Coupes de cheveux pour homme dans les années 60 – 70.
Petite séquence vintage avec cette série de coupes de cheveux pour homme dans les années 60 – 70. Aujourd’hui symboles du mauvais goût et associées à des profils de tueurs en série,ces excentricités capillaires avaient pourtant à l’époque un franc succès chez la gente masculine. Certaines de ces coiffures avaient même de petits noms (voir sur Dangerous Mind ici) Si pour ma part (auteur)j’ai échappé, car trop jeune, à cet attentat (et également à ces coupes de cheveux pour enfants si jolies), j’imagine que ça n’est pas le cas de tous. Me concernant j'étais plutôt comme le 12eme)
Face à la côte de granit rose, l'île Milliau est un "caillou" passionnant pour un géologue. Nous l'avons arpenté en compagnie d'Odile Guérin, géologue et adjointe au maire de Trébeurden, chargée de l'environnement. Par Stéphane Grammont Odile Guérin, la scientifique, et sa complice artiste Isabelle le Seigneur arpentent l'île Milliau depuis de nombreuses années. Pour la première, c'est la formidable diversité biologique qui fait son bonheur. Pour la seconde, les palettes de couleurs, voire de texture, comme le tapis de bruyère qui couvre le sommet de l'île. L'île était privée. Elle a été rachetée par le conservatoire du littoralen 1984, mais conserve son caractère sauvage, bien qu'elle soit ouverte au public et accessible à certaines marées. Jusque dans les années 30, l'île était habitée. On y cultivait les meilleures pommes de terre du Trégor, grâce à sa situation géographique d'exception. Les habitations servent aujourd'hui de gîte, ce qui permet d'y passer la nuit.
A la découverte de l'île Milliau Reportage: Adélaide Castier, Bruno Van Wassenhove
La France devrait attirer un nombre record de touristes étrangers en 2017. Après une mauvaise année 2016, conséquence notamment de la menace terroriste, la France, première destination touristique mondiale, espèrere nouer cette année avec une fréquentation touristique record, mais le gouvernement insiste sur les efforts à fournir pour atteindre l'objectif ambitieux de 100 millions de visiteurs en 2020. "Selon nos prévisions, la France pourrait atteindre 88 à 89 millions de touristes en 2017, soit une hausse de 5 à 6% par rapport à 2016", a annoncé lundi le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, durant un déplacement à Giverny (Eure).
Tumulus de Bougon...Site Néolitique En Deux-Sèvres Par Détours en France Source : Hors Série -Secrets De Lieux Sacrés...
Le tumulus de Bougon dans les Deux-Sèvres est la nécropole la plus ancienne connue en Europe. Le préhistorien Jean-Pierre Mohen a fouillé pendant plus d’une décennie le site néolitique des tumulus de Bougon (Deux-Sèvres). En 1979, il organise le déplacement d’une dalle de 32 tonnes avec les techniques néolithiques. Il nous raconte ses différentes découvertes et ses hypothèses. Fascinant.
Les tumulus de Bougon nous plongent dans une des nécropoles les plus anciennes jamais retrouvées (vers 4700 avant J.-C.). Un long travail de fouilles a permis de mettre au jour un site majeur de l’expression de lapensée mystique du néolithique. La Découverte Du Lieu. Découvert en 1840, le site de Bougon a très tôt livré des éléments parlants – notamment un trésor de 200 squelettes humains et d’offrandes. Ce que l’on prenait pour des tas d’épierrements s’est révélé être une nécropole abritant plusieurs tumulus (dolmens recouverts d’un remblai), dont le département des Deux-Sèvres négocia l’acquisition en 1875.
