Trump, Poutine al-Assad peints en Réfugiés par un artiste syrien...
Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series - Donald", 2016. [Courtesy Ayyam Gallery Dubai]
L'artiste syrien Abdalla Al Omari, basé à Bruxelles, expose des portraits de Donald Trump, Bachar al-Assad ou encore Vladimir Poutine dans la peau de réfugiés ou de déplacés. La série intitulée "Vulnerability" montre les puissants de ce monde dans des moments de désespoir. Les portraits retouchés et fictionnés offrent une forme de réalisme qui s'inspire des images utilisées par la propagande, comme, par exemple, les affiches politiques des régimes autocratiques. L'artiste syrien Abdalla Al Omari élimine toutes les suggestions de force, de charisme et de droiture pour montrer les politiciens dans des moments dedésespoir.
Le président syrien Bachar al-Assad apparaît en tant que réfugié désemparé, partiellement submergé dans l'eau, le regard hagard. Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series - The Mediterranean", 2015. [Courtesy Ayyam Gallery Dubai]
En mettant ces figures d'autorité dans une situation de faiblesse et en les montrant plus "humains", l'artiste suscite des critiques... Ce procédé est-il en train de minimiser la terrible réalité des réfugiés, des déplacés? Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series" Omari estime que la vulnérabilité nous rappelle notre situation universelle. Miruna Coca-Cozma L'exposition "The Vulnerability series" De Abdalla Al Omari, Ayyam Gallery, Dubai, jusqu'au au 6 juillet 2017
A quoi ressemblerait l’ancien président français François Hollande s’il était sans domicile fixe ? Et comment réagiriez-vous en croisant l’actuel président des Etats-Unis, Donald Trump, en haillons dans les rues ? Par son travail, des peintures de dirigeants mondiaux en situation de très grande précarité, l’artiste syrien Abdalla Al Omari nous amène à réfléchir sur le sort des millions de réfugiés. Une exposition, “The Vulnerability series“, lui est actuellement consacrée aux Emirats arabe unis. Dans ses oeuvres, les grands de ce monde ne sont plus en complets ou tailleurs bien repassés. L’artiste syrien les représente démunis, désemparés. Ils apparaissent “expurgés” de leur position de pouvoir.Abdalla Al Omari, qui a lui même été l’un de ces réfugiés anonymes, explique qu’il a voulu “imaginer comment seraient les grands dirigeants s’ils connaissaient notre sort.” “Alors que la colère grandissait en moi, j’ai voulu avoir ma petite vengeance…mais avec de l’art” a-t-il ajouté pour expliquer sa démarche. Les médias ne se focalisent que sur le nombre de réfugiés, selon l’artiste. Tous les jours, des chiffres défilent. Mais la presse néglige bien trop souvent, d’après lui, d’aborder les histoires personnelles, se contentant de données statistiques. “Quand vous connaissez bien quelqu’un et son histoire, vous pouvez être en empathie avec lui”, affirme ainsi l’artiste. Des millions de personnes ont pris la route de l’exil en raison de conflits, comme en Syrie, ou de la faim, comme en Afrique de l’Est. L‘émoi soulevé par la mort du petit Alan, retrouvé sans vie sur une plage turque en septembre 2015, n’a pas changé grand chose. Des milliers de personnes continuent de fuir leur pays en risquant leur existence. Abdalla Al Omari contribue à ne pas les oublier. “The Vulnerability Series“, du 22 mai au 6 juillet, Ajjam Gallery, Dubaï Donald Trump, président des Etats-Unis
Mahmoud Ahmadinejad, ancien président iranien
Angela Merkel, chancelière allemande
Bashar al-Assad, président syrien
Kim Jong-un, chef d’Etat nord-coréen
David Cameron, ancien Premier ministre britannique
Les anciens présidents de la République française, François Hollande et Nicolas Sarkozy
1811 : Naissance d'Harriet Beecher Stowe Elizabeth Harriet Beecher Stowe est une écrivaine américaine. Issue d'un milieu puritain, elle reçoit de son père, le révérend protestant Lyman Beecher, une éducation stricte et rigoureuse. Plus tard, elle épouse un pasteur avec qui elle partage un engagement contre l'esclavagisme. Elle dût quitter avec lui, pour des opinions abolitionnistes ouvertement déclarées, la ville de Cincinnati où le docteur Stowe était professeur et se réfugia dans le Maine.
C'est dans cet esprit qu'elle écrit La Case de l'oncle Tom (Uncle Tom's Cabin), qui connut un succès immense et immédiat, et qui porta un coup terrible à la cause de l'esclavage (1852). Elle avait auparavant fait publier quelques contes ou nouvelles.
Forte de ce succès, elle tentera de publier une suite en 1856 : Dred, histoire du grand marais maudit. Mais le titre ne trouva pas la même ferveur populaire que La Case de L'Oncle Tom qui restera son ouvrage incontournable, et qui eut un immense succès en Amérique et en Europe, et fut traduit dans toutes les langues. Elle est morte le 1er juillet 1896.
1789 : Les naufragés du Bounty arrivent à l'île de Timor Le 28 avril, une mutinerie éclate à bord.
Les causes ? Il est possible que l'autorité de Bligh, exercée très sévèrement, ait été contestée par certains de ses officiers. L'un deux, Fletcher Christian, suivi de quelques autres, se débarrassa du capitaine William Bligh et de 18 de ses hommes en les abandonnant en pleine mer à bord d'une chaloupe.
C'est ici que commence l'exploit maritime. Bligh ne trace pas la route la plus évidente pour atteindre un port espagnol d'où lui et ses hommes pourront être rapatriés, avec une attente probable, vers la Grande-Bretagne. Au lieu de cela, confiant dans ses dons de navigateur et considérant qu'il est de sa mission d'informer au plus vite l'Amirauté de la mutinerie de façon à faire poursuivre les mutins, il prend le direction de Timor ce qui implique une navigation de 3 618 miles marins ou 6 701 km.
Bligh, sur une chaloupe non pontée d'à peine sept mètres de long, surchargée par 19 hommes, sans carte ni boussole et avec à peine une semaine de vivres au départ va naviguer de mémoire au travers du Pacifique, de la Grande barrière de corail pour arriver 41 jours plus tard à l'île hollandaise. Il aura parcouru tout ce périple, en bravant tempêtes et peuplades hostiles (ainsi que le début d'une nouvelle mutinerie tant les conditions de survie sont dures), ne perdantqu'un seul homme, le premier-maître Norton sur l'île de Tofoa. Un tel exploit ne peut être que le fait d'un marin exceptionnel.
