Mazette ... Pincez-moi je rêve !? Franky Zapata est l’inventeur du Flyboard, cet engin volant hors norme qui permet à un homme debout de fendre les airs, propulsé par des réacteurs. l'invention :https://youtu.be/KEDrMriKsFM?t=35s oui mais extrait du site : " Bonsoir tout le monde.. J’ai des mauvaises nouvelles. Il y a de très fortes probabilités que le flyboard air ne vole plus jamais en France. Je me suis retrouvé convoquer à la gendarmerie de l air ou l on m a informé que si je volais de nouveau ( que ce soit sur un terrain public où même privé ), le procureur me mettrai en examen avec à la clef des peines de prison si élevées qu’avant de partir ils m ont fait une fiche de signalement au cas où je m échapperai donc je me suis retrouvé avec prise d’empreintes, photos, et torse nu pour prendre en photo toutes mes cicatrices (ça a pris un petit moment pour les cicatrices)". Que dois devenir sa société :https://zapata-racing.com/fr/
La France était le pays des droits de l'homme et de l'aviation... non ?!
Mission Impossible, Star Trek, Le Parrain... : un parc d'attractions inspiré de l'univers de la « Paramount » ouvrira ses portes en 2022 en Angleterre Un nouveau parc d’attractions, prêt à rivaliser avec l’univers de Disneyland, serait sur le point de voir le jour près de Dartford, dans le comté du Kent (Royaume-Uni).
40 000 visiteurs par jour. 27 000 emplois créés. Et plus de 352 hectares. Les chiffres abordés par Humphrey Percy, le patron de Kuwaiti European Holdings, la société de portefeuille à l’origine du parc, sont pharamineux : « On travaille aussi avec le service ferroviaire afin de faciliter l’accès aux parcs pour les visiteurs qui ne s’y rendraient pas en voiture. On aimerait aussi avoir un bateau qui relie le centre de Londres au parc, ce qui serait d’ailleurs une partie de l’attraction. » Au total, et grâce à leur budget de 3,5 milliards de dollars, plus de 50 attractions devraient venir s’installer au cœur du parc. Toutes inspirées des films de la Paramount (« Mission : Impossible », « Star Trek » et « Le Parrain »), des productions de la BBC et des films d’animations issus du célèbre studio de production britannique « Aardman Animations » (« Chicken Run », « Wallace et Gromit : le mystère du lapin-garou »). Rajoutons à cela un parc aquatique intérieur, des boîtes de nuit, des bars, des restaurants, des boutiques, des cinémas « indépendants » et même des comédies musicales, car nous sommes en Angleterre pardi ! Seules conditions afin de pouvoir se rendre dans ce nouveau temple du loisir :se munir de 65 €, le prix d'un pass pour la journée, et un peu de patience. Le parc devrait ouvrir ses portes en 2022. Et voici ce à quoi il devrait ressembler :
DES SCENES DE LA NATURE SCULPTEES DANS DU BOIS. par Gordon Pembridge artiste néo-zélandais né au Kenya
Il a développé un lien permanent avec la nature. Cette connexion avec la Terre Mère est souvent la principale source d'inspiration pour ses impressionnants bateaux en bois qui incorporent des éléments de l'histoire naturelle et dépeignent la faune locale colorée. Pembridge obtient la majorité de son bois des arbres abattus tempête, et façonne avec un tour, mais la vraie magie se produit quand il méticuleusement main sculpte des scènes incroyablement détaillées de la faune avec un graveur à grande vitesse. Ces comportent souvent la flore et la faune de ses lieux les plus aimés - Afrique et d'Océanie. Enfin, Gordon forme des compositions de couleurs de montage et les applique à l'aérographe.
Photo du Jour Image retouchée d’une coupe transversale d’un tronc de pin. Vous ne devinerez jamais ce qui est représenté sur cette image… un pin ! Cette coupe transversale d’un tronc de l’espèce pinus a fait l’objet d’un traitement numérique afin de distinguer avec plus de clarté les différents éléments qui compose cet arbre. Ce cliché est si détaillé qu’on peut y distinguer les canaux où circulent la résine. Il est aussi possible de voir les cernes qui poussent chaque année. Cette caractéristique permet ainsi de donner un âge précis à ce pin et a donné naissance à une science : la dendrochronologie
Charles Baudelaire fait partie des figures qui ont dépeint Paris. Il y a passé sa vie et y a rencontré grand nombre de ses contemporains tels que Victor Hugo, Théophile Gautier ou encore Balzac. Son recueil de poème Les Fleurs du Mal a fait grand bruit à l’époque et est encore considéré comme un chef d’oeuvre. La beauté était une de ses notions préférées et c’est ainsi, sans surprise, qu’il s’est établit sur l’Île Saint-Louis, bien que son rayonnement au XIXe siècle n’était pas aussi grand qu’aujourd’hui.
