Cette incroyable bibliothèque au cadre digne d'un film de science-fiction va faire rêver tous les bibliophiles.
Amateurs de littérature, retenez votre souffle : dans un monde où les nouvelles technologies occupent notre quotidien, il existe un lieu absolument unique où les livres règnent en maîtres, dans un cadre saisissant qui n’est pas sans nous rappeler certains décors de science-fiction. Cette immense bibliothèque hors du temps et aux allures futuristes se situe à Hangzhou, en Chine, dans la province de Zhejiang, et donnera aux lecteurs les plus casaniers l'envie de voyager en Asie illico presto.
C’est le studio XL-Muse, basé à Shanghaï, qui s’est chargé de la singulière configuration et du design de la Yangzhou Zhongshuge, qui n’est pas sans nous rappeler les décors spectaculaires du film Inception.
Ce temple des livres, tout droit sorti d’un épisode de Black Mirror, regorge d’illusions d’optique : le sol réfléchissant et les formes arrondies des étagères, séparées par un des espaces lumineux, nous font croire un instant que l’on évolue au milieu d’un immense tunnel futuriste.
La salle de lecture, bien que moins grandiloquente, est tout de même remarquable par sa décoration résolument moderne et épurée : un coin agréable pour celles et ceux qui veulent se plonger dans un bon roman.
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, il existe aussi un lieu consacré aux enfants : ciel étoilé, étagères colorées et joie de vivre sont là pour accueillir les plus petits.
Quand le café rencontre la délicatesse des fleurs…
On s'impose un petit moment de détente avec ces somptueuses créations fleuries de Sawa, une photographe japonaise qui a eu l'excellente idée d'associer dans ses clichés les subtiles saveurs du café à la délicatesse des couronnes de fleurs.
Le printemps est arrivé, et s'il peine à s'installer dans certaines régions, de part et d'autres de nos contrées, on peut déjà commencer à admirer la floraison des arbres et des parterres. Si pour beaucoup, cette saison est synonyme de fleurs, d'autres en revanche n'attendent pas le mois de mars pour rendre hommage à la nature et profiter de tous ses bienfaits. C'est le cas de Sawa, une photographe d'origine japonaise basée à Fukuoka, qui s'est faite connaître sur Instagram grâce à son compte La Fée de Fleur (notez l'adorable touche de "franponais"). Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il grêle, cette jeune passionnée d'art et de plantes adécidé de mettre tout son cœur dans des compositions florales pour le moins originales.Point de vase, point d'eau,mais du café et des couronnes confectionnées avec beaucoup de goût et d'élégance !
Suivie par près de 25 000 personnes sur Instagram, Sawa a trouvé le bon filon pour émouvoir la toile tout en s'adonnant à sa passion pour la photographie. Ses clichés, très harmonieux et imaginés avec précision, montrent une sorte de journal intime fleuri qui dégage à la fois beaucoup de sérénité et de charme. Une simple tasse de cappuccino agrémentée de quelques fleurs séchées cueillies dans son jardin, un éclairage et un cadre réfléchi, et voilà que la photographe saisit un moment anodin de notre journée – celui de prendre son café, le matin ou à sa pause déjeuner – comme s'il s'agissait d'un instant d'une éternelle beauté.
Avis aux amoureux de café, de simplicité et de poésie, nous vous invitons à suivre les créations douces et colorées de cette jeune artiste nippone sur sa galerie La Fée de Fleur, et à découvrir une petite sélection de quelques uns de ses plus beaux clichés.
C'est au beau milieu du bois de Boulogne, dans le XVIème arrondissement de Paris, que l'on découvre le Jardin de Bagatelle. C'est grâce à un pari entre Marie-Antoinette et son beau-frère le Comte d'Artois en 1777 que ce splendide jardin prend vie en 64 jours seulement ! Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus beaux parcs de la capitale. Et on le comprend parfaitement lorsque l'on admire les rochers artificiels, les cascades, les petits ponts traversant les miroirs d'eau, les arbres centenaires. Mais ce qui a fait la renommée du Jardin de Bagatelle, c'est sans aucun doute sa magnifique roseraie qui abrite plus de 1 100 variétés. Tous les ans depuis 1907 a lieu dans cette roseraie le célèbre concours des Roses Nouvelles Le Jardin de Bagatelle se compose d'un parc paysager où il fait bon se promener et de multiples petits jardins à thème, bassins des Nymphéas, jardin des iris, jardin des plantes vivaces et même jardin potager. Lorsque vient le printemps et que le soleil revient sur le Parc de Bagatelle, de nombreux concerts viennent égayer les allées Pour une jolie promenade dans ce parc hors du commun, c'est au métro Pont de Neuilly que l'on doit se rendre.
Léon, Léon »...Non personne ne cherche Léon, ce sont les paons qui font la roue et qui crient ce qu'on prend pour le prénom Léon Le premier aspirateur était-il vraiment tiré par des chevaux ?
Si on s'intéresse aux aspirateurs automatiques et donc non manuels, le premier à avoir été inventé est celui mis au point en 1901 par Hubert Cecil Booth, un ingénieur britannique. Son nom : Puffing Billy. Cet ingénieur avait observé que le nettoyage des sièges de trains par époussetage, comme cela se faisait jusque-là, était inefficace. Il fallait aspirer et capturer la poussière pour ne pas qu'elle s'envole et se dépose un peu plus loin. Puffing Billy se présentait comme un système assez encombrant ! Des tuyaux de 30 m de long qui devaient être tractés par des chevaux jusque devant l'endroit à aspirer. La mahine comprenait un moteur à essence qui fournissait l'énergie pour engendrer le mécanisme de succion. Le succès fut mitigée. La société de l'ingénieur fut même poursuivie en justice pour avoir fait peur à des chevaux de fiacres dans la rue !
4 ans plus tard Walter Griffiths invente un nouveau système. Manuel et très facilement transportable, celui qui l'utilise doit actionner un système de soufflet qui aspire la poussière. On peut considérer cette machine comme le premier aspirateur domestique. Mais tout change avec l'électricité. James Murray Spangler, un concierge américain allergique à la poussière, invente un aspirateur électrique à partir d'un ventilateur, d'une boîte et d'une taie d'oreiller. Sur son appareil une brosse rotative permet même de décoller plus facilement la poussière. Il vend son invention géniale à la société de son cousin Hoover qui va ensuite l'améliorer et en faire l'aspirateur que nous utilisons aujourd'hui.
Lundi, la plus ravissante, la plus émouvante, la plus spirituelle des comédiennes françaises fête son centième anniversaire. Que dire d'une femme éblouissante qui a débuté à 14 ans et peut s'enorgueillir d'une carrière de plus de quatre-vingt ans ? Que dire ? Sinon, lui souhaiter un très bel anniversaire ! Il faudrait être Ronsard et Mallarmé et composer un poème tout en cristal et en légèreté. Il faudrait s'élever très loin dans le ciel pour être à la hauteur de cette femme merveilleuse au sourire toujours radieux qui s'est toujours amusée d'être née le jour où l'on offre du muguet, le 1er mai 1917 Danielle Darrieux, qui aura 100 ans lundi, a incarné, avant Brigitte Bardot et Catherine Deneuve, une certaine idée de la Française: élégante, piquante, féminissime. "Je suis née le jour même où partout en France on vend du muguet", s'amusait, dans ses souvenirs, cette actrice aux 103 films et à la trentaine de pièces, archétype de la beauté féminine pour toute une génération.