Après un siècle d’interruption, les fouilles ont repris en 1968 et ont été dirigées de 1972 à 1985 par Jean-Pierre Mohen. Avec son équipe, celui-ci a recueilli 23 000 autres fragments d’os, appartenant à 110 adultes et 35 enfants. Il a aussi avancé dans la reconnaissance et l’interprétation des six tumulus, qui ont été utilisés pendant plus de mille ans, à partir de 4700 avant J.-C. Le tumulus le plus ancien possédait une coupole en pierre sèche, comme dans les trulli d’Italie du Sud. Le tumulus central avait une toute petite chambre tandis que le tumulus A,de forme circulaire, avait une dalle de 90 tonnes en aigrain, une pierre fossile d’origine corallienne. Quant au tumulus F, long de 72 mètres, il possédait deux chambres, une à chaque extrémité. Une Énigme De Poids. La variété des pierres utilisées imposait de déterminer leur provenance, dans une configuration géographique assez simple : un plateau encadré par deux rivières, la Sèvre niortaise et le Pamproux, la nécropole se trouvant à équidistance des deux. La conclusion fut que les pierres de la nécropole provenaient de différentes carrières, ce qui donnait l’impression que plusieurs communautés avaient choisi de réunir leurs morts en un même lieu, bien visible, sur une élévation de terrain. L’une des dalles de couverture pesait 90 tonnes, l’autre, près de 32 tonnes. Elle était constituée d’une roche dure - du calcaire bathonien à silex provenant d’une carrière située à 4 kilomètres. Comment les hommes préhistoriques s’y sont-ils pris pour déplacer de telles masses sur les tumulus ? Des Habitants Coopérants« Dans les années 1970, des observateurs avançaient que c’était un exploit impossible à réaliser par des hommes du néolithique, explique Jean-Pierre Mohen. Certains “archéologues des forces secrètes” y voyaient l’action de puissances sidérales. Cela m’irritait profondément. Nous commencions à disposer d’éléments, provenant des fouilles, sur le type de pierre et d’outils utilisés, etc. Il fallait tenter une démonstration pour prouver que cela était possible ! » L’extraction de la pierre ne pose pas de problème. Les strates de la roche sont accentuées par percussion. On introduit des coins de bois mouillés et taillés en biseau et la roche finit par se « cliver » sans besoin de la tailler jusqu’au bout. Elle est ensuite extraite grâce à des pics en bois de cerf. Mais pour le transport ? La réussite de l’opération, programmée pour l’été 1979, passait par la coopération des habitants. Une Mystique Commune« Je suis allé voir les maires en leur expliquant que nous faisions des fouilles depuis dix ans, que nous commencions à comprendre mais qu’il fallait vérifier les hypothèses, poursuit le préhistorien, qui avoue avoir rencontré un certain scepticisme. Bougon se trouve à côté de l’école d’officiers de Saint-Maixent, qui se sont rendus disponibles. Quand les maires l’ont appris, ils ont tout de suiteaccepté de nous aider ! Le Conseil général, propriétaire du site, a proposé de monter une buvette… Une scierie nous a fourni les troncs pour le roulement. Un vieux couple nous a indiqué les techniques ancestrales pour fabriquer des cordes en fibres de lierre et de viorne. »Tout est prêt pour l’épreuve le 28 juillet 1979. Cinq cents volontaires sont présents dès le lever du soleil. Empaquetée, encordée, progressant sur des « rouleaux » posés sur des « rails » (d’autres troncs équarris), la dalle tractée par 200 tireurs avance de plusieurs dizaines de mètres dans la matinée. Cet événement prouve que le défi n’est pas impossible à relever et qu’en plein XXe siècle, avec des acteurs pourtant conscients de participer à une simple reconstitution, l’union des forces crée une mystique commune – la même exaltation qui a dû présider autrefois à l’édification de ces monuments colossaux. Les fouilles ont livré une moisson funéraire qui a soulevé d’autres questions. À côté d’épingles, de haches polies et de coquillages percés, deux calottes crâniennes ont été trouvées dans le tumulus A. Sur l’un des crânes, il y avait trace de trois trépanations, qui consistent à ouvrir le crâne pour diminuer la pression. Deux de ces opérations montrent des traces d’ossification, prouvant qu’elles ont été couronnées de succès. La troisième n’a pas cicatrisé : le patient est sans doute mort à l’issue de celle-ci. Ou a-t-on voulu lui ouvrir le crâne, post mortem, pour voir ce qui se passait à l’intérieur ? Bougon a Son Musée À moins d’un kilomètre du site archéologique, le musée des Tumulus est un bâtiment de verre dessiné par l’architecte Jean-François Milou autour d’une chapelle cistercienne. Les salles y détaillent la géologie du Seuil du Poitou et les caractères principaux de la « révolution néolithique », qui entraîna un changement complet de mode de vie, marqué par l’agriculture, l’élevage, le tissage et la sédentarisation. Le musée propose expositions et ateliers de maniement d’outils néolithiques.
