Alors que le sud de Belleville est le repaire des street-artistes parisiens, le quartier Jourdain, situé un peu plus haut sur la colline, a conservé son atmosphère populaire de village. Entre passé et présent,ce quartier s’est forgé une identité unique dans la capitale. On y trouve des coins de campagne bien cachés, une vie artistique très activeet un brassage culturel qui en fait l’un des quartiers les plus cosmopolites de Paris. Un ensemble convivial qui mérite bien une journéede découverte. Prêts pour une balade à flanc de colline ? 10h – L’église Saint-Jean-Baptiste de Belleville et ses alentours En sortant de terre à la station Jourdain, la première chose qui se déploie sous nos yeux est l’église Saint-Jean-Baptiste de Belleville, construite au milieu du XIXe siècle. Ce sera donc naturellement notre premier arrêt ! L’église est ouverte tous les jours, donc on n’hésite surtout pas à pousser les portes à battants de ce lieu de culte néogothique. En sortant de l’église, on en profite pour se prendre une petite gourmandise à la Pâtisserie de l’église, l’une des meilleures de Paris, située juste en face, puis on se dirige vers la rue de Jourdain où se cachent les trois librairies de l’Atelier. Vous connaissez ce genre de lieux sur lesquelles on tombe par hasard et desquelles on ressort les mains inexorablement pleines ? Grâce à une sélection soignéeet de précieux conseils des gérants, c’est exactement ce qu’il se passe quand on entre à l’Atelier!La librairie principale se consacre aux romans et aux essais, les deux autres, situées en face, se consacrent aux BD et aux ouvrages d’art et de voyages. De quoi flâner un moment…
11h30 – Une balade dans le dédale des petites rues du quartier. 11h30, l’heure parfaite pour se perdre dans les impasses, passages et autres cités du Haut-Belleville ! Ça tombe bien puisqu’en descendant la rue de Jourdain, puis la rue des Pyrénées, on s’aventure vers la partie la plus pittoresque du quartier. On commence par découvrir les inattendues Cité Leroy et Villa de l’Ermitage. Au bout de la villa, on remonte vers la droite, direction larue Fernand Raynaud. Attention, c’est un escalier qui passe inaperçu sil’on ne prête pas l’oeil. On atterri rue des Cascades, une charmante voie pavée qui abrite trois regards de l’aqueduc de Belleville. On prolonge la balade jusqu’au parc de Belleville et plus particulièrement jusqu‘au belvédère Willy Ronis qui offre une vue panoramique sur Paris. Pour sûr, il s’agit de l’une des plus belles vues de la capitale !
14h – Un déjeuner aux Nouveaux Sauvages Maintenant que nos pupilles sont satisfaites, place aux papilles ! On redescend donc tranquillement vers Jourdain pour s’octroyer une pause déjeuner bien méritée au Nouveaux Sauvages. Ce charmant restaurant de la place duGuignier a ouvert ses portes il y a seulement quelques semaines, mais a déjà conquis les habitants du quartier. Et pour cause, derrière sa jolie façade colorée, on déguste de délicieux plats de saisons concoctés avec des produits frais issus de petits producteurs locaux. Côté déco, c’est (aussi) un sans faute : des couleurs et de la verdure juste ce qu’il faut, un large bar en bois qui donne envie de s’attabler, une jolie terrasse et une atmosphère particulièrement chaleureuse. Et pour couronner le tout, les tarifs pratiqués sont parmi les moins élevés du quartier. Une adresse confidentielle qui ne le restera pas longtemps ! Les Nouveaux Sauvages - 12 place du Guignier, 75020 Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 2h du matin
16h30 - Visite du Plateau, le centre d’exposition de la FRAC Île-de-France Après le long déjeuner que l’on vient de s’octroyer, c’est l’heure de reprendre la route, direction Le Plateau, le centre d’exposition du Fonds régional d’art contemporain d’Île-de-France. Cet espace de 600 mètres carrés situé au sud-est du Parc des Buttes-Chaumont est dédié à la création contemporaine. Il est rythmé par quatre expositionsannuelles et s’ouvre à une multitude de champs artistiques, comme la performance ou la danse. La programmation artistique est éclectique, alterne entre expositions individuelles et collectives et, surtout, elle privilégie les artistes nationaux et internationaux émergents. Un lieu incontournable de l’art contemporain en France à ne pas louper si on est dans le quartier, même si l’on n’y connaît rien à l’art contemporain.