Elle vit aujourd'hui dans l'Eure. Selon son entourage, "elle n'est plus en mesure de se déplacer mais physiquement elle va bien"mais elle est aveugle "C'est un phénomène unique en son genre. Quelle autre actrice en France et dans le monde peut se targuer d'avoir débuté sa carrière à 14 ans à peine pour la finir à l'âge de 93 ans?", s'interroge Clara Laurent dans son livre qui vient de sortir "Danielle Darrieux, une femme moderne" (éd. Hors-Collection).
Elle a été l'inoubliable partenaire de Charles Boyer dans "La ronde" (1951), de Jean Gabin dans "La Vérité sur Bébé Donge" (1953) ou de Gérard Philipe dans "Le Rouge et le Noir" (1954). Danielle Darrieux, dont la moue boudeuse faisait la joie des photographes, a aussi tourné aux États-Unis, comme dans "L'affaire Cicéron" de Joseph Mankiewicz, en 1952. Née le 1er mai 1917 à Bordeaux, fille d'un médecin et d'un couple mélomane, elle souffle ses quatorze bougies sur le plateau de son premier film "le Bal", de Wilhelm Thiele en 1931. Elle devient alors l'une des rares françaises à mener une carrière internationale: Allemagne, Tchécoslovaquie, Hongrie. "J'allais au studio comme on va à l'école, j'étais paresseuse et je le suis restée. Je n'étais qu'une jeune fille alors que les autres filles de mon âge jouaient déjà à la vamp", disait-elle. Ce fut peut-être une des clés de son succès.
"La fiancée de Paris"
De "Mayerling" (1935), son premier rôle tragique, à "Battements de cœur" (1939) d'Henri Decoin, son premier mari, elle est la coqueluche de l'avant-guerre d'autant qu'à ses talents de comédienne s'ajoute une très jolie voix. On l'appelait alors DD. On disait aussi: "la fiancée de Paris". Le succès mondial de "Mayerling" lui ouvre les portes d'Hollywood. Après avoir signé un contrat de 7 ans avec les studios Universal, elle tourne "The Rage of Paris" ("La coqueluche de Paris") avec Douglas Fairbanks Jr, en 1938. Mais, très vite, DD s'ennuie et, au bout d'un an, rentre en France.
Elle divorce en 1941, se remarie en 1942 avec le diplomate milliardaire et play-boy dominicain Porfirio Rubirosa. L'actrice n'interrompt pas son activité en France sous l'Occupation, tournant pour la Continental, la société de production allemande installée à Paris.
Elle fait partie du fameux voyage à Berlin en 1942 avec d'autres acteurs français. "Femme amoureuse", selon ses mots, elle dit avoir accepté cette "invitation" pour voir Rubirosa, qui, soupçonné d'espionnage, venait d'être arrêté par les Allemands. DD passe la fin de la guerre en résidence surveillée à Mégève.
Elle se marie à nouveau en 1948 avec le scénariste Georges Mitsinkidès et commence une seconde carrière, notamment dans "Madame de..." et "La Ronde" (Max Ophüls). Elle enchaîne les films ("Les Demoiselles de Rochefort", "Le cavaleur" etc) et, à la scène, triomphe à Broadway en 1971 dans une comédie musicale sur Coco Chanel. On la verra ensuite au théâtre à Paris dans "Domino" (1970) ou "Adorable Julia" (1987). En 1995, elle reprend, entre tours de chants et séries télévisées, le rôle de la merveilleuse septuagénaire de "Harold et Maude". En 2003, elle interprète seule en scène "Oscar et la dame rose" (d'Éric-Emmanuel Schmitt), qui lui vaut un Molière de la meilleure comédienne. A un âge avancé, Danielle Darrieux a inspiré les jeunes réalisateurs comme François Ozon ("Huit femmes", 2002). "C'est la seule femme qui m'empêche d'avoir peur de vieillir", disait Catherine Deneuve, partenaire dans ce film.
A l'occasion du centenaire, une rétrospective est organisée au cinéma parisien Grand Action le weekend du 1er mai. Un colloque se tiendra à l'université Bordeaux Montaigne du 3 au 5 mai et un hommage lui sera rendu à la cinémathèque de Toulouse en novembre. En 2009, la Cinémathèque française avait organisé une grande rétrospective de ses films.
Quelques gouttes brunes versées dans l'eau et c'est tout. L'Antésite est née à Voiron, en Isère, en 1898. Au fil des décennies, la boisson a su se faire une place dans le quotidien des Français. Aujourd'hui, elle rafraîchit son image, tout en restant fidèle à ses racines... De réglisse bien sûr. C'est l'histoire d'un pharmacien passionné de plantes. Noël Perrot-Berton vit à Voiron à la fin du XIXe siècle. La légende, invérifiable, dit qu'en citoyen soucieux de la santé publique, il cherche depuis quelque temps à élaborer une boisson pour les cheminots, qui se substituerait au whisky, que ces travailleurs boivent en très (trop !) grande quantité. Noël Perrot-Berton connaît depuis longtemps les vertus apaisantes et anti-inflammatoires de la réglisse. Un jour, en broyant les racines de cette plante, il s'aperçoit que le jus obtenu, dilué dans l'eau, donne une boisson particulièrement désaltérante. Il y ajoute un arôme d'anis et crée son premier flacon d'Antésite (du grec anti, contre, et du latin sitis, soif). Nous sommes en 1898. Une boisson économique Noël Perrot-Berton met deux ans à peaufiner sa recette. Sa boisson s'avère très économique. Quelques gouttes suffisent à aromatiser un verre d'eau. C'est cet argument qui va faire mouche. « Avec un litre d'Antésite, on peut faire 400 litres de boisson », assure Adrien Mollard, l'actuel directeur général de la société. Imbattable. Noël Perrot-Berton fait goûter sa boisson à des ouvriers, puis à leur famille. Elle plaît. Il commence alors à fabriquer l'Antésite chez lui et livre les épiceries du coin. Dès les années 1910, il ne peut plus assumer seul la fabrication. Il fait construire une usine à Coublevie, à côté de Voiron. Depuis, la société a grandi, les bâtiments se sont multipliés mais tout est resté au même endroit.
Dans les années 1920, l'Antésite prend le large. D'abord vendue en région Rhône-Alpes, elle descend en Provence Alpes Côte-d'Azur (Paca), puis quelques années plus tard dans les colonies françaises que sont à l'époque le Maroc et l'Algérie. Plus il fait chaud, plus ça marche. Au fil des ans, Noël Perrot-Berton décline d'autres parfums à la place de l'anis : arômes naturels de menthe et d'orange d'abord, de cola et de citron dans les années 1970. La base de réglisse est en revanche toujours conservée. L'entreprise continue de prospérer au fil des décennies. Dans les années 1930, 100 000 bouteilles sont vendues chaque année. Dans les années 1980, la société atteint un pic, avec 400 000 bouteilles vendues par an.
La société va rester dans la famille de l'apothicaire jusqu'en 1990. C'est alors la petite-nièce du fondateur qui possède l'usine. Celle-ci la vend à son directeur commercial, Denis Quattrocchi et sa femme Élisabeth. L'entreprise compte alors 26 salariés, avec un chiffre d'affaires de 12,5 millions de francs. Vers une gestion industrielle
« Denis Quattrochi va chercher à développer encore la société, explique Adrien Mollard. Pour commencer, il surfe sur l'essor fulgurant de la grande distribution, avec une centralisation des achats à Paris, qui permet d'être redistribué sur tout le pays. Il modernise également l'outil de production, en réduisant au maximum les opérations manuelles. On passe d'une fabrication encore artisanale à une gestion industrielle. L'entreprise vend alors 700 000 bouteilles par an. » Denis Quattrocchi élargit aussi ses horizons. La société travaille à partir de bâtons de réglisse. Il se trouve que dans l'agroalimentaire, la pharmacologie, la cosmétologie, il y a des débouchés. En plus de sa propre production d'Antésite, l'usine va donc vendre l'extrait de réglisse à d'autres entreprises.
