De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/06/2017 - 11:08
Photos du Jour Þúfa hill à Reykjavik, Islande







Cette charmante colline qui semble tout droit sortir d’un livre ou d’un film est l’œuvre de l’artiste islandaise Ólöf Nordal. Baptisée “Þúfa” (à prononcer Thufa), elle a été installée dans le port de Reykjavik en 2013. Pour accéder à son sommet, un escalier de pierre a été aménagé. Ilspirale à travers l’herbe jusqu’au clou de la visite : une cabane de pêcheur, traditionnellement utilisée pour faire sécher du poisson. Du haut de ses huit mètres, le Þúfa offre une vue exceptionnelle sur l’océan Atlantique, la baie de Faxaflói, Reykjavik et ses deux fjords.
Alors, si vous avez la chance de visiter la capitale islandaise (surtout en ce jour de fête nationale), n’hésitez pas à vous rendre ici !

 
18/06/2017 - 11:04
Le Pin De Yamaki, Ce Bonsaï Planté En 1625... Qui A Survécu À Hiroshima & Continue De Prospérer...
A la National Bonsai Foundation aux États-Unis, se trouve un arbre pas comme les autres...
Un bonsaï, plus précisément un pin blanc du Japon, qui continue de prospérer près de 400 ans après avoir été planté et après avoir survécu au bombardement de Hiroshima en 1945. 
 Avec ses aiguilles verdoyantes et fournies, son tronc imposant et bien enraciné, ce végétal de 30 centimètres de haut pourrait ressembler à n’importe quel bonsaï en bonne santé. Et pourtant, c’est une incroyable histoire que traine ce petit arbre derrière lui.
Celle d’un survivant aujourd’hui âgé de près de 400 ans et devenu un véritable symbole.
Ce pin blanc du Japon (Pinus parviflora) est l’un des pensionnaires du musée de la National Bonsai Foundation, une organisation installée à Washington aux États-Unis qui abrite plus de 300 arbres miniatures.
Le bonsaï y est arrivé en 1976 mais son histoire remonte bien avant : il aété planté en 1625 par la famille Yamaki installée à Hiroshima au Japonet spécialisée dans l’élevage des bonsaïs depuis plusieurs générations.
Un Bonsaï Qui A Survécu À Hiroshima. 
A travers les âges, l’arbre a prospéré grâce aux soins apportés et s’est transmis au sein de la famille jusqu’au milieu du XXe siècle lorsque la vie des Yamaki a basculé.
Le 6 août 1945, peu après 8h15, Masaku Yamaki, maitre des bonsaïs, se trouvait dans sa maison avec sa famille lorsque la tragiquement célèbre bombe nucléaire « Little Boy » s’est écrasée à quelques kilomètres.
La bombe a détruit 90% de Hiroshima et tué sur le coup des dizaines de milliers d’habitants. Dans la demeure des Yamaki, la déflagration a faitexploser les vitres mais par miracle, Masaku et les siens n’en sont ressortis avec aucune blessure grave.
Protégés par le haut mur de la pépinière, les bonsaïs ont également survécu à la catastrophe, parmi lesquels le petit pin blanc du Japon.Trente ans plus tard, en 1976, l’arbre toujours en vie a fait partie des 53 bonsaïs donnés par la Nippon Bonsai Association aux États-Unis pour célébrer leur bicentenaire.
A l’époque, toutefois, la seule information connue au sujet du petit pin était le nom de son propriétaire. Il a fallu attendre 2001 pour que l’histoire du bonsaï, le plus vieux de la collection japonaise du musée,ne soit révélée.
Le 8 mars 2001, le National Bonsai & Penjing Museum a en effet reçu la visite de personnes très spéciales, Shigeru Yamaki et son frère Akira. Les deux ont demandé où se trouvait « l’arbre de leur grand-père » qu’ils n’avaient jamais vu parce qu’il avait été donné avant leur naissance. Ils ont alors été amenés à rencontrer le responsable du musée à qui ils ont révélé toute l’histoire.
Un « Témoignage De Paix & De Beauté » 
De retour au Japon, Shigeru a fait de nouvelles recherches sur son ancêtre et son illustre carrière de maitre des bonsaïs. Il est ensuite revenu aux États-Unis en ramenant des documents historiques confirmant que l’arbre était un spécimen précieux et très rare provenant de l’île de Miyajima située au sud de Hiroshima.
Selon sa famille, Masaru Yamaki qui a poursuivi, après le bombardement, sa carrière dans le commerce des bonsaïs, était fier de léguer son arbre aux États-Unis.
Une initiative qui n’a pas manqué d’émouvoir. « Après tout ce que la famille a traversé, rien que donner [un bonsaï] était spécial et donner celui-ci était encore plus spécial », a déclaré Jack Sustic, conservateur du musée repris par le Smithsonian Magazine.
« Le pin de Yamaki est réellement un témoignage de paix et de beauté, et nous avons la chance de rendre compte du miracle de sa survie en 1945 »,a commenté dans un communiqué le musée abrité par l’U.S. National Arboretum.
L’année dernière, le végétal de 390 ans s’est révélé encore plus symbolique, à l’occasion de la commémoration des 70 ans du bombardement de Hiroshima.
(Source : Maxi Sciences)

18/06/2017 - 08:12
Architecture de la Belle Epoque a Paris.