Martin Argyroglo, Benjamin Seror, Le principe Totochabo, 2011 Le Plateau - 22 Rue des Alouettes, 75019 Entrée gratuite – Du mercredi au dimanche de 14h à 19h
19h – Un verre sur la terrasse du Square Niché sur les hauteurs du square Bolivar, Le Square fait partie de ces petits bistrots de quartier que l’on aime tant : une carte bien pensée qui change au fil des saisons, des plats maîtrisés, une décoration simple mais réussie, une équipe attentionnée et des prix plus que raisonnables. Et puis, Le Square dispose du graal parisien, une terrasse calme et spacieuse, très ensoleillée en été et chauffée en hiver ! C’est donc sans hésiter que l’on se dirige vers ce petit coin tranquille du 19e après notre journée de vadrouille. Et si une petit faim se fait sentir,les tapas du moment (9€) seront là pour combler avec délice nos estomacs exigeants. Bistrot Le Square – 7 Square Bolivar, 75019 Ouvert tous les jours de 7h à 2h du matin (à partir de 10h le week-end)
20h30 – Un concert au Studio de l’Ermitage Installé dans l’ancienne usine de la biscuiterie Brun, le Studio de l’Ermitage est à l’image du quartier dans lequel il prospère : un lieu chaleureux et attachant, riche d’un passé populaire et ouvert sur le monde. Car, ici, la programmation fait honneur aux musiques du monde dans toute leurdiversité. Vous ne savez pas quel artiste voir ? Pas de problème, au Studio de l’Ermitage, on ne profite jamais mieux qu’en se laissant guider et surprendre par un artiste dont on ignore tout. On vous promet, vous ne serez pas déçus !
Des Dizaines de Variétés de Riz forment des Dessins colorés dans les Champs d’Inakadate au Japon.
Afin d’accroître le tourisme dans le petit village, les habitants et les responsables locaux ont commencé à créer de grandes images élaboréesgrâce à des plantations stratégiques de différentes variétés de riz. Près de 25 ans plus tard, la ville est connue dans tout le pays pour sesdessins de riz colorés qui apparaissent chaque année avec l’aide de centaines (et parfois des milliers) de bénévoles locaux. Pour commencer la conception des futurs designs, une conférence et un rassemblement sont organisés pour discuter des idées possibles.Les responsables du gouvernement réalisent ensuite des maquettes informatiques simples pour les modèles sélectionnés. Ces maquettes sont ensuite envoyées aux enseignants d’art locaux pour des rendus plus conceptuels. Enfin, les marqueurs sont placés dans les champs pour créerce qui ressemble essentiellement à une grande peinture par numéro, l’ensemble du processus prenant jusqu’à trois mois.
Sublime parc national de Yosemite. Situé dans le massif montagneux du Sierre Nevada, le parc national de Yosemite est le troisième plus grand parc de Californie (3 079 kilomètres carrés, ndlr) et le deuxième plus vieux des États-Unis, après celui de Yellowstone, également très célèbre. En bref, il s’agit d’un lieu d’exception à ne surtout pas rater si vous êtes de passage dans le coin. Si les photos suivantes sont particulièrement impressionnantes, gardez à l’esprit que c’est encore plus fou dans la vraie vie !
Des sourires, des pleurs, des enfants qui courent, et d'autres que l'on traîne de force... Les scènes de rentrée des classes sont aussi attendrissantes qu'intemporelles. La preuve avec ces photos issues des archives de l'AFP, qui nous ramènent un demi-siècle en arrière. Munis de leurs blouses et de leurs cartables, des enfants se dirigent vers l'école, le jour de la rentrée scolaire, en 1951 (la ville n'est pas précisée). (AFP) Des écoliers se retrouvent sur le chemin de l'école, le 1er octobre 1945, jour de la rentrée des classes, à Paris. (AFP) Debout sur une chaise, un écolier tente d'atteindre l'éphéméride indiquant la date du 1er octobre 1947, jour de la rentrée. (AFP PHOTO / INP / Hélier Des garçons se mettent au travail, lors de la rentrée du 1er octobre 1949. (AFP) Des enfants font une ronde dans la cour de récréation, à Paris, le 1er octobre 1947, jour de la rentrée des classes. (AFP PHOTO / INP / Hélier) Une institutrice écrit la date au tableau sous le regard de ses petites élèves, le jour de la rentrée scolaire, le 1er octobre 1951. (AFP) Une religieuse fait la classe à des filles dans une école primaire, lors de la rentrée des classes en 1951. (AFP)
En vidéo : les plus beaux timelapses de l'automne. Par Jonathan Sare, Futura Publié le 24/09/2017 Depuis ce 22 septembre 2017 à 22 h 02 en heure de France métropolitaine, c'est l'automne. Le Soleil, dans le ciel de la Terre, a traversé le plan de l'équateur céleste. C'est une équinoxe. La longueur de la nuit est devenue temporairement égale à celle de la journée. Dans les latitudes tempérées de l'hémisphère nord, la végétation s'adapte à la baisse des températures et de la lumière et la nature s'habille en rouge et en jaune. Pour apprécier l'évènement, voici un best of des meilleurs timelapses montrant, en accéléré, ce changement de couleur. Réaliser un « timelapse », c'est-à-dire un film réalisé à partir d'une série de photographies, exige patience et soin. Le résultat donne un effet d'accéléré bien adapté aux paysages, à condition de fixer l'appareil durant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Un exemple très réussi est cette magnifique vidéo, montrant une forêt d'Asheville en Caroline du Nord, aux États-Unis.