Enfin, Denis Quattrocchi rachète la société Noirot, qui développe des arômes à Nancy. « L'objectif était d'ouvrir Antésite à d'autres savoir-faire que la réglisse », précise Adrien Mollard. En 2008, Denis Quattrocchi décède. Élisabeth Quattrocchi prend alors la présidence du groupe et Adrien Mollard, son fils, alors âgé de 27 ans, en assume la direction.
Le jeune homme travaille sur l'image de son produit plus que centenaire. Nouvelles bouteilles, nouveaux logos, il s'agit de rajeunir la marque. De nouveaux parfums sont proposés : pomme-cannelle, eucalyptus-pin, thé. En parallèle, le nouveau patron développe sa gamme Noirot, proposant notamment des vins aromatisés (blanc pêche, rosé pamplemousse) qui marchent très bien. 1,2 million de bouteilles vendues par an Aujourd'hui, la société poursuit son essor. Elle vend 1,2 million de bouteilles par an d'Antésite en France (et toujours au Maghre. Entre 2012 et 2013, Adrien Mollard a investi plus de 2 millions d'euros dans un nouveau procédé d'extraction. L'idée étant de broyer encore mieux la réglisse. Mais également de pouvoir travailler d'autres plantes et d'étoffer ainsi son portefeuille d'extraits à commercialiser.
la recette
Si l'argument économique a fait le succès de la boisson au XIXe siècle, aujourd'hui, l'entreprise mise beaucoup sur le côté “naturel” de l'Antésite : une boisson sans sucre, sans édulcorant, sans conservateur.
La recette est évidemment secrète. On ne connaît le processus de fabrication que dans ses grandes lignes.
Tout commence par des racines de réglisse. Celles-ci sont broyées, puis filtrées plusieurs fois.
On récupère ainsi un jus. Ce jus est alors distillé, l'eau s'évapore et on obtient une pâte de réglisse. Cette pâte, solubilisée dans l'eau, devient un concentré de réglisse. On lui ajoute alors un arôme naturel : de l'anis dans la version originale, ou bien de la menthe, du cola, du citron, du pamplemousse, etc.
Entre le broyage et le produit fini, il faut compter cinq jours de travail.
Tout est réalisé au sein de l'usine de Coublevie.
L'entreprise
Aujourd'hui, l'entreprise comprend 40 salariés à Coublevie (plus 18 agences commerciales qui travaillent pour Antésite-Noirot).
Elle commercialise 1,2 million de bouteilles d'Antésite en France. Le chiffre d'affaires d'Antésite-Noirot est de 7,3 millions d'euros en 2014.
Si on inclut les produits Noirot, l'entreprise vend 2,6 millions de bouteilles par an
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un de mes bons clients dans les années 60 L'usine à Voiron dans les environs de Grenoble.
La bière fait beaucoup pour l'Humanité... À tel point qu'elle a été inscrite à son Patrimoine Culturel Immatériel par l'UNESCO ! Fans de bière?Vous allez être contents:figurez-vous que la bière fait partie du Patrimoine Culturel Immatériel del'Humanité ! Du coup, boire des bières devient en quelque sorte une activité culturelle et cela revient (presque) à aller au théâtre ou à l'opéra. Et c'est l'UNESCO qui paye sa tournée...
D'abord, il y a eu les danses traditionnelles turques. Puis, il y a eu l'artisanat péruvien, l'opéra Kunqu en Chine et même la gastronomie française. Depuis sa création en 2003, l'UNESCO ajoute régulièrement des éléments issus du monde entier à son Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité, en complément du Patrimoine Matériel qui s'intéresse surtout aux aspects physiques de la culture (monuments, etc.)
Cependant, depuis peu, la bière fait également partie de cette liste qui regroupe les savoir-faire, les traditions, les rites ou les éléments culturels qui sont jugés comme étant des pierres angulaires d'une ou de plusieurs cultures données.
Qu'elle soit brune, blonde ou ambrée, la bière est donc désormais, depuis peu, un objet culturel à part entière ! À quand les bars gratuits pendant la journée du patrimoine ?
Bon, modérons un peu notre propos (et notre consommation d'alcool, par la même occasion) : si la bière est bien entrée au Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité, ce n'est pas n'importe quelle bière ! On ne vous parle pas, bien sûr, d'une mousse bon marché quelconque que vous éclusez distraitement accoudé au zinc. Être une bière "culturelle", ça se mérite ! C'est, plus précisément la bière Belge qui vient de recevoir la grâce de l'UNESCO.
En effet, en Belgique, le brassage de la bière est une tradition qui remonte à plus de 700 ans maintenant. On trouve certaines bières uniquesau monde qui font l'objet d'une véritable institution. Comme le lambic,une bière très particulière qui n'est produite qu'en Belgique, et dont le processus incroyablement complexe implique certaines bactéries et levures qui n'existent que dans la vallée de la Senne.
Apprécier et valoriser la bière en tant que boisson noble, enseigner et transmettre le goût de sa dégustation est une partie intégrante de la culture Belge, et cette boisson est aussi importante que le vin l'est en France.
Elle n'en est pas moins riche et variée, d'ailleurs : il existe près de 1 500 types de bières différentes, des méthodes de fermentation et de brassage spécifiques à chaque région !
Par cette décision, rendue le 30 novembre dernier (et au cours de laquelle ont également été sacrés la rumba cubaine, les fêtes populaires au Bangladesh ou encore les périodes solaires chinoises), l'UNESCO souhaite également valoriser l'usage à des fins gastronomiques de la bière, notamment pour l'élaboration de certains produits typiques. Par exemple,un fromage qui est élaboré avec de la bière, une tradition associée aux moines trappistes, ces maîtres brasseurs qui destinaient les bénéfices de l'exercice de leur art à la charité. Comme toujours, on vous rappelle que les boissons alcoolisées ne sont que meilleures lorsqu'elles sont consommées avec modération
Le plus grand génie de la Renaissance. Peintre, sculpteur, architecte, ingénieur et théoricien, Léonard de Vinci s'est intéressé à toutes les facettes de l'art et de la science, ainsi qu'en témoignent ses écrits et ses étonnants carnets de dessins. Il a perfectionné diverses machines industrielles ainsi que des engins militaires et des appareils à déplacer ou soulever des fardeaux.
Sur le plan artistique, des études graphiques comportant des notes et des pensées précédaient chacun des tableaux de Léonard de Vinci; l'artiste de génie laisse, entre autres, à l'humanité la peinture sans doute la plus célèbre du monde: "La Joconde" Le 2 mai 1869 est inaugurée rue Richer,une salle de spectacles d'un genre nouveau : un music-hall, le premier à Paris, baptisé les Folies Bergère.
Situé à l'emplacement d'un ancien grand magasin de literie, on le surnommera très vite le 'Café des Sommiers Elastiques'. Quelques années plus tard et sous l'impulsion de Léon Sari, les Folies Bergère gagneront leurs premières lettres de noblesse avec au programme chaque soir à 20h, des opérettes, des pantomimes, des concerts de chant et des ballets.