 
Sans nécessairement en avoir conscience, nous sommes tous très familiers avec l’architecture si typique qui a émergé au moment de la Belle Epoque. Nous sommes tous au moins une fois passés devant un restaurant, un café, une boutique, un immeuble qui dénotait complètement du décor environnant. Parlons ne serait-ce que des édicules Guimard, vous savez ces drôles de portiques fleuris, si emblématiques de la capitale, qui ornent les bouches de métro.


Les édicules Guimard, Vestiges bien visibles de la Belle Époque

Il faut dire qu’à la fin du 19ème siècle, l’haussmannisation laissait place à l’industrialisation et cela ne laissait présager rien de bon
pour notre belle capitale. L’Art Nouveau arriva donc juste à pic pour sauver les meubles et mettre un peu de couleur et de forme dans notre paysage parisien. Apparu au début des années 1890, précisément en réaction contre les dérives de l’industrialisation à outrance, ce mouvement artistique prône les lignes courbes, la couleur, les ornementations végétales, florales et animales… la surcharge décorative,en somme, pour mettre un peu de baume au cœur de l’homme “tristement” moderne.


Situé au 7 Avenue Rapp, cet immeuble, avec son désordre architectural, sa démesure ornementale, est incontestablement un symbole de l’Art Nouveau parisien. Construit par Lavirotte en 1901, sa façade fut primée au concours de la Ville de Paris.

Ce style architectural évolue progressivement, à partir des années 1910, vers des lignes plus géométriques et symétriques : c’est la naissance del’Art Déco. La tendance est au retour de la rigueur classique à la différence près que la géométrie des formes n’est que stylistique, décorative et ne se veut absolument pas structurelle. La couleur est toujours aussi présente, mais les matériaux utilisés changent : le fer et le verre industriels sont mis de côté au profit de matériaux
pré-modernes tels que le bois, la céramique, le textile, l’or et l’argent massif, le vitrail, la pierre de taille.


La pureté des lignes, la simplification des formes géométrique, la blancheur des façades, caractéristiques de l’Art Déco, se retrouvent dans le théâtre des Champs Elysées construit par Auguste Perret en 1913.
Après cette mise en bouche historique, nous vous proposons donc un petit tourd’horizon de quelques lieux emblématiques de la Belle Époque que l’on peut encore admirer aujourd’hui à Paris !

1 – La boutique Kusmi Tea du 1er.
De loin, rien ne laisse présager qu’une boutique Kusmi Tea a remplacé l’ancienne crémerie de la place Vendôme, tant l’enseigne d’origine est tapageuse. Mais, le trompe-l’oeil ne s’arrête pas là ! Passée la devanture en marbre et fer forgé portant les inscriptions en gros caractère “Beurre, laiterie, oeufs”, on tombe nez-à-nez avec un magnifique plafond Art déco au milieu des boîtes à thé colorées. Une toile peinte fixée sous verre met en valeur un splendide graphisme à motif floral unique en son genre. Un passage obligatoire si l’Art déco est votre tasse de thé…

Où ? 25, rue Danielle Casanova, 75001


2 – Le joaillier Tecla dans le 2ème.

On ne peut passer à côté d’une adresse aussi prestigieuse que Tecla, le seul joaillier français à s’être spécialisé dans la perle de culture. Dans cette boutique richement décorée façon Art déco, tout est resté intact, et plus particulièrement, les murs recouverts de panneaux orientalisants en laque de Coromandel, provenant d’anciens paravents chinois du 18ème siècle. Si les merveilles exposées ne sont pas à la portée de toutes les bourses, le décor vaut à lui seul la visite.

Où ? 2, rue de la Paix, 75002

3 – Le bouillon Vagenende du 6ème.

Dans la flopée de brasseries ouvertes par les frères Chartier fin 19ème, le Vagenende est sans doute de loin la plus luxueuse. Menacée un temps de devenir un supermarché, ce bouillon a été sauvé et classé pour ses somptueux décors caractéristiques de l’Art Nouveau : miroirs se reflétant à l’infini, entourés de boiseries en arabesques, peintures bucoliques en pâte de verre enchâssées dans les boiseries, carrelage mural en céramique surmonté d’une frise de fruits tressés, … on est servi ! Une adresse culte où venir se délecter de traditionnelles recettes françaises à prix plus que raisonnables.