Avec l'automne, les feuilles commencent à jaunir, voire à rougir. Dans les régions tempérées, où la température et l'ensoleillement vont se réduire, la plupart des arbres préfèrent se débarrasser de ces capteurs de lumière et mettre leur métabolisme au ralenti. Dans les feuilles, l'eau, puis la chlorophylle, se raréfient, ce qui nous offre les couleurs de l'automne. Desséchées, elles tombent sur le sol où les insectes puis les micro-organismes sauront les transformer en nutriments, qui enrichiront un humus utile à de nombreux autres habitants de la forêt. Il a fallu six mois pour tourner ce superbe timelapse de Central Park, à New York. On peut y voir l'évolution des arbres et de la couleur de leurs feuilles au cours des mois précédant l'hiver.
Avec l'automne, les jours se raccourcissent et l'atmosphère se charge d'humidité. En attendant l'hiver, c'est l'occasion de découvrir le parc de Yosemite au lever du soleil.
Quels amulettes et talismans ont aidé nos ancêtres?
Les amulettes slaves et les talismans. Les anciens Slaves ont traité les animaux avec un grand respect et respect. Ils considéraient les bêtes comme un lien entre l'homme et une nature puissante. Depuis ce temps, de nombreux siècles se sont écoulés, mais aujourd'hui, les gens qui portent des amulettes à l'image des animaux se rencontrent de plus en plus souvent. Qu'est-ce qu'ils veulent dire,et est ce considéré comme capable d'aider leur propriétaire?
Un tas d'amulettes slaves: clé, cloches, poissons.
Il y avait beaucoup d'animaux sacrés chez les Slaves. Les gens croyaient que les amulettes avec des images d'animaux donnent à leurs propriétaires leurs meilleures qualités: agilité, force, ingéniosité, fertilité. Dans les temps païens, on croyait que toute partie de l'animal sacré possède les mêmes propriétés que l'animal lui-même. C'est pourquoi il y avait beaucoup d'amulettes sous la forme d'os, de canines, de restes de laine, de cornes, de pattes. Ils ont décoré des vêtements, y compris une ancienne coiffe des bijoux pour femmes russes.
La patte de loup ou le loup canin dans la mythologie slave.
Le loup des anciens Slaves était un totémique totémique. Son sens et son interprétation variaient selon la situation. D'une part, cet animal symbolise la trahison et la cruauté. D'autre part, l'indépendance et la justice. Le loup parmi les Slaves était associé au monde souterrain, était considéré comme le chef d'orchestre des âmes décédées. Nos ancêtres croyaient que c'était dans le corps d'un loup que des parents pouvaient venir à eux, qui étaient partis pour un autre monde. Les amulettes de louve fournissent la ruse, l'audace et l'aide pour recevoir le respect dans leur environnement, les protéger de la colère et de la méchanceté. Le loup est un symbole de l'amour fidèle, un reflet de l'odnolyubov qui, comme le prototype, est seul ou avec un partenaire pour la vie.
Cornes de vache et peau.
Suspension de Turic, Radimichi.
La vache personnifiait la fertilité, l'abondance et la prospérité. L'idole de cet animal «nourrissait mère pour tous les Slaves». Les précipitations ont été comparées au lait de vache, le mois a été symbolisé par des cornes. Les rangs avec le symbole de la vache - sont plus fréquents chez les femmes. Après tout, ils sont les successeurs du genre. Les femmes portent ces amulettes lorsqu'elles planifient un enfant, elles veulent créer une famille forte. On croit que la fertilité, qui symbolise la vache, aide les couples stériles à avoir des enfants.
Les oiseaux protecteurs.
Les amulettes slaves sous forme d'oiseaux.