D’autres indices font penser à un rangement ordonné de crânes, comme s’il s’agissait de reliques, et à une manipulation intensive des ossements, dont certains, non retrouvés sur le site, ont dû être emportés en d’autres lieux. Le tout semble militer pour un culte funéraire élaboré. L’une des hypothèses avancée par Jean-Pierre Mohen est que les tumulus ne servaient pas uniquement à être vus et à abriter des cérémonies, mais qu’ils pouvaient faire partie d’une chaîne de « relais » accueillant ou envoyant des ossements vers d’autres sites comparables. Une sorte de réseau de sanctuaires s’échangeant une part de sacré… Musée des Tumulus - Musée/Monument/Site - Voir la fiche
Bangkok Bangkok (en thaï กรุงเทพมหานคร ou กรุงเทพฯ Krung Thep écouter, voir ci-dessous) est la capitale de la Thaïlande. C'est à la fois une ville et une province. La ville occupe une superficie de 1 568,7 km2 dans le delta du fleuve Chao Phraya en Thaïlande centrale et son nombre d’habitants est supérieur à 8 millions, soit 12,6 % de la population thaïlandaise. Plus de 14 millions de personnes (22,2 %) habitent l’aire métropolitaine de la capitale, soit plusieurs fois plus que tous les autres centres urbains du pays. Les racines de Bangkok remontent à un petit comptoir commercial crée durant le Royaume d'Ayutthaya au XVe siècle qui prend de l’importance avant de devenir le site d'une première capitale, Thonburi, en 1768. Mais la date officielle de sa fondation par Rama Ier, premier roi la dynastie Chakri, est le 6 avril 1782, sur l'autre rive du fleuve. Bangkok s’inscrit au XIXe siècle au cœur du mouvement de modernisation du royaume de Siam, alors que le pays subit la pression des nations colonisatrices européennes. La ville est ensuite au XXe siècle le théâtre de l’évolution politique de la Thaïlande, notamment avec l’abolition de la monarchie absolue, l’adoption d’une constitution, et plusieurs soubresauts politiques parfois violents. La ville a connu une formidable croissance à partir des années 1960 et exerce aujourd’hui une influence centrale sur la vie politique, économique, culturelle, universitaire et médiatique de la Thaïlande. Le boom économique asiatique des années 1980 et 1990 a amené beaucoup d’entreprises multinationales à installer leur siège régional à Bangkok. La ville est un important pôle d’affaires. C’est également une plateforme internationale pour les transports et la santé, tout comme pour les arts, la mode, les spectacles et le tourisme. Bangkok fait partie des villes les plus visitées au monde.
La sophistication de l’architecture, l’exubérance de l’ornementation, l’éclat des ors et des couleurs et, surtout, l’impression de sérénité etde profonde spiritualité qui se dégage des lieux : les temples de Thaïlande ont de quoi émerveiller le voyageur. Dans ce pays bouddhiste à 94 %, ces lieux de culte font partie du quotidien des Thaïlandais. Ils sont bien plus fréquentés que nos églises. Sukhothai, Ayutthaya, Bangkok… Les temples portent aussi la mémoire de la tumultueuse histoire du royaume de Siam.
Enfin – et c’est un paradoxe – ces joyaux architecturaux dédiés au bouddhisme procurent, au-delà de la contemplation, un intense plaisir des sens au visiteur. Lumière, forme, couleur et parfums… « Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté ». Une invitation au voyage, donc, aux quatre coins de la Thaïlande. CLIC ICI.......................Bangkok - The Beauty of Faith (Thailand Time Lapse HD) fromSpy
BRASSERIE L'ETOILE DU NORD A PARIS DANS LA GARE. Cette brasserie haut de gamme signée Thierry Marx (Le Mandarin Oriental) trône en maître au milieu de la gare du Nord depuis fin novembre 2016. Plongée dans un décor qui se veut à la fois authentique et moderne, l’Etoile du Nord tente de remettre au goût du jour l’esprit du buffet de gare et accueille ainsi tous les publics. Le chef doublement étoilé nous sert une cuisine d’inspiration nordique qui défie toute concurrence par son bon rapport qualité-prix (formule E+P+D à 29 euros). Sous une immense charpente industrielle entièrement vitrée, on peut également s’installer à l’étage pour boire un verre.
