De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
24/04/2017 - 08:38
GENT FEMININE : SA PARTICIPATION DE LONGUE DATE A LA VIE POLITIQUE.

(D’après « Le Petit Parisien » paru en 1908, « Histoire des villes de France avec une introduction générale pour
chaque province » (Volume 6) paru en 1848 et « Commission royale pour la publication des anciennes lois et ordonnances de la Belgique » (Volume 4) paru en 1862)

****************
Au lendemain du Congrès national des droits civils et du suffrage des femmes congrès tenu en 1908, Jean Frollo, chroniqueur du Petit Parisien,profite de l’occasion pour rappeler à ses contemporains que, contrairement à l’idée reçue selon laquelle les femmes étaient écartées de la vie politique, elles y prenaient en réalité part, notamment dès le
Moyen Age avec la célèbre loi Beaumont de 1182, ou lorsque Constance de Cezilly fut nommée gouverneur de Leucate par le roi Henri IV
.
Il est à présumer que les charmantes congressistes ne manqueront pas, à cette occasion – la tenue du Congrès du suffrage des femmes –, d’envoyer leurs félicitations aux suffragettes anglaises, comment Frollo.
Le fait est que dans la conquête du bulletin de vote celles-ci montrent une ardeur incomparable. 
Connaissez-vous leur dernière équipée ?
L’entrée du Parlement leur étant interdite, elles se sont avisées d’aborder l’enceinte législative du côté de la Tamise, dans une chaloupe pavoisée,d’où elles haranguèrent les députés accourus au spectacle !
Voilà ce qui s’appelle agir, et je me demande si nos suffragettes françaises sont capables de faire montre d’une telle vigueur et d’une telle ténacité.
 
 Vote des femmes. Légende : « Dites, la belle, si les femmes votaient, vous me donneriez bien votre voix ?
– C’qu’il y a de sûr, M’sieu l’Député, c’est que j’aimerai mieux vous donner ça qu’autre chose ! »