Il existe plusieurs types d'amulettes slaves associées à des images d'oiseaux: des coqs, des canards, des oies, du poulet, des hiboux. Les anciens croyaient que les oiseaux sont des messagers des cieux. On a cru qu'ils étaient capables de sortir de leurs propriétaires, de maladies, de montrer le bon chemin et d'aider à prendre une décision. Le coq a été honoré comme symbole du soleil et du feu. Popularité et respect pour les Slaves, il a gagné sa capacité à informer tout le mondeà l'aube du début d'un nouveau jour. On croyait que le cri du coq rugissait de la force impure, et un nouveau jour commence par la bénédiction des dieux solaires. Le poulet et le canard étaient un symbole de fertilité et de bien-être. Goose-foot - a effrayé l'esprit du mal et a aidé à trouver le bon chemin pour ceux qui ont fait un long voyage. Le hibou - un symbole de sagesse et de justice a donné à son maître la prévoyance et la capacité de prendre les bonnes décisions.
Griffe d'ours ou griffe.
Amulettes slaves sous la forme de griffes.
L'ours est le maître de la forêt païenne, une bête forte, puissante et noble. On croyait qu'il protège de toutes les manifestations du mal. Dans de nombreuses maisons, une patte d'ours était gardée comme une amulette. Les Slaves croyaient qu'il protégerait les personnes ayant des pensées, des maladies et des maux noirs. Nos ancêtres ont doté l'ours de la sagesse et de vastes connaissances dans toutes les sphères,son nom était souvent attaché par des vœux. Si le chasseur faisait un tel serment - il attendait la mort dans la forêt. La griffe de l'ours était un signe de force et de respect des autres, elle apportait de la chance et était protégée contre les dangers.
Cerfs dans la mythologie slave.
Le cerf personnifiait la pureté, la noblesse et l'ouverture des pensées.Les Slaves, cet animal était le patron de la famille,le mariage. Non sans raison et à ce jour sur les serviettes et les serviettes de mariage, vous pouvez voir des images brodées d'un cerf. Le cerf a été considéré comme un symbole de fertilité, de prospérité et de bien-être. Les Slaves le représentaient avec d'énormes cornes branchées- d'où la tradition de les accrocher sur l'entrée de l'habitation. Les gens croyaient que les cornes effrayeraient le mal, aideraient à gagner la bonne position des forces supérieures. Un endroit spécial parmi eux était occupé par des amulettes anciennes, des lunettes.
Amulettes slaviques à cheval sous la forme de chevaux.
Le cheval était l'un des animaux les plus vénérés. Les personnes anciennes croyaient que ces animaux sont les plus proches des dieux, et que le soleil se déplace parce qu'il est entraîné par un chariot tiré par trois chevaux. Le cheval a été apprécié pour l'endurance, la patience et la capacité de supporter les difficultés et les privations. Beaucoup de symboles slaves ont été associés à l'image des chevaux. Les chevaux blancs et dorés reflètent le bien, la prospérité et la richesse. Noir précurseurs de trahison, de tromperie et de problèmes. Le cheval sauvage débridé la personnification de l'élément le plus naturel, pacifique pour conquérir votre nature-mère, prendre de sa part de capacités illimitées. Le symbole représentant le cavalier à cheval est également multifaceté - ici le courage, l'altruisme sont entrelacés avec confiance en soi et bravade. Le cheval était souvent représenté sur les vieux pendentifs russes et les amulettes des XIe-XIIIe siècles.
Amulettes slaves: un peigne avec patins, une croix prospère.
Pratiquement dans chaque maison, il était possible de voir les attributs d'un harnais de cheval - fers à cheval, cloches, crânes. Ils ont été considérés comme les défenseurs les plus forts, défendant le mal et les personnes maléfiques et les chargeant pour le succès, la richesse et la prospérité.
LA NATURE MONTRE SA FORCE... Entre les orages hyperlocalisés,les éclairs dévastateurs et les nuages gigantesques,chacun trouvera de quoi s’émerveiller. Voici une sélection de photos exceptionnelles :
1. Oh le bel arc-en-ciel ! @catersnewsagency
2. Ça se gâte… @champanhecomtorresmo
3. Impressionnant ! @allwomenstalk
4. Difficile de se concentrer sur la route. @MelissaPeterson
5. OMG… @dramaticskies
6. Quelqu’un m’explique ? @duskyswondersite
8. Orignial mais assez troublant. @DebraSheppardCecen
9. La nature au service de l’art ! @webneel
10. Attention, ça arrive ! @arcreactions
11. Sacrée éruption. @NationalGeographic
12. Et si on faisait demi-tour ? @ponderation
13. À couvert ! @karola84
14. Oh, une soucoupe volante. @JeremyHelmaz
15. Euh… whaaaaaat ?
16. Tout simplement sublime ! @AdlandproClassifieds
17. Féérique… @crossingislandnatur
18. Un nuage immense.
19. Quel panorama incroyable ! @crossingislandnatur
20. Oseriez-vous rester dans cette petite maison ? @HuffingtonPost
Alors que le sud de Belleville est le repaire des street-artistes parisiens, le quartier Jourdain, situé un peu plus haut sur la colline, a conservé son atmosphère populaire de village. Entre passé et présent,ce quartier s’est forgé une identité unique dans la capitale.
