De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/08/2017 - 09:08
Vanarasi, la ville qui accueille le plus de pèlerins en Inde.

  Elle fait partie des sept villes sacrées de l’hindouisme Varanasi appelée autrefois Bénarès, est l’une des villes les plus emblématiques de l’Inde. Et pour cause, c’est le plus grand lieu sacré de l’hindouisme. Beaucoupont certainement déjà pu voir et découvrir Vanarasi devant leurs écrans, grâce à un reportage lui étant dédié, tant elle est mythique.
C’est aussi l’une des premières grandes villes en arrivant du Népal. Cette ville accueille chaque année entre 3 et 4 millions de pèlerins venus de tout le pays. Ce site est avant tout connu pour ses crémations devant le Gange. C’est d’ailleurs, dans cette ville, que la section du Gange est la plus sacrée. Elle attire donc depuis plus de 2500 ans, pèlerins et visiteurs en quête de spiritualité.
Le centre-ville se niche entre les rivières Varuna et Assi, d’où le nom deVaranasi. Bien que Varanasi soit une ville qui ne dort jamais, c’est à l’aube que le spectacle est le plus saisissant, quand les rayons dorés du soleil se posent sur les innombrables temples et ghat, sur les pèlerins méditant et sur les fidèles prenant leur bain purificateur.


  Outre, les crémations, la ville attire de nombreux fidèles se livrant aux ablutions dans le Gange, celui-ci censé laver de tous les péchés accumulés. Mourir dans cette ville serait un privilège, car selon la religion hindouïste, Varanasi serait une façon d’atteindre le Moksha, le Nirvana, et donc permettrait de mettre fin à toutes formes de réincarnations. Une ambiance particulière qui fait la légende de Varanasi.
Les crémations ont lieu sur les ghats (escaliers menant au Gange), même si il est interdit de photographier
les cérémonies, touristes et proches du défunt occupent la même place.
En effet, il est possible d’assister à une cérémonie de crémation, les hindous acceptent la présence d’étrangers sur les lieux. Aussi étrange que cela puisse paraître, les crémations se déroulent jours et nuits, encontinu, il y aurait entre 200 et 300 crémations par jour.
Même si les crémations s’étendent tout au long de l’année, c’est un vrai rituel auquel se livrent les hindous. Le lieu de crémation dépendra de la caste du défunt (classe sociale). Cependant, certaines personnes ne peuvent être incinérées de par leur place dans la société, il s’agit denouveaux nés, des femmes enceintes, des lépreux, des sadhus (saint homme), des victimes de morsures de cobras, des vaches, les corps morts sont alors directement offerts au Gange.

  Le rituel de la crémation commence toujours par un bain dans le fleuve où le corps du défunt enveloppé d’un linceul de différente couleur selon l’âge et le sexe, est recouvert de fleurs. Le bûcher souvent dressé près
du fleuve et lui aussi décoré de fleurs, pour les plus riches. La coutume exige que l’homme de la famille (fils aîné, oncle ou frère du défunt) revêtu de blanc, effectue plusieurs tours autour du corps tout en récitant des Mantras. Dans un but spirituel, l’homme vêtu de blanc, fracasse alors le crâne du défunt afin de permettre à l’âme de sortir du corps et enfin d’atteindre le ciel.
Une scène d’une extrême violence, au cours de laquelle peu de personnes assistent. Certains guides diront que la tristesse de la cérémonie appartient au monde occidental, mais dans de telles circonstances, il est difficile de croire à de tels propos. D’autant plus, que certaines femmes seraient écartées des lieux afin qu’elles ne puissent pas s’immoler de tristesse.
Varanasi, vous l’aurez compris est une ville remplie de paradoxes, tantôt surprenante et éblouissante, c’est une ville remplie de spiritualité quimérite avant tout d’être respectée. Un passage obligatoire pour tous visiteurs souhaitant découvrir l’âme et le cœur de ce fascinant pays qu’est l’Inde.

18/08/2017 - 08:35
Le Phonographe  une invention du Français Charles Cros.

La légende de l’inventeur méconnu, bafoué de son vivant et glorifié enfin,longtemps après sa mort, reçut une illustration nouvelle le 30 avril 1927, à l’occasion d’une cérémonie marquant le cinquantenaire du dépôt à l’Académie des sciences, par Charles Cros, d’un pli cacheté contenant la description exacte et complète d’un des plus merveilleux appareils nés du génie humain : le phonographe ; une célébration pour témoigner hautement et officiellement que la France revendiquait la gloire de cette invention.
Sans doute eût-elle pu, selon certains, la revendiquer plus tôt et ainsi rendre hommage à l’auteur de son vivant, mettre à sa disposition les sommes nécessaires pour lui permettre de réaliser son idée et de construire son appareil ; mais chacun sait qu’il n’est point d’usage d’agir ainsi : la tradition veut que l’inventeur connaisse, sinon les persécutions, du moins les dédains de la foule, et qu’on ne lui rende justice que longtemps après sa mort, et quand l’étranger s’est emparé de son idée. C’est là, comme nous allons le voir, toute l’histoire de Charles Cros et de sa géniale invention.
L’idée de recueillir, de fixer et de conserver la parole humaine hanta jadis quelques cervelles. Le romancier et dramaturge Savinien de Cyrano de Bergerac (1619-1655) qui, dans son Histoire comique des Etat et Empire de la Lune, eut la prévision du ballon, du parachute et même du moteur à explosion,eut également celle du phonographe. Il découvre dans la Lune un appareil plein de petits ressorts et de machines imperceptibles.