Dans cette ancienne rue de la Femme sans-Tête, au n° 6, habite Jeanne Duval,la « Vénus noire » que Baudelaire a rencontrée en avril ou mai 1842. Elle sera sa muse au fil de nombreuses cohabitations entrecoupées de ruptures et de réconciliations. La mère du poète ne fut guère tendre avec elle :« La Vénus noire, écrit-elle, l’a torturé de toutes manières. Oh ! si vous saviez ! Et que d’argent elle lui a dévoré ! Dans ses lettres, j’en ai une masse, je ne vois jamais un mot d’amour. » Zola se souvient-il de son (très jeune) ami quand, dans L’Œuvre, il situe l’atelier de son héros, le peintre Claude Lantier, rue de la Femme-sans-Tête ? 22, quai de BéthuneLe 28 mai 1842, Baudelaire s’installe au 10, quai de Béthune (actuel n° 22), dans l’hôtel Lefebvre de la Malmaison. Il a vingt et un ans et c’est son premier domicile parisien sur une liste qui en comptera une bonne quarantaine. Ses amis peuvent lui rendre visite au rez-de-chaussée dans une grande et unique pièce, très haute de plafond, dans laquelle on remarque un lit en forme de cercueil, une vieille table aux pieds tournés et des miroirs de Venise. Le choix de l’île Saint-Louis témoigne de l’excentricité du jeune dandy. On se croirait « à cents lieues de Paris» et il faut acquitter un péage pour s’y rendre. Mais Baudelaire ne veut être ni de la rive droite, ni de la rive gauche : il est inclassable. Les années 1842-1843 sont celles des premières liaisons littéraires, Hugo, Gautier, Balzac qu’il croise sur les quais et qui, dans Ferragus, évoque l’île Saint-Louis en ces termes : « Si vous vous promenez dans les rues de l’île […], ne demandez raison à la tristesse nerveuse qui s’empare de vous qu’à la solitude, à l’air morne des maisons et des grands hôtels déserts. » Baudelaire réside quai de Béthune jusqu’au mois de mai 1843. Il se transporte alors sur la rive opposée, à l’hôtel Pimodan. 17 , quai d’AnjouDepuis mai 1843 (à l’exception d’un petit séjour forcé à « l’hôtel des Haricots », la maison d’arrêt de la Garde nationale), Baudelaire réside à l’hôtel Pimodan, devenu hôtel de Lauzun puis hôtel des Teinturiers, où il demeurera jusqu’au 30 juin 1845. Au troisième étage, entre les combles et l’étage noble, il loge dans un appartement exigu, très haut de plafond, composé de petites pièces sans destination spéciale, dont les fenêtres donnent sur la Seine. Baudelaire peut admirer Saint-Paul-Saint-Louis droit devant lui et deviner la rue de Sévigné où habita sa mère. Dans l’immeuble, il fréquente le Club des Hachichins et, au rez-de-chaussée,l’antiquaire Arondel qui vend au poète de faux Jacob Bassano, le laissant endetté jusqu’à la fin de ses jours. Charles Baudelaire en 1855 par Nadar.
17 , quai d’AnjouLe Club des Hachichins Dans Le Club des Hachichins (1846), Gautier raconte sa première séance et sa perception de l’île Saint-Louis : « Un soir de décembre, obéissant à une convocation mystérieuse, rédigée en termes énigmatiques compris des affiliés, inintelligibles pour d’autres, j’arrivai dans un quartier lointain, espèce d’oasis de solitude au milieu de Paris. […] Il était difficile, le long de ce quai désert, dans cette masse de bâtiments sombres, de distinguer la maison que je cherchais ; cependant mon cocher, en se dressant sur son siège, parvint à lire sur une plaque de marbre le nom à moitié décoré de l’ancien hôtel, lieu de réunion des adeptes. » Le club est créé en 1844 par le docteur Moreau de Tours. Objectif : trouver « l’électricité intellectuelle » grâce à l’opium, le haschich etsurtout le dawamesk, une sorte de pâte ou de confiture verdâtre faite à partir de résine de cannabis mélangée à du miel et à des pistaches. Les séances ont lieu chaque mois chez le peintre Fernand Boissard dans un appartement situé au deuxième étage et loué au peintre par le baron Jérôme Pichon. Théophile Gautier y rencontre Baudelaire, qui habite au-dessus et vient en observateur. Entre les deux hommes se noue une profonde amitié ; Gautier écrira la préface des Fleurs du mal. S’inspirant de son expérience, Baudelaire composera Les Paradis artificiels, essai paru en 1860, dans lequel il décrit les effets des drogues, en particulier du haschich et de l’opium. Article tiré du livre Promenades Littéraires dans Paris de Gilles Schlesser. Réalisé en partenariat avec les éditions Parigramme.
Voici un sujet qui risque de faire grincer des dents à plus d'un mais cela vaut la peine de voir les avis des uns et des autres ....Jugez-en par vous même: Interdire le port du foulard ne constitue pas une discrimination directe.
Dans son arrêt, la Cour constate que la règle interne de G4S s'applique au port de signes convictionnels quels que soient la religion ou les convictions politiques. Elle n'instaure dès lors pas de différence de traitement directement basée sur la religion, note la Cour.
Mais il "n'est toutefois pas exclu que le juge national puisse arriver à la conclusion que la règle interne instaure une différence de traitement indirectement fondée sur la religion", si l'obligation en apparence neutre aboutit en fait à un désavantage particulier pour les personnes adhérant à une religion particulière.
Objectif légitime? Cette discrimination peut cependant être justifiée par un objectif légitime, par exemple la volonté de l'employeur d'appliquer une politique de neutralité politique, philosophique et religieuse dans ses relations avec ses clients. La CJUE renvoie à la Cour de cassation la responsabilité de vérifier que les moyens mise en place pour réaliser l'objectif légitime sont appropriés et nécessaires.