 
Aux dernières élections municipales, nous avons eu cependant, à Paris, une candidate, Mlle Laloë, qui a obtenu, dans le neuvième arrondissement, plusieurs centaines de voix.
Mais ces suffrages allaient-ils à la cause du féminisme et non à la gentille suffragette qui la défendait La psychologie de l’électeur parisien est tellement bizarre qu’elle justifie toutes les suppositions. 
A ce propos, savez-vous que Mlle Laloë ne fut pas la première à arborer, sur le terrain électoral. le drapeau des revendications féminines ?
Les vieux Parisiens se souviennent certainement encore de Mme Léonie  Rouzade, qui fut candidate aux élections municipales de 1881 : moins heureuse, elle n’obtint qu’une cinquantaine de voix.
L’année 1881 vit, du reste, éclore d’autres candidatures féminines. En provincenotamment, à Thorcy, en Meurthe-et-Moselle, trois femmes eurent chacune cinq suffrages.
Mais à Grandprey, dans les Ardennes, à Hoquetot, dans la Seine-Inférieure, à Vernay, dans le Cher, des femmes furent bel et bien élues « conseillères municipales ». 
Vous pensez bien que le méchant gouvernement – méchant parce que composé d’hommes – ne tint aucun compte de ces élections et les annula purement et simplement.
Sa façon d’agir, en cette circonstance, fut d’autant plus injuste que peu de temps après il fit remettre à chacune des huit      "cheffesses de district » de Tahiti une écharpe tricolore, laquelle écharpe leur conférait les pouvoirs d’« officières de l’état civil ». Or vous n’allezpas, je suppose, soutenir que, sous ce rapport, une Française soit inférieure à une Tahitienne ! s’exclame Frollo.
 D’ailleurs, même en France, l’homme est parfois obligé de reconnaître, en cette matière, la supériorité de la femme.
C’est ce qui se passa effectivement, il y a quelques années, dans un petit bourg de la Creuse, où, un jour de mariage, on ne trouva ni maire, ni adjoint, et l’unique conseiller municipal qui trônait dans la mairie ne savait ni lire ni écrire.
Alors – c’est Mme Hubertine Auclert qui le raconte dans une brochure de propagande – on vit une jeune fille ceindre l’écharpe officielle et unirles futurs époux suivant les règles de la loi, sans le moindre embarras!
 Au reste, auriez-vous jamais pensé qu’en bataillant en faveur de leurs droits électoraux, les suffragettes ne demandent qu’à revenir à un état de choses qui existait autrefois dans l’ancienne France ? C’est pourtantl’exacte vérité.
 Avez-vous entendu parler de la loi de Beaumont ?
Elle date de 1182 et ordonne aux femmes de prendre part aux délibérations concernant les affaires municipales.
N’est-ce pas bel et bien le droit de vote ?
La loi de Beaumont, octroyée originairement aux habitants de Beaumont-lez-Argonne (aujourd’hui Beaumont-en-Argonne, ville du département des Ardennes), en 1182, par le fondateur de cette ville, Guillaume, archevêque de Reims, commence ainsi : « Nous avons constitué et fait bastir en nostre terre une ville appelée Beaumont, et y avons mis coustume, franchise et droits qui s’ensuivent, etc. »
 Cette coutume ou loi de Beaumont se compose de 54 articles, dont voici le sommaire : droits à payer par les bourgeois ; vendre sans payer vinaige ou tonlieu ; fours et moulins banaux ; libre usage des eaux et des bois ; maire, mairiers, jurés pour un an ; mayeur nommé du consentement des jurés ; faux témoignage, coups, armes, blessures, meurtre ; assaillir quelqu’un dans sa maison ; possession d’an et jour ; point d’autre justice que celle du lieu pour les bourgeois ; « ce qui aura étédiscerné et arresté par les jurés, sera ferme et stable sans contradiction » ; preuve par témoins ; voleurs exclus de la ville ; amende contre les jurés, lorsqu’un contredit à leur jugement est trouvéfondé ; injures envers les forains, à l’audience, par les forains ; s’émanciper dans la vendange ou moisson d’autrui ; injures envers le maire ; « une femme injuriant une autre femme, sera condamnée à l’amende, sinon condamnée à porter des pierres le jour de dimanche dans la procession, en chemise» ; droit de refuge pour quelque méfait que ce soit, fors larcin et homicide ; accusé de larcin, soubion... sera soumis au jugement de l’eau ; « personne ne se peut gager pour sa propre dette sans le consentement du
mayeur et des jurés
; » défense de faire marne, charbons ou cendres au bois ; « de toutes les amendes... les bourgeoisrecepvront moitié pour la munition de la ville » ; les bourgeois seront obligés de se trouver à l’armée de l’archevêque ; « exemption, pour le maire et les échevins, des redevances touchant les masures et jardins » ; menace d’excommunication, « sauf à toutes ces choses le droit ecclésiastique et le Saint-Siège apostolique. »
 Cette loi de Beaumont, dont la publication fut adoptée, non seulement par les villes et provinces voisines en France, mais encore nommément par le duché limitrophe de Luxembourg. 
Je ne sais pas ce que pouvait être à cette époque l’agitation féministe, écrit Jean Frollo.
Toujours est-il que si, en 1302, lors de la réunion des premiers Etats généraux,les dames détenant des fiefs, étaient représentées par des nobles et des ecclésiastiques
– vote par procuration
– deux siècles plus tard, trente-deux veuves siégeaient déjà aux Etats de Franche-Comté.
Ces veuves nobles étaient donc, comme nous dirions aujourd’hui, des « femmes députées ».
J’ajoute qu’au treizième et au quatorzième siècles, on vit des femmes juges siéger dans les tribunaux.
« On a conservé,écrit Mme Hubertine Auclert,les arrêts rendus par nos femmes juges, et leurs arrêts valent ceux de nos meilleurs magistrats. » Naturellement !

 A cette époque, il y eut des ambassadrices et même des « générales ».
C’est, du moins, l’histoire véridique de Françoise de Cezelli (également mentionnée sous le nom de Constance de Cezelli) qui, en l’absence de son mari, défendit si héroïquement, contre les Espagnols, la place forte de Leucate – qui gardait la frontière entre l’Espagne et la France –, que le roi Henri IV n’hésita pas à la nommer gouverneur de la ville, qu’elle avait
su conserver à la France.