Centenaire du phonographe, invention de Charles Cros.

« C’est un livre, dit-il, mais un livre miraculeux qui n’a ni feuillets, ni caractères. Enfin, c’est un livre où, pour apprendre, les yeux sont inutiles ; on n’a besoin que des oreilles. Quand quelqu’un souhaite lire, il bande avec une grande quantité de toutes sortes de petits nerfscette machine, puis il tourne l’aiguille sur le chapitre qu’il désire écouter, et, au même instant, il en sort, comme de la bouche d’un homme ou d’un instrument de musique, tous les sons distincts et différents qui servent, entre les grands lunaires, à l’expression du langage ».
Les fantaisistes, vous le voyez, sont parfois des « anticipateurs ». Les poètes aussi, d’ailleurs.
Plus près de nous, en effet, un poète, et l’un des plus grands du XIXe siècle, a eu, lui aussi, le pressentiment de la plus grande invention que Charles Cros devait décrire trente ans plus tard. Lisez plutôt ces lignes extraites d’une étude de Théophile Gautier sur Mlle Mars, parue dans la Presse, le 24 mai 1847.
« Un jour peut-être, écrivait le grand Théophile Gautier, lorsque la critique, perfectionnée par le progrès universel, aura à sa disposition des moyens de notation sténographique pour livrer toutes les nuances du jeu d’un acteur, n’aura-t-on plus à regretter tout le génie dépensé au théâtre en pure perte pour les absents et pour la postérité. De même qu’on a forcé la lumière à moirer d’images une plaque polie, l’on parviendra à faire recevoir et garder, par une matière plus sensible encore et plus subtile que l’iode, les ondulations de la sonorité, et à conserver ainsi l’exécution d’un air de Mario, d’une tirade de Mlle Rachel ou d’un « couplet » de Frédérick Lemaître. On conserverait de la sorte, suspendue à la muraille, la Serenata de Don Pasquale, les imprécations de Camille, les déclarations d’amour de Ruy Blas, daguerréotypées un soir que l’artiste était en verve... »
Ce jour que prévoyait l’écrivain en 1847, était proche. Désormais, les archives du chant et de la parole existent. Grâce à l’invention conçue en avril 1877 par Charles Cros, et réalisée quelques mois plus tard par Edison, les voix des grands artistes et de grands orateurs ne pouvaient plus mourir. Et ce fut là, assurément, l’une des trouvailles les plus extraordinaires de ce XIXe siècle, si fécond en inventions et en progrès.
Charles Cros,auquel on ne saurait, en bonne justice,dénier le mérite d’avoir été théoriquement le véritable inventeur du phonographe,fut un esprit des plus originaux. Savant, certes, et très grand savant, mais qui se doublait d’un poète, d’un humoriste, et d’un pince-sans-rire. Pour se reposer de ses travaux scientifiques, il écrivait des vers, et de très beaux vers — son recueil Le Coffret de Santal contient des pièces admirables — et il faisait des monologues pour Coquelin Cadet. Il était notamment l’auteur d’une « scie » fameuse, le Hareng-Saur, qui valut au célèbre comique ses plus francs succès.
Mais ce n’étaient là, pour Charles Cros, que badinages nécessaires à la détente de son cerveau. Le savant se livrait à de plus utiles travaux. Tout jeune, il avait étudié concurremment et la médecine et les langues anciennes. A quinze ans, il savait autant de sanscrit qu’un vieux brahmane. Un des premiers, il réalisa la synthèse du rubis. Avec Ducos du Hauron, il découvrit la photographie en couleurs.

Pli cacheté déposé par Charles Cros à l’Académie des Sciences en avril 1877.