A la fin du XIXe, d'étranges personnages y exhibent leur différence ou leur talent : clowns, acrobates, nains transformistes, lutteurs géants, briseurs de chaînes ou charmeuses de serpents... Parmi les artistes les plus illustres qui se sont produits aux Folies au fil du temps, on compte ainsi Loïe Fuller et ses danses serpentines, Yvette Guilbert, le jeune Maurice Chevalier qui y a débuté, Mistinguett, Charlie Chaplin ou encore Joséphine Baker.
Aujourd' hui, les Folies ambitionnent toujours 'd' être et de rester le plus célèbre music-hall du monde'. Depuis dix ans, des représentations musicales moins passéistes et plus légères y sont données, perpétuant le succès de la salle. 'Fous des Folies', 'Les années Twist' de Roger Louret, 'Nine' dec'est arrivé un 2 mai Maury Yeston et Arthur Kopit, sans oublier le célèbre 'Fame' en ont fait récemment les beaux soirs.
1901 : Naissance de Bing Crosby, chanteur américain
Bing Crosby, né Harry Lillis Crosby, était un chanteur, acteur et producteur américain. Il a tourné dans de nombreuses comédies musicales. Il a obtenu l'Oscar du meilleur acteur en 1944 pour le rôle du Père O'Malley dans La Route semée d'étoiles de Leo McCarey Going_My_Way
Son plus grand succès dans la chanson est l'immortel Noël blanc (White Christmas), que plus de 100 vedettes ont interprété à travers le monde. Il est mort le 14 octobre 1977 1922 : Naissance de Serge Reggiani
Chanteur :"Il suffirait de presque rien" - "Le Déserteur" - "Les Mensonges d'un père à son fils" - "Les loups sont entrés dans Paris" Acteur: "Les Portes de la nuit" - "La Ronde" - "Les Salauds vont en enfer" - "Vincent, François, Paul et les autres". Décédé le 23 juillet 2004 à Paris 1952 : Premier vol d'un avion à réaction avec des passagers
L'avion à réaction britannique, le Comet 1 De Havilland, de la compagnie BOAC, effectue un vol inaugural entre Londres et Johannesburg en Afrique du Sud. À bord du quadrimoteur, 36 passagers effectuent les 10 750 km en 17h6m, à une vitesse proche des 800 km/h. C'est un grand succès commercial pour l'aviation anglaise. Mais en 1954, la firme américaine Boeing prendra l'avantage en lançant le "707
1969 : Premier voyage du Queen Elisabeth 2
La quille a été posée le 5 juillet 1965 et il fut lancé le 20 septembre 1967, où il a été baptisé par la reine Élisabeth II. Il effectua son voyage inaugural le 2 mai 1969.
Le Queen Elisabeth 2 (souvent appelé QE2) est un paquebot transatlantique britannique. Il a été utilisé principalement pour assurer la liaison transatlantique maritime régulière entre Southampton (Angleterre) et NewYork (États-Unis), via Cherbourg (France), pour une traversée de cinq jours ; il est maintenant utilisé également comme navire de croisière pendant les mois d'hiver. En 1982, il participa à la guerre des Malouines, où il transporta 3 000 soldats ; il fut converti spécialement pour cela, en incluant une piste d'atterrissage pour hélicoptères et fut repeint en gris. Après la guerre, il reprit son service normal 1998 : À Bruxelles, l'Union européenne crée une monnaie unique (l'euro)
Le Parlement européen, institution de l'Union européenne représentant les citoyens des États membres, adopte par 467 voix pour et 65 contre (et 24abstentions) une recommandation sur le passage à la monnaie unique.
Le même jour, un conseil européen extraordinaire annonce officiellement le lancement de l'euro pour le 1er janvier 1999 avec 11 pays de l'UE (seuls le Danemark, La Grande-Bretagne, la Grèce et la Suède n'y participent pas). Le même jour, nouvelle réunion du conseil Ecofin : décision de définir les taux bilatéraux d'entrée des monnaies dans l'euro à partir des cours centraux "pivots" au sein du SME, avec gel définitif des parités au 1er janvier 1999
Situé près de la petite ville de Darvaz, au Turkménistan, un trou dans le sol est appelé la Porte de l'enfer par les résidents.
En 1971, des géologues creusaient pour trouver des sources de gaz. En creusant, ils ont découvert une caverne trop grande pour y pénétrer, et une grande odeur de gaz s'y échappait. Ils ont donc allumés le gaz afin de ne pas le laisser s'échapper et empoisonner l'air. Ils croyaient que le gaz serait tout brûlé en quelques heures.
Le domaine est situé près du village de Derweze, au milieu du désert du Karakoum, environ 260 kilomètres au nord d'Achgabat. La réserve de gaz qui s'y trouve est une des plus grandes du monde. Le nom « Porte de l'enfer » a été trouvé par les gens du pays. Il a été inspiré par l'incendie, la boue bouillante ainsi que les flammes orange du grand cratère de Derweze.
Les points chauds s'étendent sur une zone d'environ 60 mètres de largeur et 20 mètres de profondeur.
En 1306, les consuls de la ville de Cahors décident de la construction d'un pont au lieu-dit "Valandre", sur la partie Ouest du méandre de Cahors.
La première pierre du nouvel ouvrage d'art est posée solennellement en 1308 par le premier consul Géraud de Sabanac. Le chantier va durer près de 70 ans, donnant naissance à la légende selon laquelle le diable aurait apporté son concours à l'architecte Paul Gout (disciple de Violetle Duc). En 1345 on peut circuler sur le tablier, les trois tours n'étant sans doute achevées que vers 1380, en dépit des crises de la guerre de Cent ans.
D'une longueur de 172 mètres, le pont Valentré possède huit arches, retombant sur des piles pourvues d'un avant-bec. Il possède trois tours,dont seules les deux placées sur les rives étaient fortifiées de mâchicoulis et d'archères. Chaque extrémité était à l'origine protégée par un châtelet, ces éléments ayant presque disparu de nos jours.
La construction de ce pont fut une entreprise qui s’avéra si difficile et longue qu’on supposât que seul un accord entre le Maître d’œuvre et le diable avait pu en venir à bout. L’architecte aurait signé un pacte avec le démon lui proposant son âme en échange de l’achèvement du pont. Mais le maître d’œuvre n’ayant aucunement l’intention d’honorer ce pacte aurait mis comme dernière condition que le diable aille chercher de l’eau pour tous les ouvriers à la fin des travaux. Ce qu’il lui demanda, mais pour ce faire lui confia un tamis!
Le diable, vexé, se serait vengé en faisant tomber chaque nuit la dernière pierre de la tour centrale, afin que les travaux ne soient jamais terminés. Paul Gout, en clin d’œil à la légende, a fait sculpter par Cyprien-Antoine Calmon, une pierre représentant le Diable tentant d’arracher la pierre.
Un Calendrier Historique......À Garder...!!!! Je suppose que ce calendrier intéressera plus d'un. Un grand Livre d'Histoire pour occuper les longues soirées d'hiver ou les longues journées de pluie.
Source...Ma Location est un monument historique...
Amateurs de littérature, retenez votre souffle : dans un monde où les nouvelles technologies occupent notre quotidien, il existe un lieu absolument unique où les livres règnent en maîtres, dans un cadre saisissant qui n’est pas sans nous rappeler certains décors de science-fiction.
Cette immense bibliothèque hors du temps et aux allures futuristes se situe à Hangzhou, en Chine, dans la province de Zhejiang, et donnera aux lecteurs les plus casaniers l'envie de voyager en Asie illico presto.
C’est le studio XL-Muse, basé à Shanghaï, qui s’est chargé de la singulière configuration et du design de la Yangzhou Zhongshuge, qui n’est pas sans nous rappeler les décors spectaculaires du film Inception.