Leucate est en effet célèbre dans l’histoire des guerres religieuses du XVIe siècle par l’héroïque résistance que l’épouse du gouverneur Jean de Boursiez, seigneur de Barri de Saint-Aunez, y opposa en 1590 à six mille lansquenets, tant Espagnols qu’Allemands, débarqués au port de la Nouvelle. 
Les ligueurs avaient enlevé son mari, sur la route, et lui offraient sa liberté en échange de la place.
Irrités de ses refus, ils firent étrangler Barri de Saint-Aunez et lui envoyèrent son cadavre.
Non seulement elle supporta ce coup avec courage, mais encore elle eut la magnanimité de ne point livrer par représailles à la fureur du soldat le prisonnier de guerre Loupian, qui avait dû lui répondre des jours de son mari.
Signalons qu’en 1637, les Espagnols, connaissant le chemin de Leucate, le reprirent sous la conduite du comte Serbellon, l’un des meilleurs généraux de Philippe IV d’Espagne.
Leurs forces pouvaient monter à quatorze mille hommes de pied et deux mille chevaux.
Le duc d’Hallwin, gouverneur du Languedoc, ayant convoqué la noblesse et les communes de la province, marcha aussitôt à la rencontre de Serbellon, avec onze mille fantassins et environ mille chevaux.
Les archevêques de Narbonne et de Bordeaux, les évêques d’Agde, de Béziers et d’Albi, s’associèrent aux périls de cette expédition.
Le 27 septembre, les Espagnols capitulèrent dans la ville de la Palme, dont ils s’étaient emparés ; le 28, ils eurent à se défendre dans les formidables retranchements qu’ils occupaient sur tout le front de la montagne : ils en décampèrent le lendemain, au point du jour, « laissantleurs morts, leurs blessés et leurs bagages à la merci des Français ».
Le duc d’Hallwin se dirigea sur-le-champ vers Leucate, où la femme du gouverneur Hercule de Barri (fils de Jean), avait remplacé dans le commandement son mari, grièvement blessé pendant le siège, et s’était montrée la digne bru de Françoise de Cezelli.
  
Les nouvelles professions pour femmes : colleuse d’affiches
 
Au moment des guerres de la Révolution, il y eut des femmes soldats, écrit encore Jean Frollo.
Elles firent bravement leur devoir et se battirent comme des hommes. Thérèse Figueur, qui servait dans les dragons, eut deux chevaux tués sous elle et fut blessée cinq fois elle se retira en 1815. après vingt-deux ans de service, avec deux cents francs de pension.
Virginie Ghesquière, dite le « joli dragon », s’engagea a la place de son frère jumeau et se distingua à Wagram. Marie Schellinck, frappée de six coups de sabre à Jemmapes, blessée à Austerlitz et à Iéna, eut une citation à l’ordre du jour de l’armée : elle fut nommée sous-lieutenant, et décorée de la Légion d’honneur pour ses douze campagnes et ses dix-sept années de service.
Voilà ce que disent les suffragettes quand on leur objecte que, n’étant pas astreintes au service militaire, elles ont tort de réclamer l’égalité des droits politiques.
Elles ajoutent que jamais on n a contesté le droit de voter à ceux qui ont été refusés au conseil de révision, et qu’elles feraient d’excellents « riz-pain-sel » si on voulait les utiliser dans les services de l’intendance et des transports, ajoute Frollo. 
Mais je reviens aux suffragettes anglaises. Vous avez certainement remarqué que John Bull les laisse faire sans trop s’émouvoir de leurs clameurs.
Est-ce parce qu’il sait, de par son histoire, que, sur le sol de la libre Angleterre, toutes les opinions ont le droit de se manifester ?
Ou bien pense-t-il que cette réforme électorale n’est pas encore mûre, parce que les étapes qu’elle comporte, n’ont pas été franchies, une à une ?
Si telle est son idée, elle est amplement justifiée par l’histoire du féminisme en Norvège.
 