L’audace de certaines de ses conceptions scientifiques frisait parfois la plus invraisemblable fantaisie. L’idée d’une communication possible entre lesplanètes le hantait. En 1869, il publia dans le Cosmos un curieux mémoire sur ce sujet. Comme, en ce temps-là, il n’était pas encore question de télégraphie sans fil, Charles Cros méditait de communiquer avec Mars au moyen de signaux optiques. Il proposait que, sur un immense espace de terrain, le Sahara, par exemple, on dessinât, en traits lumineux extrêmement puissants, la figure du théorème du carréde l’hypoténuse. Les savants de Mars, pensait Charles Cros, auraient reconnu immédiatement cette figure et auraient répondu au moyen du même procédé, par la figure du théorème suivant. Et la correspondance se serait établie ainsi entre les deux planètes.Cette idée, plus américaine, d’ailleurs, que française, ne fut jamais réalisée. Elle montre du moins que le savant, chez Charles Cros, ne reculait pas devant des projets qui semblaient plus propres à exciter l’imagination d’un Jules Verne que celle d’un grave mathématicien.
Mais venons à la conception du phonographe. Charles Cros avait déposé, le 30 avril 1877, à l’Académie des sciences un pli cacheté sous le titre que voici : « Procédé d’enregistrement et de reproduction des phénomènes perçus par l’ouïe ». Ce pli fut ouvert, lu en séance publique le 3 décembre de la même année et reproduit in-extenso dans le procès-verbal de la dite séance.
Toute l’invention du phonographe y était nettement expliquée : membrane vibrante, pointe métallique suivant les ondulations de la membrane, appareil moteur faisant tourner la surface d’enregistrement ; rien n’y manquait... Ou, plutôt, il n’avait manqué à Charles Cros que les fonds nécessaires pour construire l’appareil et présenter, au lieu d’une simple description, l’invention réalisée. Ces fonds, Charles Cros les chercha vainement...
Vainement, il essaya d’intéresser à son invention les constructeurs d’appareils scientifiques. N’ayant pas réussi, il voulut au moins, en désespoir de cause, et pour s’assurer la priorité de la trouvaille, au cas où quelqueréalisation du même genre serait tentée, publier la description de l’appareil avec tous les détails de son fonctionnement. Il chargea de ce soin un savant prêtre de ses amis, l’abbé Le Blanc, rédacteur scientifique de la Semaine du Clergé. C’est dans cette feuille que, le 10 octobre 1877, parut le premier article relatif à l’invention de Charles Cros, et que fut imprimé pour la première fois le nom de phonographe qui devait lui être attribué. L’inventeur, à la vérité, eut préféré le nom de paléophone (voix du passé). C’est l’abbé Le Blanc qui proposa le terme phonographe ; et phonographe est resté.

Thomas Edison

Or, c’est seulement cinq jours après l’ouverture du pli de Charles Cros à l’Académie, c’est-à-dire le 8 décembre 1877, que Thomas Edison prit un brevet, d’ailleurs tout à fait informe, sur « les vibrations d’un tympan actionnant une plume chargée d’encre et frôlant une bande de papier sans fin ». Cela ne ressemblait guère au phonographe conçu par Charles Cros. Mais le 15 janvier suivant, Edison prenait un second brevet dans lequel se trouvait décrit le phonographe mécanique. Le grand adaptateur et réalisateur américain avait eu tout le temps de s’inspirer et du mémoire original de Charles Cros, publié dans les comptes-rendus de l’Académie, et de l’article de l’abbé
Le Blanc, paru trois mois auparavant.
On a dit avec raison qu’en cette affaire, Edison avait été à Charles Cros ce que Marconi fut à Branly dans la réalisation de la T.S.F. Et la comparaison est parfaitement judicieuse. Edison, cependant, a eu, seul,
longtemps, toute la gloire de l’invention. Mais, cette, gloire, il la dut surtout au fait qu’il trouva autour de lui des capitalistes amis du progrès, confiants dans son génie, qui lui permirent de puiser dans une caisse largement ouverte et abondamment fournie pour réaliser toutes les inventions dont il s’occupait. Et c’est là ce qui, en revanche, manqua de tous temps aux inventeurs français.
Cette invention du phonographe était une chose si singulière, si étrange, si inattendue, qu’elle suscita d’abord l’incrédulité générale. On raconte que c’est à elle qu’Edison dut ce titre de « wizard », c’est-à-dire de sorcier, de magicien,que ses compatriotes lui attribuèrent dès lors.Le soir où il acheva la construction de son premier appareil, son principal commanditaire,Carman, se trouvait avec lui dans son laboratoire.Il regardait l’appareil, se demandant ce qu’il pouvait bienêtre, car Edison n’en avait encore parlé à personne.
— Qu’est-ce donc que cela ? demanda Carman à l’inventeur.
— Cela, répondit Edison, c’est une machine qui parle.
Carman éclata de rire, croyant que le savant se moquait de lui.
— Voulez-vous parier avec moi, reprit Edison, que cet appareil va répéter textuellement ce que je vais dire ?
— Je tiens le pari.
Edison récita devant le diaphragme les premiers vers d’une fable que l’appareil, en bon perroquet, reproduisit d’une voix aigrelette, mais distincte. « You are a great wizard ! » (Vous êtes un grand sorcier) s’écria Carman.