On y trouve des coins de campagne bien cachés, une vie artistique très activeet un brassage culturel qui en fait l’un des quartiers les plus cosmopolites de Paris. Un ensemble convivial qui mérite bien une journéede découverte. Prêts pour une balade à flanc de colline ?
10h – L’église Saint-Jean-Baptiste de Belleville et ses alentours En sortant de terre à la station Jourdain, la première chose qui se déploie sous nos yeux est l’église Saint-Jean-Baptiste de Belleville, construite au milieu du XIXe siècle. Ce sera donc naturellement notre premier arrêt ! L’église est ouverte tous les jours, donc on n’hésite surtout pas à pousser les portes à battants de ce lieu de culte néogothique. En sortant de l’église, on en profite pour se prendre une petite gourmandise à la Pâtisserie de l’église, l’une des meilleures de Paris, située juste en face, puis on se dirige vers la rue de Jourdain où se cachent les trois librairies de l’Atelier. Vous connaissez ce genre de lieux sur lesquelles on tombe par hasard et desquelles on ressort les mains inexorablement pleines ? Grâce à une sélection soignéeet de précieux conseils des gérants, c’est exactement ce qu’il se passe quand on entre à l’Atelier!La librairie principale se consacre aux romans et aux essais, les deux autres, situées en face, se consacrent aux BD et aux ouvrages d’art et de voyages. De quoi flâner un moment…
© Cyrielle Didier
Église Saint-Jean-Baptiste de Belleville – 139 Rue de Belleville, 75019
Pâtisserie de l’Église – 10 rue du Jourdain, 75020
Librairies L’Atelier – 2bis rue du Jourdain, 75020 / 3, rue Constant Berthaut, 75020
Du mardi au samedi de 10h à 20h, le dimanche de 10h à 13h30 (sauf en été)
11h30 – Une balade dans le dédale des petites rues du quartier.
11h30, l’heure parfaite pour se perdre dans les impasses, passages et autres cités du Haut-Belleville ! Ça tombe bien puisqu’en descendant la rue de Jourdain, puis la rue des Pyrénées, on s’aventure vers la partie la plus pittoresque du quartier.
On commence par découvrir les inattendues Cité Leroy et Villa de l’Ermitage. Au bout de la villa, on remonte vers la droite, direction larue Fernand Raynaud. Attention, c’est un escalier qui passe inaperçu sil’on ne prête pas l’oeil. On atterri rue des Cascades, une charmante voie pavée qui abrite trois regards de l’aqueduc de Belleville. On prolonge la balade jusqu’au parc de Belleville et plus particulièrement jusqu‘au belvédère Willy Ronis qui offre une vue panoramique sur Paris. Pour sûr, il s’agit de l’une des plus belles vues de la capitale !
14h – Un déjeuner aux Nouveaux Sauvages Maintenant que nos pupilles sont satisfaites, place aux papilles ! On redescend
donc tranquillement vers Jourdain pour s’octroyer une pause déjeuner bien méritée au Nouveaux Sauvages. Ce charmant restaurant de la place duGuignier a ouvert ses portes il y a seulement quelques semaines, mais a déjà conquis les habitants du quartier. Et pour cause, derrière sa jolie façade colorée, on déguste de délicieux plats de saisons concoctés avec des produits frais issus de petits producteurs locaux. Côté déco, c’est (aussi) un sans faute : des couleurs et de la verdure juste ce qu’il faut, un large bar en bois qui donne envie de s’attabler, une jolie terrasse et une atmosphère particulièrement chaleureuse. Et pour couronner le tout, les tarifs pratiqués sont parmi les moins élevés du quartier. Une adresse confidentielle qui ne le restera pas longtemps !
