Selon une étude tout à fait sérieuse, la bière serait un meilleur antidouleur que le paracétamol...
Vous souffrez régulièrement de migraines ? Vos journées passées derrière un bureau n’épargnent pas votre dos ? Vos soirées alcoolisées se soldent presque toujours par une vilaine gueule de bois ? Ne vous ruez pas illico presto vers vos antidouleurs, car d’après une étude très sérieuse, la solutionse trouverait… dans une pinte de bière. Et ce n’est pas une blague. Crédit photo : Shutterstock - pintes de bière - Syda Productions
En effet, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Greenwich au Royaume-Uni et parue en décembre 2016 dans la revue scientifique The Journal of Pain confirme que la consommation de deux pintes de la mythique boisson alcoolisée réduirait significativement nos douleurs et augmenterait notre seuil de tolérance à la souffrance de 25% environ.
Cette fameuse étude, qui s’appuie sur les données de 18 travaux menés dans les quatre coins du monde sur un panel composé de 400 personnes, confirme le postulat selon lequel la consommation de deux pintes de bières aurait des vertus analgésiques semblables, sinon plus importantes que celles d’un comprimé de paracétamol, soit un taux d’alcoolémie de 0.08 grammes par litre de sang.
Les effets stimulants, tranquillisants, excitants de l’alcool ne sont certes plus à prouver : autrefois, les médecins l’utilisaient même pour calmer les douleurs et faire tomber la fièvre. Mais l’étude des chercheurs de l’Université de Greenwich semble avancer d’autres hypothèses pertinentes : l’alcool, malgré ses conséquences néfastes sur la santé sur un long terme, serait composé de vertus analgésiques réelles qui expliqueraient facilement la consommation excessive d’alcool chez les individus qui souffrent de douleurs chroniques.
D’après le docteur Trevor Thompson, responsable de l’étude susmentionnée, la bière serait aisément comparable aux « opiacés comme la codéine ». De quoi conforter les chercheurs dans la réalisation d’études plus poussées afin de mettre au point un nouveau médicament antidouleurs dépourvu d’effets secondaires dangereux pour l’organisme. « Si nous arrivions à produire un médicament sans les effets secondaires néfastes de l’alcool, alors nous disposerions de quelque chose de plus efficace que ce qui existe aujourd’hui » déclare le médecin au quotidien britannique The Independent.
Mais à l’heure actuelle, si les études menées sont pleines de promesses pour l’avenir, l’abus d’alcool reste dangereux pour la santé : il est primordial de le consommer avec modération.
1860… Amoureux de Paris, retenez bien cette date. C’est en effet cette année-là que la capitale a vu son destin une nouvelle fois basculer, sous l’impulsion du baron Haussmann qui lui a définitivement offert un tout autre visage. De 12 arrondissements, Paris est alors passé à 20, en grapillant le territoire de onze villages des faubourgs jusqu’aux fortifications édifiées par Thiers en 1844. Partons sur les traces de ces quartiers parisiens qui furent des villages, et dont l’atmosphère trahit parfois encore le passé.
MontmartreS’il est le quartier le plus emblématique de Paris aux yeux de la plupart des touristes, Montmartre n’a pourtant été intégré à la capitale qu’en 1860. À ce moment-là, il s’agissait d’un village de 36 000 âmes où les belles maisons et les cabanes en bois et plâtre d’artistes maudits et de sans-abris se partageaient le terrain, et où les moulins profitaient du vent d’altitude pour moudre le blé. L’endroit était également prisé pour ses cabarets et ses carrières de gypse…
BercyAu milieu du 19ème siècle, Bercy faisait figure de plus vaste marché de vins d’Europe. Pour les grossistes qui souhaitaient ravitailler Paris, impossible de passer le port de la Rapée sans payer une taxe. C’est pour cette raison que le quartier de Bercy, situé à proximité, devint un lieu d’entrepôt idéal. On en retrouve encore quelques vestiges, comme les chais du Cour Saint-Émilion et le bâtiment abritant actuellement le Musée des Arts Forains. Cette activité permit aussi à de nombreuses guinguettes populaires de voir le jour.
PassyAvant d’être un quartier cossu du 16ème arrondissement, Passy était un village agréable, qui fit même longtemps office de lieu de villégiature. Prairies, chateaux à tourelles, belles demeures bourgeoises, on y venait profiterd’une atmosphère campagnarde, encore palpable aujourd’hui si l’on s’aventure dans la rue Berton. Le village avait aussi hérité d’une dimension mystique puisqu’à la fin du XVème siècle, des moines minimes charmés par ses vignes et sa belle vue,y avaient fait installer leur couvent.
CC BY-SA 3.0, Franek2
Belleville et MénilmontantIndépendante jusqu’en 1860, Belleville était plus qu’un village puisque son nombre important d’habitants la hissait au rang de 13ème ville de France ! Populaire et habitée par de nombreux ouvriers des carrières des actuelles Buttes Chaumont, elle attirait les fêtards parisiens qui venaient profiter de ses guinguettes et de ses vignes. Quelques siècles auparavant, sa situation en hauteur et ses rues couvertes de lilas, de vignes et ponctuées de petites cascades lui valurent son nom de « Belleville ».
Ménilmontant, quartier actuel du 20ème arrondissement de Paris, en était un hameau.
Rue des Cascades à Ménilmontant CC BY-SA 3.0, Mbzt
CharonneIl n’en reste aujourd’hui qu’une petite (mais charmante) église, un cimetière et deux rues piétonnes, et pourtant, on devine l’atmosphère passée de cet ancien village d’ouvriers et d’artisans d’environ 17 000 habitants. Longtemps investi par les vignes et les maraîchages, ce village a accueilli au 19ème siècle de nombreuses petites fabriques de colle, d’allumettes, de cuir ou de chapeaux, et surtout la plus grande manufacture de bougies installée alors rue Aumaire. Il faut également y imaginer une ribambelle de guinguettes très populaires où l’on buvait du vin deux fois moins coûteux qu’à Paris.
CC BY-SA 3.0, Pol
AuteuilJusqu’à la fin du 19ème siècle et son annexion partielle à Paris, le village d’Auteuil jouissait d’une atmosphère très campagnarde. Attirés par sa tranquillité, son exposition très ensoleillée et la proximité du Bois de Boulogne, de nombreux bourgeois et nobles y posèrent leurs valises. Aujourd’hui encore, ce qui est devenu un quartier du 16ème arrondissement transformé par l’urbanisme et les réalisations Art Nouveau de Guimard, est très huppé.