Où ? 142, boulevard Saint-Germain, 75006

4 – Le chocolatier Debauve et Gallais dans le 7ème.

C’est non loin du boulevard Saint-Germain que l’on aura l’honneur de pénétrerdans l’antre de ce vieux confiseur, en son temps réputé approvisionner tous les Rois de France en petites gourmandises chocolatées supposées
soulager les maux de gorge. Classée Monument historique, cette boutique Art Nouveau est un véritable plaisir pour les yeux avec sa délicieuse devanture ornée de couronnes de laurier dorées, ses fines colonnes de marbre blanc, son comptoir en demi-lune, ses impostes en forme d’éventail, … et son étonnante hauteur de plafond ! À défaut de guérir votre rhume, un passage par ce chocolatier vous mettra tout du moins du baume au cœur…

Où ? 30, rue des Saints-Pères, 75007


5 – La brasserie Mollard du 8ème.

On ne soupçonne pas une seconde de l’extérieur que ce restaurant, qui passe presque inaperçu dans l’agitation de la gare Saint-Lazare, abrite un somptueux décor Art Nouveau : tableaux de céramique et mosaïques ornent les murs dans des tons très lumineux, des colonnettes et piliers en marbre structurent élégamment l’espace, partout les dorures donnent àce lieu toute sa splendeur. Rien ne viendrait dénaturer ce cadre majestueux, si ce n’est quelques miroirs qui ne sont pas d’origine. Une adresse mythique dont les spécialités de crustacés valent le détour.
Où ? 115, rue Saint-Lazare, 75008

6 – Le jardin du Petit Palais dans le 8ème.

Passée la grille en fer forgé dorée du Petit Palais, on est accueilli dans un grand vestibule recouvert de mosaïques et éclairé par des vitraux de verre blanc et opale et une fenêtre qui ouvre sur les jardins intérieurs. Un cadre Art déco qui tranche d’emblée avec le caractère officiel du bâtiment. Et ce n’est rien comparé aux jardins et leurs trois bassins décorés de mosaïques, entourés d’une galerie de colonnes circulaire sous laquelle l’on peut admirer de superbes fresques style Renaissance. La pause idéale après une expo.

Où ? Avenue Winston Churchill, 75008


7 – Le café Terminus Nord du 10ème.
Surprenante découverte que ce café qui jouxte la Gare du Nord, où l’Art déco se mêle harmonieusement à l’Art Nouveau ! Le lieu se laisse d’abord découvrir par sa grande salle rectangulaire résolument Art déco dont le carrelage à pâquerettes se reflètent joliment dans les miroirs qui ornent la pièce. Toutefois, un petit salon planqué au fond de l’établissement vient confondre le visiteur avec sa fenêtre typique Art Nouveau, cernée d’un bandeau de pensées violette et parme. Une adresse prisée des habitués de l’Eurostar !

Où ? 23, rue de Dunkerque, 75010

8 – Le Bistrot du Peintre dans le 11ème.

Niché au milieu des ateliers d’artiste, ce bar surprend d’abord le visiteur par son éblouissante façade Art Nouveau dont les magnifiques boiseries la classent parmi l’une des plus belles de la capitale. A l’intérieur, le décor n’est pour le moins décevant : miroirs entourés de boiseries, peintures pastorales de céramiques pastels, comptoir en étain, moulures peintes au plafond… un cadre d’exception pour se restaurer dans le quartier !

Où ? 116, avenue Ledru Rollin, 75011


17/06/2017 - 18:04
Qu’est-ce que la théorie de l’évolution de Charles Darwin ?

Clic ici....................http://dai.ly/x5ojfd8

Charles Darwin propose un mécanisme pour expliquer l'évolution des espèces au fil du temps : les individus qui disposent d'un avantage dans un environnement particulier le transmettent à leurs descendants. C'est la sélection naturelle.
Dans cette vidéo, Éric Lapie, muséologue à la Cité des Sciences et de l'Industrie, qui a conçu l'exposition
Darwin l’original, tente de résumer les principaux concepts apportés par les travaux du naturaliste, qui n'a pas été le premier à proposer une théorie de l’évolution. Charles Darwin parle plutôt d'une théorie de descendance avec modifications.
L'originalité de Darwin est de s'intéresser aux variations, aux différences, entre les individus. Car auparavant les scientifiques portaient beaucoup d'attention aux ressemblances pour ranger les espèces en fonction de leurs caractéristiques morphologiques. Darwin propose l'idée de l'existence d'une sélection naturelle : sous l'effet de contraintes de l'environnement, certains individus disposent d'un avantage temporaire, leur permettant de mieux se nourrir ou de se reproduire. Ils transmettent alors ces variations avantageuses à leur descendance.
Une vidéo qui rend hommage au travail d'Éric Lapie qui nous a quittés prématurément en janvier 2017.
© Futura

17/06/2017 - 18:03
Qu’est-ce que la théorie de l’évolution de Charles Darwin ?