Il est vrai qu’en Norvège les femmes possèdent, depuis un an, le droit de voter – Jean Frollo écrit en 1908 –, et qu’en 1909. au moment du renouvellement du Storthing, 300000 citoyennes participeront aux élections législatives. Mais, ce qu’on ne dit pas, c’est que, avant de leur accorder le bulletin de vote, on a eu soin de faire à fond leur éducation politique. Et cette œuvre a exigé un peu plus d’un demi-siècle!
 
A ce point de vue, rien, en effet, n’est aussi instructif que les étapes du féminisme en Norvège. De 1854 à 1888 on confère successivement à la femme le droit d’hériter, d’acquérir, d’être majeure dans les même conditions que l’homme, puis celui de disposer librement de ce qu’elle gagne par son travail. En 1889, elle voit s’ouvrir devant elle les portes des Universités et, douze ans plus tard, on lui octroie l’accès de tous les emplois publics, les tribunaux et l’administration de la
justice y compris.

En 1901, elle obtient le droit de voter aux élections municipales et c’est précisément parce que cette réforme a donné d’excellents résultats, que ce droit vient d’être étendu aux élections législatives.
 
Les suffragettes ont-elles jamais réfléchi à la morale qui se dégage de l’histoire du féminisme en Norvège ? A mon avis elle leur déclare – et notre bon La Fontaine l’a déjà dit – que rien ne sert de courir, et que l’excès de vitesse est un défaut en tout, conclut Jean Frollo.



24/04/2017 - 08:00
FEMME MONGOL...


 
Une femme mongole tire le lait d'une nak par un froid matin.
Cette scène intime a impressionné l'éditeur Your Shot, Matt Adams.

 
"C'est un excellent portrait, capturant quelqu'un dans son élément, faisant une tâche qui le / la définit. Une excellente photo qui capture l'expression de ce beau visage", a-t-il déclaré.
 
PHOTOGRAPHIE DE JOSÉ VÍLCHEZ,

24/04/2017 - 07:57
AROMATES INSOLITES VENUS D'ORIENT.

Découvrez de nouvelles saveurs sans vous ruiner ni courir les épiceries fines, qui vous les envieront !
Ces plantes aromatiques étonnantes et méconnues s'obtiennent à partir de graines, que vous trouverez chez les fournisseurs spécialisés.
Elles aiment toute la chaleur et sont à semer d'avril à juin, lorsque la terre est réchauffée.
Sous abri, vous pouvez hâter la culture d'un mois, par exemple en les lançant dans des terrines posées derrière une vitre lumineuse.
Prévoyez de belles quantités car leur rareté dans le commerce vient aussi de leur production modeste, comparée aux gros bras comme le persil ou la menthe…
 

Le thé du jardin cache bien son jeu avec son parfum fort et agréable, que sa stature menue ne laisse pas deviner ! Dracocephalum moldavicum est un cousin de la marjolaine, avec un arôme frais intermédiaire entre cette dernière et la menthe.
Le thé du jardin rappelle un peu la guimauve (la confiserie, pas la plante). On le consomme frais car son parfum délicat est fragile.
Le cultiver : semez-en place en espaçant les graines de 5 cm, sur un rang, en couvrant de 5 mm de terreau de semis.
Le thé du jardin se cultive très bien en pot, comme le basilic.
En cuisine : employez ses feuilles fraîches en infusion ou pour réaliser des pâtisseries, à la manière de la menthe.

Le sésame

Le sésame est une plante très rarement cultivée chez nous, alors qu'elle est des plus faciles. Cette petite graine est bien connue pour son huile ou sous forme entière, dans la cuisine asiatique.
Au jardin, celui que vous récolterez aura une saveur bien plus prononcée que celui du commerce, qui a souvent attendu plus d'un an et s'est éventé.
Son goût ? Celui du sésame en plus fort, avec une pointe plus "sauvage". Mais n'espérez pas à en tirer de l'huile !
Le cultiver : semez la semence à la volée, à raison d'une graine tous les centimètres.
Couvrez de 2 mm (environ !) de terreau fin.
Lorsque les plantules ont levé, retirez-en une partie pour ne garder qu'un plant tous les 10 cm.
Arrosez de temps en temps et récoltez lorsque les capsules commencent à s'ouvrir.
En cuisine : utilisez la graine entière, parsemée à la surface des plats ou une fois grillées à la poêle pour en adoucir le goût.

