Réalisez de jolies fleurs printanières en papier et transformez votre chambre en un havre de paix.
Si vous souhaitez apporter une touche bucolique et printanière à votre déco, ce DIY est fait pour vous.
En suivant les étapes et avec quelques feuilles de papier, réalisez facilement et à moindre coût une composition florale pour décorer vos murs. Par Atelier Fête Unique, Paris -
Matériel : Des feuilles de papier (rose, rouge, vert et marron) Des pompons Un gabarit de fleur et de feuille De la colle Un crayon Un couteau de précision (ou des ciseaux) Étape n° 1 : Imprimez le gabarit sur une feuille A4 et découpez les formes en suivant le contour.
Étape n° 2 :Tracez au crayon les gabarits de fleurs sur les papiers rouges et roses et ceux de feuilles sur les papiers marron et verts. Coupez toutes les formes tracées.
Étape n° 3 : Recourbez les bouts des pétales et des feuilles avec le manche d’un objet rond, type crayon ou stylo.
Étape n° 4 : Collez les fleurs de tailles différentes entre elles pour en former uneseule. Coupez un pompon en deux et collez les demi-pompons au cœur de chaque fleur.
Étape n° 5 : Réalisez votre composition florale en fixant les fleurs et les feuilles avec un adhésif adapté à la pose au mur et repositionnable. Par Atelier Fête Unique, Paris -
Elle habillera aussi bien le mur de votre salon que la tête de lit de votre chambre. Astuce déco : Vous pouvez monter les fleurs sur un cercle coupé dans du papier pour former une couronne.
L'incroyable parcours d'Onkar, un jeune homme qui en veut !
Dans la rue à 13 ans, à la tête d’une entreprise florissante et patron de deux employés moins de 10 ans plus tard... C'est la drôle de parcours d’Onkar Singh, un jeune homme de 24 ans, originaire du Pendjab (Inde) et fier résident de la petite commune de Garancières (Yvelines).
La rage de s’en sortir, une volonté inébranlable de réussir et peut-être une certaine propension au travail acharné : voilà les armes qui ont constitué, pour Onkar, l’artillerie mentale d’un combat rudement bien mené, comme le rapporte Le Parisien.
Crédit photo : www.leparisien.fr
« Parfois, devant la glace, je pleure de joie parce que j’ai réussi. » Et on le comprend. Car Onkar a 13 ans lorsqu’il fuit sa petite province au nord de l’Inde, aidé par un passeur, direction Paris. Avant cela ? Le dur labeur des champs depuis ses 7 ans, sous les coups de son père. Et une morsure de serpent en héritage, qui lui fera se rappeler 9 ans plus tard : « Je ne sais pas ce que c’est d’être enfant. »
Dès son arrivée dans la capitale, incapable de s’exprimer dans la langue française, Onkar consacre la quasi-totalité de son temps au travail, afin de rembourser au plus vite les 13 000 € alloués au passeur qui l’avait aidé à traverser la moitié de la planète.
Comme le rapportent toujours nos confrères, le jeune homme parvenait à peine à rassembler plus de 60 € par jour, à l’époque, qu’il réussit cependant à cumuler ici et là, entre les marchésle jour et les décharges de camion la nuit. Il tient ce rythme effréné durant près de six mois avant de se faire interpeller par des contrôleurs dans le train. Plus de peur que de mal pour Onkar, qui se retrouve immédiatement pris en charge dans un foyer, puis par la fondation Apprentis d’Auteuil, une organisation catholique œuvrant pour les jeunes et les familles les plus défavorisées.
Crédit photo : www.apprentis-auteuil.org Une vraie bénédiction pour le jeune homme, qui bénéficie grâce au soutien de l’association, de cours de français, mais aussi de formations qui luipermettront d’empocher deux diplômes à l’aube de ses 18 ans. Riche de son CAP menuisier installeur et de son CAP menuisier fabricant,Onkar obtient un contrat à durée indéterminée dans l’entreprise qui l’avait formé. Une aubaine pour l’Yvelinois d’adoption qui, à force d’aménager des véhicules utilitaires, saisit l’ampleur du marché. Une intuition qui lui permet de toucher du bout des doigts ses rêves d’entreprenariat : « J’ai vu que ça marchait très bien. En plus, il y a moins de concurrence par rapport à la plomberie ou bien l’électricité. »
Le Pundjabi, qui, jadis, ratissait les champs de blé et de riz, prend le temps de se faire les armes et saute le pas quatre ans plus tard, en suivant un stage de comptabilité d’une semaine, offert par la Chambre demétiers et de l’artisanat de Versailles en échange de la somme de 280 €.
Plus motivé que jamais, si Onkar prend une véritable revanche sur la vie, c’est lorsqu’il décide d’investir les 5000 €, durement gagnés (et épargnés) à la sueur de son front, pour les investir dans sa société. Elle s’appelle « Onkar », et elle lui coûtera près de 10 000€ d’investissement. Mais pour Onkar, la volonté prime sur l’angoisse adjacente à la prise de risques : « J’ai économisé en travaillant jour et nuit. » Crédit photo : www.apprentis-auteuil.org
« On ne fait pas attention à l’heure quand on est à son compte » peut s’enorgueillir Onkar qui est aujourd’hui l’heureux patron de deux salariés.
Preuve qu’il fait bon de faire confiance, faire fi des paroles décourageantes de certain(e)s qui pourraient laisser penser que les secondes chances s’économisent, et que les miracles… ne sont pas que des légendes !
Ça s'est passé à Lyon un 20 avril : 1er trafic à l'aéroport de Satolas.
De la création de la "Grande Loge des Maîtres réguliers de Lyon" en 1760 à la grève de la faim de l'abbé Christian Delorme pour obtenir l'arrêt des expulsions desenfants délinquants en 1981, Lyon Capitale vous propose de (re)découvrir les faits historiques qui ont marqué les 20 avril au fil des siècles à Lyon.