CC BY-SA 3.0, Mbzt
BatignollesUne balade au square des Batignolles nous donne le sentiment de prendre une bouffée d’oxygène comme rarement dans Paris, et pour cause : au début du XIXème siècle, ce village était réputé pour la pureté de son air ! Un grand médecin, Charles François Lemercier, y avait même fait installer sa maison de santé. Avant qu’il soit annexé à Paris en 1860, on y trouvait une mairie, une église, la toujours actuelle Sainte-Marie des Batignolles, un marché et également un théâtre pour se divertir.
CC BY-SA 2.0, Bastiaan
GrenelleAvant d’être ce quartier parisien niché entre les métros Dupleix et Javel, Grenelle était une commune du département de la Seine créée en 1830, qui abritait des maisons bourgeoises mais également des fabriques de fer, de platine, de poudres de chasse ou encore d’encre. Avec la construction du quartier d’affaires Beaugrenelle et de ses hauts immeubles, peu de traces subsistent de ce passé villageois, hormisquelques devantures de la rue du Commerce et la petite église Saint-Jean Baptiste.
CC BY 3.0, Peter Potrowl
La Villettedifficile de l’imaginer lorsque l’on s’y balade aujourd’hui, mais la Villette était il y a quelques siècles un village doté de nombreuses vignes, vergers et de couvents. Une grande sécheresse obligea Napoléon à y faire construire un canal, transformant l’activité du village qui attira dès lors des industries, ou des fabriques d’allumettes, de savons et de bougies. Au moment de l’annexion à Paris en 1860, a débuté la construction des célèbres abattoirs et du marché aux bestiaux, dont subsistent encore aujourd’hui quelques traces…
CC BY 2.0, Guilhem Vellut
VaugirardAussi étonnant que cela puisse paraître, l’espace reliant aujourd’hui la porte de Brancion au métro Sèvres-Lecourbe dans le 15ème arrondissement appartenait au village de Vaugirard, réputé au 19ème siècle pour son air pur et… ses navets ! Celui-ci renfermait de nombreuses maisons avec potagers et des cultures maraîchères de grande qualité, avant de se voir investi par des fabriques de carton pâte, bougies, cuir ou de briques. En 1860, au moment de son annexion à Paris, il abritait 37 500 habitantset sa vie s’articulait presque exclusivement autour de la rue Vaugirard.
CC BY-SA 3.0, Ayack
D’autres villages indépendants ont été partiellement intégrés à Paris en 1860 : c’est le cas d’Ivry, un village très industriel dont la population inspira Victor Hugo pour ses personnages des Misérables, la Chapelle Saint-Denis, un village réputé pour ses industries ferroviaires et du secteur métallurgique ou encore celui du Petit Montrouge riche en pépinières et moulins à farine.Le quartier s’étendant aujourd’hui du métro Corvisart au parc Montsouris appartenait avant 1860 à Gentilly, un village situé au bord de la Bièvre où l’on trouvait de belles propriétés ainsi que des fermes, alors que les Ternes, actuel quartier du 17ème arrondissement, se trouvait dans un village éponyme bien pourvu en teintureries, blanchisseries et établissements horticoles.
30 juin 2010 : inauguration du sanctuaire de la Salette, après rénovation par le Conseil Général de Vendée, propriétaire des lieux.
A 16 h 30 messe dans la prairie, au bord de la rivière et face au site nouvellement restaurée; cette messe présidée par Mgr Alain Castet, évêque de Luçon. La chorale de la Rabatelière soutenait le chant de l'assemblée.
A l'issue de cette célébration le conseiller général Wilfried Montassier invitait le public à visiter l'ensemble du site rénové, avant de se retrouver près du podium pour les discours d'usage.
--------------------------------------------------------------------------------- UN ETONNANT DOMAINE : présentation d'après le dépliant remis aux pélerins, avant les travaux :
A l'origine des constructions du DOMAINE de LA SALETTE, l'abbé Elie HILLAIRET, originaire de Venansault, en Vendée, et qui fut curé de La Rabatelière du 11 mars 1873 au 5 mai 1908 où il mourut. LA SALETTE de LA RABATELIERE est un curieux et imposant ensemble qui s'élève dans un cadre admirable du bocage vendéen. De grands arbres revêtent les coteaux jusqu'à l'éboulis des roches et un ruisseau gambadeau creux du vallon, avec de gracieux méandres. L'impression dominante évoque l'art mauresque, avec ses tours crénelées de briques rouges, ces porches arrondis, ce donjon carré, ces dizaines de tourellesqui s'accrochent à chaque palier.
La pièce principale de ce tryptique monumental rappelle les APPARITIONS deNOTRE-DAME à LA SALETTE, dans les Alpes dauphinoises, le 19 SEPTEMBRE 1846.
Trois groupes s'étagent, reliés par de larges escaliers de pierres.
Au premier plan, la Vierge en pleurs apparaît aux jeunes bergers;au second, c'est le dialogue de Marie avec Maximin et Mélanie; au sommet, la Vierge s'élève devant les enfants qui tendent les bras dans un geste de sublime adieu.
Ces statues de délicate facture sont de grandeur nature. Ce premier monument fut béni le 23 Septembre 1888 par l'abbé de Suyrot, missionnaire apostolique. L'année suivante, l'Abbé Hillairet faisait édifier, dans la pente, 15 petits oratoires marqués aux mystères du Rosaire; puis il couronna ce premier monument de la haute tour de briques portant à son sommet une croix rayonnante. Inauguré le 23 octobre 1889, cette journée réunit 25.000 personnes. Enfin, un troisième monument vint s'ajouter à la colline : une tour massive, dressée sur un plateau de rocaille et dite "Tour de la CROIX de JERUSALEM". Des tours d'angle l'épaulent, formant chemin de ronde au premier palier. Au-dessous, s'ouvre une crypte, creusée en forme de tombeau, qui renferme une statue du Christ, enveloppé d'un linceul et sur lequel veillent deux anges. A l'étage, la salle est immense par son élévation. Dans cette salle et appuyée sur le mur du fond, unecroix de bois de 7 mètres de haut, taillée dans le coeur d'un chêne du parc voisin, avec, de chaque côté, deux statues, édifiée dans la sensibilité de l'époque : la Vendée et la Religion se donnent la main. Sur le socle des débris d'armes des combats des guerres de Vendée. CETTE CROIX a son histoire. Façonnée dans le plus bel arbre ornant le parc duchâteau de Mr de la Poëze à la Rabatelière, elle fut envoyée en Palestine en 1893 et y fut portée à dos de pélerins, lors du congrès international de cette année-là. Elle parcourut ainsi la voie douloureuse « via dolora » dans la vieille ville de Jérusalem et stationna près de la basilique du Saint Sépulchre.
Elle revint en Vendée par le train. Une procession l'alla quérir en gare de l'Herbergement, curé et maire en tête, et elle fut ramenée à La Rabatelière, c'est-à-dire sur 13 kilomètres, portée par les hommes de laparoisse, cheminant pieds nus au chant des cantiques.