Ce temple des livres, tout droit sorti d’un épisode de Black Mirror, regorge d’illusions d’optique : le sol réfléchissant et les formes
arrondies des étagères, séparées par un des espaces lumineux, nous font croire un instant que l’on évolue au milieu d’un immense tunnel futuriste.
La salle de lecture, bien que moins grandiloquente, est tout de même remarquable par sa décoration résolument moderne et épurée : un coin agréable pour celles et ceux qui veulent se plonger dans un bon roman.
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, il existe aussi un lieu consacré aux enfants : ciel étoilé, étagères colorées et joie de vivre sont là pour accueillir les plus petits.
On s'impose un petit moment de détente avec ces somptueuses créations fleuries de Sawa, une photographe japonaise qui a eu l'excellente idée d'associer dans ses clichés les subtiles saveurs du café à la délicatesse des couronnes de fleurs.
Le printemps est arrivé, et s'il peine à s'installer dans certaines régions, de part et d'autres de nos contrées, on peut déjà commencer à admirer la floraison des arbres et des parterres. Si pour beaucoup, cette saison est synonyme de fleurs, d'autres en revanche n'attendent pas le mois de mars pour rendre hommage à la nature et profiter de tous ses bienfaits. C'est le cas de Sawa, une photographe d'origine japonaise basée à Fukuoka, qui s'est faite connaître sur Instagram grâce à son compte La Fée de Fleur (notez l'adorable touche de "franponais"). Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il grêle, cette jeune passionnée d'art et de plantes adécidé de mettre tout son cœur dans des compositions florales pour le moins originales.Point de vase, point d'eau,mais du café et des couronnes confectionnées avec beaucoup de goût et d'élégance !
Suivie par près de 25 000 personnes sur Instagram, Sawa a trouvé le bon filon pour émouvoir la toile tout en s'adonnant à sa passion pour la photographie. Ses clichés, très harmonieux et imaginés avec précision, montrent une sorte de journal intime fleuri qui dégage à la fois beaucoup de sérénité et de charme. Une simple tasse de cappuccino agrémentée de quelques fleurs séchées cueillies dans son jardin, un éclairage et un cadre réfléchi, et voilà que la photographe saisit un moment anodin de notre journée – celui de prendre son café, le matin ou à sa pause déjeuner – comme s'il s'agissait d'un instant d'une éternelle beauté.
Avis aux amoureux de café, de simplicité et de poésie, nous vous invitons à suivre les créations douces et colorées de cette jeune artiste nippone sur sa galerie La Fée de Fleur, et à découvrir une petite sélection de quelques uns de ses plus beaux clichés.
C'est au beau milieu du bois de
Boulogne, dans le XVIème arrondissement de Paris, que l'on découvre le
Jardin de Bagatelle.
C'est grâce à un pari entre Marie-Antoinette et son beau-frère le Comte
d'Artois en 1777 que ce splendide jardin prend vie en 64 jours seulement
! Il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus beaux parcs de la
capitale. Et on le comprend parfaitement lorsque l'on admire les rochers
artificiels, les cascades, les petits ponts traversant les miroirs
d'eau, les arbres centenaires.
Mais ce qui a fait la renommée du Jardin de Bagatelle, c'est sans aucun doute sa magnifique roseraie qui
abrite plus de 1 100 variétés.
Tous les ans depuis 1907 a lieu dans cette roseraie le célèbre concours des Roses Nouvelles Le Jardin de
Bagatelle se compose d'un parc paysager où il fait bon se promener et de
multiples petits jardins à thème, bassins des Nymphéas, jardin des
iris, jardin des plantes vivaces et même jardin potager.
Lorsque vient le printemps et que le soleil revient sur le Parc de Bagatelle, de nombreux concerts viennent égayer les allées
Pour une jolie promenade dans ce parc hors du commun, c'est au métro Pont de Neuilly que l'on doit se rendre.
Léon, Léon »...Non personne ne cherche Léon, ce sont les paons qui font la roue et qui crient ce qu'on prend pour le prénom Léon
Le premier aspirateur était-il vraiment tiré par des chevaux ?
Si on s'intéresse aux aspirateurs automatiques et donc non manuels, le
premier à avoir été inventé est celui mis au point en 1901 par Hubert
Cecil Booth, un ingénieur britannique. Son nom : Puffing Billy.
Cet ingénieur avait observé que le nettoyage des sièges de trains par
époussetage, comme cela se faisait jusque-là, était inefficace. Il
fallait aspirer et capturer la poussière pour ne pas qu'elle s'envole et
se dépose un peu plus loin.
Puffing Billy se présentait comme un système assez encombrant ! Des tuyaux de 30 m de long qui devaient être
tractés par des chevaux jusque devant l'endroit à aspirer. La mahine
comprenait un moteur à essence qui fournissait l'énergie pour engendrer
le mécanisme de succion.
Le succès fut mitigée. La société de l'ingénieur fut même poursuivie en justice pour avoir fait peur à des
chevaux de fiacres dans la rue !
4 ans plus tard Walter Griffiths invente un nouveau système. Manuel et très facilement transportable,
celui qui l'utilise doit actionner un système de soufflet qui aspire la
poussière. On peut considérer cette machine comme le premier aspirateur
domestique.
Mais tout change avec l'électricité. James Murray Spangler, un concierge américain allergique à la poussière, invente un
aspirateur électrique à partir d'un ventilateur, d'une boîte et d'une
taie d'oreiller. Sur son appareil une brosse rotative permet même de
décoller plus facilement la poussière. Il vend son invention géniale à
la société de son cousin Hoover qui va ensuite l'améliorer et en faire
l'aspirateur que nous utilisons aujourd'hui.
Cent ans le 1er mai: Danielle Darrieux, la légende d'un siècle
Lundi, la plus ravissante, la plus
émouvante, la plus spirituelle des comédiennes françaises fête son
centième anniversaire. Que dire d'une femme éblouissante qui a débuté à
14 ans et peut s'enorgueillir d'une carrière de plus de quatre-vingt ans
? Que dire ? Sinon, lui souhaiter un très bel anniversaire !
Il faudrait être Ronsard et Mallarmé et composer un poème tout en cristal
et en légèreté. Il faudrait s'élever très loin dans le ciel pour être à
la hauteur de cette femme merveilleuse au sourire toujours radieux qui
s'est toujours amusée d'être née le jour où l'on offre du muguet, le 1er
mai 1917
Danielle Darrieux, qui aura 100 ans lundi, a incarné, avant Brigitte Bardot et Catherine Deneuve, une certaine idée de la
Française: élégante, piquante, féminissime.
"Je suis née le jour même où partout en France on vend du muguet",
s'amusait, dans ses souvenirs, cette actrice aux 103 films et à la
trentaine de pièces, archétype de la beauté féminine pour toute une
génération.
Elle vit aujourd'hui dans l'Eure. Selon son entourage, "elle n'est plus en mesure de se déplacer mais physiquement
elle va bien"mais elle est aveugle
"C'est un phénomène unique en son genre. Quelle autre actrice en France et
dans le monde peut se targuer d'avoir débuté sa carrière à 14 ans à
peine pour la finir à l'âge de 93 ans?", s'interroge Clara Laurent dans
son livre qui vient de sortir "Danielle Darrieux, une femme moderne"
(éd. Hors-Collection).
Elle a été l'inoubliable partenaire de Charles Boyer dans "La ronde" (1951), de Jean Gabin
Rouge et le Noir" (1954). Danielle Darrieux, dont la moue boudeuse
faisait la joie des photographes, a aussi tourné aux États-Unis, comme
dans "L'affaire Cicéron" de Joseph Mankiewicz, en 1952.