Clic ici....................http://dai.ly/x5ojfd8

Charles Darwin propose un mécanisme pour expliquer l'évolution des espèces au fil du temps : les individus qui disposent d'un avantage dans un environnement particulier le transmettent à leurs descendants. C'est la sélection naturelle.
Dans cette vidéo, Éric Lapie, muséologue à la Cité des Sciences et de l'Industrie, qui a conçu l'exposition
Darwin l’original, tente de résumer les principaux concepts apportés par les travaux du naturaliste, qui n'a pas été le premier à proposer une théorie de l’évolution. Charles Darwin parle plutôt d'une théorie de descendance avec modifications.
L'originalité de Darwin est de s'intéresser aux variations, aux différences, entre les individus. Car auparavant les scientifiques portaient beaucoup d'attention aux ressemblances pour ranger les espèces en fonction de leurs caractéristiques morphologiques. Darwin propose l'idée de l'existence d'une sélection naturelle : sous l'effet de contraintes de l'environnement, certains individus disposent d'un avantage temporaire, leur permettant de mieux se nourrir ou de se reproduire. Ils transmettent alors ces variations avantageuses à leur descendance.
Une vidéo qui rend hommage au travail d'Éric Lapie qui nous a quittés prématurément en janvier 2017.
© Futura

17/06/2017 - 10:38
Que cache le "manspreading"(l'étalement masculin), cette façon de s'asseoir qui fout les boules à la Terre entière ?

Parce qu'il vise les hommes, accusés de prendre trop de place dans les transports en commun, au détriment des femmes, le "manspreading"  est devenu un sujet archi-sensible, en ligne comme dans les rames.  {option}