Plus tard, un CHEMIN de CROIX vint s'ajouter sur la colline, qui fut refait,et bénit le 19 Septembre 1965. Il égrène ses 14 stations à flanc de coteau, partant de la route d'accès pour monter jusqu'à la grande Croix de Jérusalem. Chaque année le PELERINAGE de LA SALETTE et de LA CROIX de JERUSALEM continue à rassembler de nombreux pélerins le 1er DIMANCHE de SEPTEMBRE. (messe à 10 h 30 sur le site).
Varanasi, la capitale spirituelle de l’Inde – un lieu où les gens viennent de partout dans le pays pour respirer le dernier moment de leurs défunts etimmerger les cendres dans le Gange sacré pour le début d’une nouvelle vie.
Seins volumineux, affaissés, refaits, petits, ronds... Pas évident de trouver le modèle de soutien-gorge qui convient le mieux. D'ailleurs, huit femmes sur dix ne portent pas le bon soutien-gorge, rappelle Mélanie Méroz... Elle est corsetière à la boîte de stylistes Les Effrontés. Elle donne quelques conseils pour mieux choisir ce sous-vêtement. Six Pistes Pour...Bien...Choisir...Erreur Commune...Pour ne pas se sentir serrées, les femmes choisissent souvent la bande de contour trop grande au lieu d'opter pour un plus grand bonnet», constate Mélanie Méroz des Effrontés. Résultat...on crée un déséquilibre. Le soutien-gorge remonte dans le dos et les bretelles risquent de tomber. À noter: ce n'est pas parce que le soutien-gorge ne fait pas de bourrelet qu'on a choisi la bonne taille ! Car il faut considérer toute sa silhouette: la forme des épaules, du tronc,des hanches, l'arche sous le bras, la forme et la circonférence des seins. À savoir aussi: en augmentant la lettre, on augmente également le tour de dos. La bande de contour d'un 34C sera donc plus grande que celle d'un 34B. Mieux vaut augmenter la lettre pour mieux enrober le sein. Pour Plus De Rondeur Pour mettre en valeur la rondeur de la poitrine et maximiser le confort, l'armature doit faire le tour du sein. Si l'armature nous dérange, on change de modèle ou de taille. Et le sein ne doit pas déborder. Petit truc: quand on lève les bras, le soutien-gorge doit rester en place. S'il bouge, c'est qu'on n'a pas choisi la bonne coupe, que la bande de contour est trop grande ou que le bonnet est trop petit. En cabine, on place le sein dans le bonnet en se penchant vers l'avant pour bien l'emboîter. «Il ne se placera pas tout seul !», prévient Mélanie Méroz. Le bonnet mousse avantagera aussi la rondeur du sein, mais ne donnera pas plus de volume. Test Du Doigt On doit pouvoir passer un doigt sous les bretelles et sous la bande de contour sans que ce soit trop serré ou trop ample. Car le matériel va s'étirer, surtout si c'est de la dentelle. Dès le premier essai, on devrait attacher aisément le soutien-gorge sur l'agrafe du milieu. Aussi, il ne faut pas voir de plis sur la bande de contour. Combien En Avoir ? «On devrait avoir au moins cinq soutiens-gorges», conseille Mélanie Méroz. Quatre pour tous les jours et un pour faire du sport. Il faut les laver souvent et ne pas porter le même cinq jours de suite. On opte d'abord pour les classiques en noir et beige, puis on ose ensuite la couleur. Pour se les procurer, il n'est pas nécessaire de se rendre dans les boutiques spécialisées. Les magasins à grande surface, offrent un très vaste choix. «On peut trouver un beau soutien-gorge de qualité à partir de 35€.» Seins Refaits Nombreuses sont les femmes qui ont recours à une augmentation mammaire. «C'est vraiment une tendance», affirme Mélanie Méroz. Mais contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas toujours plus facile pour elles de trouver le bon soutien-gorge. Car les seins refaits sont rigides et ne bougent pas. Pas évident de les rapprocher pour créer un plus beau décolleté, par exemple. Certaines croient aussi qu'elles n'auront plus à porter de soutien-gorge. Mais comme le sein est devenu lourd avec la prothèse, elles n'ont souvent pas le choix. Quant à la taille, la chirurgie peut réserver des surprises. «Certaines femmes croyaient devenir un B, mais en tenant compte de leur silhouette, il m'est arrivé de leur annoncer qu'elles faisaient plutôt du double D», souligne Mélanie Méroz. Les modèles demi-balconnet ou en dentelle vont bien faire aux poitrines refaites. Par contre, contrairement à un sein naturel, le choix sera limité dans les modèles de bonnets mousse, bien pratiques pour camoufler le mamelon. Nouvelle Technologie Dernière nouveauté: les soutiens-gorges intelligents, dotés d'une mémoire vive, en mousse. Tel un matelas à mémoire, ils moulent et prennent la forme des seins, en plus d'être très confortables. On en trouve entre autres dans la marque française Chantelle . Avantager Sa Silhouette Que vous ayez de fortes hanches, de petites épaules ou encore des épaules carrées, le choix du soutien-gorge avantage la silhouette ou luinuit. Ainsi, si on est forte des hanches, on évite de porter un soutien-gorge qui rapprochera trop les seins. Comment Prendre Ses Mesures ? Quelques trucs de base peuvent nous orienter vers la bonne taille. 1. Bande De Contour Pour connaître la taille de sa bande de contour, on fait le tour de son dos avec un galon à mesurer que l'on place juste sous le buste. Puis, on ajoute 10 cms au chiffre. Si on obtient un chiffre impair, on rajoute 2,5 cms. 2. Quelle Lettre ? Pour déterminer la taille du bonnet, on mesure le tour du buste en plaçant le galon sur la partie la plus volumineuse de la poitrine, sans trop serrer. À ce chiffre, on soustrait la mesure du tour du dos. 2,5 cms d'écart correspond à un A. 5 cms d'écart à un B, 7,5 cms d'écart à un C, etc. Mais attention, cette mesure n'est pas forcément exacte. Pour savoir si on a vraiment choisi la bonne taille, on s'assure que le soutien-gorge ne bouge pas quand on lève les bras et on fait le test du doigt. 3. L'équivalence Parfois, les vendeuses parlent de tailles équivalentes, en disant par exemple qu'un 34C équivaut à un 36B. Mais ce n'est pas une règle générale à suivre. «Si on porte vraiment un 34, on ne rentrera pas de la même façon dans un 36. C'est rare que ça fonctionne», soutient Mélanie Méroz. 4. Pigeonnant Avis à celles qui ont une petite poitrine, si on veut porter un pigeonnant, on choisit un bonnet plus grand. Car le sein se placera au-dessus du pigeonnant et aura donc besoin de plus d'espace. Dans ce cas, même si on est un 34A, on choisit un 34B. Et on évite les soutiens-gorges trop rembourrés. Car le sein risque de déborder, ce qui fera une bosse disgracieuse sous le chandail. D'ailleurs, en cabine, on pense à enfiler ses vêtements pour vérifier le look. 5. Pas De Taille Universelle On ne peut malheureusement pas se fier à une seule taille. D'une marque à l'autre, on risque de ne pas porter la même. Tout comme au fil des ans, la forme du sein changera. Il est donc important de s'ajuster. À retenir...Quand un modèle d'une marque ne nous va pas, on la laisse tomber complètement. Aussi, les marques européennes ont des soutiens-gorges plus petits que les marques américaines. Pas le choix, donc: il faut essayer les modèles pour trouver ce qui nous convient. Une fois que l'on trouve une marque qui nous fait parfaitement bien, qui nous avantage et qui est confortable, mieux vaut y être fidèle.