La Cour se prononce aussi sur un cas similaire, celui d'une employée française licenciée par son entreprise parce que les clients de l'entreprise ne voulaient plus d'une interlocutrice voilée.
La CJUE relève qu'il appartiendra à la Cour de cassation française de vérifier d'abord si le licenciement s'est basé sur une règle interne prohibant le port visible de signes convictionnels. Si c'est le cas, il faudra appliquer la procédure que la Cour préconise dans le cas de G4S.
Si par contre le licenciement ne se base pas sur une règle interne, il faudra vérifier si le refus de porter le foulard peut constituer une "exigence professionnelle essentielle et déterminante", une notion très restrictive, selon la Cour. Respecter le souhait d'un client de ne pas avoir affaire à une travailleuse portant le foulard ne saurait être considéré comme une telle exigence, indique la CJUE.
Les deux affaires, jointes en raison de leur caractère similaire, avaient fait l'objet de conclusions allant en sens contraire, par deux avocates générales différentes.
La travailleuse belge était soutenue par Unia, le centre interfédéral de l'égalité des chances, et le gouvernement, malgré l'opposition de plusieurs partis de l'actuelle majorité. En conclusion, j'en arrive à ceci, le port du voile sur un lieu de travail ne se justifie absolument pas, prenons rien que dans les services publics, par simple politesse, on effectue ses prestations décoiffé, il me semble que c'est la règle plus élémentaire à respecter.
Nos abeilles vont peut être bientôt pouvoir reprendre pleinement possession de nos campagnes ( lesquelles devraient elles aussi être prises à bras-le-corps car les surfaces cultivables et autres champs et prairies diminuent dangereusemen) , quand on lit le contenu de cet article paru dans Positiv R. Deux experts de l’ONU réclament l’abolition de l’agriculture industrielle ! Jamais une institution de cette importance n'avait préconisé de mesures aussi radicales... La fin d'un monde ? Et pourquoi pas ! ParAxel Leclercq -14 mars 2017 Non seulement les pesticides sont dangereux mais, en plus, ils sont inutiles ! Telle est la conclusion formelle d’un rapport qui devrait faire grand bruit… puisqu’il a été rédigé par des experts de l’ONU ! Source : Shutterstock Pour Hilal Elver et Baskut Tuncak, les deux auteurs de l’étude en question, l’humanité n’a aucunement besoin de pesticides pour s’adapter à sa démographie :
«L’utilisation de plus en plus de pesticides n’a rien à voir avec la réduction de la faim dans le monde. Selon l’Organisation des Nations Unies, pour l’alimentation et l’agriculture, nous pourrions nourrir 9 milliards de personnes aujourd’hui. La production augmente, mais les problèmes demeurent la pauvreté, les inégalités et la distribution (…) les entreprises ne travaillent pas pour la réduction de la faim, elles travaillent pour une croissance de l’activité agricole à grande échelle.»
Source : Shutterstock Un objectif uniquement mercantile qui, toujours selon les auteurs du rapport, exposerait la population mondiale à des risques gigantesques. Le texte parle même de conséquences «catastrophiques sur l’environnement, la santé humaine et la société.» Concernant la santé :
«Il existe un lien entre une exposition régulière aux pesticides et la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, les troubles endocriniens,les troubles du développement et la stérilité. Les pesticides peuvent aussi avoir de nombreuses répercussions sur le plan neurologique, comme des pertes de mémoire, un manque de coordination ainsi qu’une acuité visuelle et des habiletés motrices réduites. L’asthme, les allergies et l’hypersensibilité en sont d’autres effets possibles.»
Une liste aussi longue qu’effrayante… Source : Shutterstock Concernant l’environnement :
« L’usage excessif et abusif de pesticides entraîne une contamination des sols et des ressources en eau dans l’espace environnant, ce qui entraîne une réduction de la biodiversité, la destruction de populations d’insectes bénéfiques qui sont les ennemis naturels des ravageurs et une baisse de la valeur nutritionnelle des aliments. »
Source : Shutterstock Compte tenu de ces constats alarmants, le rapport préconise carrément un traité mondial sur la réglementation des pesticides, la fin de l’agriculture industrielle et la promotion de l’agroécologie :
« Il faut des mesures incitatives telles que des subventions et la fourniture d’une assistance financière et technique pour favoriser les aliments issus de l’agriculture biologique. »
À l’inverse, le texte suggère de pénaliser les multinationales adeptes des pesticides par la mise en place de « taxes, de droits d’importation et des redevances sur ces produits. » Source : Shutterstock Ces recommandations, d’autres les font déjà depuis des années. Ce qu’il y ade neuf, c’est qu’elles émanent pour la première fois de la plus haute instance internationale. Est-ce que ça suffira à les faire appliquer rapidement ? Rien n’est moins sûr mais, en revanche, une chose est certaine : la cause progresse ! J'ajouterai encore à cela que non seulement les pesticides sont mis en cause mais aussi les herbicides tels que les herbicides totaux vendus dans les grandes surfaces par Monsanto et Roundop et même Bayer! Hé oui! Il y a même un holding pharmaceutique qui joue avec. Ces produit, des gens comme comme vous et moi vont encore les acheter dans les grandes surfaces de bricolage qui disposent d'une section jardinage ou des étagères entières sont encore remplies de ces produits dangereux pour l'environnement et par conséquent, dangereux pour le commun des mortels! Mais tant que la vente de ces prduits continura à constituer une véritable poule aux oeufs d'or pour les industriels et les détaillants, ces paroles,paroles de L'ONU ne servent à rien car c'est sans aucun délai, du jour au lendemain qu'il faut stopper et interdire la production de ces véritables poisons et mettre ainsi un terme à leur vente. Tous les pays devraient être immédiatement mis au pied du mur aussi par l'ONU que par L'OMS!