Une campagne contre le "manspreading" dans le métro new-yorkais, le 12 mai 2017. 
Nous la préparons pour vous chaque matin.
Aaaaaah [soupir], les transports en commun, ses néons blafards, ses odeurs de vestiaire quand viennent les beaux jours et ses sièges conçus pour les deux tiers d'une personne adulte [re-soupir]. Depuis que la mairie de Madrid a mis en place, mardi 6 juin, une nouvelle signalétique dans son métro demandant aux usagers de ne pas écarter les jambes quand ils sont assis afin de ne pas gêner ses voisins de banquette, les internautes s'étripent sur la question du manspreading (que l'on peut traduire en français par "l'étalement masculin").
Le débat, forcément houleux, s'est propagé en France où les photos d'usagers avachis cotoient les insultes et les photomontages parodiques.
Preuve que la question, régulièrement posée et exposée sur les réseaux sociaux, n'est pas aussi anodine qu'elle en a l'air. Alors que le collectif Osez le féminisme a invité, mercredi 15 juin, les voyageuses et voyageurs excédé(e)s à interpeller la RATP sur ce sujet, franceinfo revient sur un phénomène qui ne laisse personne indifférent. 
Une pratique vieille comme le bus "Manspreading, nom commun : désigne le fait, quand on est un homme, en particulier dans les transports en commun, d'adopter une position assise les jambes écartées, de façon à mordre sur le ou les sièges adjacents.".
Si la pratique n'a pas d'âge, le terme, lui, a fait son entrée dans l'Oxford Dictionnary en 2015.
Contraction de "man" (homme) et de"spreading" (s'étendre), le manspreading s'observe depuis que les humains voyagent côte à côte. En janvier 1836, soit 179 ans avant que le terme ne soit adoubé par le dictionnaire, The Times of London prévenait dans un article consacré à la bienséance dans l'autobus : "Asseyez-vous avec vos membres près du corps, et ne décrivez pas un angle de 45° avec vos jambes, ce qui reviendrait à occuper la place de deux personnes." 
{option}
Selon un article du "Times of London" daté de 1836, on parle de "manspreading" quand les jambes forment (au minimum) un angle de 45°.Il a suffi d'un mot dièse ("#manspreading") pour répandre le néologisme. Constatant que cette règle était régulièrement bafouée, en particulier par ces messieurs, des utilisatrices du métro new-yorkais ont décidé, en 2014, de les dénoncer sur les réseaux sociaux Tumblr et Twitter, en publiant les photos des voyageurs envahissants et de leurs victimes collatérales (les voisin(e)s recroquevillé(e)s). Sans que cela ne soit le fruit du hasard, la MTA, l'organisme qui administre le réseaudes transports en commun de la ville, relevait cette année-là un nombre sans précédent d'utilisateurs : 6,1 millions de passagers par jour, contre 5,1 millions les journées les plus chargées dix ans plus tôt sur ce même réseau, soulignait The New York Times
Aux Etats-Unis, en Turquie, au Japon, en Espagne, en Corée du Sud, en France.... Partout où l'on constate une hausse de l'affluence, et donc de moins en moins de places, des campagnes de dénonciations similaires ont vu le jour. Encouragées, voire initiées par des associations féministes, elles ont parfois abouti, comme en juin à Madrid, à la création d'une nouvelle signalétique, censée rappeler la posture à adopter dans un train bondé. En France, une première initiative du collectif Osez le féminisme en 2014 n'a, en revanche, pas suffi à convaincre la RATP. 
Un sujet à haut risque.
L'avalanche de photos illustrant ces cas de manspreading sur les réseaux sociaux a enflammé les débats. D'un côté, des femmes (beaucoup) et des hommes (si, si !) affligés par cette posture envahissante ; de l'autre, des hommes (beaucoup) et des femmes (si, si !) revendiquant le droit de privilégier leur confort à celui de leur voisin. Vécues par de nombreux hommes comme une lubie de féministes en mal de combat à mener (des "pleureuses"), ces campagnes s'accompagnent souvent de démontages en règle, avec insultes, menaces etmoqueries à la clé, comme l'illustre l'expérience récente d'une journaliste de Mediapart.
Pourquoi tant de haine ?
En février, un article de Slate.fr notait que les sujets ayant trait au féminisme (comme la différence entre les poches de pantalon des hommes et des femmes,la "charge mentale", la "taxe tampon" ou encore le harcèlement de rue) recevaient un accueil particulière-  -ment violent sur les réseaux sociaux.Ainsi,"chaque article écrit [sur le manspreading] entraîne un flot de réactions de la part d'internautes.Certains hommes partagent leur indignation face à ce qui, pour eux, n'est pas un sujet valable", écrit le journaliste, capture d'écran de commentaires à l'appui.
Car pour beaucoup, ces termes culpabiliseraient injustement les hommes. "Que des siècles de domination masculine crétine s’expriment dans ce geste insupportable, c’est une évidence, […] mais ça n’empêche pas que certaines femmes, fait plus rare, beaucoup plus rare, en fassent autant,a ainsi argumenté le philosophe Raphaël Enthoven dans une chronique diffusée, mercredi, sur Europe 1. Masculiniser le terme, essentialiser ce comportement en gravant dans le marbre d’un mot la certitude que, par définition, il n'y a que les hommes qui font ça relève du sexisme." Polémique garantie.
Un sujet d'étude fascinant
Pour justifier cette pose, les menspreaders avancent deux arguments.
1) Les femmes aussi prennent de la place, notamment celles qui posent leur sac sur le siège voisin.
2) Les testicules : "Si elles sont mal placées, cela peut faire mal", a expliqué (en anglais) le porte-parole d'une association masculiniste canadienne, en 2015.
Depuis l'émergence du terme, de nombreux articles se sont penchés sur la réalité de ce prétendu "besoin" masculin de s'étendre. En analysant les données de trois études scientifiques portant sur les différences morphologiques entre les hommes et les
femmes, un Américain a ainsi expliqué qu'ils écartaient les jambes pour compenser la différence de largeur entre les épaules et les hanches. Une étude plutôt raillée pour sa rigueur hasardeuse (comme ici chez Terra Femina). "Pour certains observateurs, cette façon de s'attribuer l'espace est le miroir d'autres façons dont les hommes occupent les autres espaces dans la société", a relevé The Independent (lien en anglais) en 2015, citant les espaces dépourvus de parité. "Chez l'humain comme chez l'animal, écarter les jambes permet d'affirmer sa domination, ce que font plus souvent les hommes, tandis que les femmes sont plus enclines à adopter des postures plus serviles", poursuit le quotidien. "Comme beaucoup d'autres codes sociaux, celui de s'asseoir est donc
indubitablement marqué par des rapports de force, et est par là même, genré
, a noté pour sa part Slate.fr, dans un article consacré à l'art de poser ses fesses. Il n'y a qu'à voir comment certains hommes s'assoient dans le métro."
Femmes éduquées à prendre le moins de place possible, hommes invités à adopter des positions dominantes... Le manspreading trouve son origine dans nos inconscients façonnés par les stéréotypes de genre, argumentait dès 1979 l'artiste féministe allemande Marianne Wex, dans son ouvrage Let's Take Back Our Space, 'Female' and 'Male' Body Language as a Result of Patriarcal Structures.
Dans sa très populaire conférence (plusieurs millions de vues sur YouTube), Amy Cuddy, professeure de psychologie à Harvard, explique comment elle a découvert qu'adopter des "poses de pouvoir" faisait augmenter le taux de testostérones au point de booster la confiance en soi des hommes comme des femmes. Ainsi, mesdames (et messieurs), si vous êtes embarassé(e) par le    manspreading, plusieurs options s'offrent à vous : vous pouvez prendre vos aises, vous pouvez aussi demander gentiment à votre voisin de vous faire de la place (attention, la requête est souvent accueillie par un soupir agacé,rapportent celles qui ont essayé et survécu pour témoigner). Ou alors, il suffit d'inventer le slip en papier bulle spécial testicules de cristal, et devenir ainsi milliardaire de sorte à ne plus jamais mettre les fesses dans un métro. En attendant, vous pouvez aussi demander à la RATPd'arrêter de s'asseoir sur le problème.
17/06/2017 - 08:35
Visite De...Naphapholphumisiri Naphamethanidon en Thaïlande...