Les Nouveaux Sauvages - 12 place du Guignier, 75020
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 2h du matin
16h30 - Visite du Plateau, le centre d’exposition de la FRAC Île-de-France Après le long déjeuner que l’on vient de s’octroyer, c’est l’heure de reprendre la route, direction Le Plateau, le centre d’exposition du Fonds régional d’art contemporain d’Île-de-France. Cet espace de 600 mètres carrés situé au sud-est du Parc des Buttes-Chaumont est dédié à la création contemporaine. Il est rythmé par quatre expositionsannuelles et s’ouvre à une multitude de champs artistiques, comme la performance ou la danse.
La programmation artistique est éclectique, alterne entre expositions individuelles et collectives et, surtout, elle privilégie les artistes nationaux et internationaux émergents. Un lieu incontournable de l’art contemporain en France à ne pas louper si on est dans le quartier, même si l’on n’y connaît rien à l’art contemporain.
Martin Argyroglo, Benjamin Seror, Le principe Totochabo, 2011
Le Plateau - 22 Rue des Alouettes, 75019
Entrée gratuite – Du mercredi au dimanche de 14h à 19h
19h – Un verre sur la terrasse du Square Niché sur les hauteurs du square Bolivar, Le Square fait partie de ces petits bistrots de quartier que l’on aime tant : une carte bien pensée qui change au fil des saisons, des plats maîtrisés, une décoration simple mais réussie, une équipe attentionnée et des prix plus que raisonnables.
Et puis, Le Square dispose du graal parisien, une terrasse calme et spacieuse, très ensoleillée en été et chauffée en hiver ! C’est donc sans hésiter que l’on se dirige vers ce petit coin tranquille du 19e après notre journée de vadrouille. Et si une petit faim se fait sentir,les tapas du moment (9€) seront là pour combler avec délice nos estomacs exigeants.
Bistrot Le Square – 7 Square Bolivar, 75019
Ouvert tous les jours de 7h à 2h du matin (à partir de 10h le week-end)
20h30 – Un concert au Studio de l’Ermitage Installé dans l’ancienne usine de la biscuiterie Brun, le Studio de l’Ermitage est à l’image du quartier dans lequel il prospère : un lieu chaleureux et attachant, riche d’un passé populaire et ouvert sur le monde. Car, ici, la programmation fait honneur aux musiques du monde dans toute leurdiversité. Vous ne savez pas quel artiste voir ? Pas de problème, au Studio de l’Ermitage, on ne profite jamais mieux qu’en se laissant guider et surprendre par un artiste dont on ignore tout. On vous promet, vous ne serez pas déçus !
Studio de l’Ermitage - 8 Rue de l’Ermitage, 75020
Afin d’accroître le tourisme dans le petit village, les habitants et les responsables locaux ont commencé à créer de grandes images élaboréesgrâce à des plantations stratégiques de différentes variétés de riz.
Près de 25 ans plus tard, la ville est connue dans tout le pays pour sesdessins de riz colorés qui apparaissent chaque année avec l’aide de centaines (et parfois des milliers) de bénévoles locaux.
Pour commencer la conception des futurs designs, une conférence et un rassemblement sont organisés pour discuter des idées possibles.Les responsables du gouvernement réalisent ensuite des maquettes informatiques simples pour les modèles sélectionnés.
Ces maquettes sont ensuite envoyées aux enseignants d’art locaux pour des rendus plus conceptuels. Enfin, les marqueurs sont placés dans les champs pour créerce qui ressemble essentiellement à une grande peinture par numéro, l’ensemble du processus prenant jusqu’à trois mois.
Situé dans le massif montagneux du Sierre Nevada, le parc national de Yosemite est le troisième plus grand parc de Californie (3 079 kilomètres carrés, ndlr) et le deuxième plus vieux des États-Unis, après celui de Yellowstone, également très célèbre. En bref, il s’agit d’un lieu d’exception à ne surtout pas rater si vous êtes de passage dans le coin. Si les photos suivantes sont particulièrement impressionnantes, gardez à l’esprit que c’est encore plus fou dans la vraie vie !
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Aidez les SVP....
http://em.ecedi.fr/t/ViewEmail/y/A4F0CAE4CE02CD4A/61BAC043BC6E93274D402EFBD42943A3
Des sourires, des pleurs, des enfants
qui courent, et d'autres que l'on traîne de force... Les scènes de
rentrée des classes sont aussi attendrissantes qu'intemporelles. La
preuve avec ces photos issues des archives de l'AFP, qui nous ramènent
un demi-siècle en arrière.