1777 : Le Congrès approuve le Star and Stripes comme drapeau des États-Unis
Drapeau de 1777 avec 7 étoiles (7 états) Le drapeau des États-Unis surnommé Stars and Stripes (étoiles et bandes) ou The Star-Spangled Banner se compose de 13 bandes horizontales : sept rouges et six blanches, d'égales largeurs, disposées alternativement. Le canton supérieur du drapeau (côté mât), de couleur bleue, est parsemé de petites étoiles blanches. Le nombre d'étoiles varie selon l'époque puisque chaque étoile représente un état (maintenant 50)
1864 : Naissance d'Alois Alzheimer, psychiatre Aloïs Alzheimer est un médecin psychiatre, neurologue et neuropathologiste allemand connu pour sa description de la maladie du même nom. Il est décédé le 19 décembre 1915 à Breslau.
Auguste D. Cette patiente de 51 ans est admise à l'hôpital de Francfort le 25 novembre 1901, atteinte d'une démence. Elle est suivie par le Dr. Alzheimer jusqu'à sa mort le 8 avril 1906. Il en examine alors le cerveau, y découvrant les anomalies des fibrilles caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.
Aloïs Alzheimer décrit pour la première fois les symptômes et l'analyse histologique du cerveau en 1906, lors de la 37e Conférence des psychiatres allemands. Par la suite, plusieurs autres médecins vont confirmer sa découverte. Alzheimer publie un deuxième cas identique en 1911.
C'est le psychiatre renommé Emil Kraepelin, qui est à l'époque responsable de la chaire de psychiatrie de Munich, qui propose par la suite de désigner ce type de démence par le nom de son collègue. 1868 : Naissance de Karl Landsteiner
Karl Landsteiner, né à Vienne en Autriche, était un biologiste et médecin autrichien. On lui doit le premier système de classement des groupes sanguins, le système ABO.
Il a reçu le Prix Nobel de médecine en 1930 pour ses travaux sur les groupes sanguins. Il est décédé le 26 juin 1943. La journée mondiale du don du sang fut choisie le 14 juin en son honneur. 1994 : Décès de Mouloudji
Marcel Mouloudji, qui a été tout à la fois chanteur, compositeur, comédien, peintre et romancier, s'éteint à l'âge de 71 ans; c'est grâce à la chanson qu'il devient l'une des figures de proue de Saint-Germain-des-Prés dès la Libération en interprétant Boris Vian, Jacques Prévert et Joseph Kosma, mais aussi ses propres chansons.
Kaysersberg a été élu Village préféré des Français hier soir.
Kaysersberg a été élu Village préféré des Français à la fin de l'émission de France 2 présentée par Stéphane Bern mardi. Il était en compétition avec douze autres communes d'exception.
La Bretagne perd le titre. En 2015 et 2016, deux villages bretons avaient été élus Villages préférés des Français. Mardi, c'est un village de la région Grand-Est qui a charmé les téléspectateurs. Kaysersberg est une petite ville de 2 700 habitants typiquement alsacienne. Chaque année, 700 000 touristes y admirent l'église Sainte-Croix, le pont fortifié, les maisons à colombages chatoyantes et le château impérial de Schlossberg. Niché à 40 mètres de haut, le bâtiment du XIIème siècle offre une vue magnifique sur la ville, les vignobles environnants et les montagnes vosgiennes.
Voyage dans l’ELT (vidéo) Le grand télescope extrêmement large (ELT) est un observatoire astronomique et le plus grand télescope grand public optique / proche infrarouge du monde en construction. La vidéo de cet artiste prend le spectateur dans le dôme du Extremely Large Telescope de l’ ESO sur le Cerro Armazones , dans le nord du Chili. Elle révèle la structure du télescope complexe et massif et segmenté le miroir principal de 39 mètres. Les derniers moments montrent le travail àpartir de la tomber la nuit où le télescope en allume plusieurs lasers pour créer des étoiles artificielles dans la haute l’atmosphère.
Vous connaissez tous l'histoire de cette photo, mais regardez ce qu'ils sont devenus 6 ans plus tard
En 2010, la famille MCGhee a vécu un événement incroyable ; celui d’avoir des sextuplés ! Pour immortaliser ce petit miracle, les parents avaient fait une série de photos avec les nouveau-nés et une image en particulier avait fait le tour du monde. On pouvait y voir les 6 bébés ; Elie, Issac, Josias, Madison, Olivia et Rozonno Jr endormis paisiblement avec papa et maman. Une photo qui reflète l’amour et le lien qui unissent cette merveilleuse famille.
Depuis, les sextuplés ont bien grandi et cette année la famille a décidé de reproduire le même cliché pour fêter le 6ème anniversaire des enfants ! C’est tout simplement adorable ! Quel plaisir de voir que toute la petite famille se porte bien... Avec 6 enfants, ce ne doit pas être de tout repos...
C'est arrivé un : GUY LUX: mort le 13 juin 2003 né le 21 juin 1919 à Paris mort le 13 juin 2003 (à l'âge de 83 ans) à son domicile de Neuilly-sur-Seineproducteur et un animateur de jeux et de divertissements télévisés français.
1231 : Mort d'Antoine de Padoue En 1220, les restes d'un groupe de Franciscains martyrs furent ramenés du Maroc. Cet événement le conduisit à joindre l'ordre de François d'Assise, où il reçut le prénom Antoine. Il partit en mission, à sa demande, au Maroc mais dut être rapatrié en Europe dès 1221 pour des problèmes de santé. Après la mort de François d'Assise, il est Provincial d'Italie du Nord. En 1231, il fut envoyé à Padoue où il poursuivit ses prêches durant le Carême mais il meurt d'épuisement le 13 juin suivant à Arcelle, près de Padoue. De nombreux épisodes surnaturels lui sont attribués, comme d'avoir tenu une nuit l'Enfant Jésus dans ses bras.
À partir du XVIIe siècle, saint Antoine de Padoue fut également invoqué pour retrouver les objets perdus, puis pour recouvrer la santé, et enfinpour exaucer un vœu. L'idée d'invoquer saint Antoine pour retrouver les objets perdus vient du fait qu'un voleur qui lui avait dérobé ses commentaires sur les Psaumes se sentit obligé de les lui rendre. 1805 : Découverte des chutes Missouri par Lewis et Clark
Précédant l'expédidition en tant qu'éclaireurs, Meriwether Lewis et quatre compagnons aperçoivent les chutes de la rivière Missouri.