Phonographe Edison.

En Angleterre, quand on présenta le premier phonographe importé d’Amérique, il se trouva dans l’assistance un évêque, John H. Vincent, qui, soupçonnant quelque supercherie, voulut se livrer à une épreuve.
Devant un rouleau, il énuméra à toute vitesse un certain nombre de noms propres tirés de la Bible. L’appareil les répéta correctement ; et le prélat s’avoua vaincu. « Il n’y a que moi dans tout le pays, dit-il, qui puisse réciter ces noms avec une telle rapidité».Mais l’incident le plus comique se produisit à Paris, à la séance de l’Académie des sciences où un représentant d’Edison présenta un phonographe pour la première fois. Le président de l’assemblée, un médecin nommé Bouillaud, beaucoup plus connu pour les abominables vivisections auxquelles il se livrait que pour les trouvailles de son génie scientifique, se fâcha tout rouge, et, saisissant l’opérateur au collet, le secoua d’importance.
-« L’Académie, s’écria-t-il, n’est pas dupe du charlatanisme d’un habile ventriloque !... »
Il ne consentit à prendre l’invention au sérieux que lorsqu’on l’eût prié d’impressionner lui-même le cylindre et qu’il eût entendu l’appareil répéter exactement les paroles qu’il avait prononcées. Tels furent les débuts du phonographe en Amérique et en Europe.

18/08/2017 - 08:12
LES PLUS BELLES GARES DU MONDE

Les gares sont donc des lieux de départs et d’arrivées qui n’évoquent pas la même chose pour tout le monde. Comme on n’y reste jamais très longtemps, on oublie vite d’observer l’architecture des bâtiments qui révèlent pourtant de belles surprises. Pour réparer cela, nous avons décidé de vous offrir enphotos les 24 plus belles gares que l’on trouve sur la planète.

Gare d’Anvers-Central (Belgique)
 

 

 
Gare centrale de Groningue (Pays-Bas)
 
Gare de l’Est à Paris (France)
 

 
Gare d’Atocha-Madrid (Espagne)
 

 
Grand Central Terminal à New York (Etats-Unis)
 

 

 
Ramsès Station au Caire (Egypte)
 
Chhatrapati Shivaji Terminus à Mumbai (Inde)
 

 
Gare de Limoges-Bénédictins (France)
 

 
Le Transsibérien Express à Moscou (Russie)
 

 
Gare de Kuala Lumpur (Malaisie)
 

 
Gare de Saint-Pancras à Londres (Angleterre)
 

 



17/08/2017 - 19:46
                                                   
Le Colosse de Rhodes était une statue
d'Hélios, le dieu Soleil, en bronze, dont la hauteur dépassait trente
mètres, œuvre de Charès de Lindos. Souvenir de la résistance victorieuse
àDémétrios Ier Poliorcète (-305 à -304), érigée sur l'île de Rhodes
vers -292, cette gigantesque effigie d'Hélios, dieu tutélaire de la
ville de Rhodes, fut renversée en -227 ou -226 par untremblement de
terre. Cassée au niveau des genoux, elle s'effondra et tomba en
morceaux. La statue brisée resta sur place jusqu'en 654. Il ne reste
plus aujourd'hui la moindre trace du colosse. C'est la sixième des sept
merveilles du monde antique
Historique

La construction fut longue et laborieuse. Le colosse était intégralement
constitué de bois et de bronze. Il fallut d'abord constituer une âme en
bois. Une fois le « squelette » mis en place, la structure fut
recouverte avec d'immenses plaques de bronze. La fonderie de l'île ne
suffisant pas à assumer les besoins d'une telle entreprise, du bronze
fut importé en grande quantité.

On place traditionnellement la statue du colosse sur le grand port de Rhodes, où elle aurait servi de «
porte d'entrée » (comme le suggère la gravure ci-contre). Or, d'après
les études statiques de spécialistes britanniques la statue ne pouvait
se trouver sur le port dans la position qu'on lui attribue, en raison de
l'écartement trop important que suggère une telle position. En effet,
les piliers sur lesquels auraient reposé les pieds de la statue,
auraient été séparés d'une quarantaine de mètres, d'après les
observations des fonds marins dans la baie de Rhodes menées par ces
chercheurs. L'écart ainsi constaté ne correspondrait donc pas à la
hauteur de la statue, qui devait être légèrement plus petite que la
statue de la Liberté à New York. En pratique, il en aurait résulté une
distorsion entre la charge et les points d'appui de la statue.