Source : Preechar
La Thaïlande, en forme longue le Royaume de Thaïlande, en thaï Pratet Thaï, ประเทศไทย et Ratcha Anachak Thai, ราชอาณาจักรไทย, est un pays d’Asie du Sud-Est dont le territoire couvre 514 000 km2.
Avant 1939, il s’appelait le Royaume de Siam. Il est bordé à l’ouest et au nord-ouest par la Birmanie, au sud par la Malaisie, à l’est par le Cambodge et au nord-est par le Laos. Sa capitale est Krung Thep (กรุงเทพฯ, la Cité des anges), également appelée Bangkok.
La langue officielle est le thaï et la monnaie le baht. C’est une monarchie constitutionnelle depuis 1932. Le roi Rama IX, neuvième de la dynastie Chakri, règne sur le pays depuis 1946, record de longévité à la tête du pays dans l'histoire thaïlandaise1. Souverain constitutionnel, le roi est officiellement titré Chef de l'État, Chef des Forces Armées,
partisan de la religion bouddhiste et défenseur de toutes les confessions.

Sur un plan politique, la Thaïlande a connu 19 coups d'états tentés ou réussis par l'armée depuis 1932, le dernier en date ayant eu lieu le 22 mai 2014.
Le pays est classé 51e pays par ordre de superficie (514 000 km2) et 21e pays le plus peuplé du monde avec 66 720 153 personnes en 2016, une superficie et un nombre d'habitants très proches de ceux de la France métropolitaine.
Environ 75 % de la population sont d'ethnie thaïe, 14 % sont des Chinois, et 3 % sont malais2, le reste étant composé de groupes minoritaires : les Môns, les Khmers et les diverses tribus des collines. La religion principale est le bouddhisme, pratiquée par environ 95 % des Thaïlandais.
La Thaïlande a connu une croissance économique rapide entre 1985 et 1995. C'est un des nouveaux pays industrialisés, comptant parmi les Tigres asiatiques. Son économie repose notamment sur le tourisme.
Avec des destinations touristiques bien connues comme le parc d'Ayutthaya, la station balnéaire de Pattaya, la capitale Bangkok, les provinces de Phuket, de Phang Nga, de Krabi et de nombreuses iles, comme celle de Koh Samui. Les exportations contribuent aussi de manière significative à l'économie.
Il y a environ 2,2 millions de migrants légaux et illégaux en Thaïlande, plus un certain nombre d'expatriés des pays occidentaux.
Pagode Une pagode est un bâtiment que dans de nombreux bouddhistes voir temples en Asie. Elle a la forme d'une tour qui se compose de différents, de plus en plus petits niveaux.
Chaque étage a son propre toit. Sauf dans bouddhistes temples, on peut aussi prendre des Pagodes à temples chinois et taoïstes temples.
Pagodes de Pagan
Pagode à Hong Kong, en Chine
Tourisme
Clic ici................Partir Autrement 03 / Thaïlande / Bangkok / Extrait 1 from Jean-André Fourestié on Vimeo.

Clic ici...............2014 New Year Celebration in ChiangMaï, Thailand. (Wat Chedi Luang) from 1mile1smile on Vimeo.

Et voilà, nous sommes en 2014, nous avons passé ce nouvel an en compagnie de nos amis américains à Chiang Maï.
Nous étions dans des temples Bouddhistes, et c'était vraiment une superbe expérience, calme, féérique et intense.
Avec lâché de lanternes dans un cadre magnifique remplis de Bougie.... que du bonheur, voici une année qui commence bien.