1760 : Création de la Grande Loge des Maîtres réguliers de Lyon, par les loges : L'Amitié, La Parfaite Amitié, Les Vrais Amis. 1786 : Séance inaugurale du "Salon des Arts". Salon de lecture, salon d'exposition, séances littéraires, cours publics. 1791 : Adjudication de la chapelle et clos de Saint-Sébastien, propriété des religieuses des Colinettes, à Bertrand. Démolie en l'an II. 1799 : Installation, à la Croix-Rousse, de la municipalité cantonale. Président : Raymond Ravina. La municipalité cantonale cesse ses fonctions le 16 mai 1800, retour à la Commune.
Napoléon Bonaparte renouvelle le conseil municipal1815 : Décret impérial renouvelant le Conseil municipal. Maire : G. Jars. 1826 : Fermeture du grand Théâtre, pour travaux de restauration (puis pour reconstruction). 1828 : Le Musée royal (Louvre) achète la collection d'objets médicaux et de la Renaissance de Pierre Revoil. 1832 : Traité entre la Ville et le ministère de la Guerre, sur les fortifications : la Ville garde la nue-propriété des terrains, et laisse à l'État la jouissance des ouvrages. 1832 : Mort de Jacques François Madiot, directeur de la pépinière de naturalisation du Rhône.Lyon. Né à Craon,Mayenne). 52 ans. 1843 : Inauguration, dans la chapelle de Fourvière, du tableau votif de l'inondation de 1840, œuvre de Martin-Sauvigny. 1852 : Pose de la première pierre de la statue équestre de Napoléon Ier, œuvre de Nieuwekerque, place Perrache. 1866 : Création de l'imprimerie "Association typographique lyonnaise" (A.T.L.). Coopérative ouvrière de production.
Le tunnel sous la Croix-Rousse est inauguré le 20 avril 19521913 : Fête solennelle du centenaire de la naissance de Frédéric Ozanam sous la présidence de Mgr Sevin. 1914 : Inauguration du monument et du buste élevé sur la tombe de Théodore Lévigne, au cimetière de St Romain au mont d'Or. 1919 : Congrès national de la ligue de représentation professionnelle et d'action régionaliste, au Palais de la Mutualité. Président : Jean Hennessy, député de la Charente. 1932 : Mort de Gabriel Gerin, écrivain. 1947 : Mort de Jean-Jacques-François Corignet, ancien président de la Chambre de Commerce (1911-1921), ancien Sénateur (1920). Lyon 6e. (Né à Lyon 3e, le 13 mai 1855). 1952 : Inauguration du pont Poincaré, reconstruit. 1952 : Inauguration du tunnel routier sous la Croix-Rousse. 1955 : Exposition Tony Garnier, à Paris, École des Beaux-Arts. 1962 : Inauguration de la Maison des Jeunes et de la Culture des États-Unis, en présence du ministre de la Jeunesse et des Sports (M. Herzog).
En 1976, le maire annonce la récupération du verre et du plastique à Lyon1969 : Inauguration de la Pierre-Bénite, en son nouvel emplacement, et de la plaque commémorative. 1973 : Inauguration, à Gerland, de grands vestiaires pour la plaine de jeux. 1975 : A 0h00, ouverture au trafic de l'aéroport de Satolas, fermeture de celui de Bron. 1976 : Le maire de Lyon, président de la Communauté urbaine, annonce la mise en service d'un nouveau système de ramassage et de récupération du verre et du plastique "P.V.C.". 1978 : Festival du cirque : neuf cirques présents à Lyon. 1978 : "Journées libanaises". Le 23, plantation d'un "cèdre de l'amitié" au parc de la Tête d'Or. 1979 : Arrêté préfectoral publiant le Plan d'occupation des Sols pour la Communauté Urbaine-Secteur nord-ouest. 1980 : "Expobain", premier Salon européen du Bain, à Lyon. 1980 : Séjour à Montréal (Québec) du maire de Lyon et d'une importante délégation lyonnaise. 1981 : Grève de la faim de l'abbé Christian Delorme (assisté du pasteur Jean Costil) pour obtenir l'arrêt des expulsions des enfants délinquants. Succès.
ILS ÉTAIENT JEUNES, Johnny, Jacques et Eddy maintenant ......
JOHNNY HALLYDAY, IDOLE DES FRANÇAIS,17 JUIN 1961 : JOHNNY HALLYDAY FÊTE SES 18 ANS.
MARS 1964 : JOHNNY HALLYDAY POURSUIT SES ETUDES
LORS DE SON SERVICE MILITAIRE. SYLVIE VARTAN, PREMIERE FEMME DE JOHNNY. 12 AVRIL 1965 : JOHNNY HALLYDAY SE MARIE AVEC SYLVIE VARTAN À L'EGLISE DE LOCONVILLE
14 AOÛT 1966 : NAISSANCE DE DAVID HALLYDAY À LA CLINIQUE DE BOULOGNE
LE ROCKEUR MET LE FEU AU PALAIS DES SPORTS 30 OCTOBRE 1972
JOHNNY HALLYDAY ET CLAUDE FRANÇOIS 16 SEPTEMBRE 1977 : MICHEL SARDOU, CLAUDE
JOJO ET CARLOS JUIN 1981 : EN COMPAGNIE DE CARLOS LORS DE SON ANNIVERSAIRE. CARLOS, A L'EPOQUE ASSISTANT DE SA PREMIERE FEMME SYLVIE VARTAN, EST DEVENU UN DES MEILLEURS AMIS DE JOHNNY.