Lacets de Montvernier en Savoie, Auvergne-Rhône-Alpes.
Cette route est certes incroyablement photogénique, mais elle est avant tout l’un des grands défis cyclistes français : les “Lacets de Montvernier”. Dix-sept, c’est le nombre de virages en épingle que compte cette portion de la départementale 77b qui relie les petites communes de Pontamafrey àMontvernier en Savoie. Il aura fallu au total six ans de travaux, de 1928 à 1934, pour venir à bout des 400 mètres de dénivelé de ce chantiertitanesque. La renommée de cette route est telle que sa photo a figuré dans les livres de géographie pendant une cinquantaine d’années. Aujourd’hui, elle est autant connue chez les photographes que les cyclistes et les fans du Tour de France. Elle était en effet l’une des stars de l’édition 2015 de l’épreuve sportive.
1904 : Naissance à à Figueras (Espagne) de Salvador Dali i Domènech, dit Salvador Dali, artiste-peintre espagnol. Connu pour des œuvres telles que "La persistance de la mémoire" ou le "Torero hallucinogène", il est l'une des figure du surréalisme.
1947 : Ferrari participe à sa première course. La 125 S rouge s'élance sur le circuit italien de Piacenza, mais sera contrainte à l'abandon. Le concepteur Enzo Ferrari avait rompu peu avant sa collaboration avec Alfa Romeo
1952 : Naissance à Paris du chanteur-compositeur français Renaud Séchan, dit Renaud. Durant sa carrière il interprète des succès tels que Mistral gagnant ou Marche à l'ombre
1960 : Capture à Buenos Aires (Argentine) d'Adolf Eichmann, exécuteur de la "solution finale" durant la Seconde guerre mondiale, par un commando du Mossad. Il sera jugé puis exécuté en Israël
1981 : Le chanteur jamaïcain de reggae Bob Marley décède à Miami (Floride) d'un cancer à l'âge de 36 ans. Figure de proue du mouvement rastafari, il sera l'auteur de tubes tels que No woman no cry ou Get up, stand up
1987 : Le procès de Klaus Barbie débute. Cet ancien officier SS est le premier nazi jugé en France pour la déportation de juifs de la région lyonnaise. Il sera condamné deux mois plus tard à la prison à perpétuité pour crime contre l'humanité
1998 : Le premier euro est frappé à l'atelier de Pessac en Gironde (France). La monnaie européenne sera mise en circulation le 1er janvier 2002
1960 : Lancement du Paquebot "France" À Saint-Nazaire, au cours d'une cérémonie grandiose le paquebot France est lancé.
"Mme De Gaulle, marraine du navire, coupe le ruban qui retient la bouteille de champagne. À 16h15, le magnum de six litres se brise sur l'étrave et France se met en mouvement 11 mai 1865 : ouverture du magasin Le Printemps
Le 11 mai 1865 ouvre à l'orée de Paris, sur les Grands Boulevards, près de la gare Saint-Lazare, un grand magasin qui va devenir un pôle d’attraction pour le monde entier : Le Printemps. À l’origine de ce projet, on trouve un ancien vendeur de vêtements pour dames, Jules Jaluzot, qui a su investir à bon escient la dot de sa jeune épouse. Dix ans plus tôt sont apparus Le Bon Marché et les Les grands magasins du Louvre. La même année que Le Printemps, alors que le Second Empire brille de tous ses feux, naît aussi La Samaritaine, en plein coeur de la capitale, sur les bords de la Seine. Chefs-d’oeuvre de l’Art nouveau, le bâtiment actuel du Printemps et sa grande coupole en vitrail sont érigés en 1908. Le Printemps est aujourd’hui une étape incontournable pour toute visite de la capitale 11 mai 330 : Naissance de la future Constantinople
Le 11 mai 330, l'empereur Constantin donne une nouvelle capitale à l'empire romain sous le nom officiel de «Nouvelle Rome». Cette cité prendra le nom de l'empereur après la mort de celui-ci. C'est sous ce nom, Constantinopolis ou Constantinople , qu'elle restera dans l'Histoire.
Aujourd'hui 11 mai ,1er jour des saints de glaces néanmoins nous fêtons les Estelle veut créer, innover et réussit brillamment lorsqu'elle fait confiance à sa chance.
Très disponible aux autres, Estelle est ouverte à la modernité mais consciente des nécessités de la tradition.
Franche, directe, respectueuse mais vulnérable, Estelle ne manque pas de courage.
Estelle sera très attentive pour l'homme qu'elle aime et une bonne épouse.
Telle une vénusienne, Estelle est gracieuse et charme par sa simplicité et sa discrétion. Gare s'il gèle à la sainte-Estelle. Aux trois Saints de glace, fais toujours face.
En tant que pièce d'accompagnement de son court-métrage de 2012 "Fall", le cinéaste Jamie Scott a passé les trois dernières années à filmer une grande variété de fleurs dans ce défilé apparemment interminable de bourgeons débouchant sur des fleurs intitulées "Spring".
Le film entier a été tourné sur un petit Mini-scène à l'intérieur de l'armoire de sa maison de New York, et les résultats sont cousus ensemble dans ce délai sans fin.Les visuels et la musique ont été créés en tandem avec le compositeur Jim Perkins qui a reçu des modifications et a écrit la musique en conséquence.
Vous souffrez régulièrement de migraines ? Vos journées passées derrière un bureau n’épargnent pas votre dos ?
Vos soirées alcoolisées se soldent presque toujours par une vilaine gueule de bois ?
Ne vous ruez pas illico presto vers vos antidouleurs, car d’après une étude très sérieuse, la solutionse trouverait… dans une pinte de bière. Et ce n’est pas une blague.