L’épave du Titanic risque de disparaître à jamais (vidéo)
Cela fait plus d’un siècle que l’épave du Titanic gît par 3800 mètres de profondeur au large de Terre-Neuve. Selon un article de la BBC, la carcasse du paquebot est en train d’être dévorée par une bactérie capable de résister à la pression des profondeur et à l’obscurité. Un jour, le navire disparaîtra totalement. Le 14 avril 1912, le Titanic a sombré au fond de l’Atlantique. Près de 1500 personnes sont mortes cette nuit-là. Le paquebot, annoncé insubmersible à l’époque, a emporté avec lui son histoire et sa légende.Il a fallu de nombreuses années pour retrouver sa trace. Ce fut chose faite en 1985 par l’océanographe Robert Ballard. Mais un siècle passé dans l’océan a forcément un impact sur l’état du navire. En 2010, on a ainsi détecté la présence d’une bactérie sur un échantillon d’une sorte de rouille récupéré en 1991. Cette bactérie, appelée Halomonas titanicae, s’attaque à la coque du bateau, résiste à la pression écrasante des eaux ainsi qu’à l’obscurité qui y règne.Les chercheurs ne peuvent pas déterminer comment elle est arrivée là. Mais c’est une mauvaise nouvelle pour les scientifiques, car le Titanic risque fort de disparaître complètement d’ici une vingtaine d’années, à l’horizon 2030.
Des scientifiques ont découvert en Inde la plus ancienne plante fossilisée connue, apparemment une algue rouge, vieille de 1,6 milliard d’années.
Cette découverte laisse penser que la vie multicellulaire avancée existait sur la Terre bien plus tôt qu’on ne le croyait jusqu’alors, expliquent ces chercheurs dont les travaux sont publiés mardi dans la revue américaine PLOS Biology. Le fossile indien est 400 millions d’années plus ancien que les algues rouges fossilisées mises au jour avant cela, et de loin la plus vieille plante fossilisée jamais découverte. Cela suggère que la datation des premières branches de l’arbre de la vie doit être révisée.Ces scientifiques ont trouvé deux types de fossiles qui ressemblent à l’algue rouge dans des roches sédimentaires exceptionnellement bien préservées à Chitrakoot, dans la partie centrale de l’Inde. L’un est celui d’une plante de type filandreux et l’autre charnue. Les scientifiques ont pu voir les structures internes des cellules, dont des faisceaux de filaments qui forment la partie charnue caractéristique des algues rouges. « On ne peut pas être totalement certains qu’il s’agit d’algues rouges pour des spécimens aussi anciens dans lesquels il ne reste pas d’ADN, mais les traits correspondent bien à la morphologie et à la structure d’une algue rouge », explique Stefan Bengtson, professeur émérite de paléozoologie au Musée suédois d’histoire naturel, un des co-auteurs de cette découverte. Les premières traces de vie sur Terre datent d’au moins 3,5 milliards d’années. Il s’agissait d’organismes unicellulaires qui, à la différence des eucaryotes, les organismes multicellulaires (animaux, plantes, champignons), n’ont pas de noyau. Des grands organismes eucaryotes multicellulaires sont devenus fréquents beaucoup plus tard dans l’histoire de la planète, il y a environ 600 millions d’années, à l’approche de la transition vers l’ère phanérozoïque, la période durant laquelle la vie est visible. Les découvertes des premiers organismes eucaryotes multicellulaires ont étésporadiques et difficiles à interpréter, compliquant la tâche des scientifiques pour reconstituer et dater l’arbre de la vie. « L’ère de la vie visible semble avoir commencé beaucoup plus tôt qu’on ne pensait », relève le professeur Bengtson. Cette algue rouge était piégée dans des formations calcaires contenues dans des sédiments de phosphorite vieux de 1,6 milliard d’années. Les chercheurs ont pu regarder à l’intérieur de l’algue par tomographie microscopique aux rayons X, qui fournit des images en trois dimensions. Ils ont pu entre autres observer dans chaque cellule de l’algue ancienne ce qui semble être des parties de chloroplaste, où se produit la photosynthèse dans les plantes. Ces scientifiques ont également vu distinctement des structures régulières au centre de la membrane de toutes les cellules, ce qui est typique de l’algue rouge.
Mystérieuses et étranges, ces villes et ces palais de l’antiquité ont survécu à l’usure du temps à travers plusieurs siècles, protégés par l’eau. Plongés dans les abysses suite à des cause naturelles, ils ont représenté pour les archéologues des découvertes fondamentales, confirmant certains mythes et légendes. Dans notre sélection, le palais de Cléopâtre à Alexandrie, découvert en 1998,qui constitue l’un des plus importants sites archéologiques de l’Egypteancien, qui contient des objets d’usage quotidien ,mais aussi, des statues à la valeur inestimable. Ensuite, les mystérieuses pyramides de Yonaguni-Jima au Japon, la magnifique ville submergé de Qiandao en Chine et pour finir, le superbe parc archéologique de Baia en Italie, ville entraînée sous l’eau par un tremblement de terre dû à une forte activité volcanique. Les photos ici-bas sont voilées de mystère et poésie, offrant une vue unique sur des mondes totalement inconnus et ignorés par le public.