L'hypothèse apparue à la Renaissance d'une statue aux jambes écartées et permettant
aux bateaux de passer sous elle est donc tombée en désuétude.
Aujourd'hui, d'autres pistes sont explorées :

L'une d'elle veut que la statue se trouvait sur les hauteurs de
l'île (ou en contrebas de l'acropole), surplombant ainsi tout
l'archipel, donnant ainsi une majesté particulière à Hélios et conférant
à la statue une dimension surhumaine.
Une autre théorie défendue entre autres par l'architecte et archéologue allemand Wolfram Hoepfner
place le colosse de Rhodes à l'entrée de l'autre port de Rhodes : le
port militaire. Selon Hoepfner le colosse de Rhodes figurait un « Hélios
saluant » de la main droite.
Le colosse fut mis à bas par un tremblement de terre autour de -227/-226. Techniquement, le tremblement
de terre exerça une torsion sur les genoux de la statue. L'amoncèlement
de bois et de bronze ainsi constitué fut, dans un premier temps, laissé
sur place car un oracle aurait défendu aux habitants de redresser la
statue. D'après la Chronique de Michel le Syrien, le colosse fut
définitivement détruit vers 654, par une expédition arabe, sous le
commandement de Muawiya Ier, lieutenant du calife Othmân ibn Affân, qui
emporta les vingt tonnes qui restaient du colosse (treize tonnes de
bronze et sept tonnes de fer), pour les vendre à un marchand juif
d'Émèse.

Le fait que la statue soit en bois et recouverte de bronze et qu'elle
surplombe l'entrée du port, divise certains historiens. En effet, il est
difficile d'imaginer qu'une œuvre d'un tel poids repose uniquement sur
un squelette en bois. Elle était lestée de pierres, et construire une
statue d'une pareille taille est quasiment impossible. C'est d'ailleurs
cette prouesse technique qui lui a valu sa place dans la fameuse liste
des sept merveilles du monde.
Une biche et un cerf, emblèmes modernes de l'île, gardent l'entrée du vieux port de Mandraki, que la tradition
dit avoir été jadis enjambé par le célèbre Colosse de Rhodes, torche
levée et lance en main.

Il est plus probable, en vérité, que le géant de bronze à l'image d'Hélios, dieu solaire et divinité tutélaire
de Rhodes, se soit trouvé en arrière du port.

La statue, haute de plus de 30 m, appartenait au cercle très fermé des
sept merveilles du monde. Érigée pour célébrer une victoire sur les
Macédoniens en 305 av. J.-C., elle ne demanda pas moins de douze années
de travail à Charès de Lindos. Mais une erreur de conception fragilisa
le Colosse et le sculpteur en serait venu, dit-on, à se suicider...

Les renforcements de pierre et de métal placés dans les jambes ne
parvinrent pas à le stabiliser et il s'effondra lors d'un séisme après
seulement 56 ans d'existence. Au 7e siècle, les vestiges, encore
éparpillés à terre, furent revendus à un marchand de Syrie. Une caravane
de 900 chameaux aurait été nécessaire à leur transport.






17/08/2017 - 19:45

BARCELONE ATTENTAT - Une fourgonnette
blanche a foncé sur des passants en milieu d'après-midi et a fait deux
morts selon les médias locaux.
L'essentiel sur l'attaque terroriste de La Rambla à Barcelone (Espagne)

Une fourgonnette folle a fauché de nombreuses personnes sur la
Rambla, l'équivalent espagnol de l'avenue des Champs-Élysées en France,
de la très touristique ville de Barcelone, jeudi 17 août en fin
d'après-midi.
La police espagnole rapporte que le véhicule aurait fait au moins un mort et plusieurs blessés en fonçant dans la foule.
La police de Barcelone indique qu'il s'agit bien d'un attentat terroriste: un numéro d'urgence mis en place

Le consulat français en Espagne a ouvert une ligne d'urgence. Il s'agit du +34.93.270.30.35








17/08/2017 - 18:57
La Nouvelle-Zélande (Vidéo)...