. Mort de René Leynaud né René Eugène Leynaud le 13 juin 1944 . René Leynaud né René Eugène Leynaud le 24 août 1910 à Lyon 5e arrondissement et mort le 13 juin 1944 fusillé pour actes de résistance à Villeneuve est un journaliste et poète français s'étant illustré par ses faits de résistance au sein du mouvement Combat à Lyon durant la Seconde Guerre mondiale.
Originaire du quartier de Vaise, où il se lie dès l'enfance avec le peintre Jean Martin, il est élève au lycée Ampère puis poursuit ses études en faculté de droit . Parallèlement, il commence une carrière de journaliste au Progrès en 1933. Il est mobilisé en 1939 et combat en Lorraine puis en Belgique et participe à la Bataille de Dunkerque2.
Au début de 1942, il entre en contact avec la Résistance et devient sous le pseudonyme de Clair le responsable du service de renseignement du réseau Combat ainsi que le dirigeant local du comité national des journalistes clandestins2. Il poursuit son travail de journaliste au Progrès jusqu'en novembre 42, date à laquelle le quotidien décide de se saborder.
Pendant la guerre, il se lie d'amitié avec l'écrivain Albert Camus lui aussi membre du réseau Combat. Celui-ci est hébergé à plusieurs reprises par Leynaud dans sa chambre de la rue Vieille Monnaie sur les pentes de la Croix-Rousse.
Le 16 mars 1944, René Leynaud est arrêté par la Milice place Bellecour alors qu'il est porteur de documents secrets Il tente de s'enfuir mais reçoit une rafale de balles dans les jambes. Après avoir été hospitalisé quelque temps, il est transféré à la prison Montluc qui sert de lieu d'internement aux Allemands. Il y reste jusqu'au 13 juin 1944.
À cette date, l'Occupant qui prépare l'évacuation de Lyon décide de faire une sélection de 19 résistants d'envergure parmi ses prisonniers, Leynaud est inclus dans ce groupe. Ils sont emmenés Place Bellecour au siège de la Gestapo puis conduits à Villeneuve dans l'Ain. À la sortie du village, les soldats leur ordonnent de se diriger vers un bois et les abattent dans le dos
8 ENDROITS DANS LE MONDE SI DANGEREUX QUE VOUS POURREZ Y LAISSER LA VIE.
Nul n’aura, en une seule vie, pu découvrir toutes les splendeurs de la Terre. Plages paradisiaques, sites historiques, villes anciennes, déserts… Le binôme Homme – Nature a parfois bien fonctionné. Mais loin de ces lieux plutôt touristiques, existent également des endroits plus sauvages. A tel point qu’ils peuvent être mortels pour qui ose les approcher de trop près.
CHINE : LE MONT HUA Vous aviez prévu de visiter la Chine autrement ? Le mont Hua est l’une des cinq montagnes sacrées chinoises. Sa beauté en fait sa renommée. Malgré cela, le site reste excessivement dangereux voire mortel. La seule façon d’y accéder est d’emprunter un escalier… vertical !! Par la suite, pas de sentier mais de simples planches en bois installées le long de la falaise, sans barrière ni rampe pour éviter les chutes dans le vide. Le mont Hua est tout de même visité par de nombreux touristes chaque année.
INDE : L’ÎLE DE NORTH SENTINEL (ÎLE D’ANDAMAN ET NICOBAR) Au large de l’Inde vers le Golfe du Bengale, se trouve une îlepeuplée d’habitants nommés Sentinelles. Ceux-ci ne souhaitent aucun contact avec le monde civilisé et font de leur île naturelle, un endroit mortel pour quiconque ose s’en approcher. Leur nombre n’a jamais pu être véritablement déterminé, mais une population de 300 personnes a tout de même été estimée. Depuis 1997, diverses tentatives d’approches et de prises de contact ont été mises en place, mais ces derniers accueillent les visiteurs par des flèches et des pierres. L’équipage d’un bateau de pêcheurs ayant dérivé un peu trop près des côtes en 2006, a été tué par les archers de l’île. L’hélicoptère chargé de récupérer les corps a lui aussi été attaqué et n’a pu se poser. Cette hostilité est compréhensible lorsque l’on connait le sort qu’a été réservé aux autres tribus de l’archipel : les forêts ont été détruites pour y implanter des complexes hôteliers, les natifs ont été chassés, des maladies ont décimé la plupart des tribus existantes et des safaris humains étaient organisés pour les touristes durant lesquels l’attraction principale était de trouver des sentinelles dans la forêt.
TURKMÉNISTAN : LA PORTE DE L’ENFER (DARVAZA) Un tel nom ne laisse effectivement rien présager de bon ! Aussi belle que dangereuse, la Porte de l’enfer est un immense trou béant au beau milieu du désert au Turkménistan. Né de la main de géologues scientifiques en 1970 après le forage accidentel d’une cavité souterraine lors d’une recherche de gisements degaz naturels, Darvaza brûle depuis 1970. Ce feu est aussi l’œuvre de l’Homme puisque les géologues ont décidé d’enflammer l’orifice afin d’éviter une explosion violente. La Porte de l’Enfer dégage une chaleur insoutenable et ses abords ne sont pas du tout sécurisés. Ainsi, les aventuriers les plus téméraires peuvent y tenter une descente en rappel à leurs risques et périls.
ANGLETERRE : LE POISON GARDEN Ce jardin botanique se situe dans le comté de Northumberland. Mais comment un simple jardin botanique peut être mortel pour l’Homme ? Tout simplement en y exposant les espèces végétales les plus dangereuses au monde. Près de chacune des espèces, un panneau relativement éloquent permet rapidement de comprendre qu’il ne vaut mieux pas s’en approcher de trop près. Certaines plantes sont même en cage afin d’éviter le pire pour les touristes. Belladones, Digitales, Pavot… Le jardin D’Alnwick s’étend sur quelques 14 hectares mais le Poison garden ne se visite que pendant 15 minutes et sous la haute surveillance d’un guide. Convulsions, vomissements et même la mort peuvent survenir après voir touché ou respiré les jolies fleurs empoisonnées.