Le fenugrec

Le fenugrec ressemble à une luzerne menue. Ses gousses ont une curieuse allure de petites cornes mais ne piquent pas. Ce cousin du pois produit de petites graines dures prisées dans la cuisine orientale et indienne.
On les consomme aussi en graines germées à la façon du soja. La graine a une saveur d'épice assez indescriptible, rappelant le curry (dont c'est un des ingrédients possibles).
C'est aussi un engrais vert.
Le cultiver : semez-le après avoir laissé tremper les graines pendant une nuit, à 5 mm de profondeur.
Tenez humide jusqu'à la levée puis arrosez modérément en suite, le fenugrec étant assez résistant à la sécheresse.
Récoltez lorsque gousses sont sèches, en séparant les grains.
En cuisine : le fenugrec s'utilise plutôt grillé et pilé ou moulu. Dispersez-en une pincée sur le riz ou les plats à relever.
La coriandre On connaît sa saveur sous forme de feuilles, que l'on ajoute à certains plats.
Mais c'est sa graine qui vous étonnera ! Pilée ou croquée, elle dégage un arôme de bonbon, jamais écœurant ni trop présent.
Cet arôme tient bien à la cuisson, à la différence de la coriandre en feuilles.
La cultiver : semez-la jusqu'en septembre et même bien au-delà en climat doux ou en sol sableux.
La coriandre résiste à l'hiver et ne fleurit que l'année d'après, comme une bisannuelle. Récolter les graines lorsqu'elles sèchent, avant qu'elles ne tombent.
En cuisine : employez les graines après les avoir pilées ou passées au mixeur avec du sucre, puis incorporez dans vos préparations.
A tester dans des biscuits, effet garanti !

 

La coriandre se récolte en grain lorsqu'elle est bien sèche. ici, il faudra encore attendre quelques semaines.

24/04/2017 - 07:51
Le Vietnam...


23/04/2017 - 18:51
NE JETER PLUS VOS CURE-DENTS.

C'est en quelque sorte le projet de toute une vie. Depuis 35 ans, Scott Weaver travaille sur sa sculpture faite à partir de cure-dents qu'il ramène du monde entier. Plus de 100 000 cure-dents ont été nécessaire à la réalisation de cette incroyable création.



C'est un travail de titan dans lequel Scott Weaver s'est lancé il y a aintenant 35 ans. Son oeuvre faite à base de cure-dents est une
représentation de la ville de San Francisco intitulée « Rolling through the Bay« . Plus de 100 00 cure-dents et 3 000 heures auront été
nécessaires pour parvenir à ce résultat fantastique qu'on vous laisse découvrir dans les photos ci-dessous.



« J'ai utilisé différentes marques de cure-dents en fonction de ce que je construis. J'ai aussi beaucoup d'amis et de membres de ma famille qui collectent des cure-dents dans leurs voyages pour moi.

Par exemple, certains des arbres du Golden Gate Park sont fabriqués à partir de cure-dents en provenance du Kenya, Maroc, Espagne, Allemagne de l'Ouest et d'Italie. Le cœur à l'intérieur du Palais des Beaux-Arts est fait de cure-dents que les gens jetaient à notre mariage » raconte l'artiste.











23/04/2017 - 16:40
L’hôtel Skylodge Aventure au Pérou.


Perché au-dessus de la Vallée Sacrée de Cusco au Pérou, vous trouverez le Skylodge.
Trois suites de capsules totalement transparentes et une salle à manger avec cuisine suspendue à 400 m au-dessus du plancher de la vallée.
Arriver à votre lit n’a jamais été une telle aventure à escalader. Après une montée de 1,5 heure sur la montagne, vous pourrez déguster un diner gastronomique dans une vasque circulaire en salle à manger, puis profiter d’une bonne nuit de sommeil sous les étoiles dans
votre gélule endormie (avec sa propre salle de bain privée). Le lendemain matin, montez dans la salle à manger et profitez d’un
délicieux petit-déjeuner avec une vue superbe avant de retourner dans lamontagne.
Voici le lien pour réservez votre séjour, mais assurez-vous d’être à l’aise avec des hauteurs!  http://naturavive.com/


23/04/2017 - 10:06
C'est Vrai Ou C'est Faux...Extraits Du Livre De Lydia Mammar
                    -Tous-Droits-Réservés- Attention Faits Surprenants...-

Source :  Maison Écologique en Amérique du Nord...