l'école, le jour de la rentrée scolaire, en 1951 (la ville n'est pas
précisée). (AFP)
date du 1er octobre 1947, jour de la rentrée. (AFP PHOTO / INP / Hélier
octobre 1947, jour de la rentrée des classes. (AFP PHOTO / INP / Hélier)
élèves, le jour de la rentrée scolaire, le 1er octobre 1951. (AFP)
Par Jonathan Sare, Futura
Publié le 24/09/2017
Depuis ce 22 septembre 2017 à 22 h 02 en heure de France métropolitaine, c'est l'automne. Le Soleil, dans le ciel de la Terre, a traversé le plan de l'équateur céleste. C'est une équinoxe. La longueur de la nuit est devenue temporairement égale à celle de la journée. Dans les latitudes tempérées de l'hémisphère nord, la végétation s'adapte à la baisse des températures et de la lumière et la nature s'habille en rouge et en jaune. Pour apprécier l'évènement, voici un best of des meilleurs timelapses montrant, en accéléré, ce changement de couleur.
Réaliser un « timelapse », c'est-à-dire un film réalisé à partir d'une série de photographies, exige patience et soin. Le résultat donne un effet d'accéléré bien adapté aux paysages, à condition de fixer l'appareil durant plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Un exemple très réussi est cette magnifique vidéo, montrant une forêt d'Asheville en Caroline du Nord, aux États-Unis.
CLIC...................https://vimeo.com/54317641
Avec l'automne, les feuilles commencent à jaunir, voire à rougir. Dans les régions
tempérées, où la température et l'ensoleillement vont se réduire, la
plupart des arbres préfèrent se débarrasser de ces capteurs de lumière et mettre leur métabolisme au ralenti. Dans les feuilles, l'eau, puis la chlorophylle, se raréfient, ce qui nous offre les couleurs de l'automne. Desséchées, elles tombent sur le sol où les insectes puis les micro-organismes sauront les transformer en nutriments, qui enrichiront un humus utile à de nombreux autres habitants de la forêt.
Il a fallu six mois pour tourner ce superbe timelapse de Central Park, à New York. On peut y voir l'évolution des arbres et de la couleur de leurs feuilles au cours des mois précédant l'hiver.
CLIC.....................https://vimeo.com/53745876
Avec l'automne, les jours se raccourcissent et l'atmosphère se charge d'humidité. En attendant l'hiver, c'est l'occasion de découvrir le parc de Yosemite au lever du soleil.
CLIC........................https://vimeo.com/taylorgrayphoto/thedawnofautumn
Quels amulettes et talismans ont aidé nos ancêtres?
Les amulettes slaves et les talismans.
Les anciens Slaves ont traité les animaux avec un grand respect et respect. Ils considéraient les bêtes comme un lien entre l'homme et une nature puissante. Depuis ce temps, de nombreux siècles se sont écoulés, mais aujourd'hui, les gens qui portent des amulettes à l'image des animaux se rencontrent de plus en plus souvent.
Qu'est-ce qu'ils veulent dire,et est ce considéré comme capable d'aider leur propriétaire?
Un tas d'amulettes slaves: clé, cloches, poissons.
Il y avait beaucoup d'animaux sacrés chez les Slaves. Les gens croyaient que les amulettes avec des images d'animaux donnent à leurs propriétaires leurs meilleures qualités: agilité, force, ingéniosité, fertilité. Dans les temps païens, on croyait que toute partie de l'animal sacré possède les mêmes propriétés que l'animal lui-même. C'est pourquoi il y avait beaucoup d'amulettes sous la forme d'os, de canines, de restes de laine, de cornes, de pattes. Ils ont décoré des vêtements, y compris une ancienne coiffe des bijoux pour femmes russes.
La patte de loup ou le loup canin dans la mythologie slave.
Le loup des anciens Slaves était un totémique totémique. Son sens et son interprétation variaient selon la situation. D'une part, cet animal symbolise la trahison et la cruauté. D'autre part, l'indépendance et la justice. Le loup parmi les Slaves était associé au monde souterrain, était considéré comme le chef d'orchestre des âmes décédées. Nos ancêtres croyaient que c'était dans le corps d'un loup que des parents pouvaient venir à eux, qui étaient partis pour un autre monde.
Les amulettes de louve fournissent la ruse, l'audace et l'aide pour recevoir le respect dans leur environnement, les protéger de la colère et de la méchanceté. Le loup est un symbole de l'amour fidèle, un reflet de l'odnolyubov qui, comme le prototype, est seul ou avec un partenaire pour la vie.
Cornes de vache et peau.
Suspension de Turic, Radimichi.
La vache personnifiait la fertilité, l'abondance et la prospérité. L'idole de cet animal «nourrissait mère pour tous les Slaves». Les précipitations ont été comparées au lait de vache, le mois a été symbolisé par des cornes.