Franky Zapata est l’inventeur du Flyboard, cet engin volant hors norme qui permet à un homme debout de fendre les airs, propulsé par des réacteurs.
l'invention :https://youtu.be/KEDrMriKsFM?t=35s
oui mais extrait du site :
" Bonsoir tout le monde.. J’ai des mauvaises nouvelles. Il y a de très fortes probabilités que le flyboard air ne vole plus jamais en France. Je me suis retrouvé convoquer à la gendarmerie de l air ou l on m a informé que si je volais de nouveau ( que ce soit sur un terrain public où même privé ), le procureur me mettrai en examen avec à la clef des peines de prison si élevées qu’avant de partir ils m ont fait une fiche de signalement au cas où je m échapperai donc je me suis retrouvé avec prise d’empreintes, photos, et torse nu pour prendre en photo toutes mes cicatrices (ça a pris un petit moment pour les cicatrices)".
Que dois devenir sa société :https://zapata-racing.com/fr/
La France était le pays des droits de l'homme et de l'aviation... non ?!
http://www.forbes.fr/entrepreneurs/franky-zapata-linventeur-du-flyboard-air-la-tete-et-les-ailes/
Le Parrain... :
un parc d'attractions inspiré de l'univers de la « Paramount » ouvrira ses portes en 2022 en Angleterre
Un nouveau parc d’attractions, prêt à rivaliser avec l’univers de Disneyland, serait sur le point de voir le jour près de Dartford, dans le comté du Kent (Royaume-Uni).
40 000 visiteurs par jour. 27 000 emplois créés. Et plus de 352 hectares.
Les chiffres abordés par Humphrey Percy, le patron de Kuwaiti European Holdings, la société de portefeuille à l’origine du parc, sont pharamineux : « On travaille aussi avec le service ferroviaire afin de faciliter l’accès aux parcs pour les visiteurs qui ne s’y rendraient pas en voiture. On aimerait aussi avoir un bateau qui relie le centre de Londres au parc, ce qui serait d’ailleurs une partie de l’attraction. »
Au total, et grâce à leur budget de 3,5 milliards de dollars, plus de 50 attractions devraient venir s’installer au cœur du parc. Toutes inspirées des films de la Paramount (« Mission : Impossible », « Star Trek » et « Le Parrain »), des productions de la BBC et des films d’animations issus du célèbre studio de production britannique « Aardman Animations » (« Chicken Run », « Wallace et Gromit : le mystère du lapin-garou »).
Rajoutons à cela un parc aquatique intérieur, des boîtes de nuit, des bars, des restaurants, des boutiques, des cinémas « indépendants » et même des comédies musicales, car nous sommes en Angleterre pardi !
Seules conditions afin de pouvoir se rendre dans ce nouveau temple du loisir :se munir de 65 €, le prix d'un pass pour la journée, et un peu de patience. Le parc devrait ouvrir ses portes en 2022. Et voici ce à quoi il devrait ressembler :
par Gordon Pembridge
artiste néo-zélandais né au Kenya
Il a développé un lien permanent avec la nature. Cette connexion avec la Terre Mère est souvent la principale source d'inspiration pour ses impressionnants bateaux en bois qui incorporent des éléments de l'histoire naturelle et dépeignent la faune locale colorée.
Pembridge obtient la majorité de son bois des arbres abattus tempête, et façonne avec un tour, mais la vraie magie se produit quand il méticuleusement main sculpte des scènes incroyablement détaillées de la faune avec un graveur à grande vitesse.
Ces comportent souvent la flore et la faune de ses lieux les plus aimés - Afrique et d'Océanie. Enfin, Gordon forme des compositions de couleurs de montage et les applique à l'aérographe.
coupe transversale d’un tronc de pin.
Vous ne devinerez jamais ce qui est représenté sur cette image… un pin !
Cette coupe transversale d’un tronc de l’espèce pinus a fait l’objet d’un traitement numérique afin de distinguer avec plus de clarté les différents éléments qui compose cet arbre. Ce cliché est si détaillé qu’on peut y distinguer les canaux où circulent la résine. Il est aussi possible de voir les cernes qui poussent chaque année. Cette caractéristique permet ainsi de donner un âge précis à ce pin et a donné naissance à une science : la dendrochronologie
Charles Baudelaire fait partie des figures qui ont dépeint Paris. Il y a passé sa vie et y a rencontré grand nombre de ses contemporains tels que Victor Hugo, Théophile Gautier ou encore Balzac.
Son recueil de poème Les Fleurs du Mal a fait grand bruit à l’époque et est encore considéré comme un chef d’oeuvre.
La beauté était une de ses notions préférées et c’est ainsi, sans surprise, qu’il s’est établit sur l’Île Saint-Louis, bien que son rayonnement au XIXe siècle n’était pas aussi grand qu’aujourd’hui.
6, rue Le Regrattier La « Vénus noire » de Baudelaire
Jeanne Duval par Constantin Guy © Noami Wenger
Dans cette ancienne rue de la Femme sans-Tête, au n° 6, habite Jeanne Duval,la « Vénus noire » que Baudelaire a rencontrée en avril ou mai 1842.