Aotearoa (/aɔˈtɛaɾɔa/) est le nom māori le plus communément accepté de la Nouvelle-Zélande.
Signification On ne connaît pas au juste l'origine première du mot Aotearoa, mais une traduction probable en serait « Le pays du long nuage blanc » (de ao, « nuage » ; tea, « blanc »; roa « long »).
En effet, selon la tradition orale, la femme de l'explorateur Kupe, lorsqu'elle vit le blanc de l'horizon au large de la Nouvelle-Zélande, se serait écrié « He ao! He ao » (« Un nuage ! un nuage ! »). Le premier territoire visité par Kupe fut en conséquence appelé Aotea (Nuage Blanc), et est maintenant connu sous le nom de "Great Barrier Island" (la grande île barrière).
Lorsque des espaces plus vastes furent découverts au-delà d'Aotea, on les désigna par l'appellation Aotea Roa (Long Aotea).
Ainsi, Aotearoa est uniquement le nom traditionnel de l'Ile du Nord de la Nouvelle-Zélande, pourtant il se réfère désormais couramment au pays dans sa totalité.
Signification De Aotearoa Une autre explication de la traduction de Aotearoa : « Royaume très éloigné ». Le rite de fondation d'un nouveau « marae » symbolisait la création du titre de propriété sur la nouvelle terre, le nom de la famille propriétaire et la légitimité de son pouvoir politique.
En prenant une pierre de son « marae » natal, le fondateur érigeait un nouveau « marae » et proclamait sa nouvelle propriété.
A Rurutu aux Australes se trouve le « Marae Aotea » et c'est donc de ce « marae » que la pierre fut prise pour Aotea à Aotearoa. Aotea est aussile nom de la pirogue de Turi. (14 juillet 2014 - Kapapara)
Les Nuages Vus Depuis La Mer.
Une explication possible de ce nom nous provient des marins. Le premier signe d'une terre émergée pour un bateau est en effet souvent la masse de nuages présente au-dessus de l'île.
Les chaînes de montagne de Nouvelle-Zélande sont plus étendues et plus hautes que n'importe où dans le Pacifique Sud, et sont donc particulièrement propices à la formation de fronts nuageux stationnaires.
Les longs nuages lenticulaires qui en résultent sont très différents des habituels cumulus que l'on peut observer partout ailleurs dans la région.
La vue de ces nuages à travers l'une ou l'autre des deux îles principales du pays aurait pu alors facilement mener à ce nom.
Les Montagnes Aux Sommets Enneigés Une seconde explication plausible est liée à l'enneigement des sommets
montagneux de Nouvelle-Zélande, notamment au niveau de la vaste chaînedes Alpes du sud (Southern Alps), qui forme une arête le long de l'Île Sud, mais aussi du Plateau Volcanique de l'Île du Nord.

Les voyageurs polynésiens, non habitués à la neige, auraient pu assimiler ces pics enneigés à un grand nuage blanc.
Terre De Crépuscule Une troisième explication se rapporte à l'emplacement de la Nouvelle-Zélande, sous les tropiques.
Les marins polynésiens auraient été habitués aux couchers de soleil tropicaux, au cours desquels le ciel passe très rapidement de la lumièredu jour à l'obscurité de la nuit, ne laissant entrevoir qu'un très court crépuscule.
La Nouvelle-Zélande, avec ses latitudes plus méridionales, aurait pu alors étonner les voyageurs venus des tropiques par ses longs crépuscules de soirée et ses jours d'été interminables.
Il a été suggéré que cette particularité constitue la véritable origine duterme « Aotearoa », dont une meilleure traduction serait cependant « grand ciel éclairé ».
La présence d'aurores australes et de couchers de soleil éclatants ont été fournies en tant que théories pour expliquer l'origine d'une partie du nom de l'île Stewart (Rakiura), « Rakiura » signifiant « ciel rougeoyant ».
Usage Moderne Il est à peu près certain que l'emploi du mot Aotearoa pour se référer à toute la Nouvelle-Zélande ne remonte qu'à l'époque post-coloniale, et ilest souvent admis que cet usage fut initié par les Pakeha (les « européens », les « non-Māori »).
Les historiens (voir Michael King) ont émis l'hypothèse qu'il trouve ses origines dans des erreurs à l'intérieur du School Journal de février 1916, et qu'il s'est ainsi propagé de façon similaire aux mythes autour des Moriori.
Cependant cet usage est devenu de plus en plus populaire chez les Māori ces derniers temps. Le terme Aotea se rencontre parfois aussi, mais il est en déclin.
Le nom Aotearoa est utilisé comme alternative à Nouvelle-Zélande, à la fois par les Māori et les non-Māori.
Il n'a pas été reconnu officiellement comme un nom auxiliaire légal pour le pays, mais sa popularité croissante au cours des 25 dernières années,et son usage dans les noms officiels māori, tel celui de la Bibliothèque Nationale (Te Puna Mātauranga o Aotearoa), pourraient bien faire évoluer la situation.
Depuis les années 1990 déjà, l'hymne national de Nouvelle-Zélande, God Defend New Zealand (www.national-anthems.net [archive]), est officiellement chanté de façon bilingue, offrant ainsi un plus grand écho à l'emploi du terme Aotearoa.
Culture Populaire En 1940, Douglas Lilburn composa une de ses plus fameuses œuvres d'orchestre, l'ouverture Aotearoa, qui devint rapidement une de ses compositions les plus prisées, et fut jouée par des orchestres à la fois en Nouvelle-Zélande et en Grande-Bretagne, contribuant de fait à faire connaître plus largement le terme Aotearoa.
Ce nom rencontra une audience encore plus forte en 1981 avec la chanson de Split Enz, Six Months in a Leaky Boat, qui contient le passage...
Dans les milieux nationalistes māori, des blagues courantes font dire que Aotearoa signifie « le pays de la mauvaise foule blanche », et que la prononciation māori correcte est « OUR-tea-roa ».
Maori
Nouvelle-Zélande
Portail de la Nouvelle-Zélande
Signification
 Signification de Aotearoa
 Les nuages vus depuis la mer
Les montagnes aux sommets enneigés
Terre de crépuscule

CLIC.................Aotearoa - New Zealand from Ludovic Gibert on Vimeo.