Les rangs avec le symbole de la vache - sont plus fréquents chez les femmes. Après tout, ils sont les successeurs du genre. Les femmes portent ces amulettes lorsqu'elles planifient un enfant, elles veulent créer une famille forte. On croit que la fertilité, qui symbolise la vache, aide les couples stériles à avoir des enfants.
Les oiseaux protecteurs.
Les amulettes slaves sous forme d'oiseaux.
Il existe plusieurs types d'amulettes slaves associées à des images d'oiseaux: des coqs, des canards, des oies, du poulet, des hiboux. Les anciens croyaient que les oiseaux sont des messagers des cieux. On a cru qu'ils étaient capables de sortir de leurs propriétaires, de maladies, de montrer le bon chemin et d'aider à prendre une décision.
Le coq a été honoré comme symbole du soleil et du feu. Popularité et respect pour les Slaves, il a gagné sa capacité à informer tout le mondeà l'aube du début d'un nouveau jour. On croyait que le cri du coq rugissait de la force impure, et un nouveau jour commence par la bénédiction des dieux solaires. Le poulet et le canard étaient un symbole de fertilité et de bien-être. Goose-foot - a effrayé l'esprit du mal et a aidé à trouver le bon chemin pour ceux qui ont fait un long voyage. Le hibou - un symbole de sagesse et de justice a donné à son maître la prévoyance et la capacité de prendre les bonnes décisions.
Griffe d'ours ou griffe.
Amulettes slaves sous la forme de griffes.
L'ours est le maître de la forêt païenne, une bête forte, puissante et noble. On croyait qu'il protège de toutes les manifestations du
mal. Dans de nombreuses maisons, une patte d'ours était gardée comme une amulette. Les Slaves croyaient qu'il protégerait les personnes ayant des pensées, des maladies et des maux noirs. Nos ancêtres ont doté l'ours de la sagesse et de vastes connaissances dans toutes les sphères,son nom était souvent attaché par des vœux. Si le chasseur faisait un tel serment - il attendait la mort dans la forêt. La griffe de l'ours était un signe de force et de respect des autres, elle apportait de la chance et était protégée contre les dangers.
Cerfs dans la mythologie slave.
Le cerf personnifiait la pureté, la noblesse et l'ouverture des pensées.Les Slaves, cet animal était le patron de la famille,le mariage.
Non sans raison et à ce jour sur les serviettes et les serviettes de mariage, vous pouvez voir des images brodées d'un cerf.
Le cerf a été considéré comme un symbole de fertilité, de prospérité et de bien-être. Les Slaves le représentaient avec d'énormes cornes branchées- d'où la tradition de les accrocher sur l'entrée de l'habitation. Les gens croyaient que les cornes effrayeraient le mal, aideraient à gagner la bonne position des forces supérieures. Un endroit spécial parmi eux était occupé par des amulettes anciennes, des lunettes.
Amulettes slaviques à cheval sous la forme de chevaux.
Le cheval était l'un des animaux les plus vénérés. Les personnes anciennes croyaient que ces animaux sont les plus proches des dieux, et que le soleil se déplace parce qu'il est entraîné par un chariot tiré par trois chevaux.
Le cheval a été apprécié pour l'endurance, la patience et la capacité de supporter les difficultés et les privations. Beaucoup de
symboles slaves ont été associés à l'image des chevaux. Les chevaux blancs et dorés reflètent le bien, la prospérité et la richesse. Noir précurseurs de trahison, de tromperie et de problèmes. Le cheval sauvage débridé la personnification de l'élément le plus naturel, pacifique pour conquérir votre nature-mère, prendre de sa part de capacités illimitées. Le symbole représentant le cavalier à cheval est également multifaceté - ici le courage, l'altruisme sont entrelacés avec confiance en soi et bravade. Le cheval était souvent représenté sur les vieux pendentifs russes et les amulettes des XIe-XIIIe siècles.
Amulettes slaves: un peigne avec patins, une croix prospère.
Pratiquement dans chaque maison, il était possible de voir les attributs d'un harnais de cheval - fers à cheval, cloches, crânes. Ils ont été considérés comme les défenseurs les plus forts, défendant le mal et les personnes maléfiques et les chargeant pour le succès, la richesse et la prospérité.
Entre les orages hyperlocalisés,les éclairs dévastateurs et les nuages gigantesques,chacun trouvera de quoi s’émerveiller.
Voici une sélection de photos exceptionnelles :
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24. Pluie d’éclairs.
@crossingislandnatur
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Ils sont bien inhumés côte à côte au cimetière Montparnasse .