BRÉSIL : L’ÎLE DE QUEIMADA GRANDE Après l’île aux crocodiles, voici l’île aux serpents ! Queimada Grande abrite tout simplement la plus dense population de Jararaca-Ilhoas de toute la planète (1 tous les 5 mètres carrés). Cette espèce de serpent possède un venin 5 fois plus puissant que les Bothrops continentaux, ce qui en fait par définition, l’un des endroits les plus dangereux sur Terre. Tout en haut de la chaîne alimentaire sur son île et très peu habitué à la présence humaine, ce serpent n’est pas du genre à se défiler. Pire, il deviendrait même très agressif face à l’Homme. Et comme il est capable de survivre 6 mois sans rien avaler, il n’hésite pas à croquer à tout va. Cette île est totalement interdite aux visiteurs, exception faite pour les scientifiques.
BOLIVIE : LA ROUTE DES YUNGAS Bien que n’étant « qu’une » simple route. La « Route de la mort » en Bolivieest surtout la plus mortelle au monde, enregistrant entre 200 et 300 victimes chaque année. Longue de 69 km, elle n’est large que de 3,20 m. Pour rajouter un peu d’adrénaline, elle vous conduit jusqu’à 4000 m d’altitude. Un dérapage incontrôlé et c’est le drame assuré. Cette route n’est absolument pas sécurisée et est la proie du brouillard de la poussière et de la boue, quand un rocher ne se décroche pas de la falaise pour venir mourir au beau milieu de l’étroit chemin. Les amateurs de sensations fortes du monde entier s’y rendent souvent à vélo. Une roulette russe plutôt osée…
BIRMANIE : ÎLE DE RAMREE En 1945, l’île de Ramree a été le terrain d’une sanglante bataille entre les Japonais et les Britanniques. Située dans le golfe du Bengale, ce ne sont pourtant pas les tigres qui règnent en maître sur ses terres, mais les crocodiles. L’île est littéralement envahie par les reptiles. Sa beauté et ses espaces naturels quasi intacts sont pourtant à éviter si vous tenez à votre vie. La nature sait se montrer hargneuse et parfois mortelle pour l’Homme. Ces quelques sites terrestres ne sont qu’un petit échantillon. Il existe sur la planète bien d’autres endroits risqués et dangereux,qu’il est préférable de ne connaître qu’à travers des articles et images sur le net.
Le safran provient d'une plante à bulbe vivace, de la famille des iridacées : le Crocus Sativus Linaeus. Sa fleur hermaphrodite, de couleur lilas à mauve est composée de 6 tépales : 3 pétales et 3 sépales. L'androcée est composé de 3 étamines jaunes et d'un pistil se divisant en 3 longs stigmates rouge vif trifurqués, dentelés et plissés,longs de 3 à 4 cm. C'est ce pistil de crocus sativus qui, débarrassé desa partie blanche et jaune et après séchage, deviendra le safran, cette épice rare appelée aussi l'Or Rouge.
Le Safran n'existe pas dans la nature
C'est une espèce cultivée depuis l'antiquité qui ne se reproduit que par multiplication des bulbes. Obtenue en Crête, dès la fin de l'âge du bronze, à la suite de nombreux croisements à partir du crocus cartwightianus, sa culture se répand progressivement sur le pourtour méditerranéen, puis en Asie par l'intermédiaire des Perses et des Mongols. Disparue à la fin de l'empireRomain, elle renaît en France à la suite des conquêtes arabo-musulmanes.
Elle déclinera à l'arrivée de nouveaux produits exotiques tels le chocolat, le café, le thé, la vanille. Après avoir été prospère jusqu'au XVIIème siècle, elle s'éteint progressivement, puis connaît un regain d'intérêt ces 20 dernières années.
Le séchage conditionne la conservation et la qualité du safran. Les pistils de safran doivent perdre au minimum 80% de leur poids avec un taux d'humidité de 12% au maximum. On obtient 20 g de condiment à partir de 100g de stigmates frais. Il faut en moyenne 150 fleurs pour obtenir un gramme de safran. Conservé à l'abri de l'humidité et de la lumière, le safran se conserve pendant 3 ans, au delà, il commence à perdre ses propriétés,.
Le safran de qualité se reconnaît à ses stigmates longs, évasés, raides, légèrement cassants, de couleur rouge sang. Humectés, ils produiront une couleur jaune orangé et non rouge. Appelé l'or rouge en raison de son prix, le safran est un des produits les plus frelatés : séchage partiel, morceaux de pétales, partie jaune du pistil ou blanche du style... En poudre le safran peut être coupé avec dela carthame, des barbes de maïs, du piment, de la brique pilée !
Le safran en cuisine Puissant exhausteur de goût, le safran relève et harmonise aussi bien les saveurs salées que sucrées. Fidèle allié des risottos, paella, fruits de mer, poissons et viandes blanches, il sait être complice des cocktails,apéritifs, salades de fruits, glaces, meringues, ganaches.
En tisane : Les pistils de safran apaisent la toux et soulagent du rhume. Le bon dosage pour la tisane : de 0.5 g à 1 g par litre d'eau.
En massage : Ils soulagent la douleur, notamment celle des gencives. On utilise le safran en poudre, pure ou mélangée à du miel, pour une application directe dans la bouche, ou bien mélangée à de la glycérine pour dénouer les zones de tension du corps.
En bouillon : Les pistils de safran stimulent la digestion (dosage : 1 g par litre)
C'est une culture peu répandue dans nos contrées : le safran. Une épice que l'on surnomme « l'or rouge » en raison de son prix : 30 euros le gramme.
Depuis 2011, un producteur s'est lancé du côté d'Auxonne. Et sa production de safran s'accroît d'année en année. Lorsqu'on prononce le mot « safran », on pense partir au Maghreb ou au Moyen-Orient. Pourtant, le Crocus sativus, fleur dont est issue la précieuse épice, se plaît également en France et en Bourgogne, où l'on compte une poignée de producteurs .
Pour ce producteur, fin septembre, début octobre, c'est le début de la récolte. Le cycle de vie du Crocus sativus est inversé par rapport aux autres plantes. Les fleurs ne vivent que 24 heures, il faut les cueillir le jour de l'éclosion. Quand on arrive à 130 fleurs, on a un gramme de safran. Il récolte jusqu'à 6000 fleurs en une seule journée sur 1200 mètres carrés de terrain. Dans ses champs, quelques 12 000 bulbes poussent chaque année.
Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series - Donald", 2016. [Courtesy Ayyam Gallery Dubai]
L'artiste syrien Abdalla Al Omari, basé à Bruxelles, expose des portraits de Donald Trump, Bachar al-Assad ou encore Vladimir Poutine dans la peau de réfugiés ou de déplacés. La série intitulée "Vulnerability" montre les puissants de ce monde dans des moments de désespoir.