Par quoi remplacer le sucre blanc ? On ne le dit jamais assez, le sucre blanc n’est pas bon pour la santé. Il fait bondir la glycémie et peut entraîner de nombreuses maladies. Heureusement, il existe de nombreux édulcorants naturels dont le pouvoir sucrant est aussi élevé que le saccharose, mais pour la plupart sans les calories. Petit tour d’horizon. Le sirop d’agave : 100 g = 310 calories Le sirop d’agave est issu de l’extraction de la sève de l’agave, un cactus mexicain. Essentiellement composé de fructose — un sucre contenu dans les fruits —, son pouvoir sucrant est plus élevé que celui du sucre blanc, et son pouvoir glycémique de 15 est nettement plus faible que celui du miel. Il permet donc d’éviter les pics d’insuline. Le sirop d’érable : 100 g = 260 calories Le sirop d’érable provient quant à lui de la sève de l’érable portée à ébullition. Son pouvoir sucrant est 1,4 fois plus élevé que celui du sucre blanc, avec un index glycémique plus faible (65 contre 70 pour le sucre). Il est riche en vitamine B, en protéines et en minéraux comme le zinc, le potassium, le calcium ou le manganèse. Le xylitol de bouleau : 100 g = 240 calories Disponible en magasin bio, ce sucrant naturel nous vient tout droit de Finlande. Le xylitol est deux fois moins calorique que le sucre. On peut l’utiliser pour sucrer tous les aliments, et notamment pour toutes sortes de pâtisseries. À condition de réduire les quantités de 40 %, puisque son pouvoir sucrant augmente sous la chaleur. Les appellations « sans sucre » cachent bien souvent du xylitol de bouleau (par exemple les chewing-gums). Le sukrin : 0 calorie Utilisé au Japon depuis 1990 et depuis 1997 aux États-Unis, il a été autorisé en Europe en 2006. Issu d’un processus de fermentation aboutissant à la cristallisation du glucose, le sukrin présente la même structure et l’apparence que le sucre. Il est d’origine 100 % naturelle et son index glycémique est nul. On le trouve difficilement en magasins ou dans les boutiques traditionnelles. Certaines grandes enseignes le commercialisent en ligne. Le Monk fruit : 0 calorie Le Monk fruit pousse au sud de la Chine et au nord de la Thaïlande. Ce petit fruit ovale, à mi-chemin entre la pomme et le kiwi, est utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter le diabète et l’obésité, des pathologies inflammatoires, les coups de froid et le mal de gorge. Son pouvoir édulcorant est 300 fois supérieur à celui du sucre pour 0 calorie. Pour le moment, il est uniquement commercialisé aux États-Unis, mais de nombreuses marques s’y intéressent de plus en plus. La stévia : 0 calorie Commercialisée sous forme de poudre et de liquide, ce sucrant naturel provient des feuilles des plantes stévia. Son pouvoir sucrant est 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre blanc. La stévia est régulièrement prescrite dans les régimes pour diabétiques et les régimes hypoglycémiques puisqu’elle n’agit que très peu sur le niveau de glucose dans le sang. Idéale pour sucrer les boissons chaudes.
Le domaine de Courances vaut sans doute plus pour son parc que pour son château Louis XIII pourtant très bien conservé et entièrement meublé. Mais le parc, dont les origines remontent à la Renaissance (le style de l'époque était le « jardin d'eau ») et qui n'a jamais cessé d'être embelli, est exceptionnel.
Classique mais aussi romantique : les arbres ne sont pas taillés « en rideau », ils créent des voûtes au-dessus de l'eau et l'on marche presque partout sur l'herbe.
Un parc si beau qu'il est mentionné par Madame de Sévigné dans ses correspondances et qu’il constituait une destination de promenade pour la Cour quand celle-ci était installée à Fontainebleau.
La visite commence par une longue allée pavée bordée de deux canaux dans lesquels se reflètent des platanes. Dix-sept pièces d'eau, dont les dernières ont été créées au début du XXe siècle par les Duchêne, père et fils, les paysagistes qui ont remis le jardin « à la française » à la mode.
La verdure du site est due aux quatorze sources, et à la rivière l’Ecole qui traversent le domaine.
Cinq siècles d'histoire des jardins qui s'illustre aussi avec le Jardin japonais, créé avant 1914, un rêve d'Orient qui apporte une touche d’exotisme dans cet ensemble. Cette vigueur végétale explique peut-être pourquoi un arbre avait réussi à germer au XIXe siècle en plein milieu d’un des salons du château, alors à l’abandon.
A Courances, on ressent plus fortement la présence de la nature que dans d'autres parcs et la liberté de ceux qui n'ont cessé de réinventer ces lieux.
1923 : Naissance de Tito Puente Ernesto 'Tito' Puente est un musicien très populaire et prolifique (plus de cent albums !) de musique latine. On le surnomme El rey del timbal (le roi de la timbale). Il a traversé toutes les modes : mambo, latin jazz, cha-cha-cha, pachanga, boogaloo, salsa...
Très tôt, il s'est mis à penser comme un danseur et non comme un musicien. Pendant les années 50, il joue du mambo presque tous les soirs au Palladium, lieu de rendez-vous des vedettes américaines. Il popularise ensuite le cha-cha-cha et il est le seul artiste non cubain à être invité à Cuba en 1952 à l'occasion de la célébration des 50 ans de la musique cubaine.
En 1956, il s'oriente vers le jazz avec l'album Puente Goes Jazz puis vers la bossa nova durant les années 60. Tito Puente enregistre des dizaines d'albums touchant à de nombreux styles différents et notamment à la salsa dans les années 80. Il est décédé le 31 mai 2000.
1934 : Shirley Temple, six ans, vedette du film Stand Up And Cheer
La carrière cinématographique de Shirley Temple s'engage sur la voie de lacélébrité, avec le lancement du film Stand Up And Cheer. La fillette, qui aura six ans quelques jours plus tard, y interprète de façon remarquable un numéro de chant et de danse.
Shirley Temple est une actrice et diplomate américaine, née le 23 avril 1928 à Santa Monica en Californie.
Elle tient une place à part dans l'histoire du cinéma : elle est en effet lapremière enfant-star à avoir connu une renommée internationale, due en grande partie à sa longue filmographie. Elle fut une véritable icône dans l'Amérique des années 1930 et 1940. Après sa carrière d'actrice, elle devient diplomate. Cette petite fille native de Santa Monica a joué dans plus de 40 films pendant les années 1930. On la remarque pour son talent dès l'âge de cinq ans : elle mémorisait parfaitement les pas de danse.