Infos pratiques : L’Etoile du Nord – Gare du Nord – 18, rue de Dunkerque, 75010 Métro : Gare du Nord (ligne 4 et 5)
Ouvert il y a seulement trois ans, le Lazare Paris a déjà fait couler beaucoup d’encre. Véritable lieu de vie pour riverains et voyageurs, cette brasserie moderne, installée sur le parvis de la gare Saint-Lazare, nous plonge tout de suite dans une atmosphère très conviviale. Plafonds hauts, tables rondes, comptoir ovale en bois et cuivre : tout semble ici rappeler les décors des buffets de gare d’antan. Le chef triplement étoilé Eric Frechon (Le Bristol) élabore une cuisine française familiale, authentique et raffinée (plats à partir de 19 euros) : suprême de volaille fermière rôti à l’ail, tartare de bœuf taillé au couteau, cabillaud rôti à la tomate et sans doute « la meilleure saucisse purée de Paris ». On en redemande !
Infos pratiques : Lazare Paris – Centre commercial Saint-Lazare Paris, Parvis de la Gare Saint-Lazare, Rue Intérieure, 75008 Métro : Gare Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14)
L’île de Madère, en portugais Ilha da Madeira, est l’île principale de
l’archipel et région autonome de Madère dépendant du Portugal.
Petite séquence vintage avec cette série de coupes de cheveux pour homme dans les années 60 – 70.
Aujourd’hui symboles du mauvais goût et associées à des profils de tueurs en série,ces excentricités capillaires avaient pourtant à l’époque un franc succès chez la gente masculine.
Certaines de ces coiffures avaient même de petits noms (voir sur Dangerous Mind ici)
Si pour ma part (auteur)j’ai échappé, car trop jeune, à cet attentat (et également à ces coupes de cheveux pour enfants si jolies), j’imagine que ça n’est pas le cas de tous. Me concernant j'étais plutôt comme le 12eme)
L'île Milliau / © B. Thibaut - France 3 Bretagne
Face à la côte de granit rose, l'île Milliau est un "caillou" passionnant pour un géologue. Nous l'avons arpenté en compagnie d'Odile Guérin, géologue et adjointe au maire de Trébeurden, chargée de l'environnement.
Par Stéphane Grammont
Odile Guérin, la scientifique, et sa complice artiste Isabelle le Seigneur arpentent l'île Milliau depuis de nombreuses années.
Pour la première, c'est la formidable diversité biologique qui fait son bonheur. Pour la seconde, les palettes de couleurs, voire de texture, comme le tapis de bruyère qui couvre le sommet de l'île.
L'île était privée. Elle a été rachetée par le conservatoire du littoralen 1984, mais conserve son caractère sauvage, bien qu'elle soit ouverte au public et accessible à certaines marées.
Jusque dans les années 30, l'île était habitée. On y cultivait les meilleures pommes de terre du Trégor, grâce à sa situation géographique d'exception.
Les habitations servent aujourd'hui de gîte, ce qui permet d'y passer la nuit.
A la découverte de l'île Milliau
Reportage: Adélaide Castier, Bruno Van Wassenhove
© Stéphanie Hamay Phare du petit Minou à Plouzané.
En tête le Finistère, en trois les Côtes d'Armor, le Morbihan en 5ème position, la Bretagne est plébiscitée pour ses gîtes.
Les réservations dans les 60 000 hébergements labellisés Gîtes de France sont en hausse de 2,3% pour cet été par rapport à l'an dernier.
Pour ces vacances d'été, les réservations sont en hausse de 2,3% dans les Gîtes de France et ce sont les départements bretons, avec la Corse, qui tirent le mieuxleur épingle du jeu. Sur l'ensemble du territoire, le taux d'occupationatteint déjà 66% pour juillet et grimpe à 70% pour août. Le Finistère arrive toujours en tête des départements plébiscités, suivi par la Corse, les Côtes-d'Armor, la Haute-Savoie et enfin le Morbihan.
6% en plus sur les six premiers mois 2017.