Les portraits retouchés et fictionnés offrent une forme de réalisme qui s'inspire des images utilisées par la propagande, comme, par exemple, les affiches politiques des régimes autocratiques.
L'artiste syrien Abdalla Al Omari élimine toutes les suggestions de force, de charisme et de droiture pour montrer les politiciens dans des moments dedésespoir.
Le président syrien Bachar al-Assad apparaît en tant que réfugié désemparé, partiellement submergé dans l'eau, le regard hagard.
Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series - The Mediterranean", 2015. [Courtesy Ayyam Gallery Dubai]
En mettant ces figures d'autorité dans une situation de faiblesse et en les montrant plus "humains", l'artiste suscite des critiques...
Ce procédé est-il en train de minimiser la terrible réalité des réfugiés, des déplacés?
Abdalla Al Omari, "The Vulnerability Series"
Omari estime que la vulnérabilité nous rappelle notre situation universelle.
Miruna Coca-Cozma
L'exposition "The Vulnerability series"
De Abdalla Al Omari, Ayyam Gallery, Dubai, jusqu'au au 6 juillet 2017
A quoi ressemblerait l’ancien président français François Hollande s’il était sans domicile fixe ?
Et comment réagiriez-vous en croisant l’actuel président des Etats-Unis, Donald Trump, en haillons dans les rues ?
Par son travail, des peintures de dirigeants mondiaux en situation de très grande précarité, l’artiste syrien Abdalla Al Omari nous amène à réfléchir sur le sort des millions de réfugiés. Une exposition, “The Vulnerability series“, lui est actuellement consacrée aux Emirats arabe unis.
Dans ses oeuvres, les grands de ce monde ne sont plus en complets ou tailleurs bien repassés. L’artiste syrien les représente démunis, désemparés. Ils apparaissent “expurgés” de leur position de pouvoir.Abdalla Al Omari, qui a lui même été l’un de ces réfugiés anonymes, explique qu’il a voulu “imaginer comment seraient les grands dirigeants s’ils connaissaient notre sort.”
“Alors que la colère grandissait en moi, j’ai voulu avoir ma petite vengeance…mais avec de l’art” a-t-il ajouté pour expliquer sa démarche.
Les médias ne se focalisent que sur le nombre de réfugiés, selon l’artiste.
Tous les jours, des chiffres défilent. Mais la presse néglige bien trop souvent, d’après lui, d’aborder les histoires personnelles, se contentant de données statistiques.
“Quand vous connaissez bien quelqu’un et son histoire, vous pouvez être en empathie avec lui”, affirme ainsi l’artiste.
Des millions de personnes ont pris la route de l’exil en raison de conflits, comme en Syrie, ou de la faim, comme en Afrique de l’Est.
L‘émoi soulevé par la mort du petit Alan, retrouvé sans vie sur une plage turque en septembre 2015, n’a pas changé grand chose.
Des milliers de personnes continuent de fuir leur pays en risquant leur existence. Abdalla Al Omari contribue à ne pas les oublier.
“The Vulnerability Series“, du 22 mai au 6 juillet, Ajjam Gallery, Dubaï
Donald Trump, président des Etats-Unis
Mahmoud Ahmadinejad, ancien président iranien
Angela Merkel, chancelière allemande
Bashar al-Assad, président syrien
Kim Jong-un, chef d’Etat nord-coréen
David Cameron, ancien Premier ministre britannique
Les anciens présidents de la République française, François Hollande et Nicolas Sarkozy
.
Le président russe, Vladimir Poutine
Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan
Barack Obama, ancien président des Etats-Unis
1811 : Naissance d'Harriet Beecher Stowe
Elizabeth Harriet Beecher Stowe est une écrivaine américaine.
Issue d'un milieu puritain, elle reçoit de son père, le révérend protestant Lyman Beecher, une éducation stricte et rigoureuse.
Plus tard, elle épouse un pasteur avec qui elle partage un engagement contre l'esclavagisme. Elle dût quitter avec lui, pour des opinions abolitionnistes ouvertement déclarées, la ville de Cincinnati où le docteur Stowe était professeur et se réfugia dans le Maine.
C'est dans cet esprit qu'elle écrit La Case de l'oncle Tom (Uncle Tom's Cabin), qui connut un succès immense et immédiat, et qui porta un coup terrible à la cause de l'esclavage (1852). Elle avait auparavant fait publier quelques contes ou nouvelles.
Forte de ce succès, elle tentera de publier une suite en 1856 : Dred, histoire du grand marais maudit.
Mais le titre ne trouva pas la même ferveur populaire que La Case de L'Oncle Tom qui restera son ouvrage incontournable, et qui eut un immense succès en Amérique et en Europe, et fut traduit dans toutes les langues.
Elle est morte le 1er juillet 1896.
1789 : Les naufragés du Bounty arrivent à l'île de Timor
Le 28 avril, une mutinerie éclate à bord.
Les causes ? Il est possible que l'autorité de Bligh, exercée très sévèrement, ait été contestée par certains de ses officiers. L'un deux, Fletcher Christian, suivi de quelques autres, se débarrassa du capitaine William Bligh et de 18 de ses hommes en les abandonnant en pleine mer à bord d'une chaloupe.
C'est ici que commence l'exploit maritime.
Bligh ne trace pas la route la plus évidente pour atteindre un port espagnol d'où lui et ses hommes pourront être rapatriés, avec une attente probable, vers la Grande-Bretagne. Au lieu de cela, confiant dans ses dons de navigateur et considérant qu'il est de sa mission d'informer au plus vite l'Amirauté de la mutinerie de façon à faire poursuivre les mutins, il prend le direction de Timor ce qui implique une navigation de 3 618 miles marins ou 6 701 km.
Bligh, sur une chaloupe non pontée d'à peine sept mètres de long, surchargée par 19 hommes, sans carte ni boussole et avec à peine une semaine de vivres au départ va naviguer de mémoire au travers du Pacifique, de la Grande barrière de corail pour arriver 41
jours plus tard à l'île hollandaise. Il aura parcouru tout ce périple, en bravant tempêtes et peuplades hostiles (ainsi que le début d'une
nouvelle mutinerie tant les conditions de survie sont dures), ne perdantqu'un seul homme, le premier-maître Norton sur l'île de Tofoa. Un tel exploit ne peut être que le fait d'un marin exceptionnel.