Elle s'est mariée à l'acteur John Agar en 1945 à l'âge de 17 ans, et le couple eut une fille appelée Linda Susan Agar (qui prit le nom de Black par la suite) en 1948. Ils divorcèrent en 1950, date à laquelle elle rencontra l'homme d'affaires Charlie Black, qu'elle épousa et dont elle prit le nom À leur rencontre, M. Black avoua qu'il n'avait jamais vu ses films. Avec M. Black, elle eut deux enfants : Lori et Charlie. Elle resta avec lui jusqu'à son décès d'un syndrome myélodysplasique le 4 août 2005.
Après sa carrière dans le cinéma, elle s'est impliquée en politique, dans le Parti républicain. Elle est nommée, en 1969, déléguée des États-Unis aux Nations Unies par le président Richard Nixon.
En 1974 et 1975, elle est membre du comité de direction de la Walt Disney Company
Elle fut ambassadrice au Ghana (1974-1976), puis en Tchécoslovaquie (1989-1992). Ayant vécu la révolution de velours, elle décrit cela comme « le meilleur travail qu'[elle] ait jamais eu ». En 1976, elle est devenue la première femme à être chef de protocole du département d'État des États-Unis.
1707 : Décès de Johann Christoph Denner
Johann Christoph Denner, né le 13 août 1655, est l'inventeur de la clarinette. Il commença par apprendre le métier de son père (tourneur de corne) puis s'orienta vers la facture des instruments à vent. Il obtint son brevet de maîtrise en 1697 pour la "fabrication d'instruments de musique français, principalement de hautbois et flûtes à bec".
Deux fils de Johann Christoph Denner continuèrent l'œuvre de leur père. Alors qu'aucune des clarinettes de Johann Christoph Denner n'est parvenue jusqu'à nous (les plus anciennes connues sont de Jacob Denner), on lui en attribue généralement la paternité
1889 : Naissance d'Adolf Hitler Adolf Hitler est né à Braunau en Autriche. (Fait surprenant, il n'était pas Allemand)
En 1900, il est inscrit à l'école secondaire de Linz. Son père meurt en 1903 (Hitler a 14 ans) En 1904, il est transféré à l'école de Steyr. Il quitte définitivement l'école en septembre 1905 et retourne à Leonding où il vit avec sa mère et sa soeur. En octobre 1907, il se rend à Vienne pour y préparer l'examen d'entrée aux Beaux-Arts. Ayant échoué l'épreuve d'admission, il retourne à Linz. Sa mère meurt le 21 décembre 1907. Peu après la mort de sa mère, la famille se désagrégea et Hitler partit pour Vienne pour y chercher fortune. En 1908, il fit une autre tentative pour entrer aux Beaux-Arts, il échoua de nouveau. En 1909 on le retrouve comme manoeuvre sur un chantier de construction, emploi qu'il perdra dans la même année. En novembre 1909, Hitler est congédié par sa logeuse, il échoue à l'asile de nuit où il fait la rencontre de Reinhold Hanisch. L'association Hitler-Hanish finit un beau jour sur une note aigre. Hitler accusa Hanish d'avoir détourné une partie du produit de la vente d'un tableau. Hitler fit arrêter Hanisch et témoigna contre lui. En 1912 il quitte Vienne pour Munich. Le 3 août 1914, Hitler s'engage dans l'armée allemande où il fait office à la fois de planton et d'estafette. Le 7 octobre 1916, il est blessé durant la bataille de la Somme par un éclat de shrapnel. La blessure est sans gravité et deux jours plus tard,il écrit à son capitaine (Capitaine Wiedemann) pour être rappelé. Séjour à l'hopital militaire de Pasewalk. Il est décoré de la croix de fer 1ère classe le 4 août 1918. Après la guerre il fait une demande pour intégrer l'armée de l'armistice à Trausstein, il y restera jusqu'en avril 1920. Il est ensuite affecté à une caserne de Munich. Il tente un putsch à Munich le 8 novembre 1923. Après l'échec, il se cache chez les Hanfstaengl.Il devint chef du parti national-socialiste en 1927. En 1932 il commença à s'intéresser à Eva Braun. Il devint chancelier en 1933. Il devint Führer (Fuhrer) en 1934. Il se proclama ministre de la guerre le 4 février 1938 . Le 16 décembre 1939 Eva Braun s'installe à la chancellerie (d'après Norbut). Il prit possession des pays suivants : Autriche, Sudètes, Bohème, Moravie, Pologne. Il déclencha la 2e guerre mondiale Il se suicida le 30 avril 1945
1908 : Naissance de Lionel Hampton Lionel Hampton est un vibraphoniste, pianiste et batteur de jazz américain né à Louisville le 20 avril 1908, et mort à New York le 31 août 2002. Surnommé « Le lion », il a été le premier géant du jazz à donner ses lettres de noblesse au vibraphone en tant qu'instrument soliste. Ses interprétations se caractérisent par une grande virtuosité. Il est aussi un virtuose du piano (Piano Stomp en 1937 où il joue de l'instrument avec seulement deux doigts) et de la batterie (Jack the Bellboy, 1940).
LES DEGATS DE LA SECHERESSE AUX ETATS UNIS par Andrew Williams
La sécheresse est l’un des plus dangereux et coûteux risques climatiques aux États-Unis. Le photographe a parcouru plusieurs états du sud afin de photographier différentes scènes. La présence de pompiers ou d’éléments incendiés est récurrente.
LES SADHUS.. HOMMES SAINTS HINDOUS... par Omar Reda
Les Sadhus, les hommes saints hindous, peignent leurs visages. Ce rituel est appelé Tilak qui est le front, il est le lieu du troisième œil ou l'œil de la sagesse. Les peintures se présentent sous différentes formes et combinaisons de couleurs pour symboliser la divinité à qui ils se sont consacrés.