Article détaillé : Tourisme en Thaïlande.
Longtemps restreinte au tourisme balnéaire vers les plages de sa péninsule, la Thaïlande souhaite développer les voyages culturels et attirer les touristes vers les provinces du nord, riches en vestiges archéologiques.
Parmi les monuments des provinces, on peut citer :
Le temple aux trois tours. Le Prang Sam Yot de Lopburi est un bel exemple de l’art Khmer du XIIe siècle.
Le palais d’Ayutthaya. Le palais royal de Bang Pa-In, réhabilité au XIXe siècle par Rama IV, était sa résidence de vacances.
Le sanctuaire de Chiangmai. Construit en 1345, le Wat Phra Sing abritait les cendres du grand roi Kham Fu.
Le Prasat Hin Phimai. Ce temple khmer a été construit vers la fin du XIe siècle.

Clic sur les liens ci-dessous.........

Thailand Part 4 - Bangkok: Five Star Attractions from Peter Szilagyi on Vimeo.
Thailand Explorer from Alan Hamer on Vimeo.
Bangkok Vacation Travel Guide | Expedia from Expedia on Vimeo.
THAILAND from Drew White on Vimeo.
THAILAND from Marek Kedzierski on Vimeo.
Thailand from Brandon Lied on Vimeo.
WELCOME TO THAILAND from NEMA Prod on Vimeo.
TRAVEL - Thailand 2016 from Frameblending on Vimeo.
Thailand from Chris Roewe on Vimeo.
THAILAND. from Rachel Soh on Vimeo.
THAILAND. from Joshua Cairns on Vimeo.
Bangkok from Mosak on Vimeo.
More About Bangkok from Laurent Tixhon on Vimeo.

 
17/06/2017 - 08:18
Fairy garden...Un Jardin De Fées En Version Miniature
Par Emmanuelle Saporta
Du Magazine Détente Jardin

Les fairy gardens (Jardins de fées) sont tout droit venus des Etats-Unis. Ce nouveau loisir créatif consiste à créer des jardins miniatures dignes des plus beaux contes de fées.
Mini…tout est mini dans ces charmantes compositions : mini-plantes, mini-maisons,mini-accessoires et mini-personnages qui rappellent ceux avec lesquels nous décorions nos maisons de poupées lorsque nous étions enfants.
Ravissantes mises en scène végétales, les fairy garden sont de plus en plus populaires et font entrer l’univers des contes de fées dans la maison ou sur la terrasse.

Choisissez un contenant original pour composer votre fairy garden.
Selon les végétaux choisis, ces compositions peuvent prendre place aussi bien en extérieur, au jardin que sur la terrasse. Dans la lignée des terrariums, terriblement tendance actuellement, les fairy garden pourraient bien s’imposer comme les nouveaux jardins miniatures à la mode, mais en version habitée.
La fée Clochette et les elfes ne sont pas loin… Les fairy garden sont accessibles à tous, grands et petits.
Ils peuvent même être réalisés en famille, chacun apportera alors sa touche personnelle à la création.
L’origine Des Fairy Garden Ils sont nés aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle. Les premiers auraient été créés avec des bonsaïs, sans doute inspirés par le pavillon japonais aménagé pour la foire Mondiale de Chicago.

Comment créer un fairy garden ? La création d’un fairy garden est bien plus simple qu’il n’y paraît. Le plus important quand on se lance est certainement de croire à la magie des contes de fées…et comme dans les belles histoires, tout se déroulera alors facilement.

Laissez parler votre imagination et utilisez aussi bien un pot en terre cuite qu’une grande coupe en faïence, un plat en céramique, un vieil aquarium,une cagette ou une caisse en bois (type caisse à vin)…
Peu importe la taille et la nature du contenant du moment que vous vous montrez créatif(ve) et que vous avez un peu de temps devant vous.
Car si la réalisation du fairy garden ne demande pas de compétences particulières, elle exige que vous soyez agile de vos mains et que vous fassiez preuve de patience…

Quelles plantes choisir ?
Un mini-jardin aménagé dans une souche et coiffé de succulentes.

Mieux vaut prendre des plantes miniatures qui n’ont pas besoin de beaucoup d’espace ni de terreau pour rester belles.
Les succulentes conviennent bien, tout comme les cactus ou les conifères nains, les plantes couvre-sol (tapis de thym miniature par exemple) ou des campanules miniatures.
Reste à préparer le terreau dont la composition s’adapte à la nature des végétaux ?
Les Accessoires Vous avez peut-être des figurines miniatures qui trouveront leur place dans votre fairy garden, il est aussi possible d’en trouver au rayon loisirs créatifs de certaines jardineries et magasins de bricolage, ou sur des boutiques en ligne.

Les Étapes.
Avant de commencer, dessinez un plan sur une feuille. Cela vous donnera une idée d’ensemble et vous guidera pour le placement de chaque plante et accessoires.
Étalez la couche de terreau puis disposez chaque plantes et accessoires en commençant par les plus gros qui structurent l’ensemble.
Complétez avec les plus petites plantes en « bouchant » les trous méticuleusement. Arrosez modérément, avec un vaporisateur c’est plus pratique...
Par la suite, dosez l’apport en eau selon les plantes choisies.Ajoutez de l’engrais universel
une fois par mois à l’eau d’arrosage.