1777 : Le Congrès approuve le Star and Stripes comme drapeau des États-Unis
Drapeau de 1777 avec 7 étoiles (7 états)
Le drapeau des États-Unis surnommé Stars and Stripes (étoiles et bandes) ou The Star-Spangled Banner se compose de 13 bandes horizontales : sept rouges et six blanches, d'égales largeurs, disposées alternativement. Le canton supérieur du drapeau (côté mât), de couleur bleue, est parsemé de petites étoiles blanches.
Le nombre d'étoiles varie selon l'époque puisque chaque étoile représente un état (maintenant 50)
1864 : Naissance d'Alois Alzheimer, psychiatre
Aloïs Alzheimer est un médecin psychiatre, neurologue et neuropathologiste allemand connu pour sa description de la maladie du même nom.
Il est décédé le 19 décembre 1915 à Breslau.
Auguste D.
Cette patiente de 51 ans est admise à l'hôpital de Francfort le 25 novembre 1901, atteinte d'une démence. Elle est suivie par le Dr. Alzheimer jusqu'à sa mort le 8 avril 1906. Il en examine alors le cerveau, y découvrant les anomalies des fibrilles caractéristiques de la maladie d'Alzheimer.
Aloïs Alzheimer décrit pour la première fois les symptômes et l'analyse histologique du cerveau en 1906, lors de la 37e Conférence des psychiatres allemands. Par la suite, plusieurs autres médecins vont confirmer sa découverte. Alzheimer publie un deuxième cas
identique en 1911.
C'est le psychiatre renommé Emil Kraepelin, qui est à l'époque responsable de la chaire de psychiatrie de Munich, qui propose par la suite de désigner ce type de démence par le nom de son collègue.
1868 : Naissance de Karl Landsteiner
Karl Landsteiner, né à Vienne en Autriche, était un biologiste et médecin autrichien.
On lui doit le premier système de classement des groupes sanguins, le système ABO.
Il a reçu le Prix Nobel de médecine en 1930 pour ses travaux sur les groupes sanguins.
Il est décédé le 26 juin 1943.
La journée mondiale du don du sang fut choisie le 14 juin en son honneur.
1994 : Décès de Mouloudji
Marcel Mouloudji, qui a été tout à la fois chanteur, compositeur, comédien, peintre et romancier, s'éteint à l'âge de 71 ans; c'est grâce à la chanson qu'il devient l'une des figures de proue de Saint-Germain-des-Prés dès la Libération en interprétant Boris Vian,
Jacques Prévert et Joseph Kosma, mais aussi ses propres chansons.
Kaysersberg a été élu Village préféré des Français à la fin de l'émission de France 2 présentée par Stéphane Bern mardi.
Il était en compétition avec douze autres communes d'exception.
La Bretagne perd le titre.
En 2015 et 2016, deux villages bretons avaient été élus Villages préférés des Français. Mardi, c'est un village de la région Grand-Est qui a charmé les téléspectateurs.
Kaysersberg est une petite ville de 2 700 habitants typiquement alsacienne. Chaque année, 700 000 touristes y admirent l'église Sainte-Croix, le pont fortifié, les maisons à colombages chatoyantes et le château impérial de Schlossberg. Niché à 40 mètres de haut, le bâtiment du XIIème siècle offre une vue magnifique sur la ville, les vignobles environnants et les montagnes vosgiennes.
http://premium.lefigaro.fr/international/2017/06/14/01003-20170614ARTFIG00017-londres-spectaculaire-incendie-dans-une-tour-d-habitation.php?een=8d90adda2ba87f96d175d2a3b69f74f3&seen=6&m_i=ErmlyIrK_oZRikP9JRslJSEZ_g_OSqFGEcOzrauBlAesmb7KA51OI51hdelrG08nPxhNU%2BXpcNeda8fAcC7548Q9oDpi2g#xtor=EPR-300-
Le grand télescope extrêmement large (ELT) est un observatoire astronomique et le
plus grand télescope grand public optique / proche infrarouge du monde en construction.
La vidéo de cet artiste prend le spectateur dans le dôme du Extremely Large Telescope de l’ ESO sur le Cerro Armazones , dans le nord du Chili.
Elle révèle la structure du télescope complexe et massif et segmenté le miroir principal de 39 mètres. Les derniers moments montrent le travail àpartir de la tomber la nuit où le télescope en allume plusieurs lasers pour créer des étoiles artificielles dans la haute l’atmosphère.
En 2010, la famille MCGhee a vécu un événement incroyable ; celui d’avoir des sextuplés !
Pour immortaliser ce petit miracle, les parents avaient fait une série de photos avec les nouveau-nés et une image en particulier avait fait le tour du monde.
On pouvait y voir les 6 bébés ; Elie, Issac, Josias, Madison, Olivia et Rozonno Jr endormis paisiblement avec papa et maman.
Une photo qui reflète l’amour et le lien qui unissent cette merveilleuse famille.
Depuis, les sextuplés ont bien grandi et cette année la famille a décidé de reproduire le même cliché pour fêter le 6ème anniversaire des enfants ! C’est tout simplement adorable !
Quel plaisir de voir que toute la petite famille se porte bien...
Avec 6 enfants, ce ne doit pas être de tout repos...
GUY LUX: mort le 13 juin 2003
né le 21 juin 1919 à Paris mort le 13 juin 2003 (à l'âge de 83 ans) à son domicile de Neuilly-sur-Seineproducteur et un animateur de jeux et de divertissements télévisés français.
1231 : Mort d'Antoine de Padoue
En 1220, les restes d'un groupe de Franciscains martyrs furent ramenés du Maroc. Cet événement le conduisit à joindre l'ordre de François d'Assise, où il reçut le prénom Antoine. Il partit en mission, à sa demande, au Maroc mais dut être rapatrié en Europe dès 1221 pour des problèmes de santé.
Après la mort de François d'Assise, il est Provincial d'Italie du Nord. En 1231, il fut envoyé à Padoue où il poursuivit ses prêches durant le Carême mais il meurt d'épuisement le 13 juin suivant à Arcelle, près de Padoue.
De nombreux épisodes surnaturels lui sont attribués, comme d'avoir tenu une nuit l'Enfant Jésus dans ses bras.
À partir du XVIIe siècle, saint Antoine de Padoue fut également invoqué pour retrouver les objets perdus, puis pour recouvrer la santé, et enfinpour exaucer un vœu.