Elle sera sa muse au fil de nombreuses cohabitations entrecoupées de ruptures et de réconciliations.
La mère du poète ne fut guère tendre avec elle :« La Vénus noire, écrit-elle, l’a torturé de toutes manières. Oh ! si vous saviez ! Et que d’argent elle lui a dévoré ! Dans ses lettres, j’en ai une masse, je ne vois jamais un mot d’amour. »
Zola se souvient-il de son (très jeune) ami quand, dans L’Œuvre, il situe l’atelier de son héros, le peintre Claude Lantier, rue de la Femme-sans-Tête ?
22, quai de Béthune Le 28 mai 1842, Baudelaire s’installe au 10, quai de Béthune (actuel n° 22), dans l’hôtel Lefebvre de la Malmaison.
Il a vingt et un ans et c’est son premier domicile parisien sur une liste qui en comptera une bonne quarantaine.
Ses amis peuvent lui rendre visite au rez-de-chaussée dans une grande et unique pièce, très haute de plafond, dans laquelle on remarque un lit en forme de cercueil, une vieille table aux pieds tournés et des miroirs de Venise.
Le choix de l’île Saint-Louis témoigne de l’excentricité du jeune dandy.
On se croirait « à cents lieues de Paris» et il faut acquitter un péage pour s’y rendre.
Mais Baudelaire ne veut être ni de la rive droite, ni de la rive gauche : il est inclassable.
Les années 1842-1843 sont celles des premières liaisons littéraires, Hugo, Gautier, Balzac qu’il croise sur les quais et qui, dans Ferragus, évoque l’île Saint-Louis en ces termes : « Si vous vous promenez dans les rues de l’île […], ne demandez raison à la tristesse nerveuse qui s’empare de vous qu’à la solitude, à l’air morne des maisons et des grands hôtels déserts. »
Baudelaire réside quai de Béthune jusqu’au mois de mai 1843. Il se transporte alors sur la rive opposée, à l’hôtel Pimodan.
17 , quai d’Anjou Depuis mai 1843 (à l’exception d’un petit séjour forcé à « l’hôtel des Haricots », la maison d’arrêt de la Garde nationale), Baudelaire réside à l’hôtel Pimodan, devenu hôtel de Lauzun puis hôtel des Teinturiers, où il demeurera jusqu’au 30 juin 1845.
Au troisième étage, entre les combles et l’étage noble, il loge dans un appartement exigu, très haut de plafond, composé de petites pièces sans destination spéciale, dont les fenêtres donnent sur la Seine. Baudelaire peut admirer Saint-Paul-Saint-Louis droit devant lui et deviner la rue de Sévigné où habita sa mère.
Dans l’immeuble, il fréquente le Club des Hachichins et, au rez-de-chaussée,l’antiquaire Arondel qui vend au poète de faux Jacob Bassano, le laissant endetté jusqu’à la fin de ses jours.
17 , quai d’Anjou Le Club des Hachichins
Dans Le Club des Hachichins (1846), Gautier raconte sa première séance et sa perception de l’île Saint-Louis :
« Un soir de décembre, obéissant à une convocation mystérieuse, rédigée en termes énigmatiques compris des affiliés, inintelligibles pour d’autres, j’arrivai dans un quartier lointain, espèce d’oasis de solitude au milieu de Paris. […] Il était difficile, le long de ce quai désert, dans cette masse de bâtiments sombres, de distinguer la maison que je cherchais ; cependant mon cocher, en se dressant sur son siège, parvint à lire sur une plaque de marbre le nom à moitié décoré de l’ancien hôtel, lieu de réunion des adeptes. »
Le club est créé en 1844 par le docteur Moreau de Tours. Objectif : trouver « l’électricité intellectuelle » grâce à l’opium, le haschich etsurtout le dawamesk, une sorte de pâte ou de confiture verdâtre faite à partir de résine de cannabis mélangée à du miel et à des pistaches.
Les séances ont lieu chaque mois chez le peintre Fernand Boissard dans un appartement situé au deuxième étage et loué au peintre par le baron Jérôme Pichon.
Théophile Gautier y rencontre Baudelaire, qui habite au-dessus et vient en observateur. Entre les deux hommes se noue une profonde amitié ; Gautier écrira la préface des Fleurs du mal.
S’inspirant de son expérience, Baudelaire composera Les Paradis artificiels, essai paru en 1860, dans lequel il décrit les effets des drogues, en particulier du haschich et de l’opium.
Article tiré du livre Promenades Littéraires dans Paris de Gilles Schlesser. Réalisé en partenariat avec les éditions Parigramme.
vaut la peine de voir les avis des uns et des autres ....Jugez-en par vous même:
Interdire le port du foulard ne constitue pas une discrimination directe.
© thinkstock.
MISE À JOUR.
La Cour européenne de justice s'est prononcée mardi matin sur le port d'un signe convictionnel sur le lieu de travail à la suite d'une question préjudicielle posée par la Cour de cassation belge. Selon la CEJ, interdire le port du foulard sur le lieu de travail ne constitue pas une discrimination directe pour l'employé concerné.
La CJUE était amenée à se prononcer sur le cas d'une employée licenciée par la firme de sécurité G4S parce qu'elle portait le foulard. La Cour de cassation belge avait demandé à la CJUE si le règlement de travail interdisant le port du voile dans l'entreprise pouvait être considéré comme une discrimination directe.