Née le 1er mai 1917 à Bordeaux, fille d'un médecin et d'un couple mélomane, elle
souffle ses quatorze bougies sur le plateau de son premier film "le
Bal", de Wilhelm Thiele en 1931. Elle devient alors l'une des rares
françaises à mener une carrière internationale: Allemagne,
Tchécoslovaquie, Hongrie.
"J'allais au studio comme on va à l'école, j'étais paresseuse et je le suis
restée. Je n'étais qu'une jeune fille alors que les autres filles de mon
âge jouaient déjà à la vamp", disait-elle. Ce fut peut-être une des
clés de son succès.
"La fiancée de Paris"
De "Mayerling" (1935), son premier rôle tragique, à "Battements de cœur" (1939) d'Henri
Decoin, son premier mari, elle est la coqueluche de l'avant-guerre
d'autant qu'à ses talents de comédienne s'ajoute une très jolie voix. On
l'appelait alors DD. On disait aussi: "la fiancée de Paris".
Le succès mondial de "Mayerling" lui ouvre les portes d'Hollywood. Après
avoir signé un contrat de 7 ans avec les studios Universal, elle tourne
"The Rage of Paris" ("La coqueluche de Paris") avec Douglas Fairbanks
Jr, en 1938. Mais, très vite, DD s'ennuie et, au bout d'un an, rentre en
France.
Elle divorce en 1941, se remarie en 1942 avec le diplomate milliardaire et play-boy dominicain Porfirio Rubirosa.
L'actrice n'interrompt pas son activité en France sous l'Occupation,
tournant pour la Continental, la société de production allemande
installée à Paris.
Elle fait partie du fameux voyage à Berlin en 1942 avec d'autres acteurs français. "Femme amoureuse", selon ses mots,
elle dit avoir accepté cette "invitation" pour voir Rubirosa, qui,
soupçonné d'espionnage, venait d'être arrêté par les Allemands. DD passe
la fin de la guerre en résidence surveillée à Mégève.
Elle se marie à nouveau en 1948 avec le scénariste Georges Mitsinkidès et
commence une seconde carrière, notamment dans "Madame de..." et "La
Ronde" (Max Ophüls). Elle enchaîne les films ("Les Demoiselles de
Rochefort", "Le cavaleur" etc) et, à la scène, triomphe à Broadway en
1971 dans une comédie musicale sur Coco Chanel. On la verra ensuite au
théâtre à Paris dans "Domino" (1970) ou "Adorable Julia" (1987).
En 1995, elle reprend, entre tours de chants et séries télévisées, le rôle
de la merveilleuse septuagénaire de "Harold et Maude". En 2003, elle
interprète seule en scène "Oscar et la dame rose" (d'Éric-Emmanuel
Schmitt), qui lui vaut un Molière de la meilleure comédienne.
A un âge avancé, Danielle Darrieux a inspiré les jeunes réalisateurs
comme François Ozon ("Huit femmes", 2002). "C'est la seule femme qui
m'empêche d'avoir peur de vieillir", disait Catherine Deneuve,
partenaire dans ce film.
A l'occasion du centenaire, une rétrospective est organisée au cinéma parisien Grand Action le weekend
du 1er mai. Un colloque se tiendra à l'université Bordeaux Montaigne du 3
au 5 mai et un hommage lui sera rendu à la cinémathèque de Toulouse en
novembre. En 2009, la Cinémathèque française avait organisé une grande
rétrospective de ses films.
souvenez vous !!!!
Quelques gouttes brunes versées dans
l'eau et c'est tout. L'Antésite est née à Voiron, en Isère, en 1898. Au
fil des décennies, la boisson a su se faire une place dans le quotidien
des Français. Aujourd'hui, elle rafraîchit son image, tout en restant
fidèle à ses racines... De réglisse bien sûr.
C'est l'histoire d'un pharmacien passionné de plantes. Noël Perrot-Berton vit
à Voiron à la fin du XIXe siècle. La légende, invérifiable, dit qu'en
citoyen soucieux de la santé publique, il cherche depuis quelque temps à
élaborer une boisson pour les cheminots, qui se substituerait au
whisky, que ces travailleurs boivent en très (trop !) grande quantité.
Noël Perrot-Berton connaît depuis longtemps les vertus apaisantes et
anti-inflammatoires de la réglisse. Un jour, en broyant les racines de
cette plante, il s'aperçoit que le jus obtenu, dilué dans l'eau, donne
une boisson particulièrement désaltérante. Il y ajoute un arôme d'anis
et crée son premier flacon d'Antésite (du grec anti, contre, et du latin
sitis, soif). Nous sommes en 1898.
Une boisson économique
Noël Perrot-Berton met deux ans à peaufiner sa recette. Sa boisson s'avère
très économique. Quelques gouttes suffisent à aromatiser un verre d'eau.
C'est cet argument qui va faire mouche. « Avec un litre d'Antésite, on
peut faire 400 litres de boisson », assure Adrien Mollard, l'actuel
directeur général de la société. Imbattable.
Noël Perrot-Berton fait goûter sa boisson à des ouvriers, puis à leur
famille. Elle plaît. Il commence alors à fabriquer l'Antésite chez lui
et livre les épiceries du coin. Dès les années 1910, il ne peut plus
assumer seul la fabrication. Il fait construire une usine à Coublevie, à
côté de Voiron. Depuis, la société a grandi, les bâtiments se sont
multipliés mais tout est resté au même endroit.
Dans les années 1920, l'Antésite prend le large. D'abord vendue en région Rhône-Alpes,
elle descend en Provence Alpes Côte-d'Azur (Paca), puis quelques années
plus tard dans les colonies françaises que sont à l'époque le Maroc et
l'Algérie. Plus il fait chaud, plus ça marche. Au fil des ans, Noël
Perrot-Berton décline d'autres parfums à la place de l'anis : arômes
naturels de menthe et d'orange d'abord, de cola et de citron dans les
années 1970. La base de réglisse est en revanche toujours conservée.
L'entreprise continue de prospérer au fil des décennies. Dans les années 1930, 100
000 bouteilles sont vendues chaque année. Dans les années 1980, la
société atteint un pic, avec 400 000 bouteilles vendues par an.
La société va rester dans la famille de l'apothicaire jusqu'en 1990. C'est
alors la petite-nièce du fondateur qui possède l'usine. Celle-ci la
vend à son directeur commercial, Denis Quattrocchi et sa femme
Élisabeth. L'entreprise compte alors 26 salariés, avec un chiffre
d'affaires de 12,5 millions de francs.
Vers une gestion industrielle
« Denis Quattrochi va chercher à développer encore la société, explique
Adrien Mollard. Pour commencer, il surfe sur l'essor fulgurant de la
grande distribution, avec une centralisation des achats à Paris, qui
permet d'être redistribué sur tout le pays. Il modernise également
l'outil de production, en réduisant au maximum les opérations manuelles.
On passe d'une fabrication encore artisanale à une gestion
industrielle. L'entreprise vend alors 700 000 bouteilles par an. »
Denis Quattrocchi élargit aussi ses horizons. La société travaille à partir
de bâtons de réglisse. Il se trouve que dans l'agroalimentaire, la
pharmacologie, la cosmétologie, il y a des débouchés. En plus de sa
propre production d'Antésite, l'usine va donc vendre l'extrait de
réglisse à d'autres entreprises.