Si vous souhaitez apporter une touche bucolique et printanière à votre déco, ce DIY est fait pour vous.
En suivant les étapes et avec quelques feuilles de papier, réalisez facilement et à moindre coût une composition florale pour décorer vos murs.
Par Atelier Fête Unique, Paris -
Par Atelier Fête Unique, Paris -
Matériel :
Des feuilles de papier (rose, rouge, vert et marron)
Des pompons
Un gabarit de fleur et de feuille
De la colle
Un crayon
Un couteau de précision (ou des ciseaux)
Étape n° 1 : Imprimez le gabarit sur une feuille A4 et découpez les formes en suivant le contour.
Étape n° 2 :Tracez au crayon les gabarits de fleurs sur les papiers rouges et roses et ceux de feuilles sur les papiers marron et verts. Coupez toutes les formes tracées.
Étape n° 3 : Recourbez les bouts des pétales et des feuilles avec le manche d’un objet rond, type crayon ou stylo.
Étape n° 4 : Collez les fleurs de tailles différentes entre elles pour en former uneseule. Coupez un pompon en deux et collez les demi-pompons au cœur de chaque fleur.
Étape n° 5 : Réalisez votre composition florale en fixant les fleurs et les feuilles
avec un adhésif adapté à la pose au mur et repositionnable.
Par Atelier Fête Unique, Paris -
Elle habillera aussi bien le mur de votre salon que la tête de lit de votre chambre.
Astuce déco : Vous pouvez monter les fleurs sur un cercle coupé dans du papier pour former une couronne.
Dans la rue à 13 ans, à la tête d’une entreprise florissante et patron de deux employés moins de 10 ans plus tard...
C'est la drôle de parcours d’Onkar Singh, un jeune homme de 24 ans, originaire du Pendjab (Inde) et fier résident de la petite commune de Garancières (Yvelines).
La rage de s’en sortir, une volonté inébranlable de réussir et peut-être une certaine propension au travail acharné : voilà les armes qui ont constitué, pour Onkar, l’artillerie mentale d’un combat rudement bien mené, comme le rapporte Le Parisien.
Crédit photo : www.leparisien.fr
« Parfois, devant la glace, je pleure de joie parce que j’ai réussi. » Et on le comprend. Car Onkar a 13 ans lorsqu’il fuit sa petite province au nord de l’Inde, aidé par un passeur, direction Paris. Avant cela ? Le dur labeur des champs depuis ses 7 ans, sous les coups de son père. Et une morsure de serpent en héritage, qui lui fera se rappeler 9 ans plus tard : « Je ne sais pas ce que c’est d’être enfant. »
Dès son arrivée dans la capitale, incapable de s’exprimer dans la langue française, Onkar consacre la quasi-totalité de son temps au travail, afin de rembourser au plus vite les 13 000 € alloués au passeur qui l’avait aidé à traverser la moitié de la planète.
Comme le rapportent toujours nos confrères, le jeune homme parvenait à peine à rassembler plus de 60 € par jour, à l’époque, qu’il réussit cependant à cumuler ici et là, entre les marchésle jour et les décharges de camion la nuit. Il tient ce rythme effréné durant près de six mois avant de se faire interpeller par des contrôleurs dans le train. Plus de peur que de mal pour Onkar, qui se retrouve immédiatement pris en charge dans un foyer, puis par la fondation Apprentis d’Auteuil, une organisation catholique œuvrant pour les jeunes et les familles les plus défavorisées.
Crédit photo : www.apprentis-auteuil.org
Une vraie bénédiction pour le jeune homme, qui bénéficie grâce au soutien de l’association, de cours de français, mais aussi de formations qui luipermettront d’empocher deux diplômes à l’aube de ses 18 ans.
Riche de son CAP menuisier installeur et de son CAP menuisier fabricant,Onkar obtient un contrat à durée indéterminée dans l’entreprise qui l’avait formé. Une aubaine pour l’Yvelinois d’adoption qui, à force d’aménager des véhicules utilitaires, saisit l’ampleur du marché. Une intuition qui lui permet de toucher du bout des doigts ses rêves d’entreprenariat : « J’ai vu que ça marchait très bien. En plus, il y a moins de concurrence par rapport à la plomberie ou bien l’électricité. »
Le Pundjabi, qui, jadis, ratissait les champs de blé et de riz, prend le temps de se faire les armes et saute le pas quatre ans plus tard, en suivant un stage de comptabilité d’une semaine, offert par la Chambre demétiers et de l’artisanat de Versailles en échange de la somme de 280 €.
Plus motivé que jamais, si Onkar prend une véritable revanche sur la vie, c’est lorsqu’il décide d’investir les 5000 €, durement gagnés (et épargnés) à la sueur de son front, pour les investir dans sa société.
Elle s’appelle « Onkar », et elle lui coûtera près de 10 000€ d’investissement. Mais pour Onkar, la volonté prime sur l’angoisse
adjacente à la prise de risques : « J’ai économisé en travaillant jour et nuit. »
Crédit photo : www.apprentis-auteuil.org
« On ne fait pas attention à l’heure quand on est à son compte » peut s’enorgueillir Onkar qui est aujourd’hui l’heureux patron de deux salariés.
Preuve qu’il fait bon de faire confiance, faire fi des paroles décourageantes de certain(e)s qui pourraient laisser penser que les secondes chances s’économisent, et que les miracles… ne sont pas que des légendes !
De la création de la "Grande Loge des Maîtres réguliers de Lyon" en 1760 à la grève de la faim de l'abbé Christian Delorme pour obtenir l'arrêt des expulsions desenfants délinquants en 1981, Lyon Capitale vous propose de (re)découvrir les faits historiques qui ont marqué les 20 avril au fil des siècles à Lyon.
1760 : Création de la Grande Loge des Maîtres réguliers de Lyon, par les loges : L'Amitié, La Parfaite Amitié, Les Vrais Amis.