Au cours des six premiers mois de l'année, Gîtes de France a généré un volume d'affaires en hausse de 6% sur un an, à 157,8 millions d'euros, indique par ailleurs le communiqué du réseau. Le nombre de nuitées s'est établi à 2,5 millions, tandis que le prix moyen acheté par les clients a augmenté de 2,8% pourune location d'une semaine en gîte, à 417,70 euros, et de 3,8% pour une nuitée en chambre d'hôtes pour deux personnes petits déjeuners inclus, à 92,13 euros.
En outre, "la durée moyenne des séjours dans les hébergements Gîtes de France s'allonge": en gîte, cette durée a progressé de 3,7% à 7,57 jours, et de 2,2% en chambre d'hôtes à 1,82 jour.
La France devrait attirer un nombre record de touristes étrangers en 2017.
Après une mauvaise année 2016, conséquence notamment de la menace terroriste, la France, première destination touristique mondiale, espèrere nouer cette année avec une fréquentation touristique record, mais le gouvernement insiste sur les efforts à fournir pour atteindre l'objectif ambitieux de 100 millions de visiteurs en 2020. "Selon nos prévisions, la France pourrait atteindre 88 à 89 millions de touristes en 2017, soit une hausse de 5 à 6% par rapport à 2016", a annoncé lundi le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, durant un déplacement à Giverny (Eure).
Par Détours en France Source : Hors Série -Secrets De Lieux Sacrés...
Le tumulus de Bougon dans les Deux-Sèvres est la nécropole la plus ancienne connue en Europe.
Le préhistorien Jean-Pierre Mohen a fouillé pendant plus d’une décennie le site néolitique des tumulus de Bougon (Deux-Sèvres).
En 1979, il organise le déplacement d’une dalle de 32 tonnes avec les techniques néolithiques. Il nous raconte ses différentes découvertes et ses hypothèses. Fascinant.
Les tumulus de Bougon nous plongent dans une des nécropoles les plus anciennes jamais retrouvées (vers 4700 avant J.-C.). Un long travail de fouilles a permis de mettre au jour un site majeur de l’expression de lapensée mystique du néolithique.
La Découverte Du Lieu.
Découvert en 1840, le site de Bougon a très tôt livré des éléments parlants – notamment un trésor de 200 squelettes humains et d’offrandes. Ce que l’on prenait pour des tas d’épierrements s’est révélé être une nécropole abritant plusieurs tumulus (dolmens recouverts d’un remblai), dont le département des Deux-Sèvres négocia l’acquisition en 1875.
Après un siècle d’interruption, les fouilles ont repris en 1968 et ont été dirigées de 1972 à 1985 par Jean-Pierre Mohen. Avec son équipe, celui-ci a recueilli 23 000 autres fragments d’os, appartenant à 110 adultes et 35 enfants.
Il a aussi avancé dans la reconnaissance et l’interprétation des six tumulus, qui ont été utilisés pendant plus de mille ans, à partir de 4700 avant J.-C.
Le tumulus le plus ancien possédait une coupole en pierre sèche, comme dans les trulli d’Italie du Sud.
Le tumulus central avait une toute petite chambre tandis que le tumulus A,de forme circulaire, avait une dalle de 90 tonnes en aigrain, une pierre fossile d’origine corallienne.
Quant au tumulus F, long de 72 mètres, il possédait deux chambres, une à chaque extrémité.
Une Énigme De Poids.
La variété des pierres utilisées imposait de déterminer leur provenance, dans une configuration géographique assez simple : un plateau encadré par deux rivières, la Sèvre niortaise et le Pamproux, la nécropole se trouvant à équidistance des deux.
La conclusion fut que les pierres de la nécropole provenaient de différentes carrières, ce qui donnait l’impression que plusieurs communautés avaient choisi de réunir leurs morts en un même lieu, bien visible, sur une élévation de terrain.
L’une des dalles de couverture pesait 90 tonnes, l’autre, près de 32 tonnes.
Elle était constituée d’une roche dure - du calcaire bathonien à silex provenant d’une carrière située à 4 kilomètres.
Comment les hommes préhistoriques s’y sont-ils pris pour déplacer de telles masses sur les tumulus ?
Des Habitants Coopérants « Dans les années 1970, des observateurs avançaient que c’était un exploit impossible à réaliser par des hommes du néolithique, explique Jean-Pierre Mohen.