Video...Nos tutos pour créer des fairy gardens Le fairy garden peut être considéré comme un jardin en perpétuelle évolution..
Changez les plantes au fil des saisons, ajoutez des personnages ou des accessoires choisis selon la période de l’année (mini-citrouille pour Halloween, mini-cadeaux et fausse neige pour Noël).

Une Terrasse Au Soleil


Un coin de désert avec des cactus


Pour les fêtes de Noël

17/06/2017 - 08:06
La Plage De Versova En Inde... L'une Des Plus Polluées Au Monde...
Se Métamorphose Grâce à Une Initiative fantastique (Vidéos)

Il y a encore un an, la plage de Versova en Inde était considérée comme une des plages les plus polluées au monde. Mais grâce aux efforts des habitants, celle-ci a retrouvé son aspect immaculé d’antan, libérée des 5.000 tonnes de déchets qui la recouvraient.
C’est un véritable petit miracle qui s’est opéré à Bombai en Inde. Grâce à uneffort collectif, la plage de Versova, tristement connue pour être une des plus polluées de la planète, s’est littéralement métamorphosée.
Située à l’ouest de la ville, cette plage de 2,5 kilomètres était il y a encore un an jonchée de détritus dont certains amas pouvaient atteindre les 1,5 mètre de haut.

C’est un véritable petit miracle qui s’est opéré à Bombai en Inde. Grâce à un effort collectif, la plage de Versova, tristement connue pour être une des plus polluées de la planète, s’est littéralement métamorphosée.
Déplorant de voir le site ainsi souillé, Afroz Shah, un avocat de 33 ans résidant à Versova avait lancé une première initiative de nettoyage en 2015, rapidement suivie par d’autres.
En 2016, les « Verso Resident Volunteers » composés d’habitants, de politiciens, de stars de cinéma, mais aussi d’écoliers se sont retrouvéschaque week-end pour ramasser des centaines de déchets.
En 21 mois, les volontaires auront ainsi déblayé pas moins de 5,3 millionsde kilogrammes de détritus et auront également remis à neuf 52 toilettes publiques et planté 50 cocotiers.
« Je me suis dit que j’allais faire quelque chose » 
Salué par les Nations Unies, Afroz Shah, l’avocat à l’initiative de cette magnifique entreprise, s’est vu décerner l’année dernière le prix de « Champion de la Terre ».
« J’ai emménagé dans mon nouvel appartement il y a deux ans et j’ai vu le plastique sur la plage. Il mesurait 1,5 mètre de haut. Un homme aurait pu s’y noyer », a raconté celui-ci à CNN.


La plage de Versova était connue pour être "la plage la plus sale du monde".
« Je me suis dit que j’allais me rendre sur le terrain et faire quelque chose », a-t-il poursuivi.
Mais l’initiative est allé bien au delà de ses attentes.
Les montagnes de déchets ont aujourd’hui laissé place au sable immaculé et àune eau d’un bleu profond comme en témoigne une photo postée sur Twitter par l’avocat.

« La plage de Versova est splendide et propre maintenant », a-t-il commenté.
« Nous avons fait notre part. Nous devons maintenant la préserver ».


Clic ici...................2014 - Mumbai 2014 from Georges Rousse on Vimeo.

Mumbai 2014
Un film de Sandra Calligaro (Photographie / Vidéo) et Julie Rousse (Création Sonore).
Ce film a été créé pour témoigner du voyage incroyable de Georges Rousse en Inde avec une équipe de bénévoles à la rencontre de jeunes indiens issus d'un des plus grand bidonville du monde, Shivaji Nagar, où opère l'ONG Apnalaya.
Depuis plus de 40 ans cet organisme joue un rôle majeur dans l'éducation des enfants, mais aussi des femmes.
Artventures - MUMBAI 2014 a été une incroyable aventure culturelle, partagée par tous dans une sorte de communauté artistique et éphémère - en tous cas dans le temps, mais pas dans les coeurs, car tous sont ressortis grandis par cette expérience.
"Like colors we change when we are mixed together" (Yash, un des enfants Indiens participant au projet)
Toutes Les Informations...
http://artventuresmumbai2014.wordpress.com/

Clic ici............A Day in India from The Perennial Plate on Vimeo.

(Source : Maxi Sciences)
17/06/2017 - 07:33
Galerie photos insolites : on ne peut voir cela qu’au Japon !

Régulièrement, nous vous présentons des photographies étranges venant d’autres pays, et principalement de Russie. Cependant, à la vue de cette nouvelle galerie de clichés insolites, les Japonais semblent bien placés pour faire partie des champions du monde de gens “étranges”…