1786 : Séance inaugurale du "Salon des Arts". Salon de lecture, salon d'exposition, séances littéraires, cours publics.
1791 : Adjudication de la chapelle et clos de Saint-Sébastien, propriété des
religieuses des Colinettes, à Bertrand. Démolie en l'an II.
1799 : Installation, à la Croix-Rousse, de la municipalité cantonale. Président : Raymond Ravina. La municipalité cantonale cesse ses fonctions le 16 mai 1800, retour à la Commune.
Napoléon Bonaparte renouvelle le conseil municipal 1815 : Décret impérial renouvelant le Conseil municipal. Maire : G. Jars.
1826 : Fermeture du grand Théâtre, pour travaux de restauration (puis pour reconstruction).
1828 : Le Musée royal (Louvre) achète la collection d'objets médicaux et de la Renaissance de Pierre Revoil.
1832 : Traité entre la Ville et le ministère de la Guerre, sur les fortifications : la Ville garde la nue-propriété des terrains, et laisse
à l'État la jouissance des ouvrages.
1832 : Mort de Jacques François Madiot, directeur de la pépinière de naturalisation du Rhône.Lyon. Né à Craon,Mayenne). 52 ans.
1843 : Inauguration, dans la chapelle de Fourvière, du tableau votif de l'inondation de 1840, œuvre de Martin-Sauvigny.
1852 : Pose de la première pierre de la statue équestre de Napoléon Ier, œuvre de Nieuwekerque, place Perrache.
1866 : Création de l'imprimerie "Association typographique lyonnaise" (A.T.L.). Coopérative ouvrière de production.
Le tunnel sous la Croix-Rousse est inauguré le 20 avril 1952 1913 : Fête solennelle du centenaire de la naissance de Frédéric Ozanam sous la présidence de Mgr Sevin.
1914 : Inauguration du monument et du buste élevé sur la tombe de Théodore Lévigne, au cimetière de St Romain au mont d'Or.
1919 : Congrès national de la ligue de représentation professionnelle et d'action régionaliste, au Palais de la Mutualité. Président : Jean Hennessy, député de la Charente.
1932 : Mort de Gabriel Gerin, écrivain.
1947 : Mort de Jean-Jacques-François Corignet, ancien président de la
Chambre de Commerce (1911-1921), ancien Sénateur (1920). Lyon 6e. (Né à
Lyon 3e, le 13 mai 1855).
1952 : Inauguration du pont Poincaré, reconstruit.
1952 : Inauguration du tunnel routier sous la Croix-Rousse.
1955 : Exposition Tony Garnier, à Paris, École des Beaux-Arts.
1962 : Inauguration de la Maison des Jeunes et de la Culture des États-Unis,
en présence du ministre de la Jeunesse et des Sports (M. Herzog).
En 1976, le maire annonce la récupération du verre et du plastique à Lyon 1969 : Inauguration de la Pierre-Bénite, en son nouvel emplacement, et de la plaque commémorative.
1973 : Inauguration, à Gerland, de grands vestiaires pour la plaine de jeux.
1975 : A 0h00, ouverture au trafic de l'aéroport de Satolas, fermeture de celui de Bron.
1976 : Le maire de Lyon, président de la Communauté urbaine, annonce la mise en service d'un nouveau système de ramassage et de récupération du verre et du plastique "P.V.C.".
1978 : Festival du cirque : neuf cirques présents à Lyon.
1978 : "Journées libanaises". Le 23, plantation d'un "cèdre de l'amitié" au parc de la Tête d'Or.
1979 : Arrêté préfectoral publiant le Plan d'occupation des Sols pour la Communauté Urbaine-Secteur nord-ouest.
1980 : "Expobain", premier Salon européen du Bain, à Lyon.
1980 : Séjour à Montréal (Québec) du maire de Lyon et d'une importante délégation lyonnaise.
1981 : Grève de la faim de l'abbé Christian Delorme (assisté du pasteur Jean Costil) pour obtenir l'arrêt des expulsions des enfants délinquants. Succès.
JOHNNY HALLYDAY, IDOLE DES FRANÇAIS,17 JUIN 1961 : JOHNNY HALLYDAY FÊTE SES 18 ANS.
MARS 1964 : JOHNNY HALLYDAY POURSUIT SES ETUDES
LORS DE SON SERVICE MILITAIRE.
SYLVIE VARTAN, PREMIERE FEMME DE JOHNNY.
12 AVRIL 1965 : JOHNNY HALLYDAY SE MARIE AVEC SYLVIE VARTAN À L'EGLISE DE LOCONVILLE
14 AOÛT 1966 : NAISSANCE DE DAVID HALLYDAY À LA CLINIQUE DE BOULOGNE
LE ROCKEUR MET LE FEU AU PALAIS DES SPORTS 30 OCTOBRE 1972
JOHNNY HALLYDAY ET CLAUDE FRANÇOIS 16 SEPTEMBRE 1977 : MICHEL SARDOU, CLAUDE
JOJO ET CARLOS JUIN 1981 : EN COMPAGNIE DE CARLOS LORS DE SON ANNIVERSAIRE. CARLOS, A L'EPOQUE ASSISTANT DE SA PREMIERE FEMME SYLVIE VARTAN, EST DEVENU UN DES MEILLEURS AMIS DE JOHNNY.
Sucre et édulcorants, que choisir ?
Par quoi remplacer le sucre blanc ? On ne le dit jamais assez, le sucre
blanc n’est pas bon pour la santé. Il fait bondir la glycémie et peut
entraîner de nombreuses maladies. Heureusement, il existe de nombreux
édulcorants naturels dont le pouvoir sucrant est aussi élevé que le
saccharose, mais pour la plupart sans les calories. Petit tour
d’horizon. Le sirop d’agave : 100 g = 310 calories Le sirop d’agave est issu de l’extraction de la sève de l’agave, un cactus mexicain.