Dans son arrêt, la Cour constate que la règle interne de G4S s'applique au port de signes convictionnels quels que soient la religion ou les convictions politiques. Elle n'instaure dès lors pas de différence de traitement directement basée sur la religion, note la Cour.
Mais il "n'est toutefois pas exclu que le juge national puisse arriver à la conclusion que la règle interne instaure une différence de traitement indirectement fondée sur la religion", si l'obligation en apparence neutre aboutit en fait à un désavantage particulier pour les personnes adhérant à une religion particulière.
Objectif légitime?
Cette discrimination peut cependant être justifiée par un objectif légitime, par exemple la volonté de l'employeur d'appliquer une politique de neutralité politique, philosophique et religieuse dans ses relations avec ses clients. La CJUE renvoie à la Cour de cassation la responsabilité de vérifier que les moyens mise en place pour réaliser l'objectif légitime sont appropriés et nécessaires.
La Cour se prononce aussi sur un cas similaire, celui d'une employée française licenciée par son entreprise parce que les clients de l'entreprise ne voulaient plus d'une interlocutrice voilée.
La CJUE relève qu'il appartiendra à la Cour de cassation française de vérifier d'abord si le licenciement s'est basé sur une règle interne prohibant le port visible de signes convictionnels. Si c'est le cas, il faudra appliquer la procédure que la Cour préconise dans le cas de G4S.
Si par contre le licenciement ne se base pas sur une règle interne, il faudra vérifier si le refus de porter le foulard peut constituer une "exigence professionnelle essentielle et déterminante", une notion très restrictive, selon la Cour. Respecter le souhait d'un client de ne pas avoir affaire à une travailleuse portant le foulard ne saurait être considéré comme une telle exigence, indique la CJUE.
Les deux affaires, jointes en raison de leur caractère similaire, avaient fait l'objet de conclusions allant en sens contraire, par deux avocates générales différentes.
La travailleuse belge était soutenue par Unia, le centre interfédéral de l'égalité des chances, et le gouvernement, malgré l'opposition de plusieurs partis de l'actuelle majorité.
En conclusion, j'en arrive à ceci, le port du voile sur un lieu de travail ne se justifie absolument pas, prenons rien que dans les services publics, par simple politesse, on effectue ses prestations décoiffé, il me semble que c'est la règle plus élémentaire à respecter.
Nos abeilles vont peut être bientôt pouvoir reprendre pleinement possession de nos campagnes ( lesquelles devraient elles aussi être prises à bras-le-corps car les surfaces cultivables et autres champs et prairies diminuent dangereusemen) , quand on lit le contenu de cet article paru dans Positiv R.
Deux experts de l’ONU réclament l’abolition de l’agriculture industrielle !
Jamais une institution de cette importance n'avait préconisé de mesures aussi radicales... La fin d'un monde ? Et pourquoi pas !
ParAxel Leclercq -14 mars 2017
Non seulement les pesticides sont dangereux mais, en plus, ils sont inutiles ! Telle est la conclusion formelle d’un rapport qui devrait faire grand bruit… puisqu’il a été rédigé par des experts de l’ONU !
Source : Shutterstock
Pour Hilal Elver et Baskut Tuncak, les deux auteurs de l’étude en question, l’humanité n’a aucunement besoin de pesticides pour s’adapter à sa démographie :
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Un objectif uniquement mercantile qui, toujours selon les auteurs du rapport, exposerait la population mondiale à des risques gigantesques.
Le texte parle même de conséquences «catastrophiques sur l’environnement, la santé humaine et la société.»
Concernant la santé :
Une liste aussi longue qu’effrayante…
Source : Shutterstock
Concernant l’environnement :
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Compte tenu de ces constats alarmants, le rapport préconise carrément un traité mondial sur la réglementation des pesticides, la fin de l’agriculture industrielle et la promotion de l’agroécologie :
À l’inverse, le texte suggère de pénaliser les multinationales adeptes des pesticides par la mise en place de « taxes, de droits d’importation et des redevances sur ces produits. »
Source : Shutterstock
Ces recommandations, d’autres les font déjà depuis des années. Ce qu’il y ade neuf, c’est qu’elles émanent pour la première fois de la plus haute instance internationale. Est-ce que ça suffira à les faire appliquer rapidement ? Rien n’est moins sûr mais, en revanche, une chose est certaine : la cause progresse !
J'ajouterai encore à cela que non seulement les pesticides sont mis en cause mais aussi les herbicides tels que les herbicides totaux vendus dans les grandes surfaces par Monsanto et Roundop et même Bayer! Hé oui! Il y a même un holding pharmaceutique qui joue avec.
Ces produit, des gens comme comme vous et moi vont encore les acheter dans les grandes surfaces de bricolage qui disposent d'une section jardinage ou des étagères entières sont encore remplies de ces produits dangereux pour l'environnement et par conséquent, dangereux pour le commun des mortels!
Mais tant que la vente de ces prduits continura à constituer une véritable poule aux oeufs d'or pour les industriels et les détaillants, ces paroles,paroles de L'ONU ne servent à rien car c'est sans aucun délai, du jour au lendemain qu'il faut stopper et interdire la production de ces véritables poisons et mettre ainsi un terme à leur vente. Tous les pays devraient être immédiatement mis au pied du mur aussi par l'ONU que par L'OMS!