L'Homme A Plus De Poils Que La Femme.
Le poil comme la pomme d'Adam, est indéfectiblement associé au mâle. Il lui a collé à la peau. Qui dit poil dit homme, virilité, et tant qu'à faire...en plus grande quantité que chez la femme.
Mais tout ceci n'est qu'illusion : l'homme n'a pas plus de poils que la femme. il n'en a pas moins non plus : l'homme et la femme en ont autant !
Ceux qui ont un peu de temps à perdre peuvent vérifier : le nombre de poils des hommes et des femmes est identique.

L'homme a l'air plus poilu que la femme, du moins que certaines femmes, car sous l'action de la testostérone, les poils masculins sont plus développés et vigoureux. Généralement, les poils  chez la femme sont moins visibles et restent à l'état de duvet, plus fins et moins pigmentés.

Frankenstein Était Un Monstre Hideux.
Frankenstein n'est pas le nom du monstre hideux, mais celui de son créateur, Victor Frankenstein, docteur Suisse. Dans le célèbre roman de Mary Shelley, Frankenstein ou le Prométhée moderne
(Frankenstein or the modern Prométheus) publié en 1818, la créature issue de manipulations du docteur Frankenstein est appelée "le monstre" "le démon" ou plus prosaïquement "la créature". 
Ce sont les adaptations cinématographiques du roman qui ont désigné Frankenstein comme le monstre hideux immortalisé  par Boris karloff, au détriment de son géniteur !

Les Cheveux Et Les Poils Poussent Indéfiniment.
Que se passerait-il si on ne coupait pas nos cheveux, si on ne se rasait pas, si on ne s'épilait pas du tout pendant un certain temps ? On seraittrès vite hirsute vraisemblablement.
Mais contrairement à l'idée couramment admise, les poils et les cheveux ne poussent pas indéfiniment.  poils et cheveux ont une vie rythmée par trois cycles successifs : la croissance,appelée phase anagène ; la stagnation ou phase catagène ; et la mort ou phase télogène.
La durée moyenne de la phase anagène est de trois ans pour les cheveux et trois semaines pour les poils. Au bout de trois ans pour un cheveu, de trois semaines pour un poil, celui-ci finit par mourir de sa belle mort et tomber, remplacé immédiatement par un jeune cheveu ou un jeune poil en pleine phase anagène, et ainsi de suite...

Les Ongles Et Les Cheveux Poussent Après La Mort.
Encore une idée reçue à oublier ! Ni les ongles ni les cheveux, ni rien du tout d'ailleurs ne pousse après la mort.
Dès que la circulation sanguine est interrompue, au moment du décès, les cellules cessent d'être approvisionnées en oxygène : or le sang et l'oxygène sont indispensables aux follicules qui fabriquent les cheveux et les ongles. La mort interrompt ainsi le processus de fabrication des cheveux, des ongles et des poils.
L'idée que les ongles et les cheveux poursuivent leur croissance post mortem vient sans doute du fait qu'ils ne se dégradent pas aussi rapidement que la peau, qui se déshydrate et se ratatine, ce qui donne l'impression qu'ils ont pu continuer à pousser.

Les Cheveux Peuvent Blanchir En Une Nuit.
Il paraît que la chevelure de la reine Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, a entièrement  blanchi pendant la nuit qui a précédé son exécution, le 16 octobre 17993.
Cela est même devenu un syndrome, appelé "canitie subite" (la canitie étant le blanchissement des cheveux 0 ou "syndrome de Marie-Antoinette".
Sous l'effet du choc ou d'une épreuve psychologique, les cheveux pourraient blanchir en une nuit seulement.
En réalité, le blanchissement des cheveux ne peut avoir lieu pendant un laps de temps aussi court, sauf pour les personnes aux cheveux poivre etsel souffrant de certaines pathologies.
Le blanchissement peut malgré tout être rapide, en cas de chute de cheveux encore pigmentés, sous l'effet d'un choc psychologique ou d'une très vive émotion : seuls les cheveux blancs plus résistants que les cheveux pigmentés, restent alors en place, ce qui donne, en effet, l'impression que l'on a blanchi d'un coup.