Certains “archéologues des forces secrètes” y voyaient l’action de puissances sidérales. Cela m’irritait profondément. Nous commencions à disposer d’éléments, provenant des fouilles, sur le type de pierre et d’outils utilisés, etc.
Il fallait tenter une démonstration pour prouver que cela était possible !
» L’extraction de la pierre ne pose pas de problème. Les strates de la roche sont accentuées par percussion.
On introduit des coins de bois mouillés et taillés en biseau et la roche finit par se « cliver » sans besoin de la tailler jusqu’au bout. Elle est ensuite extraite grâce à des pics en bois de cerf.
Mais pour le transport ?
La réussite de l’opération, programmée pour l’été 1979, passait par la coopération des habitants.
Une Mystique Commune « Je suis allé voir les maires en leur expliquant que nous faisions des fouilles depuis dix ans, que nous commencions à comprendre mais qu’il fallait vérifier les hypothèses, poursuit le préhistorien, qui avoue avoir rencontré un certain scepticisme.
Bougon se trouve à côté de l’école d’officiers de Saint-Maixent, qui se sont rendus disponibles. Quand les maires l’ont appris, ils ont tout de suiteaccepté de nous aider !
Le Conseil général, propriétaire du site, a proposé de monter une buvette
Cet événement prouve que le défi n’est pas impossible à relever et qu’en plein XXe siècle, avec des acteurs pourtant conscients de participer à une simple reconstitution, l’union des forces crée une mystique commune – la même exaltation qui a dû présider autrefois à l’édification de ces monuments colossaux. Les fouilles ont livré une moisson funéraire qui a soulevé d’autres questions.
À côté d’épingles, de haches polies et de coquillages percés, deux calottes crâniennes ont été trouvées dans le tumulus A. Sur l’un des crânes, il y avait trace de trois trépanations, qui consistent à ouvrir le crâne pour diminuer la pression.
Deux de ces opérations montrent des traces d’ossification, prouvant qu’elles ont été couronnées de succès.
La troisième n’a pas cicatrisé : le patient est sans doute mort à l’issue de celle-ci.
Ou a-t-on voulu lui ouvrir le crâne, post mortem, pour voir ce qui se passait à l’intérieur ?
Bougon a Son Musée
À moins d’un kilomètre du site archéologique, le musée des Tumulus est un bâtiment de verre dessiné par l’architecte Jean-François Milou autour d’une chapelle cistercienne.
Les salles y détaillent la géologie du Seuil du Poitou et les caractères principaux de la « révolution néolithique », qui entraîna un changement complet de mode de vie, marqué par l’agriculture, l’élevage, le tissage et la sédentarisation.
Le musée propose expositions et ateliers de maniement d’outils néolithiques.
D’autres indices font penser à un rangement ordonné de crânes, comme s’il s’agissait de reliques, et à une manipulation intensive des ossements, dont certains, non retrouvés sur le site, ont dû être emportés en d’autres lieux. Le tout semble militer pour un culte funéraire élaboré.
L’une des hypothèses avancée par Jean-Pierre Mohen est que les tumulus ne servaient pas uniquement à être vus et à abriter des cérémonies, mais qu’ils pouvaient faire partie d’une chaîne de « relais » accueillant ou envoyant des ossements vers d’autres sites comparables.
Une sorte de réseau de sanctuaires s’échangeant une part de sacré…
Musée des Tumulus - Musée/Monument/Site -
Voir la fiche
Bangkok (en thaï กรุงเทพมหานคร ou กรุงเทพฯ Krung Thep écouter, voir ci-dessous) est la capitale de la Thaïlande. C'est à la fois une ville et une province.
La ville occupe une superficie de 1 568,7 km2 dans le delta du fleuve Chao Phraya en Thaïlande centrale et son nombre d’habitants est supérieur à 8 millions, soit 12,6 % de la population thaïlandaise.
Plus de 14 millions de personnes (22,2 %) habitent l’aire métropolitaine de la capitale, soit plusieurs fois plus que tous les autres centres urbains du pays.
Les racines de Bangkok remontent à un petit comptoir commercial crée durant le Royaume d'Ayutthaya au XVe siècle qui prend de l’importance avant de devenir le site d'une première capitale, Thonburi, en 1768.