Enfin, Denis Quattrocchi rachète la société Noirot, qui développe des arômes à Nancy. « L'objectif était
d'ouvrir Antésite à d'autres savoir-faire que la réglisse », précise
Adrien Mollard. En 2008, Denis Quattrocchi décède. Élisabeth Quattrocchi
prend alors la présidence du groupe et Adrien Mollard, son fils, alors
âgé de 27 ans, en assume la direction.
Le jeune homme travaille sur l'image de son produit plus que centenaire. Nouvelles bouteilles,
nouveaux logos, il s'agit de rajeunir la marque. De nouveaux parfums
sont proposés : pomme-cannelle, eucalyptus-pin, thé. En parallèle, le
nouveau patron développe sa gamme Noirot, proposant notamment des vins
aromatisés (blanc pêche, rosé pamplemousse) qui marchent très bien.
1,2 million de bouteilles vendues par an
Aujourd'hui, la société poursuit son essor. Elle vend 1,2 million de bouteilles par
an d'Antésite en France (et toujours au Maghre
Adrien Mollard a investi plus de 2 millions d'euros dans un nouveau
procédé d'extraction. L'idée étant de broyer encore mieux la réglisse.
Mais également de pouvoir travailler d'autres plantes et d'étoffer ainsi
son portefeuille d'extraits à commercialiser.
la recette
Si l'argument économique a fait le succès de la boisson au XIXe siècle,
aujourd'hui, l'entreprise mise beaucoup sur le côté “naturel” de
l'Antésite : une boisson sans sucre, sans édulcorant, sans conservateur.
La recette est évidemment secrète. On ne connaît le processus de fabrication que dans ses grandes lignes.
Tout commence par des racines de réglisse. Celles-ci sont broyées, puis filtrées plusieurs fois.
On récupère ainsi un jus. Ce jus est alors distillé, l'eau s'évapore et on
obtient une pâte de réglisse. Cette pâte, solubilisée dans l'eau,
devient un concentré de réglisse. On lui ajoute alors un arôme naturel :
de l'anis dans la version originale, ou bien de la menthe, du cola, du
citron, du pamplemousse, etc.
Entre le broyage et le produit fini, il faut compter cinq jours de travail.
Tout est réalisé au sein de l'usine de Coublevie.
L'entreprise
Aujourd'hui, l'entreprise comprend 40 salariés à Coublevie (plus 18 agences commerciales qui travaillent pour Antésite-Noirot).
Elle commercialise 1,2 million de bouteilles d'Antésite en France. Le
chiffre d'affaires d'Antésite-Noirot est de 7,3 millions d'euros en
2014.
Si on inclut les produits Noirot, l'entreprise vend 2,6 millions de bouteilles par an
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un de mes bons clients dans les années 60
À tel point qu'elle a été inscrite à son Patrimoine Culturel Immatériel par l'UNESCO !
Fans de bière?Vous allez être contents:figurez-vous que la bière fait partie du Patrimoine Culturel Immatériel del'Humanité ! Du coup, boire des bières devient en quelque sorte une activité culturelle et cela revient (presque) à aller au théâtre ou à l'opéra. Et c'est l'UNESCO qui paye sa tournée...
D'abord, il y a eu les danses traditionnelles turques. Puis, il y a eu l'artisanat péruvien, l'opéra Kunqu en Chine et même la gastronomie française. Depuis sa création en 2003, l'UNESCO ajoute régulièrement des éléments issus du monde entier à son Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité, en complément du Patrimoine Matériel qui s'intéresse surtout aux aspects physiques de la culture (monuments, etc.)
Cependant, depuis peu, la bière fait également partie de cette liste qui regroupe les savoir-faire, les traditions, les rites ou les éléments culturels qui sont jugés comme étant des pierres angulaires d'une ou de plusieurs cultures données.
Qu'elle soit brune, blonde ou ambrée, la bière est donc désormais, depuis peu, un objet culturel à part entière ! À quand les bars gratuits pendant la journée du patrimoine ?
Bon, modérons un peu notre propos (et notre consommation d'alcool, par la même occasion) : si la bière est bien entrée au Patrimoine Culturel Immatériel de l'Humanité, ce n'est pas n'importe quelle bière ! On ne vous parle pas, bien sûr, d'une mousse bon marché quelconque que vous éclusez distraitement accoudé au zinc. Être une bière "culturelle", ça se mérite ! C'est, plus précisément la bière Belge qui vient de recevoir la grâce de l'UNESCO.
En effet, en Belgique, le brassage de la bière est une tradition qui remonte à plus de 700 ans maintenant. On trouve certaines bières uniquesau monde qui font l'objet d'une véritable institution. Comme le lambic,une bière très particulière qui n'est produite qu'en Belgique, et dont le processus incroyablement complexe implique certaines bactéries et levures qui n'existent que dans la vallée de la Senne.
Apprécier et valoriser la bière en tant que boisson noble, enseigner et transmettre le goût de sa dégustation est une partie intégrante de la culture Belge, et cette boisson est aussi importante que le vin l'est en France.
Elle n'en est pas moins riche et variée, d'ailleurs : il existe près de 1 500 types de bières différentes, des méthodes de fermentation et de brassage spécifiques à chaque région !
Par cette décision, rendue le 30 novembre dernier (et au cours de laquelle ont également été sacrés la rumba cubaine, les fêtes populaires au Bangladesh ou encore les périodes solaires chinoises), l'UNESCO souhaite également valoriser l'usage à des fins gastronomiques de la bière, notamment pour l'élaboration de certains produits typiques.
Par exemple,un fromage qui est élaboré avec de la bière, une tradition associée aux moines trappistes, ces maîtres brasseurs qui destinaient les bénéfices de l'exercice de leur art à la charité. Comme toujours, on vous rappelle que les boissons alcoolisées ne sont que
meilleures lorsqu'elles sont consommées avec modération
1857 : Décès d'Alfred de Musset, 46 ans, écrivain
"La Confession d'un enfant du siècle", un roman autobiographique publié en 1836, dépeint de manière saisissante la jeunesse du poète issu d'une famille noble, à une époque où toutes les valeurs traditionnelles étaient remises en question. S'étant d'abord fait connaître par ses "Contes d'Espagne et d'Italie" en 1830, il a ensuite vécu une période troublée marquée par ses échecs au théâtre et une liaison orageuse avec George Sand.
"Les Caprices de Marianne", "On ne badine pas avec l'amour", "Il ne faut jurer de rien", et ses poèmes "Les Nuits", publiés
de 1835 à 1837, comptent parmi ses œuvres. Il a été élu à l'Académie française en 1852
1519 : Décès de Léonard de Vinci, 67 ans
Le plus grand génie de la Renaissance.
Peintre, sculpteur, architecte, ingénieur et théoricien, Léonard de Vinci s'est intéressé à toutes les facettes de l'art et de la science, ainsi qu'en témoignent ses écrits et ses étonnants carnets de dessins. Il a perfectionné diverses machines industrielles ainsi que des engins militaires et des appareils à déplacer ou soulever des fardeaux.
Sur le plan artistique, des études graphiques comportant des notes et des pensées précédaient chacun des tableaux de Léonard de Vinci; l'artiste de génie laisse, entre autres, à l'humanité la peinture sans doute la plus célèbre du monde: "La Joconde"
Le 2 mai 1869 est inaugurée rue Richer,une salle de spectacles d'un genre nouveau : un music-hall, le premier à Paris,
baptisé les Folies Bergère.
Situé à l'emplacement d'un ancien grand magasin de literie, on le surnommera très vite le 'Café des Sommiers Elastiques'. Quelques années plus tard et sous l'impulsion de Léon Sari, les Folies Bergère gagneront leurs premières lettres de noblesse avec au programme chaque soir à 20h, des opérettes, des pantomimes, des concerts de chant et des ballets.