Crédit photo : Shutterstock - pintes de bière - Syda Productions
En effet, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Greenwich au Royaume-Uni et parue en décembre 2016 dans la revue scientifique The Journal of Pain confirme que la consommation de deux pintes de la mythique boisson alcoolisée réduirait significativement nos douleurs et augmenterait notre seuil de tolérance à la souffrance de 25% environ.
Cette fameuse étude, qui s’appuie sur les données de 18 travaux menés dans les quatre coins du monde sur un panel composé de 400 personnes, confirme le postulat selon lequel la consommation de deux pintes de bières aurait des vertus analgésiques semblables, sinon plus importantes que celles d’un comprimé de paracétamol, soit un taux d’alcoolémie de 0.08 grammes par litre de sang.
Les effets stimulants, tranquillisants, excitants de l’alcool ne sont certes plus à prouver : autrefois, les médecins l’utilisaient même pour calmer les douleurs et faire tomber la fièvre. Mais l’étude des chercheurs de l’Université de Greenwich semble avancer d’autres hypothèses pertinentes : l’alcool, malgré ses conséquences néfastes sur la santé sur un long terme, serait composé de vertus analgésiques réelles qui expliqueraient facilement la consommation excessive d’alcool chez les individus qui souffrent de douleurs chroniques.
D’après le docteur Trevor Thompson, responsable de l’étude susmentionnée, la bière serait aisément comparable aux « opiacés comme la codéine ». De quoi conforter les chercheurs dans la réalisation d’études plus poussées afin de mettre au point un nouveau médicament antidouleurs dépourvu d’effets secondaires dangereux pour l’organisme.
« Si nous arrivions à produire un médicament sans les effets secondaires néfastes de l’alcool, alors nous disposerions de quelque chose de plus efficace que ce qui existe aujourd’hui » déclare le médecin au quotidien britannique The Independent.
Mais à l’heure actuelle, si les études menées sont pleines de promesses pour l’avenir, l’abus d’alcool reste dangereux pour la santé : il est primordial de le consommer avec modération.
1860… Amoureux de Paris, retenez bien cette date.
C’est en effet cette année-là que la capitale a vu son destin une nouvelle fois basculer, sous l’impulsion du baron Haussmann qui lui a définitivement offert un tout autre visage.
De 12 arrondissements, Paris est alors passé à 20, en grapillant le territoire de onze villages des faubourgs jusqu’aux fortifications édifiées par Thiers en 1844.
Partons sur les traces de ces quartiers parisiens qui furent des villages, et dont l’atmosphère trahit parfois encore le passé.
Montmartre S’il est le quartier le plus emblématique de Paris aux yeux de la plupart des touristes, Montmartre n’a pourtant été intégré à la capitale qu’en 1860.
À ce moment-là, il s’agissait d’un village de 36 000 âmes où les belles maisons et les cabanes en bois et plâtre d’artistes maudits et de sans-abris se partageaient le terrain, et où les moulins profitaient du vent d’altitude pour moudre le blé.
L’endroit était également prisé pour ses cabarets et ses carrières de gypse…
©Paris Zigzag / Wassila Djellouli
Bercy Au milieu du 19ème siècle, Bercy faisait figure de plus vaste marché de vins d’Europe.
Pour les grossistes qui souhaitaient ravitailler Paris, impossible de passer le port de la Rapée sans payer une taxe.
C’est pour cette raison que le quartier de Bercy, situé à proximité, devint un lieu d’entrepôt idéal.
On en retrouve encore quelques vestiges, comme les chais du Cour Saint-Émilion et le bâtiment abritant actuellement le Musée des Arts Forains.
Cette activité permit aussi à de nombreuses guinguettes populaires de voir le jour.
Passy Avant d’être un quartier cossu du 16ème arrondissement, Passy était un village agréable, qui fit même longtemps office de lieu de villégiature.
Prairies, chateaux à tourelles, belles demeures bourgeoises, on y venait profiterd’une atmosphère campagnarde, encore palpable aujourd’hui si l’on s’aventure dans la rue Berton.
Le village avait aussi hérité d’une dimension mystique puisqu’à la fin du XVème siècle, des moines minimes charmés par ses vignes et sa belle vue,y avaient fait installer leur couvent.
CC BY-SA 3.0, Franek2
Belleville et Ménilmontant Indépendante jusqu’en 1860, Belleville était plus qu’un village puisque son nombre important d’habitants la hissait au rang de 13ème ville de France !
Populaire et habitée par de nombreux ouvriers des carrières des actuelles Buttes Chaumont, elle attirait les fêtards parisiens qui venaient profiter de ses guinguettes et de ses vignes.
Quelques siècles auparavant, sa situation en hauteur et ses rues couvertes de lilas, de vignes et ponctuées de petites cascades lui valurent son nom de « Belleville ».
Ménilmontant, quartier actuel du 20ème arrondissement de Paris, en était un hameau.
Rue des Cascades à Ménilmontant CC BY-SA 3.0, Mbzt
Charonne Il n’en reste aujourd’hui qu’une petite (mais charmante) église, un cimetière et deux rues piétonnes, et pourtant, on devine l’atmosphère passée de cet ancien village d’ouvriers et d’artisans d’environ 17 000 habitants.
Longtemps investi par les vignes et les maraîchages, ce village a accueilli au 19ème siècle de nombreuses petites fabriques de colle, d’allumettes, de cuir ou de chapeaux, et surtout la plus grande manufacture de bougies installée alors rue Aumaire.
Il faut également y imaginer une ribambelle de guinguettes très populaires où l’on buvait du vin deux fois moins coûteux qu’à Paris.
CC BY-SA 3.0, Pol
Auteuil Jusqu’à la fin du 19ème siècle et son annexion partielle à Paris, le village d’Auteuil jouissait d’une atmosphère très campagnarde.
Attirés par sa tranquillité, son exposition très ensoleillée et la proximité du Bois de Boulogne, de nombreux bourgeois et nobles y posèrent leurs valises.
Aujourd’hui encore, ce qui est devenu un quartier du 16ème arrondissement transformé par l’urbanisme et les réalisations Art Nouveau de Guimard, est très huppé.
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Batignolles Une balade au square des Batignolles nous donne le sentiment de prendre une bouffée d’oxygène comme rarement dans Paris, et pour cause : au début du XIXème siècle, ce village était réputé pour la pureté de son air !
Un grand médecin, Charles François Lemercier, y avait même fait installer sa maison de santé.
Avant qu’il soit annexé à Paris en 1860, on y trouvait une mairie, une église, la toujours actuelle Sainte-Marie des Batignolles, un marché et également un théâtre pour se divertir.