Mais la date officielle de sa fondation par Rama Ier, premier roi la dynastie Chakri, est le 6 avril 1782, sur l'autre rive du fleuve. Bangkok s’inscrit au XIXe siècle au cœur du mouvement de modernisation du royaume de Siam, alors que le pays subit la pression des nations colonisatrices européennes.
La ville est ensuite au XXe siècle le théâtre de l’évolution politique de la Thaïlande, notamment avec l’abolition de la monarchie absolue, l’adoption d’une constitution, et plusieurs soubresauts politiques parfois violents.
La ville a connu une formidable croissance à partir des années 1960 et exerce aujourd’hui une influence centrale sur la vie politique, économique, culturelle, universitaire et médiatique de la Thaïlande.
Le boom économique asiatique des années 1980 et 1990 a amené beaucoup d’entreprises multinationales à installer leur siège régional à Bangkok.
La ville est un important pôle d’affaires. C’est également une plateforme internationale pour les transports et la santé, tout comme pour les arts, la mode, les spectacles et le tourisme. Bangkok fait partie des villes les plus visitées au monde.
La sophistication de l’architecture, l’exubérance de l’ornementation, l’éclat des ors et des couleurs et, surtout, l’impression de sérénité etde profonde spiritualité qui se dégage des lieux : les temples de Thaïlande ont de quoi émerveiller le voyageur.
Dans ce pays bouddhiste à 94 %, ces lieux de culte font partie du quotidien des Thaïlandais. Ils sont bien plus fréquentés que nos églises.
Sukhothai, Ayutthaya, Bangkok… Les temples portent aussi la mémoire de la tumultueuse histoire du royaume de Siam.
Enfin – et c’est un paradoxe – ces joyaux architecturaux dédiés au bouddhisme procurent, au-delà de la contemplation, un intense plaisir des sens au visiteur.
Lumière, forme, couleur et parfums… « Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté ».
Une invitation au voyage, donc, aux quatre coins de la Thaïlande.
CLIC ICI.......................Bangkok - The Beauty of Faith (Thailand Time Lapse HD) fromSpy
par AK Abstracts Organiques des peintures en 3D à l'aide de la pâte à modeler et de l'argile.
Printemps été
Été-automne
Hiver printemps
Automne hiver
OVAC
Terra As Firma Et Ephémère
Commandé
Mini panneaux
Cette brasserie haut de gamme signée Thierry Marx (Le Mandarin Oriental) trône en maître au milieu de la gare du Nord depuis fin novembre 2016.
Plongée dans un décor qui se veut à la fois authentique et moderne, l’Etoile du Nord tente de remettre au goût du jour l’esprit du buffet de gare et accueille ainsi tous les publics. Le chef doublement étoilé nous sert une cuisine d’inspiration nordique qui défie toute concurrence par son bon rapport qualité-prix (formule E+P+D à 29 euros). Sous une immense charpente industrielle entièrement vitrée, on peut également s’installer à l’étage pour boire un verre.
Infos pratiques :
L’Etoile du Nord – Gare du Nord – 18, rue de Dunkerque, 75010
Métro : Gare du Nord (ligne 4 et 5)
Ouvert il y a seulement trois ans, le Lazare Paris a déjà fait couler beaucoup d’encre. Véritable lieu de vie pour riverains et voyageurs, cette brasserie moderne, installée sur le parvis de la gare Saint-Lazare, nous plonge tout de suite dans une atmosphère très conviviale. Plafonds hauts, tables rondes, comptoir ovale en bois et cuivre : tout semble ici rappeler les décors des buffets de gare d’antan. Le chef triplement étoilé Eric Frechon (Le Bristol) élabore une cuisine française familiale, authentique et raffinée (plats à partir de 19 euros) : suprême de volaille fermière rôti à l’ail, tartare de bœuf taillé au couteau, cabillaud rôti à la tomate et sans doute « la meilleure saucisse purée de Paris ». On en redemande !
Lazare-Paris-Restaurant-Gare-Saint-Lazare-Paris-Zigzag
Infos pratiques :
Lazare Paris – Centre commercial Saint-Lazare Paris, Parvis de la Gare
Saint-Lazare, Rue Intérieure, 75008
Métro : Gare Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14)