin.
La Cascade du Voile de la Mariée mérite aussi le détour (multiples cascades assez fines et rapprochées). Chaque année, en janvier, a lieu la fête du réputé miel vert. Au niveau du 27ème km – Bourg-Murat, vous apercevrez La Maison du Volcan, reconnaissable à son architecture imagée. Vous y apprendrez les origines de la Terre et les mystères du Piton de la Fournaise. La route monte ensuite vers le Volcan.

Au niveau du Col de Bellevue, se dresse le Rempart de la Grande Montée dominant la Plaine des Palmistes. La végétation devient plus humide puis forêt. De la Petite Plaine (sentier botanique intéressant) au Gîte de Bélouve, on traverse la riche Forêt de Bébour-Bélouve où se mêlent cryptomérias, bois de couleurs, tamarins, fougères, fleurs… Du
gîte, on peut se rendre au Trou de fer (1h30-profond gouffre de 700m de profondeur qui se visite en hélicoptère ou en pratiquant l’escalade) ou àla Cascade du Chien (8H). 

La Plaine des Palmistes, verte et fleurie, est le royaume des fougères arborescentes, des orchidées, des tamarins…

Le village des Palmistes compte encore quelques jolies maisons d’époque.
Le mode de vie des habitants est plutôt rural et le marché attire bien du monde le dimanche matin. A proximité, se trouve la Cascade Biberon haute de 240m où l’on peut se baigner (45 mn à pied). En redescendant surSaint-Benoît, faîtes le tour du Grand Etang (1h30) ou hasardez-vous sur les passerelles et filets accrochés dans les arbres à 10m au-dessus du sol, du Parc Forestia, (parc de loisirs).


Le Volcan.

Agé d’environ 3 millions d’années et culminant à 2 632m, ce géant irascible ne dort jamais que d’un œil. Ses réveils sont actuellement annuels et offre, à chaque fois, un spectacle rare et surnaturel. Pour percer ses secrets, arrêtez-vous au préalable à la Maison du volcan (RN3-Bourg-Murat) : 02 62 59 00 26 www.reunionmuseo.com. ou à l’Observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise : 14RN – 27ème km– 97418 La Plaine des Cafres – Tel : 02 62 27 52 92 La route qui mène jusqu’à lui traverse des paysages aussi variés qu’extraordinaires (30km depuis Bourg-Murat).

Une fois quittés les verts pâturages de la Plaine des Cafres, la route se met à monter, atteint le Nez de Bœuf (paysage magnifique sur la Rivière des Remparts) puis le rougeoyant Cratère Commerson. La végétation se fait rare. La Plaine des Remparts passée, se dévoile soudain, surnaturelle et lunaire, la Plaine des Sables (étendue de scories). La route prend fin au Pas de Bellecombe, en haut d’un rempart haut de 300m face auVolcan (2631).

Si vous voulez entreprendre le tour du Volcan (13km), partez tôt (le brouillard s’installe dès la fin de la matinée), protégez-vous du soleil, emportez à boire, à manger ainsi qu’un vêtement de pluie et surtout, ne vous éloignez pas des marques blanches indiquant, au sol, lechemin. L’excursion commence par une descente dans l’Enclos (nombreuses
marches faciles à descendre). Le chemin passe près de deux petits cratères, le Formica Léo et la Chapelle de Rosemont puis la véritable ascension vers le sommet commence, au milieu de coulées enchevêtrées et de scories.


En haut, on fait le tour des Cratères Bory(2631m) et Dolomieu (ou cratère Brûlant) en prenant soin de se tenir loin des fumerolles sulfureuses quis’échappent des entrailles de la Terre. Le spectacle est magnifique, irréel. D’autres itinéraires de randonnées sont possibles : le Nez coupéde Sainte-Rose (4.3km depuis Pas de Bellecombe), le Morne Langevin (3.5km depuis Pas des Sables), la Rivière Langevin (13km depuis la Plaine des Sables jusqu’à Grand Galet). 