Un voyage à travers 4559 km de Christchurch, Akaroa, Lac Tekapo, Te Anau,
Wanaka, Fox Glacier, Punakaiki, Kaiteriteri, Wellington, Tongariro,
Taupo, Whangamata, Auckland.

La Nouvelle-Zélande, sur Wikimedia Commons
La Nouvelle-Zélande, sur Wikinews
17/08/2017 - 16:53
                                              

GRECE : Un arbre centenaire dans une Église
Cette église étonnante est située à Samarina, en Grèce, construite en 1812.

Samarina est un village montagneux du district de Grevena, l'un des plus hauts
villages d'Europe, construit vers 1600 m (5250 pieds) d'altitude

Elle est
consacrée à la Vierge Marie et chaque année, le 15 août, une grande
célébration a lieu dans le village en rassemblant des visiteurs de
partout dans le pays.


A un
certain point, un petit pin a grandi dans le temple de l'église et
maintenant, il vient magnifiquement hors du toit ! L'arbre a plus de
100 ans.!Il est également connu comme le plus grand village de Grèce et
chaque été il est plein de locaux et de visiteurs.
Son environnement et ses paysages sont parfaits pour
les amateurs de montagnes, de forêts et de beautés naturelles
17/08/2017 - 16:50

                                        LE  PONT  DU  GARD         


Les Romains ont conçu leurs structures
architecturales de façon à ce qu'elles résistent au temps. Même si le
Pont du Gard ne fonctionne plus comme un aqueduc, le fait qu'il date de
près de deux mille ans et qu'il est toujours debout témoigne des
compétences de ses constructeurs (même si, bien sûr, il a connu des
rénovations au fil du temps).
Il a été construit au premier siècle après J.-C., au moment où les
personnages du film des Monty Python se rebellaient contre l'empire, les
citoyens de Nîmes jouissaient chaque jour d'un approvisionnement de
plus de 150 millions de litres d'eau. La précision utilisée par les
ingénieurs romains est étonnante: malgré sa longueur, l'aqueduc ne
descend que de 5 mètres sur toute sa longueur
Il a été utilisé bien après la chute de l'Empire romain, probablement
jusqu'au Xe siècle. Depuis cette époque il n'a pas été entretenu et a
été éventuellement bouché avec des dépôts minéraux et les détritus vieux
de centaines d'années. Au Moyen-Âge sa fonction a changé et il est
devenu un pont de péage.
On pense que la construction de l'aqueduc a commencé autour de l'an 40 et a
été achevé une quinzaine d'années après. Il y aurait eu probablement
environ un millier de travailleurs occupés à la construction. Le pont
lui-même mesure 274 mètres et sa hauteur est de 49 mètres. Il a été
construit sur trois niveaux et à chaque niveau, la portée des arches est
inconstante. Chacune est d'une largeur légèrement différente, un
stratagème délibéré pour protéger le pont contre l'affaissement
L'eau a été transportée dans un conduit que les Romains appelaient un
spéculum et il était situé au sommet du troisième niveau. Les niveaux
supérieurs se courbent légèrement. Cette courbure était délibérée.
L'idée des ingénieurs était de rendre la résistance du pont plus forte
contre le flux d'eau – 150 millions de litres d'eau par jour entraînent
une pression considérable
Cependant, il a récemment été démontré que les courbures étaient également causées
par l'expansion et la contraction des pierres dues à la chaleur du
soleil.
C'est bien sûr la pierre qui a donné au pont du Gard sa longévité. Il y a
plus de 50 000 tonnes de pierres qui composent l'aqueduc et beaucoup de
blocs ont un poids supérieur à cinq tonnes chacun. Il n'y a pas de
mortier du tout – la coupe était si précise que les pierres se
maintiennent les unes aux autres par frottement.

Malheureusement, le nom de l'architecte a été perdu avec le temps !
17/08/2017 - 13:00
                                                
La poupée existe de les temps les plus
reculés, on a en effet, retrouvé des poupées qui datent de la
préhistoire, bien sûr, ces poupées avaient des formes primitives.

Les premières poupées véritables, remontent à l'Egypte pharaonique du Moyen
Empire, la poupée était réalisée en bois, et elles ont + de 4000 ans.
Les poupées en chiffon ou en tissu sont aussi égyptiennes, mais sont
plus récentes, 600 ans environ avant J.C.