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Grenelle Avant d’être ce quartier parisien niché entre les métros Dupleix et Javel, Grenelle était une commune du département de la Seine créée en 1830, qui abritait des maisons bourgeoises mais également des fabriques de fer, de
platine, de poudres de chasse ou encore d’encre.
Avec la construction du quartier d’affaires Beaugrenelle et de ses hauts immeubles, peu de traces subsistent de ce passé villageois, hormisquelques devantures de la rue du Commerce et la petite église Saint-Jean Baptiste.
CC BY 3.0, Peter Potrowl
La Villette difficile de l’imaginer lorsque l’on s’y balade aujourd’hui, mais la Villette était il y a quelques siècles un village doté de nombreuses vignes, vergers et de couvents.
Une grande sécheresse obligea Napoléon à y faire construire un canal, transformant l’activité du village qui attira dès lors des industries, ou des fabriques d’allumettes, de savons et de bougies.
Au moment de l’annexion à Paris en 1860, a débuté la construction des célèbres abattoirs et du marché aux bestiaux, dont subsistent encore aujourd’hui quelques traces…
CC BY 2.0, Guilhem Vellut
Vaugirard Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’espace reliant aujourd’hui la porte de Brancion au métro
Sèvres-Lecourbe dans le 15ème arrondissement appartenait au village de Vaugirard, réputé au 19ème siècle pour son air
pur et… ses navets !
Celui-ci renfermait de nombreuses maisons avec potagers et des cultures maraîchères de grande qualité, avant de se voir investi par des fabriques de carton pâte, bougies, cuir ou de briques.
En 1860, au moment de son annexion à Paris, il abritait 37 500 habitantset sa vie s’articulait presque exclusivement autour de la rue Vaugirard.
CC BY-SA 3.0, Ayack
D’autres villages indépendants ont été partiellement intégrés à Paris en 1860 : c’est le cas d’Ivry, un village très industriel dont la population inspira Victor Hugo pour ses personnages des Misérables, la Chapelle Saint-Denis, un village réputé pour ses industries ferroviaires et du secteur métallurgique ou encore celui du Petit Montrouge riche en pépinières et moulins à farine.Le quartier s’étendant aujourd’hui du métro Corvisart au parc Montsouris appartenait avant 1860 à Gentilly, un village situé au bord de la Bièvre où l’on trouvait de belles propriétés ainsi que des fermes, alors que les
Ternes, actuel quartier du 17ème arrondissement, se trouvait dans un village éponyme bien pourvu en teintureries, blanchisseries et établissements horticoles.
SANCTUAIRE DE LA SALETTE rénové à la Rabatelière.
30 juin 2010 : inauguration du sanctuaire de la Salette, après rénovation par le Conseil Général de Vendée, propriétaire des lieux.
A 16 h 30 messe dans la prairie, au bord de la rivière et face au site nouvellement restaurée; cette messe présidée par Mgr Alain Castet, évêque de Luçon. La chorale de la Rabatelière soutenait le chant de l'assemblée.
A l'issue de cette célébration le conseiller général Wilfried Montassier invitait le public à visiter l'ensemble du site rénové, avant de se
retrouver près du podium pour les discours d'usage.
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UN ETONNANT DOMAINE : présentation d'après le dépliant remis aux pélerins, avant les travaux :
A l'origine des constructions du DOMAINE de LA SALETTE, l'abbé Elie HILLAIRET, originaire de Venansault, en Vendée, et qui fut curé de La Rabatelière du 11 mars 1873 au 5 mai 1908 où il mourut.
LA SALETTE de LA RABATELIERE est un curieux et imposant ensemble qui s'élève dans un cadre admirable du bocage vendéen. De grands arbres revêtent les coteaux jusqu'à l'éboulis des roches et un ruisseau gambadeau creux du vallon, avec de gracieux méandres.
L'impression dominante évoque l'art mauresque, avec ses tours crénelées de briques rouges, ces porches arrondis, ce donjon carré, ces dizaines de tourellesqui s'accrochent à chaque palier.
La pièce principale de ce tryptique monumental rappelle les APPARITIONS deNOTRE-DAME à LA SALETTE, dans les Alpes dauphinoises, le 19 SEPTEMBRE 1846.
Trois groupes s'étagent, reliés par de larges escaliers de pierres.
Au premier plan, la Vierge en pleurs apparaît aux jeunes bergers;au second, c'est le dialogue de Marie avec Maximin et Mélanie; au sommet, la Vierge s'élève devant les enfants qui tendent les bras dans un geste de sublime adieu.
Ces statues de délicate facture sont de grandeur nature. Ce premier monument fut béni le 23 Septembre 1888 par l'abbé de Suyrot,
missionnaire apostolique.
L'année suivante, l'Abbé Hillairet faisait édifier, dans la pente, 15 petits oratoires marqués aux mystères du Rosaire; puis il couronna ce premier monument de la haute tour de briques portant à son sommet une croix rayonnante.
Inauguré le 23 octobre 1889, cette journée réunit 25.000 personnes.
Enfin, un troisième monument vint s'ajouter à la colline : une tour massive, dressée sur un plateau de rocaille et dite "Tour de la CROIX de JERUSALEM".
Des tours d'angle l'épaulent, formant chemin de ronde au premier palier.
Au-dessous, s'ouvre une crypte, creusée en forme de tombeau, qui renferme une statue du Christ, enveloppé d'un linceul et sur lequel
veillent deux anges.
A l'étage, la salle est immense par son élévation. Dans cette salle et appuyée sur le mur du fond, unecroix de bois de 7 mètres de haut, taillée dans le coeur d'un chêne du parc voisin, avec, de chaque côté, deux statues, édifiée dans la sensibilité de l'époque : la Vendée et la Religion se donnent la main. Sur le socle des débris d'armes des combats des guerres de Vendée.
CETTE CROIX a son histoire. Façonnée dans le plus bel arbre ornant le parc duchâteau de Mr de la Poëze à la Rabatelière, elle fut envoyée en Palestine en 1893 et y fut portée à dos de pélerins, lors du congrès international de cette année-là. Elle parcourut ainsi la voie douloureuse « via dolora » dans la vieille ville de Jérusalem et stationna près de la basilique du Saint Sépulchre.
Elle revint en Vendée par le train. Une procession l'alla quérir en gare de l'Herbergement, curé et maire en tête, et elle fut ramenée à La Rabatelière, c'est-à-dire sur 13 kilomètres, portée par les hommes de laparoisse, cheminant pieds nus au chant des cantiques.
Plus tard, un CHEMIN de CROIX vint s'ajouter sur la colline, qui fut refait,et bénit le 19 Septembre 1965. Il égrène ses 14 stations à flanc de coteau, partant de la route d'accès pour monter jusqu'à la grande Croix de Jérusalem.