Géographie de La Réunion
 



La géographie de La Réunion est la géographie d'une île d'origine volcanique de formation récente située dans le sud-ouest de l'océan Indien. La diagonale Nord-Ouest/Est mesure 75 km, la diagonale Nord-Est/Sud-Ouest atteint 55 kilomètres.








07/02/2018 - 08:34
Les Pyrénées Atlantique Suite & Fin.
 
Laruns.

 ©  Serge Giarrizzo
Niché au cœur de la vallée d'Ossau, Laruns se trouve au pied des stations de Gourette et Artouste.  

Pays Basque .

©  Patrick Desmettre
Cette maison traditionnelle nous rappelle que nous sommes bien dans le pays
basque et non pas sur n'importe quel autre littoral français.   


Pau Et Son Château.

©  Jean-Luc Zuretti
Ville du Béarn et chef-lieu des Pyrénées-Atlantiques, Pau est aux portes de
la montagne. Elle s'illustre par son château qui a vu naître le roi
Henri IV.


Ascain.

©  Olivier Le Lay
Ascain est un petit village basque niché dans la vallée de la Nivelle.
C'est justement un bon point de départ pour une descente de la
rivière en canoë.  


La Cathédrale De Bayonne.

©  Guy Mediamole
La cathédrale Sainte-Marie de Bayonne est un édifice de style gothique
rayonnant, construite aux XIIIe et XIV e siècles. Installée au sommet de
la colline du Vieux Bayonne, elle semble veiller sur la cit   


L'Église Saint-Jean-Baptiste.

©  Lisa Tranchant
Pour la petite histoire, c'est dans l'église Saint-Jean-Baptiste que se
marièrent Louis XIV et Marie-Thérèse. Bien que d'apparence
austère, l'église de Saint-Jean-de-Luz présente une architecture
intérieure d'une grande finnesse.   


Maisons Basques.

©  Claude Azemard
La maison basque (ou Etxea) se décline dans différents styles : le
Labourdin, le Souletin et le Bas-Navarrais notamment. A l'image, des
façades du village d'Ainhoa.


Le Petit Train De La Rhune.

©  Joelle Le Coz-Vigouroux
Depuis son inauguration en 1924, le petit train touristique de la Rhune relie
le col de Saint-Ignace, situé à environ 10 km de Saint-Jean-de-Luz, au
sommet de la Rhune, soit à 905 mètres d'altitude.  


 

 

 
07/02/2018 - 08:23
Balade À La Plage De L'Espiguette.(Gard)
 

Pointe De L' Espiguette
La pointe de l'Espiguette est un vaste massif dunaire situé sur le littoral méditerranéen du département du Gard. Localisé à l'est du Grau-du-Roi, en Petite Camargue, l'Espiguette est un site naturel sauvage, préservé mais fragile. Ses plages attirent chaque année de très nombreux touristes et baigneurs.
Le Phare de l'Espiguette, visible à plusieurs kilomètres de distance, est l'édifice majeur du site.
Le site naturel de l'Espiguette est principalement géré par la commune du Grau-du-Roi,à laquelle s'associe le conservatoire d'espaces naturels du Languedoc-Roussillon.
Afin de trouver un équilibre entre l'accueil des flux touristiques sur cetteportion du littoral et la préservation écologique du site, 525 hectaresde dunes et de marais ont été acquis par le Conservatoire du littoral depuis 1978. De plus, la pointe de l'Espiguette fait partie intégrante de l'opération Grand site en Camargue gardoise, dont le dossier est confié au Syndicat mixte pour la protection et la gestion de la Camargue gardoise.
Accès
La RD 255 reliant le phare au Grau-du-Roi a été réaménagée entre 2011 et 2013 avec notamment le renouvellement du bitume en très mauvais état et la création d'une voie verte sur cet axe fortement fréquenté l'été par les cyclistes.
Le parking de sable de plusieurs centaines de places est payant d'avril à octobre de 8h à 18h30. Il en coute 6 € pour une voiture simple à l'été 2013. Il n'y a pas de douches. Une plage naturiste du Club Hélio-Marin de Nîmes est installée au niveau des épis, à l'extrémité Est.
De par sa situation avancée sur la mer, la plage de l'Espiguette est très appréciée des surfeurs et kite-surfeurs. La houle y est en effet bien plus prononcée et les vagues plus importantes par vent marin que dans le golfe d'Aigues-Mortes (de Carnon à Port-Camargue).
Faune
PsammodromusCrapaud calamite
Flore Euphorbe maritimeOyat Panicaut maritimeLis de merTamaris Pin parasol
Portail du monde maritime
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Portail de la Camargue