C'est au XIX° siècle, avec l'apparition du papier mâché, que l'on a vu apparaître les poupées
en très grand nombre et des poupées diverses en variété.

La première poupée qui possédait des yeux mobiles est née en 1880.

Le XVIII° siècle, a quant à lui, vu apparaître la poupée-mannequin, qui était présentatrice et ambassadrice de la mode française
Un fabricant Allemand de Sonneberg créa en 1887, les têtes de poupées
en "pâte cartonnée", appelée cuir cartonné, qui devait être placée entre
les moules chauds et subir une forte pression. La composition fut aussi
employée comme base sous la cire pour rendre les têtes plus
attrayantes.

Au début du XXe siècle, le composé à base de bois devint le matériau universel pour la fabrication des poupées
De nos jours on retrouve encore des poupées anciennes et de collection,
à savoir des poupées en porcelaine, des poupées en cire, des poupées de
chiffon, des poupées russes, des poupées Bella, qui ont existé, elles,
entre 1946 à 1984, qui ne sont plus vendues dans les magasins, mais que
l'on retrouve chez les collectionneurs,toutes les poupées peuvent donner
lieu à un début de collection qui s'orientera avec la recherche et
selon le goût : bois, biscuit, porcelaine, papier mâché, celluloïd,
rhodoïd, cire, feutre, tissu ou plastique et dans les bourses de
poupées.

Les poupées Bella, ont rendu plus d'une génération de petites filles
heureuses, maintenant on retrouve toujours des poupées qui font toujours
la joie des petites filles, elles s'appellent maintenant Barbie,
Charlotte aux fraises, Dora, Corolle, Carina, Bratz, Becassine etc
Ces poupées sont des poupées chiffons, des poupées à thèmes, des poupées
souples, des poupées mannequin, des poupées qui bougent, qui parlent,
qui chantent !!! des poupées fées comme Tozy, Céleste, Roy, des poupées
parfumées, des poupées accompagnées d'un tas d'accessoires, etc...

Les poupées font toujours plaisir, la poupée est un excellent cadeau pour
une fille, à l'occasion d'un Noël, d'un anniversaire, on trouve des
centaines de poupées différentes, dans les magasins de jouets et sur les
sites de jouets en ligne d'internet.

Les poupées sont relativement d'un coût abordable, car il y en a à tout les prix, du plus
petit au plus grand... cela laisse toute latitude, aux personnes qui
ont un budget restreint.

On peut offrir une poupée, sans trop se ruiner !!! Si vous avez le temps, allez visiter le musée de la poupée à
Paris. Au Japon, il une fête annuelle japonaise qui met en valeur les
poupées
17/08/2017 - 08:21
Les plus beaux passages à ciel ouvert de Paris.


 
Si les passages couverts du centre de la capitale nous plongent inévitablement dans le Paris d’antan, c’est un tout autre Paris que nous font découvrir les passages à ciel ouvert.
Disséminées aux quatre coins de la capitale, ces ruelles bucoliques traversées par un porche ont un charme fou. Voici, en images, les plus jolis passages à ciel ouvert de Paris ! De quoi piocher quelques idées pour une prochaine balade…

Passage de l’Ancre, 3e

Entre le 221 rue Saint-Martin et le 30 rue de Turbigo
Métro : Réaumur-Sebastopol (lignes 3 et 4)

Passage Dauphine, 6e
 

Entre le 30 rue Dauphine et le 27 rue Mazarine
Métro : Odéon (lignes 4 et 10)

Passage Lhomme, 11e
 

Entre le 25 rue de Charonne et le passage Josset
Métro : Ledru-Rollin (ligne 8)

Passage du Chantier, 12e

Entre le 53 rue de Charenton et le 66 rue du Faubourg Saint-Martin
Métro : Ledru-Rollin (ligne 8)

Passage Geoffroy-Didot, 17e

Entre le 90 boulevard des Batignolles et le 117 rue des Dames
Métro : Villiers (lignes 2 et 3)

Cour du Commerce Saint-André, 6e
Entre le 59 rue Saint-André-des-Arts et le 130 boulevard Saint-Germain / 21 rue de l’Ancienne-Comédie
Métro : Odéon (lignes 4 et 10)

Passage Bourgoin, 13e
 

Entre le 41 rue du Château des Rentiers et le 32 bis rue Nationale
Métro : Porte d’Ivry (ligne 7), Olympiades (ligne 14)

Passage Delanos, 10e
 

Entre le 148 rue du Faubourg Saint-Denis et le 25 rue d’Alsace – Entrée par la rue du Faubourg Saint-Denis
Métro : Gare de l’Est (lignes 4, 5 et 7), Gare du Nord (lignes 4 et 5)

Passage Doisy, 17e

Entre le 55 avenue des Ternes et le 18 bis rue d’Armaillé
Métro : Argentine (ligne 1), Ternes (ligne 2)