Essentiellement composé de fructose — un sucre contenu dans les fruits —, son pouvoir
sucrant est plus élevé que celui du sucre blanc, et son pouvoir
glycémique de 15 est nettement plus faible que celui du miel. Il permet
donc d’éviter les pics d’insuline.
Le sirop d’érable : 100 g = 260 calories Le sirop d’érable provient quant à lui de la sève de l’érable portée à ébullition.
Son pouvoir sucrant est 1,4 fois plus élevé que celui du sucre blanc, avec
un index glycémique plus faible (65 contre 70 pour le sucre).
Il est riche en vitamine B, en protéines et en minéraux comme le zinc, le potassium, le calcium ou le manganèse.
Le xylitol de bouleau : 100 g = 240 calories Disponible en magasin bio, ce sucrant naturel nous vient tout droit de Finlande.
Le xylitol est deux fois moins calorique que le sucre. On peut l’utiliser
pour sucrer tous les aliments, et notamment pour toutes sortes de
pâtisseries. À condition de réduire les quantités de 40 %, puisque son
pouvoir sucrant augmente sous la chaleur.
Les appellations « sans sucre » cachent bien souvent du xylitol de bouleau (par exemple les chewing-gums).
Le sukrin : 0 calorie Utilisé au Japon depuis 1990 et depuis 1997 aux États-Unis, il a été autorisé en Europe en 2006.
Issu d’un processus de fermentation aboutissant à la cristallisation du
glucose, le sukrin présente la même structure et l’apparence que le
sucre.
Il est d’origine 100 % naturelle et son index glycémique est nul.
On le trouve difficilement en magasins ou dans les boutiques
traditionnelles. Certaines grandes enseignes le commercialisent en
ligne.
Le Monk fruit : 0 calorie Le Monk fruit pousse au sud de la Chine et au nord de la Thaïlande.
Ce petit fruit ovale, à mi-chemin entre la pomme et le kiwi, est utilisé
en médecine traditionnelle chinoise pour traiter le diabète et
l’obésité, des pathologies inflammatoires, les coups de froid et le mal
de gorge.
Son pouvoir édulcorant est 300 fois supérieur à celui du sucre pour 0 calorie.
Pour le moment, il est uniquement commercialisé aux États-Unis, mais de nombreuses marques s’y intéressent de plus en plus.
La stévia : 0 calorie Commercialisée sous forme de poudre et de liquide, ce sucrant naturel provient des feuilles des plantes stévia.
Son pouvoir sucrant est 100 à 300 fois supérieur à celui du sucre blanc.
La stévia est régulièrement prescrite dans les régimes pour diabétiques et
les régimes hypoglycémiques puisqu’elle n’agit que très peu sur le
niveau de glucose dans le sang.
Idéale pour sucrer les boissons chaudes.
Le domaine de Courances vaut sans doute plus pour son parc que pour son château Louis XIII pourtant très bien conservé et entièrement meublé. Mais le parc, dont les origines remontent à la Renaissance (le style de l'époque était le « jardin d'eau ») et qui n'a jamais cessé d'être embelli, est exceptionnel.
Classique mais aussi romantique : les arbres ne sont pas taillés « en rideau », ils créent des voûtes au-dessus de l'eau et l'on marche presque partout sur l'herbe.
Un parc si beau qu'il est mentionné par Madame de Sévigné dans ses correspondances et qu’il constituait une destination de promenade pour la Cour quand celle-ci était installée à Fontainebleau.
La visite commence par une longue allée pavée bordée de deux canaux dans lesquels se reflètent des platanes. Dix-sept pièces
d'eau, dont les dernières ont été créées au début du XXe siècle par les Duchêne, père et fils, les paysagistes qui ont remis le jardin « à la française » à la mode.
La verdure du site est due aux quatorze sources, et à la rivière l’Ecole qui traversent le domaine.
Cinq siècles d'histoire des jardins qui s'illustre aussi avec le Jardin japonais, créé avant 1914, un rêve d'Orient qui apporte une touche
d’exotisme dans cet ensemble. Cette vigueur végétale explique peut-être pourquoi un arbre avait réussi à germer au XIXe siècle en plein milieu d’un des salons du château, alors à l’abandon.
A Courances, on ressent plus fortement la présence de la nature que dans d'autres parcs et la liberté de ceux qui
n'ont cessé de réinventer ces lieux.
1923 : Naissance de Tito Puente
Ernesto 'Tito' Puente est un musicien très populaire et prolifique (plus de cent albums !) de musique latine. On le surnomme El rey del timbal (le roi de la timbale).
Il a traversé toutes les modes : mambo, latin jazz, cha-cha-cha, pachanga, boogaloo, salsa...
Très tôt, il s'est mis à penser comme un danseur et non comme un musicien.
Pendant les années 50, il joue du mambo presque tous les soirs au Palladium, lieu de rendez-vous des vedettes américaines. Il popularise ensuite le cha-cha-cha et il est le seul artiste non cubain à être invité à Cuba en 1952 à l'occasion de la célébration des 50 ans de la musique cubaine.
En 1956, il s'oriente vers le jazz avec l'album Puente Goes Jazz puis vers la bossa nova durant les années 60. Tito Puente enregistre des dizaines d'albums touchant à de nombreux styles différents et notamment à la salsa dans les années 80.
Il est décédé le 31 mai 2000.
1934 : Shirley Temple, six ans, vedette du film Stand Up And Cheer
La carrière cinématographique de Shirley Temple s'engage sur la voie de lacélébrité, avec le lancement du film Stand Up And Cheer. La fillette, qui aura six ans quelques jours plus tard, y interprète de façon remarquable un numéro de chant et de danse.
Shirley Temple est une actrice et diplomate américaine, née le 23 avril 1928 à Santa Monica en Californie.
Elle tient une place à part dans l'histoire du cinéma : elle est en effet lapremière enfant-star à avoir connu une renommée internationale, due en grande partie à sa longue filmographie. Elle fut une véritable icône dans l'Amérique des années 1930 et 1940.
Après sa carrière d'actrice, elle devient diplomate.