L'idée d'invoquer saint Antoine pour retrouver les objets perdus vient du fait qu'un voleur qui lui avait dérobé ses commentaires sur les Psaumes se sentit obligé de les lui rendre.
1805 : Découverte des chutes Missouri par Lewis et Clark
Précédant l'expédidition en tant qu'éclaireurs, Meriwether Lewis et quatre compagnons aperçoivent les chutes de la rivière Missouri.
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Mort de René Leynaud né René Eugène Leynaud le 13 juin 1944 .
René Leynaud né René Eugène Leynaud le 24 août 1910 à Lyon 5e arrondissement et mort le 13 juin 1944 fusillé pour actes de résistance à Villeneuve est un journaliste et poète français s'étant illustré par ses faits de résistance au sein du mouvement Combat à Lyon durant la Seconde Guerre mondiale.
Originaire du quartier de Vaise, où il se lie dès l'enfance avec le peintre Jean Martin, il est élève au lycée Ampère puis poursuit
ses études en faculté de droit . Parallèlement, il commence une carrière de journaliste au Progrès en 1933. Il est mobilisé en 1939 et
combat en Lorraine puis en Belgique et participe à la Bataille de Dunkerque2.
Au début de 1942, il entre en contact avec la Résistance et devient sous le pseudonyme de Clair le responsable du service de
renseignement du réseau Combat ainsi que le dirigeant local du comité national des journalistes clandestins2. Il poursuit son travail de
journaliste au Progrès jusqu'en novembre 42, date à laquelle le quotidien décide de se saborder.
Pendant la guerre, il se lie d'amitié avec l'écrivain Albert Camus lui aussi membre du réseau Combat. Celui-ci est hébergé à plusieurs reprises par Leynaud dans sa chambre de la rue Vieille Monnaie sur les pentes de la Croix-Rousse.
Le 16 mars 1944, René Leynaud est arrêté par la Milice place Bellecour alors qu'il est porteur de documents secrets Il tente de s'enfuir mais reçoit une rafale de balles dans les jambes. Après avoir été hospitalisé quelque temps, il est transféré à la prison Montluc qui sert de lieu d'internement aux Allemands. Il y reste jusqu'au 13 juin 1944.
À cette date, l'Occupant qui prépare l'évacuation de Lyon décide de faire une sélection de 19 résistants d'envergure parmi ses prisonniers, Leynaud est inclus dans ce groupe. Ils sont emmenés Place Bellecour au siège de la Gestapo puis conduits à Villeneuve dans l'Ain. À la sortie du village, les soldats leur ordonnent de se diriger vers un bois et les abattent dans le dos
Nul n’aura, en une seule vie, pu découvrir toutes les splendeurs de la Terre. Plages paradisiaques, sites historiques, villes anciennes, déserts… Le binôme Homme – Nature a parfois bien fonctionné. Mais loin de ces lieux plutôt touristiques, existent également des endroits plus sauvages. A tel point qu’ils peuvent être mortels pour qui ose les approcher de trop près.
CHINE : LE MONT HUA
Vous aviez prévu de visiter la Chine autrement ?
Le mont Hua est l’une des cinq montagnes sacrées chinoises. Sa beauté en fait sa renommée. Malgré cela, le site reste excessivement dangereux voire mortel. La seule façon d’y accéder est d’emprunter un escalier…
vertical !! Par la suite, pas de sentier mais de simples planches en bois installées le long de la falaise, sans barrière ni rampe pour éviter les chutes dans le vide. Le mont Hua est tout de même visité par de nombreux touristes chaque année.
INDE : L’ÎLE DE NORTH SENTINEL (ÎLE D’ANDAMAN ET NICOBAR)
Au large de l’Inde vers le Golfe du Bengale, se trouve une île peuplée d’habitants nommés Sentinelles. Ceux-ci ne souhaitent aucun contact avec le monde civilisé et font de leur île naturelle, un endroit mortel pour quiconque ose s’en approcher. Leur nombre n’a jamais pu être véritablement déterminé, mais une population de 300 personnes a tout de même été estimée. Depuis 1997, diverses tentatives d’approches et de prises de contact ont été mises en place, mais ces derniers accueillent les visiteurs par des flèches et des pierres.
L’équipage d’un bateau de pêcheurs ayant dérivé un peu trop près des côtes en 2006, a été tué par les archers de l’île. L’hélicoptère chargé de récupérer les corps a lui aussi été attaqué et n’a pu se poser. Cette
hostilité est compréhensible lorsque l’on connait le sort qu’a été réservé aux autres tribus de l’archipel : les forêts ont été détruites pour y implanter des complexes hôteliers, les natifs ont été chassés, des maladies ont décimé la plupart des tribus existantes et des safaris humains étaient organisés pour les touristes durant lesquels l’attraction principale était de trouver des sentinelles dans la forêt.
TURKMÉNISTAN : LA PORTE DE L’ENFER (DARVAZA)
Un tel nom ne laisse effectivement rien présager de bon !
Aussi belle que dangereuse, la Porte de l’enfer est un immense trou béant au beau milieu du désert au Turkménistan. Né de la main de géologues scientifiques en 1970 après le forage accidentel d’une cavité souterraine lors d’une recherche de gisements degaz naturels, Darvaza brûle depuis 1970.
Ce feu est aussi l’œuvre de l’Homme puisque les géologues ont décidé d’enflammer l’orifice afin d’éviter une explosion violente. La Porte de l’Enfer dégage une chaleur insoutenable et ses abords ne sont pas du tout sécurisés.
Ainsi, les aventuriers les plus téméraires peuvent y tenter une descente en rappel à leurs risques et périls.
ANGLETERRE : LE POISON GARDEN
Ce jardin botanique se situe dans le comté de Northumberland.
Mais comment un simple jardin botanique peut être mortel pour l’Homme ? Tout simplement en y exposant les espèces végétales les plus dangereuses au monde. Près de chacune des espèces, un panneau
relativement éloquent permet rapidement de comprendre qu’il ne vaut mieux pas s’en approcher de trop près.
Certaines plantes sont même en cage afin d’éviter le pire pour les touristes. Belladones, Digitales, Pavot… Le jardin D’Alnwick s’étend sur quelques 14 hectares mais le Poison garden ne se visite que pendant 15 minutes et sous la haute surveillance d’un guide. Convulsions, vomissements et même la mort peuvent survenir après voir touché ou respiré les jolies fleurs empoisonnées.