 
 


07/02/2018 - 08:14
Bonjour Cinthya,content de vous retrouver.C'est vrai que le forum prend beaucoup de temps et ,parfois je me demande si mes posts sont regardés,enfin même si vous êtes peu à les lire je prend du plaisr à chercher des sujets et je suis beaucoup aidé par des blogueurs "productifs".Bonne lecture à tous et merci aux contributeurs qui animent ce  Forum.
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Astuces débrouilles.
 
Y a des moments dans la vie où l'on fait avec les moyens du bord pour parer au plus pressé ou par mesure d'économie..
 


Imaginions que vous ayez besoin d'un porte bougie où mettre une bougie qui resterait allumée longtemps, hors de portée des enfants, sans risque d'être renversée. Voici donc une astuce sympa, avec une louche fixée surun support vous fabriquez un porte bougie tout à fait fonctionnel.


Avec de vieilles clefs ou de vieux couverts, vous pouvez fabriquer des portes clefs muraux, accroche torchons ou porte manteaux tout aussi pratiques que ceux achetés dans le commerce.


Un brin original mais tout à fait fonctionnelles, les poignées de placards de cuisine fabriqués avec des cuillères, à vous de voir si vous préférez des cuillères en argent..


Des fois, on fait avec ce que l'on a sous la main pour parer au plus urgent, et ça marche. Une bonne idée pour recycler des outils qui ne vous servent plus.


Besoin d'un porte manteaux et vous avez une collection de vieux parapluies, voilà une bonne idée pour les recycler en porte manteaux fait maison.


Avec des bouchons en liège, vous avez de quoi remplacer toutes vos vieilles poignées cassées ou d'en créer dans l'urgence.


Pas envie de percer une batterie de trous dans le mur, optez pour l'astuce de la tringle sur laquelle vous viendrez suspendre tous vos cadres.


Vous avez une collection de jolies boîtes dont vous ne savez que faire et vous avez besoin de rangement à portée de main. Faites en une colonne à étage pour ranger vos accessoires de bureaux ou de couture.


Avec toutes sortes de bouchons en plastique, vous pouvez fabriquer des rideaux pour portes extérieures, pour casser le vent ou les rayons du soleil.


Une astuce bien pratique pour ranger les voitures des enfants qui traînent partout. Servez vous d'une cagette en bois ou d'un carton ou d'un vieux tiroir, dans lequel vous viendrez placer des rouleaux de PQ ou de sopalin vides, collés les uns aux autres qui feront office de garage.
06/02/2018 - 21:56
Bonsoir les ordissinautes,

Désolée, cela fait plusieurs jours que je n'avais pas ouvert l'ordi .

Cynthia n'était plus présente pour plusieurs raisons :
-  Mon dernier passage pendant l'absence de Mayyan ,la raison : il ne fallait pas que le forum " meure "....
- Étant encore valide , je veux profiter de la vie ( voyager  , voir mes amis, ma famille) , aider mes voisins veillissants , lorsque ma santé déclinera l'ordi        occupera certainement une grande partie de mes loisirs ; j'adore chercher puis mettre des articles sur le forum .
- Je ne pensais pas que mes articles intéressaient  quelques ordissinautes .....
- Conclusion : je reviens " avec modération ", il faut du temps et beaucoup de patience parfois.