A la fin du XIXe, d'étranges personnages y exhibent leur différence ou leur talent : clowns, acrobates, nains transformistes, lutteurs géants, briseurs de chaînes ou charmeuses de serpents... Parmi les artistes les plus illustres qui se sont produits aux Folies au fil du temps, on compte ainsi Loïe Fuller et ses danses serpentines, Yvette Guilbert, le jeune Maurice Chevalier qui y a débuté, Mistinguett, Charlie Chaplin ou encore Joséphine Baker.
Aujourd' hui, les Folies ambitionnent toujours 'd' être et de rester le plus célèbre music-hall du monde'. Depuis dix ans, des représentations musicales moins passéistes et plus légères y sont données, perpétuant le succès de la salle. 'Fous des Folies', 'Les
années Twist' de Roger Louret, 'Nine' dec'est arrivé un 2 mai Maury Yeston et Arthur Kopit, sans oublier le célèbre 'Fame' en ont fait
récemment les beaux soirs.
1901 : Naissance de Bing Crosby, chanteur américain
Bing Crosby, né Harry Lillis Crosby, était un chanteur, acteur et producteur américain.
Il a tourné dans de nombreuses comédies musicales.
Il a obtenu l'Oscar du meilleur acteur en 1944 pour le rôle du Père O'Malley dans La Route semée d'étoiles de Leo McCarey Going_My_Way
Son plus grand succès dans la chanson est l'immortel Noël blanc (White Christmas), que plus de 100 vedettes ont interprété à travers le monde.
Il est mort le 14 octobre 1977
1922 : Naissance de Serge Reggiani
Chanteur :"Il suffirait de presque rien" - "Le Déserteur" - "Les Mensonges d'un
père à son fils" - "Les loups sont entrés dans Paris"
Acteur: "Les Portes de la nuit" - "La Ronde" - "Les Salauds vont en enfer" - "Vincent, François, Paul et les autres".
Décédé le 23 juillet 2004 à Paris
1952 : Premier vol d'un avion à réaction avec des passagers
L'avion à réaction britannique, le Comet 1 De Havilland, de la compagnie BOAC, effectue un vol inaugural entre Londres et Johannesburg en Afrique du Sud. À bord du quadrimoteur, 36 passagers effectuent les 10 750 km en 17h6m, à une vitesse proche des 800 km/h.
C'est un grand succès commercial pour l'aviation anglaise. Mais en 1954, la firme américaine Boeing prendra l'avantage en lançant le "707
1969 : Premier voyage du Queen Elisabeth 2
La quille a été posée le 5 juillet 1965 et il fut lancé le 20 septembre 1967, où il a été baptisé par la reine Élisabeth II.
Il effectua son voyage inaugural le 2 mai 1969.
Le Queen Elisabeth 2 (souvent appelé QE2) est un paquebot transatlantique britannique. Il a été utilisé principalement pour assurer la liaison transatlantique maritime régulière entre Southampton (Angleterre) et NewYork (États-Unis), via Cherbourg (France), pour une traversée de cinq jours ; il est maintenant utilisé également comme navire de croisière pendant les mois d'hiver.
En 1982, il participa à la guerre des Malouines, où il transporta 3 000 soldats ; il fut converti spécialement pour cela, en incluant une piste d'atterrissage pour hélicoptères et fut repeint en gris. Après la guerre, il reprit son service normal
1998 : À Bruxelles, l'Union européenne crée une monnaie unique (l'euro)
Le Parlement européen, institution de l'Union européenne représentant les citoyens des États membres, adopte par 467 voix pour et 65 contre (et 24abstentions) une recommandation sur le passage à la monnaie unique.
Le même jour, un conseil européen extraordinaire annonce officiellement le lancement de l'euro pour le 1er janvier 1999 avec 11 pays de l'UE (seuls le Danemark, La Grande-Bretagne, la Grèce et la Suède n'y participent pas). Le même jour, nouvelle réunion du conseil Ecofin : décision de définir les taux bilatéraux d'entrée des monnaies dans l'euro à partir des cours centraux "pivots" au sein du SME, avec gel définitif des parités au 1er janvier 1999
La porte de l'enfer!
Situé près de la petite ville de Darvaz, au Turkménistan, un trou dans le sol est appelé la Porte de l'enfer par les résidents.
En 1971, des géologues creusaient pour trouver des sources de gaz. En creusant, ils ont découvert une caverne trop grande pour y pénétrer, et une grande odeur de gaz s'y échappait. Ils ont donc allumés le gaz afin de ne pas le laisser s'échapper et empoisonner l'air. Ils croyaient que le gaz serait tout brûlé en quelques heures.
Le domaine est situé près du village de Derweze, au milieu du désert du Karakoum, environ 260 kilomètres au nord d'Achgabat. La réserve de gaz qui s'y trouve est une des plus grandes du monde. Le nom « Porte de l'enfer » a été trouvé par les gens du pays. Il a été inspiré par l'incendie, la boue bouillante ainsi que les flammes orange du grand cratère de Derweze.
Les points chauds s'étendent sur une zone d'environ 60 mètres de largeur et 20 mètres de profondeur.
En 1306, les consuls de la ville de Cahors décident de la construction d'un pont au lieu-dit "Valandre", sur la partie Ouest du
méandre de Cahors.
La première pierre du nouvel ouvrage d'art est posée solennellement en 1308 par le premier consul Géraud de Sabanac. Le chantier va durer près de 70 ans, donnant naissance à la légende selon laquelle le diable aurait apporté son concours à l'architecte Paul Gout (disciple de Violetle Duc). En 1345 on peut circuler sur le tablier, les trois tours n'étant sans doute achevées que vers 1380, en dépit des crises de la guerre de Cent ans.
D'une longueur de 172 mètres, le pont Valentré possède huit arches, retombant sur des piles pourvues d'un avant-bec. Il possède trois tours,dont seules les deux placées sur les rives étaient fortifiées de mâchicoulis et d'archères. Chaque extrémité était à l'origine protégée par un châtelet, ces éléments ayant presque disparu de nos jours.
La construction de ce pont fut une entreprise qui s’avéra si difficile et longue qu’on supposât que seul un accord entre le Maître
d’œuvre et le diable avait pu en venir à bout. L’architecte aurait signé un pacte avec le démon lui proposant son âme en échange de l’achèvement du pont.
Mais le maître d’œuvre n’ayant aucunement l’intention d’honorer ce pacte aurait mis comme dernière condition que le diable
aille chercher de l’eau pour tous les ouvriers à la fin des travaux. Ce qu’il lui demanda, mais pour ce faire lui confia un tamis!
Le diable, vexé, se serait vengé en faisant tomber chaque nuit la dernière pierre de la tour centrale, afin que les travaux ne soient jamais terminés.
Paul Gout, en clin d’œil à la légende, a fait sculpter par Cyprien-Antoine Calmon, une pierre représentant le Diable tentant
d’arracher la pierre.
Je suppose que ce calendrier intéressera plus d'un.
Un grand Livre d'Histoire pour occuper les longues soirées d'hiver ou les longues journées de pluie.
Source...Ma Location est un monument historique...
Calendrier super ! tres instructif, de l'histoire facile a retenir .
Cliquez sur une date et déroulez le contenu !!!
ON PEUT Y PASSER DES HEURES..*** c’est une vraie encyclopédie à mettre dans vos favoris :
Vous cliquez sur une date du calendrier, par exemple, votre date d'anniversaire, et vous verrez tout ce qui est arrivé à travers plusieurs siècles à cette date.
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