Chaque année le PELERINAGE de LA SALETTE et de LA CROIX de JERUSALEM continue à rassembler de nombreux pélerins le 1er DIMANCHE de SEPTEMBRE. (messe à 10 h 30 sur le site).
CLIC ICI.......https://vimeo.com/216306429
Varanasi, la capitale spirituelle de l’Inde – un lieu où les gens viennent de partout dans le pays pour respirer le dernier moment de leurs défunts etimmerger les cendres dans le Gange sacré pour le début d’une nouvelle vie.
Nadielle Kutlu
La Presse
Seins volumineux, affaissés, refaits, petits, ronds...
Pas évident de trouver le modèle de soutien-gorge qui convient le mieux.
D'ailleurs, huit femmes sur dix ne portent pas le bon soutien-gorge, rappelle Mélanie Méroz...
Elle est corsetière à la boîte de stylistes Les Effrontés.
Elle donne quelques conseils pour mieux choisir ce sous-vêtement.
Six Pistes Pour...Bien...Choisir...Erreur Commune... Pour ne pas se sentir serrées, les femmes choisissent souvent la bande de contour trop grande au lieu d'opter pour un plus grand bonnet», constate Mélanie Méroz des Effrontés.
Résultat...on crée un déséquilibre. Le soutien-gorge remonte dans le dos et les bretelles risquent de tomber.
À noter: ce n'est pas parce que le soutien-gorge ne fait pas de bourrelet qu'on a choisi la bonne taille !
Car il faut considérer toute sa silhouette: la forme des épaules, du tronc,des hanches, l'arche sous le bras, la forme et la circonférence des seins.
À savoir aussi: en augmentant la lettre, on augmente également le tour de dos.
La bande de contour d'un 34C sera donc plus grande que celle d'un 34B.
Mieux vaut augmenter la lettre pour mieux enrober le sein.
Pour Plus De Rondeur
Pour mettre en valeur la rondeur de la poitrine et maximiser le confort, l'armature doit faire le tour du sein.
Si l'armature nous dérange, on change de modèle ou de taille. Et le sein ne doit pas déborder.
Petit truc: quand on lève les bras, le soutien-gorge doit rester en place.
S'il bouge, c'est qu'on n'a pas choisi la bonne coupe, que la bande de contour est trop grande ou que le bonnet est trop petit.
En cabine, on place le sein dans le bonnet en se penchant vers l'avant pour bien l'emboîter.
«Il ne se placera pas tout seul !», prévient Mélanie Méroz.
Le bonnet mousse avantagera aussi la rondeur du sein, mais ne donnera pas plus de volume.
Test Du Doigt
On doit pouvoir passer un doigt sous les bretelles et sous la bande de contour sans que ce soit trop serré ou trop ample. Car le matériel va s'étirer, surtout si c'est de la dentelle.
Dès le premier essai, on devrait attacher aisément le soutien-gorge sur l'agrafe du milieu.
Aussi, il ne faut pas voir de plis sur la bande de contour.
Combien En Avoir ?
«On devrait avoir au moins cinq soutiens-gorges», conseille Mélanie Méroz.
Quatre pour tous les jours et un pour faire du sport.
Il faut les laver souvent et ne pas porter le même cinq jours de suite. On opte d'abord pour les classiques en noir et beige, puis on ose ensuite la couleur.
Pour se les procurer, il n'est pas nécessaire de se rendre dans les boutiques spécialisées.
Les magasins à grande surface, offrent un très vaste choix.
«On peut trouver un beau soutien-gorge de qualité à partir de 35€.»
Seins Refaits
Nombreuses sont les femmes qui ont recours à une augmentation mammaire. «C'est vraiment une tendance», affirme Mélanie Méroz.
Mais contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas toujours plus facile pour elles de trouver le bon soutien-gorge. Car les seins refaits sont rigides et ne bougent pas.
Pas évident de les rapprocher pour créer un plus beau décolleté, par exemple. Certaines croient aussi qu'elles n'auront plus à porter de soutien-gorge.
Mais comme le sein est devenu lourd avec la prothèse, elles n'ont souvent pas le choix. Quant à la taille, la chirurgie peut réserver des surprises.
«Certaines femmes croyaient devenir un B, mais en tenant compte de leur silhouette, il m'est arrivé de leur annoncer qu'elles faisaient plutôt du double D», souligne Mélanie Méroz.
Les modèles demi-balconnet ou en dentelle vont bien faire aux poitrines refaites.
Par contre, contrairement à un sein naturel, le choix sera limité dans les modèles de bonnets mousse, bien pratiques pour camoufler le mamelon.
Nouvelle Technologie
Dernière nouveauté: les soutiens-gorges intelligents, dotés d'une mémoire vive, en mousse. Tel un matelas à mémoire, ils moulent et prennent la forme des seins, en plus d'être très confortables. On en trouve entre autres dans la marque française Chantelle .
Avantager Sa Silhouette
Que vous ayez de fortes hanches, de petites épaules ou encore des épaules carrées, le choix du soutien-gorge avantage la silhouette ou luinuit. Ainsi, si on est forte des hanches, on évite de porter un soutien-gorge qui rapprochera trop les seins.
Comment Prendre Ses Mesures ?
Quelques trucs de base peuvent nous orienter vers la bonne taille.
1. Bande De Contour
Pour connaître la taille de sa bande de contour, on fait le tour de son dos avec un galon à mesurer que l'on place juste sous le buste. Puis, on ajoute 10 cms au chiffre. Si on obtient un chiffre impair, on rajoute 2,5 cms.
2. Quelle Lettre ?
Pour déterminer la taille du bonnet, on mesure le tour du buste en plaçant le galon sur la partie la plus volumineuse de la poitrine, sans trop serrer. À ce chiffre, on soustrait la mesure du tour du dos. 2,5 cms d'écart correspond à un A.
5 cms d'écart à un B, 7,5 cms d'écart à un C, etc. Mais attention, cette mesure n'est pas forcément exacte.
Pour savoir si on a vraiment choisi la bonne taille, on s'assure que le soutien-gorge ne bouge pas quand on lève les bras et on fait le test du doigt.
3. L'équivalence
Parfois, les vendeuses parlent de tailles équivalentes, en disant par exemple qu'un 34C équivaut à un 36B. Mais ce n'est pas une règle générale à suivre. «Si on porte vraiment un 34, on ne rentrera pas de la même façon dans un 36. C'est rare que ça fonctionne», soutient Mélanie Méroz.
4. Pigeonnant
Avis à celles qui ont une petite poitrine, si on veut porter un pigeonnant, on choisit un bonnet plus grand. Car le sein se placera au-dessus du pigeonnant et aura donc besoin de plus d'espace.