Le Chocolat Provoque La Migraine.
Les ennemis du chocolat, et il y en a, prétendent que celui-ci provoque des crises de migraine : tout cela parce que le chocolat contient de la tyramine et de la phényléthylamine , deux substances susceptibles de déclencher des migraines.
Mais il faudrait que le chocolat contienne ces deux substances en beaucoup plus grande quantité pour qu'elles déclenchent des crises de migraines.
Les migraineux, comme les autres, peuvent continuer à manger tranquillement du chocolat, il e leur arrivera rien de grave.
23/04/2017 - 08:37

LES PAPILLONS FICTIFS ANIMES COMME DES GIFS...


par Kate Sierzputowski








23/04/2017 - 08:32
DES BOLS FAITS DE METAUX MELANGES ET FORGES AVEC ART...

Fusionnant des techniques anciennes avec une esthétique contemporaine, les Double Bowls sont des pièces uniques en provenance d'un mélange de laiton recyclé, de cuivre, de zinc ou de nickel dans ce nouveau projet de l'artiste Kawther Al Saffar .

Les bols sont réalisés en partenariat avec Alwafi Foundry au Koweït qui utilisent une variété de méthodes de coulée de sable avec du sable acquis à partir du fleuve Nil voisin.
Au lieu de masquer ou d'éliminer les imperfections laissées derrière le processus de casting, Saffar a choisi de les mettre en évidence, donnantà chaque bol un design unique tout en faisant référence à la complexité intrinsèque de forger un seul objet à partir de deux matériaux différents.
Saffar est né et a grandi au Koweït et a assisté à la Rhode Island School of Design où elle a étudié le design industriel, et vous pouvez voir plus de son travail dans son portefeuille .
Les Double Bowls financent actuellement Kickstarter , et il semble qu'ils ont brisé leur objectif de financement presque immédiatement.



















 
 

23/04/2017 - 08:27
QUE SONT DEVENUES LES PIERRES DE LA BASTILLE ?

 
La brève culture  La prise de la Bastille fait partie des événements les plus marquants de l’Histoire de France.
À l’école, nous avons appris qu’en ce 14 juillet 1989, des centaines de Parisiens se sont rués vers cette prison symbole de l’Ancien Régime et de sa justice arbitraire, détruisant les cellules et libérant les prisonniers sur leur passage. 
Nous savons également que l’immense forteresse construite au XIVe siècle a été détruite après cet événement.
Ce que nous savons moins, c’est que la prison de la Bastille a commencé à être démolie dès le 16 juillet 1789 et que ses pierres ont majoritairement profité à un homme : Pierre-François Palloy.
Cet entrepreneur en travaux publics est en effet désigné comme démolisseur officiel de l’édifice dès le lendemain de la prise de la Bastille et fait débuter les travaux immédiatement.
L’homme qui s’est auto-proclamé « le Patriote » profitera pleinement de son statut pour se faire de l’argent et mettre en valeur ses idéaux révolutionnaires.
Si les plus gros blocs de pierre sont réutilisés pour terminer la construction du Pont de la Concorde, les plus petites pierres sont sculptées et transformées en modèles réduits de la forteresse de la Bastille.
Ces reproductions « miniatures » de 40 cm de hauteur, 60 cm de largeur et 1m de longueur sont envoyées aux hautes instances de l’époque ou vendues comme des souvenirs.
Elles deviennent rapidement des objets de culte, servant de faire-valoir au mythe patriotique de la prise de la Bastille et de symbole d’une liberté reprise aux mains des privilégiés par le peuple de Paris.
Quelques uns de ces modèles réduits existent encore aujourd’hui et sont exposés au public, au Musée Carnavalet et dans la salle du Jeu de Paume de Versailles, par exemple.
* Il y a des questions sur Paris dont on aimerait bien avoir la réponse. Que ce soit des interrogations importantes sur la capitale, son histoireou ses bonnes adresses ou des mini-informations à picorer dont on peut se servir pour briller en société.