BRÉSIL : L’ÎLE DE QUEIMADA GRANDE
Après l’île aux crocodiles, voici l’île aux serpents !
Queimada Grande abrite tout simplement la plus dense population de Jararaca-Ilhoas de toute la planète
(1 tous les 5 mètres carrés). Cette espèce de serpent possède un venin 5 fois plus puissant que les Bothrops continentaux, ce qui en fait par définition, l’un des endroits les plus dangereux sur Terre.
Tout en haut de la chaîne alimentaire sur son île et très peu habitué à la présence humaine, ce serpent n’est pas du genre à se défiler. Pire, il deviendrait même très agressif face à l’Homme. Et comme il est capable de survivre 6 mois sans rien avaler, il n’hésite pas à croquer à tout va. Cette île est totalement interdite aux visiteurs, exception faite pour les scientifiques.
BOLIVIE : LA ROUTE DES YUNGAS
Bien que n’étant « qu’une » simple route.
La « Route de la mort » en Bolivieest surtout la plus mortelle au monde, enregistrant entre 200 et 300
victimes chaque année. Longue de 69 km, elle n’est large que de 3,20 m. Pour rajouter un peu d’adrénaline, elle vous conduit jusqu’à 4000 m d’altitude. Un dérapage incontrôlé et c’est le drame assuré.
Cette route n’est absolument pas sécurisée et est la proie du brouillard de la poussière et de la boue, quand un rocher ne se décroche pas de la falaise pour venir mourir au beau milieu de l’étroit chemin. Les amateurs de sensations fortes du monde entier s’y rendent souvent à vélo. Une roulette russe plutôt osée…
BIRMANIE : ÎLE DE RAMREE
En 1945, l’île de Ramree a été le terrain d’une sanglante bataille entre les Japonais et les Britanniques. Située dans le golfe du Bengale, ce ne sont pourtant pas les tigres qui règnent en maître sur ses terres, mais les crocodiles. L’île est littéralement envahie par les reptiles. Sa beauté et ses espaces naturels quasi intacts sont pourtant à éviter si vous tenez à votre vie.
La nature sait se montrer hargneuse et parfois mortelle pour l’Homme. Ces quelques sites terrestres ne sont qu’un petit échantillon. Il existe sur la planète bien d’autres endroits risqués et dangereux,qu’il est préférable de ne connaître qu’à travers des articles et images sur le net.
Le safran provient d'une plante à bulbe vivace, de la famille des iridacées : le Crocus Sativus Linaeus. Sa fleur hermaphrodite, de
couleur lilas à mauve est composée de 6 tépales : 3 pétales et 3 sépales. L'androcée est composé de 3 étamines jaunes et d'un pistil se divisant en 3 longs stigmates rouge vif trifurqués, dentelés et plissés,longs de 3 à 4 cm. C'est ce pistil de crocus sativus qui, débarrassé desa partie blanche et jaune et après séchage, deviendra le safran, cette épice rare appelée aussi l'Or Rouge.
Le Safran n'existe pas dans la nature
C'est une espèce cultivée depuis l'antiquité qui ne se reproduit que par multiplication des bulbes.
Obtenue en Crête, dès la fin de l'âge du bronze, à la suite de nombreux croisements à partir du crocus cartwightianus, sa culture se répand progressivement sur le pourtour méditerranéen, puis en Asie par l'intermédiaire des Perses et des Mongols. Disparue à la fin de l'empireRomain, elle renaît en France à la suite des conquêtes arabo-musulmanes.
Elle déclinera à l'arrivée de nouveaux produits exotiques tels le chocolat, le café, le thé, la vanille. Après avoir été prospère jusqu'au XVIIème siècle, elle s'éteint progressivement, puis connaît un regain d'intérêt ces 20 dernières années.
Le séchage conditionne la conservation et la qualité du safran.
Les pistils de safran doivent perdre au minimum 80% de leur poids avec un taux d'humidité de 12% au maximum. On obtient 20 g de condiment à partir de 100g de stigmates frais. Il faut en moyenne 150 fleurs pour obtenir un gramme de safran. Conservé à l'abri de l'humidité et de la lumière, le safran se conserve pendant 3 ans, au delà, il commence à perdre ses propriétés,.
Le safran de qualité se reconnaît à ses stigmates longs, évasés, raides, légèrement cassants, de couleur rouge sang.
Humectés, ils produiront une couleur jaune orangé et non rouge.
Appelé l'or rouge en raison de son prix, le safran est un des produits les plus frelatés : séchage partiel, morceaux de pétales, partie jaune du pistil ou blanche du style...
En poudre le safran peut être coupé avec dela carthame, des barbes de maïs, du piment, de la brique pilée !
Le safran en cuisine
Puissant exhausteur de goût, le safran relève et harmonise aussi bien les saveurs salées que sucrées. Fidèle allié des risottos, paella, fruits de mer, poissons et viandes blanches, il sait être complice des cocktails,apéritifs, salades de fruits, glaces, meringues, ganaches.
En tisane :
Les pistils de safran apaisent la toux et soulagent du rhume.
Le bon dosage pour la tisane : de 0.5 g à 1 g par litre d'eau.
En massage :
Ils soulagent la douleur, notamment celle des gencives. On utilise le safran en poudre, pure ou mélangée à du miel, pour une
application directe dans la bouche, ou bien mélangée à de la glycérine pour dénouer les zones de tension du corps.
En bouillon : Les pistils de safran stimulent la digestion (dosage : 1 g par litre)
C'est une culture peu répandue dans nos contrées : le safran.
Une épice que l'on surnomme « l'or rouge » en raison de son prix : 30 euros le gramme.
Depuis 2011, un producteur s'est lancé du côté d'Auxonne. Et sa production de safran s'accroît d'année en année.
Lorsqu'on prononce le mot « safran », on pense partir au Maghreb ou au Moyen-Orient.
Pourtant, le Crocus sativus, fleur dont est issue la précieuse épice, se plaît également en France et en Bourgogne, où l'on compte une poignée de producteurs .
Pour ce producteur, fin septembre, début octobre, c'est le début de la récolte.
Le cycle de vie du Crocus sativus est inversé par rapport aux autres plantes. Les fleurs ne vivent que 24 heures, il faut les cueillir le
jour de l'éclosion. Quand on arrive à 130 fleurs, on a un gramme de safran. Il récolte jusqu'à 6000 fleurs en une seule journée sur 1200 mètres carrés de terrain. Dans ses champs, quelques 12 000 bulbes poussent chaque année.