Cela fait plus d’un siècle que l’épave du Titanic gît par 3800 mètres de profondeur au large de Terre-Neuve. Selon un article de la BBC, la carcasse du paquebot est en train d’être dévorée par une bactérie capable de résister à la pression des profondeur et à l’obscurité. Un jour, le navire disparaîtra totalement.
Le 14 avril 1912, le Titanic a sombré au fond de l’Atlantique. Près de 1500 personnes sont mortes cette nuit-là. Le paquebot, annoncé insubmersible à l’époque, a emporté avec lui son histoire et sa légende.Il a fallu de nombreuses années pour retrouver sa trace. Ce fut chose faite en 1985 par l’océanographe Robert Ballard. Mais un siècle passé dans l’océan a forcément un impact sur l’état du navire.
En 2010, on a ainsi détecté la présence d’une bactérie sur un échantillon d’une sorte de rouille récupéré en 1991. Cette bactérie, appelée Halomonas titanicae, s’attaque à la coque du bateau, résiste à la pression écrasante des eaux ainsi qu’à l’obscurité qui y règne.Les chercheurs ne peuvent pas déterminer comment elle est arrivée là. Mais c’est une mauvaise nouvelle pour les scientifiques, car le Titanic risque fort de disparaître complètement d’ici une vingtaine d’années, à l’horizon 2030.
Microscope du laboratoire indien à Bangalore –
© DIBYANGSHU SARKAR
Des scientifiques ont découvert en Inde la plus ancienne plante fossilisée connue, apparemment une algue rouge, vieille de 1,6 milliard d’années.
Cette découverte laisse penser que la vie multicellulaire avancée existait sur la Terre bien plus tôt qu’on ne le croyait jusqu’alors, expliquent ces chercheurs dont les travaux sont publiés mardi dans la revue américaine PLOS Biology.
Le fossile indien est 400 millions d’années plus ancien que les algues rouges fossilisées mises au jour avant cela, et de loin la plus vieille plante fossilisée jamais découverte. Cela suggère que la datation des premières branches de l’arbre de la vie doit être révisée.Ces scientifiques ont trouvé deux types de fossiles qui ressemblent à l’algue rouge dans des roches sédimentaires exceptionnellement bien préservées à Chitrakoot, dans la partie centrale de l’Inde. L’un est celui d’une plante de type filandreux et l’autre charnue. Les scientifiques ont pu voir les structures internes des cellules, dont des faisceaux de filaments qui forment la partie charnue caractéristique des algues rouges.
« On ne peut pas être totalement certains qu’il s’agit d’algues rouges pour des spécimens aussi anciens dans lesquels il ne reste pas d’ADN, mais les traits correspondent bien à la morphologie et à la structure d’une algue rouge », explique Stefan Bengtson, professeur émérite de paléozoologie au Musée suédois d’histoire naturel, un des co-auteurs de cette découverte.
Les premières traces de vie sur Terre datent d’au moins 3,5 milliards d’années. Il s’agissait d’organismes unicellulaires qui, à la différence des eucaryotes, les organismes multicellulaires (animaux, plantes, champignons), n’ont pas de noyau. Des grands organismes eucaryotes multicellulaires sont devenus fréquents beaucoup plus tard dans l’histoire de la planète, il y a environ 600 millions d’années, à l’approche de la transition vers l’ère phanérozoïque, la période durant laquelle la vie est visible.
Les découvertes des premiers organismes eucaryotes multicellulaires ont étésporadiques et difficiles à interpréter, compliquant la tâche des scientifiques pour reconstituer et dater l’arbre de la vie. « L’ère de la vie visible semble avoir commencé beaucoup plus tôt qu’on ne pensait », relève le professeur Bengtson. Cette algue rouge était piégée dans des formations calcaires contenues dans des sédiments de phosphorite vieux de 1,6 milliard d’années.
Les chercheurs ont pu regarder à l’intérieur de l’algue par tomographie microscopique aux rayons X, qui fournit des images en trois
dimensions. Ils ont pu entre autres observer dans chaque cellule de l’algue ancienne ce qui semble être des parties de chloroplaste, où se produit la photosynthèse dans les plantes. Ces scientifiques ont également vu distinctement des structures régulières au centre de la membrane de toutes les cellules, ce qui est typique de l’algue rouge.
Mystérieuses et étranges, ces villes et ces palais de l’antiquité ont survécu à l’usure du temps à travers plusieurs siècles, protégés par l’eau.
Plongés dans les abysses suite à des cause naturelles, ils ont représenté pour les archéologues des découvertes fondamentales, confirmant certains mythes et légendes.
Dans notre sélection, le palais de Cléopâtre à Alexandrie, découvert en 1998,qui constitue l’un des plus importants sites archéologiques de l’Egypteancien, qui contient des objets d’usage quotidien ,mais aussi, des statues à la valeur inestimable.
Ensuite, les mystérieuses pyramides de Yonaguni-Jima au Japon, la magnifique ville submergé de Qiandao en Chine et pour finir, le superbe parc archéologique de Baia en Italie, ville entraînée sous l’eau par un tremblement de terre dû à une forte activité volcanique.
Les photos ici-bas sont voilées de mystère et poésie, offrant une vue unique sur des mondes totalement inconnus et ignorés par le public.