Dans ce cas, même si on est un 34A, on choisit un 34B. Et on évite les soutiens-gorges trop rembourrés. Car le sein risque de déborder, ce qui fera une bosse disgracieuse sous le chandail.
D'ailleurs, en cabine, on pense à enfiler ses vêtements pour vérifier le look.
5. Pas De Taille Universelle
On ne peut malheureusement pas se fier à une seule taille. D'une marque à l'autre, on risque de ne pas porter la même. Tout comme au fil des ans, la forme du sein changera. Il est donc important de s'ajuster.
À retenir...Quand un modèle d'une marque ne nous va pas, on la laisse tomber complètement.
Aussi, les marques européennes ont des soutiens-gorges plus petits que les marques américaines.
Pas le choix, donc: il faut essayer les modèles pour trouver ce qui nous convient.
Une fois que l'on trouve une marque qui nous fait parfaitement bien, qui nous avantage et qui est confortable, mieux vaut y être fidèle.
Cette route est certes incroyablement photogénique, mais elle est avant tout l’un des grands défis cyclistes français : les “Lacets de Montvernier”.
Dix-sept, c’est le nombre de virages en épingle que compte cette portion de la départementale 77b qui relie les petites communes de Pontamafrey àMontvernier en Savoie. Il aura fallu au total six ans de travaux, de 1928 à 1934, pour venir à bout des 400 mètres de dénivelé de ce chantiertitanesque. La renommée de cette route est telle que sa photo a figuré dans les livres de géographie pendant une cinquantaine d’années.
Aujourd’hui, elle est autant connue chez les photographes que les cyclistes et les fans du Tour de France. Elle était en effet l’une des stars de l’édition 2015 de l’épreuve sportive.
1904 : Naissance à à Figueras (Espagne) de Salvador Dali i Domènech, dit Salvador Dali, artiste-peintre espagnol.
Connu pour des œuvres telles que "La persistance de la mémoire" ou le "Torero hallucinogène", il est l'une des figure du surréalisme.
1947 : Ferrari participe à sa première course.
La 125 S rouge s'élance sur le circuit italien de Piacenza, mais sera contrainte à l'abandon. Le concepteur Enzo Ferrari avait rompu peu avant sa collaboration avec Alfa Romeo
1952 : Naissance à Paris du chanteur-compositeur français Renaud Séchan, dit Renaud.
Durant sa carrière il interprète des succès tels que Mistral gagnant ou Marche à l'ombre
1960 : Capture à Buenos Aires (Argentine) d'Adolf Eichmann, exécuteur de la "solution finale" durant la Seconde guerre mondiale, par un commando du Mossad. Il sera jugé puis exécuté en Israël
1981 : Le chanteur jamaïcain de reggae Bob Marley décède à Miami (Floride) d'un cancer à l'âge de 36 ans. Figure de proue du mouvement rastafari, il sera l'auteur de tubes tels que No woman no cry ou Get up, stand up
1987 : Le procès de Klaus Barbie débute.
Cet ancien officier SS est le premier nazi jugé en France pour la déportation de juifs de la région lyonnaise. Il sera condamné deux mois plus tard à la prison à perpétuité pour crime contre l'humanité
1998 : Le premier euro est frappé à l'atelier de Pessac en Gironde (France).
La monnaie européenne sera mise en circulation le 1er janvier 2002
1960 : Lancement du Paquebot "France"
À Saint-Nazaire, au cours d'une cérémonie grandiose le paquebot France est lancé.
"Mme De Gaulle, marraine du navire, coupe le ruban qui retient la bouteille de champagne. À 16h15, le magnum de six litres se brise sur l'étrave et France se met en mouvement
11 mai 1865 : ouverture du magasin Le Printemps
Le 11 mai 1865 ouvre à l'orée de Paris, sur les Grands Boulevards, près de la gare Saint-Lazare, un grand magasin qui va devenir un pôle d’attraction pour le monde entier : Le Printemps.
À l’origine de ce projet, on trouve un ancien vendeur de vêtements pour dames, Jules Jaluzot, qui a su investir à bon escient la
dot de sa jeune épouse. Dix ans plus tôt sont apparus Le Bon Marché et les Les grands magasins du Louvre.
La même année que Le Printemps, alors que le Second Empire brille de tous ses feux, naît aussi La Samaritaine, en plein coeur de la capitale, sur les bords de la Seine.
Chefs-d’oeuvre de l’Art nouveau, le bâtiment actuel du Printemps et sa grande coupole en vitrail sont érigés en 1908. Le Printemps est aujourd’hui une étape incontournable pour toute visite de la capitale
11 mai 330 : Naissance de la future Constantinople
Le 11 mai 330, l'empereur Constantin donne une nouvelle capitale à l'empire romain sous le nom officiel de «Nouvelle Rome». Cette cité prendra le nom de l'empereur après la mort de celui-ci. C'est sous ce nom, Constantinopolis ou Constantinople , qu'elle restera dans l'Histoire.
. Constantin le Grand ci-dessous.
Le centre fut, au Moyen-Âge, un foyer actif de littérature. L'histoire de Meung-sur-Loire en est un bel exemple.
Bordée par la Loire
et traversée par trois rivières, les Mauves,
la ville est l'ancienne résidence des évêques d'Orléans, comme l'atteste le château médiéval.
Deux hommes de lettres l'ont marquée : Jean de Meung, qui y a achevé le "Roman de la Rose", commencé par Guillaume de Lorris,
et François Villon, emprisonné dans le château, avant d'être gracié par Louis XI
néanmoins nous fêtons les
Estelle veut créer, innover et réussit brillamment lorsqu'elle fait confiance à sa chance.
Très disponible aux autres, Estelle est ouverte à la modernité mais consciente des nécessités de la tradition.
Franche, directe, respectueuse mais vulnérable, Estelle ne manque pas de courage.
Estelle sera très attentive pour l'homme qu'elle aime et une bonne épouse.
Telle une vénusienne, Estelle est gracieuse et charme par sa simplicité et sa discrétion.
Gare s'il gèle à la sainte-Estelle.
Aux trois Saints de glace, fais toujours face.
Clic ici...........https://vimeo.com/209497584
En tant que pièce d'accompagnement de son court-métrage de 2012 "Fall", le cinéaste Jamie Scott a passé les trois dernières années à filmer une grande variété de fleurs dans ce défilé apparemment interminable de bourgeons débouchant sur des fleurs intitulées "Spring".
Le film entier a été tourné sur un petit Mini-scène à l'intérieur de l'armoire de sa maison de New York, et les résultats sont cousus ensemble dans ce délai sans fin.Les visuels et la musique ont été créés en tandem avec le compositeur Jim Perkins qui a reçu des modifications et a écrit la musique en conséquence.