Cette petite fille native de Santa Monica a joué dans plus de 40 films pendant les années 1930. On la remarque pour son talent dès l'âge de cinq ans : elle mémorisait parfaitement les pas de danse.
Elle s'est mariée à l'acteur John Agar en 1945 à l'âge de 17 ans, et le couple eut une fille appelée Linda Susan Agar (qui prit le nom de Black par la suite) en 1948. Ils divorcèrent en 1950, date à laquelle elle rencontra l'homme d'affaires Charlie Black, qu'elle épousa et dont elle prit le nom
À leur rencontre, M. Black avoua qu'il n'avait jamais vu ses films. Avec M. Black, elle eut deux enfants : Lori et Charlie. Elle resta avec lui jusqu'à son décès d'un syndrome myélodysplasique le 4 août 2005.
Après sa carrière dans le cinéma, elle s'est impliquée en politique, dans le Parti républicain. Elle est nommée, en 1969, déléguée des États-Unis aux Nations Unies par le président Richard Nixon.
En 1974 et 1975, elle est membre du comité de direction de la Walt Disney Company
Elle fut ambassadrice au Ghana (1974-1976), puis en Tchécoslovaquie (1989-1992). Ayant vécu la révolution de velours, elle décrit cela comme « le meilleur travail qu'[elle] ait jamais eu ». En 1976, elle est devenue la première femme à être chef de protocole du département d'État des États-Unis.
1707 : Décès de Johann Christoph Denner
Johann Christoph Denner, né le 13 août 1655, est l'inventeur de la clarinette.
Il commença par apprendre le métier de son père (tourneur de corne) puis s'orienta vers la facture des instruments à vent. Il obtint son brevet de maîtrise en 1697 pour la "fabrication d'instruments de musique français, principalement de hautbois et flûtes à bec".
Deux fils de Johann Christoph Denner continuèrent l'œuvre de leur père.
Alors qu'aucune des clarinettes de Johann Christoph Denner n'est parvenue jusqu'à nous (les plus anciennes connues sont de Jacob Denner), on lui en attribue généralement la paternité
1889 : Naissance d'Adolf Hitler
Adolf Hitler est né à Braunau en Autriche.
(Fait surprenant, il n'était pas Allemand)
En 1900, il est inscrit à l'école secondaire de Linz.
Son père meurt en 1903 (Hitler a 14 ans)
En 1904, il est transféré à l'école de Steyr.
Il quitte définitivement l'école en septembre 1905 et retourne à Leonding où il vit avec sa mère et sa soeur.
En octobre 1907, il se rend à Vienne pour y préparer l'examen d'entrée aux Beaux-Arts.
Ayant échoué l'épreuve d'admission, il retourne à Linz.
Sa mère meurt le 21 décembre 1907.
Peu après la mort de sa mère, la famille se désagrégea et Hitler partit pour Vienne pour y chercher fortune.
En 1908, il fit une autre tentative pour entrer aux Beaux-Arts, il échoua de nouveau.
En 1909 on le retrouve comme manoeuvre sur un chantier de construction, emploi qu'il perdra dans la même année.
En novembre 1909, Hitler est congédié par sa logeuse, il échoue à l'asile de nuit où il fait la rencontre de Reinhold Hanisch. L'association Hitler-Hanish finit un beau jour sur une note aigre. Hitler accusa
Hanish d'avoir détourné une partie du produit de la vente d'un tableau.
Hitler fit arrêter Hanisch et témoigna contre lui.
En 1912 il quitte Vienne pour Munich.
Le 3 août 1914, Hitler s'engage dans l'armée allemande où il fait office à la fois de planton et d'estafette.
Le 7 octobre 1916, il est blessé durant la bataille de la Somme par un éclat de shrapnel. La blessure est sans gravité et deux jours plus tard,il écrit à son capitaine (Capitaine Wiedemann) pour être rappelé.
Séjour à l'hopital militaire de Pasewalk.
Il est décoré de la croix de fer 1ère classe le 4 août 1918.
Après la guerre il fait une demande pour intégrer l'armée de l'armistice à Trausstein, il y restera jusqu'en avril 1920.
Il est ensuite affecté à une caserne de Munich.
Il tente un putsch à Munich le 8 novembre 1923.
Après l'échec, il se cache chez les Hanfstaengl.Il devint chef du parti national-socialiste en 1927.
En 1932 il commença à s'intéresser à Eva Braun.
Il devint chancelier en 1933.
Il devint Führer (Fuhrer) en 1934.
Il se proclama ministre de la guerre le 4 février 1938 .
Le 16 décembre 1939 Eva Braun s'installe à la chancellerie (d'après Norbut).
Il prit possession des pays suivants : Autriche, Sudètes, Bohème, Moravie, Pologne.
Il déclencha la 2e guerre mondiale
Il se suicida le 30 avril 1945
1908 : Naissance de Lionel Hampton
Lionel Hampton est un vibraphoniste, pianiste et batteur de jazz américain né à Louisville le 20 avril 1908, et mort à New York le 31 août 2002.
Surnommé « Le lion », il a été le premier géant du jazz à donner ses lettres de noblesse au vibraphone en tant qu'instrument soliste. Ses interprétations se caractérisent par une grande virtuosité. Il est aussi un virtuose du piano (Piano Stomp en 1937 où il joue de l'instrument avec seulement deux doigts) et de la batterie (Jack the Bellboy, 1940).
par Andrew Williams
La sécheresse est l’un des plus dangereux et coûteux risques climatiques aux États-Unis.
Le photographe a parcouru plusieurs états du sud afin de photographier différentes scènes.
La présence de pompiers ou d’éléments incendiés est récurrente.
par Omar Reda
Les Sadhus, les hommes saints hindous, peignent leurs visages. Ce rituel est appelé Tilak qui est le front, il est le lieu du troisième œil ou l'œil de la sagesse.
Les peintures se présentent sous différentes formes et combinaisons de couleurs pour symboliser la divinité à qui ils se sont consacrés.
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